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Royal Dutch Shell

- 28/10/2015 10:53
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

(CercleFinance.com) - Après avoir renoncé, le mois dernier, à un projet offshore au nord de l'Alaska, la major pétro-gazière Royal Dutch Shell continue de sabrer ses actifs d'Amérique du Nord. C'est cette fois le projet de Carmon Creek, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta réputé pour ses sables bitumineux et dont le potentiel était chiffré à 80.000 barils/jour, qui passe à la trappe. Ce qui occasionnera une charge pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars sur les comptes du 3e trimestre, attendus le 29 octobre.

Le projet était sur la sellette depuis mars 2015. Hier, Shell a annoncé qu'après avoir passé en revue le projet d'un point de vue technique et avoir mis à jour ses hypothèses de coûts, il ne considérait plus, en l'état actuel des choses, que Carmon Creek pouvait figurer au sein de son portefeuille d'actifs.

Le directeur général, Ben van Beurden, a déclaré que cette décision s'était imposée au groupe en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du pétrole.

L'un de problèmes dénoncés le plus clairement : l'absence d'infrastructure permettant de transporter le brut qui aurait été extrait de ce projet vers les “marchés pétroliers globaux”.

Les travaux de développement du gisement seront gelés et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, une maintenance minimale des infrastructures actuelles sera de rigueur.

De ce fait, les comptes du 3e trimestre seront grevés par une provision pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars (1,8 milliard d'euros environ).



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245 Réponses
 ...   9   ... 
161 de 245 - 27/10/2017 18:28
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Total, en consortium, obtient un bloc pré-salifère au Brésil






publié le 27/10/2017 à 18h14





Total, en consortium, obtient un bloc pré-salifère au Brésil








Crédit photo © Reuters



RIO DE JANEIRO (Reuters) - Total a remporté vendredi, dans
le cadre d'un consortium conduit par Royal Dutch Shell, le droit
d'explorer un bloc pré-salifère jugé prometteur au Brésil.

Les
deux compagnies pétrolières ont obtenu le bloc pré-salifère Sul de Gato
do Mato lors d'une séance d'enchères et se sont engagées à fournir au
gouvernement 11,53% de la production après coûts, a précisé le
régulateur pétrolier brésilien ANP.

Shell,
en consortium, a remporté deux des quatre blocs lors de la première
partie des enchères de vendredi, qui portent en tout sur huit blocs dont
les réserves estimées totalisent plus de 12 milliards de barils.

Exxon Mobil, en consortium avec Statoil et le portugais Petrogal, filiale de Galp Energia, en a remporté un autre.

Il n'y a pas eu d'offre pour le quatrième bloc.

(Simon Webb et Marta Nogueira, Dominique Rodriguez pour le service français)

162 de 245 - 29/10/2017 11:14
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

CGG: vote crucial mardi des actionnaires sur le plan de restructuration




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http://www.zonebourse.com/CGG-VERITAS-8358339/actualite/CGG-vote-crucial-mardi-des-actionnaires-sur-le-plan-de-restructuration-25394465/" target="popup">
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29/10/2017 | 09:32

PARIS
(awp/afp) - Les actionnaires de CGG se prononcent mardi sur le plan de
restructuration du groupe parapétrolier en difficultés, une étape
cruciale pour la survie de l'entreprise et le sauvetage de milliers
d'emplois.

Les actionnaires sont convoqués à 11H00 près de Paris pour,
entre autres, autoriser les instruments financiers qui permettront à la
direction de mettre en oeuvre son plan de sauvetage.

Ce dernier comprend la restructuration de la dette de près de
2,8 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros environ) et une levée de
fonds pouvant aller jusqu'à 500 millions de dollars.

Le plan doit se traduire par une conversion massive de la
dette en actions. Si bien que les fonds créanciers (Boussard et
Gavaudan, Contrarian Capital...) deviendront bientôt les actionnaires
principaux de l'entreprise si l'assemblée générale donne son feu vert.

La banque publique Bpifrance, aujourd'hui premier actionnaire
avec plus de 10% des droits de vote, a fait savoir qu'elle allait voter
en faveur du plan. La société de gestion d'actifs, DNCA, autre gros
actionnaire et également créancier, fera de même.

Mais le suspense reste certain puisque les résolutions doivent recueillir l'approbation des deux tiers des voix.

Le plan "dilue la présence au capital de Bpifrance, c'est
indéniable, cependant son désendettement redonne des perspectives à
moyen terme à l'entreprise, et nous avons obtenu des avancées
significatives d'engagement de la société et des créanciers", a expliqué
la banque publique.

CGG s'est engagé jusqu'à fin 2019 sur le maintien des emplois
en France et les centres de décision situés dans le pays devront y
rester au moins jusqu'à fin 2022.

Une manière d'éviter le sort de Technip, autre société
parapétrolière qui, depuis sa fusion avec l'américain FMC Technologies, a
vu les siens passer pour l'essentiel de l'autre côté de l'Atlantique.

Certains créanciers ont également accepté de ne pas être
représentés au conseil d'administration de CGG tant qu'il ne détiennent
pas, à titre individuel, 10% du capital du groupe.

Par ailleurs, malgré sa future dilution au capital de CGG, Bpifrance restera présente au conseil d'administration du groupe.

- "moindre mal" -

L'ancienne Compagnie générale de géophysique emploie environ
6.000 personnes, dont 1.600 en France. Elle vend des équipements et
travaille dans l'acquisition et l'interprétation de données pour le
secteur pétrolier.

Ainsi, elle réalise des sortes d'échographies du sous-sol pour les compagnies pétrolières qui recherchent l'or noir.

Mais l'ensemble du secteur a été violemment touché par la chute des cours du brut il y a un peu plus de trois ans.

Les clients de CGG - notamment les grandes "majors" comme Shell ou Total - se sont mis à couper dans leurs dépenses.

Dans ce contexte très difficile, CGG a déjà réalisé une
difficile réorganisation interne - en réduisant drastiquement sa flotte
de bateaux et en se séparant de la moitié de ses effectifs - et espère
maintenant boucler le volet financier.

La justice devra encore se prononcer en novembre sur l'homologation du plan.

A cette occasion, un groupe de créanciers porteurs
d'obligations convertibles - qui s'estiment lésés - veut demander le
rejet du plan de sauvetage.

Mais la direction comme les syndicats estiment que l'entreprise n'a pas vraiment d'autres choix que le plan actuel.

En cas de rejet, CGG entrerait dans une période de forte
incertitude, avec en perspective des mois de renégociations complexes en
France comme aux Etats-Unis, et des clients tentés d'aller voir
ailleurs.

Le plan est "un moindre mal", sachant que "les alternatives
sont beaucoup plus défavorables", estime ainsi Thierry Coléou, délégué
CFDT, interrogé par l'AFP.

Et une fois sa restructuration achevée, le groupe espère tirer parti de la relative amélioration des cours du pétrole.

"On s'est remis dans un position qui nous permet de passer les
périodes creuses et de pouvoir redémarrer ultérieurement", espère
Thierry Coléou.

jmi/mhc/fka/php

163 de 245 - 02/11/2017 09:06
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell: bénéfice net triplé au troisième trimestre grâce à la hausse des cours




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http://www.zonebourse.com/ROYAL-DUTCH-SHELL-6273/actualite/Shell-benefice-net-triple-au-troisieme-trimestre-grace-a-la-hausse-des-cours-25419092/" target="popup">
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02/11/2017 | 08:50

Londres
(awp/afp) - Le géant pétrolier Royal Dutch Shell a publié jeudi un
bénéfice net multiplié par trois au troisième trimestre, à la faveur de
la bonne tenue des cours et d'une hausse de sa production.

Le bénéfice net du groupe anglo-néerlandais a atteint 4,087
mrd USD (3,5 mrd EUR) sur le trimestre, contre 1,375 mrd un an plus tôt.

Comme l'ensemble des majors pétrolières, Shell a profité de la
hausse des prix du pétrole et du gaz depuis l'an dernier,
principalement en raison des efforts de l'Opep (Organisation des pays
exportateurs de pétrole) et de ses partenaires de réduire l'offre sur le
marché.

Au total, son chiffre d'affaires s'est élevé de près de 23% à 75,830 mrd USD.

Son bénéfice annuel ajusté, hors éléments exceptionnels et
variation des stocks (CCS), un indicateur scruté par le marché, a quant à
lui bondi de 47% à 4,1 mrd USD.

"Les résultats ont profité principalement de conditions de
marché solides dans le raffinage et la chimie, de la hausse des prix du
pétrole et du gaz et d'une progression de la production des nouveaux
champs", a résumé le groupe.

La production a dans l'ensemble progressé de 2% pour atteindre 3,657 millions de barils équivalent pétrole.

Ce contexte favorable a permis selon lui de compenser "le déclin de certains champs et les cessions".

Ses résultats sont en forte progression dans les trois grandes
branches à savoir la production et l'exploration (upstream), le
raffinage et la distribution (downstream) ainsi que le gaz naturel
liquéfié (GNL).

Le groupe met l'accent depuis plusieurs mois sur
l'exploitation en eaux profondes et le gaz, un changement illustré par
l'acquisition bouclée en 2016 du britannique BG Group, spécialiste du
GNL.

Shell mène en parallèle un vaste plan de 30 milliards de
dollars de cessions, démarré l'année dernière au moment où les prix des
hydrocarbures étaient faibles et afin d'être plus réactif à la
volatilité des cours.

Ces cessions portent sur des activités non stratégiques, comme
des exploitations pétrolières ou gazières matures ou certaines
activités dans l'aval (raffineries, pétrochimie, stations-services).

Le programme doit durer sur trois ans entre 2016 et 2018 et
Shell a déjà annoncé des cessions portant au total sur plus de 25
milliards de dollars.

Il continue dans le même temps d'investir, à hauteur de 25 milliards dollars cette année, soit un recul par rapport à 2016.

afp/ol

164 de 245 - 03/11/2017 20:29
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell : il est temps de prendre des profits, estime SG.




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03/11/2017 | 10:37

Société générale (SG)
revient sur le dossier de la major pétro-gazière Royal Dutch Shell, qui a
publié hier des comptes trimestriels supérieurs aux attentes. Soit,
'mais le potentiel de hausse du titre (semble désormais) plus limité',
indique une note. Le conseil d'achat sur l'action de classe B revient
ainsi à 'conserver', même si l'objectif de cours à 12 mois est relevé de
2.350 à 2.660 pence.

Certes, Shell a publié des comptes
trimestriels qui ont débordé le consensus de 14%. De plus, et afin des
nouvelles prévisions du prix du pétrole, les analystes ont relevé leurs
prévisions de bénéfice par action de 2017 à 2019 de plus de 20%. SG vise
maintenant un Brent à 56 dollars en 2018, contre 50 dollars
précédemment.

Depuis janvier 2016, l'action Shell affiche une
performance totale (ce qui tient compte de la variation du cours de
l'action et des dividendes) de 100%, calcule SG, grâce notamment 'à la
transformation de la division Aval'. En Europe, seule la major
norvégienne Statoil a fait mieux.

Dans ce contexte, le potentiel
de Shell s'épuise, estime SG, d'autant qu'à la différence d'autres
analystes, SG n'attend pas d'annonces marquantes lors de la journée
investisseurs qui sera organisée à la fin du mois. 'Nous serions surpris
si (Shell) annonçait alors une date précise pour la suppression du
paiement en actions du dividende', indique la note. Ce faisant, Shell se
rendrait prisonnière d'une évolution du baril qu'elle ne contrôle pas.

165 de 245 - 13/11/2017 14:18
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
https://seekingalpha.com/article/4124125-shells-ln...
166 de 245 - 13/11/2017 15:23
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Shell's LNG Strategy A Great Complement To Overall Operations

Nov. 13, 2017 5:22 AM ET|2 comments

|

About: Royal Dutch Shell plc (RDS.A), RDS.B

Zoltan Ban

Zoltan Ban

Commodities, macro, gold & precious metals, long/short equity






(2,787 followers)




Summary

LNG
is set to see robust growth on the back of growing global dependence on
natural gas. The LNG industry will provide more supply security, which
will be increasingly desired.

Shell has become a global leader in LNG, after the BG merger.

The
advantage of investing in Shell as a way to play the LNG growth story
is the fact that its downstream segment will act as a hedge in bad
times.

Beyond
the recent hype created by the Saudi events, there is a trend of steady
and sustainable advance in the price of oil, which I believe is likely
to continue for as long as the current global economic cycle that
started with the 2009 economic recovery is going to persist. In fact, I
believe that the trigger for the next economic downturn will be an oil
price spike, perhaps very similar to what we saw in the 2007-2008
period. This is how I saw the situation play out back in late 2015,
which is when I decided to buy Shell's (RDS.A) (NYSE:RDS.B) stock, along with Chevron (CVX) and Suncor (SU).
It is a long-term bet on a trend that I am certain will happen,
although the timing of it was never something I was as certain of, which
is why I opted to buy only solid names, with a diverse portfolio of
projects.

The fact that collectively these three
stocks I bought in late 2015, early 2016 provided an average dividend of
about 5% was also a deciding factor. I figured if I have to wait years,
through quite a bit of uncertainty and volatility for the trend I
decided to play to reach its final destination, then I might as well get
paid while I wait, while waiting with my investments in relatively
secure companies, which are not likely to disappear or have their market
cap reduced to nothing in case that oil price weakness lasts for longer
than I expected. As I continue to wait, satisfied with the results of
the first leg of the oil price recovery when it comes to my position in
Shell, I am looking forward to reaping the results of the next two legs
in what is a secular bull market in oil, which will likely go on for a
few more years. Although, we should keep in mind the fact that this bull
trend will be far more volatile that what we are used to.

Shell's profitability prospects

2015-2016
was perhaps one of the worst period so far this century for the global
oil & gas industry. We had the 2009 experience when oil prices
cratered, but we should keep in mind the fact that it was a very short
dip and the fact that it came down from a very high price point and
climbed back up into the $100/barrel range within a relatively short
period of time.

791977-1510246280294849.png

Source: Macrotrends.net

Shell
also had its terrible period, which came just on the heels of its BG
merger deal, which was widely proclaimed to have been a mistake due to
Shell over-paying. It is true that if it would have waited a while
longer, it probably would have been able to get the deal done for much
less, and indeed, it would have been far more advantageous. But as I
pointed out on many previous occasions, I do not see the deal as being
overall a net negative for Shell in the longer term. With 2016 having
been a relatively bad year for the entire industry, Shell still managed
to stay overall profitable. Looking at the first nine months of this
year compared with the corresponding period from last year, operating
profits tripled from $3 billion to $9 billion. For the
quarter-on-quarter comparison, we have operating profits of $4.1 billion
in the third quarter, compared with $1.5 billion in the previous
quarter. This, in my view, is a testament in regards to what a big
difference a small increase in oil & gas prices can make to Shell's
results.

791977-15102468873642027.png

Source: Shell

Revenue
increased by 30% during the same period, which in effect shows that
there was a roughly 10% increase in operating profits for every
percentage point increase in revenues. One of the reasons why this is
the case is because the upstream segment is finally entering into
profitability territory in terms of oil & gas prices. For the first
time in a while, Shell reported a net operating profit of $575 million,
while for the year, it is still down by $499 million for the upstream
sector. When excluding capital expenditures related to the BG
acquisition, capital spending declined from $16.4 billion for the first
nine months of 2016, to $15 billion for the corresponding month of this
year. In other words, Shell adjusted its capital expenditures downwards,
even as higher oil & gas prices are driving revenues higher.

Looking
forward, there is one very important aspect of Shell's overall
business, which is in fact in part the result of the BG merger. It is an
aspect that I liked from the very beginning when the merger was
announced and I continue to like it, especially now that the global oil
& gas market is starting to show signs of starting the second leg of
the recovery. I am particularly excited about the prospects of Shell's
dominant position in LNG. As we know, natural gas prices in the old
world are set in large part by long-term pipeline supply agreements.
Shell has plenty to be happy about in this regard, given that it does
have significant pipeline gas contracts in Europe and elsewhere around
the world, and the advance in oil prices will also cause natural gas
prices to go up, which might not be the case in North America. While
this is all good news for Shell, the fact that the LNG market is showing
strong signs of recovery is starting to look like really good news for
Shell.

791977-15102552600935912.png

Source: Economist

In
my personal view, the longer-term global energy picture is one of more
reliance on natural gas than most forecasts currently would suggest.
Even Shell's outlook in this regard is too conservative in my view.

791977-151025656702196.png

Source: Shell

I
think at some point during the first half of this century, natural gas
will become the most important energy source on the planet. If that is
true, it will need to have a lot more supply flexibility than it does
currently, given that supply is dominated by pipelines. The only way
that the supply security issue can be addressed worldwide is to have a
robust LNG industry complementing the rigid pipeline system. In this
respect, Shell is a global leader and LNG production increased by 11%
for the first nine months of this year compared with last year. With new
potential uses for LNG, such as in marine transport, in addition to the
already growing need to have LNG as a way of keeping natural gas
supplies flexible and diversified, this leadership role is likely to
prove to be a valuable long-term asset within Shell's portfolio.

With
growing production of LNG, while in the shorter and in the longer term
prices are set to increase due to growing global demand, which by some
estimates might be twice the rate of overall natural gas demand
increase, Shell is in my view a great way to participate in the LNG
story, given that it also has its robust downstream segment, which
provides a hedge against the many bumps along the way, which I am sure
will be a part of the longer term story. As was the case with the recent
oil & gas price collapse, Shell's downstream operations will keep
the company afloat during such bad times, while its other segments will
struggle, including its growing LNG segment, while the same may not
always be the case with some of the companies that are pure LNG players.
With the potential for growth coming from LNG, while its downstream
operations provide a hedge against bad times that may potentially be on
the way, Shell is the oil major that one can own and expect relatively
nice gains as the oil & gas market continues to recover, while at
the same time it provides enough comfort that one can sleep at night,
not having to worry about the next what if.

Disclosure: I am/we are long RDS.A, SU, CVX.

I wrote this
article myself, and it expresses my own opinions. I am not receiving
compensation for it (other than from Seeking Alpha). I have no business
relationship with any company whose stock is mentioned in this article.

167 de 245 - 23/11/2017 09:45
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Shell : Oddo BHF à l'achat avant la journée investisseurs.




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22/11/2017 | 09:57

Alors que Royal Dutch
Shell organisera une journée investisseurs le 28 novembre prochain, Oddo
BHF confirme ce matin son conseil d'achat sur l'action. L'objectif de
cours reste fixé à 2.750 pence.

Le 28 novembre à Londres,
pronostique le bureau d'études, la première major pétro-gazière d'Europe
'devrait rassurer sur les perspectives post 2020'. Les analystes
anticipent que la direction de Shell confirmera son ambition de dégager,
en 2020 et avec un baril de Brent à 60 dollars, un cash flow libre de
20 à 25 milliards de dollars. Idem pour la baisse des investissements.

Oddo
BHF estime aussi que Shell pourrait, à l'occasion, annoncer la fin du
paiement optionnel du dividende en actions (le 'scrip programme'),
'comme promis avec un gearing qui devrait baisser sous les 20% au 1er
trimestre 2018, selon nos estimations.'

Les analystes attendent
aussi des détails sur le programme de rachat d'actions de 25 milliards
de dollars 'promis au moment du rachat de BG Group'.

168 de 245 - 28/11/2017 11:52
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

Shell revient à un dividende plein après 3 ans d'austérité






publié le 28/11/2017 à 11h31





Shell revient à un dividende plein après 3 ans d'austérité








Crédit photo © Reuters



par Ron Bousso

PUBLICITÉ

inRead invented by Teads

LONDRES
(Reuters) - Royal Dutch Shell a annoncé mardi la fin du paiement
optionnel de son dividende en actions et a relevé ses prévisions de
génération de trésorerie, la compagnie anglo-néerlandaise tournant ainsi
la page de trois années d'austérité suite à la chute des cours du
pétrole.

Ces
annonces font grimper le titre, qui prend 2,80% à 2.427 pence vers
10h00 GMT à la Bourse de Londres, la meilleure performance de l'indice
FTSE-100 qui avance de 0,49% à ce stade.

Le programme de
"scrip dividend", institué début 2015 et qui laissait aux actionnaires
le choix d'être rémunérés en actions ou en espèces, prendra fin au
quatrième trimestre, a indiqué Shell dans un communiqué publié avant une
journée investisseurs.

Avec un endettement moindre, des
cessions d'actifs et un prix du baril de pétrole au-dessus des 60
dollars, la pression s'est accentuée pour que le groupe renonce à son
"scrip dividend" et lance un programme de rachat d'actions.

Sur
les 12 mois à fin septembre, Shell a versé 15 milliards de dollars
(12,6 milliards d'euros) en dividendes, dont un quart en "scrip".

Dans
son point sur la stratégie, le groupe confirme vouloir procéder à un
rachat d'actions à hauteur de 25 milliards de dollars entre 2017 et 2020
afin de compenser l'effet dilutif du "scrip dividend" et de
l'acquisition de BG Group pour 54 milliards de dollars. Il n'a pas
communiqué de calendrier précis pour cette opération.

Le
géant pétrolier a par ailleurs porté sa prévision de cash flow libre de
25 à 30 milliards de dollars (25 milliards d'euros) à l'horizon de 2020,
dans l'hypothèse d'un baril de brut à 60 dollars.

Au
cours des deux dernières années, Shell a nettement augmenté ses revenus
d'exploitation grâce à des réductions drastiques de coûts, des milliers
de suppressions de postes et des cessions d'actifs.

Le
groupe a adapté ses activités au cours des cinq derniers trimestres pour
réaliser des profits avec un baril à 50 dollars, générant suffisamment
de trésorerie pour assurer le paiement de son dividende.

"Nous
avons également effectué des progrès considérables dans notre programme
de désinvestissements, ce qui nous a permis de réduire notre
endettement net sur la période", a déclaré le directeur général, Ben van
Beurden, dans le communiqué.

Shell a ajouté que son
objectif consistant à réaliser pour 30 milliards de dollars de cessions
d'actifs d'ici 2018 était en passe d'être achevé un an avant l'objectif
fixé, avec 23 milliards de dollars de cessions déjà réalisées, deux
milliards annoncées et cinq autres milliards à un stade avancé de
progrès.

La compagnie continuera à procéder à ces ventes
à hauteur de cinq milliards par an lorsque l'objectif sera atteint
jusqu'en 2020 au moins, a ajouté Shell.

Avec ces cessions
et les réductions de coûts pratiquées, Shell a précisé que son objectif
de réduire son ratio dette sur capitaux propres à 20% était "en vue".
Il s'établissait à 25,4% à la fin septembre.

Shell a maintenu sa prévision annuelle d'investissements comprise entre 25 et 30 milliards jusqu'à la fin de la décennie.

(Véronique Tison et Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français)

169 de 245 - 29/11/2017 11:15
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Total (EU:FP)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mercredi 29 Novembre 2017

Plus de graphiques de la Bourse Total


Olivier Pinaud,



L'Agefi






PARIS (Agefi-Dow Jones)--Royal Dutch Shell tourne le dos aux années
noires du secteur pétrolier. La major anglo-néerlandaise a annoncé mardi
la suppression fin 2017 de l'option de paiement du dividende en actions
qui avait été mise en place début 2015 pour contrecarrer les effets de
la chute des cours du pétrole sur le cash-flow.



Sur les
12 mois à fin septembre, Shell a versé 15 milliards de dollars (12,6
milliards d'euros) en dividendes, dont un quart sous forme d'actions.
Les investisseurs espéraient une disparition rapide de ce mécanisme
dilutif à mesure que le ratio d'endettement (gearing) de la major se
rapprochait de la barre de 20% fixée par la direction du groupe.




Le gearing était de 25% en juin dernier et le seuil de 20% devrait
être atteint fin 2017 compte tenu de l'avancée du plan de cession
d'actifs. Le groupe a déjà réalisé 23 des 30 milliards de dollars de
cessions visés. Les 5 milliards de dollars restants sont bien engagés, a
assuré la direction. Cette dernière prévoit de continuer à vendre pour
plus de 5 milliards de dollars par an au moins jusqu'en 2020.




Par ailleurs, pour compenser l'effet dilutif du "scrip dividend"
depuis 2015, Shell va lancer un plan de rachat d'actions de 25 milliards
de dollars entre 2017 et 2020. Le groupe pétrolier a aussi porté sa
prévision de cash-flow libre de 25 à 30 milliards de dollars (25
milliards d'euros) à l'horizon de 2020, dans l'hypothèse d'un baril de
brut à 60 dollars. Shell se dit en bonne voie pour produire 1 million de
barils équivalent pétrole par jour et pour générer 10 milliards de
dollars de flux de trésorerie grâce aux nouveaux projets d'ici à 2018,
également sur la base d'un prix de 60 dollars le baril de pétrole.
Mardi, le cours de l'action Royal Dutch Shell a gagné près de 4% à la
Bourse de Londres.



La décision de Shell, qui suit de
quelques semaines l'annonce d'un plan de rachats d'actions par BP pour
compenser la dilution du scrip dividend, met un peu plus la pression sur
Total.



Le groupe français a mis en place un dividende
en actions en 2015, qui plus est avec une décote, mais n'a toujours pas
mis en œuvre de mesure de compensation de la dilution. Total prévoit de
procéder à des rachats d'actions une fois que son cash-flow libre
couvrira son dividende, potentiellement en 2019 sur la base d'un pétrole
à 50 dollars. Total avait toutefois fait un premier geste en septembre
en promettant de supprimer la décote des actions après la finalisation
du rachat de Maersk Oil, prévue début 2018.





-Olivier Pinaud, L'Agefi ed: VLV





L'Agefi est propriétaire de l'agence Agefi-Dow Jones





(END) Dow Jones Newswires



November 29, 2017 04:38 ET (09:38 GMT)

170 de 245 - 01/12/2017 22:36
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Shell, A Deep Water And LNG Powerhouse, Part 2

Dec. 1, 2017 9:28 AM ET|4 comments

|

About: Royal Dutch Shell plc (RDS.A), RDS.B

Fluidsdoc

Fluidsdoc

Long only, value, Growth, contrarian






(395 followers)




Summary

Shell has made a structural decision to supply a clean energy future.

It
has hitched its star to Liquefied Natural Gas-LNG and through its BG
acquisition in 2016 is now the global leader in this fuel.

It is vertically integrated along the entire LNG supply distribution network.

It now operates its gas business as a separate entity-Integrated Gas.

This will drive profits for years to come.

Introduction

Natural
gas is beginning to come into its own as a preferred fuel. Clean energy
mandates globally have de-linked it from a traditional cost association
with coal as a power generator. A similar de-linkage with diesel is
also happening for the use of LNG/CNG as a transportation fuel. The
driver of reduced emissions and lowering the carbon footprint is very
compelling for this fuel and one super-major oil company, Shell, has
made a strategic decision to align itself with LNG. It's creation of a
separate subsidiary, Integrated Gas will propel it ahead of its
competition in these markets.

In this article, the
second of a two parter on Shell, I will discuss the company's
transformation into the global LNG powerhouse it has now become. My
thesis is that when all of this is added up, Shell will outperform in
years to come.

The Transformation

A few years back, Shell was a company struggling to find it's footing. Exploration success had plateaued,
and daily liquids production was suffering. From the graph below you
can see that the lack of success in exploration was starting to equate
to reduced production.

726292-15119892468807247.png


Source: Shell annual reports; chart by The Fluidsdoc.

Then
in 2014, Ben Van Beurden was elevated to the CEO spot and the company
began a strategic shift toward gas and gas liquids for this oil giant.
In 2015 the acquisition of BG group was announced. Shell was criticized
for this merger initially, mainly on cost. At almost $70 bn it saddled
Shell with massive debt at a time when it looked like there was just no
bottom for oil. The stock price reflected in the five year chart below
highlights the concerns investors had about the company's future in the
2015/6 time frame.

726292-1511991253439332.png

Source: Seeking Alpha.

Paired
with an aggressive $30bn asset divestiture program to dispose on
non-core properties, BG brought Shell the dominance it wanted in an
emerging preferred fuel, LNG. To better exploit these new assets, Shell
has rolled up all gas activity into a new subsidiary, Integrated Gas.

726292-1512033085524166.png

Sources: Shell Q3 slide deck, SA transcript.

The
major opportunity that Shell saw was to fill a void in Asian markets
particularly in China, Indonesia and in India, that had relied heavily
on coal for home heating, and energy production, but now due to air
quality concerns were switching to cleaner fuels. The gas just wasn't
there, and the need is dire. Imagine breathing the air of downtown
Beijing everyday! See below.

saupload_beijing_smog_0226_thumb1.jpg

Source: Time, Inc.

726292-15120332163987887.png


Sources: Shell Q3 slide deck, SA transcript.

In
parts of the developing world the pipeline infrastructure to support
natural gas as a fuel source is lacking. This is particularly true in
China and India; countries which are desirous of switching to cleaner
fuels. This makes an ideal market for gas liquefaction-LNG, transport,
and in some cases re-gasification of LNG for use in electricity
generation.

As can be seen in the
graphic above, Shell is projecting that beginning in the early 2020's
there will be a shortfall between global supply and demand for LNG.

726292-15120338653319035.png

Sources: Shell Q3 slide deck, SA transcript.

Shell's
Integrated Gas is uniquely positioned around these key markets with
supply, the gas fields themselves, the onshore/offshore liquefaction
capacity, the onshore terminals to store and or re-gasify for ultimate
distribution. The graphic above shows this capacity.

726292-1512034827914785.png


Sources: Shell Q3 slide deck, SA transcript.

Future
growth will be aided by Shell's already dominant position. Scale is
everything in the energy business. Among other things it lowers the cost
per unit of expansion as the graphic above shows.

Summary

  • Integrated Gas will be a key driver within Shell for delivering high profit growth in the near term.
  • Shell
    is confident enough of its fundamentals in the current oil price
    environment that it has canceled the scrip dividend plan its had for the
    last couple of years, and returned to an all cash dividend.
  • It has also initiated a $25 bn stock buyback program to be accomplished over the next several years.
  • In
    the current year, the capital expenditures ($21.4 bn) and the dividend
    ($10.9 bn)are covered by FCF of $37.5 bn with substantial excess.
  • Shell is aggressively reducing debt YOY through asset sales that divest non-core properties.
  • Shell expects to generate $25-30 bn annually in FCF going forward.

Takeaway

As was shown in Part1
of this series, Shell has made Deep Water production economic and
sustainable through cost reductions and an enhanced portfolio of
development prospects. It has also remade itself to take advantage of
the shift toward cleaner burning fuels with its creation of the
Integrated Gas subsidiary.

Shell current is trading at near its 52-week high of $64.84.

726292-15120370879489276.png

This gives it a TTM multiple of 24.54
which compares favorably against other super major oil companies,
BP-33.52, CVX- 34.11, XOM-26.87. In my view, given Shell's potential to
outperform there is room for this stock to continue to appreciate.

This when added to the magnificent dividend of $3.76/sh makes this stock a compelling choice for income and value investors.

Author's
note: If you enjoyed this article and would like to see more of my work
when it appears, please click the follow button.

Note: Shell trades in ADRs in the U.S.

Disclaimer:
I am not giving advice in this article. It is up to you to do your own
due diligence on any investment before plunking down your hard-earned
cash.

Disclosure: I am/we are long RDS.A.

I wrote this
article myself, and it expresses my own opinions. I am not receiving
compensation for it (other than from Seeking Alpha). I have no business
relationship with any company whose stock is mentioned in this article.

171 de 245 - 20/12/2017 10:50
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004


En 2018, UBS joue le pétrole avec Total et TechnipFMC


Anthony Bondain,



publié le 20/12/2017 à 10h10








En 2018, UBS joue le pétrole avec Total et TechnipFMC






Crédit photo © Reuters



(Boursier.com) — UBS profite de la fin de l'année 2017 pour faire
un point complet sur le secteur pétrolier européen, qui comprend
plusieurs acteurs français. Pour le bureau d'études, les grands groupes
intégrés ont achevé leur mue, avec un point mort pour les cash-flows
abaissé à environ 50$ le baril. Ceux-ci disposent d'un levier conséquent
avec la remontée des cours, un secteur aval robuste et des coûts bien
contrôlés. Royal Dutch et Eni sont les deux dossiers favoris de l'analyste, qui affiche aussi une recommandation à l'achat sur Total,
valorisé 51 euros par action dans son scénario médian. L'objectif
descendrait à 37,50 euros dans le scénario sombre et monterait à 65,50
euros dans le scénario le plus favorable.

Dans les services pétroliers, ce sont Subsea 7 et TechnipFMC
qui ont les faveurs de l'analyste, car ils constituent des options peu
onéreuses pour jouer la reprise des investissements, avec des bilans
robustes en cas de coup dur. Il valorise le Franco-américain 30 euros
par action dans son scénario central, 17 euros pour l'hypothèse la plus
défavorable et 41 euros pour la plus propice. Sur Vallourec,
la recommandation est neutre et la valorisation ressort à 5 euros (3,50
euros en scénario noir et 7 euros en scénario "ciel bleu"). UBS ne suit
ni CGG ni Bourbon.

172 de 245 - 27/12/2017 10:00
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mercredi 27 Décembre 2017

Plus de graphiques de la Bourse Shell B


BARCELONE (Agefi-Dow Jones)--Le groupe pétrolier Royal Dutch
Shell (RDSA.LN) a annoncé mercredi qu'il prévoyait de comptabiliser une
charge de 2 milliards à 2,5 milliards de dollars au quatrième trimestre,
en raison de la réévaluation de son impôt différé afin de refléter la
diminution du taux d'imposition des sociétés, conséquence de la réforme
fiscale aux Etats-Unis.



La major pétrolière britannique
a indiqué par ailleurs que l'impact réel n'avait pas été totalement
estimé et qu'elle avait basé ses calculs sur les résultats du troisième
trimestre.



Shell a ajouté que les répercussions
possibles de cette réforme seraient favorables au groupe et à ses
activités aux Etats-Unis.



La loi de réforme fiscale,
adoptée par le Congrès américain la semaine dernière, prévoit notamment
une baisse du taux de l'impôt sur les sociétés aux Etats-Unis de 35% à
21% et limite la possibilité de déduire le paiement des intérêts.





-Ian Walker, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: ECH





(END) Dow Jones Newswires



December 27, 2017 03:23 ET (08:23 GMT)

173 de 245 - 02/1/2018 17:33
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Shell (NYSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 2 Janvier 2018

Plus de graphiques de la Bourse Shell


BARCELONE (Agefi-Dow Jones)--La compagnie pétrolière et gazière
anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a annoncé mardi avoir
mis fin à son projet de cession de A/S Dansk Shell à Dansk Olieselskab.




Cependant, le programme de cessions de 30 milliards de dollars
d'actifs reste en voie d'être achevé en 2018, a souligné Shell. Le
groupe a déjà conclu des cessions pour 23 milliards de dollars, en a
annoncé pour 2 milliards de dollars supplémentaires et a réalisé des
progrès sur des projets d'une valeur totale de 5 milliards de dollars.




Shell avait annoncé en septembre 2016 avoir l'intention de céder Dansk
Shell, qui comprend la raffinerie Fredericia et des activités de
trading et d'approvisionnement, à Dansk Olieselskab pour 80 millions de
dollars. Le groupe avait alors indiqué que le projet répondait à sa
stratégie de concentration de ses activités aval dans les domaines où il
est le plus compétitif.





-Ian Walker, Dow Jones Newswires (Version française Valérie Venck) ed: LBO





(END) Dow Jones Newswires



January 02, 2018 09:24 ET (14:24 GMT)

174 de 245 - 14/1/2018 13:25
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Fiscalité applicable aux dividendes :

Pour les actionnaires Français possédant des titres RDSA :

(amicales salutations aux actionnaires non Français, et notamment aux actionnaires Belges -nombreux sur ce forum-).



-1- Les dividendes payés en espèces font l'objet d'une retenue à la

source de 15% (fiscalité des Pays-Bas) et sont imposables à l'Impôt sur

le Revenu Français (avec bénéfice d'un crédit d'impôt sur valeurs

étrangères, égal au montant de la retenue à la source appliquée, mais

uniquement sur un compte-titre ordinaire -sur un PEA, la retenue à la

source est perdue, sauf à engager des démarches complexes directement

avec les autorités fiscales des Pays-Bas-).

-2- Les dividendes payés en titres sont exonérés de la retenue à la

source de 15% (fiscalité des Pays-Bas) et sont non imposables à l'Impôt

sur le Revenu Français (y compris pour les titres détenus au sein d'un

compte-titres ordinaire) (en revanche : pas de crédit d'impôt sur

valeurs étrangères puisque la retenue à la source est nulle).

175 de 245 - 15/1/2018 17:52
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

Shell signe son premier projet en mer du Nord depuis 6 ans






publié le 15/01/2018 à 16h15





Shell signe son premier projet en mer du Nord depuis 6 ans








Crédit photo © Reuters



(Reuters) - Royal Dutch Shell a donné
lundi son feu vert à une expansion du gisement gazier et pétrolier de
Penguins en mer du Nord britannique, son premier projet important dans
la région depuis six ans.

Ce développement, qui
comprendra la construction d'un navire de production, de stockage et de
déchargement, confirme l'engagement de Shell en mer du Nord, a affirmé
la compagnie anglo-néerlandaise qui a pourtant vendu environ la moitié
de ses actifs dans la zone l'an dernier.

"Penguins
démontre l'importance des actifs de mer du Nord dans les activités en
amont de Shell", a dit Andy Brown, directeur de la production de pétrole
et de gaz.

Le nouveau navire devrait produire jusqu'à
45.000 barils d'équivalent pétrole par jour et le projet sera
bénéficiaire même avec des cours du pétrole sous les 40 dollars le
baril, a assuré Shell.

Le groupe n'a pas précisé le
montant de l'investissement, qui selon les analystes de Bernstein
pourrait se monter jusqu'à 2,5 milliards de dollars (2,0 milliards
d'euros).

Shell, dont la production en mer du Nord n'est
plus que de 135.000 barils d'équivalent pétrole par jour, n'avait plus
lancé de projet majeur dans la zone depuis 2012.

Le gisement de Penguins, découvert en 1974 et entré en activité en 2002, est une coentreprise à 50-50 avec Exxon Mobil.

(Ron Bousso, Véronique Tison pour le service français)

176 de 245 - 24/1/2018 10:56
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Synthèse

  • La
    société dispose de fondamentaux solides. Plus de 70% des entreprises
    présentent un mix de croissance, rentabilité, endettement et visibilité
    plus faible.
  • D'une manière générale et dans une optique à court terme, la société présente une situation fondamentale intéressante.

Points forts

  • La
    société bénéficie de niveaux de valorisation attractifs avec un ratio
    VE/CA relativement faible comparé aux autres sociétés cotées dans le
    monde.
  • Les investisseurs qui recherchent du rendement pourront trouver dans cette action un intérêt majeur.
  • Au
    cours des 4 derniers mois, les analystes ont revu de manière
    significative leurs estimations du chiffre d'affaires de la société.
  • Sur les 7 derniers jours, les analystes ont révisé à la hausse leurs estimations de bénéfice net par action de la société.
  • La
    société bénéficie de très fortes révisions à la hausse des bénéfices au
    cours des 4 derniers mois. En effet, ces dernières ont été récemment
    réajustées à la hausse et dans des proportions importantes.
  • La tendance en données hebdomadaires ressort positive au-dessus de la zone de soutien des 26.2 EUR.

Points faibles

  • L'action
    évolue à proximité d'une résistance long terme en données
    hebdomadaires, située vers 29.13 EUR. En-dessous de ce niveau, le
    potentiel pourrait s'avérer limité.
  • Techniquement, les cours s'approchent actuellement d'une forte résistance moyen terme, située vers 29.13 EUR.
  • Les
    estimations des analystes concernant l'évolution de l'activité de la
    société diffèrent de manière relativement importante les unes aux
    autres. La visibilité liée à l'activité de la société apparaît
    relativement faible.
  • Dans le passé, le groupe a souvent déçu les analystes en publiant des chiffres d'activité inférieurs à leurs attentes.
  • L'objectif de cours moyen des analystes limite le potentiel d'appréciation.
177 de 245 - 30/1/2018 17:47
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shell Plc : publication des résultats annuels




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29/01/2018 | 08:45

L´entreprise publiera
ses résultats du FY 2017 le 01/02/2018. Au regard des dernières
publications, la société a souvent publié en deçà des attentes du
consensus. Au cours des derniers mois, les 12 analystes du consensus
Thomson Reuters ont revu leurs estimations du bénéfice net par action à
la hausse.

Un bénéfice net par action annuel de 1.99 USD est
attendu pour 2017 (+ 243.4% par rapport à 2016). Un tableau
récapitulatif des publications et des estimations annuelles est
disponible ci-après.

Publications annuelles2014201520162017 (e)2018 (e)
CA
Millions $
Publié
Prévision
Ecart
421 105
444 724
-5,3%
264 960
250 495
5,8%
233 591
232 679
0,39%

294 803

323 283
Résultat opérationnel (EBITDA)
Millions $
Publié
Prévision
Ecart
52 165
59 258
-12%
34 981
36 725
-4,7%
31 012
33 753
-8,1%

50 583

55 618
Résultat d'exploitation (EBIT)
Millions $
Publié
Prévision
Ecart
27 666
33 244
-17%
8 267
13 876
-40%
6 019
8 951
-33%

23 072

29 107
Résultat Avt. Impôt (EBT)
Millions $
Publié
Prévision
Ecart
28 594
31 520
-9,3%
2 047
5 076
-60%
5 606
9 035
-38%

24 803

33 049
Résultat net
Millions $
Publié
Prévision
Ecart
15 052
21 295
-29%
1 939
3 766
-49%
4 575
6 403
-29%

15 029

19 173
BNA
$
Publié
Prévision
Ecart
2,38
3,35
-29%
0,30
1,09
-72%
0,58
1,19
-51%

1,99

2,32
Date de publication29/01/201504/02/201602/02/2017


© Zonebourse.com 2018

178 de 245 - 19/2/2018 10:17
Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017
Royal Dutch Shell : selon la presse norvégienne, le PDG du groupe voit
d'autres opportunités pétrolières en mer de Norvège. Shell se concentre
particulièrement sur l'expansion dans les zones où elle est déjà
présente, notamment près des plates-formes Ormen Lange et Troll.
179 de 245 - 20/2/2018 11:50
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell A (LSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 20 Février 2018

Plus de graphiques de la Bourse Shell A


Par Yves-Marc Le Réour





PARIS
(Agefi-Dow Jones)--Le millésime 2017 a tenu ses promesses en termes de
dividendes. Selon le rapport de Janus Henderson, publié à partir des
1.200 plus grandes capitalisations boursières mondiales, le montant
cumulé des dividendes bruts versés l'an dernier a atteint un pic de
1.252 milliards de dollars (1.008 milliards d'euros), soit une
progression de 7,7%, la plus forte depuis 2014.



La
hausse s'élève à 6,8% sur la base des dividendes sous-jacents, calculés
hors impact des fluctuations de change, dividendes extraordinaires,
dates de paiement et changements indiciels. "Les entreprises
enregistrent une croissance des profits et des flux de trésorerie
solides qui leur permettent de financer des dividendes généreux",
commente Ben Lofthouse, gérant du Global Equity Fund chez Janus
Henderson.



Si Royal Dutch Shell occupe pour la deuxième
année de suite le haut du podium, le pétrolier anglo-néerlandais est
suivi par China Mobile qui a gagné 18 places en un an. L'opérateur
mobile a ainsi relégué au troisième rang l'américain Exxon Mobil qui a
lui-même poussé son compatriote Apple en quatrième position. Toutes les
régions affichent des dividendes en hausse, onze des 41 pays analysés
ayant de surcroît enregistré de nouveaux records comme les Etats-Unis,
le Japon, la Suisse, Hong Kong, Taiwan ou les Pays-Bas.




Hors Royaume-Uni où les dividendes sous-jacents ont augmenté de 10%,
l'Europe continentale est à la traîne avec un gain de 2,7% sur l'année
écoulée. C'est la seule région à afficher une contraction (-7,3%) des
dividendes versés au quatrième trimestre. Cette contre-performance tient
surtout à quelques sociétés ayant privilégié la protection de leur
bilan, comme les français EDF et Engie ou l'espagnol Telefonica. Sur
l'ensemble de 2017, "les dividendes sous-jacents sont demeurés quasi
stables dans l'Hexagone et ils ont reculé pour la troisième année
d'affilée en Espagne", souligne l'étude.



Seuls cinq
secteurs (boissons, habillement, médias, grande distribution, téléphonie
fixe) ont diminué leurs dividendes d'un an sur l'autre, tandis que 31
autres les ont relevés, l'industrie minière en tête (+27,2% en données
sous-jacentes). Après une croissance respective de 6,4% des dividendes
sous-jacents et de 11,7% des dividendes totaux versés au dernier
trimestre 2017, l'exercice en cours devrait à nouveau bénéficier d'un
contexte économique solide. La société de gestion anticipe une
progression respective de 6,1% et de 7,7%, conduisant à un nouveau pic
de 1.348 milliards de dollars.





-Yves-Marc Le Réour, L'Agefi. ed: ECH





"Le Market Blog" est le blog économique et financier de l'agence Agefi-Dow Jones.





(END) Dow Jones Newswires



February 20, 2018 03:23 ET (08:23 GMT)

180 de 245 - 09/3/2018 10:21
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Royal Dutch Shella (EU:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Vendredi 9 Mars 2018

Plus de graphiques de la Bourse Royal Dutch Shella

(CercleFinance.com) - Selon Sky News, la cession de ses pétroles de

schiste nord-américains par BHP Billiton avance. Le média britannique

croit savoir que la 'major' pétro-gazière Shell alliée au fonds de

'private equity' Blackstone travaillent sur une offre commune les

valorisant dix milliards de dollars (environ 7,4 milliards de livres,

soit 8,4 milliards d'euros). D'autres candidats seraient également sur

les rangs.



Rappelons que le géant minier australo-britannique

n'avait pas vraiment acquis ces actifs périphériques à son coeur de

métier au meilleur moment. Il y avait consacré 'près de 20 milliards de

dollars', indique le site britannique. Depuis l'été, des fonds

d'investissement activistes comme Elliott Advisors font pression sur la

direction pour qu'elle les revende.



Outre le tandem

Shell/Blackstone, Sky News croit savoir que BHP Billiton s'attend à

recevoir plusieurs autres 'propositions sérieuses' à ce sujet.



Si

la cession ne devait pas aboutir comme il l'entend, BHP Billiton

envisage de coter séparément ces actifs pétroliers, rappelle enfin le

média.

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Dernier Message: 05/Mai/2022 07h24

Titres Discutés
EU:RDSB 22.75 0.0%
Indices Mondiaux
Australia 0.3%
Brazil -0.3%
Canada 0.7%
France 0.8%
Germany 1.6%
Greece 2.1%
Holland 1.0%
Italy 1.9%
Portugal 1.2%
US (DowJones) 0.7%
US (NASDAQ) 1.6%
United Kingdom 0.3%
Palmarès Hausse (%)
EU:ALAUR 6.06 56.6%
EU:ALADO 0.00 50.0%
EU:ALMAS 0.01 28.2%
EU:VVY 0.72 26.3%
EU:ALPUL 13.36 24.9%
EU:MLPAC 9.90 23.8%
EU:MLOCT 0.43 21.6%
EU:ALJXR 0.08 19.2%
EU:MLCMI 4.00 17.0%
EU:FINM 0.08 15.4%