LAVAL, QC, le 14 déc. 2017 /CNW
Telbec/ - Bien que les marchés des maisons unifamiliales et
des condos unifamiliaux ont évolué différemment dans les deux
régions les plus populeuses du Québec, on peut dire que Montréal et
Québec ont connu une année positive dans l'immobilier résidentiel
en 2017. C'est ce qui ressort des Perspectives immobilières 2018
rendues publiques aujourd'hui par RE/MAX. En plus de confirmer les
données récemment rendues publiques par la Fédération des chambres
immobilières du Québec, le rapport annuel de RE/MAX apporte un
éclairage intéressant sur les motivations des acheteurs dans le
marché actuel, pouvant ainsi expliquer dans une certaine mesure,
les résultats observés sur le terrain.
Alors que tant le nombre de ventes (+ 3 %) que le prix de vente
moyen de propriétés de tous types ont connu une hausse dans la
Métropole, les plus récentes données disponibles révèlent que la
Capitale nationale a aussi connu une augmentation, de l'ordre de 2
%, du nombre de ventes au courant de l'année qui se termine. Le
prix de vente y est par ailleurs demeuré stable.
Autre constat intéressant qui ressort du coup de sonde de
RE/MAX, tant le marché de Québec que celui de Montréal trouvent
preneurs pour des propriétés situées à proximité des espaces verts,
des commodités publiques et de leur lieu de travail.
« Avec des milieux de vie urbains qui s'embellissent et qui font
plus de place à des espaces verts, des pistes cyclables et des
lieux de loisir où tous peuvent relaxer ainsi que l'accès à un
réseau de transport en commun, il n'est pas surprenant de voir les
préférences des acheteurs varier, qu'il s'agit de milléniaux avec
ou sans enfants, de baby-boomers ou d'investisseurs plus
aisés dont plusieurs proviennent de l'étranger » a commenté
Sylvain Dansereau, vice-président
exécutif de RE/MAX Québec.
Le sondage Léger mené auprès des consommateurs confirme cette
tendance alors que près de neuf répondants sur dix ont fait état de
l'importance pour eux de vivre à proximité d'espaces verts. La même
proportion des répondants de Québec et de Montréal ont fait valoir
que l'accès aux commodités publiques avait autant de valeur à leurs
yeux quand vient le temps de prendre la décision d'acheter une
propriété. L'omnibus a aussi confirmé que deux Montréalais sur
trois cherchent à rapprocher leur domicile de leur lieu de travail
alors que les trois quarts trouvent important que leur domicile
soit desservi par un réseau de transport en commun. Étant donné le
nombre de travaux routiers grandissant dans la grande région de
Montréal et les nombreux embouteillages qui en découlent, ce
constat n'étonnera personne. Pour la région de Québec, ce
sont deux acheteurs sur trois qui cherchent un domicile
proche de leur lieu de travail alors qu'un peu plus de la moitié
souhaitent avoir accès facilement à du transport en
commun.
Dans la ville de Québec, les acheteurs semblent se tourner
davantage vers des propriétés de petite taille, plus récentes,
faciles à entretenir et situées dans des quartiers donnant accès
aux commodités publiques. Ce choix s'explique probablement du
fait que les cellules familiales dans la région évoluent
différemment par rapport à celles de la région de Montréal, les
résidents de Québec optant davantage pour un changement
d'environnement que pour l'achat de propriétés d'un cran supérieur.
En somme, la population de Québec semble favoriser le critère de la
qualité de vie à celui de la superficie habitable.
À l'autre extrémité de la route 20, la confiance des
consommateurs a atteint son plus haut niveau en 10 ans,
principalement en raison des faibles taux d'intérêt, de la solidité
de l'économie locale et de la stabilité politique de la région. Les
courtiers de RE/MAX de la région
montréalaise observent que des propriétés bien entretenues, dont
les prix sont correctement établis, et mises sur le marché de façon
professionnelle, se vendent rapidement peu importe le quartier ou
le type de propriété. Dans cette optique, le marché devrait
demeurer favorable aux vendeurs en 2018, notamment en raison de
l'offre réduite et d'une forte demande. Il est donc à prévoir que
les prix de vente devraient continuer à connaître une hausse en
2018.
Par ailleurs, les acheteurs étrangers, notamment ceux de l'Asie,
devraient continuer d'alimenter la demande en immobilier au sein du
marché montréalais en 2018. En effet, les nouvelles routes
aériennes directes sur la « Métropole » et les taxes imposées
aux acheteurs à Toronto et
Vancouver font de Montréal une
solution de rechange de plus en plus attrayante pour les acheteurs
étrangers.
Questionnés sur les nouvelles règles portant sur la
qualification hypothécaire du Bureau fédéral du surintendant des
institutions financières (BSIF), prévues pour entrer en vigueur le
1er janvier 2018, moins de la moitié des Québécois interrogés ont
dit connaître l'existence de ces règles. Parmi ceux-ci, seulement
un sur cinq a indiqué que ces nouvelles règles pourraient avoir un
impact sur leur décision d'investir dans une propriété dans un
futur rapproché.
Pour consulter la version française du rapport sur les
Perspectives immobilières 2018 de RE/MAX, veuillez cliquer ici.
Tableau de données
Prix de vente
moyen des habitations de 2014 à 2017 et aperçu 2018
|
|
2018
(prévision $)
|
2018
(prévision %)
|
2017
(estimation)
|
2016
|
2016/2017
% écart
|
2015
|
2014
|
Grand
Montréal
|
390 832 $
|
7,00 %
|
365 264 $
|
349 703 $
|
4 %
|
337 263 $
|
311 057 $
|
Ville de
Québec
|
267 427 $
|
1,00 %
|
264 779 $
|
265 048 $
|
0 %
|
265 204 $
|
264 589 $
|
Grand
Toronto
|
825 425 $
|
-1,00 %
|
833 763 $
|
729 922 $
|
14 %
|
622 217 $
|
566 626 $
|
Grand
Vancouver
|
1 092 679
$
|
6,00 %
|
1 030 829
$
|
1 017 227$
|
1 %
|
902 801 $
|
812 652 $
|
*Les données pour l'ensemble du Canada sont accessibles (en anglais
seulement) ici.
À propos du réseau RE/MAX :
RE/MAX a été fondée en 1973 par Dave et Gail Liniger dans un esprit novateur et
entrepreneurial, offrant à ses courtiers et franchisés la
flexibilité de gérer leurs affaires avec une grande indépendance.
Regroupant plus de 115 000 courtiers, la portée de RE/MAX s'étend
dans plus de 100 pays et territoires. RE/MAX constitue la plus
importante société immobilière au Canada, comptant environ 21 000 associés aux
ventes et 922 franchises exploitées de façon indépendante d'un bout
à l'autre du pays. RE/MAX, S.A.R.L., franchiseur de services de
courtage immobilier de premier plan à l'échelle mondiale, est une
filiale en propriété exclusive de RMCO, S.A.R.L., une société gérée
et contrôlée par RE/MAX Holdings, Inc. (NYSE:RMAX). Se dévouant
pour les collectivités au sein desquelles ses courtiers vivent et
travaillent, RE/MAX est fière d'avoir amassé plus de 150 millions
de dollars pour les hôpitaux du réseau Children's Miracle Network®
et d'autres œuvres caritatives. Pour en savoir plus sur RE/MAX, ou
pour trouver une maison ou un courtier dans votre région, veuillez
visiter le site internet de RE/MAX.
À propos de RE/MAX au Québec
Avec près de 3 700 courtiers répartis dans 145 agences, RE/MAX
met à votre disposition la plus importante force de vente en
immobilier au Québec. Les courtiers RE/MAX représentent 20 % de
l'ensemble des courtiers immobiliers au Québec et détiennent 40 %
des parts de marché. Visitez RE/MAX Québec pour de plus amples
renseignements.
Depuis 30 ans, les franchisés et courtiers de même que le
personnel de soutien de RE/MAX Québec soutiennent Opération
Enfant Soleil, un organisme sans but
lucratif recueillant des fonds pour aider les enfants malades de la
province. En 2017, l'entreprise a amassé 1,1 million de dollars ce
qui en fait une entreprise Enfant Soleil DIAMANT. Depuis 1988,
RE/MAX Québec a récolté 22,6 millions de dollars pour le
perfectionnement des soins pédiatriques offerts aux enfants du
Québec.
À propos de Léger
Léger est la plus importante société canadienne offrant des
services complets d'études de marché. Le sondage réalisé auprès de
1 560 Canadiens a été effectué en ligne du 13 au 16 novembre 2017
au moyen de la plateforme en ligne de Léger, LegerWeb. Le panel en
ligne de Léger comporte 475 000 membres à l'échelle nationale,
auxquels s'ajoutent de 10 000 à 20 000 membres chaque mois, et
profite d'un taux de rétention de 90 %. Un échantillon probabiliste
de même taille aurait une marge d'erreur d'environ 2,5 %, 19 fois
sur 20.
Énoncés prospectifs
Ce rapport comprend des « énoncés prospectifs » au sens des
dispositions « refuges » de la Private Securities Litigation
Reform Act de 1995 des États-Unis. Les énoncés prospectifs sont
souvent identifiés par l'utilisation de mots comme « anticiper », «
croire », « avoir l'intention de », « s'attendre à », « estimer »,
« planifier », « aperçu », « prédire » et d'autres mots et
expressions semblables prévoyant ou indiquant des événements ou
tendances futurs qui n'expriment pas de faits historiques. Les
présents énoncés prospectifs comprennent des déclarations relatives
au nombre d'agents, au chiffre d'affaires des franchises, aux
revenus et aux frais d'exploitation, aux perspectives financières
et opérationnelles de l'entreprise, aux dividendes, aux mesures
financières non définies par les PCGR, au rendement futur du marché
de l'immobilier ainsi que d'autres déclarations relatives à la
planification stratégique et opérationnelle de l'entreprise. Les
énoncés prospectifs ne devraient pas être perçus comme une garantie
de rendement ou de résultats futurs, et il ne sera pas
nécessairement possible d'obtenir dans les délais prévus de tels
résultats ou rendements. Les énoncés prospectifs ont été rédigés en
fonction des renseignements disponibles au moment de la rédaction
ou selon la bonne foi de la direction, selon les événements jugés
probables au moment de la rédaction, et sont conditionnels à
certains risques et incertitudes qui pourraient faire en sorte que
le rendement ou les résultats réels diffèrent de ce qui est
véhiculé ou suggéré dans les énoncés prospectifs. Ces risques et
incertitudes comprennent, sans s'y limiter, (1) les changements
dans les affaires et l'activité économique en général, (2) les
changements au sein du marché immobilier, y compris les changements
liés aux taux d'intérêt et à l'accessibilité au financement, (3) la
capacité de l'entreprise à attirer et conserver des franchisés de
qualité, (4) la capacité des franchisés de l'entreprise à recruter
et fidéliser des courtiers, (5) les changements aux lois et
règlements, (6) la capacité de l'entreprise à maintenir, protéger
et promouvoir les marques RE/MAX et Motto Mortgage, (7) les
fluctuations des taux de change, ainsi que les risques décrits aux
sections « Facteurs de risque » (Risk Factors) et « Discussion et
analyse de la situation financière et des résultats d'exploitation
par les membres de la direction » (Management's Discussion and
Analysis of Financial Condition and Results of Operation) dans
la plus récente version du rapport annuel du formulaire 10-K déposé
auprès de la Securities and Exchange Commission (« SEC »)
ainsi que des divulgations similaires contenues dans les rapports
périodiques et courants ultérieurs déposés auprès de la SEC pouvant
être consultés sur la page consacrée aux relations avec les
investisseurs du site Web de l'entreprise au
http://www.remax.com/ et sur le site Web de la SEC au
www.sec.gov. Nous prévenons les lecteurs de ne pas se fier indûment
aux énoncés prospectifs du présent document, qui n'avaient une
valeur qu'au moment où ils ont été rédigés. Sauf si la loi l'exige,
l'entreprise n'a pas l'intention de mettre à jour ces
renseignements pour refléter des événements et circonstances à
venir, et ne s'engage nullement à le faire.
SOURCE RE/MAX