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Pétrole, Pétrole !

- 03/12/2014 18:19
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

(CercleFinance.com) - L'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) vient d'annoncer que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont chuté de 3,69 millions de barils la semaine passée, après avoir augmenté de 1,95 million la semaine précédente.

De leurs côtés, les stocks d'essence se sont accrus de 2,14 millions de barils, tandis que les réserves de produits distillés, comme le fioul domestique, ont augmenté de 3,03 millions.

Sur le NYMEX, le cours du baril de pétrole brut livraison janvier 2015 reprend 1,5% aux environs de 67,9 dollars.



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1 de 215 - 08/12/2014 18:51
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(AOF) - Les cours du pétrole ont affiché un nouveau plus bas niveau sur 5 ans. Le cours du baril de Brent chutait de 2,48% à 67,23 dollars et celui du WTI de 2,28% à 64,29 dollars vers 17h00. Dans une étude publiée aujourd'hui, Morgan Stanley anticipe dans son scénario principal un baril de Brent à 69 dollars au premier trimestre 2015 et à 57 dollars au deuxième trimestre avant qu'il ne rebondisse au cours de la seconde partie de l'année. Dans son scénario le plus pessimiste, il toucherait un plus bas à 43 dollars au deuxième trimestre. Sur l'ensemble de l'année 2015, la banque américaine prévoit un cours moyen de 82 dollars, encadré par une prévision pessimiste de 65 dollars et optimiste de 95 dollars.
2 de 215 - 10/12/2014 17:08
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(CercleFinance.com) - L'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) vient d'annoncer que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont augmenté de 1,45 million de barils la semaine passée, après avoir chuté de 3,69 millions la semaine précédente.

De leurs côtés, les stocks d'essence se sont accrus de 8,2 millions de barils, tandis que les réserves de produits distillés, comme le fioul domestique, ont progressé de 5,58 millions.

Sur le NYMEX, le cours du baril de pétrole brut livraison janvier 2015 dévisse de 2,6% aux environs de 62,1 dollars.
3 de 215 - 17/12/2014 20:10
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(AOF) - Après un rebond éphémère en milieu de journée, l'or noir a de nouveau perdu du terrain. Première cause, les stocks de pétrole brut ont moins baissé que prévu au Etats-Unis, la semaine dernière. En effet, les réserves d'or noir ont reculé de 800 000 barils, là où les analystes tablaient sur une baisse beaucoup plus significative, de 1,9 million de barils. Par voie de conséquence, fort d'une offre toujours surabondante, les cours du WTI perdaient du terrain en fin d'après-midi, et reculaient ainsi de 0,72% à 55,53 dollars. Le WTI est même passé sous le seuil symbolique des 55 dollars, avec une pointe basse à 54,73 dollars, en début d'après-midi.

Même constat pour son homologue européen, le Brent, qui perd 0,20% à 59,89 dollars.
4 de 215 - 19/12/2014 20:24
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(AOF) - Les cours du pétrole rebondissent ce vendredi après avoir touché ce matin leurs plus bas niveaux depuis mai 2009. L'or noir a vécu une semaine mouvementée. Le prix du WTI est passé ce matin sous le seuil des 56 dollars le baril, alors que les grands producteurs affichent leur intention de ne pas réduire leur production en dépit de l'abondance de l'offre et de la faiblesse de la demande. A 17h28, le baril de WTI rebondissait 3,68% à 56,10 dollars tandis que le Brent gagnait 2,36% à 60,67 dollars.Depuis juin, le brut a cédé plus de 50% de sa valeur.
5 de 215 - 22/12/2014 19:16
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(CercleFinance.com) - Le vert demeure prédominant sur les places européennes en ce premier jour de la semaine, mais les gains des indices actions se tassent sous l'effet de la rechute des cours du pétrole (-2% à 56 dollars le baril de WTI).
6 de 215 - 22/12/2014 22:57
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - UBS (NYSEArca: FBGX - actualité) a relevé ce matin de 'neutre' à 'achat' son conseil sur le titre de la première major pétrolière d'Europe par sa capitalisation, l'anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité) . L'objectif de cours est confirmé à 2.450 pence sur le titre coté à Londres, ce qui équivaut peu ou prou à 31 euros.

A la Bourse d'Amsterdam, l'action Royal Dutch Shell reste neutre ce midi à 28 euros environ. Elle s'est repliée d'un peu plus de 11% depuis son sommet annuel de 31,1 euros.

Au 3e trimestre, constate UBS, les titres des pétrolières intégrées européennes ont reculé de 12% (en dollars), faisant ainsi bien pire que les valeurs américaines. Selon les analystes, ce mouvement de baisse, intervenu dans le sillage du cours du brut, a été 'général et peu discriminant'.

Certes, UBS reste globalement prudent sur le secteur pétrolier : les valorisations ne semblent pas spécialement attractives et la baisse des titres reflète celle de leurs estimations de bénéfices.

Cependant, ce mouvement a ramené certains titres à des niveaux attrayants. Royal Dutch Shell en fait partie : le groupe est distingué par la robustesse de ses cash-flows et de ses profits. De plus, UBS se déclare impressionné par le redressement financier du groupe cette année, après une déception en 2013. Priorité du nouveau directeur général Ben van Beurden, la performance financière améliore fondamentalement le profil de Shell (London: RDSB.L - actualité) .

De plus, le bilan du groupe est peu chargé de dette et le rendement offert par le dividende tangente les 5%. Enfin, la valorisation du titre est cependant en ligne avec celle de ses pairs.


7 de 215 - 22/12/2014 23:18
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Standard & Poor's a abaissé lundi la perspective de la note de trois groupes pétroliers européens, dont Total (FP.FR), a négative.


L'agence d'évaluation financière a indiqué avoir pris cette décision en lien avec la détérioration des perspectives pour les cours du pétrole.


Standard & Poor's a abaissé la perspective des notes de Total, Royal Dutch Shell (RDSA.LN) et BP (BP.LN) à "négative". L'agence a confirmé la note "AA-/A-1+" de Total et les notes "AA/A-1+" et "A/A-1" de Shell et BP, respectivement.


Standard & Poor's a par ailleurs placé les notes de Eni et BG Energy sous surveillance négative


-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com


8 de 215 - 30/12/2014 16:21
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le baril de «light sweet crud» pour livraison en février s'appréciait de 15 cents, à 53,76 dollars, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance prenait 14 cents, à 58,02 dollars.

Au Venezuela qui abrite les plus importantes réserves de brut au monde, le prix du baril de pétrole vénézuélien est passé en dessous de la barre des 50 dollars, à 48 USD, un de ses niveaux les plus bas de ces dernières années, a déclaré mardi le président Nicolas Maduro, accusant les Etats-Unis de mener une "guerre du pétrole".

«Au mois de septembre (le pétrole vénézuélien) était à 95 dollars le baril, aujourd'hui 29 décembre à 48 dollars le baril, il a chuté de plus de 50 dollars», a déclaré M. Maduro lors d'un événement public.
9 de 215 - 05/1/2015 18:02
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
NEW YORK (Reuters) - Le cours du pétrole brut léger américain est passé lundi sous le seuil symbolique de 50 dollars le baril pour la première fois depuis avril 2009, victime des craintes des investisseurs liées à l'abondance de l'offre et à la faiblesse de la demande.

Le contrat février sur le brut léger (West Texas Intermediate, WTI) est tombé brièvement à 49,95 dollars le baril selon les données Reuters. Il se traitait à 50,21 dollars à 16h36 GMT, en baisse de près de 2,50 dollars, soit 4,7%, par rapport à vendredi.

Au même moment, le Brent s'échangeait à 52,92 dollars le baril, en recul de 3,51 dollars (-6,24%) sur la séance.

Le cours du baril a chuté de plus de 50% depuis juin dernier, lorsque le brut léger américain culminait à plus de 107 dollars et le Brent au-dessus de 115 dollars.


(Barani Krishnan, Marc Angrand pour le service français, édité par Juliette Rouillon)

10 de 215 - 05/1/2015 18:55
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Sur le marché pétrolier, les contrats futures sont à un plus bas depuis mai 2009 à 54,85 dollars pour le Brent de mer du Nord et à 51,36 dollars pour le brut léger américain, en raison du déséquilibre croissant entre l'offre et la demande.

L'Opep refuse de réduire sa production et la production russe a atteint en 2014 son plus haut niveau depuis la fin de l'Union soviétique.

Le gouvernement américain de son côté a ouvert la voie à l'exportation de pétrole brut léger sur un marché mondial déjà saturé.
11 de 215 - 06/1/2015 17:53
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Dans un contexte de prix "obstinément bas", l'année 2015 s'annonce "difficile" pour les compagnies pétrolières et les pays producteurs. Des coupes sont prévues dans les budgets.

Les entreprises pétrolières vont être impactées par la baisse des prix du brut (illustration). ( AFP / KAREN BLEIER, AFP )
Les entreprises pétrolières vont être impactées par la baisse des prix du brut (illustration). ( AFP / KAREN BLEIER, AFP )
Les marchés financiers des pays arabes du Golfe ont plongé mardi, déprimés par la baisse du prix du pétrole et le recul des principales places financières mondiales.

Le pétrole coté à New York se maintenait mardi juste au-dessus des 50 dollars le baril dans les échanges asiatiques sous l'effet d'achats à bon compte mais restait pénalisé par la surabondance d'offre, les doutes sur la demande mondiale et la force du dollar.

Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février s'appréciait de 24 cents vers 03H30 GMT, à 50,28 dollars, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance prenait 39 cents à 53,50 dollars.

Depuis juin de l'année dernière, le baril de brut a perdu 55% de sa valeur en raison d'une abondance de la production, d'une faible demande et d'un dollar fort. Les six monarchies arabes du Golfe produisent plus de 17 millions de barils de brut par jour et tirent plus de 90% de leurs revenus de leurs exportations de pétrole.

De leurs côtés, les compagnies pétrolières ont prévu de réduire leurs dépenses pour compenser les pertes : "Les compagnies d'exploration/production seront touchées les premières, et les entreprises de services pétroliers et les opérateurs 'midstream' (transport, stockage, vente en gros de produits rafinés) subiront les conséquences de la réduction des dépenses dans l'exploration/production", indique l'agence Moody's ce mardi 6 janvier.

Moody's évalue ainsi "entre 10 et 20% en fonction du niveau des prix" cette baisse des dépenses dans l'exploration/production hors Amérique du Nord en 2015. En Amérique du Nord, "si les prix se fixent à 75 dollars le baril en moyenne en 2015, les compagnies nord-américaines devraient réduire leurs investissements autour de 20% par rapport aux niveaux de 2014, tandis qu'une moyenne à 60 dollars le baril entraînerait une réduction de 30 à 40%", selon Steven Wood, responsable de la branche Corporate Finance chez Moody's.

Dans les services pétroliers, l'impact sur les revenus des sociétés serait de -12 à -17% pour un baril à 75 dollars et de -25 à -30% pour un baril à 60 dollars, détaille Moody's. Mais Moody's estime que "les sociétés les plus importantes, comme Schlumberger, Haliburton et Baker Hughes, sont suffisament fortes pour surmonter une baisse soutenue de l'activité pétrolière".

Plus globalement l'agence juge que les majors, qui activent sur toute la chaine de valeur de l'or noir, de la production à la distribution, "sont les mieux placées pour réagir à ces prix bas". Elles ont en effet souvent programmés leurs décisions d'investissements "sur la base d'un baril entre 50 et 60 dollars, étant donné que les projets peuvent mettre des années à aboutir", affirme Moody's.

Toutefois, alors que Total, ExxonMobil et Shell ont déjà annoncé une réduction de leurs dépenses en 2015, "de telles coupes chez d'autres, comme Chevron et BP, sont probables", prévoit l'agence.
12 de 215 - 06/1/2015 18:11
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Pourquoi les prix du pétrole chutent ?
La raison est simple : la baisse de la demande et la hausse de l’offre. Les Etats-Unis ont augmenté leur production nationale de pétrole en se lançant à marche forcée dans les technologies controversées de la fracturation hydraulique. Depuis le milieu des années 2000, ils ont par conséquent vu leurs courbes de production recommencer à croître à vive allure. Entre 2008 et 2013, la production de pétrole américain a ainsi progressé d’environ 48%.
>> Lire : Les gaz de schiste provoquent une onde de choc mondiale
>> Lire : Pétrole de schiste : la face cachée du miracle américain
Dans un premier temps, cette hausse de la production des Etats-Unis a été compensée par des ruptures d’approvisionnement dans d’autres pays, notamment en Iran, en proie aux sanctions de la communauté internationale, et en Irak et en Libye, en conflit. Mais certains problèmes d’approvisionnement se sont atténués. C’est ainsi que le mois dernier, les exportations de pétrole de l’Irak ont atteint des niveaux inégalés depuis 1980, tandis que la production de pétrole en Russie n’a jamais été aussi élevée depuis l’effondrement de l’Union soviétique.
Mais alors que l’offre est au plus haut, la demande a de son côté ralenti. En Europe et au Japon, par exemple, la consommation de pétrole a chuté l’an dernier du fait de leurs difficultés économiques. Aux Etats-Unis, de nouvelles normes imposées aux constructeurs automobiles pour limiter la consommation de carburant et la fermeture d’usines pétrochimiques ont conduit à une réduction de la demande en or noir. Enfin, et c’est sans doute l’élément le plus important, le ralentissement de l’économie chinois a eu aussi un impact significatif sur la demande pétrolière.
Tous ces facteurs ont eu une forte incidence sur les prix en 2014, qui ont chuté de plus d’un tiers entre l’été et l’automne. En novembre, quand l’ Opep a annoncé qu’il ne réduirait pas sa production en réponse à cette chute des prix, les investisseurs ont paniqué et déclenché une nouvelle baisse des prix du pétrole. Actuellement, le brent se situe autour de 52 dollars le baril. A New York, le WTI pour livraison en février a même franchi à la baisse la barre symbolique des 50 dollars le baril , tombé à 49,95 dollars en début de séance, pour la première fois depuis avril 2009.
Jusqu’où la baisse des prix peut-elle aller ?
Personne ne le sait réellement. Les statistiques officielles américaines tablent sur un baril à 68 dollars en moyenne en 2015. En octobre dernier, soit avant la réunion de l’Opep, Goldman Sachs tablait un sur baril à 85 dollars. Des prévisions qui ont été rapidement dépassées par le marché.
Certains traders parlent aujourd’hui d’un baril à 40 ou 30 dollars, voire à 20 dollars, un niveau jamais vu depuis 2002, époque où George W. Bush était à la Maison Blanche et parlait de l’ « axe du mal » et où les Européens commençaient à dépenser avec leur nouvelle monnaie, l’euro.
Une bonne nouvelle pour l’économie ?
Il y a des gagnants et des perdants , mais les économistes sont divisés sur l'impact global. Pour le Fonds monétaire international, il s’agit d’un coup de pouce bienvenu pour l’économie mondiale. Automobilistes et entreprises devraient bénéficier de la baisse des prix à la pompe et la baisse pourrait apporter un surcroît de croissance compris entre 0,3 et 0,7 % l’an prochain.
Mais tout le monde n’est pas convaincu. L'Agence internationale de l'énergie souligne que plusieurs gouvernements utilisent cette chute des prix pour réduire leurs subventions aux combustibles fossiles, ce qui limite l’impact sur les consommateurs.
De surcroît, la chute des prix du pétrole coïncide avec une forte appréciation du dollar. Le billet vert a augmenté face à l'euro et au yen depuis que la Réserve fédérale américaine a annoncé la fin de son programme de relance et a fait allusion à une hausse des taux d'intérêt l'année prochaine. Cela signifie que les marchés émergents, qui ont environ 9.000 milliards de prêts en dollars, risquent de trouver confronter à une dette de plus en plus lourde à honorer.
Enfin, cette baisse des cours alimente les incertitudes sur la solidité de la reprise économique.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/0204057489087-jusquou-les-prix-du-petrole-tomberont-ils-1080691.php?ZVsLqhSYILtpwb37.99
13 de 215 - 07/1/2015 18:27
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
CercleFinance.com) - L'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) vient d'annoncer que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont diminué de trois millions de barils la semaine passée, après avoir baissé de 1,8 million la semaine précédente.

De leurs côtés, les stocks d'essence se sont par contre accrus de 8,1 millions de barils, tandis que les réserves de produits distillés, comme le fioul domestique, ont grimpé de 11,2 millions de barils.

Sur le NYMEX, le cours du baril de pétrole brut livraison février 2015 rebondit de 1,8% aux environs de 48,8 dollars.
14 de 215 - 09/1/2015 20:46
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(AOF) - Le cours du baril de Brent a reculé de 7,6% en 5 séances et cotait 50,06 dollars. Il est même passé un temps cette semaine sous les 50 dollars pour la première fois depuis mai 2009. Le baril de pétrole léger américain (WTI) a, lui, cédé 5,3% sur la semaine à 48,30 dollars. Les cours de l'or noir continuent d'être victimes d'un excès d'offre, comme en témoignent notamment les derniers chiffres de l'évolution hebdomadaire des stocks de produits pétroliers aux Etats-Unis. L'Agence américaine d'information sur l'énergie a annoncé une hausse 11,2 millions des stocks de produits distillés, comme le fioul domestique, là où le marché anticipait une progression de seulement 2,3 millions.
15 de 215 - 13/1/2015 19:18
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
WASHINGTON/NEW YORK, 13 janvier (Reuters) - Le rythme de
hausse de la production pétrolière américaine va ralentir en
2016, la chute des cours du brut venant calmer le boom du
pétrole de schiste, selon des prévisions publiées mardi par le
gouvernement.
Dans ses premières projections pour 2016, l'agence
d'information sur l'énergie (EIA) prévoit une augmentation de
200.000 bpj de la production américaine à 9,5 millions de bpj,
ce qui représenterait sa plus faible progression depuis 2011.
Pour cette année, elle maintient sa prévision d'une hausse
de 720.000 bpj à environ 9,3 millions de bpj.
La production attendue de 9,5 millions de bpj en 2016 serait
la deuxième plus importante de l'histoire, après celle de 1970,
mais la hausse de 200.000 bpj, soit 2,2%, n'en marquerait pas
moins une rupture après la forte expansion observée depuis 2011.
A fin 2014, la production était de 9,13 millions de bpj,
selon les données de l'EIA.
L'agence estime que les stocks mondiaux de pétrole ont
augmenté de près de 0,8 million de bpj en 2014, leur plus forte
hausse depuis 2008, et elle s'attend à ce qu'ils s'étoffent
encore de 0,9 million de bpj au premier semestre 2015.
Sur les sept derniers mois, les cours du brut se sont
effondrés, passant de 115 dollars le baril à moins de 46 dollars
mardi. La chute des cours remet en cause la rentabilité de
certains gisements de schiste.
L'EIA a par ailleurs relevé de 120.000 bpj sa prévision de
demande mondiale de pétrole pour 2015, tablant désormais sur une
hausse de 1,0 million de bpj par rapport à 2014.
Dans ses prévisions mensuelles, l'agence anticipe pour 2016
une demande mondiale de 93,42 millions de bpj, en hausse de 1,03
milliard par rapport à sa prévision pour 2015.


(Jessica Resnick-Ault à New York, avec Josephine Mason et
Catherine Ngai, Véronique Tison pour le service français)
16 de 215 - 14/1/2015 17:58
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
(CercleFinance.com) - L'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) vient d'annoncer que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont rebondi de 5,4 millions de barils la semaine passée, après avoir baissé de trois million la semaine précédente.

De leurs côtés, les stocks d'essence se sont par contre accrus de 3,2 millions de barils, et les réserves de produits distillés, comme le fioul domestique, de 2,9 millions de barils.

Sur le NYMEX, le cours du baril de pétrole brut livraison février 2015 reprend 1,2% aux environs de 46,4 dollars.
17 de 215 - 14/1/2015 18:57
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a déclaré mercredi qu'il ne poursuivrait pas son projet de construction d'une usine pétrochimique au Qatar.


Le projet Al Karaana aurait eu "des coûts d'investissement élevés, le rendant irréalisable d'un point de vue commercial, en particulier dans le climat économique dominant actuellement le secteur énergétique", a expliqué Shell dans des déclarations préparées.


Al Karaana est le dernier d'une série de projets que de grands groupes pétroliers abandonnent après des années de hausse des coûts de développement et, maintenant, six mois de baisse des cours pétroliers. Voilà à peine plus d'un an, Shell a dû abandonner son projet de construire une usine en Louisiane, qui aurait dû transformer du gaz naturel en diesel synthétique. Le groupe exploite actuellement une usine similaire de transformation de gaz en diesel au Qatar.


Shell et Qatar Petroleum avaient conclu un accord en 2011 en vue de construire le projet d'Al Karaana afin de profiter du gaz naturel peu onéreux et abondant au Qatar.


-Justin Scheck, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret)

18 de 215 - 15/1/2015 18:57
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le ministre iranien du Pétrole, Ali Tayyebnia, a déclaré jeudi que son gouvernement envisageait de ramener le prix du baril de pétrole de 72 à 40 dollars dans le prochain budget pour faire face à la baisse des prix, a rapporté l'agence Isna.

"En tenant compte de la situation, nous envisageons de changer le prix du baril (dans le budget) pour le ramener à 40 dollars", a déclaré M. Tayyebnia en dénonçant "l'ennemi qui veut mettre à genoux l'Iran islamique".
19 de 215 - 19/1/2015 19:16
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
DUBAI, 19 janvier (Reuters) - L'Iran n'envisage pas de
réclamer une réunion d'urgence de l'Organisation des pays
exportateurs de pétrole (Opep) mais il souhaite une coopération
accrue entre les membres du cartel pour enrayer la chute des
cours, a dit le ministre iranien du Pétrole.
"L'Iran n'a aucun projet (de réunion d'urgence de l'Opep) et
il est actuellement engagé dans des consultations avec d'autres
pays membres de l'Opep afin d'empêcher la chute marquée des
cours du pétrole, mais ces consultations n'ont pas encore porté
leurs fruits", a dit Bijan Mandar Zanganeh, cité par le site
internet de son ministère.
Emmenée par l'Arabie saoudite, l'Opep a décidé en novembre
de ne pas réduire sa production malgré l'effondrement des cours
du pétrole, qui atteint désormais environ 60% depuis juin 2014,
sous les 50 dollars le baril.
Depuis, certains membres de l'organisation comme l'Iran et
le Venezuela ont lancé une offensive diplomatique pour tenter de
changer la position de l'Opep, en vain jusqu'à présent, ont
déclaré des délégués la semaine dernière.
Bijan Mandar Zanganeh a toutefois assuré que l'Iran pouvait
supporter des cours faibles. "Même si le cours du pétrole
descend à 25 dollars le baril, le secteur pétrolier ne sera pas
menacé", a-t-il dit selon l'agence de presse Fars.
Son homologue des Emirats arabes unis a jugé que la
faiblesse des cours ne durerait "pas très longtemps", sans
préciser de calendrier. Souhaïl ben Mohamed al Mazroui a
souligné que son pays ne changerait pas sa stratégie de
diversification de sa production d'énergie avec la chute des
cours du pétrole.

(Michelle Moghtader à Dubai et Parisa Hafezi à Ankara, avec
Rania El Gamal et Maha El Dahan à Dubaï; Bertrand Boucey pour le
service français)
20 de 215 - 20/1/2015 17:59
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les prix du pétrole ont ouvert en baisse mardi à New York, après des chiffres sur l'économie chinoise ainsi qu'une publication du Fonds monétaire international (FMI), qui ont été jugés préoccupants sur la demande mondiale.

Vers 14H15 GMT, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février, dont le contrat expire aujourd'hui, perdait 2,20 dollars à 46,93 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

Le marché new-yorkais sort d'un week-end de trois jours, car la journée de lundi était fériée aux Etats-Unis.

"On s'inquiète des effets que va avoir le ralentissement de la croissance chinoise sur la demande mondiale", a rapporté Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
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