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Bonduelle (BON)

- 17/10/2008 08:10
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

Les acheteurs font une nouvelle tentative contre les 63 euros. En cas d'essai transformé, la tendance haussiere se trouverait relancee.

Réponses
113 Réponses
  3   
41 de 113 - 22/9/2015 22:23
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Bonduelle (EU:BON)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 22 Septembre 2015

Plus de graphiques de la Bourse Bonduelle

L'industriel français spécialiste des légumes Bonduelle a annoncé
mardi que le poulet utilisé dans ses recettes de salades vendues au
rayon frais sera désormais d'origine française, alors que 45% du poulet
mangé en France est importé.



"Nous avions un
partenariat avec le porc français que nous avons étendu à l'association
pour la promotion de la volaille française" (APVF), a indiqué le
directeur général de la branche frais du groupe Bonduelle, Pascal
Bredeloux, lors d'une conférence de presse.



Les 500
tonnes de poulets utilisés par Bonduelle Fresh Europe dans ses trois
recettes de salade contenant du poulet vendues en France seront donc
fournies par des producteurs français, ce qui a poussé le groupe à
changer de fournisseur.



Cette opération "coûte cher",
reconnaît M. Bredeloux, mais c'est la garantie de "maîtriser la qualité
de tous nos approvisionnements". Car Bonduelle entend avoir un regard
sur tout: de l'alimentation des poulets aux conditions d'élevage et au
transport, en passant par les abattoirs.



"Cela permet
de pouvoir répondre à nos consommateurs", explique M. Bredeloux, qui
rappelle que "dans un passé récent, ça n'a pas suffi à protéger des
entreprises de donner un cahier des charges" aux fournisseurs, faisant
ainsi référence au scandale de la viande de cheval trouvée dans des
plats préparés d'autres industriels.



Ces salades seront
vendues avec un logo "volaille française", qui n'est pour l'instant
obligatoire que sur les produits bruts.



La France
revendique depuis plusieurs mois auprès de l'Union européenne
l'obligation pour les industriels d'indiquer l'origine de la viande
composant leurs plats préparés.



En dix ans, la
production de volaille a chuté de 500,000 tonnes en France, passant de
2,3 à 1,8 millions de tonnes, selon la Confédération française de
l'aviculture (CFA).



En parallèle, les importations de
volaille ont augmenté d'environ 15% entre 2010 et 2014, selon le
ministère de l'Agriculture.






(END) Dow Jones Newswires



September 22, 2015 15:24 ET (19:24 GMT)

42 de 113 - 26/9/2015 16:34
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

MARDI 29 SEPTEMBRE

ÉCONOMIE

Inde. Taux directeurs de la banque centrale (7 h 30).
Royaume-Uni
– Evolution des agrégats monétaires au mois d’août (10 h 30).
– Enquête de la Chambre de commerce et de l’industrie de septembre (12 heures).
Zone euro. Indicateur du climat des affaires de septembre, publié par la Commission européenne (11 heures).
Allemagne. Inflation de septembre (14 heures).
Etats-Unis
– Indice des prix immobiliers, publié par S&P (15 heures).
– Indice de confiance du consommateur de septembre, publié par le Conference Board (16 heures).

SOCIÉTÉS

PUBLICATIONS ET RÉUNIONS

ABC Arbitrage. Résultats du premier semestre.
Ales Groupe. Résultats du premier semestre.
Bonduelle.

Résultats annuels 2014-2015. L’entreprise a déjà annoncé durant l’été

un chiffre d’affaires plutôt supérieur aux attentes pour l’exercice clos

le 30 juin. Le bénéfice opérationnel devrait se situer dans le haut de

la fourchette prévue (et relevée en février), de 110 à 115 millions

d’euros.

43 de 113 - 29/9/2015 08:09
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Bonduelle (EU:BON)
Intraday Stock Chart

Today : Mardi 29 Septembre 2015

Click Here for more Bonduelle Charts.

(CercleFinance.com) - Bonduelle a terminé son exercice 2014/2015 clos le

30 juin dernier sur un chiffre d'affaires de 1,98 milliard d'euros,

soit une hausse de 3,2% à changes courants qui atteint, à changes

constants, 4,1%, dépassant ainsi ses prévisions (qui allaient de 2 à

3%).



Par division, la Conserve (plus de 50% du CA) a sur l'année

progressé de 2,3% en organique, une contraction de 2,7% étant à signaler

au T4. Le Surgelé (+ 5,2% sur l'année) et le Frais (+ 7,6%) étaient

mieux orientés.



Par grande région, l'Europe qui concentre près

des deux tiers des ventes a progressé en 2014 de 2,3% à données

comparables, bien qu'une contraction ait été enregistrée au T4 (- 3%).

Le 'hors zone Europe', composé essentiellement de l'Amérique du Nord, a

de son côté affiché un hausse marquée de 12,5% sur l'année qui a

accéléré au T4 (+ 14,1%).



La rentabilité opérationnelle courante

s'inscrit à un plus haut historique de 111,5 millions d'euros soit une

croissance supérieure de près de 3 fois celle du chiffre d'affaires. A

taux de change constants, cette croissance s'établit à + 13,6 %,

au-dessus de l'objectif ajusté en février dernier de + 7 à +12 %. Le

groupe affiche une forte progression du résultat net à 69,2 millions

d'euros contre 15,2 en 2013-2014.



Le Groupe Bonduelle affiche une

dette nette au 30 juin 2015 de 512,4 millions d'euros contre 524,6

millions d'euros au 30 juin 2014. Il entend dépasser en 2015-2016 la

rentabilité opérationnelle courante enregistrée lors du précédent

exercice à taux de change constants.

44 de 113 - 29/9/2015 17:47
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002


BONDUELLE
:
Toujours prudent dans ses perspectives





29/09/15 à 16:45

-

Investir.fr


0
Commentaire(s)


L’exercice 2014-2015 s’est conclu le 30 juin par un sans fautes pour le
numéro un mondial du légume transformé. Après sept années de maintien du
dividende, le groupe a même décidé de l’augmenter de près de 15%, à
0,43 €, ce qui ne suffit pas à séduire la Bourse après la publication
annuelle.



Toujours prudent dans ses perspectives | Crédits photo : Bonduelle


Toujours prudent dans ses perspectives | Crédits photo : Bonduelle

Les faits

Après une matinée hésitante, l’action Bonduelle s’est résolument
orientée à la baisse malgré l’annonce de résultats annuels très
satisfaisants. Ces prises de bénéfices interviennent certes alors que la
valeur progressait de près de 25% depuis le début de l’année, quand le Cac 40
a presque effacé ses gains annuels. La séance est aussi beaucoup plus
favorable aux valeurs pétrolières, automobiles et bancaires qu’aux
défensives de l’alimentation, dans le rouge pour la plupart. Enfin, les
prévisions pour le nouvel exercice (débuté le 1er juillet), semblent avoir été jugées prudentes, comme souvent chez Bonduelle.

L’année
2014-2015 a placé la barre assez haut. Pour un chiffre d’affaires
proche de 2 milliards d’euros, en progrès de 3,2% (et de 4,1% à
périmètre et devises comparables), le bénéfice opérationnel s’est accru
de 8,6% au 30 juin dernier, à 111,5 millions, permettant de porter la
marge de 5,3% à 5,6%, malgré la faiblesse du rouble et du dollar
canadien et un budget publicitaire renforcé.

A 69,2 millions
(contre 15,2 millions un an plus tôt), le profit net a largement dépassé
le consensus des analystes, qui se situait autour de 58 millions. Il a
bénéficié d’une charge fiscale moindre et d’une amélioration du résultat
financier sans compter, bien sûr, le non renouvellement de l’amende de
Bruxelles concernant l’activité champignons.

Les petits pois ont eu chaud

Pour
2015-2016, et selon des prévisions à devises constantes, le chiffre
d’affaires est attendu en amélioration de 2%, à un peu plus de 2
milliards d’euros, et le bénéfice opérationnel à un minimum de 112
millions soit, au pire, une quasi stabilité.

Christophe Bonduelle, le PDG du groupe, invoque tout à la fois « les incertitudes économiques, politiques et en matière de taux de change »,
alors que le rouble et le dollar canadien restent pénalisants, ce que
déplore aussi une note de la société de Bourse Gilbert Dupont, publiée
après la réunion financière.

Sur le plan agricole, également, « la campagne est plus compliquée qu’en 2014 »,
a ajouté Christophe Bonduelle. Les petits pois ont été victimes d’un
coup de chaleur en Picardie cet été, tandis que la récolte de maïs qui se termine au Canada montre des signes de maladie sur les plants.

Enfin,
la base de comparaison s’annonce élevée en Russie où Bonduelle, qui
produit localement, a plutôt profité de l’embargo sur les produits
alimentaires venant d’Europe et d’Ukraine. A devises constantes, les
ventes du groupe ont bondi de 28% au cours de l’exercice passé en Russie
et dans les pays proches…

Des ressources pour une acquisition

Cela dit, faute d’acquisitions depuis trois ans (hormis la petite usine de maïs
et pois surgelés dans l’Alberta en mars) et les années de lourds
investissements étant passées, Bonduelle se voit doté d’un bilan plus
équilibré qu’à son habitude. Pour la première fois depuis l’exercice
2006-2007, la dette nette, revenue à 512 millions, est légèrement
inférieure aux capitaux propres. Elle était de 608 millions après les
trois acquisitions de début 2012. Le spécialiste du légume transformé
dispose aussi d’une ligne de crédit de 300 millions d’euros « pour saisir des opportunités, » a souligné le directeur financier Grégory Sanson.

Si
la marque américaine Géant Vert est en passe d’échapper à Bonduelle, ce
dernier compte bien effectuer de nouvelles acquisitions pour atteindre
les objectifs de son plan stratégique. Il vise à un chiffre d’affaires
de 3,5 milliards en 2025, ce qui implique une progression moyenne de 5%
par an entre 2013 et 2025, répartie également entre la croissance
interne et externe. Le bénéfice opérationnel est prévu à 250 millions (+
7,5% par an).

L'analyse (Investir)

Le conseil



Achat



Les perspectives semblent avoir déçu mais le groupe
conserve intacte sa volonté de lancer de nouveaux produits, tout en
renforçant les dépenses publicitaires qui ont soutenu la croissance en
Europe l’an dernier. Il a aussi les moyens d’une acquisition et reste
modérément valorisé en Bourse, autour de 11 fois les bénéfices du nouvel
exercice.


Le cours au moment du conseil : 24.06 €

45 de 113 - 29/9/2015 18:11
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Je connais quelqu'un qui en a acheté lors de l'introduction et il s'est fait des gains pharaoniques !
46 de 113 - 29/9/2015 19:05
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

vraiment BON chance

47 de 113 - 30/9/2015 13:45
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

30/09/2015 | 11:29

Portzamparc a abaissé
son conseil sur Bonduelle de 'renforcer' à 'conserver' ainsi que son
objectif de cours de 28 à 25 euros, après la publication de perspectives
2015/2016 jugées 'moins engageantes' au sortir d'un 'excellent exercice
2014/2015'.

Avec un bénéfice opérationnel courant de 112
millions d'euros en progression de 9% (+14% à taux de changes
comparables), Bonduelle a délivré de solides performances
opérationnelles 2014/15, a souligné l'analyste, qui dit par ailleurs
retenir la forte réduction des frais financiers ainsi que la maîtrise de
la structure financière.

Le groupe vise a minima une stabilité de son bénéfice opérationnel courant à taux de changes constants pour des
ventes
en hausse de 2%. Outre l'effet de base exigeant, cet objectif plutôt
modeste traduit des campagnes agricoles plus difficiles, un
ralentissement probable en Russie/CEI, une croissance tirée par des
activités moins margées et un accroissement des dépenses
marketing-média, décrypte l'intermédiaire.

Portzamparc redoute par ailleurs aussi des devises toujours pénalisantes à la fois sur le chiffre d'affaires et sur le
bénéfice opérationnel courant.

Au
final, le broker a abaissé son scénario avec un impact de 15% sur son
BPA (bénéfice par action) 2015/2016 et de 12% sur son BPA 2016/2017.

Enfin, une opération de croissance externe pourrait selon lui redonner de la dynamique au titre.


Copyright (c) 2015 CercleFinance.com.

48 de 113 - 17/11/2015 18:03
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

16/11/2015 | 17:47

BONDUELLE
Société en commandite par actions au capital de 56 000 000 €.
Siège social : La Woestyne, 59173 Renescure.
447 250 044 R.C.S. Dunkerque

ASSEMBLEE GENERALE MIXTE
DU 3 DECEMBRE 2015

Villeneuve d'Ascq, le 16 Novembre 2015

Communiqué

MODALITES DE MISE A DISPOSITION DES DOCUMENTS PREPARATOIRES

Les
actionnaires de la société sont invités à participer à l'Assemblée
Générale Mixte qui se tiendra le Jeudi 3 décembre 2015 à 17 H au Siège
Administratif à VILLENEUVE D'ASCQ

L'avis
préalable comportant l'ordre du jour et les projets de résolutions a
été publié au BALO du 26.10.2015 et l'avis de convocation est publié au
BALO du 16.11.2014 et dans un journal d'annonces légales - La Voix du
Nord - le 16.11.2015.

Les
documents préparatoires à l'Assemblée énoncés par l'article R. 225-73-1
du Code de commerce sont mis en ligne sur le site internet de la société
www.bonduelle.com depuis le vingt et unième jour précédant l'assemblée.

Les
documents prévus par l'article R.225-83 du code de commerce sont tenus à
la disposition des actionnaires à compter de la convocation de
l'assemblée. Conformément aux dispositions réglementaires applicables :

  • tout
    actionnaire nominatif peut, jusqu'au cinquième jour inclusivement avant
    l'Assemblée, demander à la société de lui envoyer ces documents, le cas
    échéant à sa demande expresse par voie électronique. Pour les
    titulaires d'actions au porteur, l'exercice de ce droit est subordonné à
    la fourniture d'une attestation de participation dans les comptes de
    titres au porteur tenus par l'intermédiaire habilité ;
  • tout actionnaire peut en prendre connaissance au siège de la société.

Modalités de mise à disposition des documents_AG_03dec2015:
http://hugin.info/143377/R/1967087/718463.pdf

49 de 113 - 20/11/2015 09:28
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
JEUDI 3 DÉCEMBRE 
- 07h30 Taux de chômage au sens du BIT / T3
- 09h50 Indices PMI des services et composite / novembre
- 10h50 Adjudication d'OAT long terme ADJUOATLT

- Axa AXAF.PA / journée investisseurs consacrée à la gestion du capital,
à Londres
- Wendel MWDP.PA / journée investisseurs, publication de l'ANR et
trading update (avant Bourse)
- Bonduelle BOND.PA / AG

VENDREDI 4 DÉCEMBRE
- Derichebourg DBG.PA / résultats annuels (après Bourse)

LUNDI 7 DÉCEMBRE
- 14h50 Adjudication de BTF ADJUBTF

MARDI 8 DÉCEMBRE
- 08h30 Indicateur conjoncture BDF (2e estimation du PIB du T4)
- 08h45 Commerce extérieur / octobre
- 08h45 Situation mensuelle budgétaire de l'Etat / octobre
- 12h00 Indicateurs avancés de l'OCDE / décembre

- Air France-KLM AIRF.PA / trafic de novembre

JEUDI 10 DÉCEMBRE
- 07h30 Emploi salarié / T3
- 08h45 Indice des prix à la consommation / novembre
- 08h45 Indice de la production industrielle / octobre

VENDREDI 11 DÉCEMBRE
- 08h45 Balance des paiements / octobre
- Revue de la note de la France par S&P
- Revue de la note de la France par Fitch

- Elior ELIOR.PA / résultats annuels

LUNDI 14 DÉCEMBRE
- 14h50 Adjudication de BTF ADJUBTF

- Veolia VIE.PA / journée investisseurs
- Aéroports de Paris ADP.PA / trafic de novembre
50 de 113 - 22/11/2015 10:46
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

analyse_technique.phtml?id=964047

51 de 113 - 02/12/2015 14:45
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

La Tribune -

Tous

les sondages placent Marine Le Pen en tête des élections régionales

dans le Nord-Pas-de-Calais - Picardie, devant Xavier Bertrand (LR) et

Pierre de Saintignon (PS). Ce qui a amené notre confrère La Voix du Nord

à prendre position en consacrant sa une du 30 novembre à son inquiétude

d'une victoire du FN et à la menace d'une telle victoire sur les

échanges internationaux dont profite aujourd'hui l'économie régionale.

Une mise en garde faite par Bruno Bonduelle, ex-pdg du groupe

alimentaire éponyme et ancien président de la CCI Grand Lille, il y a

déjà un mois dans le mensuel économique régional Eco 121.

52 de 113 - 02/12/2015 19:03
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

03/12/15 | 17:00 Assemblée générale

53 de 113 - 03/12/2015 17:55
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

5

Bonduelle en

garde sous le

pied

Bonduelle réalise le tiers

de ses ventes en France,

22% en Amérique du Nord

et une dizaine de pourcents

en Europe orientale. Présent

dans 25 pays, le groupe

nordiste affiche ainsi un

profil largement tourné vers

l’international. La réduction

du temps consacré à la

préparation des repas

favorise la consommation

des légumes prêts à

l’emploi. Pure player sur

ce marché des légumes

préparés, Bonduelle y

occupe la position de leader

mondial. Alors que l’exercice

2013/2014 avait été pénalisé

par l’amende infligée par

la Commission européenne

au titre de pratiques

anticoncurrentielles sur le

marché du champignon

en conserve, le dernier

millésime a permis aux

résultats de renouer

avec des niveaux plus

en phase avec les

ambitions de l’entreprise.

L’environnement est

pourtant demeuré difficile

avec une consommation

des ménages sous

pression, le mouvement

de concentration des

distributeurs, l’embargo

russe à l’importation, des

devises émergentes en

chute libre... Bonduelle a

également été confronté

à un grave incendie au

sein d’une de ses usines

au Canada en pleine

campagne agricole.

Sur un marché européen en

panne, le groupe gagne des

parts de marché grâce au

succès de ses innovations.

Bonduelle a également

engagé un gros effort en

matière de publicité et de

marketing afin de renforcer

la notoriété de ses produits.

Il s’agit ainsi d’accroître

la différenciation avec

les marques distributeurs

qui affichent des prix

très bas. La croissance

organique de Bonduelle est

essentiellement obtenue en

Amérique du nord et au sein

des pays émergents. On

retiendra en particulier les

progressions significatives

enregistrées en Russie

ou au Brésil dans une

conjoncture pourtant bien

déprimée. La profitabilité

dégagée par Bonduelle est

nettement plus élevée en

dehors de la zone Euro. En

conséquence, le résultat

opérationnel courant s’est

apprécié de 14% à 112

Millions d’Euros sur le

dernier exercice. Outre ces

bons chiffres, le spécialiste

des légumes constate une

diminution significative de

son endettement. Alors que

la société entend poursuivre

l’amélioration de sa

rentabilité, les multiples n’ont

rien de déraisonnables.

Bonduelle se négocie sur la

base de 11 fois ses résultats

2014/2015. Dès lors, on peut

maintenir cette ligne en fond

de portefeuille.

54 de 113 - 07/12/2015 11:38
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002


(CercleFinance.com) - Le groupe annonce la nomination de Martin
Ducroquet au poste de Président du Conseil de Surveillance de Bonduelle.
Il remplace Isabelle Danjou dont le mandat de membre est renouvelé.

Martin
Ducroquet a exercé des fonctions chez Siparex Private Equity pendant
près de dix ans, notamment en tant que directeur d'investissements. A ce
titre, il était représentant permanent dans divers Conseils
d'Administration et de surveillance de sociétés non cotées.

Marie-Ange Verdickt fait également son entrée au Conseil de Surveillance en remplacement de Daniel Bracquart.

55 de 113 - 08/12/2015 15:22
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

Doper la production agricole
mondiale tout en réduisant son impact dévastateur sur l'environnement ?
Grâce à ces étonnantes innovations, cela va devenir possible.

Pour
nourrir les 9,2 milliards d'humains qui peupleront la planète en 2050
(2 milliards de plus qu'aujourd'hui), la production agricole va devoir
bondir de 70%. Or, avec moins de terres arables, il faut accroître les
rendements tout en réduisant les dommages sur la nature. Les «clean
techs» devraient permettre de résoudre ce paradoxe. "L'agriculture sera
écologiquement intensive", parie le Français David Dornbusch, fondateur
de Clean Tuesday.

Des robots à la place des désherbants

Se
passer de produits chimiques tout en évitant aux maraîchers de perdre
leur temps et leur santé à désherber leurs parcelles ? Avec le robot Oz,
c'est possible. Electrique et autonome grâce à un guidage laser, la
dernière innovation du toulousain Naïo Technologies désherbe une rangée
de légumes de 100 mètres en sept minutes quand l'homme y passe dix
heures. Vingt-cinq robots à 20.000 euros pièce sont déjà au travail,
notamment chez Bonduelle, leader mondial des légumes.

Mieux diagnostiquer les plantes

Fini
le temps où les agriculteurs devaient prélever des échantillons. Issus
de quinze années de recherche, les capteurs optiques portables de la
start-up Force A mesurent en temps réel, au seul contact de la plante,
quantité de données. Atout : les traitements phytosanitaires sont
réduits de 20 à 50% et les récoltes se font au plus près de la maturité.
Réalisant deux tiers de son chiffre d'affaires à l'international, Force
A est bien parti pour devenir le leader du diagnostic en temps réel du
végétal.

Utiliser les déchets animaux

Un quart des
besoins de la France en gaz assuré par les 155 millions de tonnes de
fumier issues de notre élevage chaque année ? Oui, grâce à leur
méthanisation qui, en milieu clos, produit de ...




... Lire la suite sur capital.fr


56 de 113 - 10/12/2015 23:46
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

La COP21 fait un pas vers un accord sur le climat

d0c3eb8ca18907492a4b337b5cec5193.jpeghttp://media.zenfs.com/en_us/News/logo/reuters/d0c3eb8ca18907492a4b337b5cec5193.jpeg" alt="Reuters">Par par Emmanuel Jarry | Reutersil y a 3 minutes 45 secondes
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  • 2015-12-10T223413Z_1007180001_LYNXMPEBB9http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2015-12-10T223413Z_1007180001_LYNXMPEBB91FZ_RTROPTP_3_OFRTP-CLIMAT-COP21-N-GOCIATIONS.JPG" alt="La Conférence de Paris sur le climat a fait jeudi un pas vers un accord sur la lutte contre le réchauffement de la planète avec une proposition de texte amélioré, au bout d'une nuit et d'une journée de tractations derrière des portes closes. Le ministre français des Affaires étrangères et président de la COP21, Laurent Fabius, a dit espérer présenter vendredi une proposition de texte final. /Photo prise le 10 décembre 2015/REUTERS/Jacky Naegelen">Afficher une photoLa
    Conférence de Paris sur le climat a fait jeudi un pas vers un accord
    sur la lutte contre le réchauffement de la planète avec une proposition
    de texte amélioré, au bout d'une nuit et d'une journée de tractations
    derrière des portes closes. Le ministre français des Affaires étrangères
    et président de la COP21, Laurent Fabius, a dit espérer présenter
    vendredi une proposition de texte final. /Photo prise le 10 décembre
    2015/REUTERS/Jacky Naegelen

par Emmanuel Jarry

LE BOURGET, Seine-Saint-Denis (Reuters) - La Conférence
de Paris sur le climat a fait jeudi un pas vers un accord sur la lutte
contre le réchauffement de la planète avec une proposition de texte
amélioré, au bout d'une nuit et d'une journée de tractations derrière
des portes closes.

Les délégations des 195 Etats réunis au Bourget depuis
le 29 novembre se sont notamment entendues sur un objectif qui reprend
en partie une revendication de nombreux pays en développement.

L'objectif du futur accord est de "contenir la hausse
moyenne de la température globale bien en dessous de 2°C au-dessus des
niveaux pré-industriel et de poursuivre les efforts pour limiter (cette
hausse) à 1,5°C", lit-on dans ce texte.

Ce projet, considérablement raccourci et débarrassé de
nombreuses options ou formulations provisoires, reconnaît que limiter le
réchauffement à 1,5 degré réduirait de façon significative les risques
et les impacts des changements climatiques.

Le ministre français des Affaires étrangères et
président de la COP21, Laurent Fabius, déterminé à faire adopter
vendredi par la COP21 un accord définitif, devait présider dans la nuit
une nouvelle réunion avec les chefs de délégation.

Les derniers points de blocage concernent notamment le
traitement différencié des pays selon leur développement, le financement
de l'aide aux pays les plus vulnérables et les ambitions de l'accord,
a-t-il précisé lors d'une réunion plénière du "comité de Paris",
instance de concertation mise en place au début de la semaine.

La question de la compensation des pertes et dommages
irréversibles subis par les pays les plus vulnérables aux dérèglements
climatiques n'est pas non plus réglée.

"Nous sommes tout proches du but", a cependant ajouté
Laurent Fabius. "Je pense être en mesure de présenter demain au comité
de Paris ma proposition de texte final."

Il a demandé aux délégations, la plupart dirigées par
des ministres, de faire preuve de responsabilité dans cette dernière
ligne au goût de moment de vérité, six ans après l'échec de la
conférence climat de Copenhague.

"Vous savez (...) que le compromis implique par nature
de renoncer à ce qui est idéal pour chacun afin d’atteindre ce qui est
souhaitable pour tous", a-t-il dit. "C’est précisément à cette exigence
que nous sommes aujourd’hui confrontés."

PAS DE PRIX DU CARBONE

Une certaine tension régnait depuis mercredi soir sur le site ultra-sécurisé du Bourget.

"Le moment viendra progressivement où la main
bienveillante de la présidence deviendra un peu plus ferme pour
cristalliser un consensus", expliquait-on de source proche du chef de la
diplomatie française au début de la semaine.

Il semble que ce moment soit arrivé mercredi soir, après une réunion du "comité de Paris".

Pendant plus de trois heures et demie, une cinquantaine
d'orateurs sur 196 délégations se sont succédé pour réaffirmer leurs
lignes rouges et critiquer le projet de texte qui leur avait été remis
en début d'après-midi.

Laurent Fabius avait mis fin à la séance pour convoquer
à minuit les chefs de délégation. Une réunion qu'il a présidée jusqu'à
4h50 avant de dormir brièvement sur place et d'engager une série de
consultations bilatérales.

Membres de la société civile et organisations de
défense de la nature, invités en tant qu'observateur, s'inquiètent de la
portée qu'aura le texte final.

"Il y a un réel désir de conclure mais la question est
de savoir si ce sera un accord fort ou un accord faible", a ainsi dit à
Reuters Alex Hanafi, du Fonds de défense environnementale.

"Le compte n'y est pas complètement. Il y a des points
qui ont progressé, il y en a d'autres qui ont régressé", a pour sa part
dit à Reuters l'écologiste Matthieu Orphelin, porte-parole de la
Fondation Nicolas Hulot.

Il s'insurge ainsi de la disparition de toute référence
à la fixation d'un prix du carbone : "Il est inadmissible que l'Arabie
saoudite et le Venezuela aient eu gain de cause là-dessus (...) C'est
une reculade nette."

Il regrette également que l'objectif en matière de
réduction des émissions de GES ne soient plus formulé qu'en terme
généraux : un "pic" d'émissions "le plus tôt possible".

Par ailleurs, les délégations qui réclamaient une date
assez proche pour la première révision des engagements nationaux en la
matière n'ont à ce stade pas eu gain de cause.

(Avec Alister Doyle, Yonathan Van der Voort et David Stanway, édité par Guy Kerivel)

57 de 113 - 20/12/2015 11:41
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

: Graphique analyse technique  | Zone bourse

58 de 113 - 23/12/2015 21:15
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000



Publié le 23/12/2015 à 21h07

(Boursier.com) — La société Bonduelle SCA a procédé en date du 27 mars 2015 à un rachat auprès de son actionnaire de référence,
la société Pierre et Benoît Bonduelle SAS, d'un bloc de 1.016.350 BSAAR
(Bons de Souscription et/ou d'Acquisition d'Actions Remboursables) au
prix unitaire de 18 euros pour un montant global de 18.294.300 euros. Ce
bloc représentait 71,24% des bons en circulation à la date du rachat
pouvant ainsi conduire à la création de 4.065.400 actions nouvelles.

A
l'issue du rachat du bloc, il restait en circulation 410.389 BSAAR,
soit 28,76% des bons. Afin d'assurer un traitement équitable à tous les
porteurs, la société Bonduelle SCA a mis en place une procédure de
désintéressement du 30 mars 2015 au 14 avril 2015 inclus, portant sur la
totalité des BSAAR restant en circulation non détenus par la société
Pierre et Benoit Bonduelle SAS postérieurement à l'achat du bloc, soit
239.427 BSAAR.

A l'issue de cette procédure, il restait 208.446
BSAAR en circulation pouvant conduire à la création de 833.784 actions.
Pour limiter leur émission lors de l'exercice des bons encore en
circulation, la société Bonduelle SCA a procédé à la réaffectation de
833.784 de ses 1.590.564 actions auto-détenues affectées à des
opérations de croissance externe à l'objectif de couverture des BSAAR
afin de livrer des actions existantes en cas d'exercice des bons restant
en circulation.

La société Pierre et Benoît Bonduelle SAS
détenant 170.962 BSAAR au 22 décembre, soit 82,65% des bons en
circulation à cette date, a exercé ceux-ci en date du 23 décembre au
prix unitaire de 20 euros l'action. Cet exercice a donné lieu à la
livraison de 683.848 actions existantes auto-détenues et affectés à
l'objectif de couverture des BSAAR.

La détention cumulée de la
société Pierre et Benoit Bonduelle SAS et du Concert entraînant une
situation d'offre publique obligatoire, une demande de dérogation à
l'obligation de dépôt d'une offre publique obligatoire a été déposée
auprès de l'AMF préalablement à cet exercice de BSAAR. Cette demande
dérogation a été acceptée le 22 décembre 2015.

Consécutivement à
cette opération, la société Pierre et Benoît Bonduelle SAS, actionnaire
de référence commandité de Bonduelle SCA, détient désormais directement
et indirectement 29,8% du capital et 38% des droits de vote. L'ensemble
des actionnaires familiaux agissant de concert détient 48,01% du capital
et 59,22 des droits de vote.

59 de 113 - 26/12/2015 09:55
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

04/02/2016 - Chiffre d'affaires 1er semestre 2015 - 2016
01/03/2016 - Résultats du 1er semestre 2015- 2016
04/05/2016 - Chiffre d'affaires du 3ème trimestre 2015 - 2016
04/08/2016 - Chiffre d'affaires annuel 2015 - 2016
04/10/2016 - Résultats annuels 2015-2016
01/12/2016 - Assemblée Générale Annuelle

60 de 113 - 29/12/2015 12:28
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002


Par
BENJAMIN QUENELLE
|
Les Echos |
Le 29/12/15 à 02:00

Les
exportations françaises vers la Russie ont chuté de 35 % depuis
janvier. L’agroalimentaire et l’automobile sont durement touchés par la
récession.

Face à la crise en Russie, les industriels français serrent les dentsFace à la crise en Russie, les industriels français serrent les dents

Chute
du rouble, effondrement du pétrole, baisse de près de 4 % du PIB :
l’année 2015 aura été terrible pour les industriels français présents en
Russie. Face à l’ampleur de la crise, Danone a annoncé la semaine
dernière qu’il allait fermer deux usines de produits laitiers en Russie,
à Tomsk, en Sibérie, et Cheboksary, près du fleuve Volga. Même si les
conserves sont un produit de crise, Bonduelle estime que le marché a
chuté de 12 % en volume en octobre (voir ci-contre). Les industriels de
l’automobile sont aussi très touchés. En volume, le marché russe a chuté
de 35 % sur un an depuis janvier. Renault souffre avec des volumes en
recul de 38 % sur onze mois (voir ci-contre), tandis que Peugeot et
Citroën enregistrent des baisses de plus de 70 % !

De fait, la
consommation est largement grippée. A 15 %, l’inflation plombe le
pouvoir d’achat. Les salaires réels des ménages ont reculé de 9 % sur un
an en novembre. Et les ventes de détail n’en finissent pas de baisser :
– 13 % en novembre, contre – 11,7 % en octobre, déjà le pire mois pour
la consommation depuis le début du siècle. Principale victime : la
classe moyenne russe, cible des exportations françaises d’habillement,
de cosmétiques ou de pharmacie.

Des indicateurs pessimistes

Les
industriels de l’Hexagone ont été particulièrement frappés par le
phénomène. Entre janvier et octobre, les importations russes ont baissé
de 35 % pour tomber à 3,8 milliards d’euros. Parmi les secteurs les plus
touchés : l’agroalimentaire (– 41 %), toujours ciblé par l’embargo
imposé par le Kremlin depuis le début de la crise ukrainienne. Les
équipements mécaniques, électriques et électroniques (– 36,5 %) et le
transport (– 48 %) sont aussi très affectés, pris en tenaille par la
baisse de la demande et la chute du rouble, qui augmente les coûts des
importations facturées en euros.

Si le luxe semble échapper à la
crise, l’habillement et les produits pharmaceutiques pâtissent de la
baisse du pouvoir d’achat des Russes. Ces deux secteurs ont enregistré
des baisses respectives de 36,5 % et 29 % de leurs exportations vers la
Russie. Quant à la chute pour les produits chimiques, les cosmétiques et
les parfums, elle est de 21 % au total.

Vladimir Poutine a beau évoquer «  des signes de stabilisation »,
les indicateurs restent mauvais. Si le baril reste à son niveau actuel,
le PIB pourrait chuter de plus de 2 % cette année, selon la banque
centrale russe car les exportations de pétrole, qui assurent plus de la
moitié des recettes publiques, sont le moteur de l’économie russe.

Touchées
de plein fouet par la récession, les entreprises françaises ne cèdent
pas à la panique. La plupart sont depuis longtemps passées de la simple
exportation à la localisation de leurs productions. Aucune n’a pour
l’instant quitté le pays. Les investissements ont diminué mais la France
reste avec l’Allemagne parmi les premiers investisseurs en Russie.

Au
ralenti, l’activité se poursuit en attendant des jours meilleurs. Au
MAKS, le Salon aéronautique de Moscou, en août, aucun contrat n’a été
signé. Mais le centre d’ingénieurs d’Airbus basé dans la capitale russe
continue de participer aux projets du groupe. De son côté, Safran
travaille toujours sur des moteurs pour divers projets d’hélicoptères
russes.

«  Malgré la crise économique, le conflit ukrainien,
les sanctions, on sent qu’il y a une nouvelle dynamique, même si elle
est timide
 », indique Emmanuel Quidet, président de la chambre de
commerce franco-russe. La visite du Medef en novembre, la première à
Moscou depuis 2012, aurait donné lieu à des rencontres constructives. Et
Emmanuel Macron se préparerait à venir en janvier pour coprésider le
Conseil économique, financier, industriel et commercial franco-russe.
Une instance qui ne s’était plus réunie au niveau ministériel depuis
2013. De quoi donner des raisons aux industriels français de serrer les
dents, en attendant que l’horizon s’éclaircisse un peu.

Correspondant à Moscou

Benjamin Quénelle

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