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Cop21

- 19/11/2015 17:16
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
investir.fr | Le 19/11/15 à 11:14
Sommaire
  • Les entreprises mobilisés par les enjeux de la COP21
  • Notre sélection d'industriels liés à la transition énergétique
  • Les investisseurs institutionnels doivent verdir pour éviter un scénario noir

Les industriels liés à la transition énergétique ainsi que les investisseurs se révèlent très motivés par la Conférence de Paris. Ils en attendent un cadre clair pour élaborer des stratégies souvent nouvelles.

Si vous pensiez échapper à la COP21 en lisant Investir, c’est raté. Nombre de sociétés cotées à Paris sont mobilisées pour le sommet qui va accueillir 40.000 personnes du 30 novembre au 11 décembre au Bourget. Et pas seulement parce que cette Conférence des Parties réunie sous l’égide des Nations unies permet à certains de ses partenaires de profiter de cette vitrine mondiale pour exposer leur savoir-faire : EDF s’est chargé de l’électricité, Engie a installé une chaudière au biogaz pour chauffer le site, Suez Environnement aura la haute main sur les déchets et Renault véhiculera les participants dans ses ZOE électriques.

Les représentants des 195 pays invités ne sont pas les seuls à espérer un accord pour limiter le réchauffement de la planète (à 2°C, en principe, par rapport à l’ère pré­industrielle), dans un contexte où les grands pollueurs adoptent des positions plus constructives, comme la Chine, qui avait contribué à faire échouer la conférence de Copenhague en 2009, ou le Canada, dont le tout nouveau Premier ministre fera le voyage à Paris quand son prédécesseur s’y refusait. Mais les Etats-Unis et la France divergent sur le caractère contraignant de l’accord. Washington y étant opposé et Paris favorable.

« Les lignes bougent beaucoup. Il y a une prise de conscience, on assiste à un changement structurel dans les comportements et dans les modèles économiques, constate Hélène Valade, directrice du développement durable de Suez Environnement. Les acteurs de la société civile et les entreprises s’impliquent. » Les secondes attendent avant tout « un cadre clair et durable dans lequel [elles vont] pouvoir mettre en pratique, dans le temps, [leurs] stratégies et investir », poursuit Hélène Valade, dont le groupe se focalise sur l’économie circulaire et la préservation des ressources en eau dans un climat plus chaud. Les industriels souhaitent ainsi « un accord ambitieux des Etats sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre pays par pays, que cela soit vérifiable et mesurable », précise Anne Chassagnette, directrice de la responsabilité environnementale d’Engie.

 

image: http://investir.lesechos.fr/medias/2015/11/19/1500695_1447937084_p18-cop21-2_304x142p.jpg

Les entreprises cotées et les financiers mobilisés par les enjeux de la COP21 Les entreprises cotées et les financiers mobilisés par les enjeux de la COP21 | Crédits photo : Investir

Fixer un prix au CO2

Autre point, un consensus se dégage sur la nécessité de fixer un prix au carbone, par des taxes ou par l’instauration d’un marché, afin de pénaliser les gros émetteurs et de favoriser les plus vertueux. Antoine Frérot, le PDG de Veolia, souhaitait déjà avant l’été un prix « robuste et prévisible », qu’il situait « au moins entre 30 € et 40 € la tonne », par rapport à un cours d’environ 8 € aujourd’hui. Pour Claude Nahon, directrice du développement durable d’EDF, « il faut revenir à un prix de 20 € à 30 € pour commencer, et beaucoup plus pour continuer ».

D’autres font appel au cabinet Carbone 4 comme Suez pour l’aider à établir des prix du CO2 dans six pays ou comme la société de gestion Mirova (chez Natixis) pour calculer l’empreinte carbone des entreprises présentes dans ses fonds pour l’investisseur. Car, le fait est nouveau, les financiers sont eux aussi très mobilisés par la transition énergétique. A double titre : premièrement, par le souhait de « décarboner » les portefeuilles, sachant qu’un petit 40 % des sociétés du MSCI World est responsable de 75 % des émissions de CO2 de l’indice, et, deuxièmement, par le financement, par les institutionnels, dont les assureurs-vie qui ont un horizon d’investissement très long, d’une partie des infrastructures en énergies renouvelables, par le biais de fonds dédiés ou d’obligations vertes. « Peu de secteurs ont autant besoin d’investissements, selon Raphaël Lance, directeur des énergies renouvelables chez Mirova, qui les estime à 170 milliards d’euros par an dans le monde. Il faut réorienter l’épargne vers ce secteur. » Cela soulagera aussi les industriels qui participent à la transition et à l’efficacité énergétique, par l’innovation et l’investissement dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et des déchets (que nous détaillons dans ce dossier), mais aussi du bâtiment, avec Saint-Gobain, Legrand et Schneider Electric.

Dossier réalisé par Cécile Le Coz et la rédaction d'Invetsir

En savoir plus sur http://investir.lesechos.fr/fonds-trackers/dossiers/les-entreprises-cotees-et-les-financiers-mobilises-par-les-enjeux-de-la-cop21/les-entreprises-cotees-et-les-financiers-mobilises-par-les-enjeux-de-la-cop21-1500695.php#7IdGWDsf3kjr9vfb.99


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21 de 26 - 03/5/2016 09:33
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

(CercleFinance.com) - GL events (London: 0IX0.L - actualité)

a annoncé mardi avoir décroché un contrat de 35 millions d'euros

portant sur l'aménagement d'espaces pour la COP22 qui se tiendra à

Marrakech en novembre prochain.



Dans le cadre du projet, GL

events a pris la tête d'un groupement constitué de Capital Events, une

agence évènementielle marocaine, d'Agence Publics, une agence de

communication, de Leni, une société informatique, et de Rahal pour la

restauration.



'Après Lima et Paris, GL events, groupe intégré des

métiers de l'évènementiel, montre ainsi sa capacité à accompagner les

gouvernements dans l'organisation des grands évènements planétaires

portant sur le climat', souligne le groupe dans un communiqué.



Sur Euronext Paris, l'action GL events a ouvert en hausse de 0,1% à 17,1 euros mardi matin.

22 de 26 - 17/5/2016 19:19
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

Les députés ratifient l'accord de la COP21

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Publié le 17/05/2016 à 19h07



Les députés ratifient l'accord de la COP21


Crédit photo © Reuters

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inRead invented by Teads

PARIS (Reuters) - Les députés français ont ratifié mardi à
la quasi-unanimité l'accord de Paris sur le climat, adopté le 12
décembre dernier lors de la Conférence des parties à la convention
climat (COP21).

Ce texte, qui jette les bases d'une maîtrise des
émissions de gaz à effet de serre à l'origine des dérèglements
climatiques, a reçu l'approbation de 195 pays et a été signé le 22 avril
à New York, au siège de l'Onu, par 175 pays.

La ministre de
l'Environnement, Ségolène Royal, qui préside la COP21 jusqu'à la
prochaine COP en novembre à Marrakech (Maroc), s'est dite satisfaite que
la France soit la première puissance industrielle et le premier pays
membre de l'UE à ratifier l'accord.

Tous les groupes de la
majorité comme de l'opposition ont voté pour. Seule Marion Maréchal-Le
Pen (non-inscrite, Front national) s'est abstenue.

Le Sénat, où la
droite est majoritaire, procédera le 8 juin au vote de ce projet de loi
autorisant la ratification de l'accord de Paris. La ratification par la
France sera alors effective.

Jusqu'ici, a précisé Ségolène Royal, 16 Etats, pour beaucoup de petites îles, ont ratifié l'accord.

(Emile Picy, édité par Sophie Louet)

23 de 26 - 02/9/2016 10:43
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

COP21, les États se hâtent lentement pour ratifier l’Accord de Paris

Olivier Cognasse

L'Usine de l'Energie , Environnement , Transition énergétique

Publié le 02/09/2016 À 07H50



Les retards pris par les principaux Etats dans la ratification de
l’Accord de Paris font naître une forte inquiétude, alors que le
réchauffement climatique exige des mesures fortes et rapides, bien
au-delà des engagements pris à Paris en 2015.


COP21, les États se hâtent lentement pour ratifier l’Accord de Paris




Conférence de la COP21, à Paris


© DR



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Les belles promesses du Bourget, en décembre dernier lors de la COP21, semblent bien lointaines. Même imparfait, L’Accord de Paris, avait
soulevé un réel enthousiasme, et présentait de réelles avancées pour
lutter contre le réchauffement climatique. Il doit être ratifié par au
moins 55% des pays représentant 55% des émissions de gaz à effet de
serre (GES). A ce jour, seuls 22 pays qui ne représentent qu’un peu plus
de 1% des GES ont signé…


L’ancien président de la COP21, Laurent Fabius - loué pour son talent
de négociateur avec sa sherpa, Laurence Tubiana -, craint que l’Accord
ne soit pas signé avant la fin de l’année. Dans les colonnes de notre
confrère le Monde, il fustigeait mardi 30 août, les "discours
rétrogrades" entendus dans certains pays comme les Philippines et les Etats-Unis et s’inquiétait de voir que les cinq principaux émetteurs de GES n’avaient pas encore ratifié l’Accord de Paris : Chine, Etats-Unis, Union européenne, Inde et Russie.


Or, l'Accord doit entrer en vigueur en 2020 pour limiter le
réchauffement en dessous de 2°C et il est vivement conseillé aux pays
les plus pollueurs de devancer cette date afin de mettre en place au
plus vite les moyens pour lutter contre les émissions de GES. Et ce
n’est pas en fermant ses usines pendant le sommet du G20 à Hangzhou que
la Chine va réduire durablement ses émissions…


Deux pays européens ont ratifié l’Accord


Le président de la République a également mis une pression
supplémentaire sur les Etats en rappelant devant les ambassadeurs
français, le 31 août dernier : "Nous avons un rendez-vous en
novembre à Marrakech (Maroc) et je m'y rendrai pour faire un point
d'avancement de toutes les initiatives qui ont été annoncées à Paris.
Mais la première urgence, c'est l'entrée en vigueur de l'accord avant la
fin de l'année et c'est loin d'être acquis."


François Hollande a insisté sur cette date limite : "Tous les pays
européens, je dis bien tous les pays européens, doivent ratifier cet
accord avant la fin de l'année. Je souhaite également qu’au G20, les
Etats-Unis et la Chine confirment leur volonté de ratifier. Mais pour
que nous puissions mobiliser toutes les bonnes volontés, une réunion
sera organisée le 21 septembre à l'Assemblée générale des Nations Unies
pour accélérer le processus."


La Chine et les Etats-Unis ont promis de ratifier l’accord avant la fin
de l’année et de faire une annonce au G20, où la fin des aides aux
énergies fossiles pourrait être actée. Mais, l’élection du candidat
Républicain, Donald Trump, en novembre pourrait changer la donne et
ouvrir une période de régression dont la planète aurait du mal à se
relever. En Europe, l’unanimité est loin d’être acquise. Les pays
consommateurs de charbon, Pologne en tête, ne semblent pas très
concernés par cet accord. Surtout, seule la France et la Hongrie ont fait voter par leur parlement l’Accord de Paris.


Olivier Cognasse

24 de 26 - 07/9/2016 14:29
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

par Emmanuel Jarry

PARIS (Reuters) - La ministre française de
l'Environnement, présidente de la COP21, a adressé aux chefs d'Etat et
de gouvernement de l'Union européenne un courrier les pressant
d'accélérer le processus de ratification de l'accord de Paris sur le
climat.

Jusqu'à présent, sur les 28 membres de l'UE, seules la
Hongrie, l'Autriche et la France ont ratifié cet accord universel conclu
en décembre 2015 à Paris, qui engage les signataires à réduire leurs
émissions de gaz à effet de serre pour contenir le réchauffement
climatique sous 2°C.

Pour que l'accord de Paris entre en vigueur,
il faut qu'il soit ratifié par au moins 55 pays représentant au moins
55% des émissions mondiales de GES.

A ce jour, seulement 26 Etats représentant 36% de ces émissions, dont la Chine et les Etats-Unis, l'ont fait.

"Je
sais que des procédures complexes entravent parfois le rythme de la
ratification", écrit Ségolène Royal dans sa lettre aux dirigeants des
Vingt-Huit, diffusée mercredi.

"Une volonté politique forte doit
pouvoir les surmonter", ajoute-t-elle. "C'est pourquoi je vous adresse
un appel pressant pour que, lors du sommet informel de Bratislava (...)
les dates de vos ratifications soient connues."

Cette rencontre
des dirigeants de l'UE sans représentant de Londres, prévue le 16
septembre dans la capitale slovaque, doit en principe être consacrée aux
suites du référendum britannique en faveur d'une sortie du Royaume-Uni
de l'UE.

Mais la France veut en profiter pour accélérer la
ratification de l'accord de Paris par l'UE et ses membres, afin que les
conditions de son entrée en vigueur soient réunies d'ici la fin de
l'année.

Ségolène Royal a réuni mercredi matin les ambassadeurs
des Vingt-Huit à Paris ou leur représentant pour faire passer le message
et faire le point sur leurs procédures de ratification.

L'objectif
est d'achever ce processus avant la 22e conférence des signataires de
la Convention des Nations Unies sur le climat (COP22), fin 2016 à
Marrakech, a dit la ministre à des journalistes à l'issue de cette
réunion.

"ÉLECTROCHOC"

"Avant Marrakech, il faut que
tous les processus de ratification soient bouclés, soient clarifiés, et
que le dépôt des instruments de ratification nationaux et de l'Union ait
déjà eu lieu", a-t-elle expliqué.

Ségolène Royal s'est montrée
confiante, notamment après la récente ratification de l'accord de Paris
par la Chine et les Etats-Unis, les deux pays les plus pollueurs de la
planète.

Cette double ratification a eu un effet d'"électrochoc"
sur les Européens, désormais à la traîne après avoir été jusqu'ici à
l'avant-garde de la lutte contre le réchauffement climatique, souligne
l'entourage de la ministre de l'Environnement.

Celle-ci admet qu'il y a "encore des étapes à franchir, compliquées par les procédures démocratiques internes".

Des
élections viennent ainsi perturber le calendrier dans plusieurs pays
membres, dont la Roumanie, la Bulgarie, la Lettonie ou la Croatie.
Ailleurs, comme en Allemagne, ce sont les Parlements qui sont maîtres de
l'ordre du jour.

Berlin a cependant fait un geste en acceptant
de disjoindre la ratification de l'accord de Paris de la question en
cours de discussion de la répartition de l'effort global de l'UE.

L'UE
s'est engagée à réduire de 40% ses émissions de GES d'ici 2030, par
rapport aux niveaux de 1990. Un engagement qui lie le Royaume-Uni malgré
le "Brexit", selon Ségolène Royal.

La ministre a confié qu'elle
téléphonerait dans les jours à venir aux dirigeants des pays dont le
calendrier paraît le plus flou, comme les Pays-Bas, la Belgique et
l'Italie.

La Pologne, pourtant initialement un des plus réticents
en raison de sa dépendance au charbon, a en revanche fait savoir qu'elle
ratifierait l'accord avant le 21 septembre, a confié Ségolène Royal.

Le
21 septembre est la date retenue pour une réunion de haut niveau sur la
ratification de l'accord de Paris organisée à New York par le
secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, en marge de l'Assemblée
générale des Nations Unies.

Parallèlement aux procédures
nationales, l'UE doit aussi ratifier en tant que telle l'accord de
Paris, ce qui paraît en bonne voie : selon Ségolène Royal, le président
du Parlement européen, Martin Schulz, lui a confirmé que l'accord
passerait en séance plénière du 3 au 6 octobre.

(Edité par Yves Clarisse)

25 de 26 - 27/10/2016 16:33
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

Bus électriques, mosquées vertes, sacs en plastique prohibés… Marrakech à l'heure de la COP22

lepoi.jpghttp://media.zenfs.com/fr_fr/News/logo/lepoint/lepoi.jpg" alt="LePoint.fr">Par Par Khalid Elhousni et Larbi Safaa* | LePoint.fril y a 38 minutes



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  • 5973621lpaw-5974243-article-jpg_3864225.http://media.zenfs.com/fr_FR/News/lepoint/5973621lpaw-5974243-article-jpg_3864225.jpg" alt="Un service de vélos en libre-service est proposé depuis fin octobre 2016 dans la ville">LePoint.fr/Par
    Khalid Elhousni et Larbi Safaa* - Un service de vélos en libre-service
    est proposé depuis fin octobre 2016 dans la ville

Avec

la COP22, qui se tiendra à Marrakech du 7 au 18 novembre 2016, le Maroc

se prépare à accueillir l'un des événements internationaux les plus

importants et symboliques qui lui ait été donné d'organiser.

Les
enjeux sont de taille : le Maroc, en tant qu'acteur international, veut
d'abord montrer qu'il peut honorer ses engagements aux niveaux
logistique et opérationnel et aussi en matière d'hospitalité et de
qualité d'accueil. Le pays pourra ainsi profiter de l'événement pour se
positionner durablement sur le marché prometteur de l'événementiel.

Un rendez-vous essentiel pour le continent

Il s'agit ensuite de montrer que les défis du
développement durable sur lecontinent africain sont les siens. En ce
sens, le choix de Marrakech pour accueillir la COP22 n'a rien de
fortuit, car le Maroc a impulsé depuis quelques années une authentique
dynamique en faveur de la protection de l'environnement et de la lutte
contre le réchauffement climatique.

La présidence de cette 22e édition de la COP offre au
Maroc une place de choix qui lui permettra notamment d'œuvrer en faveur
de l'innovation en matière d'adaptation et de lutte face aux changements
climatiques. Ce sera aussi l'occasion, dans le cadre du Plan
Paris-Lima, de mettre au point des outils opérationnels.

Les discussions ont commencé bien en amont de la
candidature de la ville, en septembre 2015, dans la logique de l'Appel
de Tanger lancé par les chefs d'État marocain et français. Pour piloter
efficacement cet événement et accueillir plus de 190 pays et nombre
d'ONG, une agence dotée d'environ 80 millions d'euros de budget a été
créée.

Des initiatives symboliques et concrètes

Le royaume chérifien a multiplié ces dernières années
les initiatives dans les domaines du développement durable et de la
lutte (...)

Lire la suite sur LePoint.fr
26 de 26 - 04/6/2017 09:23
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

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