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Vinci (DG)

- 29/1/2007 08:23
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

Vinci




Vinci a consolide pendant toute l'annee 2006 avec un plus haut a 85
euros et un plus bas a 73 euros. Sortir de cette zone n'a pas ete chose
facile et une fois cette action reussie, la hausse s'est acceleree avec
une bonne anne 2007 en perspective.

Réponses
375 Réponses
 ...    18 
341 de 375 - 13/11/2014 19:30
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - Le futur projet de loi pour l'activité et la croissance inclura une révision de la formule de calcul des tarifs des péages d'autoroutes, a annoncé jeudi le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron.

Intervenant lors des questions au gouvernement au Sénat, il a indiqué en outre que l'Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf) verrait ses compétences élargies pour superviser également le secteur autoroutier.

"La problématique est de créer les conditions de la transparence pour les contrats à la fois pour les tarifs mais aussi pour les travaux" auxquels s'engagent les sociétés d'autoroute, dont la situation de "rente" a été dénoncée dans un récent rapport de l'Autorité de la concurrence.

Emmanuel Macron a exprimé sa volonté d'aller plus loin que le nouveau plan autoroutier négocié avec les sociétés du secteur, qui repose sur de nouveaux travaux en échange de l'extension de certaines concessions, en faisant évoluer les formules de révision des prix des péages.

"L'Autorité de la concurrence a fait des propositions et les commissions du développement durable aussi bien au Sénat qu'à l'Assemblée y travaillent et nous pourrons enrichir le projet loi pour l'activité et la croissance de ces propositions", a-t-il dit. Le texte du projet de loi doit être présenté le mois prochain en conseil des ministres.

Les sociétés d'autoroutes françaises sont contrôlées par Vinci (ASF, Escota et Cofiroute), Eiffage (APRR et Area) et l'espagnol Abertis (Sanef, SAPN).

(Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse)

342 de 375 - 13/11/2014 21:00
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
http://www.lemoniteur.fr/137-energie/article/actualite/26302903-quel-avenir-pour-vinci-dans-le-nucleaire
http://www.lemoniteur.fr/137-energie/article/actualite/26302903-quel-avenir-pour-vinci-dans-le-nucleaire
343 de 375 - 14/11/2014 12:05
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Filiale quasi-intégralement contrôlée par Bouygues, Colas a terminé les trois premiers trimestres de son exercice 2014 sur résultat net part du groupe multiplié par 2,7 à 515 millions d'euros grâce à un élément exceptionnel : une plus-value nette d'impôt de 385 millions sur cession de la participation dans Cofiroute à Vinci. En ne tenant pas compte de cet élément, le bénéfice net aurait reculé de 10,3%.

Sur la période, le CA consolidé a atteint 9,2 milliards d'euros, soit une baisse de 3% sur un an.

Dans le détail, indique le groupe, l'activité réalisée en France s'est contractée de 10% à 5 milliards, ce qui n'est pas compensé par la meilleure orientation de l'International (+ 5% à 4,2 milliards).

Cependant, le résultat opérationnel a reculé de 13,9% à 173 millions d'euros. Explication avancée par le groupe : 'la Route Métropole fait face à une baisse brutale d'activité qu'elle réussit à amortir grâce à la réorganisation démarrée en 2013 qui anticipait déjà une baisse du marché. Cependant, celle-ci se révèle plus forte que prévu', indique la direction.

Du côté du bilan, la dette nette a été réduite en un an de 839 à 143 millions d'euros.

Colas rappelle que sa filiale à 100%, la Société de la Raffinerie de Dunkerque (SRD), est en phase de restructuration et qu'un plan social a été présenté aux instances du personnel le 6 novembre. 'Ces mesures visent à recentrer l'activité de la société SRD sur la seule production de bitume, afin de retrouver à terme un équilibre économique et pérenniser le site de production de Dunkerque', indique Colas. En cours d'estimation, l'impact financier correspondant sera passé sur les comptes du 4e trimestre.

Quid du carnet de commandes ? A 7,7 milliards d'euros (+ 8% sur un an), il se maintient 'à un niveau élevé'. Mais 'le carnet de commandes à réaliser au dernier trimestre 2014 est en baisse de 7% par rapport à celui de fin septembre 2013.'

Bref, Colas s'attend toujours à une baisse de 3 à 5% de ses ventes cette année.

344 de 375 - 17/11/2014 15:29
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC


VINCI : Les cours sont à des niveaux intéressantsSYNTHESE


Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. En outre, l'indicateur de force, le RSI, ne vient pas contredire cette hypothèse. Les stochastiques ne sont pas surachetés, ce qui laisse intact le potentiel de hausse à moyen terme. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 44.06 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 41.2 EUR, puis à 40.27 EUR et la résistance est à 47.64 EUR, puis à 48.56 EUR.

Dernier cours : 43.38
Support : 41.2 / 40.27
Resistance : 47.64 / 48.56
Opinion court terme : positive
Opinion moyen terme : negative
345 de 375 - 18/11/2014 21:07
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, perdant 3.23%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 6.71%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 44.9 puis 45.7. Tandis que les prochains supports sont sur : 41.3 puis 40.2.

Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est baissier tant que 45.7 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 45.7.
Cours de référence : 44.1.
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
346 de 375 - 19/11/2014 09:13
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
* Les députés présentent leurs travaux mercredi
* Les contrats actuels sont verrouillés, notent-ils
* Ils suggèrent des contrats plus souples à l'avenir

par Gregory Blachier
PARIS, 18 novembre (Reuters) - La mission parlementaire sur
les autoroutes devrait suggérer de revoir le modèle des contrats
de concession pour l'avenir afin de les rendre plus souples et
plus faciles à renégocier, a-t-on appris mardi de source proche
du dossier.
La mission d'information de l'Assemblée nationale, présidée
par le député UDI Bertrand Pancher et dont le rapporteur est le
socialiste Jean-Paul Chanteguet, fait mercredi un point sur ses
travaux, très attendus depuis les critiques de l'Autorité de la
concurrence sur les bénéfices des concessionnaires.
Les députés cherchent comment rééquilibrer les relations
entre les sociétés concessionnaires - Vinci, Eiffage et Abertis
- et l'Etat, comme le préconisait en septembre l'Autorité de la
concurrence, et trouver des financements pour les
infrastructures de transport. (voir ID:nL6N0SJ23G )
Mais la mission d'information devrait entériner le fait que
les contrats actuels sont trop verrouillés juridiquement pour
être modifiés ou pour imposer un prélèvement nouveau aux
sociétés de concessions.
Elle invitera toutefois le gouvernement à utiliser le plan
de relance récemment validé par l'Union européenne comme levier
pour négocier des contreparties rapides.
Les députés voient dans ce plan de 3,2 milliards d'euros de
travaux financés par le privé en échange d'un allongement des
durées des concessions actuelles de une à quatre années une
opportunité pour remettre à plat certaines clauses des contrats
et faire accepter aux concessionnaires des contreparties.
Il ne serait en revanche pas question, pour l'heure, d'un
autre plan de relance qui pourrait, lui, être un moyen de peser
dans une négociation et que les sociétés concessionnaires
verraient d'un bon oeil.

2.500 KM DE ROUTES À CONCÉDER ?
Les députés n'iront pas non plus aussi loin que le ministre
de l'Economie, Emmanuel Macron, qui a assuré la semaine dernière
que le futur projet de loi pour l'activité et la croissance
inclurait une modification de la formule de calcul des tarifs
des péages.
Pour la plupart, car la question les divise encore, les
parlementaires savent qu'à l'exception d'une dénonciation pure
et simple des contrats, qui coûterait dans les 40 milliards
d'euros, il est impossible d'imposer le changement de formule
aux concessionnaires.
Ils devraient en revanche proposer que les contrats de
concession futurs soient beaucoup plus souples et comportent des
clauses de révision précises, par exemple en fonction du trafic
autoroutier.
La mission a, durant ses auditions, observé que 2.500 km de
routes à deux fois deux voies, gratuites et mal entretenues,
risquaient de devoir être confiées au privé à plus ou moins long
terme, dans un contexte de rigueur budgétaire.
Les députés, qui mènent leurs travaux concomitamment à des
sénateurs sur le même sujet, souhaitent en outre que le
Parlement soit consulté sur les futures concessions.
Leur réflexion devrait donc davantage abonder le débat sur
ces potentiels contrats à venir que les contrats actuels, sur
lesquels ils pourraient toutefois afficher des désaccords.
Certains prônent en effet une remise en cause plus radicale
des contrats actuels de concession, après que l'Autorité de la
concurrence a dénoncé une situation de "rente". ID:nL6N0RJ0JJ
Les députés devraient en outre suivre la Cour des comptes et
l'Autorité de concurrence pour demander plus de régulation et
s'inscrire dans les pas d'Emmanuel Macron en recommandant un
renforcement immédiat du contrôle des sociétés concessionnaires.
Ils reprendront la suggestion du ministre de l'Economie de
confier cette mission à l'Autorité de régulation des activités
ferroviaires (Araf), une proposition que les concessionnaires
semblent prêts à accepter.

(Edité par Yves Clarisse
347 de 375 - 19/11/2014 09:23
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - La mission parlementaire sur les autoroutes devrait suggérer de revoir le modèle des contrats de concession pour l'avenir afin de les rendre plus souples et plus faciles à renégocier, a révélé Reuters citant une source proche du dossier. La mission d'information de l'Assemblée nationale, présidée par le député UDI Bertrand Pancher et dont le rapporteur est le socialiste Jean-Paul Chanteguet, fait aujoud'hui un point sur ses travaux, très attendus depuis les critiques de l'Autorité de la concurrence sur les bénéfices des concessionnaires, a précisé l'agence de presse.

Les députés cherchent comment rééquilibrer les relations entre les sociétés concessionnaires - Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) , Eiffage (Other OTC: EFGSY - actualité) et Abertis - et l'Etat, comme le préconisait en septembre l'Autorité de la concurrence, et trouver des financements pour les infrastructures de transport.

Mais la mission d'information devrait entériner le fait que les contrats actuels sont trop verrouillés juridiquement pour être modifiés ou pour imposer un prélèvement nouveau aux sociétés de concessions, a indiqué Reuters.

Selon l'agence, la mission invitera toutefois le gouvernement à utiliser le plan de relance récemment validé par l'Union européenne comme levier pour négocier des contreparties rapides.


348 de 375 - 19/11/2014 15:59
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
DOW JONES NEWS


Les concessionnaires d'autoroutes ont appelé mercredi à "garder confiance dans le modèle français des concessions autoroutières" et à "sortir de la critique excessive", lors d'un colloque organisé par le groupe Vinci, le jour de la présentation du rapport d'étape d'une mission parlementaire.


L'heure est à la contre-offensive pour le gestionnaire d'autoroutes (ASF et Cofiroute), au moment où le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a promis de renforcer la régulation dans tous les secteurs et de "baisser les tarifs là où c'est possible".


Vinci avait invité à débattre acteurs et spécialistes du secteur, ainsi qu'une poignée de responsables politiques, tous favorables au système des concessions, qui ont alterné plaidoyer pro domo et pédagogie chiffrée.


"Il faut garder confiance dans les concessions et sortir de cette critique sûrement excessive des sociétés d'autoroutes", a jugé le député du Calvados Philippe Duron.


L'ex-secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau a de son côté fustigé le "déclinisme du gouvernement actuel sur les infrastructures" et la "chasse aux sorcières" alimentée, selon lui, par les critiques de la Cour des comptes et "un rapport à charge de Terra Nova, qui est une horreur absolue".


Les concessions sont un "extraordinaire facteur de développement, qui ont permis de construire un réseau 9.000 km sans faire appel au budget de l'Etat", a affirmé Jean Mesqui, délégué général de l'Asfa (Association des sociétés françaises d'autoroutes).


Le recours au privé est une nécessité pour les Etats développés à faibles marges de manoeuvre budgétaires, ont plaidé les intervenants. Au niveau mondial, seuls 2.800 milliards de dollars d'infrastructures sont financés à l'heure actuelle, contre des besoins estimés à 4.300 milliards, selon une étude du Boston Consulting Group (BCG).


Mais comment veiller à ce que les intérêts de l'Etat et ceux du citoyen soient préservés ? Il faut assurer la "transparence sur les bénéfices et les risques partagés par chacun", a estimé dans une vidéo le secrétaire d'Etat aux transports du Portugal Sergio Silva Monteiro, louant la concession octroyée pour 50 ans au groupe Vinci, de dix aéroports portugais (ANA).


Les hausses tarifaires ont-elles été excessives depuis la privatisation en 2006 ? De 2007 à 2014, elles ont été de 1,81% par an contre 2,06% entre 2000 et 2006, soit "un peu supérieures à l'inflation" (1,43% à partir de 2007 et 1,63% avant), a chiffré l'Asfa.


En outre, "les règles de fixation des tarifs sont restées les mêmes" et "il est pernicieux de dire qu'elles auraient été extorquées à l'Etat", alors que le gouvernement contrôle ces tarifs, a estimé Pierre Coppey, président de Vinci Concessions (et de l'Afsa).


Les bénéfices des sociétés d'autoroutes sont-ils excessifs ? Sur 100 euros de chiffre d'affaires, le résultat d'exploitation (Ebitda) ressort à 64 euros soit 64%, "comparable à ce qu'il est en Europe", selon une étude du cabinet Deloitte. Le résultat net, lui, est de 18%.


"Un euro de chiffre d'affaires fait 20 centimes de résultat net mais il faut un investissement de 5 euros", a affirmé M. Coppey.


Sur la durée d'une concession, "la rentabilité sera de 7% par an si tout va bien, elle sera négative si tout va mal, c'est-à-dire si les taux d'intérêt montent et si le trafic baisse", a-t-il martelé, en appelant le gouvernement "à ne pas jouer aux apprentis sorcier".


En outre, a-t-il fait valoir, les sociétés qui ont acheté les concessions pour 15 milliards d'euros en 2006, "en plein pic boursier", ont aussi acheté une dette de 30 milliards d'euros, "la plus grosse dette privée du pays".

349 de 375 - 19/11/2014 18:28
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Les sociétés d'autoroutes touchent-elles véritablement une rente comme le soulignent l'Autorité de la concurrence et la Cour des comptes ? A l'occasion d'un colloque organisé par Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) , les professionnels du secteur ont souhaité présenter leur vérité et exposer les atouts du modèle de la concession.

Pas d'excès sur les péages ?

Si les rapports successifs pointent du doigt l'écart entre les investissements / coûts supportés par les concessionnaires et la hausse des tarifs, le délégué général de l'Association des Sociétés Françaises d'Autoroutes, Jean Mesqui a indiqué - d'après les propos rapportés sur Twitter - que depuis la fin de la privatisation des autoroutes en 2006, "les péages (classe 1, véhicules légers) ont augmenté moins vite qu'entre 2000 et 2006". Citant une étude du cabinet Deloitte, les concessionnaires indiquent par ailleurs que si les prix des péages étaient divisés par deux, les sociétés d'autoroutes ne parviendraient pas à rembourser leur dette. Rappelons que le gouvernement a promis de revoir la formule tarifaire en vigueur actuellement.

Défense de la concession

Les acteurs réunis ce mercredi ont par ailleurs défendu le modèle de la concession. "C'est un formidable outil d'investissement au service de la mobilité durable", a martelé Jean Mesqui. "On aurait tort de se priver d'un système qui a permis de doter la France d'infrastructures de si haut niveau", a fait valoir pour sa part le député du Calvados (PS), Philippe Duron. "Sans les concessions, on ne ferait plus d'infrastructures en France", a renchéri l'ex-secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau. Ce dernier a dit déplorer le procès qui est fait aux concessionnaires. "Le climat devient défavorable aux investissements", a-t-il fustigé.

Bien que les sociétés d'autoroutes aient été privatisées, elles sont, dans le cadre des contrats de plan signés avec l'Etat sous son contrôle, quotidiennement pour "le financement, ...


(...) Lire la suite sur Boursier.com

350 de 375 - 19/11/2014 19:31
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
par Gregory Blachier

PARIS (Reuters) - Les députés de la mission d'information sur les autoroutes ont appelé mercredi le gouvernement à envisager de dénoncer les contrats de concession signés en 2005, une décision potentiellement explosive sur le plan économique.

Le débat sur les contrats des sociétés d'autoroutes est plus vif que jamais en raison de l'abandon de l'écotaxe, censée financer les infrastructures de transports, et du rapport de l'Autorité de la concurrence qui pointait, en septembre, une "rente" des sociétés Vinci, Eiffage ou Abertis.

L'Etat cherche à faire contribuer davantage les sociétés concessionnaires aux travaux d'infrastructures mais les contrats actuels n'octroient aucune marge de manoeuvre, tout prélèvement nouveau devant être compensé.

Les sociétés concernées campent sur ces solides acquis même si Pierre Coppey, directeur général délégué de Vinci, n'exclut aucune hypothèse en matière de régulation si elle se faisait "à l'intérieur" des contrats actuels.

La hausse des taxes sur le gazole en 2015 garantit un budget de 1,9 milliard d'euros pour l'Agence de financement des infrastructures de transports (AFITF), loin des 2,5 milliards nécessaires pour réaliser les travaux envisagés d'ici 2030 dans le cadre de la Commission Mobilité 21.

Le président de la mission d'information sur la place des autoroutes, Bertrand Pancher, et son rapporteur, Jean-Paul Chanteguet, ont donc adressé un courrier à Manuel Valls pour lui demander d'examiner la dénonciation des contrats de concession.

UN COÛT D'UNE VINGTAINE DE MILLIARDS

Ils soulignent que le moment est idéal pour négocier car le plan de relance autoroutier de 3,2 milliards d'euros validé par la Commission européenne allongera les concessions de un à quatre ans et accentuera la position de faiblesse de l'Etat.

Jean-Paul Chanteguet, également président de la commission du développement durable de l'Assemblée, va plus loin et réclame clairement la dénonciation des six contrats de 2005, dont le coût hors dette est estimé à une vingtaine de milliards d'euros.

"La seule façon de sortir des difficultés actuelles (...), c'est de résilier par anticipation les contrats passés avec les sociétés concessionnaires pour motif d'intérêt général", a-t-il dit à la presse.

"Le rachat des concessions ne peut se faire qu'au premier janvier de chaque année, moyennant un préavis d'un an. J'appelle donc le gouvernement à prononcer cette dénonciation (...) avant le 31 décembre" pour prise d'effet en 2016, a-t-il ajouté.

L'article 38 des contrats définit l'indemnisation en cas de dénonciation des contrats. Elle est estimée à 40 milliards d'euros environ, desquels il faut déduire une dette résiduelle de l'ordre de 17 à 20 milliards.

Si Jean-Paul Chanteguet a dit parler "à titre personnel" et si Bertrand Pancher est plus modéré, le premier affirme être sourtenu par une majorité de parlementaires et l'hypothèse est évoquée dans la lettre commune au Premier ministre.

DÉNONCER POUR RE-CONCÉDER ?

"L'Etat n'est pas démuni de moyens d'actions", écrivent les deux députés. "L'effort financier peut paraître important mais pourrait être examiné, d'autant plus que la Caisse des dépôts gère toujours un établissement public, la Caisse nationale des autoroutes, susceptible d'être réactivé à cet effet."

Devant la presse, Jean-Paul Chanteguet a souligné que le rachat pourrait se faire via un Etablissement public à caractère industriel et commercial et donc que la dette contractée ne serait pas consolidée au budget de l'Etat, qui bataille avec la dérive du déficit et les règles européennes en la matière.

Il assure en outre ne pas vouloir à tout prix renationaliser mais appelle l'Etat à se mettre "en position de force" dans le cadre d'une négociation, pour dégager, quel que soit le cas de figure, 500 millions à un milliard de plus par an.

Il n'exclut pas même de concéder à nouveau les autoroutes visées dès 2016, mais selon des modalités plus avantageuses pour l'Etat, avec des clauses de revoyure en fonction du trafic, par exemple, comme il en existe pour le viaduc de Millau.

Les sociétés d'autoroutes ne sont pas hostiles à ces clauses mais tiendraient, selon un expert proche du dossier, à ce que les fruits d'une revoyure profitent aux usagers et non à l'Etat.

Les deux députés ont en outre demandé l'ouverture d'un débat avec les parlementaires sur le plan de relance et plus largement sur la gestion des infrastructures, pointant un risque que l'Etat exsangue cède à la "tentation" de concéder jusqu'à 2.500 km de routes à deux fois deux voies supplémentaires.

Les sociétés concessionnaires se disent prêtes à investir dans un plan de développement axé sur le périurbain, moyennant par exemple un nouvel allongement de la durée des concessions.

"C'est un des schémas qui pourrait être suivi", a dit Pierre Coppey, de Vinci, lors d'un colloque, soulignant que cette option montrerait la volonté du privé à participer au débat et permettrait de déterminer l'évolution future des contrats.

(avec Gilles Guillaume, édité par Yves Clarisse)

351 de 375 - 19/11/2014 22:17
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Autoroutes: partisans et opposants d'un rachat des concessions s'affrontent

Par Thibault MARCHAND | AFP – il y a 29 minutes
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Contenus associésAfficher une photoUn péage autoroutier à Saint-Arnoult-en-Yvelines, le 31 juillet 2014
Quel avenir pour les sociétés d'autoroute? Faut-il les renationaliser ? Mercredi, des députés ont évoqué des pistes alternatives à un tel rachat par l'Etat tandis que les sociétés concessionnaires ont appelé à "sortir de la critique excessive".

Face à ceux, qui comme les communistes, demandent une renationalisation des autoroutes, la mission parlementaire d'information a évoqué des solutions alternatives et réclamé un débat public au Parlement, lors de la présentation mercredi d'un rapport d'étape.

Ce débat devrait "aborder le sujet des concessions, qui ont fait l'objet en 2005 d'une privatisation en dehors de toute décision législative", ont écrit les députés Bertrand Pancher (UDI) et Jean-Paul Chanteguet (PS), respectivement président et rapporteur de cette mission d'information, dans un courrier envoyé à Manuel Valls.

Il aborderait aussi le plan de relance autoroutier, négocié entre le gouvernement et les sociétés concessionnaires d'autoroute (SCA) et qui a été approuvé par Bruxelles. Ce plan prévoit une prolongation de la durée de leurs contrats, en échange de plus de trois milliards d'euros d'investissement.

Car s'il ne souhaite pas "nationaliser les autoroutes", Jean-Paul Chanteguet préconise une résiliation anticipée des contrats passés avec les sociétés concessionnaires pour des "motifs d'intérêt général", une mesure "possible et compatible avec notre politique budgétaire et la réglementation européenne".

Selon lui, "une majorité se dégagerait" parmi les membres de la mission d'information en faveur d'une telle dénonciation des contrats. Celle-ci coûterait 20 milliards d'euros, plus 17 à 20 milliards d'euros de dette résiduelle.

Plus prudent, Bertrand Pancher préfère lui évoquer le "rééquilibrage du contrôle des sociétés concessionnaires par les services de l'Etat" et "la création ou le rattachement de ces activités à une haute autorité indépendante de régulation".

La dénonciation des contrats passés avec les SCA est simplement "une possibilité qui (nous) est ouverte", précise-t-il.

Le rapport final de la mission d'information doit être rendu mi-décembre. Début novembre, le ministre de l'Économie Emmanuel Macron avait promis d'imposer "beaucoup plus de pression" sur les sociétés autoroutières et même de faire "baisser les tarifs là où ce sera possible".

- une "rente" ? -

De son côté, le groupe Vinci (ASF, Cofiroute, Escota et Arcour, soit 4.386 km) avait invité à débattre les acteurs, et spécialistes du secteur et quelques responsables politiques, tous favorables au système des concessions et qui ont alterné plaidoyer pro domo et pédagogie chiffrée.

"Il faut garder confiance dans les concessions et sortir de cette critique sûrement excessive des sociétés d'autoroutes", a ainsi jugé le député du Calvados Philippe Duron.

Car ces entreprises sont particulièrement visées depuis qu'un rapport de l'Autorité de la concurrence a relevé, il y a deux mois, une rentabilité de 20% ou plus, sur fond de prix des péages augmentant plus vite que l'inflation depuis la privatisation de 2005-2006.

Cet organisme indépendant avait estimé que les sociétés concessionnaires bénéficiaient d'une situation de "rente".

La rentabilité "sera de 7% par an si tout va bien, elle sera négative si tout va mal, c'est-à-dire si les taux d'intérêt montent et si le trafic baisse", a martelé Pierre Coppey, président de Vinci Concessions et de l'Association professionnelle des sociétés françaises d'autoroutes.

Quid des hausses tarifaires, elles-aussi jugées excessives depuis la privatisation en 2006? De 2007 à 2014, elles ont été de 1,81% par an contre 2,06% entre 2000 et 2006, soit "un peu supérieures à l'inflation" (1,43% à partir de 2007 et 1,63% avant), a chiffré l'Asfa (Association française des sociétés d'autoroute).

En outre "les règles de fixation des tarifs sont restées les mêmes" et "il est pernicieux de dire qu'elles auraient été extorquées à l'Etat", alors que le gouvernement contrôle ces tarifs, a encore estimé Pierre Coppey.

"Nous ressentons les procès qui nous sont faits comme très injustes. Ils ne nous paraissent cohérents ni avec la satisfaction qu'expriment nos clients (...), ni avec le fait que nous nous sommes acquittés sans jamais nous en départir, des obligations qui sont dans nos contrats", a-t-il ajouté
352 de 375 - 20/11/2014 18:01
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Vingt-huit ans après ce qui reste le plus grave accident nucléaire de l'histoire, le site de Tchernobyl (Ukraine) est désormais davantage sécurisé. Les équipes de Novarka, co-entreprise détenue à parité par Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics, une filiale de Bouygues Construction, viennent en effet de réussir une opération des plus périlleuses: le levage de l'enceinte de confinement du sarcophage, construit à la hâte et aujourd'hui largement vétuste, qui recouvre la centrale.

Cette enceinte est constituée de deux demi-arches, chacune ayant fait l'objet de trois levages depuis novembre 2012, après d'importants travaux d'assainissement, de terrassement et de fondations sur l'aire de montage située à proximité du réacteur n°4 de la centrale. Le dernier levage de la seconde partie de la structure a eu lieu le 24 octobre dernier.

'L'étape suivante consistera à assembler les deux parties de l'enceinte, à équiper l'ensemble des systèmes nécessaires (alimentation électrique, ventilation, contrôle commande) puis à glisser l'enceinte complète au-dessus du sarcophage actuel', a décrypté Vinci dans son communiqué.

Le poussage de l'enceinte au-dessus du sarcophage est prévu pour le printemps 2017. Des travaux de connexion des murs tympans situés sur les côtés de l'arche et d'étanchéité s'ensuivront afin d'isoler totalement le réacteur numéro quatre accidenté de l'extérieur.

La livraison de l'ensemble de l'ouvrage est envisagée en novembre 2017, lorsque toutes les conditions seront réunies en vue d'un démantèlement du sarcophage et du réacteur numéro quatre en toute sécurité.


353 de 375 - 20/11/2014 18:21
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) a annoncé ce jeudi après la clôture que Soletanche Freyssinet, division de génie civil spécialisé de Vinci Construction, a porté à 100 % sa participation au capital de Freyssinet Espagne.

Cette filiale de Freyssinet a généré l'an passé un chiffre d'affaires de 120 millions d'euros, dont les quatre cinquièmes en Amétique Latine.

Elle était jusqu'ici co-contrôlée avec un partenaire espagnol et détient l'ensemble des implantations de Soletanche Freyssinet dans les domaines des structures (Freyssinet) et des sols renforcés (Terre Armée) dans la péninsule Ibérique, au Mexique ainsi qu'en Amérique du Sud.

354 de 375 - 20/11/2014 18:25
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

(AOF) - Les équipes de Novarka, filiale détenue à parts égales par Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics, ont achevé avec succès le levage de l'enceinte de confinement du sarcophage de Tchernobyl en Ukraine. L'enceinte se compose de deux demi-arches, chacune d'elles ayant fait l'objet de trois levages depuis novembre 2012, après d'importants travaux d'assainissement, de terrassement et de fondations sur l'aire de montage située à proximité du réacteur n°4 de la centrale, explique le groupe de BTP et de concessions.
Le dernier levage de la seconde partie de la structure a eu lieu le 24 octobre 2014.

L'étape suivante consistera à assembler les deux parties de l'enceinte, à équiper l'ensemble des systèmes nécessaires (alimentation électrique, ventilation, contrôle commande) puis à glisser l'enceinte complète au-dessus du sarcophage actuel. Le poussage de l'enceinte au-dessus du sarcophage est prévu au printemps 2017.

Par ailleurs, Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) a aussi annoncé ce jeudi soir que Soletanche Freyssinet, division de génie civil spécialisé de Vinci Construction, avait porté à 100 % sa participation au capital de Freyssinet Espagne.

Freyssinet Espagne, précédemment co-contrôlée avec un partenaire espagnol, détient l'ensemble des implantations de Soletanche Freyssinet dans les domaines des structures (Freyssinet) et des sols renforcés (Terre Armée) dans la péninsule Ibérique, au Mexique et en Amérique du Sud.

Freyssinet Espagne a réalisé en 2013 un chiffre d'affaires de 120 millions d'euros, dont 80 % en Amérique Latine. Soletanche Freyssinet accélère ainsi son développement à l'international et porte à plus de 60 % la quote-part de son chiffre d'affaires réalisé hors d'Europe.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- L'un des leader mondiaux du BTP et des concessions avec une forte présence à l'international (37 % du chiffre d'affaires), notamment dans le « contracting » au Royaume-Uni et en Afrique, dans la construction en Asie, dans les routes et l'énergie en Allemagne ;
- Stratégie long terme fondée sur les complémentarités entre concessions (15 % du chiffre d'affaires avec le groupe ASF et Cofiroute mais 48 % du résultat net du groupe) et le contracting (86 % des ventes avec Vinci Energies, Eurovia et Vinci Construction) ;
- Excellente visibilité, avec un carnet de commandes égal aux ¾ du chiffre d'affaires ;
- Réussite de l'intégration d'ANA, concessionnaire aéroportuaire portugais, à la marge supérieure à celle des autres concessions du groupe ;
- Relèvement de la notation de crédit malgré la remontée de la dette due aux rachats d'ANA et des actions Aéroports de Paris ;
- Valeur à rendement élevé et retour aux actionnaires de la plus-value réalisée sur Vinci Park (dividende exceptionnel et annulation de 3,8 % du capital).

Les points faibles de la valeur
- Présence encore forte en France où monte la pression fiscale ;
- Sensibilité du trafic autoroutier à la hausse du prix de l'essence et au pouvoir d'achat en Europe ;
- Incertitudes sur le financement des collectivités locales et retard dans le décollage des partenariats public-privé (PPP) en raison des contraintes budgétaires des états européens, tels la suspension de la ligne TGV Bordeaux-Hendaye ou le report du nouvel aéroport de Nantes ;
- Baisse de la rentabilité opérationnelle des activités « contracting » et dégradation du secteur des BTP en France ;
- Avertissement sur chiffre d'affaires lancé à l'été 2014.

Comment suivre la valeur
- Sensibilité du chiffre d'affaires concession à la croissance du trafic de véhicules (notamment de celle des poids lourds, plus sensible aux cycles économiques) ;
- Incertitudes autour du rôle de la future Agence française de financement des collectivités locales et sur l'arrivée des « projects bonds » (emprunts obligataires destinés au financement de projets d'infrastructure notamment) ;
- Ambitions à confirmer dans les concessions aéroportuaires dont le chiffre d'affaires à terme devra être égal à celui des autoroutes, ainsi que dans le développement international du contracting ;
- Attente, d'ici la fin du 1er semestre 2014, du plan de relance autoroutier de l'Etat français portant sur 2 Mds? en échange d'une prolongation des concessions ;
- Attente de nouveaux contrats au Qatar ;
- Réalisation des objectifs 2014 d'une « légère contraction du chiffre d'affaires à structure comparable » et d'une progression de la marge opérationnelle ;
- Valeur opéable, les premiers actionnaires étant les salariés (9,5 % du capital), devant Qatari Diar (5,2 %).

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - BTP
La chute des mises en chantier de logements neufs en France se poursuit, ces dernières ayant même atteint leur plus bas niveau depuis 1998. Entre les mois de mai et juillet 2014, elles ont affiché un recul de 13,3% sur un an, pour s'établir à 73.468 unités. Sur les douze mois écoulés entre août 2013 et juillet 2014, le recul du nombre de logements neufs mis en chantier est moins notable et s'établit à 10,8%, pour 305.079 unités. Quant au nombre de permis de construire, qui indique l'évolution des futures mises en chantier, sa diminution s'est limitée à 1,1% entre mai et juillet, à 101.885 unités. Ils enregistrent même une nette amélioration, car à fin mai les permis de construire des trois mois écoulés étaient en repli de 16,1%. Sur douze mois, la baisse des permis de construire atteint 17% à fin juillet (contre 20,7% à fin mai) à 391.474 unités. La Fédération française du bâtiment (FFB) évalue à 20% la chute de l'activité dans le bâtiment depuis 2008. Ce secteur emploie 1,150 million de salariés et représente près de 5% du PIB de la France.
355 de 375 - 20/11/2014 18:41
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe de BTP et de concessions Vinci (DG.FR) a annoncé jeudi que sa division de génie civil spécialisé, Soletanche Freyssinet, avait porté à 100% sa participation dans la coentreprise Freyssinet Espagne.


Les détails financiers de l'opération n'ont pas été dévoilés.


Freyssinet Espagne était auparavant détenu par Soletanche Freyssinet et un partenaire espagnol. La société détient l'ensemble des implantations de Soletanche Freyssinet dans les domaines des structures et des sols renforcés dans la péninsule Ibérique, au Mexique et en Amérique du Sud.


En 2013, Freyssinet Espagne a réalisé un chiffre d'affaires de 120 millions d'euros, dont 80% en Amérique latine. L'acquisition par Soletanche Freyssinet de la totalité de sa coentreprise lui permet de porter à plus de 60% la part de son chiffre d'affaires réalisée hors d'Europe.


-Blandine Hénault; Dow Jones Newswires, +33 (0)1 40 17 17 53; blandine.henault@wsj.com
356 de 375 - 24/11/2014 09:07
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC

VINCI : La consolidation peut se poursuivreSYNTHESE


Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. La valeur du RSI est inférieure à 50 : cela confirme la faiblesse des cours. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le mouvement haussier semble être arrêté. Le titre est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 43.87 EUR. Le premier support est à 41.43 EUR, puis à 40.55 EUR et la résistance est à 46.7 EUR, puis à 47.58 EUR.

Dernier cours : 43.7
Support : 41.43 / 40.55
Resistance : 46.7 / 47.58
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : neutre
357 de 375 - 25/11/2014 20:53
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, perdant 0.87%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 7.53%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en hausse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 44.7 puis 45.4. Tandis que les prochains supports sont sur : 41.2 puis 40.1.

Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est baissier tant que 45.4 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 45.4.
Cours de référence : 43.7.
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358 de 375 - 27/11/2014 12:31
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
Autoroutes: proposition de hausse annuelle des tarifs de 0,57%

Par AFP | AFP – il y a 10 minutes


Les sociétés autoroutières ont proposé une augmentation des tarifs de 0,57% au 1er février 2015, dans le cadre de la hausse annuelle qui sera présentée vendredi par l'Etat lors du comité des usagers, a-t-on appris jeudi de source proche du dossier.

Les tarifs des autoroutes augmentent chaque année au 1er février. L'inflation du mois d'octobre, prise en compte dans le calcul de cette hausse, est de 0,38%. Chaque société autoroutière transmet à l'Etat sa proposition de hausse, et des négociations peuvent avoir lieu jusqu'à la fin du mois de janvier pour établir le taux réel de hausse.

359 de 375 - 27/11/2014 18:21
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Spiecapag, filiale de Vinci Construction) a remporté un contrat en Australie et deux autres en Colombie. Ces contrats portent sur la construction de deux gazoducs et d'un oléoduc.

L'entreprise australienne APA a attribué au groupement composé de Spiecapag (mandataire) et de Lucas un contrat pour la construction d'un gazoduc de 300 km dans l'Etat d'Australie-Occidentale. Les travaux se dérouleront de mars à novembre 2015.

Ce contrat est d'une valeur de 60 millions de dollars australiens (environ 42 millions d'euros).

En Colombie, Ecopetrol (NYSE: EC - actualité) a attribué au groupement composé de Spiecapag (mandataire) et de l'entreprise colombienne Ismocol, un contrat pour la construction de la première tranche (37 km) d'un oléoduc au Sud-Est (Other OTC: ECPCY - actualité) de Bogota. Une option a été prévue pour la réalisation d'une section additionnelle de 40 km.

En Colombie également, Pacific Stratus a adjugé au Groupement Golfo de Morrosquillo CGM, mené par Spiecapag, un projet pour l'exportation de gaz naturel comprenant la réalisation d'un gazoduc onshore de 80 km et d'un gazoduc offshore de 4 km, ainsi que le génie civil et les structures d'un terminal maritime.

Ces deux projets représentent un montant total de 180 millions de dollars américains (environ 145 millions d'euros).

360 de 375 - 27/11/2014 18:37
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DOW JONES NEWS


La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a jugé "inadmissible", jeudi, la proposition des sociétés d'autoroutes de relever leurs tarifs de 0,57% au 1er février.


"On ne leur donnera pas cette autorisation", a-t-elle indiqué sur BFM TV, associant le ministre de l'Economie dans cette décision.


"L'Etat au nom du pouvoir d'achat des Français va prendre ses responsabilités et va leur rappeler leurs droits et leurs devoirs", a-t-elle encore expliqué, interrogée en marge de la conférence environnementale.


Les sociétés autoroutières ont proposé une augmentation de leurs tarifs de 0,57% au 1er février 2015, dans le cadre de la hausse annuelle, qui sera présentée vendredi par l'Etat lors du comité des usagers, selon une source proche du dossier.


Les tarifs des autoroutes augmentent chaque année au 1er février.


L'inflation du mois d'octobre, prise en compte dans le calcul de cette hausse, est de 0,38%. Chaque société autoroutière transmet à l'Etat sa proposition de hausse, et des négociations peuvent avoir lieu jusqu'à la fin du mois de janvier pour établir le taux réel de hausse.


Mme Royal a qualifié ces demandes de "provocation", une occasion pour les sociétés d'autoroute de "faire un rapport de force", rappelant que la Cour des comptes avait "mis en exergue le fait que les autoroutes ont déjà trop augmenté leurs tarifs par rapport aux droits qui étaient les leurs".

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