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Cac 40 (PX1)

- Modifié le 06/5/2008 14:23
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
01052008cac.gif
En hebdomadaire la tendance est baissiere. La ligne kagi vient de revenir au vert, ce qui ne traduit actuellement qu'une situation technique qui peut s'appuyer sur le support a 4716 pour aller affronter la resistance a 5250.

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545 Réponses
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541 de 545 - 22/8/2014 12:40
Anonyme
ANN IN UCCRETS AN IN UTTOES QN IN ULLUST AN IN UCCRETS AN IN USSERS AN IN ULLEST AN IN UMETTS AN IN UCCRETS AN IN ULL AN IN URETS AN IN USSERS AN IN ULLEST AN IN UCCTOES AN IN ULLUSQT AN IN UCCRETS ANN IN ULLEST AN IN ULLEST AN IN UCCRETS ,MISS SIUTS
HASSINA MOKRANE
542 de 545 - 22/5/2015 19:25
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

CAC40:coup de booster puis 96H de stagnation, bilan hebdo 3%

Date : 22/05/2015 @ 18:40
Source : Cercle Finance
Stock : Cac 40 (PX1)
Quote : down.gif 5142.89 -3.81 (-0.07%) @ 17:35
CAC 40 share priceChartTradesLevel2









CAC40:coup de booster puis 96H de stagnation, bilan hebdo 3%





CAC 40
Index Chart


Today : Vendredi 22 Mai 2015


Click Here for more CAC 40 Charts.



(CercleFinance.com) - Le CAC40 est passé à un cheveu du 'sans faute'
avec un '4 sur 5' à la hausse: le CAC40 s'effrite de -0,07% ce vendredi,
dans des volumes tellement anémiques (à peine 2,4MdsE à 17H29) qu'une
série d'applications techniques a été orchestrée pour gonfler
artificiellement les volumes de 30% d'un coup, à 3,08MdsE à 17H35.

Pour
résumer la semaine: en dehors du coup de 'booster' de mardi (le verbe
magique de la BCE), plus personne n'intervient sur le marché.

Pas
d'acheteurs (mais où sont donc ces cohortes de gérants ayant raté la
hausse et avides de profiter de tout repli des cours pour se renforcer
?) et encore moins de vendeurs (que la BCE s'acharne à 'détruire' avec
acharnement à coup de 'petites phrases' pour éviter le déclenchement
d'un dégonflement de la bulle sur cassure de supports bien identifiés).

Une
sorte de jeu de dupes où seul les 'flux' hyper volatils circulant via
des ETF (on en ressort aussi vite qu'on y rentre) font la tendance et où
vendeurs et acheteurs se retirent du marché dès qu'une tendance inverse
se dessine (disparition systématique de la contrepartie).

Si le
CAC40 n'a pu accrocher les 5.150Pts, c'est peut-être lié au repli du Dow
Jones et du S&P qui perdaient 0,2% en moyenne entre 17H et 17H35...
mais la semaine s'achève sur un gain global de +3% dont 80% proviennent
de la magie du verbe de Benoît Coeuré et Christian Noyer évoquée plus
haut.

Cette séance de vendredi s'est avéré littéralement
soporifique mais cela fait 96H que cela dure (depuis mardi, 9H15): la
volatilité s'est effondrée une fois passé le premier quart d'heure de
hausse rugissante (la BCE a pratiquement ordonné aux marchés de grimper
de +2,5% pour s'éloigner de la 'zone de danger') et le CAC40 oscille
depuis plus de 33 heures (de cotations mises bout à bout) entre 5.090 et
5.150Pts (un corridor d'à peine plus de 1,2%).

L'Euro-Stoxx50 lâche -0,25% dans le sillage du DAX (-0,42%) et de Madrid (-0,36%).
A
noter ce scénario qui se répète comme un copier/coller depuis mercredi:
consolidation le matin, remontée en territoire positif à 90 minutes de
la clôture (si possible jusqu'au coup de cloche final).
Probablement le même scénario algorithmique destiné à écraser la volatilité, peu importe la teneur de l'actualité du jour.

'Techniquement,
nous sommes toujours dans un canal de progression, dont la tendance
haussière à moyen terme confirme son potentiel jusqu'à l'oblique long
terme des 5.400 points', assure toutefois Barclays Bourse.

Les
opérateurs ont pris connaissance ce matin d'un repli de 0,1 point le
mois dernier de l'indice Ifo du climat des affaires en Allemagne, à
108,5 points. S'il diminue pour la première fois après six mois
consécutifs de hausse, les économistes l'attendaient toutefois en baisse
plus sensible autour de 108,2 points... et la croissance allemande est
confirmée à +0,3%.

De l'autre côté de l'Atlantique, les prix à la
consommation ont progressé de 0,1% aux Etats-Unis en avril, ralentis
par les prix du gaz et de l'essence, mais les prix 'core' (hors énergie
et alimentation) ont progressé de +0,3%.

Cette légère hausse est
globalement conforme aux attentes du consensus mais elle déclenche une
vive remontée du Dollar de 1,11 vers 1,1025/Euro.

Les T-Bonds US se montrent moins impressionnables avec une tension marginale de 2Pts de base à 2,2250%.

Du
côté des valeurs, on signalera surtout le bond de 14,3% du titre Soitec
(à 0,88E) après l'annonce hier soir la cession de son activité systèmes
solaires à ConcenSolar.

Essilor reste leader du CAC40 avec un peu spectaculaire +1,7%, devant Vivendi avec +1,13% puis BNP avec +0,95%.

Côté
repli, Kering chutait de -2,05% dans le sillage de Richemont, Bouygues
lâche -2,1% et Orange -1,55% (son PDG -Stéphane Richard- est de nouveau
inquiété dans l'affaire de 'l'arbitrage Tapie).
543 de 545 - 14/8/2015 19:01
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

PARIS (Reuters) - Les valeurs du jour vendredi à la Bourse de Paris, qui a fini en baisse, pénalisée par les secteurs de l'énergie et des banques dans un environnement également marqué par l'annonce d'une croissance un peu plus faible qu'attendu au deuxième trimestre en zone euro.

L'indice CAC 40 a reculé de 0,61% à 4.956,47 points, portant à 3,85% son recul sur l'ensemble d'une semaine boursière marquée par les effets de la dévaluation du yuan sur les marchés financiers:

* EDF a abandonné 2,33% à 20,785 euros, plus forte baisse du CAC 40, RBC ayant ramené sa recommandation sur le titre de "surperformance" à "performance en ligne" et son objectif de cours de 29 à 24 euros en soulignant les effets de la pression sur les prix de l'électricité.

* Le secteur de l'ÉNERGIE (-0,95%) a enregistré la plus forte baisse sectorielle en Europe dans le sillage des cours du pétrole (-0,55% pour le Brent vers 18h) sur fond de craintes de surproduction et d'inquiétudes entourant le ralentissement des économies émergentes.

CGG a cédé 1,4% à 3,947 euros, TECHNIP 1,05% à 49,175 euros et TOTAL 0,86% à 44 euros. VALLOUREC (-2,76% à 12,525 euros), qui a accusé la plus forte baisse du SBF 120, va en outre quitter l'indice MSCI France à la fin du mois.

* LAFARGEHOLCIM a perdu 1,99% à 60,14 euros. Des analystes rappellent que les résultats publiés par le groupe au titre du deuxième trimestre ont déçu et nourri quelques doutes à court terme.

* Les BANQUES EUROPÉENNES ont fini en repli de 0,46%. Neuf banques, dont BNP Paribas, ont accepté un règlement négocié aux Etats-Unis pour mettre fin à une plainte en nom collectif d'investisseurs s'estimant floués par des manipulations frauduleuses sur le marché des changes.

CREDIT AGRICOLE a perdu 1,06% à 12,615 euros, BNP PARIBAS 0,92% à 58,15 euros et SOCIETE GENERALE 0,61% à 46,70 euros.

* AIR FRANCE-KLM a cédé 1,26% à 6,211 euros. La direction d'Air France a décidé de poursuivre son action en justice sur la mise en oeuvre du plan de restructuration "Transform" et a assigné au fond le syndicat des pilotes SNPL.

* En revanche, certaines VALEURS ayant subi le choc de la dévaluation du yuan cette semaine reprennent quelques couleurs à l'image du secteur automobile : RENAULT (+1,18% à 83,25 euros) et PSA (+0,35% à 17,07 euros).

* SAFRAN a grimpé de 2,37% à 70,88 euros, plus forte des cinq hausses du CAC 40. Plusieurs analystes continuent de saluer la solidité de la publication semestrielle du groupe, également marquée par un relèvement de ses objectifs 2015.

* De son côté, THALES (+2,14% à 62,59 euros) a compté parmi les plus fortes progressions de l'indice SBF 120. L'équipementier a retouché son plus haut historique inscrit au début du mois, à 63,26 euros, Goldman Sachs se montrant plus optimiste que le groupe pour sa marge opérationnelle à l'horizon 2017-2018.

* INGENICO (+5,63% à 127,60 euros) a signé un nouveau plus haut historique, à 129,25 euros, et fini en tête des hausses du SBF 120 alors qu'il va rejoindre à la fin du mois l'indice MSCI World.

* KLÉPIERRE a grimpé de 3,25% à 42,58 euros, ABN Amro saluant le redressement de la foncière après ses résultats semestriels et ayant relevé sa recommandation sur la valeur de "conserver" à "acheter".

(Alexandre Boksenbaum-Granier, édité par Dominique Rodriguez)

544 de 545 - 23/8/2015 19:31
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Garder son sang-froid

23/08/15 à 18:19 - Investir.fr 0 Commentaire(s)

La Bourse de Paris a connu sa pire semaine depuis décembre 2014. Les investisseurs redoutent un ralentissement brutal en Chine. Ils vont peut-être un peu vite en besogne.

Garder son sang-froid Garder son sang-froid

Si l'on doit qualifier la météo boursière de cette seconde quinzaine du mois d'août, l'adjectif le plus approprié est bien évidemment orageuse.

Après le soleil radieux qui avait réchauffé les marchés en juillet (+ 6,1 % de hausse du Cac 40), de sombres nuages sont venus assombrir l'horizon. En un peu plus de deux semaines, le Cac 40 est passé, en chiffres ronds, de 5.200 points le 5 août à 4.650 le 21. Alors que l'on s'interrogeait au début du mois sur la possibilité d'un retour de l'indice vers ses plus hauts niveaux annuels (il en était à moins de 4 %), il est maintenant revenu aux basses eaux dans lesquelles il évoluait début juillet au lendemain de la victoire du non au référendum grec.

Si l'hypothèque Grexit a été en partie levée grâce à l'accord pour un troisième plan de sauvetage (les élections anticipées qui viennent d'être annoncées pourraient, toutefois, de nouveau semer le trouble), la menace chinoise se précise. Elle était déjà présente : cela fait des mois que l'on s'inquiète du ralentissement de l'économie de ce pays. Il arrive, tous les derniers chiffres l'ont montré (immatriculations d'automobiles, exportations, production industrielle et, vendredi, indices PMI).

Il reste à connaître son ampleur. S'il est très brutal, les conséquences seront lourdes. La Chine a été, au cours des dernières années, LE moteur de l'économie mondiale. Depuis près de quinze ans, on lui doit un tiers de la croissance de la planète. En revanche, si les autorités chinoises montrent, comme elles ont toujours su le faire jusqu'à présent, leur aptitude à piloter les évolutions et permettent que l'atterrissage se passe sans trop de heurts, il ne s'agira que d'une étape clé dans la transition annoncée de l'économie chinoise vers un système moins exportateur.

Pour l'heure, nous estimons que les investisseurs ont, absence de volumes estivaux aidant, paniqué un peu vite en retenant la première hypothèse. C'est pourquoi nous ne modifions pas nos scénarios pour l'ensemble de l'année. Nous accordons toujours une probabilité de 30 % à un indice se situant entre 4.800 et 5.100 points en fin d'année et 40 % entre 5.100 et 5.400 points. Cela peut paraître osé aujourd'hui mais semblait prudent il y a seulement deux semaines. Il faut savoir naviguer avec cette volatilité extrême des marchés. Pour ne prendre l'exemple que de l'an dernier, le Cac 40 avait connu, en octobre et en décembre, des décrochages assez similaires à celui que nous connaissons à l'heure actuelle.

Comme toujours, l'évolution globale de l'indice masque des situations très différentes d'une valeur à l'autre. Dans le tableau ci-contre, nous avons fait figurer le palmarès du Cac 40 depuis le point haut du marché le 5 août. Les valeurs « chinoises », automobile, luxe et produits de base en tête, ont été les plus affectées. A l'inverse, les sociétés qui, lors des publications semestrielles, avaient rehaussé leurs objectifs, comme Unibail-Rodamco, Safran ou Vinci (ou Sopra Steria, Ingenico, Thales, hors Cac 40), ont résisté.

Il faut aussi profiter de ces périodes de secousses sur les marchés pour recomposer son portefeuille.

545 de 545 - 24/8/2015 20:22
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

CAC 40 (EU:PX1)
Graphique Intraday de l'Index

Aujourd'hui : Lundi 24 Août 2015

Plus de graphiques de la Bourse CAC 40 (CercleFinance.com) - Le CAC40 ne cède 'que' -5,35% à 4.383Pts, après avoir affiché jusqu'à -8,2%: l'indice phare évoluait alors au contact des 4230Pts, en territoire négatif depuis le 1er janvier.
L'Euro-Stoxx50 dévisse de -5,35% également, à 3.073Pts après avoir effectué vers 15H35 une incursion sous les 3.000Pts (cela représentait -5% depuis le 1er janvier).



Les indices US étaient déjà dans le rouge sur 2015 depuis jeudi dernier et ils ont flirté avec leurs planchers d'octobre dernier en début de séance.



La Maison Blanche et la FED peuvent bien 'envoyer tout ce qu'elles ont sous la main' (c'est à dire mobiliser les grandes banques d'affaires agissant comme 'plunge protection team', faire circuler des rumeurs sympathiques sur la poursuite d'une politique d'argent gratuit, prier les fonds de retraite de profiter des soldes, etc.), cela ne changera rien au fait qu'un vrai krach boursier à bien eu lieu.



Il s'agit d'un scénario original, d'abord du point de vue du 'timing' (au mois d'août... avant, pendant puis au lendemain des '3 sorcières) puis du scénario intraday avec un Nasdaq Composite ouvrant chute libre de -8,2% tandis que le Dow Jones perdait -1.000Pts.



Peu importe que les cours remontent à Wall Street et que les 'pompiers' des marchés fassent leur boulot avec la délicatesse d'un bulldozer en surrégime sur ordre de la FED, pour nombre d'opérateurs, c'est 'game over'.



Et quelle torpille sous la ligne de flottaison du discours hégémonique présentant les actions comme presque aussi sures et tellement ^plus rentables que les bons du Trésor !



Les marchés financiers ont affiché des écarts intraday dont les spéculateurs les plus 'risque tout' (avec des leviers de forcenés) ne se remettront pas, notamment sur le FOREX avec un brutal décalage du Dollar à la baisse (le plus violent depuis 3 ans) alors que l'anticipation d'une hausse de taux par la FED mi-septembre s'évanouit littéralement.



Une chute de -2,5% du billet vert, voilà encore une très mauvaise configuration technique pour l'Europe alors que la Chine apparait soudain sur la mauvaise pente en terme de croissance.



Car c'est également la journée où les discours fallacieux sur la croissance chinoise volent en éclat.



Et non, cela fait bien longtemps que la croissance chinoise n'avoisine plus les 7%... et si c'était encore du +5%, ce serait bien plus favorable que ce que les chiffres de consommation d'électricité et de négoce de conteneurs suggèrent.



Oui, les marchés se mentaient depuis des trimestres, parce que la vérité était 'trop moche' pour être divulguée 'tel que'... et que personne n'avait envie de l'entendre, même murmurée.



Ce sont finalement les milieux d'affaires chinois qui ont dissipé les illusions des 'experts' occidentaux en faisant s'effondrer Shanghai de -8,5% ce lundi matin (et de -38% en 2 mois)... ce qui a provoqué une réaction en chaine de Tokyo (-4,6%) à Taïwan (-7%), Singapour (-4%) ou Bombay (-6%).



Pour en revenir aux places européennes, toutes les caractéristiques d'un Krach ont été réunies ce lundi avec notamment un emballement algorithmique et une absence de contrepartie jamais vue depuis le 6 mais 2010.



Sans oublier un Nasdaq Composite affichant un 'gap' baissier de -400Pts, du jamais vu depuis 1987, voir jamais de son histoire.



Une reprise en main musclée se dessine donc ce soir à Wall Street avec des pertes réduites à moins de 1% de repli à la mi-séance... une résilience qui devient grotesque tant le contexte rend absurde la remontée du Nasdaq à l'équilibre, comme s'il échappait à l'attraction terrestre.



Signe de la globalité du phénomène et de son extrême gravité, les marchés des changes sont complètement déstabilisés, la volatilité explose avec un Euro grimpant jusqu'à 1,117$ (soit +2,8% et +1,5% ce soir) et un yen qui remontait également comme une fusée, alors même que Tokyo dévissait ce matin.



Tout le monde pointe du doigt la Chine qui serait également responsable du bain de sang sur les matières premières et en particulier le pétrole avec une désintégration de -5% à 38,2$ (après une incursion sous 38$).



A Paris, Total dévisse de -8%, Technip de -7,1%, Maurel et Prom affichait -9%; Engie et Kering lâchaient -7,1% et -8,2%.
Aucune valeur du CAC40 ne perd moins de 3% mais Peugeot et Renault affichaient jusqu'à -9%, des défensives comme Pernod ou Accor, de -7 à -7,5%.

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