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Engie Ex Gdf Suez (ENGI)

- 05/8/2015 16:52
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
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ENGIE EX GDF SUEZ



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1341 de 1692 - 06/2/2019 13:17
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

06/02/19 | 18:15 ACI Hydrogen & Fuel Cells Energy Summit

1342 de 1692 - 08/2/2019 08:08
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Engie : Barclays reprend le suivi à surpondérer en visant 16,50 EUR.

1343 de 1692 - 09/2/2019 07:46
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

L'UE approuve de nouvelles règles sur Nord Stream 2




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08/02/2019 | 19:18

(Actualisé précisions, contexte, commentaires)

PUBLICITÉ

inRead invented by Teads

BRUXELLES, 8 février (Reuters) - Les Etats de l'Union
européenne ont approuvé vendredi une révision de la directive
européenne sur le gaz, qui vise notamment à réglementer le
gazoduc Nord Stream 2.

Cette décision, qui met fin à des mois de blocage, devrait
compliquer, sans pour autant remettre en cause, la construction
de ce gazoduc conçu pour relier la Russie à l'Allemagne sur
1.225 km à travers la mer Baltique.

Une proposition franco-allemande de dernière minute pour
amender la nouvelle directive, et qui donne à Berlin une marge
de manoeuvre plus importante dans ce projet, a été approuvée par
la plupart des autres membres de l'UE.

La chancelière allemande Angela Merkel a salué l'accord.

"Concernant la directive sur le gaz, nous avons conclu un
accord et cela a été possible parce que l'Allemagne et la France
ont travaillé en étroite collaboration", a-t-elle dit lors d'une
conférence de presse avec le président malien Ibrahim Boubacar
Keita.

La France et l'Allemagne, qui ont toutes deux des
entreprises engagées dans le projet, étaient en conflit ouvert
sur le projet avant la réunion de vendredi.

Une source à l'Elysée a affirmé vendredi que la version
amendée de la directive garantit la souveraineté de l'Europe en
matière d'approvisionnement en énergie.

"Un compromis sur la directive gaz a été trouvé au Conseil
(européen), quasiment à l’unanimité, sur la base d’amendements
franco-allemands", a dit la source, qui a précisé que le texte
avait recueilli les voix de 27 des 28 Etats membres, seule la
Bulgarie ne l'ayant pas approuvé.

"L’adoption de cette directive, bloquée depuis plusieurs
mois, était très importante pour la France car elle permettra un
contrôle européen accru sur les projets énergétiques pour
garantir une meilleure indépendance et souveraineté énergétiques
de l’Union européenne", a-t-elle ajouté.

DEMANDE DE DÉROGATION

Elle impose le respect des règles européennes qui prévoient
notamment que les gazoducs ne soient pas détenus directement par
des fournisseurs de gaz, des tarifs équitables et qu'au moins
10% de leur capacité soit rendue accessible à des tiers.

Pour bloquer le projet initial de révision préparé par la
Commission et présenté en novembre 2017, le gouvernement
allemand avait oeuvré en coulisses auprès des autres capitales
européennes afin de réunir une minorité de blocage et empêcher
son adoption, a-t-on appris de sources diplomatiques.

L'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder est président
du comité d'actionnaires de Nord Stream.

Dans sa forme actuelle, le gazoduc détenu par la compagnie
d'Etat russe Gazprom et dont la construction a déjà
commencé (l'achèvement est prévu en 2020), dérogerait aux
nouveaux critères européens renforcés.

Le projet est financé pour moitié par le russe Gazprom
, avec une participation du français Engie <ENGIE.PA<,
des allemands Uniper EONGn.DE et Wintershall BASFn.DE, de
l'autrichien OMV et de l'anglo-néerlandais Shell
<RDSa.L<, chacun à hauteur de 10%.

Nord Stream 2 a été un sujet de discorde en Europe: les pays
de l'Est, les Etats scandinaves et les Etats baltes voient d'un
mauvais oeil ce gazoduc, soulignant le risque d'une dépendance
de l'UE à l'égard de Moscou, tandis que d'autres, comme
l'Allemagne, font valoir ses bénéfices économiques.

Le projet alimentait également des inquiétudes au sujet de
l'Ukraine, et notamment pour l'avenir des taxes qu'elle perçoit
sur le transit de gaz russe via son territoire, une source de
revenu vitale pour son économie.

Ce point explique l'opposition des Etats-Unis, et l'annexion
de la Crimée par la Russie en 2014 n'a fait qu'amplifier les
inquiétudes. Mais Angela Merkel a insisté pour que des volumes
de gaz continuent de transiter par l'Ukraine, et préservent
ainsi les taxes perçues par Kiev.

Des discussions sous médiation européenne sont en cours
entre Moscou et Kiev sur les modalités de cet acheminement de
gaz via l'Ukraine, dont le contrat en cours expire à la fin de
l'année. "La Russie était en mode attentiste, mais ce compromis
donne à la Commission européenne un levier majeur", a commenté
une source européenne.

Des sources européennes estiment que Berlin pourrait
maintenant demander une exemption des règles communautaires, ou
bien boucler un accord avec Moscou sur la gestion du gazoduc,
qui serait soumis à la supervision de la Commission européenne.

Les détails de la proposition pourraient encore être
modifiés lors de négociations la semaine prochaine au sein de
l'UE.

Selon des sources de l'UE, les modifications proposées
rendraient la construction du gazoduc plus difficile et plus
chère, mais permettraient tout de même de la mener à terme.

(Peter Maushagen et Alissa de Carbonnel, avec Joseph Nasr à
Berlin et Jean-Baptiste Vey à Paris, Juliette Rouillon pour le
service français
édité par Jean-Stéphane Brosse et Henri-Pierre André)

1344 de 1692 - 12/2/2019 14:46
adrian j boris Messages postés: 302 - Membre depuis: 28/6/2018
Engie : espère conclure le rachat de TAG la semaine prochaine
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12/02/2019 | 13:02
ENGIE ESPÈRE CONCLURE LE RACHAT DE TAG LA SEMAINE PROCHAINE
SAO PAULO (Reuters) - Engie et Petrobras espèrent conclure la semaine prochaine l'accord définitif de vente au groupe d'énergie français de Transportadora Associada de Gás (TAG), le réseau de gazoducs du groupe brésilien, rapporte le journal Valor Economico dans son édition de mardi, citant une source.

Les deux étaient entrés en discussions exclusives mais les négociations avaient été suspendues en juillet dernier par une décision de la Cour suprême brésilienne qui exigeait que toutes les privatisations soient au préalable autorisées par le Congrès.

Les négociations entre Engie et Petrobras ont repris le mois dernier.

Selon le processus de vente défini par la cour des comptes brésilienne, les deux autres consortiums qui avaient participé à l'appel d'offres initial pour le réseau de gazoducs de Petrobas sont autorisés à présenter de nouvelles propositions.

Le premier consortium, mené par la banque australienne Macquarie Bank, est formé par le canadien CPPIB et le groupe singapourien GIC. L'autre est composé d'EIG Partners et du fonds souverain Mubadala Investment.

Petrobras n'a pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire.

NOTE : Les informations de Valor Economico n'ont pas été vérifiées par Reuters, qui ne garantit pas leur exactitude.

(Tatiana Bautzer; Claude Chendjou pour le service français, édité par Jean-Michel Bélot)
1345 de 1692 - 13/2/2019 09:15
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004


Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a déclaré mardi à
Varsovie que les Etats-Unis allaient faire tout ce qui est en leur
pouvoir pour stopper le projet de gazoduc Nord Stream 2 reliant la
Russie à l'Allemagne.



M. Pompeo a ainsi souligné
l'absence de volonté de compromis de la part de Washington sur ce sujet,
alors que l'Allemagne a opéré mardi un rapprochement avec les
Etats-Unis, promettant d'importer dès les prochaines années du gaz
naturel liquéfié américain et de construire l'infrastructure
correspondante.



Selon le secrétaire d'Etat, le gazoduc
dont la construction a commencé l'année dernière "achemine de l'argent"
vers la Russie tout en nuisant à l'Europe.



"Alors que
ce type de transaction comporte certainement un aspect commercial, il
comporte un énorme risque pour la sécurité", a déclaré M. Pompeo lors
d'une conférence de presse commune avec le ministre polonais des
Affaires étrangères, Jacek Czaputowicz.



"Je pense que
le président Trump a été très clair sur le fait que les États-Unis vont
faire tout ce qui est en leur pouvoir pour que la sécurité européenne
soit au premier plan en ce qui concerne les décisions énergétiques",
a-t-il déclaré, interrogé pour savoir si les Etats-Unis envisageaient
des sanctions.



Le nouveau gazoduc doit permettre de
doubler les capacités du premier Nord Stream, qui transporte du gaz de
la côte Baltique de la Russie jusqu'à l'Allemagne. Il est soutenu sous
conditions par la France, mais fortement critiqué par les Pays baltes et
la Pologne.



"Nous partageons le point de vue selon
lequel le projet Nord Stream 2 ne sert pas la sécurité énergétique de
l'Europe, nous le considérons comme un projet raté, voire préjudiciable à
la sécurité énergétique sur le continent", a déclaré Jacek Czaputowicz.



Le secrétaire d'Etat américain effectue une tournée en
Europe centrale et orientale pour y contrer l'influence croissante de
la Russie, accusée d'utiliser l'énergie comme un élément de pression.




L'Ukraine est particulièrement préoccupée par le fait que Nord Stream 2
et la connexion prévue à Turkstream pourrait permettre à la Russie de
l'éliminer comme pays de transit - l'exposant potentiellement à de
nouvelles incursions militaires de Moscou.



La visite de
Pompeo a eu lieu alors que le secrétaire adjoint américain à l'Energie,
Dan Brouillette, a participé en Allemagne à une conférence sur le gaz
naturel liquéfié (GNL) - un terrain d'entente entre les alliés pour
réduire la dépendance à l'égard de la Russie.



Le
secrétaire d'Etat est en visite à Varsovie pour une conférence de deux
jours sur le Moyen-Orient que la Pologne a décidé d'organiser avec les
États-Unis.



Tout en saluant les relations avec
Varsovie, M. Pompeo a tenu à souligner l'importance du respect de l'Etat
de droit dans ce pays, alors que le gouvernement conservateur de Droit
et Justice (PiS) a introduit une série de réformes judiciaires
controversées, menaçant, selon l'Union européenne, l'indépendance de la
justice.



"A de nombreuses époques, le peuple polonais
s'est battu pour l'indépendance et la liberté. Aujourd'hui, j'exhorte la
Pologne à maintenir le cap - le cours de la liberté et de la démocratie
- qui avait été durement gagné à la fois dans les années 1980 et 1990",
a déclaré M. Pompeo.



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



February 12, 2019 15:27 ET (20:27 GMT)

1346 de 1692 - 13/2/2019 13:51
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Engie : Oddo anticipe une croissance de 10.8% sur 2018/2021




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http://www.zonebourse.com/ENGIE-4995/actualite-broker/Engie-Oddo-anticipe-une-croissance-de-10-8-sur-2018-2021-28003127/" target="popup">
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13/02/2019 | 11:37

En
amont du CMD (Capital market day) d'Engie, prévu pour la fin du mois de
février, l'analyste Oddo BHF indique ce mercredi attendre, après trois
ans de stabilité des résultats, attendre ' une croissance de 10.8% sur
la période 2018/2021 ' pour Engie.

' Engie devrait renouer avec
la croissance sur la période 2018/2021. Nous pensons que le groupe
devrait bénéficier de plusieurs facteurs positifs qui vont se traduire
par un objectif de croissance des BPA d'au moins 10% par an à partir de
2019 ', indique l'analyste.

Dans l'attente de cet événement, Oddo
BHF reste à l'achat sur le titre, avec un objectif de cours de 15
euros. Celui-ci laisse entrevoir un potentiel de hausse de l'ordre de
8%.

1347 de 1692 - 18/2/2019 21:50
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Total a annoncé lundi la création d'un

consortium industriel avec le danois Orsted et le belge Elicio afin de

répondre à l'appel d'offres pour la construction d'un parc éolien en mer

au large de Dunkerque.


Il s'agit du premier projet de
Total dans l'éolien en mer. "Notre savoir-faire reconnu dans l'offshore
pétrolier et gazier, combiné à l'expertise sur l'ensemble de la chaîne
de valeur de l'éolien en mer du leader mondial du secteur, Orsted, ainsi
qu'à celle d'Elicio, développeur expérimenté qualifié dès le début de
l'appel d'offres, sont des gages de réussite d'un projet sûr et
compétitif", a déclaré Philippe Sauquet, directeur général de la branche
Gas, Renewables & Power de Total.



L'appel
d'offres, lancé en 2016 par l'Etat français, est entré dans sa dernière
phase. Il met en concurrence une dizaine de consortiums internationaux,
notamment EDF associé à l'allemand Innogy, Engie et le portugais EDPR,
ou encore le pétrolier Shell avec Quadrans Energies Marines.




Les candidats ont jusqu'au 15 mars pour déposer leurs projets. Le
choix du vainqueur aura lieu au cours du second trimestre 2019. La mise
en service du parc, d'une capacité estimée à 500 mégawatts, est prévue
en 2022.



-François Schott, Agefi-Dow Jones; 01 41 27 47 92; fschott@agefi.fr ed:



-Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 48 11; djbourse.paris@agefi.fr ed: ECH





(END) Dow Jones Newswires



February 18, 2019 11:35 ET (16:35 GMT)

1348 de 1692 - 19/2/2019 18:53
adrian j boris Messages postés: 302 - Membre depuis: 28/6/2018
Engie est attendu sur sa croissance et ses acquisitions
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19/02/2019 | 16:02
ENGIE EST ATTENDU SUR SA CROISSANCE ET SES ACQUISITIONS
PARIS (Reuters) - Engie va confirmer à la fin du mois ses grands axes stratégiques mais devra aussi fournir des perspectives de croissance claires et muscler sa politique d'acquisitions pour retrouver les faveurs des investisseurs, selon des sources internes au groupe et des observateurs interrogés par Reuters.

Le nouveau plan d'Engie sur trois ans, qui sera présenté le 28 février lors de la publication des résultats 2018, inclura en outre une réduction de son emprise géographique - dans un souci de simplification - et le lancement d'un nouveau programme d'économies, ont précisé deux de ces sources.

Tout l'enjeu pour le fournisseur de gaz et d'électricité, également très présent dans les services, est aujourd'hui d'identifier clairement ses nouveaux relais de croissance et de chiffrer celle-ci après un plan 2016-2018 qui l'aura vu céder pour quelque 15 milliards d'euros d'actifs, principalement dans la production d'électricité à partir de charbon et dans l'amont pétrolier et gazier.

Dans le même temps, l'ex-GDF Suez a donné la priorité aux renouvelables, aux infrastructures énergétiques et aux services (les "solutions clients"), procédant au passage à plusieurs dizaines d'acquisitions mais seulement de tailles modestes.

"Dans les pivots stratégiques qu'ils ont mis en place, il n'y a pas de relais de profitabilité. Ce qui crache toujours beaucoup d'argent, c'est le gaz classique, les réseaux et la distribution", observe un haut dirigeant du secteur gazier.

"Ils ont vendu beaucoup de choses qui gagnaient de l'argent (...) et ce qu'ils ont acheté n'en rapporte pas beaucoup, donc c'est un peu compliqué financièrement", ajoute-t-il.

Un bon connaisseur d'Engie, spécialiste des fusions-acquisitions, se dit pour sa part "très dubitatif" sur la reconfiguration de l'entreprise sous l'égide de sa directrice générale Isabelle Kocher : "Il y a un problème d'axes stratégiques, avec des 'business units' pas très lisibles et que les gens ne comprennent pas en interne."

Ainsi, si le pôle "solutions clients" continue par exemple d'apparaître comme prometteur, il reste très délicat à appréhender car il rassemble des activités de services aussi diverses que la vente de gaz et d'électricité aux particuliers, l'efficacité énergétique, le "facility management", la mobilité électrique, les réseaux de chaleur ou encore la vidéosurveillance des espaces publics.

"Engie n'est pas facile à piloter car c'est un ensemble très hétérogène et il est difficile d'avoir une vision d'ensemble du groupe. Le sentiment, c'est qu'on ne sait pas vraiment où on va", juge une source proche du conseil d'administration.

"ON SERA OBLIGÉS DE PASSER PAR DES GROSSES ACQUISITIONS"

La solution, selon la même source : "On sera obligés de passer par des grosses acquisitions. Toutes les planètes sont alignées mais reste à savoir quelle seront les cibles. Ce serait une erreur stratégique de faire autrement."

La croissance externe apparaît pour de nombreux autres observateurs comme une voie possible de rebond des résultats et de la valorisation d'Engie, d'autant que le groupe aura la possibilité d'émettre des actions nouvelles pour réaliser certaines opérations une fois que l'Etat - son premier actionnaire - aura cédé tout ou partie de sa participation de 24% en vertu de la loi Pacte.

Parmi ses cibles potentielles figurent le réseau de gazoducs de Petrobras TAG, le spécialiste néerlandais des énergies renouvelables Eneco ou encore les actifs d'EDP dans les énergies renouvelables aux Etats-Unis.

Après avoir réduit son ratio endettement net sur Ebitda de 2,5 à fin 2015 à 2,2 à fin 2017, Engie va en outre pouvoir bientôt renforcer encore ses moyens financiers en cédant une partie des 75% du capital de GRTgaz qu'il détient, une possibilité elle aussi prévue par la loi Pacte.

"Des gros deals qui rentreraient dans les cases de la stratégie, ça du sens et je suis sûr qu'ils regardent tout. En revanche, si la ligne directrice est de purifier le modèle et l'histoire, je ne suis pas certain qu'un gros deal qui ajouterait de la complexité aille dans le bon sens", prévient toutefois une source bancaire.

Globalement, les observateurs d'Engie jugent en effet que la configuration actuelle du groupe justifie encore une décote de holding dans un marché qui réclame au contraire toujours plus de simplicité.

Depuis début 2012, la capitalisation boursière d'Engie a perdu un tiers de sa valeur, à quelque 34 milliards d'euros, et l'action a plafonné autour de 15 euros depuis la nomination d'Isabelle Kocher au poste de directrice générale, le 3 mai 2016.

Deux sources proches du groupe indiquent que, pour répondre à la critique persistante d'une trop grande complexité, Engie va probablement annoncer dans le cadre de son plan 2019-2021 une réduction de sa présence géographique - il est aujourd'hui implanté dans quelque 70 pays -, notamment en Europe centrale selon l'une de ces sources.

Une source syndicale évoque en outre le lancement d'un nouveau programme d'économies d'environ un milliard d'euros sur trois ans, en écho à celui de 1,3 milliard mis en œuvre sur la période 2016-2018.

Dans le même temps, l'entreprise va tenter d'afficher une unité retrouvée après avoir semble-t-il réglé ses problèmes de gouvernance depuis la nomination du président du conseil Jean-Pierre Clamadieu, qui a succédé en mai 2018 à Gérard Mestrallet.

La source proche du conseil relève ainsi que Jean-Pierre Clamadieu "a resserré son équipe et laisse un peu moins de place à l'exécutif" et qu'Engie n'est plus en proie à "des batailles d'ego comme il y en a eu entre Kocher et Mestrallet".

"GAGNER UN PEU DE TEMPS"

Le haut dirigeant du secteur gazier interrogé par Reuters juge toutefois que les attentes autour des annonces du 28 févier doivent être modérées : "Clamadieu comprend bien que le groupe est dans une impasse mais de là à savoir où aller... Je pense qu'il est encore trop tôt pour le dire, donc ils vont gagner un peu de temps."

Engie n'est ainsi probablement pas en mesure de clarifier dans l'immédiat sa position sur les sujets clés du nucléaire en Belgique et de sa participation dans Suez.

En Belgique, l'enjeu pour le groupe sera d'obtenir la prolongation au-delà de 2025 d'une partie des sept réacteurs exploités par sa filiale Electrabel tout en redressant leurs performances après des arrêts prolongés - liés à des questions de sûreté - qui ont amputé l'Ebitda d'Engie de quelque 600 millions d'euros en 2018.

Pour espérer parvenir à un accord avec le gouvernement belge, de même que pour éventuellement relancer le projet d'ouverture du capital d'Electrabel à des actionnaires belges, Engie va cependant devoir attendre la nomination d'un nouvel exécutif, après les élections de mai prochain.

Par ailleurs, le statu quo maintenu fin 2018 sur la participation du groupe au capital de Suez ne semble pas tenable à long terme, certaines sources internes continuant dans cette logique de privilégier une reprise de contrôle du n°2 mondial de la gestion de l'eau et des déchets.

Sollicité par Reuters, Engie n'a pas souhaité s'exprimer sur l'ensemble de ces sujets.

(Edité par Jean-Michel Bélot)

par Benjamin Mallet
1350 de 1692 - 21/2/2019 13:57
waldron Messages postés: 9813 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie : Credit suisse à l'achat avant la journée investisseur




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21/02/2019 | 11:09

En vue
de la publication des comptes annuels d'Engie, le 28 février prochain,
et de la journée investisseurs qui se tiendra concomitamment, Credit
suisse confirme son conseil d'achat sur le titre. L'objectif de 16,1
euros augure d'un potentiel de hausse de l'ordre de 14%.

Credit
suisse anticipe qu'au titre de 2018, l'énergéticien publiera un EBITDA
ajusté en baisse de 1,9% à 9,1 milliards d'euros, chiffre qui serait un
peu supérieur (de 0,8%) au consensus. En revanche, les analystes
anticipent un résultat net récurrent qui, à 2,39 milliards, manquerait
la fourchette visée par la direction, qui va de 2,45 à 2,65 milliards. A
0,75 euro, le dividende devrait, lui, être conforme aux attentes.

Et
après ? 'Par contraste, l'année 2019 devrait être celle d'une
'recovery' marquée par rapport à 2018, alors que la production nucléaire
belge devrait se normaliser', pronostique Credit suisse, qui attend une
progression de 9% du bénéfice par action 2019, avant une nouvelle
hausse de 10% en 2020. La progression annuelle moyenne du bénéfice par
action d'Engie devrait ainsi s'établir à 9,7%, soit au-dessus de celle
du secteur (hors services), attendue à 7%.

De plus, après le
terme du plan 2016/2018, la journée investisseurs devrait donner
l'occasion à Engie de présenter ses nouvelles orientations stratégiques.
'Nous pensons qu'Engie apportera de la visibilité sur sa feuille à un
horizon de trois à cinq ans', indique une note, et donnera des
indications sur ses perspectives bénéficiaires.

1351 de 1692 - 22/2/2019 11:11
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

ENGIE : Renfort du put 2E75Z (2E75Z)



Zonebourse22/02/2019 à 10:42

ENGIE : Renfort du put 2E75Z (2E75Z)

ENGIE : Renfort du put 2E75Z (2E75Z)


(Zonebourse.com) Malgré la récente poussée des indices, le titre Engie
fait preuve d'une volatilité particulièrement faible et se maintient
dans la zone des 14 EUR.


Les indicateurs techniques proches de la zone de surachat et les
récentes révisions baissières des perspectives de bna plaident en faveur
d'une nouvelle phase de consolidation, en direction des 13.3 EUR voire
12.9 EUR par extension.


Nous renforçons par conséquent notre position vendeuse, par
l'intermédiaire du put Commerzbank 2E75Z qui cote 0.19 EUR pour un
strike à 13 EUR et une échéance au 21/06/2019.


Ce produit avait été conseillé à 0.36 EUR :


https://www.zonebourse.com/ENGIE-50629277/actualit...

1352 de 1692 - 27/2/2019 12:19
waldron Messages postés: 9813 - Membre depuis: 17/9/2002

Glencore : Goldman Sachs reste très positif sur le titre mais révise à la baisse son prix cible, passant de 350 à 340 GBp. Aixtron : Oddo reste acheteur sur le titre allemand mais abaisse sa cible de 14 à 12 EUR. Suez Environnement : Société Générale (10.50 EUR), Morgan Stanley (10.70 EUR), RBC Capital Markets (10.50) et Kepler Cheuvreux (12 EUR) confirment leur opinion négative sur le titre. Oddo, à l'inverse, confirme sa recommandation d'achat et vise toujours 15.60 EUR. GTT : Après ses résultats, Société Générale (87 EUR), Oddo (84 EUR) et MainFirst (84 EUR) restent à l'achat et conservent leur objectif de cours inchangés.
1353 de 1692 - 27/2/2019 15:20
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

ENGIE : Le plan stratégique d'Engie sera aussi celui de l'indépendance - DJ Plus




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27/02/2019 | 09:58


Olivier Pinaud,


L'Agefi


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le nouveau plan à trois ans qu'Engie révélera
jeudi matin est stratégique à plus d'un titre pour le producteur
d'énergie. Cette feuille de route est la première élaborée par la
directrice générale, Isabelle Kocher, sans l'ombre tutélaire de Gérard
Mestrallet. L'architecte d'Engie des deux dernières décennies a cédé
l'an dernier son fauteuil de président à Jean-Pierre Clamadieu et a
quitté son siège d'administrateur.


L'occasion pour Isabelle Kocher d'affirmer son autorité, que bon
nombre d'adversaires ont aimé remettre en question ces trois dernières
années. L'occasion surtout de profiter de cette indépendance pour
amplifier le changement de modèle du groupe, au-delà de l'annonce
attendue de nouvelles économies.


Car si le précédent plan a permis à Engie d'accélérer son virage vers
les services, moins consommateurs de capitaux, et de s'écarter des prix
de marché de l'énergie, trop volatils, cette nouvelle feuille de route
doit prouver qu'Engie peut durablement générer de la croissance, alors
que ces trois dernières années ont été consacrées à vendre des actifs
pour trouver les moyens d'investir dans d'autres activités.


Pour cela, Isabelle Kocher doit clarifier la position du groupe en
Belgique. Les sept réacteurs nucléaires opérés par Engie dans ce pays
ont été ralentis ces dernières années par des problèmes de sécurité à
répétition. Ces centrales sont les dernières d'Engie dans le nucléaire.
Une sortie à court terme parait difficilement envisageable, mais le
groupe doit donner de la visibilité sur cette question, cruciale pour
ses bénéfices et sa valorisation.


Ce nouveau plan doit préparer la voie à une future indépendance
d'Engie. L'Etat piaffe d'impatience pour descendre au capital. Le
prochain vote de la loi Pacte lui permettra de le faire. Reste à espérer
une remontée du cours de Bourse. A 14 euros mercredi, le prix de
l'action Engie n'a pas bougé par rapport à septembre 2017 lors de la
dernière vente d'actions Engie par l'Etat.


-Olivier Pinaud, L'Agefi. ed: ECH


L'Agefi est propriétaire de l'agence Agefi-Dow Jones


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1354 de 1692 - 28/2/2019 08:53
waldron Messages postés: 9813 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie: Priorité aux services et renouvelables, croissance en vue




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28/02/2019 | 08:42

ENGIE: PRIORITÉ AUX SERVICES ET RENOUVELABLES, CROISSANCE EN VUE

(Reuters)
- Engie a publié jeudi des résultats 2018 en croissance organique
soutenue, bien que freinés par les arrêts de réacteurs nucléaires en
Belgique, et a présenté un nouveau plan devant lui permettre de faire
progresser son résultat net courant de 7% à 9% par an sur la période
2019-2021.

Ce plan du fournisseur de gaz et d'électricité,
également très présent dans les services, prévoit qu'il se développera
en priorité dans les renouvelables et les "solutions clients" (services
aux particuliers, entreprises et collectivités locales)

Il concentrera en outre ses investissements sur 20 pays
et 30 métropoles, ce qui le conduira à quitter une vingtaine de pays en
trois ans.

Engie projette également un programme d'économies de
800 millions d'euros pour la période 2019-2021, en écho à celui de 1,3
milliard mis en oeuvre sur 2016-2018, ainsi que 11 à 12 milliards
d'investissements de croissance et six milliards de cessions.

Le groupe a en outre annoncé un objectif de résultat
net récurrent part du groupe en croissance en 2019, compris entre 2,5 et
2,7 milliards d'euros, qui repose sur une fourchette indicative
d'Ebitda de 9,9 à 10,3 milliards.

Il va aussi mettre en place "à moyen terme" une
nouvelle politique de dividende, avec un ratio de distribution de 65% à
75% de son résultat net part du groupe, le haut de cette fourchette
étant visé pour 2019.

Après retraitement de ses résultats 2017 pour tenir
compte des cessions, Engie a enregistré en 2018 un résultat net
récurrent part du groupe de 2,5 milliards (+10,1%, +17,3% en organique),
un Ebitda de 9,2 milliards (+0,4% en variation brute, +4,7% en
organique) et des ventes de 60,6 milliards (+1,7% en variations brute et
organique).

Selon un consensus réalisé par Infront Data pour
Reuters, les analystes attendaient en moyenne un résultat net récurrent
de 2,4 milliards d'euros, un Ebitda de 9,2 milliards et un chiffre
d'affaires de 64,4 milliards.

Engie propose comme prévu un dividende de 0,75 euro par action au titre de 2018.

Le groupe propose toutefois également un dividende
exceptionnel de 0,37 euro par action pour neutraliser l'impact de sa
décision de verser son dividende annuel en une seule fois, à compter de
2020, à l'issue des assemblées générales approuvant ses comptes.

(Service Entreprises, Benjamon Mallet, édité par Jean-Michel Bélot)

1355 de 1692 - 28/2/2019 08:59
waldron Messages postés: 9813 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie : lance un nouveau plan stratégique, les résultats 2018 lestés par la Belgique




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28/02/2019 | 08:38


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité Engie a
annoncé jeudi un nouveau plan stratégique sur trois ans, après des
résultats en 2018 conformes à ses objectifs mais lestés par les retards
de redémarrage d'unités nucléaires en Belgique.


Après un plan 2016-2018 axé sur un repositionnement stratégique du
groupe, le nouveau plan 2019-2021 vise à poursuivre le développement des
activités bas carbone et des énergies renouvelables et à recentrer son
offre sur une solution client intégrée.


En 2018, le résultat net récurrent, qui exclut les éléments
exceptionnels, s'est inscrit à 2,5 milliards d'euros, soit une variation
brute de 10,1% et une croissance organique de 17,3%. Engie s'attendait à
un résultat net récurrent part du groupe dans le bas d'une fourchette
allant de 2,45 milliards à 2,65 milliards d'euros.


Le groupe a dégagé un bénéfice net de 1 milliard d'euros, contre 1,3
milliard d'euros un an plus tôt, selon des données retraitées en raison
du classement des activités GNL midstream et upstream en "activités non
poursuivies" à compter de mars 2018 et de l'application des nouvelles
normes IFRS 9 et IFRS 15.


L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) du groupe s'est inscrit à 9,2
milliards d'euros, en hausse brute de 0,4% et en croissance organique de
4,7% sur un an. Les indisponibilités nucléaires en Belgique ont eu un
impact négatif de 700 millions d'euros sur l'Ebitda du groupe, a précisé
la directrice financière du groupe, Judith Hartmann, au cours d'une
conférence téléphonique.


Dans le même temps, son chiffre d'affaires a progressé de 1,7% sur un
an en hausse brute ainsi qu'en organique, à 60,6 milliards d'euros.


Selon un consensus réalisé par FactSet, les analystes tablaient en
moyenne sur un résultat net récurrent de 2,38 milliards d'euros, sur un
Ebitda de 9,21 milliards d'euros et sur un chiffre d'affaires de 62,77
milliards d'euros sur cette période.


A la fin 2018, le ratio dette nette sur excédent brut d'exploitation
ressortait à 2,3 fois, contre un objectif inférieur ou égal à 2,5 fois
fourni par le groupe. La dette nette financière a atteint 22,1 milliards
d'euros, soit une baisse de 1,4 milliard d'euros par rapport à fin
décembre 2017.


Conformément à ses objectifs, le groupe proposera à son assemblée
générale le paiement, en numéraire, d'un dividende de 0,75 euro par
action au titre de l'exercice 2018, après un dividende de 0,70 euro au
titre de l'exercice 2017.


Engie a ajouté qu'à compter de 2020, le dividende annuel sera versé en
une seule fois, à l'issue de l'assemblée générale approuvant les
comptes annuels. Dans ce contexte, Engie soumettra à l'approbation de
ses actionnaires lors de son assemblée générale du 17 mai prochain "un
dividende exceptionnel de 0,37 euro par action, ce qui portera la
distribution totale décidée par cette assemblée générale à 1,12 euro par
action".


Pour 2019, Engie prévoit un résultat net récurrent part du groupe
compris entre 2,5 milliards et 2,7 milliards d'euros. "Cet objectif
repose sur une fourchette indicative d'Ebitda de 9,9 à 10,3 milliards
d'euros, après application de la norme IFRS 16", a précisé Engie.


Sur la période 2019-2021, Engie vise une croissance annuelle "plus
rapide", a indiqué la directrice générale du groupe, Isabelle Kocher, au
cours d'une conférence téléphonique. Le groupe prévoit une hausse
annuelle de son résultat net récurrent de l'ordre de 7% à 9%.


Le groupe prévoit par ailleurs de procéder à des dépenses
d'investissement de l'ordre de 11 milliards à 12 milliards d'euros et de
céder pour 6 milliards d'actifs entre 2019 et 2021.


Le plan d'Engie comprend également un volet performance visant à dégager 800 millions d'euros d'économies.


-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV


COMMUNIQUES FINANCIERS D'ENGIE:


Communiqués de presse - ENGIE


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1356 de 1692 - 28/2/2019 10:54
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Suez Environnement : Les avis divergent sur le titre. Exane BNP Paribas abaisse son prix cible de 12.50 à 12.00 EUR, tout en restant neutre. Alors que Oddo (15.60 EUR) reste à l'achat et Kepler Cheuvreux (12 EUR), à la vent Engie : Barclays (16.50 EUR), Kepler Cheuvreux (15.30 EUR) et Morgan Stanley (16.60 EUR) sont toujours positifs sur le titre et conservent leur objectif de cours inchangé.
1357 de 1692 - 28/2/2019 16:41
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000


(Actualisation: propos de la directrice générale sur les
fusions et acquisitions, précisions sur les dépenses d'investissement et
sur le développement géographique du groupe, détails sur les
perspectives du nucléaire en Belgique)



PARIS (Agefi-Dow
Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité Engie a annoncé jeudi un
nouveau plan stratégique sur trois ans, après des résultats en 2018
conformes à ses objectifs mais lestés par les retards de redémarrage
d'unités nucléaires en Belgique.



Après un plan
2016-2018 axé sur un repositionnement stratégique du groupe, le nouveau
plan 2019-2021 vise à poursuivre le développement des activités bas
carbone et des énergies renouvelables et à recentrer l'offre sur une
solution client intégrée.



En 2018, le résultat net
récurrent, qui exclut les éléments exceptionnels, s'est inscrit à 2,5
milliards d'euros, soit une variation brute de 10,1% et une croissance
organique de 17,3%. Engie s'attendait à un résultat net récurrent part
du groupe dans le bas d'une fourchette allant de 2,45 milliards à 2,65
milliards d'euros.



Le groupe a dégagé un bénéfice net
de 1 milliard d'euros, contre 1,3 milliard d'euros un an plus tôt, selon
des données retraitées en raison du classement des activités GNL
midstream et upstream en "activités non poursuivies" à compter de mars
2018 et de l'application des nouvelles normes IFRS 9 et IFRS 15.




L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) du groupe s'est inscrit à 9,2
milliards d'euros, en hausse brute de 0,4% et en croissance organique de
4,7% sur un an.



Les indisponibilités nucléaires en
Belgique ont eu un impact négatif de 700 millions d'euros sur l'Ebitda
du groupe, a précisé la directrice financière du groupe, Judith
Hartmann, au cours d'une conférence téléphonique.



Dans
le même temps, le chiffre d'affaires a progressé de 1,7% sur un an en
données brutes ainsi qu'en organique, à 60,6 milliards d'euros.




Selon un consensus réalisé par FactSet, les analystes tablaient en
moyenne sur un résultat net récurrent de 2,38 milliards d'euros, sur un
Ebitda de 9,21 milliards d'euros et sur un chiffre d'affaires de 62,77
milliards d'euros sur cette période.



A la fin 2018, le
ratio dette nette sur excédent brut d'exploitation ressortait à 2,3
fois, contre un objectif inférieur ou égal à 2,5 fois fourni par le
groupe. La dette nette financière a atteint 22,1 milliards d'euros, soit
une baisse de 1,4 milliard d'euros par rapport à fin décembre 2017.




Conformément à ses objectifs, le groupe proposera à son assemblée
générale le paiement, en numéraire, d'un dividende de 0,75 euro par
action au titre de l'exercice 2018, après un dividende de 0,70 euro au
titre de l'exercice 2017.



Engie a ajouté qu'à compter
de 2020, le dividende annuel serait versé en une seule fois, à l'issue
de l'assemblée générale approuvant les comptes annuels. Dans ce
contexte, Engie soumettra à l'approbation de ses actionnaires lors de
son assemblée générale du 17 mai prochain "un dividende exceptionnel de
0,37 euro par action, ce qui portera la distribution totale décidée par
cette assemblée générale à 1,12 euro par action".



Une croissance "plus rapide" sur la période 2019-2021




Pour 2019, Engie prévoit un résultat net récurrent part du groupe
compris entre 2,5 milliards et 2,7 milliards d'euros. "Cet objectif
repose sur une fourchette indicative d'Ebitda de 9,9 à 10,3 milliards
d'euros, après application de la norme IFRS 16", a précisé Engie.




Sur la période 2019-2021, Engie vise une croissance annuelle "plus
rapide", a indiqué la directrice générale du groupe, Isabelle Kocher, au
cours d'une conférence téléphonique. Le groupe prévoit une hausse
annuelle de son résultat net récurrent de l'ordre de 7% à 9%.




Le groupe prévoit par ailleurs de procéder à des dépenses
d'investissement de croissance de l'ordre de 11 milliards à 12 milliards
d'euros, dont 4 à 5 milliards d'euros pour les solutions clients et 2,3
à 2,8 milliards d'euros pour les énergies renouvelables afin de
financer une hausse d'envrion 9 gigawatts de ses capacités.




Une partie des dépenses de croissance sera également allouée à de
petites acquisitions ciblées, a précisé Engie. Lors d'une présentation
aux analystes, Isabelle Kocher s'est dite "très prudente" vis-à-vis des
grosses opérations de fusion et acquisitions.



Les
dépenses cumulées du groupe devraient atteindre environ 20 milliards
d'euros sur la période 2019-2021, dont 60% seront dédiés aux
investissements de croissance.



Le groupe prévoit également de céder pour environ 6 milliards d'actifs entre 2019 et 2021.



Le plan d'Engie comprend également un volet performance visant à dégager 800 millions d'euros d'économies.




Dans le cadre de son programme, Engie a identifié 20 pays et 30 zones
urbaines de marchés en développement comme régions de croissance
prioritaires. Dans le même temps, le groupe a prévu de quitter 20 pays.




Le taux de disponibilité du nucléaire belge a été "très faible en 2018
(52%)", mais Engie s'attend à ce qu'il atteigne 78% en 2019, puis 79%
en 2020, et 93% en 2021.



Dans le cadre de la sortie du
nucléaire décidée par la Belgique, Engie enclenchera la fermeture des
réacteurs Doel 3 et Tihange 2 en 2022-2023, et des réacteurs Doel 1,
Doel 2 et Tihange 1 en 2025. Le gouvernement belge avait décidé en 2015
de prolonger de dix ans l'activité de Doel 1 et 2, et en 2013 de
prolonger l'activité de Tihange 1.



Au-delà de 2025,
l'activité des réacteurs Doel 4 et Tihange 3 "pourrait être prolongée"
mais la décision sur les options pour le nucléaire en Belgique revient
aux autorités du pays, a relevé Engie.



-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV



COMMUNIQUES FINANCIERS D'ENGIE:



http://www.engie.com/journalistes/communiques-de-p...



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(END) Dow Jones Newswires



February 28, 2019 08:24 ET (13:24 GMT)

1358 de 1692 - 28/2/2019 16:51
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

LONDRES (Agefi-Dow Jones)--L'énergéticien Engie n'exclut pas de

réaliser des acquisitions dans les prochaines années mais prévoit de se

montrer sélectif.


"Il y aura des acquisitions" mais "il
faut être sélectif sur les opérations de grande taille", a indiqué
Isabelle Kocher, la directrice générale d'Engie lors d'une conférence de
presse organisée en marge de la présentation à Londres du nouveau plan
stratégique à trois ans du groupe d'énergie et de services.




"Une grosse acquisition ne peut pas être considérée comme une
stratégie en elle-même, elle doit être au service d'un dessein", a
poursuivi Isabelle Kocher.



Interrogée sur un intérêt
présumé d'Engie pour le groupe portugais EDP, qui fait l'objet d'une
offre de son actionnaire chinois Three Gorges, Isabelle Kocher a
simplement rappelé qu'Engie "travaille déjà beaucoup avec EDP",
notamment dans l'éolien offshore en France, et serait prêt à explorer
d'autres zones géographiques avec eux.



Concernant la
vente en cours du du spécialiste néerlandais des énergies renouvelables
Eneco, Isabelle Kocher a reconnu qu'Engie regarde le dossier, sans
donner plus de détails.



Enfin, Engie attend une reprise
d'ici à la fin mars du processus de vente du réseau de gazoducs
brésilien TAG, interrompu au moment des élections présidentielles. "Nous
avions remis une offre, qui avait été retenue. Nous restons un candidat
intéressé et a priori convaincant", a indiqué Isabelle Kocher.



-Olivier Pinaud, L'Agefi, ed: ACD



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(END) Dow Jones Newswires



February 28, 2019 08:34 ET (13:34 GMT)

1359 de 1692 - 01/3/2019 11:17
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007
Engie : Tous les analystes sont positifs (achat, surperformance, surpondérer) sur le titre. Société Générale (16 EUR), JPMorgan (18.50 EUR), Oddo (15 EUR), Kepler Cheuvreux (15.30 EUR) et Exane BNP Paribas (16.60 EUR) conservent leur objectif de cours. DZ Bank révise légèrement à la hausse, passant de 14.50 à 14.80 EUR.
1360 de 1692 - 01/3/2019 18:40
waldron Messages postés: 9813 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie forecasts Belgian plant availability for 2019-2021

01 March 2019


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The availability of Engie's Belgian nuclear power plants will
rise to 78% this year, from 52% last year, according to its 2018
financial statement released yesterday. That percentage is expected to
increase to 79% in 2020 and 93% in 2021, it added.

Doel-plant-(Electrabel).jpg?ext=.jpgDoel (Image: Electrabel)

This includes new outages at Doel units 1 and 2 and Tihange unit 1,
it said, adding that these units will not be available next winter.

Through its subsidiary Electrabel, the French utility operates seven
nuclear reactors in Belgium at the Doel and Tihange sites with a
combined installed capacity of 5.9 GWe. Unplanned outages led to a
EUR200 million (USD228 million) loss in full-year earnings at its
Belgium, Netherlands and Luxembourg unit, Engie said.

"The Nuclear business reported a very significant decrease due to
unscheduled outages leading to a very low availability rate of 52% in
2018 and due to a decrease in captured prices," according to a company
statement to accompany the financial report.

In 2018, Engie's revenue rose 1.7% to EUR60.6 billion and core
earnings increased by 0.4% to EUR9.2bn, but current operating income
fell by 0.9% to EUR5.1bn and net profit decreased to EUR1bn from
EUR1.3bn, partly due to the extended outages of its Belgian nuclear
power plants.

Merchant business excluding nuclear delivered 76% growth in reported
EBITDA and 77% organically, driven mainly by a good performance from
Global Energy Management and thermal power generation in Europe, it
said.

The utility continued to develop its nuclear maintenance business
last year with the acquisition by its subsidiary Endel of SUEZ's
specialised subsidiary, ex-SRA SAVAC.

In January, Belgium's regulatory body, the Federal Agency for Nuclear
Control, approved the restart of unit 2 of the Doel plant following
repairs to a corroded pipeline in a safety cooling water circuit.
Repairs to the same pipeline in Doel 1 continue.

A leak in the pipeline in unit 1 was detected in April 2018 and
similar degradation was subsequently found at unit 2. However, FANC said
the degradation at Doel 2 was "less advanced" than at unit 1. The
regulator said the cause of the issue must be known before the units
would be allowed to restart. Analyses have shown the degradation of the
pipes was caused by material fatigue.

In September, Electrabel announced that scheduled outages at Tihange 2
and 3 had been further extended while concrete degradation issues in
adjacent non-nuclear buildings are addressed. Tihange 2 is now expected
to restart on 1 June 2019, and not on 31 October 2018 as previously
planned. Tihange 3 had been expected to restart on 2 March 2019 instead
of 30 September, but was restarted in early January.

Researched and written by World Nuclear News

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