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Vinci (DG)

- 29/1/2007 08:23
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

Vinci




Vinci a consolide pendant toute l'annee 2006 avec un plus haut a 85
euros et un plus bas a 73 euros. Sortir de cette zone n'a pas ete chose
facile et une fois cette action reussie, la hausse s'est acceleree avec
une bonne anne 2007 en perspective.

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375 Réponses
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301 de 375 - 14/10/2014 13:06
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
PARIS (Reuters) - Manuel Valls a prédit mardi la conclusion rapide d'un accord avec les concessionnaires des sociétés d'autoroutes pour financer les infrastructures de transport après l'abandon de l'écotaxe poids lourds face à la révolte des routiers.

Le Premier ministre a rencontré à Matignon les dirigeants de ces sociétés récemment montrées du doigt par l'Autorité de la Concurrence pour leurs bénéfices importants.

"Cette réunion a été utile parce qu'il faut bâtir un partenariat gagnant-gagnant entre l'Etat (et) les sociétés concessionnaires des autoroutes", a dit Manuel Valls.

Il a annoncé des réunions de travail entre les sociétés et les ministères concernés "pour trouver un accord qui soit profitable à tous, à l'Etat, aux usagers et à l'économie française", prédisant un accord "dans les prochaines semaines".

Les dirigeants des sociétés d'autoroutes n'ont fait aucun commentaire après la réunion.

Le gouvernement ne s'est pas montré très précis sur les contours d'un éventuel accord, la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, évoquant des "systèmes justes pour tout le monde et surtout qui permettent de relancer les travaux publics".

Outre l'objectif de combler le trou provoqué par l'abandon de l'écotaxe dans le financement des infrastructures, il s'agit de réduire le coût pour l'usager de l'utilisation des autoroutes.

CONTRATS SOLIDES

Ségolène Royal a prôné mardi sur RTL une baisse de 10% des péages autoroutiers et la gratuité des réseaux le week-end

"Puisqu'il y a 20% de tarifs en trop (...) Je souhaite qu'il y ait une baisse des tarifs d'autoroutes de 10% avec une gratuité par exemple le week-end", a-t-elle déclaré. "Et sur les 10% restants, que ça vienne financer le fonds d'investissement sur les infrastructures.

Dans l'entourage de Manuel Valls, on estime que la gratuité des autoroutes le week-end est "difficilement envisageable".

La semaine dernière, Ségolène Royal avait déclaré envisager un nouveau prélèvement sur les bénéfices des autoroutes pour combler le trou laissé par l'abandon de l'écotaxe.

Le ministre des Finances, Michel Sapin, qui soulignait la semaine dernière les grandes difficultés d'une telle réforme au regard des contrats de concession signés en 2004, précise mardi dans Les Echos qu'il n'est "pas sûr qu'une solution puisse être trouvée pour financer des projets dès 2015".

Mais il ajoute : "C'est une bonne idée de vouloir faire contribuer davantage (les sociétés d'autoroute) alors qu'elles ont été privatisées dans des conditions trop avantageuses. Et si certaines dispositions peuvent être prises par voie législative, il faut les examiner."

Pierre Coppey, président de l'Association des sociétés françaises d'autoroutes (Asfa) et directeur général délégué de Vinci, était présent mardi à Matignon. Outre Vinci Autoroutes, Eiffage et Sanef-SAPN (Abertis) étaient représentés.

Malgré la multiplication des appels à une évolution du régime des autoroutes, les concessionnaires ne sont pas prêts à se laisser faire, forts de l'article 32 des contrats de concession qui prévoit le principe de compensations en cas de prélèvement nouveau.

Selon Le Figaro, dans l'hypothèse d'une nouvelle taxe, les opérateurs menacent de ne pas appliquer le plan national de relance des autoroutes signé avec l'Etat à l'automne 2013, tirant un trait sur les créations d'emplois associées.

FEU VERT EUROPÉEN

Ce plan, qui selon Manuel Valls a reçu le feu vert de Bruxelles, prévoyait initialement 3,6 milliards d'euros d'investissements à réaliser par les concessionnaires en échange d'un allongement de la durée des concessions.

"Selon des sources au fait du dossier, APRR et AREA (groupe Eiffage), seraient les sociétés concessionnaires les moins bien loties", écrit le quotidien.

D'après lui, plusieurs projets sur les six planifiés auraient été retoqués, ce qui ramènerait de 934 à environ 700 millions d'euros le montant des travaux à effectuer au final sur le réseau du groupe. Les allongements de concession négociés avec l'Etat (trois ans et demi environ) seraient réduits en proportion, ajoute le quotidien.

Le groupe Abertis (12 opérations planifiées sur les réseaux Sanef et SAPN pour 668 millions de travaux) et surtout Vinci (huit opérations pour près de deux milliards d'euros), s'en tireraient beaucoup mieux, ce dernier voyant, d'après une source des Echos, tous ses chantiers approuvés.

La Commission européenne, à qui le plan de relance a été notifié officiellement en mai après de longs mois de préparation, aurait validé les dossiers proposant des élargissements du réseau, mais se serait opposée aux opérations qui s'apparentent à des extensions du réseau, sauf le fait de raccorder deux tronçons existants.

Vinci et Eiffage ont refusé de commenter ces informations, tandis qu'aucun commentaire n'a pu être obtenu dans l'immédiat auprès de Sanef ou de l'Asfa.

(Gilles Guillaume, Marion Douet et Julien Ponthus, édité par Yves Clarisse)

302 de 375 - 14/10/2014 16:59
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
(CercleFinance.com) - UBS (NYSEArca: FBGX - actualité) réitère sa recommandation 'achat' sur Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) , tout en ajustant son objectif de cours de 58 à 56 euros, après une chute d'un quart de la valeur depuis son pic de juin, soit 7,7 milliards d'euros de capitalisation de marché.

'Si les dynamiques se sont clairement dégradées dans les activités de contracting, nous pensons que le mouvement du titre est exagérément fort et que l'action offre encore de la valeur significative', affirme l'intermédiaire.

UBS reconnait qu'il peut exister des risques perçus supplémentaires autour des activités autoroutières françaises, avec les interrogations récentes de ministres concernant les concessions au secteur privé.

'Nous estimons toutefois que ceci restera seulement du 'bruit', étant donnée la nature robuste des contrats de concession qui protège Vinci contre tout changement en termes de législation ou de taxation', déclare le courtier.

Pour le troisième trimestre, UBS s'attend à ce que le groupe dévoile un chiffre d'affaires en baisse de 8% à 9,95 milliards d'euros et de 5,6% en organique (dont une croissance de 3% pour les concessions et une baisse de 7% pour le contracting).
303 de 375 - 14/10/2014 18:50
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
UBS a abaissé mardi son objectif de cours sur Vinci de 58 euros à 56 euros, tout en confirmant sa recommandation d' "Achat" sur le groupe de construction et de concessions. Le broker note que le titre a perdu 25% de sa valeur depuis ses sommets de juin, soit 7,7 milliards d'euros de capitalisation boursière en moins. Mais, bien que les tendances des marchés des métiers de travaux ("contracting") se soient détériorées, UBS juge la baisse du titre en Bourse "trop sévère".

Le courtier prend note du risque perçu supplémentaire entourant le secteur français des autoroutes, qui fait actuellement l'objet de déclarations de Ségolène Royal, la ministre de l'Ecologie, qui a notamment proposé de rendre gratuites les autoroutes le week-end... UBS n'accorde cependant pas trop d'importance à ce qu'il assimile à du "bruit" étant donné la robustesse des contrats de concession qui protègent Vinci de tout changement de législation / fiscalité.

Retrouvez cet article sur Tradingsat.com

304 de 375 - 14/10/2014 20:47
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, perdant 1.95%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 8.54%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en hausse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 44.4 puis 45.2. Tandis que les prochains supports sont sur : 40.1 puis 39.1.

Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est baissier tant que 45.2 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 45.2.
Cours de référence : 43.6.
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305 de 375 - 14/10/2014 21:12
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Taxer les profits des concessionnaires d'autoroutes, une solution compliquée

Par AFP | AFP – il y a 34 minutes
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Contenus associésAfficher une photoUn péage sur une autoroute dans le nord de la France
Bénéfices "inacceptables" pour le secrétaire d'État au Budget Christian Eckert, "super profits" pour la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal: bien que tentante, la solution de taxer les profits autoroutiers pour compenser l'écotaxe, n'est pas si simple à mettre en place.

Comme l'ont rappelé le ministre des Finances, Michel Sapin, et l'Autorité de la concurrence, modifier le mode de rémunération des concessionnaires pourrait s'avérer périlleux, toute augmentation de leur fiscalité devant être compensée.

Une clause dans les contrats signés entre l'Etat et ces sociétés en 2005, lors de la privatisation des autoroutes, prévoit des compensations "en cas "de modification substantielle ou de création d'impôts, de taxes ou de redevances spécifiques aux sociétés concessionnaires d'autoroutes, susceptibles de compromettre gravement l'équilibre de la concession".

Et pour le réseau Cofiroute (Vinci), "c'est toute modification ou création d'impôts, taxes ou redevances qui doit être compensée, même celles qui ne sont pas "susceptibles de compromettre gravement l'équilibre de la concession"", souligne l'Autorité de la concurrence.

Selon une source juridique proche du secteur autoroutier, vouloir taxer leur profit "est une vue plutôt politique du sujet. Juridiquement on ne va rien pouvoir imposer du tout aux sociétés d'autoroute. L'Etat a une marge de man?uvre assez marginale".

Ces contrats sont favorables aux concessionnaires car, selon lui, il fallait intéresser d'éventuels acquéreurs. "A l'époque, ça avait sans doute incité à revoir les clauses des contrats et les rendre un peu plus intéressantes que dans l'ancienne version".

La majeure partie des autoroutes françaises a été vendue, pour 15 milliards d'euros, à trois groupes, qui se partagent l'Hexagone: les géants du BTP Vinci dans le sud et l'ouest, Eiffage dans le centre et le groupe espagnol Abertis dans le nord et l'est.

Les concessionnaires autoroutiers se défendent de bénéfices immoraux, arguant que les marges doivent se calculer sur la durée totale de leurs contrats, qui prennent fin entre 2029 et 2070.

Ils mettent en avant l'endettement du secteur de 30,9 milliards d'euros, près de 15 milliards d'euros d'investissements réalisés pendant la période 2006-2013, ainsi que leur contribution annuelle de 4 milliards d'euros aux finances publiques (TVA, impôt sur les sociétés, ...), d'après l'Association des sociétés françaises d'autoroutes (ASFA).

Sur un euro de péage, 40 centimes sont reversés à l'Etat, 30 centimes vont à la construction et la rénovation des autoroutes, 15 sont consacrés à l'exploitation et l'entretien, et 15 rémunèrent les fonds propres investis, ajoute l'ASFA.

Concrètement, l'Etat reste propriétaire de ces autoroutes, mais les a confiées à des sociétés privées qui perçoivent un péage. Ces contrats "prévoient des engagements (...) en termes de sécurité, d'intervention sur site, de rénovation des voies, ....", selon la source juridique.

L'Etat a néanmoins conservé une partie des autoroutes, et l'adossement aux trois groupes de celles construites depuis 2005 est interdit par Bruxelles. Elles ont été confiées à des sociétés ad hoc, dont certaines sont contrôlées par un ou plusieurs de ces trois groupes.

Sur les 11.882 kilomètres d'autoroutes françaises, 9.048 font partie de ce réseau concédé.

Les sociétés autoroutières ont réalisé en 2013 un chiffre d'affaires total de près de 9 milliards d'euros, dont 4,6 milliards d'euros pour Vinci, de 2,4 milliards pour Eiffage et 1,6 milliard pour Abertis.

308 de 375 - 15/10/2014 17:26
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Le ministre de l'Économie Emmanuel Macron veut renforcer la régulation des sociétés d'autoroute, a-t-il annoncé mercredi, lors de la présentation des grandes lignes de son projet de loi sur l'activité.


Il souhaite "mieux réguler" les concessions avec les sociétés privées pour faire évoluer les tarifs des péages et les montants investis par les sociétés d'autoroutes. M. Macron suit ainsi l'une des recommandation de l'Autorité de la concurrence qui, à la mi-septembre, avait constaté "la rentabilité exceptionnelle" de ces sociétés et noté "la nécessité d'une meilleure régulation du secteur".

309 de 375 - 17/10/2014 09:40
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Faire payer les sociétés d'autoroutes ? C’est possible !
Challenges – il y a 6 minutes
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Challenges - Autoroutes

Il existe des moyens juridiques pour que l’Etat puisse récupérer la rente autoroutière. Reste à trouver une volonté politique de le faire.

Martin Bouygues avait bien prévenu, à l’époque de la privatisation des autoroutes : « Privatisez, privatisez, l’Etat finira par revenir chercher l’argent de cette rente ! ». Justifiant ainsi l’absence de son groupe parmi les candidats à la privatisation. Huit ans plus tard, sa phrase semble prophétique.

Certes, Ségolène Royal a perdu la première manche : elle ne taxera pas les profits des sociétés d’autoroutes. Elle ne rendra pas l’autoroute gratuite le week-end non plus. Les contrats signés avec Vinci (ASF), Eiffage (APRR) et Abertis (Sanef) en 2006 empêchent l’Etat de toucher à un seul de leur cheveu. Et les parlementaires peuvent bien déposer trois amendements à la loi de finance 2015 pour tenter de mettre la main sur ces profits « indécents », tous les avocats en droit public de la place se gaussent : « Jamais ça ne passera. »

Michel Sapin l’a clairement rappelé : « Les sociétés autoroutières ont bénéficié de contrats extrêmement avantageux, qui prévoient que s'il y a une augmentation de fiscalité il doit y avoir une compensation. Et la compensation, c'est l'augmentation du péage. Est-ce que c'est une bonne solution, y compris pour les camions ? Je n'en suis pas absolument certain. » Un responsable d’une société d’autoroute l’assure : « A chaque fois que l’Etat a touché au contrat, taxe d’aménagement du territoire, redevance domaniale, on a tout récupéré. » Il n’y a rien à faire : l’Etat est coincé.

... Lire la suite sur Challenges


Bruxelles donnerait son feu vert au plan de relance autoroutier
Gratuité des autoroutes le week-end: Valls recadre Royal
310 de 375 - 20/10/2014 10:07
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
VINCI : La tendance baissière peut reprendre
TEC le 20/10/2014 à 07:120Sauvegarder l'article Envoyer à un ami Imprimer l'article Sauvegarder l'article Envoyer à un ami Imprimer l'article Partager 0Tweet 0 
VINCI : La tendance baissière peut reprendreSYNTHESE


Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 46.4 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 36.94 EUR, puis à 35.43 EUR et la résistance est à 46.03 EUR, puis à 47.54 EUR.

Dernier cours : 43.8
Support : 36.94 / 35.43
Resistance : 46.03 / 47.54
Opinion court terme : negative
Opinion moyen terme : negative
311 de 375 - 21/10/2014 20:26
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 2.38%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 6.36%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est supérieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est mitigée à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en hausse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 47.2 puis 48.5. Tandis que les prochains supports sont sur : 42.7 puis 41.9.

Notre préférence : Un rebond court terme sur Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est possible.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 41.9.
Cours de référence : 44.7.
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
312 de 375 - 22/10/2014 17:41
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Le président de l'Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre, qui avait estimé en septembre que les sociétés concessionnaires d'autoroutes bénéficient d'une situation de "rente", a réaffirmé mercredi que l'Etat devrait profiter du plan de relance autoroutier pour "reprendre la main".


"Le plan de relance autoroutier donne l'occasion à l'Etat de reprendre la main dans la négociation", selon Bruno Lasserre, interrogé au Sénat par la commission du développement durable.


"Si la fenêtre d'opportunité n'est pas saisie, (...) elle se refermera pour longtemps", estime-t-il, soulignant que l'Etat se trouve "devant un moment important", et "doit clairement reprendre la main (...) et renégocier en rééquilibrant les choses".


Le plan de relance autoroutier prévoit que les sociétés concessionnaires engagent des travaux en échange d'un allongement de la durée de leurs concessions. Le premier ministre Manuel Valls avait indiqué mi-octobre que Bruxelles avait donné son aval à ce plan.


M. Lasserre a toutefois précisé qu'une modification unilatérale du contrat de la part de l'Etat, ou sa résiliation de manière anticipée, seraient onéreuses.


"Dans les contrats administratifs, l'Etat a le droit" de modifier unilatéralement le contrat, mais cette modification "doit être compensée", a-t-il expliqué.


Quant à un rachat anticipé, soit une renationalisation des autoroutes, c'est une "possibilité qui existe", selon lui, mais elle "serait coûteuse", car il faudrait intégrer "dans le prix la conséquence de dispositions contractuelles qui sont favorables" aux concessionnaires.


Bruno Lasserre juge plus réaliste l'intégration d'une "clause de réinvestissement partiel des bénéfices" ou qu'au-delà d'un certain niveau, "les bénéfices supplémentaires reviennent à l'Etat".


Il a encore souligné que "les sociétés concessionnaires d'autoroutes redoutent cette date" de fin de concession. "L'Etat n'est fort qu'au moment où il fixe les conditions et quand il retrouve la maîtrise" de la gestion.


Selon lui, lors de la privatisation des autoroutes en 2005, "l'Etat a sans doute été naïf ou défaillant dans la négociation des règles du jeu".


L'Autorité de la concurrence avait pointé du doigt, dans un rapport publié le 18 septembre, la situation de "rente" des sociétés concessionnaires d'autoroutes. Rapport sur lequel s'était appuyée la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal, pour proposer de taxer les bénéfices de ces sociétés pour remplacer l'écotaxe, ou une gratuité le week-end.


jul/fpo/phc

DOW JONES NEWS
313 de 375 - 23/10/2014 18:28
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000
(CercleFinance.com) - Vinci a fait état ce jeudi après la clôture d'un chiffre d'affaires de 28,4 milliards d'euros au troisième trimestre, en recul de 3,7% sur un an (-1,5% en comparable).

La hausse de l'activité dans la division Vinci Concessions -qui comprend 'Vinci Autoroutes' et 'Vinci Concessions' - (4,5 milliards d'euros, +7,6% par rapport au troisième trimestre 2013, +4,4% en comparable) n'a pas suffi à compenser l'érosion de 5,2% des revenus dans le pôle 'Vinci Contracting' à environ 23,9 milliards (-2,5% en comparable).

Vinci a en outre vu son chiffre d'affaires reculer de 3,7% en France à quelque 17,9 milliards d'euros (-2,2% à structure comparable).

Pour autant, ses prévisions 2014 pour le pôle 'Concessions' ont été maintenues. Concernant Vinci Autoroutes, le groupe table en effet toujours sur une hausse du trafic de l'ordre de 2 % sur l'ensemble de l'année. Cette progression devrait concerner tant les véhicules légers que les poids lourds, qui confirment la reprise amorcée au troisième trimestre de 2013.

De son côté, Vinci Airports devrait continuer de bénéficier d'une bonne dynamique sur la plupart de ses plate-formes, avec une hausse globale du trafic supérieure à 5 %.

S'agissant du Contracting, la diminution de l'activité constatée depuis deux trimestres devrait en revanche se poursuivre, avec des situations toutefois contrastées selon les métiers et les zones géographiques : plus prononcée en France, dans la construction et les travaux routiers, ainsi qu'au Royaume-Uni suite à la réduction volontaire de l'activité de Vinci Plc., la baisse serait moins marquée chez Vinci Energies. En dehors d'Europe, le groupe devrait bénéficier du dynamisme des marchés où il est implanté.

Au bout du compte, Vinci anticipe toujours une légère contraction du chiffre d'affaires à structure comparable, un taux de résultat opérationnel sur activité en légère amélioration ainsi qu'une forte progression du résultat net consolidé part du groupe, grâce à la plus-value de cession réalisée suite à l'ouverture du capital de Vinci Park.


314 de 375 - 23/10/2014 18:45
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000
(AOF) - Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) a fait état, après la clôture des marchés, d'un chiffre d'affaires en repli de 7,5% (-5,6% à données comparables) à 10,02 milliards d'euros pour le compte du troisième trimestre. Le chiffre d'affaires du groupe de BTP et de concessions autoroutières sur les neuf premiers mois de l'année s'est établi à 28,43 milliards d'euros, en recul de 1,5% à structure comparable par rapport à l'an passée à la même époque. Après prise en compte des changements de périmètre (-1,9 %) et des effets de change (-0,3 %), il baisse de 3,7 %.
En outre, les revenus des Concessions s'établissent à 4,54 milliards d'euros, en hausse de 7,6 % sur la période tandis que le chiffre d'affaires de Vinci Autoroutes progresse de 3,7 %, à 3,66 milliards d'euros.

Enfin, le chiffre d'affaires du Contracting accuse un repli de 5,2% à 23 959 millions d'euros suite, principalement, à la déconsolidation de CFE intervenue fin 2013.

S'agissant des perspectives pour l'ensemble de l'exercice en cours, Vinci maintient l'ensemble de ses prévisions pour la période, soit une légère contraction de son chiffre d'affaires à structure comparable, objectif revu à la baisse début août face à la dégradation observée dans la construction et les travaux routiers.


AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- L'un des leader mondiaux du BTP et des concessions avec une forte présence à l'international (37 % du chiffre d'affaires), notamment dans le « contracting » au Royaume-Uni et en Afrique, dans la construction en Asie, dans les routes et l'énergie en Allemagne ;
- Stratégie long terme fondée sur les complémentarités entre concessions (15 % du chiffre d'affaires avec le groupe ASF et Cofiroute mais 48 % du résultat net du groupe) et le contracting (86 % des ventes avec Vinci Energies, Eurovia et Vinci Construction) ;
- Excellente visibilité, avec un carnet de commandes égal aux ¾ du chiffre d'affaires ;
- Réussite de l'intégration d'ANA, concessionnaire aéroportuaire portugais, à la marge supérieure à celle des autres concessions du groupe ;
- Relèvement de la notation de crédit malgré la remontée de la dette due aux rachats d'ANA et des actions Aéroports de Paris ;
- Valeur à rendement élevé et retour aux actionnaires de la plus-value réalisée sur Vinci Park (dividende exceptionnel et annulation de 3,8 % du capital).

Les points faibles de la valeur
- Présence encore forte en France où monte la pression fiscale ;
- Sensibilité du trafic autoroutier à la hausse du prix de l'essence et au pouvoir d'achat en Europe ;
- Incertitudes sur le financement des collectivités locales et retard dans le décollage des partenariats public-privé (PPP) en raison des contraintes budgétaires des états européens, tels la suspension de la ligne TGV Bordeaux-Hendaye ou le report du nouvel aéroport de Nantes ;
- Baisse de la rentabilité opérationnelle des activités « contracting » et dégradation du secteur des BTP en France ;
- Avertissement sur chiffre d'affaires lancé à l'été 2014.

Comment suivre la valeur
- Sensibilité du chiffre d'affaires concession à la croissance du trafic de véhicules (notamment de celle des poids lourds, plus sensible aux cycles économiques) ;
- Incertitudes autour du rôle de la future Agence française de financement des collectivités locales et sur l'arrivée des « projects bonds » (emprunts obligataires destinés au financement de projets d'infrastructure notamment) ;
- Ambitions à confirmer dans les concessions aéroportuaires dont le chiffre d'affaires à terme devra être égal à celui des autoroutes, ainsi que dans le développement international du contracting ;
- Attente, d'ici la fin du 1er semestre 2014, du plan de relance autoroutier de l'Etat français portant sur 2 Mds? en échange d'une prolongation des concessions ;
- Attente de nouveaux contrats au Qatar ;
- Réalisation des objectifs 2014 d'une « légère contraction du chiffre d'affaires à structure comparable » et d'une progression de la marge opérationnelle ;
- Valeur opéable, les premiers actionnaires étant les salariés (9,5 % du capital), devant Qatari Diar (5,2 %).

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - BTP
La chute des mises en chantier de logements neufs en France se poursuit, ces dernières ayant même atteint leur plus bas niveau depuis 1998. Entre les mois de mai et juillet 2014, elles ont affiché un recul de 13,3% sur un an, pour s'établir à 73.468 unités. Sur les douze mois écoulés entre août 2013 et juillet 2014, le recul du nombre de logements neufs mis en chantier est moins notable et s'établit à 10,8%, pour 305.079 unités. Quant au nombre de permis de construire, qui indique l'évolution des futures mises en chantier, sa diminution s'est limitée à 1,1% entre mai et juillet, à 101.885 unités. Ils enregistrent même une nette amélioration, car à fin mai les permis de construire des trois mois écoulés étaient en repli de 16,1%. Sur douze mois, la baisse des permis de construire atteint 17% à fin juillet (contre 20,7% à fin mai) à 391.474 unités. La Fédération française du bâtiment (FFB) évalue à 20% la chute de l'activité dans le bâtiment depuis 2008. Ce secteur emploie 1,150 million de salariés et représente près de 5% du PIB de la France.



315 de 375 - 23/10/2014 20:32
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000
LEAD 1-Vinci-Les concessions atténuent au T3 la baisse du BTP
jeudi 23 octobre 2014 18h59 Imprimer cet article[-] Texte [+] * Vinci vise toujours un léger recul de son CA 2014 en comparable

* CA -5,6% au T3, contracting -7,1%, concessions +4%

* Activité toujours en berne dans le BTP en France

* Trafic autoroutier attendu en hausse de 2%, aéroportuaire +5%

par Gilles Guillaume

PARIS, 23 octobre (Reuters) - Vinci a confirmé jeudi ses objectifs pour 2014 après un troisième trimestre marqué par une dégradation de l'activité dans le contracting, mais atténuée cependant par la vigueur de l'activité dans les concessions.

Le groupe de BTP et de concessions autoroutières et aéroportuaires vise toujours sur l'année une légère contraction de son chiffre d'affaires à structure comparable, objectif revu à la baisse début août face au ralentissement observé dans le BTP, notamment en France.

Au troisième trimestre, le chiffre d'affaires consolidé du groupe est ressorti à 10,02 milliard d'euros, en baisse de 7,5% en données réelles et en recul de 5,6% à structure comparable.

Dans le contracting (construction et énergie), les ventes ont chuté de 7,1% en données comparables, tandis que dans les concessions elles ont progressé de 4%.

"Dans le contracting, la diminution de l'activité constatée depuis deux trimestres devrait se poursuivre, avec des situations toutefois contrastées selon les métiers et les zones géographiques", a commenté le groupe dans un communiqué.

"Plus prononcée en France, dans la construction et les travaux routiers, ainsi qu'au Royaume-Uni (...), la baisse serait plus limitée chez Vinci Energies."

En Grande-Bretagne, Vinci rencontre actuellement des problèmes dans l'exécution du chantier du tramway de Nottingham.

Le groupe a confirmé également sa prévision d'une légère amélioration de sa marge opérationnelle sur activité en 2014, conséquence d'une hausse de la contribution des concessions.

Celles-ci devraient bénéficier d'une croissance de 2% environ du trafic sur les autoroutes exploitées par le groupe, et d'une progression supérieure à 5% du trafic dans les concessions aéroportuaires, nouvel axe de développement de Vinci.

Le résultat net consolidé est toujours attendu en forte hausse, grâce notamment à la plus-value de cession de 75% de Vinci Park réalisée début juin.


* Le communiqué :

bit.ly/1wrs6CZ (Edité par Dominique Rodriguez)

316 de 375 - 23/10/2014 22:59
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
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Sociétés :ACT. COURS LIÉSSymbole Cours Variation
SQU.DU 44,37 -1,73


Le chiffre d’affaires consolidé de Vinci s’établit à 28 433 millions d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, en recul de 1,5% à structure comparable par rapport à la même période de 2013. Après prise en compte des changements de périmètre (-1,9%) et des effets de change (-0,3%), il baisse de 3,7%.

Au 3ème trimestre 2014, le chiffre d’affaires s’est contracté de 5,6% à structure comparable à 10 016 millions d’euros (-7,5% à structure réelle). A structure comparable, le chiffre d’affaires des Concessions est en hausse de 4% ; celui du Contracting diminue de 7,1%.

Les prises de commandes des neuf premiers mois de 2014 sont en baisse de 5,3% à 22,9 milliards d’euros, tandis que le carnet de commandes au 30 septembre 2014 ressort à 28,7 milliards d’euros.

Vinci maintient ses prévisions d'une légère contraction du chiffre d’affaires à structure comparable pour l’ensemble de l’exercice 2014 et d'un taux de résultat opérationnel sur activité en légère amélioration, conséquence d’une hausse de la contribution des Concessions et d’une baisse de celle du Contracting, impactée par les difficultés rencontrées dans la construction au Royaume-Uni.

Vinci anticipe en outre une forte progression du résultat net consolidé part du groupe, grâce à la plus-value de cession réalisée suite à l’ouverture du capital de Vinci Park.

Retrouvez cet article sur Tradingsat.com
317 de 375 - 24/10/2014 10:10
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Les chiffres trimestriels publiés jeudi soir par Vinci (DG.FR) sont marqués par la faiblesse des activités du pôle Contracting (construction, BTP et logement), et par une baisse des commandes en raison de la dégradation rapide de la demande publique, notamment en France, estime UBS. La banque suisse réitère sa recommandation "achat" sur le groupe de BTP et de concessions, mais prévient que le manque de visibilité sur ces activités pourrait peser sur le titre. L'objectif de cours est de 56 euros. L'action a clôturé jeudi à 44,79 euros, en baisse de 6,5% depuis le début de l'année. (ambroise.ecorcheville@wsj.com)

318 de 375 - 27/10/2014 09:34
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC


VINCI : Retour possible sur les supports

SYNTHESE


Le MACD est négatif, mais il se situe au-dessus de sa ligne de signal : la tendance est en train de changer. Maintenant, le MACD doit franchir zéro pour que la hausse se poursuive dans les jours à venir. L'indicateur principal de la force du mouvement (RSI) montre que la situation technique est assez saine car il n'y a pas de surachat. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 46.1 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 40.45 EUR, puis à 39.23 EUR et la résistance est à 47.75 EUR, puis à 50.18 EUR.

Dernier cours : 44.08
Support : 40.45 / 39.23
Resistance : 47.75 / 50.18
Opinion court terme : positive
Opinion moyen terme : negative
319 de 375 - 27/10/2014 10:26
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002
LES ECHOS



Par capillarité, la crise du marché français du BTP remonte des PME vers les grands groupes.
Lentement, par capillarité, la crise du marché français du BTP remonte des PME vers les grands groupes. Même Vinci, traditionnellement le premier de la classe en termes de résilience et de marge bénéficiaire, a dévoilé jeudi après Bourse une forte contraction de son chiffre d’affaires trimestriel BTP (– 7,1 %), après une première baisse, moins prononcée, le trimestre précédent.

Face à ce chiffre d’affaires inférieur aux attentes, le cours de l’action a perdu 1,56 % vendredi. Pour autant, les analystes restent indulgents. Le décrochage de Vinci reflète la dégradation du marché français du BTP – elle a fait reculer de – 4 % à – 5 % le chiffre d’affaires de Vinci Construction en France. De même que les difficultés enre­gistrées dans les travaux routiers en France. Les prix y ont encore dégringolé en 2014 ­(jusqu’à – 30 % !), les entreprises étant aux abois.

Mais Vinci est international et l’a rappelé aux analystes lors d’une conférence téléphonique. Une baisse du chiffre d’affaires du BTP français n’a pas de gros impact sur les profits. Car le BTP tricolore représente 25 % de l’activité mais seulement 10 % du résultat brut d’exploitation (Ebitda). Par ailleurs, des effets déjà connus ont pesé sur la construction en France. Comme la fin du gros œuvre de la ligne Tours - Bordeaux, qui l’a fait baisser de 3 %.

Problème : l’activité internationale n’a pas compensé la crise en France. L’activité a même baissé en raison de difficultés rencontrées sur des chantiers britanniques. Par ailleurs, si le carnet de commandes progresse de 6,4 % sur douze mois, il fléchit de 1,7 % depuis janvier. Un analyste ne s’est pas privé de faire remarquer au groupe qu’il n’avait toujours pas remporté de gros contrat­ international cette année (celui de Singapour engrangé en janvier ne s’élève qu’à 115 millions en consortium)… « Nous avons 2 milliards d’euros de commandes gagnées mais non encore inscrites au carnet », car en attente de signature, a répondu Vinci. Dont une « importante » (de l’ordre de 200 à 300 millions d’euros) qui devrait prochainement intégrer le carnet.

Myriam Chauvot

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/0203889500404-vinci-la-crise-du-btp-se-fait-sentir-1057591.php?xtor=RSS-2065&0AqjOWRlH6x9sVA6.99
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