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Eiffage (FGR)

- Modifié le 10/12/2014 12:04
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

 



Il faut préserver les 22.85 pour sauver la zone de congestion.

 







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185 Réponses
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61 de 185 - 08/12/2014 18:29
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 8 décembre (Reuters) - Les actions Vinci et Eiffage s'inscrivent en net repli lundi à la Bourse de Paris, pénalisés par un vote vendredi dernier à l'Assemblée nationale visant à supprimer un avantage fiscal accordé aux sociétés d'autoroutes.
A 15h18, le titre Eiffage recule de 4,52% à 39,40 euros et celui de Vinci abandonne 1,63% à 44,59 euros. L'indice SBF 120 se replie de 0,6% au même instant.

"L'Assemblée nationale a voté un texte défavorable aux sociétés d'autoroutes avec la fin d'un avantage fiscal", commente un vendeur actions en poste à Paris.

Les amendements 403, 257 et 435 visant à mettre un terme à une exemption fiscale dont bénéficiaient les sociétés d'autoroutes ont été adoptés vendredi par les députés dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances rectificative pour 2014.

"En 2013, en effet, toutes les entreprises de France ont connu un coup de rabot, qui ne leur permet plus une déductibilité illimitée des intérêts d'emprunt", a déclaré vendredi à l'Assemblée Olivier Faure, député socialiste de Seine-et-Marne pour soutenir l'amendement 403.

"Or les sociétés d'autoroutes ont échappé à ce coup de rabot, et elles bénéficient aujourd'hui du régime qui s'applique aux délégataires de service public. Cet avantage représente, depuis 2006, la somme de 3,6 milliards d'euros", a-t-il ajouté.

Le gouvernement et les concessionnaires autoroutiers sont engagés dans un bras de fer depuis plusieurs semaines, avec au coeur de leurs discussions les tarifs des péages.

Le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), pénalisée par le blocage du plan de relance autoroutier, doit d'ailleurs rencontrer le ministre de l'Economie Emmanuel Macron le 18 décembre pour l'interpeller sur les difficultés du secteur. (Alexandre Boksenbaum-Granier, édité par Dominique Rodriguez)

62 de 185 - 10/12/2014 17:27
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Eiffage et Vinci s'illustraient mercredi après-midi en tête des plus fortes hausses du SBF 120 (+6,4% à 40,1 euros et +4,2% à 45,05 euros respectivement vers 15h20). La demande faite par 152 députés socialistes dans une lettre envoyée au Premier ministre de racheter par anticipation les concessions autoroutières, ne semble visiblement pas très crédible aux yeux du marché.

Le rachat par anticipation "ne peut se faire qu’au 1er janvier de chaque année, moyennant un préavis d’un an, notifié au concessionnaire, rappelle la lettre", publiée par Les Echos, précisant qu' "un rachat acté avant le 31 décembre 2014 permettrait de travailler tout au long de l’année 2015 à la mise en œuvre d’une autre gestion du réseau autoroutier".

Mais si la résiliation par anticipation des concessions autoroutières pour motif d’intérêt général est contractuellement possible, "les délais sont très serrés", font remarquer aujourd'hui les analystes Natixis.

Le courtier souligne surtout que "les concessionnaires auraient droit à une indemnité correspondant au préjudice subi par elle du fait de la résiliation, et dont le montant sera estimé selon la méthode d'actualisation des flux de trésorerie disponibles après impôts".

Après calcul, il ressort que l'addition totale pour l'Etat s'élèverait à 53 milliards d'euros. Or, pour le broker, un financement via une émission d’obligation, portée par une structure ad -hoc qui ne serait pas consolidée dans la dette publique française, a peu de chance d'être validée par Bruxelles.

D'autre part, alors que l’idée des auteurs de la lettre serait ensuite de "revendre les concessions dans de meilleures conditions", Natixis fait remarquer que "les candidats éventuels seront pour le moins méfiants" étant donné l’acharnement politique dont font l'objet ces autoroutes (et leurs bénéfices) depuis des mois.

Retrouvez cet article sur Tradingsat.com

63 de 185 - 11/12/2014 00:56
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
VINCI : Eiffage et Vinci peuvent dire merci à Valls
10/12/14 à 15:07 - Investir.fr 0 Commentaire(s)

Les deux actions sont en tête du SRD après les propos rassurants de Manuel Valls sur les concessions autoroutières.

Eiffage et Vinci peuvent dire merci à Valls | Crédits photo : Shutterstock Eiffage et Vinci sont rassurés ! Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé ce midi que les contrats des péages autoroutiers seraient honorés, en réponse aux 152 députés qui, selon une information du quotidien Les Echos, avaient écrit la semaine passée à Matignon pour réclamer le rachat anticipé des concessions, avant la fin de l’année, invoquant l’intérêt général. C’est une possibilité prévue par les contrats signés en 2006.

Manuel Valls a par ailleurs annoncé la création d’un nouveau régulateur.

Les concessions autoroutières sont de véritables machines à cash pour les deux groupes.

Eiffage rebondit de plus de 6%, Vinci de plus de 4%. Les deux actions, en tête du SRD, ont été fortement attaquées ces deux derniers jours, l’Assemblée nationale ayant adopté vendredi des amendements visant à supprimer une exemption fiscale dont bénéficiaient les sociétés autoroutières.

Vinci a perdu 4,6% en deux jours et Eiffage près de 9%.

64 de 185 - 12/12/2014 20:47
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Les valeurs CYCLIQUES ont figuré en haut du palmarès des baisses avec SOLVAY (-4,38% à 107,1 euros), SCHNEIDER ELECTRIC (-4,11% à 59,06 euros) et VINCI (-3,94% à 42,495 euros.
Le gouvernement devrait rencontrer à nouveau la semaine prochaine les sociétés d'autoroutes, filiales notamment de VINCI ou d'EIFFAGE (-0,48% à 38,755 euros), pour discuter des propositions qu'elles ont faites pour tenter de dénouer la crise sur le régime des concessions en France, a-t-on appris vendredi de trois sources proches du dossier.

65 de 185 - 17/12/2014 10:34
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 17 décembre (Reuters) - La crise des sociétés
d'autoroutes a des répercussions sur le reste des activités
d'Eiffage FOUG.PA qui font appel à l'investissement privé pour
des infrastructures, a déclaré mercredi Pierre Berger, le PDG du
groupe de BTP et de concessions.
Les concessionnaires des autoroutes françaises ont en outre
indiqué au gouvernement qu'elles étaient prêtes à un
ralentissement des hausse de leur tarifs, a-t-il également
indiqué lors d'un entretien sur BFM Business.
"La crise des sociétés autoroutières françaises est en train
d'impacter le reste des business d'Eiffage et je pense que c'est
aussi le cas chez notre collègue Vinci SGEF.PA ", a déclaré
Pierre Berger.
"Les investisseurs nous disent: 'Ecoutez, nous, on attend,
on va voir ce qui se passe sur les autoroutes françaises, on va
voir ce que fait l'Etat français; on n'est pas sûr de continuer
avec vous'", a-t-il ajouté.
"L'impact est colossal (...), l'ensemble des business qui
font appel à l'investissement privé pour des infrastructures
(est concerné)."
"Nous sommes prêts à étudier éventuellement un
ralentissement de la hausse des tarifs par un étalement sur plus
d'années du remboursement des travaux que nous faisons sur les
autoroutes", a en outre déclaré le PDG d'Eiffage.
La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a souhaité mardi un
gel des tarifs des autoroutes en 2015 et attend un effort d'un
milliard d'euros des sociétés concessionnaires, qui pourrait
prendre la forme d'une taxe sur leurs bénéfices. ID:nL6N0U0153
Le gouvernement mène actuellement des pourparlers avec les
sociétés d'autoroutes, dont la Cour des Comptes et l'Autorité de
la Concurrence ont dénoncé les "rentes" dans des rapports
récents.
Les concessionnaires ont fait lundi 8 décembre une série de
propositions au gouvernement et attendent de connaître la suite
que celui-ci entend leur donner.
Eiffage est actionnaire aux côtés de l'australien Macquarie
MQG.AX des sociétés APRR et AREA, qui exploitent près de 2.300
km d'autoroutes en France.

(Benjamin Mallet, édité par Wilfrid Exbrayat)
66 de 185 - 17/12/2014 17:24
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
La mission d'information sur "la place des autoroutes dans les infrastructures de transport" a présenté mercredi ses conclusions devant la commission du développement durable de l'Assemblée nationale. Le rapporteur de cette mission, Jean-Paul Chanteguet a une nouvelle fois plaidé pour la dénonciation des contrats en cours, entre l'Etat et les sociétés, alors que la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal les rencontre ce mercredi.

Dénoncer les contrats actuels

"Il faut agir très vite pour établir un nouveau cadre au 1er janvier 2016", a prévenu le rapporteur socialiste. Dans une lettre adressée la semaine dernière au Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) ministre, Manuel Valls, 152 députés socialistes ont plaidé en faveur de cette piste de travail. L'article 38 des contrats signés avec les concessions le permet, mais uniquement au 1er janvier de chaque année, avec un préavis d'un an. Dès début 2015, l'Etat pourrait ainsi explorer toutes les pistes, y compris celle de la renégociation a fait valoir Jean-Paul Chanteguet.

Un rapport à charge, pour l'UMP

Les conclusions de la mission d'information ne font toutefois pas l'unanimité. Si les auteurs pointent du doigt les deux milliards d'euros réalisés par les sociétés d'autoroutes, le député UMP, Yves Nicolin a fait valoir que, sans ces bénéfices, l'Etat se priverait de plus de trois milliards d'euros de recettes qu'il touche via divers impôts. "L'UMP pense que ce rapport est à charge contre les sociétés concessionnaires (...) en s'attaquant à leur profitabilité (...) on va malheureusement affaiblir les recettes de l'Etat demain", a-t-il regretté. Ce mercredi matin, le patron d'Eiffage (Other OTC: EFGSY - actualité) , Pierre Berger, a justement indiqué que les investisseurs sont sur leurs gardes et attendent de savoir s'il y aura dénonciation des contrats. Certains députés ont par ailleurs soulevé le problème du coût d'une éventuelle résiliation pour l'Etat, des contreparties devant être versées aux concessionnaires....


Retrouvez cet article sur Boursier.com

67 de 185 - 01/1/2015 19:50
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
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Contenus associésAfficher la photoStation de péage de l'A62 près de Toulouse. Un groupe de travail examinera à partir de janvier l'hypothèse d'une renégociation ou d'une résiliation des concessions d'autoroutes en France au 1er janvier 2017. /Photo prise le 31 décembre 2014/REUTERS/ Régis Duvignau
PARIS (Reuters) - Un groupe de travail examinera à partir de janvier l'hypothèse d'une renégociation ou d'une résiliation des concessions d'autoroutes en France au 1er janvier 2017, annonce mercredi Manuel Valls dans une lettre au député socialiste Jean-Paul Chanteguet.

Ce dernier, rapporteur de la mission d'information sur la place des autoroutes dans les infrastructures de transport, prône une résiliation des contrats signés en 2006, tout comme 152 autres députés.

Cette perspective, qui ne fait pas l'unanimité en raison notamment de son coût potentiel pour les finances publiques et des risques qu'elle comporte, à la fois pour les sociétés cotées concernées et pour l'attractivité de la France, est donc repoussée d'un an, à 2017.

Le gouvernement avait jusqu'au jeudi 1er janvier pour dénoncer les contrats à l'échéance du 1er janvier 2016.

Dans le courrier que Manuel Valls adresse à Jean-Paul Chanteguet, daté du 31 décembre et rendu public par ses services, le Premier ministre confirme la volonté du gouvernement de "remettre à plat" les concessions autoroutières.

"Les sociétés d'autoroutes ont transmis au gouvernement le 22 décembre une première proposition globale comprenant des avancées importantes. (...) Pour autant la négociation n'est pas achevée et ces propositions doivent encore être améliorées", écrit-il.

Avant toute décision du gouvernement, un groupe de travail sera installé "tout début janvier" avec pour objectif, notamment, "d'examiner les modalités et conséquences d'une résiliation anticipée des contrats telle que vous l'avez proposée et donc au total comparer deux scénarios : renégociation des contrats ou résiliation au 1er janvier 2017", ajoute-t-il.

L'Association des sociétés françaises d'autoroutes n'était pas joignable dans l'immédiat.

RÉÉQUILIBRAGE

La négociation, qui doit aussi permettre aux parlementaires d'étudier la proposition des sociétés d'autoroutes, ne durera que "quelques semaines tout au plus", assure Manuel Valls.

Les sociétés concessionnaires des autoroutes sont devenues des cibles lorsque l'Autorité de la concurrence a relevé leur situation de "rente" à hauteur selon elle de 20% à 24%.

Les députés de la mission d'information sur la place des autoroutes, toutes tendances confondues, sont convenus qu'un "rééquilibrage" était nécessaire.

Il doit permettre à terme de trouver des fonds pour l'Agence de financement des infrastructures de transport (AFITF), dont le budget est jugé trop faible au regard de ses objectifs et qui ne bénéficiera pas des recettes de l'écotaxe, abandonnée.

Le gouvernement aimerait solliciter davantage les sociétés d'autoroutes, mais celles-ci font valoir qu'elles financent déjà l'AFITF à hauteur de 40% via les redevances domaniales et la taxe d'aménagement du territoire.

Depuis le début des négociations, Manuel Valls assure qu'aucune solution n'est exclue mais à aucun moment le gouvernement n'a laissé entendre qu'il était prêt à consacrer la vingtaine de milliards d'euros nécessaire à une résiliation, au moment où il tente de convaincre la Commission européenne du bien-fondé de sa politique budgétaire.

"Les objectifs du gouvernement sont une meilleure régulation des péages afin de préserver le pouvoir d'achat des automobilistes, le rééquilibrage du partage des profits et une participation du système des concessions autoroutières au financement des infrastructures de transport", écrit-il.

Le Premier ministre précise que le groupe de travail pourra proposer des amendements au projet de loi pour la croissance et l'activité porté par le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, qui doit être examiné à partir du 22 janvier à l'Assemblée nationale et en mars au Sénat.

L'exécutif entend mieux réguler les futures concessions à travers l'Arafer, une autorité de supervision dont les pouvoirs sont étendus par ce texte au secteur autoroutier.

(Chine Labbé et Sophie Louet, avec Gilles Guillaume)
68 de 185 - 02/1/2015 17:17
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - En sursis ! Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) et Eiffage (Other OTC: EFGSY - actualité) , deux groupes de BTP dont la majeure partie profits proviennent des concessions, notamment autoroutières (ASF, Cofiroute, Escota, Arcour pour le premier, APRR pour le second), ont gagné du temps. L'Etat n'a pas dénoncé les contrats de concession avant la fin de l'année 2014. De ce fait, la renégociation desdits contrats se poursuit. Le gouvernement souhaite y associer les parlementaires, mais entend aussi que le processus ne dure que ?quelques semaines?.

Dans le sillage de la Cour des comptes et de l'Autorité de la concurrence, qui contestent les taux de marge élevés des concessionnaires autoroutiers français, certains parlementaires très remontés ont envisagé que l'Etat résilie les contrats de concession de Vinci, Eiffage ou encore Abertis. Ce qui supposerait de racheter les concessions, mais l'Etat n'en a guère les moyens.

De toute façon, pour que la résiliation soit effective, selon les termes des solides contrats liant l'Etat aux opérateurs autoroutiers, au 1er janvier 2016, il fallait le notifier aux intéressés avant le 31 décembre 2014. Ce qui n'a pas été fait. De ce fait, les concessionnaires ont gagné un an de sursis (jusqu'au 1er janvier 2017, si la résiliation intervenait en 2015).

Solution alternative, moins radicale : renégocier avec les concessionnaires, ce qui est d'ailleurs en cours. Les opérateurs ont ainsi adressé des propositions en ce sens au gouvernement le 22 décembre. Mais il est aussi possible de combiner ce processus avec la menace politique d'une résiliation.

C'est l'option qui semble avoir été retenue. Selon les Echos, le Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) ministre Manuel Valls a adressé le 31 décembre 2014 une lettre au député présidant la commission de développement durable et de l'aménagement du territoire, Jean-Paul Chanteguet.

Le Premier ministre propose que les parlementaires concernés soient associés au processus au travers d'un groupe de travail qui serait formé début janvier, et à qui la proposition des sociétés d'autoroutes sera présentée 'avant toute décision du gouvernement'.

'Ce groupe devra également examiner les modalités et conséquences d'une résiliation anticipée des contrats telle que vous l'avez proposée et donc au total comparer deux scénarios : renégociation des contrats ou résiliation au 1er janvier 2017', peut-on lire dans la lettre adressée par Manuel Valls à Jean-Paul Chanteguet.

Ce qui ne veut pas dire pour autant que les négociations ont vocation à s'éterniser, puisque M. Valls entend dans sa lettre qu'elles durent 'quelques semaines tout au plus'.

Dans la balance : les variations des tarifs des péages, et aussi éventuellement la répartition et l'encadrement des profits des concessionnaires, avec par exemple une borne haute (schématiquement, au-delà de laquelle les bénéfices reviendraient à l'Etat), mais que les concessionnaires souhaitent assortir dans ce cas d'une borne basse (en deçà de laquelle l'Etat devrait de l'argent aux concessionnaires). Sans oublier la durée des concessions. A suivre.
69 de 185 - 07/1/2015 10:15
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
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Sociétés :ACT. VINCI S.A.Eiffage SACOURS LIÉSSymbole Cours Variation
EF3.F 40,60 -1,46

DG.PA 44,99 +1,58

FGR.PA 41,73 +1,72

(CercleFinance.com) - Selon les Echos, les négociations - ou plutôt les renégociations - entre l'Etat et les concessionnaires autoroutiers avancent à grands pas, à tel point qu'un accord pourrait être signé d'ici le 15 janvier, pour une entrée en vigueur au 1er février. Selon un bureau d'études, cet éventuel accord serait financièrement neutre pour les concessionnaires, dont Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) et Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) font partie.

A la Bourse de Paris où le CAC 40 ne gagne que 0,5% ce matin, l'action Eiffage prenait 3,5% à 41,4 euros, quand celle de Vinci gagnait 2,3% à 44,4 euros. Ces valeurs tiennent ainsi les deux premières places parmi les plus fortes hausses du SBF 120.

Ainsi, selon les termes des contrats de concession et la compensation de la redevance domaniale, les concessionnaires peuvent exiger une hausse des tarifs des péages d'en moyenne 1,07% dès le mois prochain. Le sujet fait encore débat : la ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, Ségolène Royal, a plaidé pour un gel total qui semble difficile à imposer. Mais politiquement, valider une telle hausse paraît tout aussi compliqué. Reste la solution de compromis : l'étalement sur plusieurs années.

Autre point majeur des négociations : le 'partage des profits', dont selon les Echos 'le principe est acquis'. Mais le critère utilisé ne sera ni l'excédent brut d'exploitation, ni la rentabilité interne des concessionnaires, mais plutôt le trafic. En cas de dépassement d'une borne haute, le partage des profits s'imposera, la réciproque valant aussi en cas de passage sous une borne basse. Attention : ce partage ne sera pas libellé en espèces, mais en durée de concession qui serait raccourcie dans le premier cas, rallongée dans le second. Les modalités précises ne seraient pas encore fixées.

De plus, le 'plan de relance autoroutier' à trois milliards d'euros contre prolongation des concessions, acté mais non signé, serait également inclus dans l'accord.

Quel serait les conséquences financières de cet éventuel accord ? Selon les analystes d'Aurel BGC, 'le scénario d'une sortie par le haut du conflit entre l'Etat et les concessionnaires, qui est notre scénario privilégié, se met progressivement en place.'

Politiquement, selon les spécialistes, 'c'est un accord qui peut tout à fait être présenté comme un deal gagnant-gagnant'. Mais financièrement, 'l'accord serait (...), au pire, neutre sur la valeur nette actualisée des contrats de concession, sauf si les négociations changeaient de tournure', estime Aurel BGC. A l'achat sur les titres Vinci et Eiffage, Aurel BGC vise des cibles respectives de 55 et 60 euros.
70 de 185 - 07/1/2015 16:32
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Eiffage bondit de +5%, au-delà des 42E mais va bientôt se heurter à une succession de résistances vers 42,6E (MM100), puis 43,3E (zénith du 11 novembre) puis 44E (testé le 30 septembre).

71 de 185 - 09/1/2015 12:21
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Achat Call Eiffage N161B

Date : 09/01/2015
Sous-jacent : Eiffage (ISIN : FR0000130452).
Warrant : Call N161B (ISIN : NL0010839239).
Échéance : 19/6/2015
Prix d'exercice : 46,0000
Stratégie : Achat à 0.57 euro.

Le titre a cassé à la hausse une oblique descendante. Une poursuite de la reprise est attendue en direction de 49.63.


Objectifs et niveau d'invalidation sur le warrant :
1er objectif : 0.90 (58.3%).
2nd objectif : 1.10 (92.6%).
Invalidation sous : 0.35 (-39.1%).
Copyright 1999 - 2015 TRADING CENTRAL

72 de 185 - 23/1/2015 18:14
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) a terminé la séance en hausse de 2,5%. Aurel BGC est à l'achat sur la valeur avec un objectif de cours fixé à 60 E.

Eiffage a annoncé un chiffre d'affaires de 505 ME pour APRR au 4ème trimestre, en hausse de 2,5%. Ce chiffre ressort légèrement au-dessus des attentes (497 ME). Sur l'ensemble de l'exercice, la hausse du chiffre d'affaires est de 2,4% à 2 149 ME.

' Le trafic se sera bien comporté sur la dernière partie de l'année avec une hausse de +2,2% sur le dernier trimestre, marqué par une bonne dynamique des véhicules légers, alors que les poids lourds affichent une quasi-stabilisation de leurs volumes. Sur l'année entière, le trafic progresse de +1,6% ' précise Aurel BGC.

Les analystes estiment que le trafic PL est un peu décevant sur le 4ème trimestre mais la dynamique globale est plutôt rassurante, avec l'absence d'un ralentissement marqué du trafic sur la fin de l'année.

Eiffage rappelle également que S&P a relevé la note de crédit d'APRR de BBB à BBB+.

' C'est également de bon augure pour notre opinion positive sur Eiffage, dans la mesure où la problématique du refinancement est un des catalyseurs clés sur le titre : à fin juin, la dette nette s'élevait à 12,6MdE pour un coût de 6% ' indique Aurel BGC.
73 de 185 - 27/1/2015 19:48
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Eiffage avait amorcé une consolidation sous 48,1E en début de matinée ce 27/01 mais le mouvement s'est radicalisé avec le gel du tarif des autoroutes et le cours dévissait de -6% vers 44,35E.
Le titre pourrait revenir combler rapidement le 'gap' des 43,93E du 9 janvier avant de retrouver du soutien au niveau de la MM100 qui gravite vers 42,5E.
74 de 185 - 30/1/2015 20:01
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Le gel des péages et les discussions en cours sur l'avenir des concessions autoroutières ont un impact négatif sur les créances du secteur des péages autoroutiers en France, a indiqué vendredi Moody's dans un communiqué. "Le gouvernement a annoncé le 27 Janvier 2015, que les operateur de péages autoroutiers ne seront pas autorisés à augmenter leurs tarifs le 1er février 2015, comme le prévoient leurs contrats de concession, tant que les discussions sur le futur des concessions de péages ne seront pas achevées", rappelle l'agence de notation. "Cette décision est négative du point de vue des créances des opérateurs d'autoroutes car elle crée un précédent concernant la capacité d'intervention de l'Etat dans le cadre des concessions et tarifs autoroutiers en France", a souligné Moody's. Les sociétés concernées par les annonces du gouvernement sont Autoroutes du Sud de la France (ASF, Baa1 stable), Sanef (Baa1 stable) et Autoroutes Paris-Rhin-Rhone (APRR, Baa2 stable), a précisé l'agence. (eric.chalmet@wsj.com)
75 de 185 - 03/2/2015 22:45
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - Six des sept sociétés d'autoroutes concernées par le gel des tarifs de péages en France décrété par le gouvernement ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.

Le gouvernement a publié jeudi dernier au Journal officiel l'arrêté de suspension de la hausse des péages, qui devaient augmenter en moyenne de 0,57% pour répercuter l'inflation et les investissements, expliquant qu'il voulait laisser aux parlementaires le temps d'examiner un projet d'accord négocié entre l'Etat et les concessionnaires.

Ces derniers, dont le chiffre d'affaires annuel des péages totalise environ huit milliards d'euros, selon des calculs de Reuters, avaient alors prévenu qu'ils engageraient une procédure judiciaire pour non respect des contrats.

"C'est fait", a dit une source. Les six sociétés ayant déposé un recours pour excès de pouvoir sont Cofiroute, Escota, APRR, Area, Sanef et ASF, filiales de Vinci, Eiffage, Macquarie et Abertis.

Selon cette source, SAPN devrait suivre mardi soir ou mercredi.

Les concessionnaires ont également envoyé lundi un courrier au président de l'Autorité de la Concurrence, Bruno Lasserre, rapporte de son côté L'Opinion. Selon le quotidien, qui cite des extraits de la lettre, les sociétés d'autoroutes y contestent les calculs de l'autorité sur la rentabilité du secteur et déplorent "la perte de valeur financière" subie par leurs actionnaires depuis le début de la crise.

Le rapport de l'Autorité de la concurrence, à l'automne dernier, est à l'origine d'un bras de fer avec le gouvernement, soucieux de rééquilibrer les relations entre les sociétés d'autoroutes, l'Etat et les usagers. Les concessionnaires ont fait une série de propositions pour sortir de la crise mais tiennent à ce que tout compromis s'inscrive dans le cadre d'un accord global et définitif.

Le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) a écrit de son côté au Premier ministre, Manuel Valls, pour déplorer que le plan de travaux autoroutiers de 3,2 milliards d'euros, pourtant validé par Bruxelles, reste bloqué à cause des négociations sur les autoroutes.

"Face à l'ampleur de la crise que nous traversons, à la dégradation sans précédent des situations de trésorerie notamment de nos PME, à la disparition programmée de milliers d'emplois dans les mois qui viennent, je vous demande (...) de tout mettre en oeuvre pour que ce plan voie le jour au plus vite", écrit Bruno Cavagné, dans ce courrier dont Reuters a obtenu copie.

(Gilles Guillaume, édité par Patrick Vignal)
76 de 185 - 04/2/2015 10:08
laurencefily Messages postés: 45 - Membre depuis: 06/1/2015
PV : 46.3 ; alléger tant que 46.3 est butoir avec 37.8 comme objectif. clôture au-delà de 46.3 pourrait entraîner un retour sur 49.3 puis 51.1. RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD positif et en-dessous de sa ligne de signal. Le MACD doit enfoncer la ligne du zéro pour valider une poursuite de la baisse. le titre est inférieur à sa moyenne mobile 20 jours (44.77) mais supérieur à sa moyenne mobile 50 jours (42).
le Stochastique est en dessous de la ligne 20, on dit qu'il est survendu. Cela signifie simplement que le cours est trop bas par rapport à son historique pris en compte sur 14 jours. La conséquence immédiate serait l'achat car le stochastique montre alors qu'il s'agit là d'un titre bon marché. mais rien ne dit que le titre peut encore baisser donc vaut mieux attendre patiemment que la valeur se stabilise un peu et envisage de changer de sens. Il est donc bien meilleur d'acheter au moment où le Stochastique vient couper dans sa ligne 20.

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77 de 185 - 13/2/2015 08:01
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Péages: Une action collective engagée contre les sociétés d'autoroutes - Corinne Lepage

Une action collective d'usagers est engagée contre les sociétés d'autoroutes afin de contester les tarifs élevés des péages sur cinq portions construites depuis des décennies, annonce vendredi l'avocate et ex-ministre de l'Environnement Corinne Lepage dans Le Parisien.


"Nous nous basons notamment sur un rapport de la Cour des comptes de juillet 2013 qui déplorait des hausses de tarifs nettement supérieures à l'inflation et évoquait un rapport de force plus favorable aux concessionnaires qu'aux pouvoirs publics", explique Mme Lepage, qui coordonne cette action. "Mais ces sociétés n'en tiennent pas compte. Ces pratiques sont toujours à l'oeuvre, cela engendre une surfacturation pour l'usager. L'automobiliste se fait plumer !"


"Je me suis rapprochée d'un site de juristes, Actioncivile.com, pour monter une action collective", déclare Mme Lepage. "Le but est d'exiger des sociétés d'autoroutes le juste prix du ticket de péage."


"Selon nos estimations, le tarif actuel est d'au moins 20 % supérieur à ce qu'il devrait être."


Concrètement, les personnes qui empruntent les autoroutes concernées peuvent, à partir de vendredi 13 février et jusqu'en juin prochain, remplir un formulaire sur le site et demander un remboursement de 20 %.


La seule condition est d'avoir emprunté les autoroutes A 1, A 6, A 7, et l'A 9 ou A 13 lors des cinq dernières années et de pouvoir le justifier avec un ticket de péage.


L'ancienne ministre souligne que ces autoroutes ont été choisi car ce sont les plus anciennes: "elles ont été construites sous le général de Gaulle dans les années 1960-1970, et leur coût de construction est amorti depuis longtemps, dit-elle, espérant rassembler plusieurs dizaines de milliers de demandes, peut-être jusqu'à 50. 000.


Les initiateurs de cette action prévoit de faire une demande de médiation avec les sociétés. Mais si elle n'aboutit pas dans un délai d'un mois, des recours seront déposés auprès des tribunaux d'instance.


"L'usager doit payer le juste prix", martèle Mme Lepage, relevant notamment que lorsque les sociétés d'autoroutes licencient massivement les employés des péages pour les remplacer par des caisses et barrières automatiques, cela ne fait pas baisser le prix du ticket pour l'usager.


Cette action collective ouvre un nouveau front pour les sociétés d'autoroutes qui sont déjà engagées dans un bras de fer avec l'Etat depuis plusieurs mois. Ces sociétés ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat après la décision du gouvernement de suspendre la hausse des tarifs des péages. Le gouvernement a également mis en place un groupe de travail sur l'avenir des concessions d'autoroutes.


Les sociétés concessionnaires - pour la plupart des filiales des géants français du BTP Eiffage et Vinci et de l'Espagnol Abertis - exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants.
78 de 185 - 13/2/2015 10:03
trader176 Messages postés: 48 - Membre depuis: 05/2/2015
c'est bien beau de nous coller un article mais quelle est ton analyse A TOI sur l'action??
79 de 185 - 13/2/2015 11:42
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Eiffage, au travers de sa filiale Eiffage Construction, annonce la signature avec Metz Métropole Moselle Congrès (M3Congrès), du contrat de conception-réalisation-exploitation-maintenance (CREM) pour le futur Centre de Congrès de la ville.

Ce contrat représente un montant de 44 millions d'euros pour la conception et la réalisation et de 10 millions d'euros pour l'exploitation et la maintenance. Le groupe assurera la maintenance du bâtiment pendant 25 ans.

Le projet, réparti sur cinq niveaux, comprend un rez-de-chaussée, un rez-de-parvis, deux niveaux supérieurs et une mezzanine. Chaque niveau propose une programmation lisible et un jeu de circulations latérales permettant aux usagers de profiter au maximum des vues panoramiques sur la ville.

Le Centre de Congrès abritera un auditorium modulable de 600 à 1.200 places, des surfaces d'exposition permettant d'implanter plus de 200 stands, 14 salles de commission de 25 à 400 places et un restaurant de 100 couverts. Son hall pourra également recevoir des tables pour 1.200 invités. La livraison du bâtiment et son ouverture au grand public sont prévues dans le courant du premier semestre 2018.

Plusieurs acteurs vont participer au financement du projet : en majeure partie la Ville de Metz mais également Metz Métropole, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Moselle, l'Etat, le Conseil Régional de Lorraine et M3Congrès qui a contracté un emprunt.
80 de 185 - 13/2/2015 11:45
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
trader commentaire a suivre

bon weekend
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