- Produits d'exploitation totalisant 5,2 milliards de dollars,
en hausse de 7 % d'une année à l'autre
- Bénéfice d'exploitation de 11 millions de dollars et BAIIDA
ajusté* de 453 millions de dollars
- Amélioration dans les deux chiffres de la ponctualité des
arrivées par rapport au premier trimestre de 2023
- Ratio de levier financier* de 0,9 au 31 mars 2024
- Prévisions pour 2024 maintenues en ce qui concerne la
capacité, les CESMO ajustées* et le BAIIDA ajusté*
MONTRÉAL, le 2 mai 2024 /CNW/ - Air Canada a
présenté aujourd'hui ses résultats financiers du premier trimestre
de 2024.
« Les solides résultats d'Air Canada au premier
trimestre placent notre société aérienne en bonne position pour
générer un bon rendement en 2024, a déclaré
Michael Rousseau, président et chef de la direction
d'Air Canada. Nos produits d'exploitation se sont chiffrés à
5,2 G$ pour le trimestre, en hausse de 339 M$ par rapport
à il y a un an. Par ailleurs, le BAIIDA ajusté a augmenté de
42 M$ sur 12 mois pour s'établir à 453 M$. Je
remercie nos employés qui ont travaillé avec ardeur pour prendre
soin de nos 11 millions de clients au cours du trimestre, tout
en en assurant leur transport en toute sécurité. Je les félicite
également pour les améliorations sur le plan de notre exploitation,
notamment pour le bond de 13 points de pourcentage au chapitre
de la ponctualité des arrivées à l'échelle du réseau. Nous serons
ainsi mieux préparés pour la période estivale, qui s'annonce très
occupée.
« Nous sommes confiants de pouvoir confirmer nos prévisions
pour l'ensemble de l'exercice 2024. À l'approche de l'été,
nous constatons que la demande demeure vigoureuse : nos
clients pourront choisir parmi un large éventail de destinations de
voyages en Europe, en Asie et en
Amérique du Nord pour planifier leurs vacances d'été.
« Au cours du trimestre, nous avons généré plus d'un
milliard de dollars en flux de trésorerie disponibles,
principalement grâce aux liquidités tirées des activités
d'exploitation. Notre ratio dette nette‑BAIIDA ajusté a été ramené
à 0,9 à la clôture du trimestre. Nous avons également continué
de faire progresser notre stratégie visant à assainir notre bilan
en réduisant la dette brute. Nos réalisations à cet égard ont été
reconnues par le réseau des agences de notation, plus récemment par
la dernière amélioration de notre notation par S&P Global
Ratings, qui est passée de « BB- » à « BB » à la fin d'avril. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, nous demeurons confiants dans
notre capacité à générer d'importants flux de trésorerie
disponibles. Notre bilan solide servira de base à la croissance de
notre société aérienne, qui passera par nos investissements dans
notre réseau de renommée mondiale et par le déploiement de
stratégies de répartition des capitaux qui créeront une valeur à
long terme pour Air Canada dans son ensemble et tous ses
actionnaires », a conclu M. Rousseau.
* Les CESMO
ajustées, le BAIIDA ajusté (bénéfice avant intérêts, impôts et
dotation aux amortissements), la marge du BAIIDA ajusté, le ratio
de levier financier, la dette nette, le bénéfice ajusté (perte
ajustée) avant impôts, le bénéfice net ajusté (la perte nette
ajustée), le bénéfice ajusté (la perte ajustée) par action et les
flux de trésorerie disponibles dont il est fait mention dans le
présent communiqué sont des mesures financières hors PCGR, des
ratios hors PCGR ou des mesures financières complémentaires. Comme
il s'agit de mesures qui ne sont pas conformes aux PCGR pour la
présentation d'états financiers et qui n'ont pas de sens normalisé,
elles ne sauraient être comparées à des mesures similaires
présentées par d'autres entités et ne doivent pas être considérées
comme pouvant se substituer à des résultats établis selon les PCGR
ou comme ayant préséance sur ceux‑ci. Se reporter à la rubrique
Mesures financières hors PCGR du présent communiqué pour la
description de ces mesures, ainsi que pour le rapprochement des
mesures hors PCGR d'Air Canada mentionnées dans le présent
communiqué avec la mesure financière conforme aux PCGR la plus
comparable.
|
Résultats financiers du premier trimestre
de 2024
- Produits d'exploitation de 5,226 milliards de dollars, en
hausse de 339 millions de dollars ou de 7 %, et augmentation de 11
% de la capacité exploitée par rapport au premier trimestre de
2023.
- Charges d'exploitation de 5,215 milliards de dollars, en hausse
de 311 millions de dollars ou de 6 %. Cette hausse est attribuable
à l'augmentation des coûts dans pratiquement tous les postes et
rend compte de la recrudescence de la capacité exploitée et du
trafic sur 12 mois, ainsi que de la hausse des charges au titre du
personnel, de la maintenance et des technologies de l'information.
La diminution de la charge de carburant a partiellement
contrebalancé l'augmentation.
- Bénéfice d'exploitation de 11 millions de dollars, et une marge
d'exploitation de 0,2 %, soit une amélioration de 28 millions de
dollars.
- BAIIDA ajusté de 453 millions de dollars, et marge du BAIIDA
ajusté* de 8,7 %, soit une amélioration de 42 millions de
dollars.
- Perte nette de 81 millions de dollars et perte par action -
résultat dilué de 0,22 $, comparativement à un bénéfice net de 4
millions de dollars et à une perte par action - résultat dilué de
0,03 $.
- Perte nette ajustée de 96 millions de dollars et perte ajustée
par action - résultat dilué de 0,27 $, comparativement à une perte
nette ajustée de 188 millions de dollars et à une perte ajustée par
action - résultat dilué de 0,53 $.
- CESMO ajustées de 14,76 cents,
contre 14,52 cents. Cette progression
de 1,6 % s'explique principalement par les charges au titre du
personnel, de la maintenance et des technologies de
l'information.
- Flux de trésorerie nets provenant des activités d'exploitation
de 1,592 milliard de dollars, en hausse de 155 millions de dollars,
et progression soutenue des produits perçus d'avance tirés de la
vente de billets en phase avec les tendances saisonnières.
- Flux de trésorerie disponibles* de 1,056 milliard de dollars,
en hausse de 69 millions de dollars grâce à la forte croissance
soutenue des produits passages perçus d'avance, conforme aux
tendances saisonnières.
- Ratio de la dette nette sur le BAIIDA ajusté de 0,9 au 31 mars
2024, soit une amélioration par rapport à un ratio de 1,1 au 31
décembre 2023, en raison de solides flux de trésorerie disponibles
dégagés au premier trimestre de 2024.
Nouvelles concernant le parc aérien
Air Canada est en voie de conclure des contrats de location
visant d'autres appareils 737 MAX 8 de Boeing dont
la livraison est prévue en 2024 et qui seraient mis en service
en 2025, une fois la reconfiguration effectuée.
Perspectives
Pour le deuxième trimestre de 2024,
Air Canada prévoit accroître sa capacité en SMO d'environ
7 % par rapport au trimestre correspondant de 2023.
Air Canada maintient les prévisions pour l'ensemble de
l'exercice 2024 présentées dans son communiqué daté du
16 février 2024 et indiquées dans le tableau
ci‑dessous :
Indicateur
|
Ensemble de
l'exercice 2024
|
Capacité en
SMO
|
Augmentation de
6 % à 8 %
par rapport à 2023
|
CESMO
ajustées
|
Augmentation de
2,5 % à 4,5 %
par rapport à 2023
|
BAIIDA
ajusté
|
De 3,7 G$ à
4,2 G$
|
Principales hypothèses
Air Canada a formulé des hypothèses pour l'élaboration
de ses prévisions. À l'heure actuelle, la Société présume notamment
que la croissance du PIB du Canada
sera modérée pour 2024, que le dollar canadien s'échangera en
moyenne à 1,35 $ CA contre 1,00 $ US tout au
long de l'exercice 2024 et que le cours du carburant
d'aviation s'établira en moyenne à 1,03 $ CA le
litre sur l'ensemble de l'exercice 2024.
Mesures financières hors PCGR
Sont présentés ci‑après certaines mesures financières et
certains ratios hors PCGR qu'utilise Air Canada pour fournir
aux lecteurs des renseignements supplémentaires sur sa performance
financière et opérationnelle. Comme ces mesures ne sont pas
conformes aux PCGR pour la présentation d'états financiers et
qu'elles n'ont pas de sens normalisé, elles ne sauraient être
comparées à des mesures similaires présentées par d'autres entités
et ne doivent pas être considérées comme pouvant se substituer à
des résultats établis selon les PCGR ou comme ayant préséance sur
ceux-ci.
Air Canada exclut l'incidence de la dépréciation d'actifs,
le cas échéant, dans le calcul des CESMO ajustées, du BAIIDA
ajusté, de la marge du BAIIDA ajusté, du bénéfice ajusté (de la
perte ajustée) avant impôts et du bénéfice net ajusté (de la perte
nette ajustée), car ces éléments peuvent fausser l'analyse de
certaines tendances commerciales et rendre moins pertinente toute
analyse comparative en regard d'autres périodes ou sociétés
aériennes. Air Canada n'a pas constaté de charges au titre de
la dépréciation d'actifs, tant pour le premier trimestre
de 2024 que pour le premier trimestre de 2023.
CESMO ajustées
Air Canada se sert des CESMO ajustées afin de mesurer le
rendement courant de ses activités et d'analyser l'évolution de ses
coûts. Elle exclut toutefois de cette mesure l'incidence de la
charge de carburant d'aviation, les coûts liés à la portion
terrestre des forfaits de Vacances Air Canada et les coûts
liés aux avions-cargos, car ces éléments peuvent fausser l'analyse
de certaines tendances commerciales et rendre moins pertinente
toute analyse comparative en regard d'autres périodes. Exclure ces
éléments permet de manière générale d'analyser plus justement la
performance d'Air Canada au chapitre des charges
d'exploitation et de la comparer de façon plus pertinente à celle
d'autres sociétés aériennes.
Dans le calcul des CESMO ajustées, la charge de carburant
d'aviation n'est pas comprise dans les charges d'exploitation, car
elle fluctue largement sous l'effet de facteurs multiples, dont la
conjoncture internationale, les événements géopolitiques, les coûts
de raffinage du carburant d'aviation et le taux de change entre le
dollar canadien et le dollar américain. Qui plus est,
Air Canada engage des coûts qui se rapportent à la portion
terrestre des forfaits de Vacances Air Canada que n'engagent
pas certaines sociétés aériennes qui n'exercent pas d'activités de
voyagiste comparables. En outre, ces coûts ne génèrent pas de SMO.
Par conséquent, le fait d'exclure ces coûts des charges
d'exploitation permet d'établir une comparaison plus pertinente
d'une période à l'autre lorsque ces coûts peuvent varier.
De plus, Air Canada engage des coûts qui se rapportent à
l'exploitation d'avions-cargos, coûts que n'engagent pas certaines
sociétés aériennes qui n'exercent pas d'activités de fret
comparables. Au 31 mars 2024, le parc aérien en exploitation d'Air
Canada comptait huit avions‑cargos 767 de Boeing en exploitation,
comparativement à sept avions-cargos 767 de Boeing en exploitation
au 31 décembre 2023. Ces coûts ne génèrent pas de SMO. Par
conséquent, le fait d'exclure ces coûts des charges d'exploitation
permet d'établir une comparaison plus pertinente d'une période à
l'autre pour les activités de transport de passagers.
Les CESMO ajustées sont rapprochées des charges d'exploitation
selon les PCGR comme suit :
(en millions, sauf
indication contraire)
|
Premiers
trimestres
|
2024
|
2023
|
Variation
|
Charges
d'exploitation selon les PCGR
|
5 215
|
$
|
4 904
|
$
|
311
|
$
|
Compte tenu des
éléments suivants :
|
|
|
|
|
|
|
Carburant
d'aviation
|
(1 254)
|
|
(1 375)
|
|
121
|
|
Coûts liés à la portion
terrestre des forfaits
|
(335)
|
|
(318)
|
|
(17)
|
|
Coûts liés aux
avions-cargos (compte non tenu du carburant)
|
(35)
|
|
(31)
|
|
(4)
|
|
Charges
d'exploitation, compte tenu
de l'incidence des éléments ci‑dessus
|
3 591
|
$
|
3 180
|
$
|
411
|
$
|
SMO (en
millions)
|
24 337
|
|
21 907
|
|
11,1
|
%
|
CESMO ajustées (en
cents)
|
14,76
|
¢
|
14,52
|
¢
|
0,24
|
¢
|
BAIIDA et BAIIDA ajusté
Le BAIIDA ajusté (à savoir le bénéfice avant intérêts, impôts et
dotation aux amortissements) est couramment utilisé dans
l'industrie du transport aérien et Air Canada s'en sert afin
d'avoir un aperçu du résultat d'exploitation avant intérêts, impôts
et dotation aux amortissements, étant donné que ces coûts peuvent
varier sensiblement d'une société aérienne à l'autre, en raison de
la façon dont chacune finance son matériel volant et ses autres
actifs.
La marge du BAIIDA ajusté (BAIIDA ajusté exprimé en pourcentage
des produits d'exploitation) est couramment utilisée dans
l'industrie du transport aérien et Air Canada s'en sert pour
évaluer la marge d'exploitation avant intérêts, impôts et dotation
aux amortissements, étant donné que ces coûts peuvent varier
sensiblement d'une société aérienne à l'autre, en raison de la
façon dont chacune finance son matériel volant et ses autres
actifs.
Le BAIIDA ajusté et la marge du BAIIDA ajusté sont rapprochés du
bénéfice d'exploitation (de la perte d'exploitation) selon les PCGR
comme suit :
|
Premiers
trimestres
|
(en millions, sauf
indication contraire)
|
2024
|
2023
|
Variation
|
Bénéfice (perte)
d'exploitation selon les PCGR
|
11
|
$
|
(17)
|
$
|
28
|
$
|
Rajouter :
|
|
|
|
|
|
|
Dotation aux
amortissements
|
442
|
|
428
|
|
14
|
|
BAIIDA
ajusté
|
453
|
$
|
411
|
$
|
42
|
$
|
Produits
d'exploitation
|
5 226
|
$
|
4 887
|
$
|
339
|
$
|
Marge d'exploitation
(en %)
|
0,2
|
|
(0,3)
|
|
0,5
|
pp
|
Marge du BAIIDA
ajusté (en %)
|
8,7
|
|
8,4
|
|
0,3
|
pp
|
Bénéfice ajusté (perte ajustée) avant impôts
Air Canada se sert du bénéfice ajusté (de la perte ajustée)
avant impôts pour mesurer le rendement financier avant impôts
global de ses activités, à l'exclusion de l'incidence du profit ou
de la perte de change, des intérêts nets au titre des avantages du
personnel, du profit ou de la perte sur les instruments financiers
comptabilisés à la juste valeur, du profit ou de la perte à la
cession-bail d'actifs, du profit ou de la perte à la cession
d'actifs et du profit ou de la perte aux règlements et
modifications de dettes, car ces éléments peuvent fausser l'analyse
de certaines tendances commerciales et rendre moins pertinente
toute analyse comparative en regard d'autres périodes ou sociétés
aériennes.
Le bénéfice ajusté (la perte ajustée) avant impôts est rapproché
du bénéfice (de la perte) avant impôts selon les PCGR comme
suit :
|
Premiers
trimestres
|
(en
millions)
|
2024
|
2023
|
Variation
($)
|
Perte avant impôts
selon les PCGR
|
(65)
|
$
|
(23)
|
$
|
(42)
|
$
|
Compte tenu des
éléments suivants :
|
|
|
|
|
|
|
Profit de
change
|
(59)
|
|
(127)
|
|
68
|
|
Intérêts nets au titre
des avantages du personnel
|
(5)
|
|
(6)
|
|
1
|
|
Profit sur instruments
financiers comptabilisés à la juste valeur
|
(11)
|
|
(38)
|
|
27
|
|
Perte aux règlements de
dettes
|
46
|
|
-
|
|
46
|
|
Perte avant impôts
ajustée
|
(94)
|
$
|
(194)
|
$
|
100
|
$
|
Bénéfice net ajusté (perte nette ajustée) et bénéfice ajusté
(perte ajustée) par action - résultat dilué
Air Canada se sert du bénéfice net ajusté (de la perte
nette ajustée) et du bénéfice ajusté (de la perte
ajustée) par action - résultat dilué pour mesurer le
rendement financier global de ses activités, à l'exclusion de
l'incidence après impôts du profit ou de la perte de change, des
intérêts nets au titre des avantages du personnel, du profit ou de
la perte sur les instruments financiers comptabilisés à la juste
valeur, du profit ou de la perte à la cession bail d'actifs, du
profit ou de la perte aux règlements et modifications de dette et
du profit ou de la perte à la cession d'actifs, car ces
éléments peuvent fausser l'analyse de certaines tendances
commerciales et rendre moins pertinente toute analyse comparative
en regard d'autres sociétés aériennes.
Le bénéfice net ajusté (la perte nette ajustée) et le bénéfice
ajusté (la perte ajustée) par action - résultat dilué sont
rapprochés du bénéfice net selon les PCGR comme suit :
|
Premiers
trimestres
|
(en millions, sauf
les montants par action)
|
2024
|
2023
|
Variation
($)
|
Bénéfice net (perte
nette) selon les PCGR
|
(81)
|
$
|
4
|
$
|
(85)
|
$
|
Compte tenu des
éléments suivants :
|
|
|
|
|
|
|
Profit de
change
|
(59)
|
|
(127)
|
|
68
|
|
Intérêts nets au titre
des avantages du personnel
|
(5)
|
|
(6)
|
|
1
|
|
Profit sur instruments
financiers comptabilisés à la juste valeur
|
(11)
|
|
(38)
|
|
27
|
|
Perte aux règlements de
dette
|
46
|
|
-
|
|
46
|
|
Impôt sur le résultat,
y compris les éléments
de rapprochement ci‑dessus 1)
|
14
|
|
(21)
|
|
35
|
|
Perte nette
ajustée
|
(96)
|
$
|
(188)
|
$
|
92
|
$
|
Nombre moyen pondéré
d'actions en circulation utilisé
dans le calcul du résultat net dilué par action (en
millions)
|
358
|
|
358
|
|
-
|
|
Perte ajustée par
action - résultat dilué
|
(0,27)
|
$
|
(0,53)
|
$
|
0,26
|
$
|
1)
|
En 2024, le
recouvrement d'impôts sur le résultat différés comptabilisé dans
les autres éléments du résultat global relativement à des
réévaluations du passif des régimes d'avantages du personnel est
contrebalancé par une charge d'impôts sur le résultat différés
comptabilisée au moyen de l'état consolidé des résultats
d'Air Canada. Cette charge est déduite du bénéfice
net ajusté pour l'exercice 2024. Par comparaison, un
recouvrement d'impôts sur le résultat différés a été déduit de la
perte nette ajustée pour le premier trimestre
de 2023.
|
Le tableau ci‑après présente les données relatives aux actions
servant au calcul du bénéfice par action - résultat dilué et de
base en fonction du bénéfice ajusté par action :
(en millions)
|
Premiers
trimestres
|
2024
|
2023
|
Nombre moyen pondéré d'actions en circulation -
de base
|
358
|
|
358
|
|
Effet dilutif
|
-
|
|
-
|
|
Nombre moyen pondéré d'actions en circulation -
dilué
|
358
|
|
358
|
|
Flux de trésorerie disponibles
Air Canada se sert des flux de trésorerie disponibles
comme indicateur de la vigueur financière et du rendement de ses
activités exprimant le montant de trésorerie que la Société est en
mesure de dégager de ses activités, compte tenu des dépenses
d'investissement. Les flux de trésorerie disponibles correspondent
aux flux de trésorerie nets provenant des activités d'exploitation,
moins les achats d'immobilisations corporelles et incorporelles et
déduction faite du produit tiré d'opérations de cession-bail.
Le tableau ci‑après présente un rapprochement des flux de
trésorerie disponibles avec les flux de trésorerie nets provenant
des (affectés aux) activités d'exploitation pour les périodes
indiquées :
|
Premiers
trimestres
|
(en
millions)
|
2024
|
2023
|
Variation
($)
|
Flux de trésorerie
nets provenant des activités d'exploitation
|
1 592
|
$
|
1 437
|
$
|
155
|
$
|
Achats
d'immobilisations corporelles et incorporelles
|
(536)
|
|
(450)
|
|
(86)
|
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 056
|
$
|
987
|
$
|
69
|
$
|
Dette nette
La dette nette est une mesure de gestion du capital ainsi qu'un
élément clé du capital géré par Air Canada et elle permet à la
direction d'évaluer la dette nette de la Société.
Ratio dette nette-BAIIDA ajusté des
12 derniers mois (ratio de levier
financier)
Le ratio dette nette-BAIIDA ajusté des
12 derniers mois (également désigné « ratio de
levier financier ») est couramment utilisé dans l'industrie du
transport aérien et Air Canada s'en sert pour évaluer le
levier financier. Le ratio de levier financier correspond à la
dette nette divisée par le BAIIDA ajusté des 12 derniers
mois.
Le tableau ci‑après présente un rapprochement du ratio de levier
financier avec les soldes de la dette nette d'Air Canada aux
dates indiquées :
(en millions, sauf
indication contraire)
|
31 mars 2024
|
31 décembre 2023
|
Variation
|
Total de la dette à
long terme et des obligations locatives
|
11 248
|
$
|
12 996
|
$
|
(1 748)
|
$
|
Partie courante de la
dette à long terme et des obligations locatives
|
1 214
|
|
866
|
|
348
|
|
Total de la dette à
long terme et des obligations locatives
(y compris la partie courante)
|
12 462
|
|
13 862
|
|
(1 400)
|
|
Moins la trésorerie et
les équivalents de trésorerie,
les placements à court terme et les placements à long
terme
|
(8 681)
|
|
(9 295)
|
|
614
|
|
Dette
nette
|
3 781
|
$
|
4 567
|
$
|
(786)
|
$
|
BAIIDA ajusté
(période de 12 mois)
|
4 024
|
$
|
3 982
|
|
42
|
|
Ratio de la dette
nette sur le BAIIDA ajusté
|
0,9
|
|
1,1
|
|
(0,2)
|
|
Pour un complément d'information sur les documents publics
d'Air Canada, dont sa Notice annuelle 2023 datée du
4 mars 2024, veuillez consulter le profil
d'Air Canada sur SEDAR+ à l'adresse www.sedarplus.ca.
Avis concernant la téléconférence du premier trimestre de
2024
Air Canada invite les analystes à sa téléconférence
trimestrielle qui se tiendra aujourd'hui,
jeudi 2 mai 2024, à 8 h (HE).
Michael Rousseau, président et chef de la direction
d'Air Canada, John Di Bert, vice‑président général
et chef des Affaires financières, et Mark Galardo,
vice-président général - Chiffre d'affaires et Planification
du réseau, présenteront les résultats et répondront aux questions
des analystes. Immédiatement après la période de questions des
analystes, John Di Bert et Pierre Houle,
vice-président et trésorier, répondront aux questions des prêteurs
à terme de type B et des porteurs d'obligations
d'Air Canada.
Les membres des médias et du public peuvent écouter cette
téléconférence audio. En voici les renseignements
détaillés :
Webémission :
|
https://edge.media-server.com/mmc/p/rs6no9e6/lan/fr
|
|
Nota : Il s'agit
d'une webémission audio.
|
Par
téléphone :
|
647 932-3411 ou
1 800 715-9871
(sans frais), code
d'accès 1413217
|
|
Veuillez prévoir
10 minutes pour la connexion à la
téléconférence.
|
MISE EN GARDE CONCERNANT LES ÉNONCÉS
PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs au
sens de la législation en valeurs mobilières applicable. Ces
énoncés découlent d'analyses et d'autres renseignements fondés sur
la prévision de résultats à venir et sur l'estimation de montants
qu'il est actuellement impossible de déterminer. Ils peuvent porter
sur des observations concernant, entre autres, des prévisions, des
stratégies, des attentes, des opérations projetées ou des actions à
venir. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l'emploi de
termes comme « préliminaire », « prévoir »,
« croire », « pouvoir », « estimer »,
« projeter » et « planifier », employés au
futur et au conditionnel, et d'autres termes semblables, ainsi qu'à
l'évocation de certaines hypothèses.
Comme, par définition, les énoncés prospectifs partent
d'hypothèses, dont celles décrites ci‑après, ils sont soumis à
d'importants risques et incertitudes. La réalisation des énoncés
prospectifs reste assujettie, notamment, à la survenance possible
d'événements externes ou à l'incertitude qui caractérise le secteur
où évolue Air Canada. Les résultats réels
peuvent donc différer sensiblement des résultats évoqués par ces
énoncés prospectifs en raison de divers facteurs, entre autres ceux
dont il est fait mention ci‑après.
Les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats
diffèrent sensiblement de ceux indiqués dans les énoncés
prospectifs comprennent la conjoncture économique et le contexte
géopolitique, comme les conflits militaires au Moyen-Orient et
entre la Russie et l'Ukraine, la
capacité d'Air Canada de dégager ou de maintenir une
rentabilité nette, l'état du secteur et du marché et le contexte
influant sur la demande, la concurrence, la dépendance
d'Air Canada à l'égard des technologies, les risques liés à la
cybersécurité, les interruptions de service, les changements
climatiques et les facteurs liés à l'environnement (dont les
systèmes météorologiques et autres phénomènes naturels, et des
facteurs anthropiques), la dépendance d'Air Canada envers les
fournisseurs clés (y compris des organismes gouvernementaux et
d'autres parties prenantes soutenant les activités aéroportuaires
et de l'exploitation aérienne), les relations de travail et les
coûts connexes, la capacité d'Air Canada de mettre en œuvre
efficacement des initiatives stratégiques opportunes et d'autres
initiatives importantes (notamment sa faculté de gérer les charges
d'exploitation), les cours de l'énergie, sa capacité de rembourser
ses dettes et de conserver ou d'accroître la liquidité, sa
dépendance à l'égard des transporteurs régionaux et autres, sa
capacité de recruter et de conserver le personnel nécessaire, les
épidémies, l'évolution de la législation, de la réglementation ou
de procédures judiciaires, les attentats terroristes, les conflits
armés, la capacité d'Air Canada d'exploiter avec succès son
programme de fidélité, les pertes par sinistre, la dépendance
d'Air Canada à l'égard des partenaires
Star AllianceMD et des coentreprises, sa capacité
de préserver et de faire croître sa marque, les litiges actuels et
éventuels avec des tiers, les fluctuations des taux de change, les
limites imposées aux termes de clauses restrictives, les questions
d'assurance et les coûts qui y sont associés, les obligations
au titre des régimes de retraite, ainsi que les facteurs dont il
est fait mention dans le dossier d'information publique
d'Air Canada qui peut être consulté à l'adresse
www.sedarplus.ca, notamment à la rubrique 18, Facteurs de
risque, du rapport de gestion de 2023 d'Air Canada et
à la rubrique 14, Facteurs de risque, du rapport de
gestion du premier trimestre de 2024.
Air Canada a fixé et continue de fixer des objectifs, de
prendre des engagements et d'évaluer l'incidence eu égard aux
changements climatiques, ainsi que les initiatives, plans et
propositions connexes qu'Air Canada et d'autres parties
prenantes (dont les organismes publics, les autorités de
réglementation et autres organismes) mettent en œuvre en matière de
changements climatiques et d'émissions de carbone. La réalisation
de nos engagements et de nos objectifs dépend de nombreux facteurs,
notamment des actions et des efforts combinés des gouvernements, du
secteur, des fournisseurs et des autres intervenants et parties
prenantes, ainsi que du développement et de la mise en œuvre de
nouvelles technologies. En particulier, les cibles d'émissions de
carbone liées à nos objectifs pour 2030 et 2050 sont
ambitieuses et sont fortement tributaires des nouvelles
technologies, des énergies renouvelables et de la disponibilité
d'un approvisionnement suffisant en carburants d'aviation durables
(CAD), ce qui demeure un défi important. De plus, Air Canada a
engagé, et prévoit continuer à engager, des coûts pour atteindre
son objectif de carboneutralité et pour se conformer aux lois et
règlements sur la durabilité environnementale ainsi qu'aux autres
normes et accords. La nature précise des lois, règlements, normes
et accords contraignants ou non contraignants à venir, qui font
l'objet d'une attention accrue de la part de parties prenantes à
l'échelle locale et internationale, ne peut être prédite avec un
quelconque degré de certitude, pas plus que leur incidence
financière, opérationnelle ou autre. Rien ne garantit la mesure
dans laquelle l'un ou l'autre de nos objectifs climatiques sera
atteint, ni que les investissements futurs que nous ferons pour
atteindre nos objectifs climatiques produiront les résultats
escomptés ou répondront aux attentes croissantes des parties
prenantes en matière d'environnement, de responsabilité sociale et
de gouvernance. De plus, des événements futurs pourraient amener
Air Canada à privilégier d'autres intérêts à plus court terme au
détriment de la progression vers nos objectifs climatiques actuels,
en fonction de la stratégie commerciale, de facteurs économiques,
réglementaires et sociaux, et de pressions potentielles de la part
d'investisseurs, de groupes d'activistes ou d'autres parties
prenantes. Si nous ne sommes pas en mesure de respecter nos
objectifs et nos engagements relativement aux changements
climatiques ou d'en rendre compte de façon appropriée, nous
pourrions faire l'objet d'une publicité et de réactions négatives
de la part d'investisseurs, de clients, de groupes de défense ou
d'autres parties prenantes, ce qui pourrait nuire à la réputation
d'Air Canada ou avoir d'autres effets négatifs sur
celle-ci.
Les énoncés prospectifs contenus ou intégrés par renvoi dans
le présent communiqué représentent les attentes d'Air Canada
en date de ce communiqué (ou à la date précisée de leur
formulation) et ils peuvent changer par la suite. Toutefois,
Air Canada n'a ni l'intention ni l'obligation d'actualiser ou
de réviser ces énoncés à la lumière de nouveaux éléments
d'information ou d'événements futurs ou pour quelque autre motif,
sauf si elle y est tenue par la réglementation en valeurs
mobilières applicable.
À propos d'Air Canada
Air Canada est la plus importante société aérienne du
Canada, le transporteur national
du pays et un membre cofondateur du réseau
Star Alliance -- le plus vaste regroupement mondial de
sociétés aériennes. Les lignes régulières d'Air Canada relient
sans escale plus de 180 aéroports au Canada, aux États-Unis et à l'étranger sur six
continents. Air Canada détient la cote quatre étoiles de
Skytrax. Le programme Aéroplan d'Air Canada est le principal
programme de fidélité du Canada en
matière de voyages. Il offre à ses membres la possibilité
d'accumuler ou d'échanger des points auprès du plus grand réseau
mondial de transporteurs partenaires, au nombre de 45, et
auprès de ses partenaires détaillants, hôteliers et de location de
véhicules. Par l'intermédiaire de Vacances Air Canada, la Société
offre plus de choix que tout autre voyagiste canadien pour des
centaines de destinations dans le monde, avec une large sélection
d'hôtels, de vols, de croisières, d'excursions et de locations de
véhicules. Air Canada Cargo, division fret d'Air Canada,
dispose de la capacité d'emport et de la connectivité pour
desservir des centaines de destinations sur six continents au moyen
des vols passagers d'Air Canada et des vols tout-cargo.
Air Canada s'est donné l'objectif ambitieux de zéro émission
nette de toutes ses activités à l'échelle mondiale d'ici 2050.
Les actions d'Air Canada se négocient sur le marché à la
Bourse de Toronto (TSX) au
Canada et sur la plateforme OTCQX
aux États-Unis.
Internet : aircanada.com/medias
Consultez notre rapport annuel ici
Inscrivez-vous pour recevoir les nouvelles d'Air
Canada : aircanada.com
À l'intention des médias :
Photos
Vidéos
Images en vrac
Articles
Principales mesures financières et statistiques
Le tableau ci‑dessous présente les points saillants de nature
financière et opérationnelle d'Air Canada pour les périodes
indiquées ci‑après :
(en millions, sauf
les montants par action ou indication contraire)
|
Premiers
trimestres
|
Mesures de
performance financière
|
2024
|
2023
|
Variation
($)
|
Produits
d'exploitation
|
5 226
|
|
4 887
|
|
339
|
|
Bénéfice (perte)
d'exploitation
|
11
|
|
(17)
|
|
28
|
|
Marge
d'exploitation1) (en %)
|
0,2
|
|
(0,3)
|
|
0,5
|
pp8)
|
BAIIDA ajusté2)
|
453
|
|
411
|
|
42
|
|
Marge du
BAIIDA ajusté2) (en %)
|
8,7
|
|
8,4
|
|
0,3
|
pp
|
Perte avant
impôts
|
(65)
|
|
(23)
|
|
(42)
|
|
Bénéfice net (perte
nette)
|
(81)
|
|
4
|
|
(85)
|
|
Perte ajustée avant
impôts2)
|
(94)
|
|
(194)
|
|
100
|
|
Perte
nette ajustée2)
|
(96)
|
|
(188)
|
|
92
|
|
Liquidités totales3)
|
10 001
|
|
10 543
|
|
(542)
|
|
Flux de trésorerie nets
provenant des activités d'exploitation
|
1 592
|
|
1 437
|
|
155
|
|
Flux de
trésorerie disponibles2)
|
1 056
|
|
987
|
|
69
|
|
Dette nette2)
|
3 781
|
|
6 532
|
|
(2 751)
|
|
Perte par action -
résultat dilué
|
(0,22)
|
|
(0,03)
|
|
(0,19)
|
|
Perte ajustée par
action - résultat dilué2)
|
(0,27)
|
|
(0,53)
|
|
0,26
|
|
Statistiques
d'exploitation4)
|
2024
|
2023
|
Variation
%
|
Passagers-milles
payants (« PMP ») (en millions)
|
20 520
|
|
18 578
|
|
10,5
|
|
Sièges-milles offerts
(SMO) (en millions)
|
24 337
|
|
21 907
|
|
11,1
|
|
Coefficient
d'occupation (en %)
|
84,3
|
%
|
84,8
|
%
|
(0,5)
|
pp
|
Produits passages par
PMP (« rendement unitaire ») (en cents)
|
21,7
|
|
22,0
|
|
(1,6)
|
|
Produits passages par
SMO (« PPSMO ») (en cents)
|
18,3
|
|
18,7
|
|
(2,2)
|
|
Produits d'exploitation
par SMO (« PESMO ») (en cents)
|
21,5
|
|
22,3
|
|
(3,7)
|
|
Charges d'exploitation
par SMO (« CESMO ») (en cents)
|
21,4
|
|
22,4
|
|
(4,3)
|
|
CESMO ajustées (en
cents)2)
|
14,8
|
|
14,5
|
|
1,6
|
|
Effectif moyen en
équivalents temps plein (« ETP ») (en
milliers)5)
|
36,9
|
|
34,5
|
|
7,0
|
|
Avions composant le
parc en exploitation à la clôture de la période
|
366
|
|
352
|
|
4
|
|
Sièges routés (en
milliers)
|
13 479
|
|
12 293
|
|
9,7
|
|
Mouvements des
appareils (en milliers)
|
90,9
|
|
85,2
|
|
6,7
|
|
Longueur d'étape
moyenne (en milles)
|
1 805
|
|
1 782
|
|
1,3
|
|
Coût du litre de
carburant (en cents)
|
105,6
|
|
128,5
|
|
(17,9)
|
|
Consommation de
carburant (en milliers de litres)
|
1 184 718
|
|
1 067 085
|
|
11,0
|
|
Passagers payants
transportés (en milliers)7)
|
10 751
|
|
9 969
|
|
7,8
|
|
1)
|
La marge
d'exploitation est une mesure financière complémentaire définie
comme le bénéfice d'exploitation (la perte d'exploitation) exprimé
en pourcentage des produits d'exploitation.
|
2)
|
Le BAIIDA ajusté (à
savoir le bénéfice avant intérêts, impôts et dotation aux
amortissements), la marge du BAIIDA ajusté, le bénéfice ajusté (la
perte ajustée) avant impôts, le bénéfice net ajusté (la perte nette
ajustée), les flux de trésorerie disponibles, la dette nette, le
bénéfice ajusté (la perte ajustée) par action et les CESMO ajustées
sont des mesures financières hors PCGR, des mesures de la gestion
du capital, des ratios hors PCGR ou des mesures financières
complémentaires. Comme ces mesures ne sont pas conformes aux PCGR
pour la présentation d'états financiers et qu'elles n'ont pas de
sens normalisé, elles ne sauraient être comparées à des mesures
similaires présentées par d'autres entités et ne doivent pas être
considérées comme pouvant se substituer à des résultats établis
selon les PCGR ou comme ayant préséance sur ceux-ci. Se reporter à
la rubrique intitulée Mesures financières hors PCGR du
présent communiqué pour la description des mesures financières hors
PCGR d'Air Canada et pour un rapprochement
quantitatif des mesures financières hors PCGR
d'Air Canada avec la mesure financière conforme
aux PCGR la plus comparable.
|
3)
|
Les liquidités
totales s'entendent de la somme de la trésorerie, des équivalents
de trésorerie, des placements à court terme et à long terme et des
fonds disponibles aux termes de facilités de crédit
d'Air Canada. Au 31 mars 2024, les
liquidités totales s'élevaient à 10 001 M$ et étaient
composées de trésorerie et d'équivalents de trésorerie et de
placements à court terme et à long terme totalisant
8 681 M$ et d'un montant de 1 320 M$ pouvant
être prélevé sur les facilités de crédit. Au
31 mars 2023, les liquidités totales s'élevaient à
10 543 M$ et étaient composées de trésorerie et
d'équivalents de trésorerie et de placements à court terme et à
long terme totalisant 9 532 M$ et d'un montant de
1 011 M$ pouvant être prélevé sur les facilités de
crédit. Ces montants comprennent également des fonds (229 M$
au 31 mars 2024 et 231 M$ au 31 mars 2023)
détenus en fiducie par Vacances
Air Canada en conformité avec les prescriptions
réglementaires régissant les produits perçus d'avance pour les
voyagistes.
|
4)
|
À l'exception de
l'effectif moyen en ETP, les statistiques d'exploitation dans le
présent tableau tiennent compte des données pour des transporteurs
tiers exerçant leurs activités aux termes du contrat d'achat de
capacité avec Air Canada.
|
5)
|
Rend compte de
l'effectif moyen en ETP à Air Canada et aux
filiales de celle-ci. Exclut l'effectif en ETP à des transporteurs
tiers qui exercent leurs activités aux termes d'un contrat
d'achat de capacité conclu avec
Air Canada.
|
6)
|
La longueur d'étape
moyenne correspond au total de sièges-milles offerts divisé par le
total de sièges routés.
|
7)
|
Les passagers
payants sont dénombrés en fonction des indicatifs de vol (et non en
fonction du voyage, de l'itinéraire ou du segment de trajet),
conformément à la définition établie par l'IATA.
|
8)
|
« pp »
indique des points de pourcentage et désigne la mesure de l'écart
arithmétique entre deux pourcentages.
|
SOURCE Air Canada