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Euro Dollar (EURUSD)

- Modifié le 17/9/2015 09:05
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Intraday Stock Chart: Euro vs United States DollarGraphiques historiques: Euro vs United States Dollar
Intraday Stock ChartGraphiques historiques

 


Les 1.29 ont stoppé la baisse. Il faut repasser au-dessus des 1.35 pour inverser la tendance.

 







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21 de 30 - 03/12/2015 08:46
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Sur le marché des changes, le dollar a légèrement progressé face à l'euro, qui a cédé 0,1% à 1,0616$ après la publication d'une inflation décevante en novembre dans la zone euro (+0,1% sur un an), ce qui a renforcé les attentes d'annonces fortes de la part de la BCE en matière d'assouplissement monétaire, lors de sa réunion de jeudi.
22 de 30 - 09/12/2015 21:37
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
Ceux qui prédisaient il y a peu une chute de l'euro vers la parité avec le dollar en sont pour leurs frais... Depuis la réunion de la BCE, jeudi dernier, qui a déçu en matière d'annonces d'assouplissement, la devise européenne a entamé un spectaculaire rebond.

Ainsi, mercredi, l'euro a bondi de 1,2% face au dollar, pour coter en soirée 1,1025$, franchissant le seuil de 1,10$ pour la première fois depuis plus d'un mois. En une semaine, l'euro a repris non moins de 4%, dont un sursaut de 2% le jeudi 3 décembre, après que Mario Draghi, le président de la BCE a fait des annonces en demi-teinte concernant le renforcement du programme d'assouplissement monétaire de la BCE.

Beaucoup d'opérateurs anticipaient une augmentation des montants mensuels alloués dans le cadre du programme de rachat de dettes publiques et privées conduit par la BCE depuis mars dernier. Au lieu de cela, l'institution a décidé d'étendre son " QE " jusqu'à fin mars 2017, pour une enveloppe mensuelle inchangée à 60 milliards d'euros.

La BCE a aussi abaissé une nouvelle fois son taux de dépôt, qui est passé de -0,2% à -0,3% dans l'espoir que cela encouragera les banques de la zone euro à distribuer du crédit plutôt que de placer à perte leurs réserves dans les coffres de la BCE.

Le retour de l'aversion au risque sur les marchés profite aussi à l'euro

Outre la déception liée à la BCE, les analystes expliquaient mercredi la hausse de la monnaie unique européenne par l'aversion au risque, revenue en force ces derniers jours sur les marchés financiers, avec la chute des cours des matières premières et du pétrole et la baisse des indices boursiers.

Cette aversion au risque profite aux devises de réserve, notamment l'euro et le yen, qui enregistrent les meilleures performances alors que les investisseurs se défont d'actifs jugés plus risqués, notamment des actifs libellés dans les devises des pays émergents producteurs de matières premières.
23 de 30 - 11/12/2015 20:18
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro a encore gagné plus de 1% cette semaine, pour terminer vendredi tout près du seuil de 1,10$, en hausse d'environ 0,5% sur la séance. La devise européenne s'est désormais raffermie de plus de 3,5% depuis la dernière réunion de la BCE, le 3 décembre, à l'issue de laquelle la banque centrale européenne a annoncé des mesures d'assouplissement monétaire jugées décevantes par les marchés.

Après la BCE la semaine dernière, c'est au tour de la politique de monétaire de la Fed d'agiter les esprits, entraînant cette semaine un affaiblissement du dollar. En effet, l'effondrement de plus de 10% des cours du pétrole sur la semaine a déclenché une forte correction sur les marchés boursiers, où les secteurs énergétiques et des matériaux de base pèsent lourd. Le baril du brut WTI est tombé vendredi sous les 36$, perdant 13% depuis le 3 décembre, pour revenir au plus bas depuis près de 7 ans. En Bourse, à New York, l'indice Dow Jones s'orientait vendredi soir vers une chute de 3% sur la semaine, tandis qu'à Paris, le CAC 40 a perdu 3,5%, après avoir déjà abandonné 4% la semaine précédente.

L'indice VIX mesurant la volatilité des marchés, également appelé "l'indice de la peur", s'est envolé cette semaine de pour dépasser sa moyenne de long terme de 20.

La Fed relèvera-t-elle ses taux malgré la débâcle pétrolière ?

Ces nouvelles turbulences ont semé le doute dans les esprits des investisseurs au sujet de la hausse des taux directeurs de la Fed, attendue la semaine prochaine... Jusqu'à ces derniers jours, un quasi-consensus s'était dégagé pour attendre un relèvement d'un quart de point du taux des "fed funds", à l'issue de la réunion des 15 et 16 décembre. Dans ses dernières déclarations, la présidente de la Fed, Janet Yellen, s'est montrée confiante, la semaine dernière, au sujet de l'économie et du marché de l'emploi américains...

Cependant, depuis les interventions de Mme Yellen, le plongeon du pétrole, provoqué par l'inaction de l'Opep, lors de sa réunion du 4 décembre, face à la faiblesse des cours du brut, a envoyé une onde de choc sur les marchés financiers mondiaux. En conséquence, les anticipations de resserrement monétaire (après 7 ans de taux proches de zéro) de la part de la Fed se sont réduites ces derniers jours, ce qui a pesé sur le dollar.

Autre signe de ce changement d'anticipations, couplé au retour de l'aversion au risque: les taux d'intérêts sur la dette publique américaine se sont nettement détendus cette semaine, et les cours des obligations ont progressé. Le rendement du T-Bond à 10 ans a plongé de 10 points de base vendredi, à 2,13%, contre 2,23% jeudi soir et 2,27% vendredi dernier.

En septembre déjà, la banque centrale américaine avait renoncé à relever ses taux directeurs après de violentes secousses sur les marchés financiers, provoquées par le net ralentissement de l'économie chinoise et la dévaluation surprise du yuan par les autorités de Pékin.
24 de 30 - 17/12/2015 20:44
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Le billet vert gagne du terrain face aux principales devises mondiales après la première hausse des taux en près de dix ans de la Réserve Fédérale hier soir. La monnaie unique cède par exemple actuellement 0,57% entre banques, à 1,0850$.

Comme attendu, la Fed a relevé d'un quart de point son principal taux directeur, dans une fourchette de 0,25% à 0,50% (contre 0,00% à 0,25% auparavant). Dans son communiqué, la Fed a précisé que ses prochaines hausses de taux se feraient de façon progressive et qu'elles dépendraient de nombreux facteurs nationaux (emploi, inflation...) et internationaux.

"Le sentiment des investisseurs est relativement constructif, ce qui est bon pour le dollar", explique à Bloomberg, Georgette Boele, un stratège en devises chez ABN Amro Bank à Amsterdam. "Le marché a une certaine marge pour se renforcer"...
25 de 30 - 11/1/2016 17:24
mimi27 Messages postés: 1819 - Membre depuis: 02/5/2009
je vous invite à tracer la moyenne mobile simple à 270 jours
26 de 30 - 11/1/2016 21:04
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
et ça donne quoi ?
27 de 30 - 15/1/2016 20:27
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Face à la tempête qui souffle sur les Bourses mondiales, l'euro vient d'inscrire un rebond de près de 2% en 10 jours. Vendredi, la devise européenne gagnait 0,8% pour finir la semaine à 1,0952$, alors qu'elle était tombée à 1,0748$ le 5 janvier dernier, soit un écart de 1,9%.

Depuis le début de l'année, la progression de l'euro est plus modeste, de l'ordre de 0,9%, alors même que la plupart des analystes tablent sur la poursuite de l'affaiblissement de la monnaie européenne cette année, en raison des divergences de politiques monétaires des deux côtés de l'Atlantique.

Cependant, la chute des Bourses mondiales a remis en cause ce scénario baissier, du moins à court terme. Echaudés par les risques encourus, les investisseurs se mettent à revendre sur les marchés hors zone euro, de nombreux actifs jugés peu sûrs, qu'ils avaient acquis à l'origine en euros, un phénomène qui soutient donc la devise européenne.

Cette "fuite vers la sécurité" concerne d'ailleurs également le yen japonais, alors que la Banque du Japon (BoJ), comme la Banque centrale européenne (BCE), mène une politique d'assouplissement quantitatif très active, ce qui contribue techniquement à affaiblir la devise nippone à long terme. Or, le yen a regagné 2,6% face au dollar depuis le début 2016, les investisseurs japonais ayant rapatrié à la hâte leurs actifs risqués acquis dans d'autres devises.

Face à cette nouvelle crise, la Fed va-t-elle ralentir le rythme de ses hausses de taux ?

A l'inverse de la BoJ et de la BCE, la Réserve fédérale américaine est entrée en décembre dans un cycle de hausse des taux, après 7 ans de taux proches de zéro et près de 10 ans sans hausse des taux. La Fed a ainsi relevé le mois dernier ses taux directeurs d'un quart de point, de 0-0,25% à 0,25-0,50%.

La Fed avait alors laissé entendre qu'elle pourrait procéder à 4 autres hausses d'un quart de point en 2016. Cependant, le coup de tabac qui affecte les places boursières mondiales, lié à l'effondrement des cours du pétrole et aux craintes concernant l'économie chinoise, pourrait changer la donne et inciter la Fed à lever une nouvelle fois le pied.

Un des membres les plus "faucons' (haussiers) de la Fed, James Bullard, président de la Fed de Saint-Louis s'est ainsi montré étonnamment prudent, jeudi, lors d'une intervention en public. Il a estimé que la chute du pétrole pourrait retarder le décollage de l'inflation aux Etats-Unis, et ralentir le retour vers l'objectif de 2% de la Fed. Les marchés ont interprété ces propos comme un signe que la Fed ne relèvera sans doute pas ses taux quatre fois cette année, mais plutôt deux fois, et pas avant sa réunion de mars au plus tôt.
28 de 30 - 15/1/2016 23:07
mimi27 Messages postés: 1819 - Membre depuis: 02/5/2009
Citation de: laboursefacile - Post #26 - 11/Janv/2016 20h04et ça donne quoi ?




elle correspond à une trendline (qui commence le 18 juillet 2014...) , et la semaine prochaine, ça correspondera à R2 hebdo, y'aura pitetre moyen de faire un truc sur ce niveau (R2à 1.1080 et moyenne à 1.1092)
29 de 30 - 01/2/2016 19:34
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La devise européenne, qui s'était nettement affaiblie en fin de semaine dernière, est repartie de l'avant lundi, malgré un discours accommodant de Mario Draghi devant le Parlement européen à Strasbourg.

En soirée, l'euro pointait en hausse de 0,5% à 1,0888$, malgré les déclarations du président de la BCE, qui a déclaré lundi que l'institution ferait sa part du travail pour soutenir la reprise économique dans la zone euro.

Cependant, en entendant M. Draghi, les marchés ont préféré voir le verre à moitié vide : ils ont surtout entendu le patron de la BCE dire que les risques pesant sur l'économie européenne avaient augmenté, du fait des turbulences récentes en provenance des marchés émergents.

L'activité manufacturière se contracte depuis 6 mois en Chine

Ses propos interviennent alors que la Chine a annoncé lundi matin une nouvelle chute de son activité manufacturière. Celle-ci s'est contractée en janvier pour le sixième mois consécutif, selon l'indice officiel des directeurs d'achats (PMI) qui est ressorti à 49,4 en janvier, contre des attentes de 49,6 et après 49,7 en décembre...

Ce nouvel accès de faiblesse en Chine a fait rechuter lundi les places boursières en Europe, et aux Etats-Unis, où les économistes craignent une contagion du ralentissement chinois au reste du monde.

Mario Draghi a assuré que "la BCE est disposée à faire sa part pour que la reprise reste fermement sur les rails", confirmant implicitement que la BCE devrait annoncer de nouvelles mesures de soutien lors de sa prochaine réunion du 10 mars. Ces propos seraient a priori de nature à affaiblir l'euro, mais celui-ci a au contraire servi de valeur-refuge face à l'accumulation des risques.
M. Draghi a énuméré ces risques, citant l'environnement économique mondial, l'état du système financier, les politiques économiques d'Etats membres de la zone euro et les incertitudes politiques entourant le "projet européen".
30 de 30 - 03/2/2016 19:48
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro a bondi mercredi de plus de 1,5%, franchissant le seuil des 1,10$ pour la première fois depuis plus de 3 mois. En soirée, l'euro s'adjugeait ainsi 1,7% à 1,1103$, au plus haut depuis la fin octobre 2015.

En trois séances, le dollar s'est affaibli de plus de 2% face à l'euro, mais aussi face à un panier de devises mondiales, en réaction à l'inquiétude des investisseurs au sujet d'un ralentissement de la croissance américaine.

Les dernières statistiques publiées ont en effet été mitigées aux Etats-Unis, et la croissance du PIB a nettement ralenti au 4ème trimestre, à 0,7% en rythme annuel contre 2% au 3ème trimestre. Mercredi, les indices ISM et PMI des services se sont affichés en-dessous des attentes des économistes en janvier. Lundi, les indices manufacturiers avaient eux aussi déçu, indiquant que l'année 2016 a commencé mollement pour l'économie outre-Atlantique...

Les stocks pétroliers ont encore grimpé la semaine dernière, indiquant là aussi une demande faible, liée à une activité ralentie. Enfin, les chiffres de l'emploi US en janvier, attendus vendredi, devrait s'établir en dessous des 200.000 créations pour la première fois depuis septembre 2015, selon le consensus.

Pourtant, selon le rapport du cabinet ADP, publié dès mercredi, les créations de postes dans le secteur privé ont dépassé les attentes, avec 205.000 postes, contre 190.000 de consensus de place. Elles sont toutefois en nette baisse par rapport aux 267.000 créations de postes en décembre (chiffre révisé en hausse).

La crise pétrolière et le ralentissement chinois devraient inciter la Fed à la prudence

Dans ce contexte, les marchés ont inversé leurs paris sur le rythme des prochaines hausses des taux de la Fed, qui devrait être plus lent que prévu en décembre. Cette perspective devrait peser sur le dollar, qui est soutenu depuis des mois par les anticipations d'un durcissement monétaire aux Etats-Unis.

La semaine dernière, la décision surprise de la Banque du Japon de passer à des taux négatifs sur les dépôts des banques avait renforcé le dollar face au yen et à l'euro. Ce rebond a donc été de courte durée face à l'émergence d'une nouvelle tendance de fond, qui parie désormais sur un nouveau statu quo de la Fed sur ses taux pendant plusieurs mois, le temps d'analyser à quel point l'économie mondiale va freiner sous l'effet de la crise pétrolière et du ralentissement chinois...

Ainsi, après la hausse d'un quart de point décidée le 18 décembre, la Fed avait laissé entendre qu'elle procéderait à 4 autres gestes du même type en 2016. Mais les turbulences boursières qui sévissent depuis le début de l'année ont changé la donne, et les investisseurs ne tablent désormais que sur deux, voire sur une seule nouvelle hausse du taux des Fed funds cette année.

Mario Draghi et Stanley Fischer s'inquiètent des risques pesant sur la croissance mondiale

Lundi, le vice-président de la Fed, Stanley Fischer, a reconnu que les turbulences actuelles sur les marchés pourraient avoir un effet négatif sur la croissance et l'inflation aux Etats-Unis. Les marchés en ont déduit que le Fed ne relèverait pas ses taux dès sa prochaine réunion de mars.

M. Fischer a cependant laissé planer le doute en déclarant qu'il ne "pouvait pas" répondre aux questions sur les intentions la Fed pour la réunion de mars. "Nous ne savons tout simplement pas (ce que nous allons décider). Le monde est un endroit incertain, et tout ce dont les banquiers centraux sont vraiment sûrs, c'est que ce qui arrive est souvent différent de ce à quoi l'on s'attend", a-t-il ajouté.

En Europe, le président de la BCE Mario Draghi a lui aussi pris la parole lundi, devant le Parlement européen à Strasbourg. Et lui aussi a souligné les risques accrus pour la croissance, répétant que "la BCE est disposée à faire sa part pour que la reprise reste fermement sur les rails", confirmant implicitement que de nouvelles mesures de soutien seraient annoncées lors de la prochaine réunion du 10 mars.

Malgré les efforts des banques centrales, en Europe et en Japon, pour redonner du tonus à la croissance et lutter contre les risques de déflation, les résultats restent peu visibles, ce qui commence à faire douter les marchés de la capacité des banques centrales à agir sur un environnement financier mondial de plus en plus instable
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