Premier semestre
2017
Un semestre sans
relief apparent
***
Chiffre d'affaires : 833,8 millions
d'euros
Croissance organique + 0,1 %
Nouveaux Services + 18 %
Résultat net ajusté + 9,0 %
Paris, 26 juillet
2017 - Le chiffre d'affaires d'Ipsos au premier semestre 2017
est de 833,8 millions d'euros, très proche du niveau des 833,6
millions d'euros publié au titre du premier semestre 2016. Les
effets de change, légèrement positifs pour 0,5 % et de périmètre
négatifs pour 0,6 % s'annulent à peu près. La croissance organique
d'Ipsos, pour la période de référence, est de 0,1 %. Toutes ces
données sont illustratives d'une activité stable, sans tendance
claire.
Cela étant, des évolutions
importantes sont à l'oeuvre et peuvent s'analyser de quatre angles
de vue différents.
-
La composante « Nouveaux
Services », ces activités nouvelles qu'Ipsos a déployées à
partir de 2014 et qui reflètent les approches innovantes mises en
oeuvre pour mesurer mieux, plus vite et ainsi aider les clients à
comprendre davantage leurs marchés continuent de progresser à un
rythme élevé. Avec une croissance organique de 18 %, ils
représentent ce semestre plus de 12 % du chiffre d'affaires, contre
7 % en 2014. Par comparaison, les approches plus traditionnelles
subissent les conséquences d'efforts de productivité, liées entre
autres à la poursuite de la transition vers une plus grande
digitalisation des systèmes de collecte de données et aussi à la
recherche d'une simplification accrue des protocoles de
recherche.
-
Certains marchés émergents, notamment en
Asie-Pacifique et en Europe de l'Est, sont très contributifs de
croissance à l'inverse d'autres zones plus difficiles, comme le
Moyen-Orient ou le Brésil. De la même façon, au sein des marchés
développés, certains pays comme le Royaume-Uni maintiennent un taux
de croissance élevé alors que d'autres comme la France sont
affectés par des événements spécifiques. L'activité à Paris n'a pas
été bonne au premier semestre, les très longs processus électoraux
et les incertitudes qu'ils engendrent rendant peu évidente la
réalisation dans la même période d'études sur les produits, les
marques, ou les communications commerciales. Au total, l'écart de
croissance entre pays développés et pays émergents est redevenu
important à 5 %. L'activité diminue de 1,3 % parmi les premiers
alors qu'elle progresse de 3,3 % chez les seconds.
-
Certains marchés sont spécialement affectés par
le décalage constaté entre le volume des ventes enregistrées à un
moment donné et le degré d'avancement dans l'exécution des
programmes qui permettent de les comptabiliser dans le chiffre
d'affaires effectivement reconnu. La transformation du mix des
services vendus par Ipsos, déjà notée à la fin du premier trimestre
et qui se traduit par l'accroissement du poids de grands programmes
plus longs à exécuter, au détriment d'interventions plus courtes et
plus ad-hoc a ses avantages, notamment de faciliter l'optimisation
du travail des équipes. Elle a, pour conséquence négative, de
retarder le moment où le niveau de chiffre d'affaires s'aligne sur
le niveau du carnet de commande. À fin juin, les ventes d'Ipsos
restent largement positives, pas très loin de l'objectif
annuel de 3 %, à taux de change et périmètre constants. Le décalage
avec l'évolution du chiffre d'affaires publié (+0,1 %) est notable
et équivalent à celui constaté à la fin du premier trimestre. Nous
anticipons une progression sensible du chiffre d'affaires d'Ipsos
au second semestre, surtout là où le décalage est très important,
entre autres en Amérique du Nord et dans les activités liées à la
mesure des médias et de la communication publicitaire.
-
La situation de la clientèle évolue elle aussi.
Les entreprises intervenant dans le secteur de la grande
consommation qui ont, jusqu'à une date récente, été les
utilisateurs les plus importants, les plus globaux et, à certains
égards, les plus innovants des services des sociétés d'étude de
marché, sont questionnées sur leur capacité à croître et, en même
temps, à améliorer leurs performances financières. Elles sont
affectées par la vive concurrence d'acteurs locaux ou plus
spécifiques et bien sûr, mobilisées par leurs propres processus de
digitalisation. Dans ces conditions, leur souci légitime est de
faire mieux tout en réduisant leurs dépenses. D'un côté, les
entreprises de la grande consommation, surtout les plus grandes
d'entre-elles, sont d'excellentes candidates à une utilisation
systématique des nouvelles approches de recherche développées par
Ipsos et d'autres. En même temps, les moyens qu'elles consacrent
aux dépenses marketing sont en réduction, parfois de façon
sensible. Au total, au premier semestre 2017, l'activité d'Ipsos
avec ses clients du secteur de la grande consommation a diminué de
5 %, alors qu'elle a progressé significativement avec d'autres
secteurs de clientèle tels que les laboratoires pharmaceutiques ou
les institutions financières.
Évolution de
l'activité par région et lignes de métier
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par zone
géographique
(en millions d'euros) |
1er semestre
2017 |
1er semestre 2016 |
Évolution 2017/2016 |
Croissance organique |
Europe,
Moyen Orient et Afrique |
360,4 |
360,0 |
0,1 % |
3 % |
Amériques |
318,5 |
330,4 |
- 3,6
% |
- 5 % |
Asie-Pacifique |
154,9 |
143,1 |
8,2 % |
6 % |
Chiffre d'affaires semestriel |
833,8 |
833,6 |
0,0 % |
0,1 % |
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par ligne de
métier
(en millions d'euros) |
1er semestre 2017 |
1er semestre 2016 |
Évolution 2017/2016 |
Croissance organique |
Études
Médias et Expression des marques |
177,7 |
182,7 |
- 2,8
% |
- 3 % |
Études
Marketing |
444,0 |
447,8 |
- 0,9
% |
- 0,5
% |
Études
d'Opinion et Recherche sociale |
92,5 |
85,8 |
7,8 % |
9 % |
Études
pour la gestion de la Relation Client / Salarié |
119,7 |
117,2 |
2,1 % |
1 % |
Chiffre d'affaires semestriel |
833,8 |
833,6 |
0,0 % |
0,1 % |
Performances
financières
Compte de
résultat résumé
En
millions d'euros |
S1 2017 |
S1 2016 |
Variation |
S1 2017 / S1 2016 |
Chiffre
d'affaires |
833,8 |
833,6 |
0,0
% |
Marge brute |
544,2 |
545,0 |
- 0,1 % |
Marge brute / CA |
65,3 % |
65,4 % |
- |
Marge opérationnelle |
50,7 |
53,8 |
- 5,7 % |
Marge opérationnelle / CA |
6,1 % |
6,5 % |
- |
Autres
charges et produits non courants / récurrents |
(7,9) |
8,7 |
- |
Charge de
financement |
(9,7) |
(10,2) |
-
5,2 % |
Impôts |
(7,9) |
(12,4) |
- 36,3
% |
Résultat net ajusté*
part du groupe |
36,0 |
33,0 |
9,0 % |
* Le
résultat net ajusté est calculé avant les éléments non monétaires
liés à l'IFRS 2 (rémunérations en actions), avant l'amortissement
des incorporels liés aux acquisitions (relations clients), avant
les impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont
l'amortissement est déductible dans certains pays et avant l'impact
net d'impôts des autres produits et charges non courants. |
La marge brute (qui se calcule en retranchant
du chiffre d'affaires des coûts directs variables et externes liés
à l'exécution des contrats) s'établit à 65,3 % contre 65,4 % au
premier semestre 2016 (et 65,1 % pour l'ensemble de l'année 2016).
Son évolution est à relier au poids des grands contrats qui est
plus important sur ce semestre et dont les marges brutes sont
souvent plus basses (ce qui ne présage en rien du niveau de marge
opérationnelle de ces contrats). La poursuite de la digitalisation
de la collecte de données et de la croissance des Nouveaux Services
génère à l'inverse des marges brutes plus élevées.
En ce qui concerne les coûts
d'exploitation, la masse salariale est en
hausse de 0,6 %, les effectifs du groupe étant en progression de
1,5 % principalement dans les pays émergents, soit un personnel
permanent de 16 845 au 30 juin 2017.
Le coût des rémunérations variables en action est stable à 5,1
millions d'euros.
Les frais
généraux sont maîtrisés et diminuent de 1,9 %, notamment en
raison d'économies de coûts de loyers.
Au total, les coûts opérationnels enregistrent des charges
supplémentaires en relation avec le programme New Way pour lequel
Ipsos a prévu 5 millions d'euros d'investissements supplémentaires
courants en
2017 : 2,3 millions d'euros ont été dépensés au premier semestre
2017.
Les autres
charges et produits opérationnels incluent principalement des
effets de change transactionnels sur les postes du compte
d'exploitation, qui sont négatifs de 2 millions d'euros sur le
semestre alors qu'ils étaient positifs pour 1,3 millions d'euros au
premier semestre 2016.
Au total, la marge opérationnelle du Groupe s'établit à 50,7
millions d'euros, soit un taux de 6,1 % rapporté au chiffre
d'affaires, une baisse de 40 points de base par rapport à la même
période de l'an dernier, en raison d'un volume de revenus stable et
de l'investissement dans le programme New Way. Il est rappelé ici,
qu'en raison de la saisonnalité de l'activité, la marge
opérationnelle du premier semestre n'est pas indicative de celle de
l'ensemble de l'année.
En dessous de la marge
opérationnelle, les dotations aux amortissements
des incorporels liés aux acquisitions concernent la partie des
écarts d'acquisition affectée aux relations clients au cours des 12
mois suivant la date d'acquisition et faisaient l'objet d'un
amortissement au compte de résultat selon les normes IFRS sur
plusieurs années. Cette dotation s'élève à 2,4 millions d'euros
contre 2,5 millions précédemment.
Le solde du poste autres charges et produits non courants et non
récurrents s'établit à - 7,9 millions d'euros contre un produit
net de 8,7 millions d'euros l'an dernier. Il prend en compte des
éléments à caractère inhabituel non liés à l'exploitation et inclut
les coûts d'acquisition ainsi que les coûts liés aux plans de
restructuration en cours.
Il enregistrait en particulier, au premier semestre 2016, un
produit net de 15,4 millions d'euros en relation avec le
remboursement reçu d'Aegis en février 2016 pour solde de tout
compte des litiges qui étaient nés suite à l'acquisition de
Synovate réalisée en 2011. Par ailleurs, des dépenses de
restructuration et de rationalisation dont certaines liées au
programme New Way ont été constatées pour un total de 6,7 millions
d'euros.
Les charges de
financement. La charge d'intérêt nette s'élève à 9,7 millions
d'euros contre 10,2 millions d'euros, en baisse de 5,2 % en raison
de la baisse de ses conditions de crédit.
Impôts. Le
taux effectif d'imposition au compte de résultat en norme IFRS
s'établit à 26,8 % contre 25,6 % l'an dernier. Il intègre, comme
par le passé, une charge d'impôts différés passifs de 1,3 millions
d'euros (contre une charge de 2,1 millions au premier semestre
2016) qui vient annuler l'économie d'impôts réalisée grâce à la
déductibilité fiscale des amortissements d'écarts d'acquisition
dans certains pays, alors même que cette charge d'impôts différés
ne serait due qu'en cas de cession des activités concernées, et qui
est par conséquent retraitée dans le résultat net ajusté.
Le Résultat net,
part du Groupe, s'établit à 21,6 millions d'euros contre 35,2
millions au premier semestre 2016, la variation étant pour
l'essentiel liée au profit exceptionnel de 15,4 millions d'euros
enregistré dans le poste « autres charges et produits non courants
et non récurrents ».
Le Résultat net
ajusté, part du Groupe, qui est l'indicateur pertinent et
constant utilisé pour la mesure de la performance, s'établit à 36,0
millions d'euros en progression de 9,0 % par rapport au premier
semestre 2016.
La structure
financière
Flux nets de
trésorerie libre. La capacité d'autofinancement s'établit à
56,6 millions d'euros en ligne avec l'évolution du résultat
d'exploitation.
- Le besoin en fonds de roulement connait une variation positive de
7,4 millions d'euros.
- Les investissements courants en immobilisations corporelles et
incorporelles, principalement constitués d'investissements
informatiques, sont stables à 7,7 millions d'euros.
En ce qui concerne les investissements non courants, Ipsos a investi 5,4
millions d'euros sur le semestre dans son programme d'acquisition,
procédant notamment au rachat de minoritaires dans une société
américaine et dans certains pays émergents (Amérique centrale
notamment).
Par ailleurs, Ipsos a encaissé 3,8
millions d'euros en relation avec les levées de son plan de stock
option IPF 2020, la dilution potentielle des 156 344 actions
souscrites ayant pu être compensée par l'annulation d'un même
nombre d'actions propres parmi celles rachetées en 2016.
Il est rappelé qu'Ipsos a investi
en 2016 dans son programme de rachat d'actions notamment 65
millions d'euros en novembre 2016 dans le contexte du rachat d'un
bloc de titres à sa holding de contrôle
LT Participations, opération préalable à la Fusion entre Ipsos et
LT Participations intervenue le 29 décembre 2016.
Au 30 juin 2017, Ipsos possède
1 580 596 actions propres (3,6 % de son capital) affectés
à la livraison de ses plans d'association de ses
salariés.
Les capitaux propres s'établissent à 892
millions d'euros au 30 juin 2017 contre 939 millions publiés au 31
décembre 2016, après déduction des 36,4 millions d'euros de
dividendes mis en paiement le 5 juillet 2017.
Les dettes
financières nettes s'élèvent à 494 millions d'euros au 30 juin
2017 contre 544 millions d'euros au 31 décembre 2016, grâce à la
bonne génération de flux de trésorerie d'exploitation mentionnée
ci-dessus.
Le ratio d'endettement net est de 55,4 % contre 58,0 % au 31
décembre 2016.
Position de
liquidité. La trésorerie en fin de
semestre s'établit à 123 millions d'euros contre 127 millions
d'euros au 31 décembre 2016, assurant une bonne position de
liquidité à Ipsos qui dispose par ailleurs de plus de 300 millions
d'euros de lignes de crédit disponibles.
Ipsos intervient dans un marché en
croissance : la demande d'informations et d'analyses en
provenance des entreprises et des institutions publiques pour bien
mesurer et bien comprendre la Société, le marché et in fine les
personnes, ne faiblit pas. Ce marché est aussi en transformation
car aujourd'hui, grâce à l'utilisation de nouvelles avancées du
côté des sciences humaines, des modèles statistiques, des
technologies et des savoir-faire, il est possible de mieux
maîtriser l'information. C'est en utilisant la puissance de ces
sciences et de ces technologies mais aussi la compétence de ses
équipes et ceci en pleine confiance qu'Ipsos s'engage dans une
nouvelle étape : celle où il pourra, de façon légitime,
proposer à ses clients de les accompagner dans leur effort de
compréhension juste, clair, accessible et complet de leurs propres
marchés.
Grâce au programme New Way qui
s'achève, comme prévu, à la fin de cette année, Ipsos a fait la
démonstration que, grâce à l'innovation et, en l'occurrence, à la
mise en oeuvre de Nouveaux Services, une société importante, déjà
installée, pouvait tenir son rang et conserver la confiance de ses
clients.
Le programme « Total
Understanding » dont le principe et l'existence ont été rendus
publics il y a déjà quelques mois va prendre le relais. Il s'appuie
sur les enseignements du New Way. Il est, aussi, plus ambitieux.
Son objectif est qu'Ipsos, à terme, puisse proposer à ses clients
tous les moyens qui leur permettent de bien comprendre les
comportements, les réactions, les aspirations de leur
environnement, des marchés dans lesquels ils interviennent et des
gens auxquels ils s'adressent. C'est à ce prix qu'une entreprise
peut bâtir des positions concurrentielles gagnantes et aussi
vérifier que les moyens qu'elle a décidé de mettre en oeuvre sont
efficaces.
C'est en ayant la capacité de
déployer une diversité suffisante de solutions d'investigation,
d'analyses et de reporting, qu'Ipsos s'affirmera non seulement
comme un fournisseur d'informations fiables et pertinentes mais
également comme un partenaire dans la maîtrise des informations
indispensables à la réussite des idées les plus novatrices et à la
mise en oeuvre des plans les plus ambitieux.
Les contours précis du plan
« Total Understanding » seront communiqués à l'occasion
de la présentation des résultats annuels d'Ipsos en février 2018.
D'ici là, les équipes d'Ipsos s'assureront de bien finir l'exercice
2017.
Pour atteindre l'objectif de 3 %
de croissance organique en 2017 ainsi qu'il a été publié en début
d'année, il serait nécessaire que les entreprises internationales
du secteur de la grande consommation qui comptent parmi les plus
anciens et plus importants clients d'Ipsos retrouvent leurs niveaux
historiques moyens d'activité au deuxième semestre 2017.
Un autre scénario serait que
l'activité de ces mêmes entreprises (avec Ipsos) se dégrade
davantage ce qui conduirait le taux de croissance d'Ipsos entre 1
et 2 %.
Le premier scénario (le plus
optimiste) est peu vraisemblable parce qu'il suppose que ces
entreprises soient déjà adaptées à la « nouvelle donne »,
à ces nouveaux marchés plus fragmentés et volatiles et qu'Ipsos ait
eu aussi le temps d'ajuster son offre de services à leurs nouveaux
besoins.
Le second scénario (le plus
pessimiste) est également peu vraisemblable car il supposerait une
dégradation supplémentaire des ventes au second semestre
additionnée à une persistance de certains décalages entre le niveau
des ventes et le niveau de chiffre d'affaires reconnu.
En outre, la base de comparaison 2016/2017 sera plus favorable au
deuxième semestre, notamment vers la fin de l'exercice.
Ceci dit, quel que soit le
scénario, que la croissance soit en dessous de 2 % ou au-dessus de
2 %, la marge opérationnelle sera comme annoncée en progression
légère par comparaison avec 2016.
Annexes
-
Compte de résultat consolidé
-
État de la situation financière
-
État des flux de trésorerie consolidés
Une plaquette
complète des états financiers consolidés
est disponible sur le site www.ipsos.com/en/investisseurs
La présentation de
l'activité et des résultats du premier semestre 2017
sera disponible le 27 juillet sur le site
www.ipsos.com/en/investisseurs
GAME CHANGERS
« Game Changers » est la signature publicitaire d'Ipsos.
Chez Ipsos, nous sommes passionnément curieux à propos des
individus, des marchés, des marques et de la société. Nous aidons
nos clients à naviguer plus vite et plus aisément dans un monde en
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Nous leur apportons l'inspiration nécessaire à la prise de
décisions stratégiques.
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Nous sommes des Game Changers.
Ipsos
est coté sur l'Eurolist de NYSE-Euronext.
La société qui fait partie du SBF 120 et de l'indice Mid-60 est
également éligible au SRD.
Code ISIN FR0000073298, Reuters
ISOS.PA, Bloomberg IPS:FP
www.ipsos.com
Compte de résultat consolidé
Comptes semestriels au 30 juin
2017
en milliers d'euros |
30/06/2017 |
30/06/2016 |
31/12/2016 |
Chiffre d'affaires |
833
794 |
833
599 |
1 782
691 |
Coûts
directs |
(289
583) |
(288
589) |
(622
244) |
Marge brute |
544 211 |
545 010 |
1 160 446 |
Charges de personnel - hors rémunération en actions |
(374 309) |
(372 135) |
(751 754) |
Charges de personnel - rémunération en actions * |
(5 104) |
(5 039) |
(9 991) |
Charges générales d'exploitation |
(111
727) |
(113
873) |
(220
646) |
Autres charges et produits opérationnels |
(2
355) |
(180) |
2
026 |
Marge opérationnelle |
50 716 |
53 784 |
180 080 |
Dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions
* |
(2 405) |
(2 451) |
(4 786) |
Autres charges et produits non courants |
(7 973) |
8 742 |
143 |
Quote-part
dans les résultats des entreprises associées |
69 |
(48) |
(46) |
Résultat opérationnel |
40 407 |
60 026 |
175 391 |
Charges de financement |
(9 682) |
(10 217) |
(20 811) |
Autres
charges et produits financiers * |
(1
134) |
(1
188) |
(475) |
Résultat net avant impôts |
29 591 |
48 621 |
154 105 |
Impôts - hors impôts différés sur amortissement du goodwill |
(6 622) |
(10 286) |
(37 765) |
Impôts différés sur amortissement du goodwill * |
(1
308) |
(2
162) |
(6
582) |
Impôt sur
les résultats |
(7
930) |
(12
447) |
(44
347) |
Résultat net |
21 660 |
36 174 |
109 758 |
Dont
part du Groupe |
21 558 |
35 179 |
106 897 |
Dont part
des minoritaires |
103 |
995 |
2 861 |
Résultat net part du Groupe par action de base (en
euros) |
0,50 |
0,78 |
2,40 |
Résultat
net part du Groupe par action dilué (en euros) |
0,50 |
0,77 |
2,36 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Résultat net ajusté * |
36 380 |
34 260 |
124 945 |
Dont Part du Groupe |
36 031 |
33 047 |
121 657 |
Dont Part des minoritaires |
349 |
1 213 |
3 288 |
Résultat
net ajusté, part du groupe par action |
0,84 |
0,73 |
2,73 |
Résultat
net ajusté dilué, part du groupe par action |
0,83 |
0,72 |
2,69 |
* ajusté des
éléments non monétaires liés à l'IFRS 2 (rémunération en actions),
de l'amortissement des incorporels liés aux acquisitions (relations
clients), des impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont
l'amortissement est déductible dans certains pays et de l'impact
net d'impôts des autres produits et charges non courants et impacts
non monétaires sur variations de puts en autres charges et produits
financiers.
État de la situation financière
Comptes semestriels au 30 juin 2017
en milliers d'euros |
30/06/2017 |
30/06/2016 |
31/12/2016 |
ACTIF |
|
|
|
Goodwills |
1 198 102 |
1 241 637 |
1 259 193 |
Autres immobilisations incorporelles |
64 624 |
74 455 |
71 489 |
Immobilisations corporelles |
32 834 |
34 225 |
35 517 |
Participation dans les entreprises associées |
557 |
206 |
207 |
Autres actifs financiers non courants |
20 001 |
16 938 |
22 547 |
Impôts
différés actifs |
18
724 |
13
884 |
18
184 |
Actifs non courants |
1 334 842 |
1 381 345 |
1 407 138 |
Clients et comptes rattachés |
524 548 |
552 754 |
624 406 |
Impôts courants |
26 670 |
21 442 |
15 204 |
Autres actifs courants |
87 408 |
88 286 |
78 677 |
Instruments financiers dérivés |
2 898 |
6 804 |
3 399 |
Trésorerie
et équivalents de trésorerie |
123
082 |
126
686 |
164
892 |
Actifs courants |
764 606 |
795 972 |
886 579 |
TOTAL ACTIF |
2 099 448 |
2 177 318 |
2 293 717 |
|
|
|
|
en milliers d'euros |
30/06/2017 |
30/06/2016 |
31/12/2016 |
PASSIF |
|
|
|
Capital |
11 109 |
11 334 |
11 109 |
Primes d'émission |
516 275 |
540 201 |
516 489 |
Actions propres |
(41 547) |
(808) |
(55 905) |
Autres réserves |
472 063 |
417 092 |
492 737 |
Ecarts de conversion |
(82 611) |
(56 785) |
(44 819) |
Capitaux propres - part du Groupe |
875 289 |
911 034 |
919 612 |
Intérêts
minoritaires |
17
412 |
20
569 |
19
805 |
Capitaux propres |
892 701 |
931 603 |
939 417 |
Emprunts et autres passifs financiers non courants |
540 539 |
582 792 |
626 152 |
Provisions non courantes |
9 150 |
7 465 |
9 230 |
Provisions pour retraites |
28 154 |
25 592 |
28 029 |
Impôts différés passifs |
97 122 |
97 897 |
100 432 |
Autres
passifs non courants |
21
663 |
40
291 |
21
159 |
Passifs non courants |
696 629 |
754 037 |
785 002 |
Fournisseurs et comptes rattachés |
226 417 |
230 578 |
262 865 |
Emprunts et autres passifs financiers courants |
79
717 |
53
230 |
86
662 |
Impôts courants |
4
586 |
6
059 |
11
104 |
Provisions courantes |
8 685 |
10 147 |
9 664 |
Autres
passifs courants |
190
713 |
191
663 |
199
005 |
Passifs courants |
510 118 |
491 677 |
569 300 |
TOTAL PASSIF |
2 099 448 |
2 177 318 |
2 293 717 |
État des flux de trésorerie consolidés
Comptes semestriels au 30 juin 2017
en milliers d'euros |
30/06/2017 |
30/06/2016 |
31/12/2016 |
OPERATIONS D'EXPLOITATION |
|
|
|
RESULTAT NET |
21
660 |
36
174 |
109
758 |
Eléments sans incidence sur la
capacité d'autofinancement |
|
|
|
Amortissements des immobilisations corporelles et
incorporelles |
12 796 |
12 754 |
25 970 |
Résultat net des sociétés mises en équivalence, nets des dividendes
reçus |
(69) |
48 |
46 |
Moins-value (plus-value) sur cessions d'actifs |
(118) |
203 |
2 481 |
Variation nette des provisions |
25 |
(15 537) |
(12 702) |
Rémunération en actions |
4 747 |
4 893 |
9 737 |
Autres produits et charges calculés |
(109) |
14 |
978 |
Frais d'acquisition de sociétés consolidées |
132 |
1 184 |
1 325 |
Charge de financement |
9 682 |
10 217 |
20 811 |
Charge d'impôt |
7 930 |
12 447 |
44 347 |
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT AVANT CHARGES DE FINANCEMENT ET
IMPOT |
56 676 |
62 398 |
202 752 |
Variation du besoin en fonds de roulement |
7 383 |
26 191 |
22 819 |
Intérêts financiers nets payés |
(9 715) |
(9 623) |
(20 351) |
Impôts payés |
(24 707) |
(15 838) |
(38 046) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DE L'EXPLOITATION |
29 637 |
63 128 |
167 174 |
OPERATIONS
D'INVESTISSEMENT |
|
|
|
Acquisitions d'immobilisations corporelles et incorporelles |
(7 850) |
(8 136) |
(17 631) |
Produits des cessions d'actifs corporels et incorporels |
200 |
879 |
133 |
Augmentation / (diminution) d'immobilisations financières |
1 024 |
(374) |
(1 070) |
Acquisitions de sociétés et d'activités consolidés nettes de
trésorerie acquise |
- |
22 425 |
23 900 |
FLUX DE TRESORERIE AFFECTES AUX OPERATIONS
D'INVESTISSEMENT |
(6 627) |
14 794 |
5 332 |
OPERATIONS DE FINANCEMENT |
|
|
|
Augmentation / (Réduction) de capital |
- |
- |
(225) |
(Achats) / Ventes nets d'actions propres |
3 790 |
(6 163) |
(85 050) |
Augmentation / (diminution) des emprunts à long terme |
(57 170) |
(63 561) |
(1 688) |
Augmentation / (diminution) des découverts bancaires |
(338) |
1 672 |
491 |
Rachats d'intérêts minoritaires |
(5 441) |
(32 283) |
(33 312) |
Dividendes versés aux actionnaires de la société mère |
- |
- |
(36 358) |
Dividendes versés aux minoritaires des sociétés intégrées |
- |
(465) |
(431) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DES OPERATIONS DE
FINANCEMENT |
(59 159) |
(100 801) |
(156 575)
|
VARIATION NETTE DE LA TRESORERIE |
(36 149) |
(22 879) |
15 932 |
Incidence des variations des cours des devises sur la
trésorerie |
(5 662) |
(2 010) |
(2
615) |
TRESORERIE A L'OUVERTURE |
164 892 |
151 576 |
151 576 |
TRESORERIE A LA CLOTURE |
123 082 |
126 686 |
164 892 |
Ipsos - Premier semestre
2017
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