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Royal Dutch Shell

- 28/10/2015 10:53
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

(CercleFinance.com) - Après avoir renoncé, le mois dernier, à un projet offshore au nord de l'Alaska, la major pétro-gazière Royal Dutch Shell continue de sabrer ses actifs d'Amérique du Nord. C'est cette fois le projet de Carmon Creek, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta réputé pour ses sables bitumineux et dont le potentiel était chiffré à 80.000 barils/jour, qui passe à la trappe. Ce qui occasionnera une charge pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars sur les comptes du 3e trimestre, attendus le 29 octobre.

Le projet était sur la sellette depuis mars 2015. Hier, Shell a annoncé qu'après avoir passé en revue le projet d'un point de vue technique et avoir mis à jour ses hypothèses de coûts, il ne considérait plus, en l'état actuel des choses, que Carmon Creek pouvait figurer au sein de son portefeuille d'actifs.

Le directeur général, Ben van Beurden, a déclaré que cette décision s'était imposée au groupe en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du pétrole.

L'un de problèmes dénoncés le plus clairement : l'absence d'infrastructure permettant de transporter le brut qui aurait été extrait de ce projet vers les “marchés pétroliers globaux”.

Les travaux de développement du gisement seront gelés et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, une maintenance minimale des infrastructures actuelles sera de rigueur.

De ce fait, les comptes du 3e trimestre seront grevés par une provision pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars (1,8 milliard d'euros environ).



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21 de 245 - 03/12/2015 13:08
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

(CercleFinance.com) - Alors que le terme de la fusion de Shell (London: RDSB.L - actualité) et de BG Group (London: BG.L - actualité)

se rapproche, les analystes de Nomura saluent ce matin l'avis positif

sur la future opération rendu par un régulateur australien, le FIRB. Le

bureau d'études confirme par la même occasion son conseil d'achat sur la

valeur pétro-gazière anglo-néerlandaise, ainsi que son objectif de

cours de 1.900 pence.



A la Bourse de Londres, l'action Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité) de classe A prend 0,3% à 1.669 pence



Shell

a annoncé ce matin que l'autorité administrative australienne

supervisant les investissements étrangers, l'Australian Foreign

Investment Review Board (FIRB), avait 'formellement' validé le

rapprochement. Le FIRB était l'avant-dernier régulateur qui devait se

prononcer sur la mégafusion : c'est désormais à la Chine, par la voix du

ministère du Commerce (MOFCOM), de parler.



Nomura se félicite

que cette nouvelle étape a été franchie, ce qui ouvre la voie à une

concrétisation du rapprochement au début de l'année 2016 : '16 des 17

validations réglementaires clés (dont 12 étaient inconditionnelles) ont

déjà été obtenues', calculent les spécialistes.



Et maintenant ?

Nomura suppute que le MOFCOM pourrait rendre son avis au début du mois

de janvier, sans poser de problème selon Nomura. Ensuite, la fusion

serait bouclée au cours du premier trimestre 2016.



Si en Bourse

l'action Shell reste mal aimée, ne peut que constater Nomura, les

raisons de l'apprécier ne manquent pas. Le rapprochement avec BG va

tirer vers le bas sa structure de coûts ; le portefeuille d'actifs offre

une large potentiel de rationalisation ; les économies se poursuivent

et les synergies de fusion pourraient dépasser les cinq milliards de

dollars ; et enfin à 60 dollars le baril à horizon 2017, le cash-flow

couvre le dividende, soulignent les spécialistes.



Et les

analystes de conclure : 'l'heure est au contrôle des coûts, mais demain

le focale se déplacera vers la thématique de la croissance'. Ce qui

devrait d'autant mieux se passer que le portefeuille du groupe est de

qualité et offre, selon Nomura, une bonne visibilité à horizon 2020.

22 de 245 - 10/12/2015 07:24
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002



Publié le 10/12/2015 à 00h55

(Boursier.com) — Face au plongeon des cours du pétrole, les acteurs
des services pétroliers cherchent à se rapprocher, à l'instar de Halliburton et Baker Hugues aux Etats-Unis.

En France, des sources proches du dossier citées mercredi par l'agence 'Reuters', ont affirmé que le français Technip envisagerait de se vendre, et qu'il aurait discuté avec son concurrent américain FMC Technologies en vue d'un rapprochement.

En
Bourse, ces informations ont fait bondir mercredi l'action de Technip
de 5,5% en séance avant une clôture en progression plus modeste de 3,57%
à 45,375 euros. A Wall Street, le titre de FMC Technologies a gagné
2,3% et prenait encore 5% en cotations post-séance.

Technip et FMC
Technologies, qui affichent des capitalisations respectives de 5,3
milliards d'euros et 6,8 Mds$ (6,2 MdsE), ne se sont pas encore
accordées sur les modalités d'un accord et rien ne permet d'assurer
qu'ils y parviendront, ont précisé les mêmes sources. Les deux groupes
se connaissent bien puisqu'ils avaient annoncé en mars le lancement
d'une coentreprise à 50-50 spécialisée dans le développement et
l'exploitation de champs sous-marins.

Toutefois, Technip a eu des
discussions avec d'autres acquéreurs potentiels, a précisé l'une des
sources. Rappelons que le groupe français avait tenté l'an dernier de
fusionner avec un autre français CGG, mais que les discussions n'avaient pas abouti à un accord.

23 de 245 - 11/12/2015 13:30
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

L'action
Royal Dutch Shell bénéficie d'une configuration technique intéressante
et pourrait profiter du rebond des cours du pétrole.



Techniquement, le titre se situe proche de ses supports journaliers et
hebdomadaires. La configuration technique actuelle permet d'envisager un
rebond significatif d'autant plus que ce mouvement s'est initié depuis
plusieurs séances. Le niveau de survente des indicateurs mathématiques
et notamment du RSI complète les critères positifs du sous-jacent.



Compte tenu de ces éléments techniques, le timing apparaît opportun pour
se positionner à l'achat sur Royal Dutch Shell dans la zone de cours
actuelle pour profiter du soutien conféré par les supports moyen et long
terme.

On pourra viser dans un premier temps la zone des 23.35 EUR, soit un
potentiel d'environ 10% avec un stop de protection positionné sous le
support moyen terme actuellement testé.






Royal Dutch Shell : Royal Dutch Shell : Un rebond technique en formation


equipeZB_25.jpg

Etienne Veber

24 de 245 - 14/12/2015 10:53
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004



Publié le 14/12/2015 à 08h26

(Boursier.com) — Le rachat de BG Group par Royal Dutch Shell
est sur la bonne voie après que les autorités chinoises eurent donné
leur feu vert à l'opération de 47 milliards de livres (65 milliards
d'euros). Après l'aval des autorités brésiliennes, européennes,
américaines et australiennes, le groupe anglo-néerlandais a donc franchi
le dernier obstacle réglementaire. Royal Dutch Shell va désormais
soumettre le plan de fusion aux actionnaires des deux entreprises,
l'objectif étant d'arriver à une finalisation de l'opération au début de
2016. Une fois la transaction bouclée, Shell deviendra le numéro un
mondial du gaz naturel liquéfié.

25 de 245 - 18/12/2015 11:55
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Le Crédit Suisse a dévoilé une
sélection de 16 actions européennes pour 2016, qui sont censées tirer
parti d'un environnement de croissance faible, où l'incertitude est
encore élevée sur les cycliques et où les résultats plafonnent. L'équipe
de recherche a choisi de jouer le potentiel de changement intrinsèque
d'une entreprise. Il n'y a pas de valeur purement française dans la
sélection, mais ce qui s'en rapproche le plus est le dossier LafargeHolcim (Other OTC: HCMLF - actualité) (objectif 71 francs). Les autres valeurs préférées sont IAG, Fiat Chrysler, Rentokil, Philips (Amsterdam: PHIA.AS - actualité) , Syngenta (London: 0QOP.L - actualité) , Unilever (NYSE: UL - actualité) , Aviva (Other OTC: AIVAF - actualité) , Nokia (Milan: 23568.MI - actualité) , Glencore (Xetra: A1JAGV - actualité) , Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité) , Smurfit Kappa (London: SKG.L - actualité) , ThyssenKrupp (Xetra: 750000 - actualité) , Intercontinental Hotels (Other OTC: ICHGF - actualité) , E.ON et Tofas....


Retrouvez cet article sur Boursier.com

26 de 245 - 22/12/2015 21:27
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

LONDRES (Reuters) - Royal Dutch Shell a de nouveau réduit jeudi ses
projets d'investissements pour 2016, de deux milliards de dollars à 33
milliards (30 milliards d'euros), au vu de la glissade des cours de
pétrole.

Le géant pétrolier anglo-néerlandais a par ailleurs
estimé que sa fusion avec le groupe gazier BG Group, qu'il compte
conclure le 15 février, lui permettra de réaliser pour 3,5 milliards de
dollars de réductions de coûts et de maintenir son dividende à 1,88
dollar par action en dépit de la baisse des prix du pétrole,
actuellement au plus bas en 11 ans.

"Le conseil d'administration a
la conviction que la situation financière du groupe sortira renforcée
de cette transaction", a déclaré le président Chad Holliday dans un
communiqué à l'occasion de la publication des prospectus pour les
assemblées générales de Shell et de BG qui auront à approuver la fusion.

"Cela
devrait améliorer la capacité de Shell à assurer à la fois son
dividende et ses investissements. Le résultat sera un groupe plus
compétitif et plus fort, pour les actionnaires des deux parties, dans
l'environnement actuel de volatilité des prix du pétrole."

Les actionnaires de Shell se prononceront le 27 janvier et ceux de BG le lendemain.

BG
a fait savoir de son côté que son directeur général, Helge Lund, et son
directeur financier, Simon Lowth, quitteraient le groupe une fois la
fusion réalisée.

Le projet de fusion avait été annoncé en avril
pour un montant de 70 milliards de dollars, qui représentait alors une
prime de 50% par rapport au dernier cours de clôture de BG.

Shell a
indiqué que ses investissements auront totalisé 29 milliards de dollars
en 2015, en ligne avec sa précédente prévision qui était d'un peu moins
de 30 milliards.

(Ron Bousso et Karolin Schaps, Véronique Tison pour le service français)

27 de 245 - 23/12/2015 10:15
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

(CercleFinance.com) - Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité)

a mis à jour hier soir ses prévisions à la lumière du nouveau

décrochage des cours de l'or noir en cette fin d'année 2015. La major

pétro-gazière anglo-néerlandaise a de nouveau abaissé ses budgets

d'investissements pour 2015 comme 2016. Concernant la fusion avec BG

Group (London: BG.L - actualité)

qui s'annonce, pas de relution en vue sur le bénéfice par action ajusté

avant 2017. Et encore : en retenant l'hypothèse d'une remontée, d'ici

là, du baril de brut à 65 dollars.



Quoi qu'il en soit, à Amsterdam, l'action Shell (London: RDSB.L - actualité) de classe A prend 2,2% à 20,7 euros, surperformant légèrement l'indice AEX 25 (+ 1,9%).



Elément

nouveau parmi les déclarations de Shell : le budget d'investissement,

qui en 2014 était de l'ordre de 37 milliards de dollars, est cette année

attendu non plus vers 30 milliards, et non plus vers 29 milliards.



En

2016, Shell qui à cette date devrait avoir intégré BG Group, ne table

plus sur une enveloppe de l'ordre de 35 milliards, mais plutôt de 33

milliards 'selon les conditions de marché actuelles'. Pour mémoire, en

2014, les 'capex' combinées de Shell et de BG Group atteignaient 47

milliards.



Quid des cessions d'actifs ? Alors qu'en 2014 et 2015

elles devraient atteindre 20 milliards de dollars environ, elles sont

attendues à 30 milliards sur la période 2016/2018.



Shell a aussi

refait le point sur ses prévisions financières concernant la future

fusion avec BG Group, peinant à masquer le caractère peu avantageux du

'deal' dans les conditions de marché actuelles. Le Brent cote moins de

37 dollars le baril.



Shell s'attend à ce que rapprochement avec

BG soit relutif sur le cash-flow opérationnel en 2016, en retenant

l'hypothèse d'un baril à 50 dollars ou plus l'an prochain. On en est

loin. Concernant le bénéfice par action, pas de relution avant 2017, en

données ajustées des éléments exceptionnels et en retenant l'hypothèse

d'un baril à 65 dollars.



Le groupe compte enfin verser un dividende total de 1,88 dollar par action au titre de 2016.



Shell,

qui entend l'année prochaine concrétiser sa fusion avec le groupe

gazier BG Group, rappelle la solidité de son bilan, son 'gearing' (ratio

de dette nette / fonds propres) étant de 12,7% à fin septembre, malgré

la chute du brut.



Les coûts opérationnels du groupe, qui en 2015

devraient diminuer de 4 milliards de dollars (- 10% environ), devraient

de nouveau baisser de 3 milliards en 2016, date à laquelle ils seraient

inférieurs de 15% à leur niveau de 2014



Shell rappelle qu'en plus

des 7.500 suppressions de postes annoncées cet été, 2.800 autres

suppressions sont attendues dans le sillage de la fusion avec BG Group.

28 de 245 - 25/12/2015 09:38
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002


Royal Dutch Shell: Buy The Drop

Dec. 24, 2015 5:52 AM ET

| 33 comments

| About: Royal Dutch Shell plc (RDS.A), RDS.B


Disclosure: I/we have no positions in any stocks mentioned, and no plans to initiate any positions within the next 72 hours. (More...)

Summary

Shell shares have taken a beating this
year, but the company has been able to maintain its gross margin despite
the steep drop in oil prices.

Shell’s downstream segment has been a boon
for it as earnings from this segment increased 46% year over year on
the back of strong refining margins and base chemical demand.

Shell will continue seeing downstream
growth as the spare capacity in the refining industry will continue
declining, while demand for base chemicals is set to increase in the
long run.

Driven by supply chain optimization,
competitive scoping, and efficient execution, Shell has managed to bring
down its costs, both capital and operating, by a wide margin.

Even though Royal Dutch Shell (NYSE:RDS.A) (NYSE:RDS.B)
has lost close to 30% of its market capitalization this year, the
company has been successful to some extent in mitigating the weakness
due to the end-market situation. In fact, as shown in the chart given
below, Shell has managed to keep its gross margin intact despite the
massive drop in crude oil prices:

RDS.A Gross Profit Margin (<a href=

RDS.A Gross Profit Margin (TTM) data by YCharts

Thus,
it is evident that Shell has been making the right moves in order to
counter the weakness in the oil patch. This will allow the company to
bring about improvements in its financial performance in case of a
recovery in the end market. Let's take a look at what's working for
Shell and why investors should buy the drop in its shares.

Shell's downstream business is a tailwind

Shell's
downstream segment has turned out to be a blessing in disguise in a
weak oil pricing environment. The weakness in crude prices, coupled with
robust demand for refining, is helping Shell drive growth in this segment.

For
instance, last quarter, the downstream segment reported earnings of
$2.6 billion, an increase of 46% as compared to the prior-year period.
In fact, Shell's downstream earnings for the first nine months of 2015
have improved to $8.2 billion from $4.7 billion last year, representing
an increase of 74% year over year. The table below shows the impressive
growth in Shell's downstream segment.

41314476-14509406070479667-Alpha-Investo

Source: Shell

This
strong earnings performance in the downstream segment is attributable
to the robust margins in the refinery and intermediates segment, which
have increased as a result of a reduction in feedstock
and energy costs. Additionally, an improvement in chemical demand has
also allowed Shell to improve the performance of its downstream
business.

More importantly, going ahead, Shell should continue
seeing further improvements in the downstream business as an improvement
in the operating capacity of refiners will lead to further margin
growth. As shown in the chart given below, the spare capacity in the
refining industry will continue declining in 2016, and this will have a
positive impact on refining margins. Additionally, the demand for base
chemicals such as ethylene, propylene, and benzene is anticipated to
continue increasing in coming years, which will further have a positive
impact on the company's downstream segment as well:

41314476-1450940718619671-Alpha-Investor

Source: Royal Dutch Shell

As a result of this anticipated improvement in Shell's downstream business, the company believes that
it will be able to achieve a 10%-12% return on capital employed and
annual operating cash flow of $10 billion from the downstream segment.
Thus, going forward, the downstream segment will continue to aid Shell's
growth and help it mitigate the impact of weak crude oil prices on its
overall business.

Aggressive cost reductions are another tailwind

Shell
is focused on mitigating the effect of lower commodity prices by
reducing operating and capital costs in order to improve the operational
efficiency. It has already achieved its targeted cost reduction of $4 billion this year on the back of project execution improvements, cancellations, project deferrals, and project re-scoping.

Also,
the efficiency improvements in drilling and completion methods, along
with staff reductions and negotiation for lower contract rates from
service providers has led to terrific cost reductions in 2015. In fact,
as shown in the chart given below, Shell's operating costs for heavy oil
will come down approximately 20% this year, while operating costs for
North America Shale are expected to decrease around 35% in 2015 as shown
in the chart below.

41314476-1450940742680626-Alpha-Investor

Source: Royal Dutch Shell

In
addition, Shell has also deployed initiatives to improve its capital
efficiency, such as supply chain optimization, competitive scoping, and
efficient execution on the back of affordable technology. These
initiatives have helped the company reduce its capital expenditure by
approximately 20% to $30 billion this year. More importantly, Shell will
carry on its aggressive cost reductions next year as earlier this week,
it slashed its 2016 capex guidance by another $2 billion.

This
will result in a decline of 30% in capital expenses next year.
Additionally, Shell's operating costs are expected to drop to the tune
of another 10%, or by $4 billion. Thus, on the back of aggressive cost
reductions and capital savings, Shell will be able to mitigate any
further weakness in oil pricing.

Conclusion

Thus,
Shell has been taking the right steps to overcome the weakness in crude
oil pricing. The company's downstream segment has been a key growth
driver for it in difficult times, and the trend should continue going
forward. Additionally, Shell's aggressive cost reduction moves are
another positive that investors should not ignore. So, in my opinion,
investors should think of buying the drop in Shell's shares as it is
doing well despite the end-market weakness, and it will be able to
recover strongly when things improve.

29 de 245 - 07/1/2016 15:07
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Voici le message adressé ce jeudi par les
marchés pétroliers aux investisseurs: ne cherchez pas à attraper un
couteau qui tombe.



Les cours mondiaux du bruticon1.png
se retrouvent de nouveau sous pression, revenant au plus bas depuis
plus de 10 ans, après les nouvelles turbulences boursières observées
cette nuit en Chine, dans un contexte international de surproduction
massive. A la mi-journée, les contrats à terme sur le baril de Brent
arrivant à échéance en février s'inscrivent en repli 75 cents à environ
33,50 dollars. Ceux sur le baril de WTI, la référence aux Etats-Unis, se
replient quant à eux à un peu plus de 32 dollars, au plus bas depuis
décembre 2003.



Sur les marchés d'actions, les titres
liés au pétrole sont durement sanctionnés. A la Bourse de Paris, Total
(FP.FR), Maurel & Prom (MAU.FR) et Vallourec (VK.FR) chutent
respectivement de 7,8%, 4,4% et 3,6%. Ailleurs en Europe, les poids
lourds du secteur, tels que BP (BP.LN), Royal Dutch Shell (RDSA.LN) ou
encore Repsol (REP.MC), abandonnent entre 4% et 6%.





Le marché n'a pas encore "capitulé"





Serait-ce le moment pour les investisseurs les plus téméraires de repasser à l'achaticon1.png?
Rien n'est moins sûr. Malgré l'ampleur de la correction boursière
observée depuis plus d'un an, les signes d'une "capitulation" boursière
susceptible d'ouvrir la voie à un éventuel rebond durable ne sont pas
encore visibles.



Ainsi, par exemple, malgré un repli de
43% par rapport au pic atteint en juin 2014, le fond coté (ETF) Energy
Select SPDR, qui traque la performance du secteur de l'énergie au sein
de l'indice boursier S&P 500, se situe actuellement à des niveaux
qui avaient déjà observés en octobre 2011, environ 50% au-dessus du
point bas atteint au plus fort de la crise de 2008-2009. Malgré le
plongeon du brut, les investisseurs sont loin d'avoir cédé à la panique.



Les analystes de Deutsche Bank estiment que les
niveaux actuels de valorisation du secteur américain de
l'exploration-production pétrolière reflètent un prix du brut à long
terme attendu proche de 65 dollars le baril. Ceci peut sembler faible au
regard des cours observés entre début 2011 et mi-2014, période où le
prix du baril de Brent avait oscillé autour de 110 dollars. Mais à
l'époque la croissance des pays émergents était nettement plus
prometteuse et leur appétit pour les matières premières semblait
insatiable.





2016 s'annonce pire que 2015





L'année qui s'amorce pourrait se révéler encore pire que 2015, ont averti les analystes de la sociétéicon1.png
de gestion Oppenheimer. Selon eux, les activités de raffinage, seul
point de positif pour le secteur l'an dernier, risquent de voir leur
marges se contracter et ne seront pas en mesure de répéter les
excellentes performances de 2015. Oppenheimer prévient aussi que le
faible nombre d'opérations de fusion-acquisition observée jusqu'ici
illustre le fossé séparant encore les attentes des vendeurs et des
acquéreurs potentiels, en termes de prix.



Compteicon1.png
tenu du caractère insoutenable des cours pétroliers actuels pour une
bonne partie de la filière et du rebond anticipé par le marché pour les
prochaines années, le secteur de l'exploration-production représente
sans doute une occasion d'achat. Encore faudra-t-il que les
investisseurs sachent et puissent se montrer patients. Le point bas n'a
sans doute pas encore été atteint et le retour en grâce n'est pas pour
demain.





-Spencer Jakab et Yann Morell y Alcover, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; yann.morellyalcover@wsj.com ed: ECH





"Le Market Blog" est le blog économique et financier du Service français de Dow Jones Newswires.





(END) Dow Jones Newswires



January 07, 2016 06:53 ET (11:53 GMT)

30 de 245 - 08/1/2016 11:10
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Vendredi 8 Janvier 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell B

Les autorités de régulation canadiennes ont accordé une licence
d'exportation d'une durée de 40 ans à un consortium mené par Royal Dutch
Shell (RDSA.LN) pour un projet de gaz naturel liquéfié (GNL) prévu sur
la côte ouest du Canada.



L'Office canadien de l'énergie
a accordé ce permis, le plus long jamais attribué, après avoir reçu la
demande de Shell et de ses partenaires en juillet.




Cette autorisation intervient à une période difficile pour Shell et ses
partenaires, pénalisés par la chute des cours du pétrole bruticon1.png et du gaz naturel liquéfié.




Le projet du consortium, baptisé LNG Canada, permettra de livrer du
gaz naturel liquéfié aux marchés asiatiques, gros consommateurs
d'énergie. Le terminal LNG Canada n'a pas encore été construit en raison
des inquiétudes sur les coûtsicon1.png et les difficultés pour obtenir les autorisations réglementaires.



La filiale canadienne de Shell contrôleicon1.png
la moitié du projet, auquel participent également PetroChina, à hauteur
de 20%, ainsi que Korea Gas et Mitsubishi avec une participation de 15%
chacun.





-Chester Dawson, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires

31 de 245 - 08/1/2016 13:15
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Shell A (LSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Vendredi 8 Janvier 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell A

Le cabinet de conseilicon1.png
Institutional Shareholder Services (ISS) recommande aux actionnaires
d'approuver l'acquisition de BG Group (BG.LN) par le géant énergétique
anglo-néerlandais Royal Dutch Shell (RDSA.LN), une transaction dont la
valeur avoisine 51 milliards de dollars.



ISS, qui
conseille de nombreux actionnaires importants de Shell, a déclaré dans
un rapport publié vendredi que des "éléments convaincants" montraient
que Shell paie un prix "raisonnable" pour acquérir son concurrent de
moindre envergure, malgré le récent recul des cours du pétrole et la baisseicon1.png de la capitalisation boursière des groupes énergétiques.



Le vote des actionnaires de Shell et BG est prévu respectivement le 27 et le 28 janvier.





-Selina Williams, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



January 08, 2016 05:40 ET (10:40 GMT)

32 de 245 - 17/1/2016 12:15
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

EX DIVI DATE 18 FEB


PAY 29 MARS

33 de 245 - 17/1/2016 20:02
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002



Reuters/Toby Melville

The chief executive of one of the world's biggest firms Royal Dutch Shell (RDSa.L)
warned on Sunday that the oil and gas company would be negatively
impacted were Britons to back leaving the European Union in a
referendum.

Prime
Minister David Cameron is renegotiating his country's membership of the
28-member trading bloc and could reach a deal with EU partners at a
summit next month, paving the way for a public vote as soon as June.

Chief
Executive Ben van Beurden told the Sunday Times newspaper that the
Anglo-Dutch firm, which is currently seeking shareholder approval for
its bid to acquire Britain's BG Group (BG.L), could suffer were Britain to leave the bloc.

ADVERTISING

"We
are a company with a strong heritage in the UK and on the Continent.
There would be a real break between the two, which would affect freedom
of movement of staff, trade — we would be impacted," he was quoted as
saying by the newspaper.

"There will be a
path of divergence, and that will have all sorts of inefficiencies.
That’s not good for companies like ours that thrive by there being no
barriers. That is a fundamental economic aspect of it."

Several
large British businesses have spoken out in favor of the EU, often due
to tariff-less trade which they benefit from, although many smaller
firms have criticized the bloc for imposing what they argue are costly
regulations.

Van Beurden also
said the firm's $48 billion bid for BG Group, which has faced
shareholder criticism as the oil price drops to a 12-year low, made
sense and that he hoped that it would be approved by more than a "narrow
margin."

"This deal makes
sense if over the next 20-30 years the oil price is above the low $60s.
At that level it is value accretive. I think that’s an entirely
reasonable, sensible risk to take," he said.

(Reporting By Costas Pitas; Editing by Elaine Hardcastle)

34 de 245 - 18/1/2016 15:02
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Royal Dutch Shella (EU:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 18 Janvier 2016

Plus de graphiques de la Bourse Royal Dutch Shella

(CercleFinance.com) - Royal Dutch Shell indique avoir décidé de sortir du développementicon1.png

des réservoirs de gaz de Bab sour, dans l'Emirat d'Abu Dhabi, un projet

mené conjointement par le groupe anglo-néerlandais et Abu Dhabi

National Oil Company (ADNOC).



Dans son bref communiqué, la compagnie pétro-gazière explique sa décision par 'une évaluationicon1.png prudente et minutieuse des défis techniques et des coûts de ce projet'.



'L'évaluation

a conclu que pour Shell, le développement de ce projet ne répond plus à

la stratégie du groupe, en particulier dans le climat économique qui

prévaut dans le secteur énergétique', précise-t-il.



A titre indicatif, le cours du pétrole bruticon1.png WTI gravite actuellement un peu en dessous de la barre des 30 dollars le baril, soit la moitié de son niveau de la mi-2015.

35 de 245 - 18/1/2016 19:43
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 18 Janvier 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell B

Royal Dutch Shell (RDSB.LN) a annoncé lundi qu'il abandonnait un
important projet gazier dans les Emirats arabes unis, alors que le géant
pétrolier anglo-néerlandais procède à une vaste refonte de sa
stratégie, dans un contexte marqué par le plus fort décrochage des prix
de l'énergie depuis les années 1980.



Ce projet est la
dernière victime des efforts de Shell pour rationaliser son portefeuille
et réduire ses coûts. Le groupe se prépare à boucler l'acquisition de
BG Group (BG.LN) alors que le prix du baril reste sous forte pression.
Les cours de l'or noir ont encore reculé lundi, tombant à moins de 28
dollars le baril, soit un point bas en 12 ans.



Selon
Shell, la coentreprise dans laquelle il est entré en 2013 avec Abu Dhabi
National Oil Co., ou Adnoc, pour développer les réservoirs de gaz de
Bab ne correspond plus à la stratégie du groupe, "surtout compte tenu du
climat économique actuel dans le secteur de l'énergie".




"Après une évaluation attentive et approfondie des défis techniques et
des coûts, Shell a décidé de se désengager du développement des
réservoirs de gaz de Bab avec Adnoc dans l'Emirat d'Abou Dhabi, et de
mettre un terme à la coopération sur ce projet", a déclaré le groupe
dans un communiqué de presse.



Un porte-parole de Shell a
déclaré que cette décision ne se traduirait par aucune dépréciation,
car le projet en était au stade de la planification et n'avait pas
encore fait l'objet d'investissements importants. Shell a comptabilisé
7,9 milliards de dollars de charges au troisième trimestre après avoir
abandonné un certain nombre de grands projets.





-Sarah Kent et Summer Said, Dow Jones Newswires



(Version française Maylis Jouaret) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



January 18, 2016 13:13 ET (18:13 GMT)

36 de 245 - 20/1/2016 09:29
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a annoncé mercredi
que son bénéfice ajusté avait chuté de 50% au quatrième trimestre,
illustrant à quel point le recul des cours du pétrole perturbe le
secteur énergétique.



Shell a indiqué que son bénéfice
ajusté devrait ressortir entre 1,6 milliard et 1,9 milliard de dollars
au quatrième trimestre, par rapport à 3,3 milliards de dollars à la
période correspondante de 2014.



Pour l'ensemble de
2015, le bénéfice est attendu entre 10,4 milliards et 10,7 milliards de
dollars, contre 22,6 milliards de dollars l'année précédente.



Shell publiera l'intégralité de ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2015 le 4 février.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



January 20, 2016 02:51 ET (07:51 GMT)

37 de 245 - 20/1/2016 12:06
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a annoncé mercredi
que son bénéfice ajusté avait chuté de 50% au quatrième trimestre,
illustrant à quel point le recul des cours du pétrole perturbe le
secteur énergétique, alors que le géant anglo-néerlandais est en passe
de boucler l'acquisition de BG Group.



Shell a indiqué
que son bénéfice ajusté devrait ressortir entre 1,6 milliard et 1,9
milliard de dollars au quatrième trimestre, par rapport à 3,3 milliards
de dollars à la période correspondante de 2014.



Pour
l'ensemble de 2015, le bénéfice est attendu entre 10,4 milliards et 10,7
milliards de dollars, contre 22,6 milliards de dollars l'année
précédente.



Le recul sévère des cours du bruticon1.png
a plombé les bénéfices des groupes pétroliers l'an dernier. En moyenne,
le baril de brut s'échangeait à un peu plus de 40 dollars au quatrième
trimestre, contre 70 dollars un an auparavant. Les cours du pétrole sont
passés sous la barre des 28 dollars mercredi matin en Asie.



Shell publiera l'intégralité de ses résultatsicon1.png du quatrième trimestre et de l'exercice 2015 le 4 février.



A 10h15, l'action perdait 5,1% à la Bourse de Londres, à 1.300 pence, tandis que l'indice FTSE 100 reculait de 2,8%.




Shell est la première major pétrolière internationale à publier des
informations financières sur le quatrième trimestre et l'exercice 2015,
en prévision du vote de ses actionnaires, le 27 janvier, sur
l'acquisition de BG Group dans le cadreicon1.png
d'une opération en numéraire et en actions qui valorise le groupe
gazier et pétrolier britannique aux alentours de 51 milliards de
dollars.



"La finalisation de la transaction avec BG,
qui devrait se faire dans les prochaines semaines, marquera le début
d'un nouveau chapitre pour Shell, dans la perspective de redynamiser le
groupe et d'améliorer la rentabilité pour les actionnaires", a déclaré
le directeuricon1.png général de Shell, Ben van Beurden, dans un communiqué.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



January 20, 2016 04:29 ET (09:29 GMT)

38 de 245 - 20/1/2016 13:45
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Le fonds souverain norvégien a annoncé mercredi
qu'il voterait en faveur de l'acquisition de BG Group (BG.LN) par Royal
Dutch Shell (RDSA.LN) ce mois-ci, en tant qu'important actionnaire des
deux groupes pétroliers et gaziers.



"Norges Bank
Investment Management considère que cette transaction est un
accélérateur de valeur pour les actionnaires de BG et qu'elle est dans
l'intérêticon1.png des actionnaires de Royal Dutch Shell à long terme", a déclaré le fonds dans un communiqué.




Le fonds souverain norvégien, qui pèse 789 milliards de dollars, a
indiqué qu'il soutiendrait cette fusion lors de l'assemblée générale
extraordinaire de Shell qui se tiendra le 27 janvier, ainsi que lors de
l'assemblée générale de BG Group, le 28 janvier.




"L'alliance de BG Group et de Shell crée un leader mondial dans les
activités en eaux profondes et l'énergie, et place le groupe en bonne
position compte tenu de l'environnement actuel marqué par des cours du
pétrole faibles", a déclaré une porte-parole du fonds.




Le fonds souverain détenait à la fin de 2014 une participation de 2,02%
dans Shell et de 5% dans BG Group, représentant respectivement 4,33
milliards et 2,30 milliards de dollars.





-Kjetil Malkenes Hovland, Dow Jones Newswires



(Version française Maylis Jouaret) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



January 20, 2016 06:56 ET (11:56 GMT)

39 de 245 - 21/1/2016 08:29
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Christopher F. Davis

Christopher F. Davis Advice, Analysis And Opinion(899 clicks)

Research analyst, REITs, biotech, small-cap

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Royal Dutch Shell Is Walking The Walk

Jan. 21, 2016 1:54 AM ET| About: Royal Dutch Shell plc (RDS.A)

Disclosure: I am/we are long RDS.A, RDS.B. (More...)

Summary

Oil is under $28 a share now and royal dutch shell is getting crushed.

The company pre-announced its profit expectations and no one should be surprised that its profit is falling.

The dividend that has not been cut since the Second World War.

I describe not just the profit issue but I describe how the company is walking the walk to protect shareholders.

Well
oil is under $28 a share now. This morning as I went for my first cup
of coffee I noticed that gasoline finally was under $2 again in my area.
While this is an immediate tax cut for every American (that's a good
thing), it has caused havoc in the markets. This is especially true for
those directly in the oil sector, including Royal Dutch Shell PLC (NYSE:RDS.A) (NYSE:RDS.B).
This is one of the names that I started buying on the way down,
attracted to the yield and a dividend that has not been cut since the
Second World War. The name has survived every major oil crisis and
despite this immense downturn in oil prices, I am betting the company
and yes its dividend will survive too. That said, no one should be
surprised that its profit is falling.

Just this morning
the company pre-announced some of its results which are supposed to be
released in full in two weeks. The company reported that its profit fell
by almost 50% in the Q4 2015 compared with the Q4 2014. Makes sense
considering the pain in oil prices. So what are we looking at? Well
excluding special items the company is expected to see profit between
$1.6 billion and $1.9 billion, down from $3.3 billion a year earlier.
Its profit for the year will fall to between $10.4 billion and $10.7
billion, down from $22.6 billion in 2014. Ouch. One concern is of course
is the BG merger. It is supposed to be finalized in the next few weeks
but the huge decline in oil prices since the deal was struck has many
concerned with the cost and the value of the deal. I believe the deal
will go through and that the company will do all it can to ensure
profits and protect its dividend. But HOW? Simple. It needs to cut
spending and we are seeing this.

It starts with massive recent job cuts and exploration reductions is the company doing. It has also started selling assets, including its 75% stake in Tongyi, a Chinese lubricant supplier. It has also sold its stake in a Japanese refiner for $1.4 billion. But more big cost savings will come from the reduction in capex. We recently learned
that the company really is going to "pull out all the stops" according
to Chief Executive Officer Ben Van Beurden in a Bloomberg article. The
company is prioritizing its cash for debt service, then dividends and
then a balance between buybacks and capital investment. So, the company
intends to prioritize debt payment initially following completion of the
combination with BG using surplus cash from operations and proceeds
from asset sales to drive debt down. He also believes that the current oil prices are completely unsustainable, of course markets can remain irrational for some time.

What else? Well aside from job cuts aforementioned, there will be another 10,000
job cuts when the merger with BG goes through. The company also
scrapped plans for a huge gas development in the United Arab Emirates to
help streamline its portfolio and cut costs. It also ended its contract with Transocean (NYSE:RIG)
early for the Polar Pioneer project. It will pay a lump sum to end the
contract early, but will save money in the long-term. It sold a New Zealand pipeline to an Australian asset manager for $226 million. Further, Shell has cut its 2016 spending
plan by another $2 billion to $33 billion. It still has room here. Of
course this is a 30% cut from the $47 billion expected from Shell and BG
combination back in 2014.

As you can see the
company is doing what it can to reduce spending. It cannot control oil
prices, and subsequently has little control over revenues. But it can
control spending as best it can. It's a balancing act because cutting
capex too much can be detrimental to the future of the company in a
rebounding oil market. However, it is doing what it can to maintain a
profit, and the company is walking the walk. It is slashing spending, it
is selling off assets and it is cutting jobs to maintain some sort of
bottom line. All of this of course, is protective of the dividend. It is
in no immediate danger. At over a 10% yield I did a little buying today
on this selloff. But I'm in the name for the long haul. With oil at
prices not seen since 2003, one needs to consider being greedy when
others are fearful.

3949741-14533136822468464.png

Source: facebook

Note
from the author: Christopher F. Davis has been a leading contributor
with Seeking Alpha since early 2012. If you like his material and want
to see more, scroll to the top of the article and hit "follow." He also
writes a lot of "breaking" articles, which are time-sensitive,
actionable investing ideas. If you would like to be among the first to
be updated, be sure to check the box
for "Real-time alerts on this author" under "Follow."

40 de 245 - 24/1/2016 13:30
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

DUBAI (Reuters) - L'introduction en Bourse de la compagnie pétrolière
saoudienne Saudi Aramco pourra se faire aussi bien sur le marché local
qu'à l'international, mais les réserves de brut du royaume n'en feront
pas partie, a déclaré son président à la chaîne de télévision al
Arabiya.

"Les réserves ne seront pas vendues, mais la capacité de
la société à produire à partir des réserves est à l'étude", a déclaré
Khalid al Falih à la chaîne satellitaire basée à Dubaï dans un entretien
diffusé dimanche et accordé à Davos, en Suisse, où s'est tenu la
semaine dernière le Forum économique mondial.

Aramco détient des réserves de brut évaluées à 265 milliards de barils, soit 15% du total mondial.

En
cas de mise en Bourse, elle deviendrait la première société cotée
valorisée à 1.000 milliards de dollars (plus de 920 milliards d'euros),
ont calculé des analystes.

(Noah Browning et Hadil al Sayegh, Danielle Rouquié pour le service français)

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Titres Discutés
EU:RDSB 22.75 0.0%
Indices Mondiaux
Australia 0.1%
Brazil -0.2%
Canada -0.7%
France -0.2%
Germany -0.4%
Greece 0.2%
Holland -0.1%
Italy -0.3%
Portugal -1.0%
US (DowJones) -0.1%
US (NASDAQ) 0.0%
United Kingdom -0.1%
Palmarès Hausse (%)
EU:ALMAS 0.01 48.0%
EU:MLWIZ 3.90 31.8%
EU:EGR 2.10 25.0%
EU:VVY 0.90 24.3%
EU:VACBT 0.30 20.0%
EU:ALQGC 0.13 18.1%
EU:MELE 82.80 17.3%
EU:ALORD 0.52 16.9%
EU:SEC 1.38 15.0%
EU:ALUNT 1.80 14.6%