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Engie Ex Gdf Suez (ENGI)

- 05/8/2015 16:52
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
Intraday Stock Chart: EngieGraphiques historiques: Engie
Intraday Stock ChartGraphiques historiques

ENGIE EX GDF SUEZ



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1321 de 1692 - 15/1/2019 12:10
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Deuxième démarque sur Engie




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15/01/2019 | 12:01

Les
dossiers du secteur de la production énergétique se sont généralement
révélés être des investissements calamiteux en France pour les
investisseurs de long terme. Lorsqu'ils ont rimé avec privatisation, le
stade du calamiteux a même été dépassé. Mais les remous 2018 ont remis
en selle certains dossiers.




C'est le cas d'Electricité de France, qui affiche l'une des plus fortes
hausses du millésime écoulé parmi les grandes valeurs parisiennes. Pas
d'Engie en revanche, qui a pâti des déboires du parc nucléaire belge,
victime d'arrêts à rallonge. Le premier graphique ci-dessous montre le
parcours d'EDF et Engie par rapport au CAC40 sur 5 ans : le bilan est
accablant (il l'est encore plus sur 10 ans).



EDF Superstar




Sur le second graphique, on constate qu'EDF s'est réveillé en 2018,
mais pas vraiment Engie, qui a non seulement fait largement moins bien
que son compatriote mais aussi que la moyenne européenne du secteur.



Sur 5 ans, Engie domine EDF, mais cela reste très négatif




Dis-moi oui, Engie



Le Engie 2019 est très loin du périmètre de 2006, lors de la fusion entre Gaz de France et Suez (pour une histoire en condensé, c'est par ici). Le groupe se présente lui-même comme un acteur de l'énergie présent sur trois métiers, "la production d’électricité bas carbone, les infrastructures énergétiques et les solutions clients".
La mue de l'entreprise a été accélérée par Isabelle Kocher, qui semble
en passe de réussir son pari audacieux (mais inachevé dans le charbon, n'est-ce pas Les Amis de la Terre ?).
C'est en tout cas le sentiment qui domine parmi les analystes qui
suivent le dossier, qui sont désormais plus de 80% à afficher un avis
positif.




Deux approches, un même objectif



Déjà majoritaires, ils ont été rejoints par UBS et Berenberg cette semaine. Le bureau d'études allemand pense qu'une "décennie de contraction du bénéfice par action va s'achever"
et que la remontée va être rapide, favorisée par sa propre vision
globale favorable de l'évolution des prix de l'énergie. Dans son
scénario, Engie passerait la surmultipliée sur les résultats d'ici 2022,
avec une croissance moyenne annuelle de… 17% ! Quatre fois la moyenne
sectorielle. Même dans son hypothèse la plus négative sur l'évolution
des tarifs énergétiques, Berenberg voit un risque de baisse limité à 1%.
Le bond du bénéfice par action reposerait en partie sur la reprise du
nucléaire belge (entre 25 et 50% de potentiel haussier sur le bénéfice
par action) et en partie sur la hausse des prix (impact positif de 35 à
65%). En soutien, l'analyste cite aussi le rendement du dividende,
proche de 6%, soit trois fois plus que la moyenne. "
La transformation est effective, recentrage sur la gestion de l'activité", résume-t-il, en visant 15 EUR (vs. 15,50 EUR précédemment).



Chez UBS, l'analyse est un peu différente mais la valorisation est
identique (objectif relevé de 13,20 à 15 EUR). Pour le bureau d'études,
les déboires du nucléaire belge sont dans les cours, mais pas le
potentiel dans les énergies renouvelables. Dans la première
problématique, le marché semble intégrer un taux de disponibilité du
parc de 45%, alors que la banque suisse anticipe plutôt 60% (le
management vise même 74% cette année). Quant aux énergies renouvelables,
elles ne peuvent que monter en puissance. "En général, je pense que les activités renouvelables d'Engie sont peu visibles par le marché", explique l'analyste Aymeric Parodi, "à cause de la structure de reporting actuel". "Mais
la journée investisseurs prévue en février pourrait contribuer à
améliorer leur perception, peut-être même avec la création d'une
division dédiée aux renouvelables
".



En faisant un peu de psychologie de comptoir, on peut ajouter que le
marché n'attend pas grand-chose de la société, malgré un consensus très
majoritairement positif. Il n'y a qu'à regarder l'objectif moyen de 15
EUR, qui laisse un potentiel limité à 12%, pour s'en persuader.



Nombre d'EstimationsObjectif de cours (EUR)14,9114,91Nombre d'estimations revues à la hausseValeur HauteNombre d'estimations stablesValeur MoyenneNombre d'estimations revues à la baisseValeur Bassejuil. 2017août 2017sept. 2017oct. 2017nov. 2017déc. 2017janv. 2018févr. 2018mars 2018avril 2018mai 2018juin 2018juil. 2018août 2018sept. 2018oct. 2018nov. 2018déc. 201808/01/201915/01/201901020305101520©zonebourse.com - Thomson Reuters

Période : août 2017

Nombre d'estimations revues à la hausse: 6
Nombre d'estimations stables: 10
Nombre d'estimations revues à la baisse: 2
Valeur Haute: 16,50
Valeur Moyenne: 14,72
Valeur Basse: 12,50
1322 de 1692 - 15/1/2019 14:54
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

PARIS (Agefi-Dow Jones)--UBS relève sa recommandation sur Engie de

"neutre" à "achat", l'intermédiaire financier estimant notamment que les

déboires de l'activité nucléaire du groupe en Belgique sont désormais

intégrés au cours tandis que le potentiel de bénéfice de ses actifs

d'énergie renouvelable ne sont pas pris en compte par le consensus. "Les

activités énergie renouvelable d'Engie disposent de peu de visibilité

sur le marché, en raison de la structure actuelle de son bilan, alors la

journée investisseurs de février pourrait être l'occasion de

l'améliorer, avec pourquoi pas un segment dédié aux énergies

renouvelables", estiment les analystes d'UBS. La banque considère que le

titre offre une décote par rapport au secteur qui n'est pas justifiée

et relève son objectif de cours pour Engie de 13,40 euros à 15 euros.

L'action Engie gagne 1,2%, à 13,52 euros. (adore@agefi.fr) ed: ECH


Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



January 15, 2019 04:46 ET (09:46 GMT)

1323 de 1692 - 16/1/2019 10:17
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

15/01/2019 | 17:39

Le
titre progresse de près de 2% à la Bourse de Paris profitant du
relèvement de recommandation d'UBS. Précédemment neutre sur le dossier,
UBS est passé à l'achat sur le titre de l'énergéticien. Relevé de 13,2 à
15 euros, l'objectif de cours à 12 mois augure d'une hausse d'un peu
plus de 10%.

Les analystes énumèrent les raisons qui les ont
conduit à changer de pied sur la valeur. Tout d'abord, selon UBS, les
difficultés que rencontre le groupe en Belgique avec les réacteurs
nucléaires d'Electrabel 'sont maintenant intégrées dans les cours'. A
l'inverse, tel ne serait pas le cas du potentiel de hausse lié à
l'exposition du groupe aux énergies renouvelables, facteur de croissance
et de rentabilité que le marché peine à identifier.

Enfin,
l'activité gazière régulée, soit environ 35% de la valeur d'entreprise
d'Engie, 'est selon nous valorisée sans aucune prime relativement à la
base d'actifs réglementée, ce qui est difficilement justifiable'
relativement aux valeurs européennes comparables, indique UBS.

1324 de 1692 - 16/1/2019 15:25
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Les analystes de Credit Suisse relèvent leur

objectif de cours sur Engie de 15,90 euros à 16,10 euros, estimant que

la valorisation du groupe est "attractive". Engie s'échange avec une

décote par rapport au secteur, et sur un ratio valeur

d'entreprise/excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 7,1 fois,

soulignent les analystes. Dans le même temps, les résultats du groupe

connaissent un rythme de croissance supérieur au secteur, relève Credit

Suisse. Avec la conclusion du plan de transformation 2016-2018, Credit

Suisse estime qu'Engie doit fournir, à l'occasion de la publication de

ses résultats annuels le 28 février prochain, des précisions sur ses

objectifs pour les trois à cinq prochaines années et sur l'évolution

prévue de ses résultats au cours de cette période. L'action Engie perd

0,3%, à 13,57 euros. (adore@agefi.fr) ed: LBO


Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



January 16, 2019 05:50 ET (10:50 GMT)

1325 de 1692 - 18/1/2019 19:42
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Engie a annoncé vendredi avoir émis un

emprunt obligataire hybride d'un montant de 1 milliard d'euros, sous

format "green bond". Le groupe a par ailleurs lancé une offre de rachat

sur ses obligations hybrides PerpNC2019 émises en 2014.





PRINCIPAUX POINTS DU COMMUNIQUE:




-L'obligation, perpétuelle subordonnée, porte un coupon de 3,25 % et
sa première période de non-call est fixée à 6 ans et 1 mois.




-La qualité de signature d'Engie, alliée aux caractères hybride et
vert de l'émission, a permis d'atteindre une très large sursouscription
des investisseurs (6.5X), au rang desquels figure pour la première fois
sur le marché français la Banque Européenne d'Investissement pour un
montant de 250 millions d'euros, dans le cadre du Plan d'investissement
pour l'Europe, dit Plan Juncker



-La nouvelle émission
viendra remplacer l'émission hybride proposée au rachat (PerpNC2019), et
n'affectera donc pas le total du montant en fonds propres attribué par
les agences de rating au titre de cet instrument.



-Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 47 92; djbourse.paris@agefi.fr ed: ECH





(END) Dow Jones Newswires



January 18, 2019 13:04 ET (18:04 GMT)

1326 de 1692 - 21/1/2019 09:52
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

21/01/2019 | 08:15

Engie
annonce avoir a émis jeudi le premier emprunt obligataire hybride de
2019, d'un montant d'un milliard d'euros, sous format Green bond.
L'obligation, perpétuelle subordonnée, porte un coupon de 3,25% et sa
première période de non-call est fixée à 6 ans et 1 mois.

L'émission
a atteint une large sursouscription des investisseurs (6,5 fois), au
rang desquels figure pour la première fois sur le marché français la
Banque Européenne d'Investissement pour 250 millions d'euros, dans le
cadre du Plan Juncker.

La nouvelle émission viendra remplacer
l'émission des obligations hybrides PerpNC2019 émises en 2014, émission
proposée au rachat, et n'affectera donc pas le total du montant en fonds
propres attribué par les agences de rating au titre de cet instrument.

1327 de 1692 - 22/1/2019 11:38
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

22/01/2019 | 09:58

Paris
(awp/afp) - L'énergéticien français Engie "est sur le point" de céder
ses centrales à charbon en Allemagne et aux Pays-Bas, a confirmé mardi
la directrice générale du groupe Isabelle Kocher sur Franceinfo.

"Engie a démantelé beaucoup de centrales et est sur le point
effectivement de vendre ses centrales en Thaïlande, en Allemagne et aux
Pays-Bas", a déclaré Mme Kocher, confirmant des informations de presse.

Elle n'a toutefois pas précisé si le fonds américain
Riverstone serait l'acheteur des centrales allemandes et néerlandaises,
comme l'indiquait la semaine dernière l'agence Bloomberg News.

Engie détient actuellement trois centrales en Allemagne et une aux Pays-Bas.

Par ailleurs, fin décembre la Thaïlande a officiellement
autorisé le groupe français a vendre sa participation dans Glow,
producteur local d'énergie notamment à partir de charbon.

Engie avait annoncé il y a trois ans qu'il comptait sortir du
charbon pour se concentrer sur des moyens de production d'électricité
moins polluants pour l'atmosphère, à partir de gaz, de nucléaire et
d'énergies renouvelables, et sur les services énergétiques.

Depuis, le groupe a arrêté mais surtout vendu une grande
partie de son parc de production d'électricité à partir de charbon, mais
prévoit de conserver certaines centrales, en particulier au Chili, au
Brésil et au Maroc.

"Nous avons dans certaines régions trouvé les moyens de
démanteler des centrales ou de continuer à les faire tourner et opérer
lorsqu'elles sont absolument indispensables à l'énergie d'un pays", a
expliqué mardi Isabelle Kocher.

Mardi dernier, l'ONG environnementale Les Amis de la Terre
avait regretté qu'Engie fasse le choix de revendre ses dernières
centrales à charbon en Europe plutôt que de les fermer et d'en assumer
les coûts de dépollution.

Par ailleurs, Isabelle Kocher a annoncé mardi le lancement
d'une offre pour aider les ménages français à changer de chaudière pour
un équipement de chauffage plus performant.

Via ce dispositif, le groupe prévoit de faire l'avance du coût
d'achat d'une nouvelle chaudière et de se faire rembourser par les
ménages grâce aux économies d'énergie réalisées.

Cette annonce intervient alors que le gouvernement, pressé par
le mouvement des "gilets jaunes" pour le pouvoir d'achat, a annoncé
diverses mesures pour réduire les dépenses énergétiques des Français:
coup de pouce au changement de chaudière élargi à tous les ménages, pas
de hausse des tarifs du gaz et de l'électricité cet hiver ni de la taxe
carbone au 1er janvier.

afp/buc

1328 de 1692 - 22/1/2019 21:39
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

De nombreux signaux baissiers




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Analyse du 22/01/2019 | 16:11




Opinion : Négative sous les 13.8 EUR
Objectif de cours : 12.9 EUR
Stop de protection: 14.2 EUR


Le titre ENGIE pourrait entamer une phase de consolidation proche de la résistance des 13.8 EUR dans les prochaines séances.

Le titre concerné se trouve proche de sa resistance située à 13.8 EUR.
Ce rapprochement technique fait suite à un rebond significatif et
devrait connaitre un coup d'arrêt. De plus, le niveau élevé des
indicateurs mathématiques et plus particulièrement le RSI devrait
entrainer le titre vers son support court terme positionné à proximité
des 12.9 EUR.



Par conséquent, les plus offensifs profiteront de la configuration
technique pour se positionner vendeur sur le titre ENGIE par
l'intermédiaire du put Commerzbank 2E75Z qui cote 0.36 EUR pour un
strike à 13 EUR et une échéance au 21/06/2019. Le ralliement des 12.9
EUR permettrait de réaliser un gain de l'ordre de 35% pour ce produit
dérivé. Le seuil d'invalidation théorique fixé initialement vers 14.2
EUR limitera le risque à 25%.

1329 de 1692 - 23/1/2019 07:44
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

De nombreux signaux baissiers




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Analyse du 22/01/2019 | 16:11




Opinion : Négative sous les 13.8 EUR
Objectif de cours : 12.9 EUR
Stop de protection: 14.2 EUR


Le titre ENGIE pourrait entamer une phase de consolidation proche de la résistance des 13.8 EUR dans les prochaines séances.

Le titre concerné se trouve proche de sa resistance située à 13.8 EUR.
Ce rapprochement technique fait suite à un rebond significatif et
devrait connaitre un coup d'arrêt. De plus, le niveau élevé des
indicateurs mathématiques et plus particulièrement le RSI devrait
entrainer le titre vers son support court terme positionné à proximité
des 12.9 EUR.



Par conséquent, les plus offensifs profiteront de la configuration
technique pour se positionner vendeur sur le titre ENGIE par
l'intermédiaire du put Commerzbank 2E75Z qui cote 0.36 EUR pour un
strike à 13 EUR et une échéance au 21/06/2019. Le ralliement des 12.9
EUR permettrait de réaliser un gain de l'ordre de 35% pour ce produit
dérivé. Le seuil d'invalidation théorique fixé initialement vers 14.2
EUR limitera le risque à 25%.

1330 de 1692 - 25/1/2019 08:34
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

24/01/2019 | 17:55

CTG SEMBLE TOUJOURS VOULOIR RACHETER LE PORTUGAIS EDP

LISBONNE
(Reuters) - Rien n'indique que China Three Gorges (CTG) s'apprête à
renoncer à son offre publique d'achat de 9 milliards d'euros sur
EDP-Energias de Portugal, a déclaré jeudi un administrateur de CMVM,
l'autorité portugaise des marchés financiers.

"CMVM maintient des contacts étroits avec le
soumissionnaire", a répondu Joao Geao aux journalistes qui lui
demandaient pourquoi l'opération prenait autant de temps.

CTG, entreprise publique chinoise, est déjà le
principal actionnaire d'EDP avec 23% du capital. Elle a lancé en mai
2018 son OPA sur le solde du capital de la plus grande entreprise du
Portugal, ce qui nécessite les autorisations réglementaires de l'Union
européenne et de plusieurs pays, dont le Brésil, les Etats-Unis et le
Portugal.

CTG a besoin "des autorisations administratives d'un
grand nombre de juridictions" avant de pouvoir procéder à
l'enregistrement définitif et formel de son offre auprès de CMVM, a
ajouté Joao Geao. "Il n'y a rien de nouveau."

"Ce serait un problème pour CMVM si nous devions
confirmer qu'il y avait un abandon des processus qui dépendent de CMVM
mais ce n'est pas le cas", a-t-il dit.

Le conseil d'administration d'EDP a rejeté l'offre de
CTG à 3,26 euros par action en la jugeant trop basse, de même que le
conseil de sa filiale d'énergie éolienne EDP Renovaveis. Celle-ci a
estimé qu'une prise de contrôle par une société chinoise pourrait
grandement affecter sa stratégie aux Etats-Unis et susciter des
objections de la part des autorités américaines.

L'offre pourrait aussi se heurter à des obstacles
réglementaires en Europe, l'Etat chinois détenant déjà une participation
importante dans le capital de l'opérateur du réseau électrique
portugais REN.

La directrice générale d'Engie, Isabelle Kocher, a
déclaré en juillet que le groupe français surveillait "activement" -
sans plus de précisions - la situation d'EDP. Des sources bancaires
proches du dossier avaient indiqué le mois précédent que CTG discutait
avec des entreprises européennes de services aux collectivités, parmi
lesquelles Engie, pour évaluer leur intérêt envers les actifs d'EDP dans
les énergies renouvelables aux Etats-Unis.

(Sergio Goncalves, Dominique Rodriguez pour le service français, édité par Bertrand Boucey)

1331 de 1692 - 25/1/2019 16:00
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

25/01/2019 | 15:24

PARIS, 25 janvier (Reuters) - La Belgique a autorisé
vendredi le redémarrage du réacteur numéro deux de la centrale
nucléaire de Doel (Flandre orientale), mis à l'arrêt depuis
avril après la découverte d'une fuite dans le système de
refroidissement du réacteur numéro un.

L'Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) belge avait
exigé de connaître la cause de cette fuite avant d'autoriser le
redémarrage des réacteurs, exploités par Electrabel, filiale
belge d'Engie, et tous deux mis à l'arrêt en raison
de leur structure identique.

Les analyses ont montré que cette fuite était due à une
fatigue des matériaux et le tuyau correspondant dans le circuit
de refroidissement de Doel 2 a été remplacé.

"Cela signifie que toutes les questions et remarques de
l'AFCN concernant Doel 2 ont été clarifiées. Etant donné que la
sûreté des installations est garantie, le réacteur de Doel 2
pourra redémarrer dans les prochains jours, conformément au
planning d’Engie Electrabel", écrit l'AFCN dans un communiqué.

Les réparations ne sont en revanche pas encore terminées à
Doel 1.

En décembre, Electrabel a prolongé jusqu'au 15 mars l'arrêt
de Doel 1.

Les réacteurs de cette centrale près d'Anvers devaient
cesser leur production en 2015 mais le gouvernement belge a par
la suite prolongé leur exploitation de 10 ans.
(Bate Felix et Bertrand Boucey, édité par Benoît Van
Overstraeten)

1332 de 1692 - 25/1/2019 17:14
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

Renouvelables: La France vise un rythme soutenu d'appels d'offres




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25/01/2019 | 16:16

RENOUVELABLES: LA FRANCE VISE UN RYTHME SOUTENU D'APPELS D'OFFRES

PARIS
(Reuters) - La France prévoit un rythme soutenu d'appels d'offres dans
l'éolien terrestre et le solaire photovoltaïque afin de doubler ses
capacités de production d'électricité renouvelable en dix ans, selon le
projet de programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) publié
vendredi.

Le texte, qui décline les objectifs du pays par
filières énergétiques pour les périodes 2019-2023 et 2024-2028 et va
être soumis à consultation, confirme en outre que quatre à six réacteurs
nucléaires du parc actuel d'EDF seront fermés d'ici à 2028, y compris
les deux unités de Fessenheim (Haut-Rhin) au printemps 2020.

Selon le calendrier prévu de développement des
renouvelables, des appels d'offres représentant près de deux gigawatts
(GW) de capacités d'éoliennes terrestres et trois GW dans le solaire
seront lancés chaque année sur la période 2019-2024.

Pour multiplier par environ 2,5 les capacités
installées d'éoliennes terrestres et par 5 à 6 le parc solaire français
en dix ans, environ 14.500 mâts seraient installés sur le territoire
métropolitain à horizon 2028, contre 8.000 à fin 2018, et le
développement des parcs photovoltaïques nécessiterait d'exploiter 365
km2 au sol et 175 km2 de toitures.

Dans l'éolien en mer posé, au-delà des 500 mégawatts
(MW) du projet de Dunkerque prévus cette année, la PPE vise
l'attribution de 1.000 MW en 2020 et de 1.000 à 1.500 MW en 2023-2024,
le gouvernement demandant aux industriels de réduire leurs coûts avec
des prix cibles inférieurs à 70 euros par mégawatt-heure (MWh) pour
Dunkerque et de 60 euros en 2023-2024.

Le gouvernement prévoit d'engager 30 milliards d'euros
de soutiens publics supplémentaires sur la période 2018-2028 - qui
seront investis en 20 ans et s'ajouteront à des dépenses déjà
programmées de 95 milliards - afin d'augmenter la production
d'électricité renouvelable de la France de 100 térawatts-heure par an.

L'exécutif fait valoir que le développement des
énergies renouvelables sera ainsi "10 fois moins coûteux que ce qui a
été réalisé par les gouvernements précédents, reflétant la forte baisse
des coûts de ces filières".

LE REPORT DE LA BAISSE DU NUCLÉAIRE OFFICIALISÉ

Emmanuel Macron avait présenté les grandes lignes de la
PPE fin novembre 2018, officialisant à cette occasion le report de dix
ans de l'objectif de réduction d'environ 75% à 50% de la part du
nucléaire dans la production d'électricité du pays, désormais prévue
pour 2035. [nL8N1Y12XJ]

Pour atteindre ce nouvel objectif, qui nécessitera de
changer la loi, 14 des 58 réacteurs du parc actuel d'EDF seront arrêtés
d'ici à la même échéance.

La PPE reprend également l'engagement du chef de l'Etat de fermer les dernières centrales à charbon françaises d'ici à fin 2022.

La synthèse du texte ne mentionne pas l'hypothèse
récemment émise par le ministre de la Transition écologique François de
Rugy d'une prolongation de la durée de vie de la centrale de Cordemais
(Loire-Atlantique) au-delà de la fin du quinquennat avec le remplacement
d'une partie du charbon par de la biomasse. [nL8N1ZB384]

Elle souligne toutefois que "l'Etat n'accordera pas de
soutien financier pour les projets de production d'électricité à partir
de biomasse".

La PPE réaffirme en outre le développement du gaz
"vert" - du biométhane produit par des déchets, notamment agricole -,
avec 7 à 9 milliards d'euros de soutiens publics et une part de 7 à 10%
visée en 2030 en fonction des baisses de coûts demandées aux
industriels.

Parmi les objectifs structurants du texte figurent, à
l'horizon 2023, la rénovation de 2,5 millions de logements, le
remplacement de 10.000 chauffages au charbon et d'un million de
chaudières au fioul par du chauffage à base d'énergies renouvelables ou
de gaz haute performance, ainsi que 1,2 million de voitures
particulières électriques.

A l'horizon 2028, la France cible en outre une baisse
de 14% de sa consommation finale d'énergie et une réduction de 35% de sa
consommation primaire d'énergies fossiles par rapport à 2012.

(Benjamin Mallet, édité par Benoît Van Overstraeten)

1333 de 1692 - 28/1/2019 15:40
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Projet éolien offshore du Tréport : avis favorable de la commission d'enquête publique




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28/01/2019 | 12:28


Rouen (AFP)--La commission d'enquête publique a rendu un avis
favorable assorti de deux réserves sur le projet contesté de parc éolien
offshore au large du Tréport (Seine-Maritime), a-t-on appris lundi
après publication de l'avis sur le site de la préfecture.


"A la demande d'autorisation d'implantation d'un parc éolien en mer au
large de Dieppe-Le Tréport, la commission d'enquête émet à l'unanimité
un avis favorable", indique la commission d'enquête publique dans ses
conclusions.


Le projet prévoit l'installation de 62 éoliennes de 8 mégawatts (MW)
chacune à 17 km de Dieppe et 15,5 km du Tréport, à une profondeur de
fond marin de 14 à 24 mètres, selon le site d'EMDT, filiale du groupe
d'énergie Engie, retenue pour mener à bien ce projet.


Le 6 novembre, le gouvernement avait donné son feu vert à l'exploitation du parc éolien.


Selon la commission d'enquête publique, le projet a évolué "dans le
sens d'un moindre impact environnemental" et il présente "un dispositif
d'accompagnement environnemental conséquent" ainsi "qu'une dynamique
d'emplois sur son territoire d'implantation".


"Le projet présente un caractère d'intérêt général et il répond à une
mutation du système énergétique depuis le choix des années 1970 de
l'énergie nucléaire vers un mix énergétique qui s'appuie sur les
énergies renouvelables", précise la commission.


La commission émet néanmoins deux réserves: désigner collégialement
"un médiateur pour accompagner la mise en oeuvre d'un schéma de
compensation pour les pêcheurs de Normandie et des Hauts-de-France" et
que soient repris dans le futur arrêté d'autorisation, les engagements
du maître d'ouvrage, avec "la création d'un groupement d'intérêt
scientifique éolien en mer" ou "la mise en place d'un fonds
d'accompagnement à la pêche professionnelle".


"Le projet aura besoin de créer autour de lui une meilleure adhésion
des habitants du territoire", note également la commission. Depuis
plusieurs années, le projet est contesté par des pêcheurs normands
soutenus par les élus communistes de Dieppe et du Tréport.


"Ce champ éolien viendra détruire un écosystème unique, une zone
nourricière et de reproduction pour les poissons", selon Olivier
Becquet, gérant de la coopérative des pêcheurs du Tréport.


La mise en exploitation du parc éolien au large du Tréport est prévue
pour 2021, selon EMDT. Avec une puissance totale de 496 MW, le parc
produirait en moyenne 2.000 GWh par an, soit la consommation électrique
annuelle de quelque 850.000 personnes, soit environ les deux tiers de la
population de Seine-Maritime, selon EMDT.


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1334 de 1692 - 29/1/2019 09:08
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie : MainFirst reprend le suivi à surperformance en visant 16,90 EUR.

1335 de 1692 - 29/1/2019 16:49
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

29/01/2019 | 16:43

Engie a
été distingué en tant que leader mondial dans le domaine de la lutte
contre le changement climatique pour la troisième année consécutive par
le Carbon Disclosure Project (CDP). Le groupe figure dans la liste ' A '
du classement CDP.

' Engie a été récompensé pour ses actions
visant à réduire les émissions au cours de la dernière année référence, à
atténuer les risques climatiques et à développer une économie à faibles
émissions de carbone, sur la base de sa déclaration de 2018 au CDP '
indique le groupe.

A la fin de 2017, Engie avait réduit ses
émissions directes de CO2 de 26 % par rapport à 2016 et avait réduit son
ratio d'émissions liées à la production d'électricité de 18 % par
rapport à 2012, rapprochant ainsi considérablement le Groupe de son
objectif de réduction de 20 % à l'horizon 2020.

1336 de 1692 - 01/2/2019 07:15
waldron Messages postés: 9811 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie: La CGT dénonce la ponction de dividendes chez les gaziers




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31/01/2019 | 19:18

ENGIE: LA CGT DÉNONCE LA PONCTION DE DIVIDENDES CHEZ LES GAZIERS

MONTREUIL
(Seine-Saint-Denis) (Reuters) - Engie exerce sur ses filiales en charge
des infrastructures gazières françaises une pression financière
"extrême" qui met à mal leurs missions de service public, a estimé jeudi
la CGT, développant un argumentaire réfuté par l'entreprise.

Le syndicat fait valoir que les sociétés concernées, à
savoir GRTgaz (réseau de transport de gaz) Storengy (stockage), GRDF
(distribution) mais aussi Elengy (terminaux méthaniers, filiale de
GRTgaz) versent annuellement entre 1 milliard et 1,5 milliard d'euros de
dividendes à leur maison mère, soit plus de 100% de leur résultat net.

Engie "gère ses infrastructures comme un 'Monopoly', au
gré de ses intérêts financiers uniquement basés sur une vision de court
terme pour un profit maximum rapide", avec "une mise en contrainte
financière extrême des filiales régulées françaises pour compenser les
cessions massives d'activités", a estimé la CGT dans un document remis
lors d'une conférence de presse.

Le premier syndicat d'Engie, qui fait ainsi référence
au plan de cession de 15 milliards d'euros du groupe sur la période
2016-2018, évoque un allongement des délais d'intervention de sécurité
chez GRDF, des investissements insuffisants chez Storengy ces dernières
années, la nécessité pour GRTgaz de financer les siens par la dette ou
encore les baisses d'effectifs chez Elengy.

Un porte-parole d'Engie a réagi en soulignant que le
groupe exerçait son rôle d'actionnaire "dans le strict respect du
principe d'indépendance" des sociétés concernées établi dans le cadre de
l'ouverture des marchés de l'énergie, et que ces sociétés définissaient
librement leur politique d'investissement, suivant ainsi un code de
bonne conduite établi par la Commission de régulation de l'énergie
(CRE).

Un porte-parole de GRDF a pour sa part déclaré que,
dans le cadre de son contrat de service public, le délai de référence
fixé pour l'entreprise était de 95% d'interventions en moins d'une
heure, cet objectif étant dépassé avec un taux de 99% actuellement.

CRAINTE D'OUVERTURE DU CAPITAL DES SOCIÉTÉS

Il a aussi souligné que les investissements de la
société dans la modernisation et la sécurisation du réseau étaient en
constante augmentation (de 302 millions d'euros en 2015 à 320 millions
en 2017) et que les dépenses de maintenance, auparavant autour de 100
millions par an, progressaient chaque année depuis 2008 (150 millions en
2018).

La CGT craint par ailleurs une ouverture du capital de
certaines des sociétés en charge des infrastructures gazières, le projet
de loi Pacte prévoyant en particulier la possibilité de faire entrer
des investisseurs privés au tour de table de GRTgaz (contrôlé à 75% par
Engie et à 25% par un consortium composé de CNP Assurances, CDC
Infrastructure et la Caisse des dépôts).

La loi Pacte autorisera également l'Etat à céder sa
participation de 24% au capital d'Engie, une éventualité elle aussi
redoutée par le syndicat.

Les critiques de la CGT interviennent quelques semaines
après l'explosion de gaz meurtrière survenue le 12 janvier rue de
Trévise, à Paris, qui a fait quatre morts.

Alors qu'Alexandre Vesperini, élu divers droite du VIe
arrondissement, a jugé que le réseau de gaz de la capitale était "dans
un état de vétusté avancé", GRDF a réfuté ces propos en faisant valoir
que la surveillance du réseau se traduisait par plus de 50 millions
d'euros investis et 40 km de réseaux renouvelés annuellement "pour
assurer son exploitation dans des conditions de sécurité optimale".

Une information judiciaire contre X pour homicides
involontaires, notamment, a été ouverte après l'explosion de la rue de
Trévise.

(Benjamin Mallet, édité par Dominique Rodriguez)

1337 de 1692 - 01/2/2019 11:45
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'action Suez recule de 1,8%, accusant parmi

les plus fortes baisses du SBF 120 vendredi matin, sous l'effet de

l'abaissement de la recommandation de Jefferies de "achat" à

"conserver". Le courtier a ramené son objectif de cours à 10,50 euros,

au lieu de 19 euros auparavant, évoquant un "contexte macro-économique

difficile" tant dans le métier du traitement des déchets que dans les

services de traitement de l'eau pour l'industrie. Si la demande à long

terme pour les services d'eau industriels sont soutenus par des facteurs

structurels tels que la pénurie d'eau ou le durcissement des normes

environnementales, Jefferies souligne que "certains des plus gros

utilisateurs appartiennent à des secteurs qui sont par nature cyclique",

comme les mines. L'intermédiaire financier prévient par conséquent

qu'un "ralentissement économique en 2019 pourrait entraîner une baisse

de la demande de services pour le pôle Water Technologies &

Solutions", issu du rachat en 2017 de l'ex-GE Water. Jefferies émet par

ailleurs des doutes sur la capacité du groupe à maintenir un dividende

de 0,65 euro par action. (fberthon@agefi.fr) ed: VLV


Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



February 01, 2019 04:40 ET (09:40 GMT)

1338 de 1692 - 04/2/2019 13:44
Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Suez a annoncé lundi une prise de

participation de 32% dans la société Terrial, filiale du groupe Avril

spécialisée dans la fabrication d'engrais organiques, avec une option

pour monter à 50% du capital ultérieurement.


Le groupe
de gestion de l'eau et des déchets contribuera au développement de la
société, en fournissant à Terrial des matières organiques issues de la
soixantaine d'usines de compostage qu'il détient en France ainsi que
d'exploitations agricoles.



"Cette alliance devrait
permettre à Terrial de fournir près de 1 million de tonnes de
fertilisants organiques sur le marché français", a précisé Suez dans un
communiqué, sans dévoiler le montant correspondant à sa prise de
participation.



Terrial produit des engrais à partir
d'effluents d'élevage et de résidus organiques des activités
industrielles. En 2017, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 30
millions d'euros.



-François Schott, Agefi-Dow Jones; 01 41 27 47 92; fschott@agefi.fr ed: LBO



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



February 04, 2019 06:15 ET (11:15 GMT)

1339 de 1692 - 05/2/2019 15:56
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

Sénat: zone de turbulences annoncée autour de la privatisation d'ADP




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05/02/2019 | 12:27


Paris (AFP)--Le gouvernement va devoir affronter un front insolite au
Sénat sur le projet de privatisation d'Aéroports de Paris (ADP), une
majorité de sénateurs Les Républicains y étant opposés, comme la gauche.

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inRead invented by Teads


Le Sénat entame mardi la seconde semaine d'examen en première lecture
du projet de loi dit Pacte sur la croissance et la transformation des
entreprises, avec au programme, vraisemblablement à partir de la fin
d'après-midi, le volet sur les cessions d'actifs concernant trois
emblèmes nationaux: ADP, La Française des Jeux (FDJ) et Engie.


En commission, les sénateurs ont déjà supprimé du texte celle de la
FDJ et amendé celle d'Engie. Mais sur le cas d'ADP, qui divise la
majorité sénatoriale, la commission a préféré laisser le débat se
dérouler en séance. Et il promet d'être houleux.


L'Etat était jusqu'ici tenu de conserver la majorité des parts du
groupe ADP. Le projet de loi Pacte lui permettra, une fois adopté, de
procéder à la vente au privé de tout ou partie des actifs qu'il détient
dans le groupe aéroportuaire, soit 50,63% des parts représentant quelque
9,5 milliards d'euros.

1340 de 1692 - 06/2/2019 13:16
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

06/02/19 | 18:15 ACI Hydrogen & Fuel Cells Energy Summit

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EU:ABNX 1.07 0.0%
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