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Royal Dutch Shell

- 28/10/2015 10:53
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1715 - Membre depuis: 24/6/2003

(CercleFinance.com) - Après avoir renoncé, le mois dernier, à un projet offshore au nord de l'Alaska, la major pétro-gazière Royal Dutch Shell continue de sabrer ses actifs d'Amérique du Nord. C'est cette fois le projet de Carmon Creek, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta réputé pour ses sables bitumineux et dont le potentiel était chiffré à 80.000 barils/jour, qui passe à la trappe. Ce qui occasionnera une charge pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars sur les comptes du 3e trimestre, attendus le 29 octobre.

Le projet était sur la sellette depuis mars 2015. Hier, Shell a annoncé qu'après avoir passé en revue le projet d'un point de vue technique et avoir mis à jour ses hypothèses de coûts, il ne considérait plus, en l'état actuel des choses, que Carmon Creek pouvait figurer au sein de son portefeuille d'actifs.

Le directeur général, Ben van Beurden, a déclaré que cette décision s'était imposée au groupe en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du pétrole.

L'un de problèmes dénoncés le plus clairement : l'absence d'infrastructure permettant de transporter le brut qui aurait été extrait de ce projet vers les “marchés pétroliers globaux”.

Les travaux de développement du gisement seront gelés et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, une maintenance minimale des infrastructures actuelles sera de rigueur.

De ce fait, les comptes du 3e trimestre seront grevés par une provision pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars (1,8 milliard d'euros environ).



Réponses
245 Réponses
 ...   5   ... 
81 de 245 - 05/5/2016 10:25
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Royal Dutch : Porté par les moyenne mobiles




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http://www.zonebourse.com/ROYAL-DUTCH-6273/analyses-bourse/Porte-par-les-moyenne-mobiles-22299941/" target="popup">
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strat_H.png
Analyse du 05/05/2016 | 10:16



Opinion : Positive au dessus de 21.5 EUR
Objectif de cours : 24 EUR
Stop de protection: 20.99 EUR

EURONEXT AMSTERDAM
Pétrole et gaz - raffinage / marketing

Royal Dutch garde une configuration positive sur le court terme.



Le titre affiche des niveaux de valorisation attrayants avec un PER pour
les estimés de 2017 qui ressort à 9x et un ratio " valeur entreprise
sur chiffre d'affaires" à 0.89 pour la même période de référence.

Le consensus des analystes reste largement acheteur avec un objectif de
cours qui laisse un réel potentiel d’appréciation à l’action.



Techniquement, les cours se situent dans un schéma de reprise à court
terme, mouvement qui a connu un premier blocage à l’approche des 24 EUR.
Le repli actuel sur les moyennes mobiles haussières peut constituer une
opportunité pour se placer à l'achat et viser une nouvelle relance en
direction des 24 EUR.

Néanmoins, un stop sous les 21 EUR bloquera la perte sur la position.


Royal Dutch  : Royal Dutch  : Porté par les moyenne mobiles


equipeZB_21.jpg

Patrick RejaunierRoyal Dutch : Porté par les moyenne mobiles



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Analyse du 05/05/2016 | 10:16



Opinion : Positive au dessus de 21.5 EUR
Objectif de cours : 24 EUR
Stop de protection: 20.99 EUR

EURONEXT AMSTERDAM
Pétrole et gaz - raffinage / marketing

Royal Dutch garde une configuration positive sur le court terme.



Le titre affiche des niveaux de valorisation attrayants avec un PER pour
les estimés de 2017 qui ressort à 9x et un ratio " valeur entreprise
sur chiffre d'affaires" à 0.89 pour la même période de référence.

Le consensus des analystes reste largement acheteur avec un objectif de
cours qui laisse un réel potentiel d’appréciation à l’action.



Techniquement, les cours se situent dans un schéma de reprise à court
terme, mouvement qui a connu un premier blocage à l’approche des 24 EUR.
Le repli actuel sur les moyennes mobiles haussières peut constituer une
opportunité pour se placer à l'achat et viser une nouvelle relance en
direction des 24 EUR.

Néanmoins, un stop sous les 21 EUR bloquera la perte sur la position.


Royal Dutch  : Royal Dutch  : Porté par les moyenne mobiles


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Patrick Rejaunier

82 de 245 - 08/5/2016 15:41
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
Ex-dividend date RDS A and RDS B shares                            May 19, 2016 
83 de 245 - 13/5/2016 08:44
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Shell 'A' (NYSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Vendredi 13 Mai 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell

Environ 2.100 barils de pétrole brut ont fui jeudi d'une plateforme
pétrolière de Royal Dutch Shell (RDSA.LN) dans le golfe du Mexique, ont
annoncé le géant énergétique anglo-néerlandais ainsi que les autorités
fédérales.



Un hélicoptère de Shell a constaté jeudi des
traces d'hydrocarbures à proximité de quatre puits dans un gisement de
pétrole situé à environ 265 kilomètres au sud-ouest de la
Nouvelle-Orléans, a affirmé le Bureau of Safety and Environmental
Enforcement.



Shell a déclaré qu'il examinait ses
équipements afin de déterminer la raison de cette fuite. "La cause
probable de ces traces d'hydrocarbures est un écoulement de pétrole
d'infrastructures sous-marines. En réponse, nous avons isolé la fuite et
arrêté la production", a précisé le groupe pétrolier et gazier dans un
communiqué, ajoutant qu'il n'y avait pas eu de blessés.





-Alison Sider, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



May 13, 2016 01:59 ET (05:59 GMT)

84 de 245 - 15/5/2016 21:32
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

24/05/16 | 10:00 Assemblée générale

85 de 245 - 16/5/2016 15:20
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Royal Dutch Shell : vers une IPO des actifs non stratégiques ?

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Publié le 16/05/2016 à 12h13

(Boursier.com) — Royal Dutch Shell
pourrait se séparer de certains actifs jugés non stratégiques via une
mise en bourse. Selon le "Telegraph", cette opération pourrait rapporter
40 milliards de dollars au géant pétrolier qui doit réduire une dette
de plus de 70 Mds$. L'endettement de Royal Dutch Shell a explosé suite
au rachat de BG Group pour environ 50 Mds$. Selon le journal
britannique, le Directeur financier de la société anglo-néerlandaise,
Simon Henry, a déclaré la semaine dernière aux analystes qu'une IPO des
actifs non stratégiques est "bien à l'ordre du jour".

86 de 245 - 16/5/2016 20:20
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1715 - Membre depuis: 24/6/2003

Goldman Sachs un peu plus optimiste sur les cours du pétrole




Actualités des sociétés


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REUTERS |
Le 16/05/16 à 17:12





1552420_1463413921_1550585-1462804135-15

Goldman Sachs un peu plus optimiste sur les cours du pétrole | Crédits photo : Shutterstock





Goldman Sachs un peu plus optimiste sur les cours du pétrole | Crédits photo : Shutterstock

16 mai (Reuters) - La banque américaine Goldman Sachs, l'un des
investisseurs les plus pessimistes ces derniers mois sur les
perspectives d'évolution des cours du pétrole,
a relevé lundi ses prévisions à court terme en expliquant que le marché
mondial était de nouveau déficitaire à cause des perturbations dans la
production du Nigeria et du Canada.

Goldman
Sachs, l'une des grandes banques internationales les plus actives sur
le marché des matières premières, jugeait encore récemment possible une
chute du prix du baril sous 20 dollars en raison de la persistance d'une
offre excédentaire.

PUBLICITÉ

inRead invented by Teads

Lundi, il a estimé que le baril de brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI)
pourrait remonter à 50 dollars au second semestre de cette année, tout
en précisant que la hausse des cours devrait être limitée en 2017, le
marché devant redevenir excédentaire.

"Le marché pétrolier est
passé de la quasi-saturation des installations de stockage à un déficit
bien plus tôt que nous ne le prévoyions", explique la banque.

"Le
marché est sans doute devenu déficitaire en mai (..) avec le maintien
d'une demande forte et une baisse marquée de la production",
poursuit-elle, précisant que les baisses de production devraient assurer
le maintien d'un déficit au second semestre.

Des interruptions de
production estimées jusqu'à 3,75 millions de barils par jour (bpj) ont
effacé l'excédent qui avait alimenté la chute de près de 70% des cours
du brut entre la mi-2014 et le début de cette année.

Cet effondrement des cours a toutefois été suivi d'un rebond de près de 80% depuis fin janvier.

Lundi, sur le marché new-yorkais, le WTI se traitait à 47,58 dollars le baril, en hausse de 2,96%, tandis que le Brent prenait 2,72% à 49,13 dollars. L'un et l'autre évoluaient au plus haut depuis novembre.

Goldman
Sachs a aussi relevé de 200.000 bpj sa prévision de croissance de la
demande mondiale, à 1,4 million de bpj, expliquant s'attendre à une
hausse de la demande en Asie, et particulièrement en Chine.

La
banque a toutefois abaissé ses prévisions de cours pour 2017 en raison
du retour attendu à une situation excédentaire, disant tabler sur un
baril de WTI entre 52,50 et 57,50 dollars.

"Nous nous attendons à ce que la fin des arrêts de production et l'augmentation de la production en Iran
et en Irak fassent plus que compenser les problèmes lancinants du
Nigeria et le relèvement de notre prévision de demande",
explique-t-elle, ajoutant que le baril pourrait atteindre 60 dollars au
quatrième trimestre de l'année prochaine.

(Apeksha Nair à Bangalore et Dmitry Zhdannikov à Londres; Marc Angrand pour le service français)


En

savoir plus sur

http://investir.lesechos.fr/actions/recos-analyste...

87 de 245 - 17/5/2016 09:14
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1715 - Membre depuis: 24/6/2003

Shell 'A' (NYSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 17 Mai 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell

Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a annoncé dans la nuit de lundi à mardi
que la production de sa plateforme pétrolière située au large de la
Louisiane allait reprendre, après une fuite représentant 2.100 de barils
de pétrole brut survenue la semaine dernière.



Le
Bureau of Safety & Environmental Enforcement (BSEE), qui est chargé
de la sécurité et l'application des lois environnementales, "a validé le
plan de redémarrage de la production de Shell pour la plateforme Brutus
en utilisant les puits d'accès verticaux directs non endommagés", a
déclaré le géant énergétique anglo-néerlandais dans un communiqué.





-Dan Molinski, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



May 17, 2016 01:51 ET (05:51 GMT)

88 de 245 - 17/5/2016 18:34
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Next div ex-dateMay 19 2016



Next div pay-dateJun 27 2016

89 de 245 - 30/5/2016 09:23
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Oddo n'est plus à l'achat sur Total



Boursier le 30/05/2016 à 09:18





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© Reuters


Oddo Securities a abaissé ce matin sa recommandation sur Total
d'achat à neutre, tout en conservant inchangé son objectif de cours de
46 euros. Le bureau d'études explique que la major française reste la
valeur refuge par excellence du secteur, grâce à sa forte visibilité, la
meilleure croissance de production, les coûts techniques les plus
faibles et un équilibre cash parmi les plus bas du secteur à 60$ le
baril. Mais le dossier apparaît au spécialiste correctement valorisé,
dans un contexte où l'excès d'offres de pétrole devrait toucher à sa
fin. Dans le contexte actuel, l'analyste préfère Shell et ENI à Total en Europe.

90 de 245 - 30/5/2016 11:07
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002


(CercleFinance.com) - Tout en confirmant son objectif de cours de 46
euros, Oddo dégrade sa recommandation sur Total de 'achat' à 'neutre',
dans une note consacrée à plusieurs grandes compagnies pétrolières
européennes.

'L'excès d'offre du pétrole touche à sa fin. Après un
pic de deux millions de barils par jour (Mb/j) en 2015, elle devrait
baisser à 0,2 Mb/j au second semestre 2016 avec un retour à l'équilibre
prévu en 2017', pointe l'analyste.

Selon Oddo, le prix du pétrole
devrait remonter progressivement, mais rester capé à 55-60 dollars le
baril en 2018. 'Royal Dutch Shell, Eni et Total semblent les mieux
positionnés pour faire face à ce contexte', juge-t-il.

Aussi, le
bureau d'études relève sa position sur Eni de 'neutre' à 'achat' pour
acter le 'rerating' du titre de la compagnie italienne, mais il dégrade
celle sur Total en sens inverse, compte tenu d'un potentiel de
progression qu'il juge limité.

91 de 245 - 07/6/2016 08:29
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shell Capital markets day 2016: Re-shaping Shell

07/06/2016 6:00am

UK Regulatory (RNS & others)


 
TIDMRDSA TIDMRDSB

Capital markets day 2016: Re-shaping Shell to create a world class investment
case

* Responding to the changing landscape by re-shaping Shell

* Setting out an agenda for 2020 and beyond: grow free cash flow per share
and returns

* Taking action to manage the down-cycle: delivering on lower costs, lower
and more predictable spending, asset sales and profitable new projects

* BG synergies target updated: expectation to deliver $4.5 billion in 2018

* Go ahead given for new Pennsylvania chemicals development. Chemicals and
deep water are now Shell's growth priorities

* New energies established to develop commercial opportunities in the energy
transition

* Potential for $20-25 billion organic free cash flow and 10% ROACE around
end of decade, in a $60 oil price environment

London, June 7, 2016 - Shell Chief Executive Officer, Ben van Beurden, today
provided an update on the company's strategy, that sets a clear course for
stronger returns and free cash flow.

Setting his remarks in the context of a volatile industry backdrop, van Beurden
said: "I see important opportunities for Shell from the substantial and lasting
changes underway in the energy sector.

We expect to see robust demand for oil and gas for decades to come, in a global
energy system in a long-term transition to lower carbon fuels. As well as low
oil prices today, we are seeing higher levels of price volatility, due to
geopolitical change, the speed of information flows, and the pace of innovation
in our sector.

By capping our capital spending in the period to 2020, investing in compelling
projects, driving down costs and selling non-core positions, we can reshape
Shell into a more focussed and more resilient company, with better returns and
growing free cash flow per share.

All of this is underpinned by an unrelenting focus on safe and
environmentally-responsible operational performance, high quality and
commercial project execution and prudent financial management of the company."

Turning to the recent acquisition of BG, van Beurden said: "The BG deal is an
opportunity to accelerate the re-shaping of Shell. Integration is gathering
pace, and today we expect to deliver more synergies, and at a faster rate."

We are announcing an increase in expected deal-related synergies, from the $3.5
billion set out in the prospectus, to $4.5 billion on a pre-tax basis in 2018,
an increase of some 30%. We expect to achieve and exceed the $3.5 billion
synergies prospectus commitment earlier than expected, in 2017, when synergies
should be $4 billion. Our other deal-related financial commitments to
shareholders in the form of asset sales, debt reduction, and dividends,
followed by share buy-backs, are unchanged.

Van Beurden added: "With our continued strong focus on returns and growth in
free cash flow per share I want to create a world-class investment case for
Shell shareholders."

Van Beurden went on to set out Shell's portfolio priorities, which have been
revised to drive an improvement in returns and free cash flow. Van Beurden
defined three categories that play out across different time scales:

Cash engines: conventional oil and gas, integrated gas, oil sands mining, and
oil products

* Cash engines are stable businesses, which underpin the financial delivery
of the company today. They should have strong and resilient returns and
free cash flow, to fund dividends and the balance sheet well into the next
decade and beyond.

* We continue to invest in selective growth opportunities in these
businesses, at a level that enables positive free cash flow throughout the
macro cycle. Through-cycle returns here should be attractive and
competitive.

* Integrated gas, which was previously a growth priority for Shell, has
reached critical mass following the BG acquisition and planned growth in
liquefied natural gas (LNG), particularly in Australia. The pace of new
investment will slow here, and integrated gas will now prioritise the
generation of free cash flow and returns.

Growth priorities: deep water and chemicals

* Shell has advantaged positions and affordable growth plans here, which
should create a pathway to improved returns and material free cash flow
from around 2020, as these businesses become new cash engines.

* We give priority to growth projects in these businesses, such that free
cash flow may be negative at the lower end of the cycle. Returns should
improve over the next 3-5 years.

* Brazil and the Gulf of Mexico represent the best real estate in global deep
water. We are developing competitive projects here based on this advantaged
acreage. Shell's deep-water production could double, to some 900 thousand
barrels of oil equivalent per day (kboed) in 2020, compared with 450 kboed
in 2015.

* In Chemicals, the company already has brownfield growth projects underway
on the US Gulf Coast and in China. Today we are announcing the final
investment decision on a new, 1.5 million tonnes per annum (mtpa) cracker
and polyethylene plant in Pennsylvania, USA, which will use natural gas
from shales production as its feedstock. Once these projects are on stream,
early in the next decade, Shell's ethylene capacity should reach around 8
mtpa, compared with 6.2 mtpa today.

Future opportunities: shales and new energies

* These businesses are expected to become significant growth priorities for
Shell beyond 2020 as we establish clear pathways to profitability. They are
themes with material value and upside potential to deliver returns for
Shell shareholders.

* Investment here remains relatively low, focused on current positions and
identifying potential opportunities. Free cash flow will likely be
negative, and returns low, for some time. Capital employed here is
constrained until attractive opportunities are developed.

* In shales, Shell's restructured portfolio is focused on North America and
Argentina, with substantial long-term growth potential.

* In new energies, there is potential for Shell to achieve material scale and
profitability. As the energy transition unfolds, we intend to establish a
portfolio to build on our established strengths in low-carbon biofuels,
hydrogen and smart customer solutions; as well as in solar and wind. Many
of these activities complement the company's natural gas strategy today.

Overall, Shell's focus is on re-shaping the company. We will retain the most
competitive and resilient positions, through targeted investment, and
substantial asset sales. This is a value-driven, not time-driven, divestment
programme; and an integral element of Shell's portfolio improvement plan.

Updating our financial outlook

Following the BG acquisition, and as expected, Shell's balance sheet gearing
increased to 26% at the end of Q1 2016 from 14% at the end of 2015.

Shell's priorities for cash flow, as announced with the BG acquisition, are
unchanged: 1) reduce debt, 2) pay dividends, and 3) a balance between capital
investment and share buy-backs.

Our free cash flow is being reduced due to low oil prices, and this could
continue for some time. In response, Shell is pulling four levers to manage the
financial framework in the down-cycle.

* Capital investment will be in the range of $25-$30 billion each year to
2020, as we improve capital efficiency and ensure a more predictable
development funnel for new projects. Investment for 2016 is expected to be
$29 billion, excluding the purchase price of BG, some 35% lower than the
pro-forma Shell-plus-BG level in 2014. In the prevailing low oil price
environment we will continue to drive capital spending down towards the
bottom end of this range; or even lower if needed. In a higher oil price
future we intend to cap our spending at the top end of the range.

* New project start-ups since end-2014 should contribute some $10 billion of
annual cash flow by 2018*. Investment delivers new, profitable projects for
shareholders.

* Programmes to sustainably reduce operating costs are in place across the
company; we expect to reach a run-rate of $40 billion of underlying
operating costs at the end of 2016, some 20% lower than the 2014 pro-forma
level for Shell-plus-BG with potential for further cost reduction.

* Asset sales, as planned, are expected to be $30 billion for 2016-18. We
have earmarked up to 10% of Shell's oil and gas production, including 5 to
10 country exits, for disposal. We expect to make significant progress on
the first $6-8 billion of this programme in 2016.

As a result of Shell's portfolio development and investment, we expect to see
an improvement in returns in the next few years, our debt reduced, and
significant growth in free cash flow, across a range of oil prices. For
example, organic free cash flow could reach $20-$25 billion and return on
capital employed some 10% around the end of the decade, assuming $60 oil
prices. This compares to 2013-15 averages of $12 billion and 8% with average
$90 oil prices.

Van Beurden concluded: "Our strategy should lead to a simpler company, with
fundamentally advantaged positions, and fundamentally lower capital intensity.
Today, we are setting out a transformation of Shell."

Ends
92 de 245 - 07/6/2016 09:01
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell 'A' (NYSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 7 Juin 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell

Le géant pétrolier anglo-néerlandais Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a
augmenté mardi le montant des synergies qu'il prévoit de dégager grâce à
sa fusion avec BG Group.



Shell, qui a bouclé en début
d'année l'acquisition de BG Group pour environ 50 milliards de dollars,
compte désormais réaliser 4,5 milliards de dollars de synergies avant
impôts en 2018, contre un montant de 2,5 milliards de dollars anticipé
précédemment.



Shell a par ailleurs confirmé son objectif de céder pour 30 milliards de dollars d'actifs entre 2016 et 2018.





-Rory Gallivan, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



June 07, 2016 02:38 ET (06:38 GMT)

93 de 245 - 07/6/2016 11:38
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shella (EU:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 7 Juin 2016

Plus de graphiques de la Bourse Royal Dutch Shella

(CercleFinance.com) - Pour la première journée investisseurs depuis que

son 'mariage' avec BG Group est effectif, la plus importante 'major'

pétro-gazière d'Europe par sa capitalisation, Royal Dutch Shell, a

notamment relevé l'objectif de synergies issues et de fusion. Tout en

mettant aussi l'accent sur les économies, la réduction des

investissements et la génération de cash, même si le cours du brut a

presque doublé depuis la fin du mois de janvier dernier.



A la

Bourse d'Amsterdam, l'action Shell de classe A tient la tête des plus

fortes hausses de l'indice AEX 25 en s'adjugeant près de 3% à 22,6

euros.



C'est le 15 février dernier que la fusion de Shell avec

son concurrent britannique très présent dans le gaz, BG Group, a pris

effet. Il s'agissait d'une opération majeure à plus de 50 milliards de

dollars. Le directeur général du groupe anglo-néerlandais, Ben van

Beurden, s'en montre très satisfait ce matin : 'l'intégration accélère

et les synergies devraient s'avérer plus importantes que prévu, le tout à

un rythme plus rapide', a-t-il déclaré.



De ce fait, l'objectif

de synergies (avant impôts) entre Shell et BG à horizon 2018 a été

relevé de presque 30%, en passant de 3,5 à 4,5 milliards de dollars

environ. De plus, les synergies de 4 milliards devraient être atteintes

dès 2017, soit plus tôt que prévu.



Au-delà de BG, Shell est

également revenu sur sa stratégie à horizon 2020 visant à redéfinir les

contours du groupe - ce dont l'acquisition de BG fait partie - dans un

environnement devenu plus volatil et plus incertain pour l'industrie

pétrolière. Parmi les maîtres mots toujours à l'honneur : davantage de

croissance, des coûts moindres, et une sensibilité particulière à la

génération de trésorerie.



Parmi les objectifs annoncés en vue de

2020, l'enveloppe annuelle consacrée aux investissements s'annonce

entre 25 et 30 milliards de dollars. Pour 2016, ce chiffre est de

nouveau écrêté à 29 milliards, chiffre inférieur de 35% aux budgets

combinés proforma de Shell et de BG de 2014. Shell indique que

l'environnement actuel de prix bas milite en faveur d'une réduction

tendancielle des investissements, et que le bas de cette fourchette

annuelle pourrait même être 'crevé' si la situation venait à l'exiger.



De plus, les programmes de réduction des coûts opérationnels se poursuivent, de même que les cessions d'actifs.



Notons que toutes ces prévisions sont formulées en tenant compte d'un prix du Brent de 60 dollars à horizon 2020.



EG

94 de 245 - 07/6/2016 12:44
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell 'A' (NYSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 7 Juin 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell

L'action Royal Dutch Shell (RDSA.LN) surperforme l'indice FTSE 100,
avec une hausse de 2,4% à 1.754 pence, après l'annonce de l'augmentation
de l'objectif d'économies liées à l'acquisition de BG Group. Shell
compte à présent économiser 4,5 milliards de dollars d'ici à 2020,
contre un précédent objectif de 3,5 milliards de dollars. Cet objectif
paraît raisonnable, affirme un analyste, en ajoutant que Shell a
désormais eu le temps d'analyser BG de plus près et d'évaluer plus
précisément le potentiel de synergies. L'analyste indique que la
volatilité du marché pétrolier devrait affecter la capacité de Shell à
réaliser ces économies, les cours du pétrole étant temporairement
gonflés par des événements extraordinaires comme des opérations de
sabotage au Nigeria et les incendies survenus au Canada. Les cours
devraient néanmoins finir par se stabiliser, estime l'analyste.





-David Hodari, Dow Jones Newswires (Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



June 07, 2016 05:34 ET (09:34 GMT)

95 de 245 - 07/6/2016 17:31
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

Chart of the Day: Royal Dutch Shell

By Zak Mir 07 June 2016

Chart of the Day: Royal Dutch Shell

Royal Dutch Shell (RDSB): BG: Too Big to Swallow?

There
were some siren voices who suggested that Royal Dutch Shell’s move on
BG Group was akin to that of RBS going for ABN Amro just before the
financial crisis. This was especially so on the basis that the deal was
signed just before the painful decline for Crude Oil towards $25 from
over $100 a couple of years back. However, there are a couple of
differences between (Sir) Fred Goodwin’s faux pas and the move by Shell.
This is primarily because it is one of the most cash rich oil companies
around, and in BG Group it had picked on a company which had
essentially gone as far as it could go without being a genuine
multinational giant – or of course being snapped up by one. I have to
confess that well before the move was tabled I was thinking that BG
really needed to be put out of its misery as a go it alone play.

In
fact, the charting position of Royal Dutch Shell illustrates quite well
how the market has been attempting to digest not only BG / Shell, but
also the decline and rebound for Crude Oil after the beginning of the
year, and the China bear trap in January / February. But what can be
said now at least, is that provided there is no end of day close back
below the 200 day moving average at 1,635p the upside here should be as
high as the December resistance line projection at 1,950p over the next
1-2 months.

Shell chart

96 de 245 - 08/6/2016 19:08
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Ryl Dtch Shl (NYSE:RDS.A)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mercredi 8 Juin 2016

Plus de graphiques de la Bourse Ryl Dtch Shl

L'opposition en Argentine dénonce un conflit d'intérêts après avoir
découvert que le ministre de l'Energie est également actionnaire de la
compagnie pétrolière Shell, dont il a dirigé la filiale dans le pays
sud-américain.



Dans le quotidien La Nacion, des
porte-parole du ministre Juan José Aranguren estimaient toutefois
mercredi qu'il n'y a "pas d'incompatibilité" entre la fonction et la
détention du paquet d'actions, estimé à un million d'euros.



Shell est un acteur important en Argentine dans le raffinage et la distribution de carburants.




Un procureur, Carlos Stornelli, a ouvert une enquête à la suite d'une
plainte déposée par deux députés du Front pour la victoire (FPV, gauche)
de l'ex-présidente Cristina Kirchner (2007-2015).



Les
parlementaires Martin Doñate et Rodolfo Tailhade ont porté plainte
vendredi dernier contre le ministre, estimant qu'il y a un conflit
d'intérêts entre "la mission d'un fonctionnaire (dans le secteur de
l'Energie) et la condition d'actionnaire de Shell".




Dans sa déclaration de patrimoine, le ministre de l'Energie et des Mines
a déclaré un patrimoine de 80 millions de pesos (5 millions d'euros),
dont 16 millions en actions de la société Shell, et des comptes aux
Etats-Unis et aux Pays-Bas.



Juan José Aranguren a
dirigé la filiale argentine du groupe anglo-néerlandais de 2003 à
décembre 2015, quand il a été appelé au gouvernement par le président de
centre-droit Mauricio Macri, qui a pris ses fonctions en décembre. Il
était entré dans cette entreprise en 1979.





(END) Dow Jones Newswires



June 08, 2016 12:25 ET (16:25 GMT)

97 de 245 - 17/6/2016 22:17
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Les "majors" cèdent les petites raffineries et assurent leurs marges

Reuters le 17/06/2016 à 11:00

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http://www.boursorama.com/actualites/les-majors-cedent-les-petites-raffineries-et-assurent-leurs-marges-660ab79b7883828a4821b617e8147d09&via=Boursorama&related=boursorama">

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    par Jessica Resnick-Ault 
NEW YORK, 17 juin (Reuters) - Chevron CVX.N et Royal Dutch
Shell RDSa.L mettent en vente de petites raffineries,
réduisant leurs actifs à faible marge dans un contexte de
remontée des cours pétroliers.
Chevron, le deuxième pétrolier américain, a dit à Reuters
qu'il cédait sa raffinerie de Burnaby (Colombie britannique)
ainsi que des stations service, tandis que Shell recherche un
acheteur pour sa raffinerie californienne de Martinez, selon
deux sources au fait du dossier. Shell s'est abstenu de tout
commentaire.
Chevron, Shell, BP BP.L et Exxon Mobil XOM.N ont vendu
ces trois dernières années des capacités de raffinage
américaines représentant plus d'un million de barils par jour
(bpj), selon le consultant Stratas Advisors.
Les cinq premières "majors" mondiales disposent encore de
suffisamment de capacités aux Etats-Unis pour raffiner autour de
4,7 millions bpj.
Les marges de raffinage ont culminé en 2015 mais elles se
sont dégradées depuis. Avec la remontée des cours du brut, le
prix de revient du pétrole va augmenter pour les raffineurs qui
craignent que les prix à la pompe ne suivent pas le même rythme.
Vendre les raffineries tant que les marges restent
suffisamment élevées est un moyen pour les majors de sortir la
tête haute sans affaiblir leur bilan.
Chevron a également dit à Reuters qu'il avait fait appel à
Rothschild pour placer sa participation de 75% dans une
raffinerie sud-africaine. La cinquième major, Total TOTF.PA , a
engagé Lazard pour vendre une participation de 50% dans sa seule
raffinerie aux Etats-Unis mais il n'a pu récolter le prix qu'il
demandait, selon des sources.
Le raffinage est resté un segment rentable durant les deux
années difficiles qu'a connu le marché pétrolier et les sites
peuvent donc se vendre à un prix relativement élevé, supérieurs
à ceux des actifs de prospection et de production.
Dans l'intervalle, Shell et Chevron investissent ailleurs.
Shell a mis sur la table 53 milliards de dollars pour racheter
BG Group cette année, tandis que Chevron investit massivement
dans de grands projets de gaz naturel liquéfié (GNL).

"Une bonne partie des actifs que les poids lourds vendent
sont en aval (downstream) et en milieu de parcours (midstream)
parce qu'ils sont recherchés par les fonds de capital
investissement et d'autres car ils procurent un cash flow plus
stable", observe Lysle Brinker, d'IHS Energy.
Ces actifs pourraient être employés au mieux par des entités
qui se spécialisent dans une région en particulier, par exemple
la côte nord-ouest américaine, ou centrées sur le stockage et le
négoce et non sur la production.
Les majors conserveront les grands sites de raffinage
rentables et bien intégrés à leur activité de production et
vendront les autres, estime Brinker.
La stratégie de Chevron repose ainsi sur de grandes
raffineries qui peuvent servir à la fois les Etats-Unis et
l'Asie et sur des sites pétrochimiques aux produits très
rentables.
La raffinerie de Burnaby traite du brut léger plutôt que les
hydrocarbures lourds des sables bitumineux canadiens et ses
produits sont écoulés dans une région se limitant au pourtour de
la Colombie britannique et s'étendant plus bas via l'Etat de
Washington.
Toujours dans le secteur du raffinage, mais au Japon cette
fois-ci, Idemitsu Kosan 5019.T fusionnera le 1er avril 2017
avec son concurrent plus petit Showa Shell Sekiyu 5002.T . Les
deuxième et cinquième raffineurs nippons créeront ainsi le
numéro deux japonais du secteur.
Idemitsu espère recevoir d'ici la fin juin l'autorisation de
la Fair Trade Commission japonaise pour racheter à Shell sa
participation d'un tiers dans Showa Shell.
Les deux raffineurs ensemble contrôlent 28% environ du
raffinage au Japon, derrière JX Holdings 5020.T , qui a 35% du
marché et qui doit fusionner en avril 2017 également avec
TonenGeneral Sekiyu 5012.T .


(avec Ron Bousso et Osamu Tsukimori, Wilfrid Exbrayat pour le
service français, édité par Marc Joanny)
98 de 245 - 02/7/2016 17:53
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002


(CercleFinance.com) - Morgan Stanley a ramené jeudi sa recommandation
sur Total de 'surpondérer' à 'pondérer en ligne', conseillant aux
investisseurs d'arbitrer en faveur de Shell et BP. Son objectif de cours
reste de 49 euros.

L'intermédiaire, qui rappelle qu'il affichait
une opinion positive sur Total depuis la mi-2013, dévoile aujourd'hui un
'nouvel ordre de préférence' au sein du secteur.

'Nous
considérons les grandes majors pétrolières comme des dossiers
relativement attrayants', explique-t-il. 'Leurs coûts diminuent
rapidement, le marché pétrolier s'améliore tandis que leurs rendements
restent à des niveaux historiquement hauts', souligne-t-il.

'Par
ailleurs, le Brexit ne semble pas constituer une menace significative
pour leurs résultats et leur trésorerie', ajoute le professionnel.

Concernant
Total, Morgan Stanley pointe néanmoins une surperformance
'substantielle' au cours des dernières années et un rendement qui
apparaît désormais 'beaucoup plus tendu' à 5,9%.

99 de 245 - 07/7/2016 13:52
waldron Messages postés: 9806 - Membre depuis: 17/9/2002

(CercleFinance.com) - Dans le cadre d'une note sectorielle sur les 'majors' pétro-gazières, UBS (London: 0QNR.L - actualité) a notamment fait le point sur le géant anglo-néerlandais Royal Dutch Shell (Xetra: A0ET6Q - actualité)

, qui reste sa valeur préférée en Europe. Principal argument mis en

avant : la génération de trésorerie du groupe. Le conseil d'achat est

donc confirmé.



Les analystes estiment en effet que 'le marché

pétrolier semble avoir atteint son point bas au 1er trimestre 2016', le

cours du Brent ayant rebondi fin janvier sur les 27 dollars pour

remonter aux environs de 50 dollars à ce jour.



De fait, ?le

rééquilibrage du marché de l'or noir est en marche?, estime UBS, puisque

l'offre excédentaire, qui atteignait 2,5 millions de barils/jour au 2e

trimestre 2015, est revenue à ce jour à 700.000 barils/jour seulement.

Et que l'équilibre est attendu pour la fin du 3e trimestre de l'année en

cours.



UBS a donc relevé son estimation du prix moyen du Brent

pour 2016 de 42 à 46 dollars, ainsi que de 55 à 60 dollars pour 2017

avant 70 dollars en 2018 (inchangé).



A ce jour, calcule UBS, les

cours des majors factorisent un prix à terme du baril de l'ordre de 59

dollars. Autant dire qu'il reste encore du chemin à parcourir, mais

aussi que les 100 dollars restent hors de portée.



Dans ces

conditions, UBS privilégie les valeurs qui ont le plus adapté leur

stratégie et leur base de coûts aux nouvelles conditions de marché. En

effet, le 'distingo' entre les majors se fait surtout, pour le moment,

sur leur capacité à délivrer des cash flows élevés. C'est pour cette

raison que Shell (London: RDSB.L - actualité) reste leur valeur préférée des analystes dans le secteur, avec BP et Eni (London: 0N9S.L - actualité) .

100 de 245 - 08/7/2016 16:08
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(CercleFinance.com) - Suite à une rencontre avec la direction du géant

énergétique anglo-néerlandais, Oddo confirme sa recommandation 'achat'

et relève son objectif de cours de 1950 à 2250 pence sur Royal Dutch

Shell (Xetra: A0ET6Q - actualité) , qui reste une de ses valeurs préférées avec Eni (London: 0N9S.L - actualité) .



Le

bureau d'études explique prendre en compte un niveau de dépenses

d'investissement inférieur à ses précédentes hypothèses (et ce en ligne

avec la moyenne de la guidance du groupe de 25-30 milliards de dollars

annoncée le 7 juin) et un effet de change livre-dollar.



L'analyste

met en avant une valorisation attractive, un rendement du dividende de

6,8% qui devrait être largement couvert par le rendement de free

cash-flow de 8,2% en 2018 et un point mort en termes de cash qui va

baisser à moins de 50 dollars le baril.



'La stratégie du groupe

est convaincante, reste à délivrer au niveau de l'exécution en vue de

réduire le ratio d'endettement à 20% (26,1% au premier trimestre 2016)

en 2018', prévient-il.



D'après les estimations d'Oddo, ce sera le

point de départ de l'arrêt du script dividende et l'initiation du

programme de rachat d'actions de 25 milliards de dollars.

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Titres Discutés
EU:RDSB 22.75 0.0%
Indices Mondiaux
Australia 0.8%
Brazil 0.3%
Canada 0.3%
France 0.0%
Germany 0.1%
Greece 0.4%
Holland 0.3%
Italy 0.0%
Portugal 0.1%
US (DowJones) 0.1%
US (NASDAQ) -0.1%
United Kingdom 0.3%
Palmarès Hausse (%)
EU:OXUR 0.00 100.0%
EU:MLSTR 14.00 75.0%
EU:VACBT 0.30 50.0%
EU:CHSR 9.70 42.6%
EU:MLFTI 0.05 38.9%
EU:NXFIL 4.29 28.1%
EU:RAL 0.09 25.7%
EU:ALBOO 0.00 25.0%
EU:ALFLO 3.88 21.3%
EU:BUI 8.70 20.8%