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Hubwoo Tout Feu Tout Flamme = Vers Un Electrochoc Haussier

- 04/12/2008 11:17
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008

Données exprimées en milliers EUR
Année 12/2007 12/2006 12/2005 12/2004 12/2003
ACTIF
Ecart d'acquisition 40 062 34 502 70 548 56 448 15 288
Immobilisations incorporelles 4 418 4 493 5 038 3 967 1 594
Immobilisations corporelles 1 397 1 263 1 962 2 198 1 317
Actifs financiers non courants 764 879 1 282 2 793 284
Stocks et travaux en-cours 99 103 180
Créances clients et comptes rattachés 8 921 6 748 5 663 4 611 4 179
Autres actifs 1 378 2 451 4 443 3 941 754
Trésorerie et équivalents de trésorerie 6 599 2 421 5 935 3 524 6 701
Total actif 63 539 52 757 94 970 77 585 30 297
PASSIF
Capitaux propres 49 574 37 721 78 869 66 516 24 031
Provisions pour risques et charges non courantes 111 56 30 30 175
Dettes financières non courantes 46 143
Dettes financières courantes 94 535 115 583
Fournisseurs et comptes rattaches 3 152 4 230 1 930 1 729 2 290
Autres passifs 10 608 10 169 13 883 9 310 3 218
Total passif 63 539 52 757 94 970 77 585 30 297



Comptes de Résultats

Données exprimées en milliers EUR
Année 12/2007 12/2006 12/2005 12/2004 12/2003
Chiffres d'affaires 32 613 32 011 30 595 17 090 9 521
Produits des activités ordinaires 32 723 32 355 30 760 17 097 10 280
Résultat opérationnel -164 -39 919 -4 914 -6 082 -6 479
Coût de l'endettement financier net -33 -24 -57 84
Quote part resultats des Sociétés Mises en Equivalence
RN des activités abandonnées -34 600 -2 106
Résultat net 77 -40 511 -4 809 -5 961 -8 433
Résultat net (part du groupe) 77 -40 511 -4 809 -5 961 -8 433










Source SIX Telekurs/Cofisem-Diffusion différée de 15 minutes.



Réponses
10 Réponses
1
1 de 10 - 04/12/2008 12:34
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
REGALEZ VOUS.
Eudes des e-achats de novembre2008

http://www.e-achatsolutions.com/newsletter/EACHATSINFOS24NOVEMB08.pdf
http://www.e-achatsolutions.com/newsletter/EACHATSINFOS24NOVEMB08.pdf
2 de 10 - 04/12/2008 14:30
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
REGALEZ VOUS...

LA SNCF ENVISAGE UN PORTAIL E-achat

La SNCF mise sur la personnalisation pour fédérer sa clientèle entreprises
publié le 29/09/2008


La SNCF s’apprête à lancer début octobre un nouveau canal de vente dédié aux entreprises qui effectuent plus de 50 000 € d’achats de billets de train par an. Richard Fécamp, chef de projet portail d’entreprise à la SNCF, nous dévoile les coulisses d’un service qui met l’accent sur la personnalisation et la fourniture de services adaptés aux voyageurs professionnels.

Pourquoi lancer une offre de portail dédié pour les entreprises ?

La première raison, c’est que la SNCF ne disposait pas de solution directe pour les servir. Une part encore importante des entreprises achètent leurs billets soit sur voyages-sncf.com, un site qui s’adresse à la clientèle loisirs et qui ne répond donc pas à leurs besoins spécifiques, soit aux guichets en gare et boutiques SNCF, deux canaux qui concentrent une grande part du chiffre d’affaires Pro. La seconde raison est liée à la nouvelle offre tarifaire Pro que nous avons lancée il y a un an et qui sera mise en avant sur le portail entreprise.

Comment se présentera le portail ?
Pour ouvrir son site portail avec une adresse personnalisée à son nom, l’entreprise doit d’abord signer un contrat qui définit les services souhaités. Une fois que l’accès est activé, l’administrateur enregistre les profils des voyageurs qui se voient affecter un login et un mot de passe. Chaque collaborateur peut ensuite accéder au site pour réserver et payer ses billets. L’outil de réservation ressemble à celui de voyages-sncf.com, à la différence près que les tarifs ne sont pas présentés par ordre de prix, mais par ordre de flexibilité sur les conditions d’échange et de remboursement. Si l’entreprise bénéficie d’un tarif négocié, il est affiché, mais le voyageur reste libre d’opter pour une autre proposition.

Comment s’effectuera le retrait des billets ?

Au guichet, en borne ou par courrier postal si la réservation est effectuée au moins quatre jours à l’avance pour le domestique, sept jours pour l’international. Nous proposons également en exclusivité le retrait des billets sans carte sur nos bornes. Cette fonctionnalité est très appréciée des voyageurs professionnels car ce sont souvent leurs assistantes qui achètent les billets. Grâce à ce dispositif, il suffit de communiquer son nom et sa référence dossier pour retirer son titre de transport.

Quels sont les autres services proposés ?

Nous mettons à la disposition des entreprises une série de services optionnels payants. Le premier concerne l’aide à la gestion des voyages. Il permet d’afficher sur le site des informations sur la politique voyages. Le collaborateur peut ainsi vérifier s’il est en phase avec les règles d’achats. Le site offre aussi à l’administrateur un reporting mensuel de toutes les opérations réalisées. Nous proposons enfin le paiement en compte centralisé via la solution de carte logée de notre partenaire AIRPLUS. Les collaborateurs n’ont ainsi plus à avancer l’argent puisque le paiement est débité sur le compte de l’entreprise 28 jours fin de mois après l’émission de la facture.

Quels sont vos objectifs en matière de chiffre d’affaires ?

Au minimum 30 millions d’euros d’ici fin 2010. C’est un cap raisonnable si l’on considère le chiffre d’affaires pro de la SNCF qui tourne autour d’1,6 milliard par an. Nous évoluons sur un marché où les agences de voyage et les Self Booking Tools sont déjà bien en place et nous ne souhaitons pas les concurrencer. Notre portail est positionné pour offrir un peu moins de services qu’une agence de voyages, mais avec des coûts un peu plus attractifs. Les entreprises pourront toujours arbitrer entre l’ensemble des solutions disponibles en fonction du prix et du niveau de service qu’elles attendent.

Pour plus d’informations sur le portail entreprises, rendez-vous sur le site Internet de la SNCF

http://www.focusha.fr/La-SNCF-mise-sur-la.html
3 de 10 - 04/12/2008 17:02
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
Le E-achat

Accompagner le grand chantier des directions Achat
En quelques années, les solutions de e-Achat (e-Procurement et e-Sourcing, en particulier), ont gagné en notoriété, en faisabilité, en stabilité technologique. Au point qu’il n’y a plus guère d’entreprise pour ne pas s’y intéresser.

La double ellipse du succès
Ce succès est porté par une double ellipse : d’abord, celle des très grandes entreprises pionnières qui se sont engagées dans des projets de e-Procurement, utilisant cet outil comme un différenciant concurrentiel et même comme une preuve de «bon management» adressée à leurs actionnaires et aux marchés financiers ; ensuite, parce que cette application se présente au (bon) moment où les entreprises cherchent des moyens d’économiser sur leurs coûts ou, à tout le moins, à optimiser leurs engagements de ressources.

Les vrais enjeux de la modernisation des achats
Après ce regain d’intérêt, il est temps de se poser les vraies questions, restées parfois en arrière plan. Celles – lourdes d’enjeux – de la modernisation de la direction Achat : de son organisation, de ses processus, de sa stratégie d’achat, de ses «métiers», de ses acheteurs, de ses fournisseurs… Comme le dit un grand directeur des achats : avec ces nouvelles applications, il ne s’agit pas de «moins d’achats» mais de «mieux d’achats» et cela, à tous les niveaux de la chaîne.


Grands comptes et "Mid-Market"
Dans les grands comptes, il s’agit de faire passer cette direction, longtemps considérée comme une « utilité », au rang des grandes directions modernisées (le commercial, la finance, la production, la DRH…) : actrice de la stratégie de l’entreprise et cogénératrice d’une partie de ses résultats.

Dans les PME-PMI, ce “MID-MARKET” tant convoité, et si difficile à toucher, les mentalités et les processus bougent aussi. Les e-achats se développent, les catalogues électroniques font leur apparition… bref, le e-business s’impose, lentement mais sûrement, avec des perspectives de croissance énormes.

Le meilleur vecteur de contacts
Parce qu’ils obligent à se poser les vraies questions et à ne rien laisser dans l’ombre, les outils de cette modernisation – parfois structurants – sont indispensables. Les années à venir seront donc celles du passage à l’acte, du déploiement des solutions de e-Sourcing, de e-Procurement et de e-Paiement !

(...)

A bon entendeur


4 de 10 - 05/12/2008 10:52
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
J- 10
5 de 10 - 11/12/2008 13:03
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
CEGOS vous explique les mots clés des e-achat

http://www.cegos.fr/formation-e-achat/p-20096438-2009.htm
6 de 10 - 12/12/2008 11:43
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
Etude parle d'elle même.
HBW devrait reagir favorablement a cette info o))

Bénéfices & Gains de la Dématérialisation de Factures (étude MARKESS)
Des prestataires actifs sur un marché de la dématérialisation de factures porteur malgré le ralentissement de l'économie.


A l'approche du Salon Dématérialiser (9 & 10 décembre 2009), MARKESS International, société d’études et de conseil spécialisée dans l’analyse de la modernisation et de la transformation des organisations privées et publiques avec les technologies de l'information, présente les chiffres de marché extraits de son étude consacrée à la dématérialisation des factures parue récemment et intitulée : « Bénéfices & Gains de la Dématérialisation de Factures ».

Un recours massif aux prestataires qui stimule le marché
En 2008, la dématérialisation de factures se fait rarement sans le recours à des prestataires, quelle que soit la forme de dématérialisation* choisie par les organisations.
En effet :
- 52% des organisations choisissent de se tourner vers un prestataire issu du monde de l’édition logicielle, que la solution soit proposée selon le mode « classique » de vente de licences logicielles ou selon le mode ASP/SaaS (Software as a Service). Différents profils d’éditeurs se côtoient sur le marché de la dématérialisation de factures : éditeurs de solutions de dématérialisation de documents de façon générale dont les offres peuvent néanmoins intégrer des fonctionnalités de gestion de contenu et d'automatisation de processus métier (Azur Technology, Esker, Generix, Itesoft, Prologue, ReadSoft, parmi ceux cités par les organisations), éditeurs de solutions de gestion de processus financiers (par exemple, 170 Systems, BasWare) ou éditeurs de solutions de gestion de contenu (tels que EMC ou OpenText) ;
- 42% des organisations font appel à un intégrateur (parmi lesquels ont été cités Accenture, Capgemini, Euriware, Ineum, Logica, etc.), capable d’intégrer les solutions de dématérialisation avec l’existant informatique ;
- 33% ont recours à un opérateur de services offrant une plate-forme pouvant prendre en charge les différentes formes et formats de dématérialisation de factures (Accelya,
B-Process, Cegedim, Crossgate, Deskom, Doc@post (Groupe La Poste), Jouve, Pitney Bowes Asterion, TrustMission, Xerox Global Services, etc.).
Au-delà de ces trois grandes catégories d’acteurs interviennent également sur le marché de la dématérialisation de factures des opérateurs EDI, des tiers archiveurs (CDC Arkhineo ou Cecurity.com, par exemple), des cabinets de conseil et des tiers de confiance.

Un éco-système de partenaires avec des expertises variées
En 2008, 85% des prestataires interrogés par MARKESS International indiquent intervenir avec des partenaires sur les projets de dématérialisation de factures de leurs clients. Pointés par plus d’un prestataire sur deux, les principaux domaines de partenariat concernent :
- La fourniture de certificats de signature électronique ;
- L’archivage électronique des factures, à valeur probante ou non ;
- Des prestations de numérisation de factures (fournies par des constructeurs de matériels de numérisation ou des éditeurs de solutions de type LAD, RAD, OCR, etc. ) ;
- La prescription des solutions avec le recours à des cabinets de conseil intervenant en phase amont des projets.
Ainsi, en associant des compétences complémentaires, les prestataires offrent à leurs clients le choix entre les différentes formes de dématérialisation de factures et couvrent l’ensemble de la chaîne de dématérialisation de factures, avec plus particulièrement pour la dématérialisation fiscale de factures, l’intervention de tiers de confiance qui prennent en charge toutes les prestations relatives à la certification des échanges et à la gestion des certificats électroniques, garantissant l’authenticité et l’intégrité des factures dématérialisées.

+42% de croissance moyenne annuelle pour le marché entre 2008 et 2010
MARKESS International évalue le marché autour des projets de dématérialisation de factures, quelle qu’en soit la forme, à 385 millions d’euros en 2008. Les deux tiers de ce marché (soit 255 millions d’euros) sont consacrés à l’ensemble des prestations de services associées à la dématérialisation de factures (du conseil en amont aux services liés à l’exploitation des solutions, en passant par les services d’externalisation). Le segment des logiciels sur lesquels reposent les projets de dématérialisation de factures pèse quant à lui 130 millions d’euros.

Le marché de la dématérialisation de factures devrait être moins touché que d'autres marchés du secteur des technologies de l'information et de la communication par la conjoncture économique actuelle, les gains financiers tangibles qui y sont associés étant plus particulièrement recherchés par les entreprises en temps de crise. De plus, l’étude de MARKESS International montre que les ROI de tels projets sont rapides, ce qui devrait donc maintenir les investissements dans ces projets.
Aussi MARKESS International estime que le marché devrait continuer à progresser à un rythme soutenu dans les deux prochaines années, +35% en moyenne annuelle, pour atteindre 510 millions d’euros en 2009, puis 700 millions d’euros en 2010.

La méthodologie suivie pour réaliser cette étude repose sur des interviews réalisées au 3ème trimestre 2008 auprès de 210 organisations privées et publiques basées en France.Par ailleurs, 33 prestataires actifs sur le marché français de la dématérialisation de factures ont aussi été interrogés parmi lesquels 170 Systems, Accelya, Agena 3000, Atos Worldline, Azur Technology, B-Process, BasWare, CDC Arkhineo, Crossgate, Dimo Gestion, EDT, EMC, Esker, Generix Group, Inforsud Editique, Itesoft, Jouve, Kofax France, Pitney Bowes Asterion, Pixid, Prologue, Quadrem Europe, ReadSoft, Ricoh, SATI, Seeburger, Seres (Doc@post - Groupe La Poste), Tradecard, TrustMission, Xerox Global Services…

* Les diverses formes de dématérialisation de factures :
- Dématérialisation de factures papier « fournisseurs » : Mise sous forme numérique des factures reçues au format papier à l'aide de solutions de numérisation, de LAD (Lecture Automatique des Documents), de RAD (Reconnaissance Automatique des Documents), etc., permettant d'automatiser le traitement, voire l'intégration des données de facturation dans le système d'information comptable ;
- Facturation électronique ou dématérialisation « simple » de factures : Echange électronique de factures sous forme :
1) Soit de fichiers via des systèmes de télétransmission (EDI conventionnel...) ne respectant pas le Code Général des Impôts (CGI) qui définit les modalités permettant de garantir l'identité de l'auteur, l'intégrité des données de facturation et de définir les conditions d'archivage de ces informations ;
2) Soit de simples fichiers (PDF...) non signés électroniquement.
- Dématérialisation « fiscale » de factures : Echange électronique de factures sous forme :
1) Soit de fichiers structurés (EDI, XML, csv, Idocs...) signés ou non au moyen d'une signature électronique. Si le fichier n'est pas signé électroniquement, il doit dans ce cas respecter les modalités imposées par le CGI (cf. article 289bis pour les fichiers EDI) ;
2) Soit de fichiers non structurés (PDF...) obligatoirement signés au moyen d'une signature électronique et dans le respect des modalités imposées par le CGI (cf. article 289 V).

Ce communiqué porte sur l’étude publiée en septembre 2008 par MARKESS International : Bénéfices & Gains de la Dématérialisation de Factures
Cette étude a été conduite par MARKESS International avec le soutien des sociétés sponsors : AZUR Technology, 170 Systems, Accelya, Doc@post Groupe La Poste, Esker, Pitney Bowes Asterion, Prologue et TrustMission.

MARKESS International remercie le Groupe Solutions - Infopromotions (Solutions Demat / e-Achats) et e-Business (Salon Dématérialiser) qui ont relayé les questionnaires dans le cadre de cette recherche.

MARKESS International est un cabinet d’études et de conseil qui analyse depuis 10 ans la transformation et la modernisation des organisations avec les technologies de l’information.
Etabli à Washington, D.C. et à Paris, MARKESS International a pour mission d'aider tant les maîtrises d’ouvrage à mieux comprendre et tirer parti des technologies de l’information que les offreurs à mettre au point une stratégie optimale pour cibler ces marchés. Depuis 2002, fort de ses expériences et de son savoir-faire dans le domaine de l’administration électronique aux USA et de ses connaissances des impacts des nouvelles technologies sur les entreprises privées, MARKESS International a lancé une practice dédiée à l’analyse des marchés de l’administration et du secteur public.

Pour télécharger la synthèse de l'étude, voici le lien : http://www.markess.fr/demandedocument.php?refdoc=552




Mercredi 03 Décembre 2008
7 de 10 - 12/12/2008 12:46
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
Rappel sur l'activité de HUBWOO

Activité
Prestataire de solutions d'approvisionnement électronique personnalisées pour les entreprises et organisations du secteur public. Solutions 'Procure to Pay' de dématérialisation de l'intégralité des procédures d'approvisionnement de l'expression d'un besoin au règlement de d'une facture.

Produits ou services
- Déploiement de plates formes privées d’e-procurement
couvrant la totalité du processus achats, du sourcing jusqu'à la facturation.

- Prestations de services dédiés, délivrés par des experts de la fonction Achats

- Solutions technologiques SaaS (Software as a Service), délivrées à la demande (sourcing, SRM)

- Hub collaboratif & portail fournisseurs

- Gestion de Contenus & Création de catalogues électroniques

- Gestion de factures électroniques

Principaux clients
Akzo Nobel, Arkema, Auchan, BASF, Bayer, Casino, Bitburger, Burton's Foods, Coca Cola Enterprises, ConocoPhillips, ConsolEnergy, Diageo, EDF, Evonik, Faceo, Faurecia, Honeywell, Infraserv Höchst, Nexans, Michelin, Monoprix, , Lagardere Interactive...

Partenaires
Hubwoo a signé un partenariat stratégique avec SAP, technique et commerciale, sur le monde entier.

Collaboration commerciale mondiale avec IBM, Accenture, Axoss...
















8 de 10 - 12/12/2008 13:06
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
HBW révèle ses objectifs depuis 2007

http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/actualite/hubwoo-s-offre-son-concurrent-francais-achatpro-pour-2-9-millions-d-euros.shtml

Hubwoo s'offre son concurrent français AchatPro pour 2,9 millions d'euros Le fournisseur de solutions d'achats Hubwoo consolide le marché français en rachetant AchatPro. Au passage, la Banque Populaire devient actionnaire de référence avec 18% du capital.
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Hubwoo renoue avec les acquisitions françaises. Cinq ans après le rachat d'Avisium, la plate-forme reliant grands comptes et fournisseurs s'apprête à racheter AchatPro. Une nouvelle opération de croissance externe, de 2,9 millions d'euros, financée par une augmentation du capital de 5,5 millions réservée auprès de Bred Banque Populaire. Ayant déjà une participation dans AchatPro à travers BFBP, le groupe Banque Populaire devient actionnaire de référence d'Hubwoo, avec 18 % du capital.



Après Avisium (lire Places de marché : Hubwoo et Avisium se rapprochent, du 11/03/03), le fournisseur de solutions d'achats hébergées avait racheté deux sociétés similaires pour étendre ses activités hors de France. L'allemand CC-Chemplorer et 2004 et l'américain Trade-Ranger en 2005 (lire Hubwoo poursuit sa consolidation, du 25/05/05). La société s'était tournée plus récemment vers des sociétés de services - le belge Intersource l'année dernière et l'américain blueSolution en janvier - afin d'être capable d'accompagner ses clients, au-delà des seules solutions technologiques. Une activité de services et conseils qui représente aujourd'hui 30 % des revenus et la moitié des plus de 150 clients.




Pourquoi revenir se renforcer sur son marché domestique ? "AchatPro était notre dernier véritable concurrent français, explique Xavier Lablancherie, vice président marketing d'Hubwoo. Cette société est née en même temps que nous et Hubwoo lui ressemblerait sans doute beaucoup aujourd'hui si nous n'avions pas fait le choix d'entrer en bourse et d'avoir une stratégie d'acquisitions". L'opération empêche par ailleurs les concurrents étrangers de la société, comme le suédois IBX, de s'implanter en France via un rachat.



Les portefeuilles de clients des deux entreprises seraient complémentaires, AchatPro étant bien implanté dans la distribution (Auchan, Casino, Monoprix) et le secteur public (17 hôpitaux). Autre intérêt, un même modèle économique basé sur un coût fixe de mise en place, suivi d'un abonnement (qui peut prendre la forme d'une commission sur les ventes par exemple). Une formule moins lourde pour les clients que l'achat d'une licence. "Cela revient à quelques centaines de milliers d'euros, pour une mise en œuvre de trois à six mois. Alors qu'un projet d'achat à partir d'une licence coûte au total entre deux et cinq millions d'euros et de deux à cinq ans", assure Xavier Lablancherie.



La marque AchatPro va disparaître après l'assemblée générale du 26 juin validant l'opération. Elle subira le même sort que les autres marques rachetées par la société, qui a décidé en février de finalement n'avoir qu'une seule bannière. Au passage, le "cc" devant "Hubwoo" (reliquat du rachat de cc-Chemplorer) est également abandonné.




Hubwoo annoncera à la fin du premier semestre un objectif de chiffre d'affaires tenant compte de l'intégration d'AchatPro (qui a lui même généré 2,9 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2007). La société, qui a enfin atteint l'équilibre financier en 2007 avec un bénéfice net de 100.000 euros, avait auparavant prévu de réaliser 35 millions d'euros, contre 32,6 millions d'euros en 2007.

9 de 10 - 17/12/2008 13:53
djurjura Messages postés: 835 - Membre depuis: 21/2/2008
SOURCE GARTNER CONSULTING

source GARTNER
Gartner, Inc., fondée en 1979, est une entreprise américaine de consulting et de recherche dans le domaine de la technologie. Ayant environ 10 000 clients, elle mène des recherches, fournit des services de consultation, tient à jour différentes statistiques et maintient un service de nouvelles spécialisées.


Le cabinet Gartner donne sa vision sur des dix technologies en pointe dans l'évolution de la société de l'information a horizon 2008-2010

voici les technologies concernés

Plateforme Web et WOA (architecture orientée Web)

Les logiciels en ligne (Saas, software as a service) s'affirment à peine comme une option viable que déjà se profile la notion de plateforme Web qui pousse le bouchon encore plus loin avec l'ensemble du système d'information qui reposerait sur des ressources en ligne.

Gestion des données de référence (Metadata Management)

A horizon 2010, le Gartner voit se dessiner une stratégie de "gestion des informations en entreprise" (EIM, Enterprise Information Management) à partir de l'intégration des données sur les clients et les produits. Cette intégration déboucherait sur un niveau d'abstraction et d'optimisation des données de référence suffisant pour permettre leur réutilisation, leur pérennité, leur intégrité et la possibilité de les partager.

Modélisation des processus métier (Business Process Modeling)

C'est peut-être la prévision la plus volontariste du Gartner et, partant, celle qui devrait avoir la portée la plus faible. Le cabinet appelle donc de ses voeux une analyse au plus haut niveau des processus qui font une entreprise. Pour ce faire, il invite en 2008 les "centres d'excellence des architectures orientées services" à travailler en étroite collaboration avec les "centres d'excellence pour les processus".

Source NETECO
SaaS : les raisons d'un succès

Le SaaS est devenu aujourd'hui une réalité tangible dans les entreprises. Au-delà du succès médiatique
d'un Salesforce.com, le marché du SaaS représente un chiffre d'affaires de 122 M en France (source IDC) et de 5,7 milliards de dollars dans le monde en 2007 (source Gartner). D'après le Gartner Group
ce marché devrait même doubler d'ici à 2011.

Au-delà de ces indicateurs macro-économiques, quatre raisons nous semblent pouvoir expliquer le
succès présent et à venir du SaaS :

La première tient à la réduction très sensible des délais de déploiement des applications. Les solutions
SaaS permettent en effet de réaliser des économies de temps considérables dans les phases de
paramétrage (de par leur aspect pré-packagé) et d'intégration technique (mise à disposition des
ressources matérielles et humaines pour l'installation des applications au sein de l'entreprise). Le mode
SaaS favorise en outre des mises en place progressives (par module fonctionnel ou processus) en
obtenant des succès rapides garants de la bonne fin des projets.

La seconde raison du succès du SaaS est liée à la valeur ajoutée supplémentaire amenée par ces
solutions. Alors que beaucoup de clients se plaignent du faible taux d'utilisation des applications
déployées, les offres SaaS permettent de tirer meilleur parti de ces applications. Ergonomie simplifiée,
meilleur compromis couverture fonctionnelle / facilité d'utilisation, possibilités étendues de paramètrage,
sécurité renforcée, réversibilité, autant de facteurs différenciant offerts par les solutions en mode SaaS.
En outre, les éditeurs de solutions SaaS proposent fréquemment des fonctionnalités supplémentaires
capitalisant sur son savoir-faire métier. C'est le cas en particulier des fonctionnalités de reporting
automatique (KPI, dashboarding) ou de l'envoi d'alertes qui permettent au client de mieux exploiter,
sans investissements coûteux, les données contenues dans les applications.

10 de 10 - 10/6/2015 10:38
kevin85 Messages postés: 286 - Membre depuis: 20/4/2015

(CercleFinance.com) - BNP Paribas, agissant pour le compte de
Perfect Commerce, a déposé auprès de l'AMF un projet d'offre publique
d'achat visant les actions Hubwoo, dont la cotation reprend ce 10 juin.




L'initiateur, qui ne détient à ce jour aucun titre, s'engage
irrévocablement à acquérir la totalité des actions existantes à
l'exception des actions auto-détenues, soit un maximum de 127.950.997
actions, au prix de 0,19 euro par action.

L'offre porte aussi sur
la totalité des actions nouvelles susceptibles d'être émises avant la
clôture de l'offre ou, le cas échéant, de l'offre réouverte, à raison de
l'exercice d'options de souscription attribuées par la société, soit un
maximum de 7.391.620 actions.

Johan Harald Gedda a conclu, le 7
juin, un contrat d'engagement d'apport avec l'initiateur aux termes
duquel il s'est engagé à apporter à l'offre 32.249.041 actions Hubwoo,
représentant 24,96% du capital social de la société.

La société
Cofibred a également conclu, le 8 juin, un contrat d'engagement d'apport
avec l'initiateur aux termes duquel il s'est engagé à apporter à
l'offre 17.085.816 actions, représentant 13,22% du capital social.

L'offre
publique est soumise à une condition prévoyant, pour qu'elle ait une
suite positive, la présentation d'un nombre minimum d'actions tel que, à
la date de clôture de l'offre, l'initiateur détienne au moins deux
tiers du capital ou des droits de vote de la société en tenant compte
des actions auto-détenues.

Dans l'hypothèse où les conditions
seraient réunies, il se réserve la faculté de mettre en oeuvre le
retrait obligatoire sur les actions de la société dans un délai de dix
jours de négociation à compter de la publication du résultat de l'offre
ou, le cas échéant, dans le délai de trois mois à compter de la clôture
de l'offre réouverte.

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