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Bouygues (EN)

- Modifié le 20/2/2015 21:04
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002
Intraday Stock Chart: BouyguesGraphiques historiques: Bouygues
Intraday Stock ChartGraphiques historiques





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261 de 616 - 29/3/2016 08:25
The Grumpy Old Men Messages postés: 1139 - Membre depuis: 02/1/2007

Bouygues (EU:EN)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 29 Mars 2016

Plus de graphiques de la Bourse Bouygues

Le conglomérat Bouygues (EN.FR) réunira son conseil d'administration
mercredi pour examiner le rapprochement de ses activités télécoms avec
Orange (ORA.FR), rapporte le quotidien Les Echos mardi sans citer ses
sources.



Les discussions entre les deux groupes
avancent dans le bon sens et un accord serait imminent, poursuit le
quotidien, tout en précisant que plusieurs points sont encore en
discussion. Le conseil devra donner son accord, ou non, au principe
d'une vente de Bouygues Telecom en échange d'une entrée au capital
d'Orange.



Un porte-parole de Bouygues, joint par téléphone, n'a pas souhaité apporter de commentaire.








(END) Dow Jones Newswires



March 29, 2016 01:59 ET (05:59 GMT)

262 de 616 - 29/3/2016 18:20
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

Analyse Technique

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4654_20160329153041.gif

29/03/2016 15:31

Bouygues CT : le biais reste haussier

Notre point pivot est sur 35,10.



Notre préférence : tant que 35,10 n'est pas enfoncé nous sommes haussiers avec comme objectifs: 37,50 puis 38,60.



Scénario alternatif : sous 35,10, baisse probable vers 33,65 puis 31,30.



Commentaire : le RSI est supérieur à sa zone de neutralité des 50%.



Supports et résistances court terme :
Résistance 3 : 39,3 **
Résistance 2 : 38,6 **
Résistance 1 : 37,5 **
Dernier : 36,98
Support 1 : 35,1 **
Support 2 : 33,65 **
Support 3 : 31,3 **

263 de 616 - 29/3/2016 20:24
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

Conseils mercredi chez Bouygues et Orange sur Bouygues Telecom

mardi 29 mars 2016 12h22




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[-]
Texte
[+]

PARIS, 29 mars (Reuters) - Bouygues et Orange
réuniront mercredi leurs conseils d'administration
respectifs sur le projet de rachat de Bouygues Telecom par
Orange, ont déclaré à Reuters des sources proches du dossier.

Les deux groupes se sont fixé le 31 mars comme date butoir
pour parvenir à un accord sur un rapprochement complexe,
impliquant l'Etat, actionnaire d'Orange, ainsi que les
concurrents Iliad et SFR à qui des actifs
devraient être cédés pour que l'opération obtienne le feu vert
de l'Autorité de la concurrence.

"Nous avons travaillé tout le week-end mais il reste encore
plusieurs points en discussion", a indiqué l'une des sources,
précisant qu'un accord n'avait pas encore été trouvé.

L'un des principaux points encore en discussion concerne la
part que détiendrait Bouygues dans Orange, en échange de
l'apport de sa filiale télécom à l'opérateur historique.

Orange et Bouygues se sont refusés à tout commentaire.

(Mathieu Rosemain et Gwénaëlle Barzic, édité par Véronique
Tison)

264 de 616 - 30/3/2016 11:36
The Grumpy Old Men Messages postés: 1139 - Membre depuis: 02/1/2007

Orange-Bouygues Telecom : accrochage avec l’Etat

monde.jpghttp://media.zenfs.com/fr_fr/News/logo/lemonde/monde.jpg" alt="LeMonde.fr">LeMonde.fril y a 39 minutes



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  • 4892231_3_5610_enseignes-orange-et-bouyghttp://media.zenfs.com/fr_FR/News/LeMonde.fr/4892231_3_5610_enseignes-orange-et-bouygues-telecom-a_e60b187067391ff4cac29e192bdf4f2e.jpg" alt="Enseignes Orange et Bouygues Telecom à Marseille">LeMonde.fr - Enseignes Orange et Bouygues Telecom à Marseille

News Monde

  • 2016-03-30T092220Z_2_LYNXNPEC2T0IG_RTROPhttp://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2016-03-30T092220Z_2_LYNXNPEC2T0IG_RTROPTP_3_MIDEAST-CRISIS-SYRIA-REFUGEES.JPG" alt="">

    Ban Ki-moon appelle à la solidarité envers les réfugiés syriens

    Reuters - il y a 11 minutes
  • atlantico-yahoo-2643804.jpghttp://media.zenfs.com/fr-FR/News/Atlantico/atlantico-yahoo-2643804.jpg" alt="">

    Comment le chef religieux chiite Moqtada al-Sadr est parvenu à s’imposer dans le jeu de la conquête politique en Irak

    Atlantico.fr - il y a 12 minutes
  • 8207235.jpghttp://media.zenfs.com/fr_FR/News/Francetvinfo.fr/8207235.jpg" alt="">

    Un ex-ministre canadien et sa famille meurent dans le crash d'un avion en se rendant aux funérailles de leur père

    Francetv info - il y a 18 minutes

Par
nature très complexe, la fusion Orange-Bouygues Telecom - si elle finit
par se concrétiser - aura accouché dans la douleur. Alors que Martin
Bouygues avait promis que le dossier aboutirait à la fin du premier
trimestre, de nombreux points restaient à régler le mercredi 30 mars.

Selon nos informations, Stéphane Richard rencontre à nouveau Martin
Bouygues ce matin. Orange et Bouygues Telecom tiendront chacun un
conseil d’administration à 17 heures. On ne sait pas à cette heure s’ils
aboutiront à une décision. « Tout est ouvert. L’opération peut se
faire, ne pas se faire. On peut prendre quelques jours supplémentaires.
Donner un accord de principe… »
, dit un protagoniste.

Quelle valorisation ?

Principal problème : la valorisation de l’opération qui conditionne
l’entrée de Bouygues au capital d’Orange. En effet, Martin Bouygues a
posé comme condition à la cession de sa filiale de téléphonie mobile son
entrée au capital de l’opérateur historique. Une grande partie de
l’opération doit donc réglée par échange de titres. Martin Bouygues, qui
a fixé à 10 milliards d’euros le prix de Bouygues Telecom, souhaite
acquérir 15 % du capital d’Orange, dont 10 % via une augmentation de
capital réservée, et 5 % en achetant des actions sur le marché.

Depuis le départ, ces ambitions paraissent bien élevées aux yeux de
l’Etat actuellement détenteur de 23 % du capital d’Orange, et qui
souhaite rester un actionnaire de référence avec au moins 20 ou 21 % du
capital. Pour limiter la part de Martin Bouygues, les fonctionnaires de
Bercy veulent valoriser Orange le plus cher possible, et Bouygues
Telecom le plus bas possible.

Récemment encore, l’Etat voulait limiter la part de Martin Bouygues à
9 % du capital d’Orange, lui imposer une clause de “standstill”, qui
l’empêcherait de monter au capital de l’opérateur, le tout sécurisé dans
un pacte d’actionnaires. Mardi 29 mars, une rencontre entre l’Agence
des participations de l’Etat et Bouygues n’a visiblement pas réussi à
résoudre cette (...)

Lire la suite sur lemonde.fr
265 de 616 - 30/3/2016 21:26
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Les CA d'Orange et Bouygues se penchent sur l'épineuse cession de Bouygues Telecom

AFP le 30/03/2016 à 17:32

0















http://bour.so/n/71c5e83">

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http://www.boursorama.com/actualites/les-ca-d-orange-et-bouygues-se-penchent-sur-l-epineuse-cession-de-bouygues-telecom-71c5e837cd6372ecb150899941d26208&via=Boursorama&related=boursorama">

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http://bour.so/n/71c5e83&title=Les+CA+d%27Orange+et+Bouygues+se+penchent+sur+l%27%C3%A9pineuse+cession+de+Bouygues+Telecom&overview=Les+CA+d%27Orange+et+Bouygues+se+penchent+sur+l%27%C3%A9pineuse+cession+de+Bouygues+Telecom&urllanguage=fr&urlaffiliate=32003&encoding=UTF-8">viadeo.png


Les conseils d'administration d'Orange et Bouygues devaient se réunir
en fin d'après-midi mercredi pour faire le point sur les très difficiles
négociations en cours sur le projet de cession de l'opérateur Bouygues
Telecom, alors que la date butoir fixée au 31 mars se rapproche, selon
des sources concordantes.

266 de 616 - 31/3/2016 08:45
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002



Publié le 31/03/2016 à 08h10

(Boursier.com) — Orange et Bouygues
n'annonceront pas leur mariage aujourd'hui, donc pas avant la fin mars,
comme l'espéraient certains. Les deux groupes ont publié chacun à 8h00
ce matin un communiqué dont la trame est quasiment identique, même si la
formulation de Bouygues est plus ferme quant à ses intentions. Les
négociations ne sont pas suffisamment avancées pour conclure quoi que ce
soit, ont constaté les deux conseils. Orange "réunira son conseil
d'administration pour examiner le résultat de ces discussions d'ici le 3
avril 2016 prochain", tandis que Bouygues réunira le sien avant la fin du week-end, cela afin de prendre une position définitive sur la poursuite de ce projet de rapprochement.

Des informations qui vont dans le sens des dernières rumeurs qui circulaient.

267 de 616 - 31/3/2016 11:41
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

Bouygues : à l'achat, Natixis optimiste sur le 'deal Orange'.



http://www.zonebourse.com/BOUYGUES-4620/analyses-broker/Bouygues-a-l-achat-Natixis-optimiste-sur-le-deal-Orange--22096186/%7D" target="popup">
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http://www.zonebourse.com/BOUYGUES-4620/analyses-broker/Bouygues-a-l-achat-Natixis-optimiste-sur-le-deal-Orange--22096186/%7D">
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31/03/2016 | 10:35

Certes, l'action
Bouygues est pénalisée ce matin à la Bourse de Paris par le report - de
quelques jours - du terme des négociations avec Orange concernant
Bouygues Telecom. Mais selon les analystes de Natixis, le 'deal' devrait
néanmoins se concrétiser et le conglomérat n'est 'plus qu'à quelques
centimètres de la ligne'. Il est donc toujours temps d'acheter la
valeur. Leur objectif est cependant limité, à 38 euros.

A la
Bourse de Paris ce matin, l'action Bouygues se classe en tant que
lanterne rouge de l'indice CAC 40 en cédant 3,6% à 35,9 euros. Orange
perd aussi près de 2% dans un marché en retrait de 1,1% seulement.

Entamées
voilà plusieurs mois, les négociations autour de Bouygues Telecom
dureront un peu plus longtemps que prévu : c'est ce qu'ont annoncé ce
matin Orange et Bouygues, qui devraient faire part de leur décision sur
ce dossier d'ici dimanche, et non ce 31 mars comme initialement
envisagé. Pour Natixis, la baisse de l'action Bouygues est simple à
expliquer : les discussions étant manifestement compliquées, le marché
craint que le prix de Bouygues Telecom ne soit révisé à la baisse.

Joueur,
Natixis n'en démord pas et parie toujours sur un succès du 'deal' avec
Orange : 'Nous restons néanmoins à l'achat sur Bouygues, faisant le pari
qu'un accord va être trouvé. C'est quitte ou double'.

Où se
situe l'équilibre ? Selon Natixis, aujourd'hui sur le marché, Bouygues
Telecom est valorisé implicitement huit milliards d'euros. Les
analystes, eux, valorisent la filiale 8,5 milliards. Bref, le titre
Bouygues devrait monter si un accord est signé et que son prix dépasse
la barre des huit milliards.

Quelles pourraient en être les
conséquences pour Bouygues ? Dans le cas de figure (positif) envisagé
par les analystes, 'le réinvestissement du cash reçu d'Orange serait le
nouvel angle spéculatif qui soutiendrait la valeur', qu'il s'agisse d'un
éventuel dividende exceptionnel, de l'assainissement du bilan du groupe
ou d'une opération de croissance externe maîtrisée. Natixis n'exclut
d'ailleurs pas que Bouygues envisage de racheter SPIE, le spécialiste
des services multi-techniques qui capitalise 2,7 milliards d'euros.

Enfin,
l'éventuelle 'sortie' de Bouygues Telecom du périmètre 'serait synonyme
de simplification de conglomérat, ce qui pourrait réduire
progressivement sa décote de holding, et améliorerait ses ratios de
crédit', estiment les spécialistes.

EG

268 de 616 - 31/3/2016 14:45
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

(CercleFinance.com) - Perdant près de 4% ce midi, ce qui la classe au

rang des plus fortes baisses d'un indice CAC 40 en retrait de 1%,

l'action Bouygues (London: 0HAN.L - actualité) souffre du report - de quelques jours - de l'issue des négociations avec Orange (London: 0OQV.L - actualité) sur l'éventuel rachat de Bouygues Telecom.



En

effet, les discussions quant à l'éventuel rapprochement de Bouygues

Telecom, la filiale télécoms du conglomérat éponyme, avec l'ex-monopole

historique Orange semblent plus difficiles que prévu. Initialement, ces

discussions qui durent depuis des mois devaient prendre fin le 31 mars.

Mais les deux groupes ont indiqué ce matin qu'ils se donnent désormais

jusqu'à dimanche (3 avril) pour parvenir - ou non - à un accord.



Comment expliquer la forte baisse de l'action Bouygues (Swiss: 487662.SW - actualité)

? Ce ?retard? dans les discussions peut laisser craindre que les deux

groupes peinent à trouver un accord, qui pourrait achopper sur le prix.

Ce qui pourrait conduire à une cession de Bouygues Telecom à Orange dans

des conditions financières moins favorables pour Bouygues, pénalisant

ainsi logiquement la valeur de son action.



Justement, quel est

le ?prix? actuel de Bouygues Telecom selon le marché ? Selon Natixis,

l'opérateur est pour l'heure valorisé implicitement huit milliards

d'euros, à comparer avec une capitalisation, de 12,5 milliards pour le

groupe Bouygues dans son ensemble. Soit moins que les 10 milliards

offerts mi-2015 par Numericable-SFR, une offre alors déclinée par

Bouygues. Dans ces conditions, si le 'deal' est finalement conclu et que

son prix est supérieur à huit milliards, l'action Bouygues devrait

monter. Et inversement.



Mais on notera qu'à la Bourse de Pais,

tout le compartiment 'télécoms' est pénalisé ce midi : Numericable-SFR

recule de 3,5% quand Orange comme Iliad (London: 0MGY.L - actualité) , la maison mère de Free, perdent 1,8%.



En

effet, en cas d'échec du rapprochement Bouygues Telecom/Orange, le

nombre d'opérateurs mobiles hexagonaux serait toujours de quatre.

L'intensité de la concurrence resterait peu ou prou la même, avec les

conséquences habituelles sur les marges. Les baisses des titres

indiquent aussi que si l'opération n'intervenait pas, les autres

opérateurs en souffriraient aussi. En effet, ils ne pourraient alors pas

racheter les parties de Bouygues Telecom dont, pour des raisons

concurrentielles, Orange devrait se défaire.



Malgré, les reculs

des actions ?télécoms? parisiennes, somme toute limités, semblent plutôt

signaler des doutes sur les conditions du rapprochement, sans en

remettre franchement en cause l'éventualité.



EG

269 de 616 - 01/4/2016 15:44
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

ORANGE-BOUYGUES : la négociation ne "bute (pas) sur tel ou tel aspect" (Richard)

AOF le 01/04/2016 à 14:37

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http://bour.so/n/4451159">

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http://www.boursorama.com/actualites/orange-bouygues-la-negociation-ne-bute-pas-sur-tel-ou-tel-aspect-richard-445115955d84b7857a4a05f5743a01bb&via=Boursorama&related=boursorama">

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(AOF)
- Interrogé en marge d'un déplacement à Bordeaux sur l'absence d'accord
avec Bouygues pour le rachat de sa filiale télécom, Stéphane Richard,
le PDG D'Orange, a indiqué qu'"il n'y a pas de point d'achoppement en
particulier, on ne peut pas dire que cette négociation bute sur tel ou
tel aspect".

"Il reste un certain nombre de faits à la fois
financiers et juridiques à régler, qui portent sur le partage des
risques et sur les paramètres financiers de l'opération. C'est un
travail qui se poursuit. A l'heure qu'il est, on ne peut pas préjuger de
l'issue finale de ces travaux, mais nous continuons à avancer", a
ajouté le patron de l'ex-opérateur historique.

Mercredi
soir, le conseil d'administration d'Orange - qui s'est tenu en même
temps que celui de Bouygues - a pris acte "que les négociations
n'étaient pas suffisamment avancées". Les deux groupes ont annoncé
qu'ils réuniraient à nouveau leurs Conseils d'ici le 3 avril 2016
prochain pour examiner le résultat des discussions qui se prolongent.

270 de 616 - 01/4/2016 16:54
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Les discussions sur le rachat de Bouygues Telecom par Orange (London: 0OQV.L - actualité)
ne butent pas sur un problème particulier, a déclaré vendredi le PDG
d'Orange, Stéphane Richard, alors que Bouygues (London: 0HAN.L - actualité)
et l'opérateur historique se sont donné jusqu'à ce weekend pour
trancher dans ce dossier. "Il n'y a pas de point d'achoppement en
particulier, on ne peut pas dire que cette négociation bute sur tel ou
tel aspect", a-t-il déclaré à Reuters, en marge d'un déplacement à
Bordeaux pour la signature d'une convention sur le déploiement de la
fibre optique.

"Il reste un certain nombre de faits à la fois financiers et
juridiques à régler, qui portent sur le partage des risques et sur les
paramètres financiers de l'opération. C'est un travail qui se poursuit. A
l'heure qu'il est, on ne peut pas préjuger de l'issue finale de ces
travaux, mais nous continuons à avancer", a-t-il souligné. Les
négociations se concentrent sur la valorisation de Bouygues Telecom, le
niveau de la participation de Bouygues dans Orange ainsi que la
représentation du groupe de BTP au sein d'un conseil élargi de
l'opérateur télécoms.

"Pas encore figé"

"Quand on parle de gouvernance, il y a des règles simples : s'il y
a un nouvel actionnaire au sein d'Orange, il devra bien entendu avoir
une présence au sein des instances de gouvernance. Je ne pense pas que
ce soit le sujet qui cristallise le débat aujourd'hui", a précisé
Stéphane Richard. Interrogé sur le niveau de 12% évoqué pour la
participation du groupe Bouygues dans le capital d'Orange, il a répondu :
"Tout cela n'est pas encore figé."

Ce projet de rapprochement complexe implique également l'Etat, actionnaire d'Orange, ainsi que les concurrents Iliad (London: 0MGY.L - actualité) et SFR auxquels des actifs devraient être cédés pour que l'opération obtienne le feu vert de l'Autorité de la concurrence....


Retrouvez cet article sur Boursier.com

271 de 616 - 01/4/2016 17:21
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

BORDEAUX/PARIS/LONDRES
(Reuters) - Les pouvoirs et l'influence qu'obtiendrait Bouygues au sein
d'Orange en cas de vente par le groupe de BTP de son pôle télécom à
l'ancien monopole public sont au coeur des discussions visant à parvenir
à un accord sur une transaction avant la fin du week-end, a-t-on appris
vendredi de sources proches du dossier.

Emmanuel Macron ne veut à aucun prix apparaître comme
le ministre de l'Economie qui aurait permis à Martin Bouygues de prendre
le contrôle de l'ancien France Telecom, fait valoir une de ces sources.

Si l'opération va à son terme, Bouygues deviendrait le
premier actionnaire privé d'Orange à travers une augmentation de capital
réservée qui diluerait mécaniquement la participation de 23% de l'Etat.

Bouygues a indiqué en février vouloir acquérir 15% d'Orange et aurait déjà obtenu un accord pour monter à 12%.

Le ministre de l'Economie a demandé à Bouygues, sans
succès pour le moment, de s'engager à geler la participation qu'il
obtiendrait dans Orange pour une durée de sept ans et de renoncer aux
droits de votes doubles qu'obtiennent les investisseurs de long terme.

Bercy et Bouygues n'ont pas souhaité commenter ces
informations mais, selon le PDG d'Orange, les discussions sur le rachat
de Bouygues Telecom ne butent pas sur des points particuliers.

"PAS DE POINT D'ACHOPPEMENT EN PARTICULIER"

"Il n’y a pas de point d’achoppement en particulier, on
ne peut pas dire que cette négociation bute sur tel ou tel aspect", a
déclaré Stéphane Richard à Reuters, en marge d'un déplacement à
Bordeaux.

"Il reste un certain nombre de faits à la fois
financiers et juridiques à régler, qui portent sur le partage des
risques et sur les paramètres financiers de l’opération. C’est un
travail qui se poursuit. A l’heure qu’il est, on ne peut pas préjuger de
l’issue finale de ces travaux, mais nous continuons à avancer", a-t-il
souligné.

Le principe d'une représentation du groupe de BTP au
sein d'un conseil élargi de l'opérateur télécom ne pose pas de problème
en soit, a dit son PDG.

"Quand on parle de gouvernance, il y a des règles
simples : s’il y a un nouvel actionnaire au sein d’Orange, il devra bien
entendu avoir une présence au sein des instances de gouvernance. Je ne
pense pas que ce soit le sujet qui cristallise le débat aujourd’hui", a
précisé Stéphane Richard.

Interrogé sur le niveau de 12% évoqué pour la
participation du groupe Bouygues dans le capital d'Orange, il a répondu :
"Tout cela n'est pas encore figé."

Ce projet de rapprochement complexe implique aussi les
concurrents des deux groupes, à savoir Iliad et SFR auxquels des actifs
devraient être cédés pour que l'opération obtienne le feu vert de
l'Autorité de la concurrence.

Concernant ce volet des rétrocessions, Stéphane Richard
a déclaré qu'il n'était pas le plus problématique mais qu'en revanche
les discussions portaient sur le partage des risques entre les
différentes parties prenantes en cas d'échec du projet de fusion pour
des raisons de concurrence.

(Claude Canellas avec Matthieu Rosemain à Paris,
Sophie Sassard à Londres, Julien Ponthus pour le service français, édité
par Jean-Michel Bélot)

272 de 616 - 01/4/2016 18:48
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

Challenges - Orange Bouygues

Les
négociations entre les deux groupes se déroulent sous tension. L
'essentiel de la difficulté réside dans la position ambiguë de l'Etat.

« Les
négociations se déroulent jour et nuit depuis quatre semaines. Tout le
monde est fatigué et tout prend des proportions démesurées.
»
Lâchée par l'un des protagonistes, cette petite phrase exprime l'extrême
tension dans laquelle se déroule les discussions en vue du mariage
entre Bouygues Telecom et Orange. Et l'indicible crainte que toute
l'opération finalement capote. Contrairement au souhait fermement
exprimé par Martin Bouygues, les négociations n'ont finalement pu
aboutir avant le 31 mars. Le patron d'Orange, Stéphane Richard a su
convaincre son homologue que deux ou trois jours supplémentaires
permettraient de finaliser et de sécuriser ce deal complexe, dont le
closing ne devrait pas intervenir avant le Printemps 2017, à la veille
ou au beau milieu de la prochaine élection présidentielle.

Dans la toute dernière ligne droite, l'essentiel de la difficulté
réside désormais dans la position ambiguë de l'Etat qui détient 23% du
capital de l'opérateur historique à travers l'Agence des participation
de l'Etat (APE) et Bpifrance. L'union a certes été adoubée par l'Elysée,
assurent plusieurs sources, entérinant ainsi une montée au capital du
groupe de BTP. Mais le discours est plus ferme à Bercy, où l'on envisage
des conditions drastiques pour maintenir l'Etat au dessus des 20% sur
le long terme. Et cantonner Martin Bouygues dans un rôle marginal.

Son exigence première, de décrocher 15% d'Orange semble extrêmement
compromise. Les experts du ministère de l'Economie voudrait également
l'empêcher de monter au capital pendant 10 ans. Une condition
inacceptable pour l'homme d'affaires.

... Lire la suite sur Challenges

273 de 616 - 01/4/2016 18:50
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

(CercleFinance.com) - Ce ne serait donc pas qu'un simple retard à

l'allumage. D'après nos confrères du Figaro, le rachat de Bouygues

Telecom par Orange (London: 0OQV.L - actualité) , une opération de consolidation majeure dans le secteur des télécommunications, n'aurait finalement pas lieu.



Le (Taiwan OTC: 8490.TWO - actualité)

quotidien a précisé dans un article mis en ligne sur son site Internet

il y a quelques minutes que les conseils d'administration des 2 groupes

se réunissent à nouveau ce vendredi soir pour constater l'échec des

discussions.



Celles-ci ont débuté il y a déjà plusieurs mois,

avaient repris en début d'année et devaient originellement prendre fin

hier. Les 2 groupes avaient cependant fait savoir hier matin, au grand

dam des investisseurs, qu'ils se donnaient jusqu'à ce dimanche 3 avril

pour parvenir - ou non - à un accord.



L'absorption de Bouygues

Telecom par l'opérateur historique aurait, puisque le conditionnel

apparaît désormais de mise, ramené de 4 à 3 le nombre d'opérateurs sur

le territoire national. Cette opération aurait cependant impliqué un

vaste partage des actifs de Bouygues Télécom entre Orange et ses

concurrents Numericable-SFR et Free. D'après des calculs effectués par

Natixis (London: 0IHK.L - actualité)

en début d'année, les parts de marché cumulées du groupe dirigé par

Stéphane Richard et de Bouygues Telecom atteignaient en effet, en

France, 51% dans le 'haut débit' fixe, 54% pour les magasins et 55% pour

les abonnements et des fréquences mobiles. De quoi potentiellement

s'attirer les foudres des autorités de la concurrence...



Selon Le

Figaro, les exigences de l'Etat, qui détient une participation de 23%

dans Orange, auraient incité Martin Bouygues à finalement renoncer. Une

volte-face de l'Etat sur ce dossier paraît plausible. D'après des

informations de BFM TV la semaine dernière, Bercy était ainsi disposé à

ce qu'en échange de sa filiale télécoms, le groupe Bouygues (London: 0HAN.L - actualité) reçoive des titres représentant non plus 9% (avec des clauses empêchant son renforcement), mais 12% du capital d'Orange.



(G.D.)

274 de 616 - 02/4/2016 11:25
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1717 - Membre depuis: 24/6/2003

Orange et Bouygues enterrent leur projet de mariage


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    • Par 3 auteurs
    • Mis à jour le 01/04/2016 à 23:56
    • Publié

      le 01/04/2016 à 21:43


Stéphane Richard, PDG d'Orange (à gauche) et Martin Bouygues, président du groupe Bouygues.

INFO
LE FIGARO - Les deux groupes ont mis fin à leurs discussions. Les
exigences de l'État actionnaire et les risques sur le plan de la
concurrence ont eu raison du projet.

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Le rachat de Bouygues Télécom par Orange ne se fera pas. Après une ultime rencontre un peu plus tôt dans l'après-midi entre Stéphane Richard PDG d'Orange et son homologue Martin Bouygues,
les deux groupes ont réuni vendredi soir leurs conseils
d'administration respectifs, pour la troisième fois en trois jours.
Comme l'a révélé lefigaro.fr, ils ont entériné l'échec du projet. C'est
la fin de trois mois de négociations presque ininterrompues entre les
dirigeants des quatre opérateurs télécoms français, Bouygues Telecom,
Orange, SFR Numericable et Iliad propriétaire de Free. «Dans un marché
où l'hypothèse d'une consolidation devient désormais durablement exclue,
Bouygues Telecom poursuivra sa stratégie stand alone», a précisé le
groupe Bouygues.

Il y a dix jours pourtant, les parties étaient
bien certaines d'avoir fait le plus dur. Le découpage de Bouygues
Télécom, sur la base d'une valorisation de 10 milliards d'euros, entre
Orange, SFR et Free était arrêté et le prix des différents actifs
accepté, non sans mal, par les repreneurs. L'opération, baptisée
«Jardiland» par les nombreux banquiers et avocats qui y travaillaient,
semblait donc bien engagée. L'objectif était alors de la conclure au
plus tard le 31 mars.

La bataille va repartir

Mais la mécanique s'est détraquée le jeudi 24 mars, dans le bureau d'Emmanuel Macron
à Bercy. Le Ministre de l'Économie et Martin Vial, le patron de
l'Agence des participations de l'État (APE) qui détient avec BPIfrance
23% du capital d'Orange, ont fait part de trois exigences jugées
inacceptables par Martin Bouygues. Ils ont ainsi conditionné l'entrée de
Bouygues au capital d'Orange à un prix plancher de 18,5 euros par
action alors que les parties négociaient jusque-là à 17 euros (l'action
cotait 15,40 euros en bourse vendredi). En renchérissant le prix de
d'Orange, Emmanuel Macron a réduit mécaniquement la valeur de Bouygues
de plus de 10%. «Au vu de la création de valeur qu'aurait permis cette
opération pour chacune des parties, les conditions financières posées
par l'APE étaient legitimes. Mais ces sujets n'etaient pas au centre des
discussions ces derniers jours.», juge-t-on à Bercy.



«Au vu de la création de valeur
qu'aurait permis cette opération pour chacune des parties, les
conditions financières posées par l'APE n'étaient pas inacceptables»
Bercy

Deux autres clauses sont restées
en travers de la gorge de l'homme d'affaires: l'interdiction pendant 7
ans pour Bouygues de monter au capital d'Orange, ainsi qu'un gel des
droits de vote double pendant 10 ans. «Nous avons été constants dans nos
positions», explique-t-on à Bercy. «D'une part, nous souhaitions que la
consolidation ne se fasse pas au detriment de linvestissement, des
consommateurs, et de l'emploi. D'autre part, l'Etat a la responsabilité
comme actionnaire de référence d'orange de préserver ses intérêts
patrimoniaux.» Pour Emmanuel Macron, pas question donc que l'État perde
sa minorité de blocage en assemblée générale. Mais pour Martin Bouygues,
il était inacceptable d'être relégué en position d'actionnaire
minoritaire et sans influence chez Orange. Un scénario incompatible avec
sa volonté de poursuivre, au travers d'une participation au capital de
l'opérateur historique, son histoire dans les télécoms entamée il y a
plus de vingt ans.

Dès le week-end de Pâques, marqué par trois
jours de négociations intensives, la décision de Martin Bouygues était
peut-être déjà prise. Les pressions amicales notamment de l'Élysée et de
Matignon pour l'inviter à faire un effort, ne l'ont pas fait varier.
Manuel Valls aurait même demandé à rencontrer le PDG d'Orange et celui
de Bouygues pour tenter une ultime médiation. Elle n'aura pas lieu.

Il
faut dire qu'une autre difficulté sérieuse hypothéquait la négociation:
le risque de déraillement de l'opération devant l'Autorité de la
concurrence. Les trois acheteurs de Bouygues Telecom, et le vendeur,
devaient s'entendre sur la prise en charge par chacun du coût de chacun
des aménagements - les fameux «remèdes» - qu'aurait pu exiger le
gendarme de la concurrence.

Enfin, ces discussions ont été
rendues difficiles par les tensions préexistantes entre les différents
protagonistes, et notamment entre Martin Bouygues, et Xavier Niel.

Avec
cet échec, la bataille entre les opérateurs devrait reprendre de plus
belle. Si les clients peuvent s'en féliciter, les entreprises et leurs
salariés pourraient souffrir car les marges sont réduites et les
investissements très importants. Ils se privent également des 5 à 10
milliards de marges supplémentaires à trois ans procurées par le passage
de quatre à trois opérateurs. Mais les Bouygues Telecom, Orange, SFR et
Free ne sont pas les seuls perdants. L'État aussi. Il n'encaissera pas
1,3 milliard d'euros de recettes fiscales sur les plus-values de
cessions et de droits d'enregistrements liées à la vente à la découpe de
Bouygues Télécom.

275 de 616 - 03/4/2016 23:18
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

Sapin défend le rôle de l'Etat lors des discussions Orange-Bouygues

dimanche 3 avril 2016 21h28




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PARIS, 3 avril (Reuters) - Le ministre des Finances Michel
Sapin a défendu dimanche l'attitude de l'Etat lors des
discussions portant sur la vente de Bouygues Telecom à Orange
, qui se sont soldées par un échec vendredi.

Interrogé dans la soirée lors de l'émission "C politique"
sur France 5 sur une éventuelle responsabilité du ministre de
l'Economie Emmanuel Macron dans cet échec, en raison d'exigences
trop importantes, Michel Sapin a répondu que son collègue à
Bercy s'était contenté de défendre les intérêts de l'Etat.

"L'Etat, il est là pour défendre les intérêts de l'Etat. Il
n'est pas là pour faciliter le gain de tel ou tel dans une
opération de cette nature et donc l'Etat a défendu ses intérêts,
là, comme il les avait défendus chez Renault et comme il les
défendra toujours", a-t-il déclaré.

"Nous ne sommes pas là pour accepter (...) n'importe quelle
valorisation, c'est-à-dire qu'une entreprise se mette à gagner
plus d'argent qu'elle ne mérite dans une fusion de cette
nature", a ajouté le ministre des Finances, alors qu'un montant
d'environ 10 milliards d'euros - en titres Orange et en
numéraire - avait été évoqué pour le rachat de Bouygues Telecom.

Le rapprochement de la filiale télécoms du groupe de BTP
Bouygues et de l'opérateur historique aurait permis,
en limitant la concurrence, de mettre un terme à la guerre des
tarifs déclenchée par l'arrivée des offres à bas prix de Free,
filiale d'Iliad, en 2012.

(Michel Rose, Myriam Rivet pour le service français, édité par
Tangi Salaün)

276 de 616 - 04/4/2016 07:12
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002



Publié le 04/04/2016 à 07h08

(Boursier.com) — Le réveil s'annonce difficile pour le secteur des
télécommunications en France, après l'échec des négociations entre Orange et Bouygues
pour le rachat de Bouygues Telecom, qui aurait réduit de quatre à trois
le nombre d'opérateurs majeurs présents dans l'Hexagone.
Paradoxalement, l'absence d'accord ne semble pas vraiment être le fait
des deux principaux acteurs. Dans un entretien accordé ce matin au
'Figaro', Martin Bouygues n'hésite pas à affirmer que seuls trois des
quatre protagonistes présents à la table des négociations souhaitait
aboutir à un compromis. Et le dirigeant ne fustige pas le patron
d'Orange, bien au contraire, puisqu'il salue le travail très important de Stéphane Richard et de ses équipes. Manifestement,
l'un des protagonistes nourrissait l'ambition d'avoir le maximum en
payant le minimum, tout en gardant la possibilité de se retirer
, ajoute le patron de Bouygues, qui vise Xavier Niel, le président d'Iliad, même s'il refuse de confirmer son identité en laissant chacun libre de ses interprétations.

Pour
plusieurs médias, les exigences de l'Etat étaient également difficiles à
assumer pour le conglomérat. Mais Martin Bouygues en minimise la portée
dans 'Le Figaro', estimant que si les demandes de l'Agence des
participations de l'Etat lui ont semblé étranges, elles auraient fini par être surmontées si les quatre opérateurs s'étaient entendus.

Les
actions Orange, Numéricable SFR, Bouygues et Iliad avaient bénéficié de
la perspective d'une réduction du nombre d'acteurs dans le secteur.
Elles vont marquer le coup aujourd'hui et probablement dans les
prochains jours. Les analystes vont devoir refaire leurs comptes, eux
qui espéraient que cette évolution majeure du marché permettrait une
réduction de la pression sur les tarifs.

277 de 616 - 04/4/2016 07:57
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

BOUYGUES : Une consolidation vers les supports est probable

TEC le 04/04/2016 à 07:29

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http://www.boursorama.com/actualites/bouygues-une-consolidation-vers-les-supports-est-probable-aa3669c3fe972a85293b147564dfbcbb&via=Boursorama&related=boursorama">

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70257ab5add97be1804558a264ff8327-627x440BOUYGUES : Une consolidation vers les supports est probable

SYNTHESE


Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique
en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le
repli des cours pourrait se poursuivre. La valeur du RSI est inférieure
à 50 : cela confirme la faiblesse des cours. Les indicateurs
stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir.
Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10
derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le
mouvement haussier semble être arrêté. Le titre est sous sa moyenne
mobile à 50 jours située à 35.32 EUR. Le premier support est à 33.96
EUR, puis à 33.02 EUR et la résistance est à 37.73 EUR, puis à 38.67
EUR.

Dernier cours :35.14

Support :33.96 / 33.02

Resistance :37.73 / 38.67

Opinion court terme :neutre

Opinion moyen terme :neutre

278 de 616 - 04/4/2016 10:17
waldron Messages postés: 9834 - Membre depuis: 17/9/2002

Bouygues (EU:EN)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 4 Avril 2016

Plus de graphiques de la Bourse Bouygues

Kepler Cheuvreux abaisse sa recommandation pour Bouygues (EN.FR) de
"conserver" à "alléger" et ramène son objectif de cours à 31 euros,
contre 35 auparavant, après que les négociations sur l'acquisition de la
filiale de télécommunications de Bouygues par Orange ont échoué en
raison de désaccords avec le gouvernement français au sujet d'une
valorisation de 10 milliards d'euros et des modalités des frais de
rupture. Bouygues a indiqué qu'une entité indépendante était toujours
une option. Mais "de notre point de vue, malgré les efforts
considérables de simplification, la vie ne sera pas facile au vu de la
taille relativement restreinte et du fait que le marché français des
télécoms est mature et sans croissance", observe Kepler Cheuvreux.
L'action Bouygues perd 15,8%, à 29,59 euros.





-Noémis Bisserbe, Dow Jones Newswires; noemie.bisserbe@wsj.com (Version française Céline Fabre) ed: ECH





(END) Dow Jones Newswires



April 04, 2016 03:28 ET (07:28 GMT)

279 de 616 - 04/4/2016 11:01
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

Bouygues (EU:EN)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 4 Avril 2016

Plus de graphiques de la Bourse Bouygues

La recherche crédit de Kepler Cheuvreux abaisse sa recommandation sur
les obligations de Bouygues (EN.FR) de "conserver" à "vendre". Kepler
estime que ces emprunts devraient pâtir, au moins temporairement, de
l'échec des négociations sur un rapprochement entre Orange et Bouygues
Telecom, dans la mesure où le marché semblait avoir intégré un accord.
Kepler évalue désormais Bouygues Telecom à 6 milliards d'euros. L'impact
de l'échec des négociations est bien moins prononcé sur le crédit
d'Orange. L'opérateur télécoms compte améliorer son Ebitda ajusté par
rapport à 2015 et maintenir son ratio dette/Ebitda à deux, ajoute
Kepler.





-Tasos Vossos, Dow Jones Newswires (Version française Céline Fabre) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



April 04, 2016 04:35 ET (08:35 GMT)

280 de 616 - 04/4/2016 12:05
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004


(CercleFinance.com) - Natixis a abaissé sa recommandation sur Bouygues
d''acheter' à 'neutre', avec un objectif de cours ramené de 38 à 35
euros, après l'échec du rachat de Bouygues Telecom par Orange.

'Le
principal changement réside dans notre valorisation de Bouygues
Telecom', explique le broker dans une note diffusée ce matin. Natixis
indique en effet ne plus pondérer le groupe au prix de 10 milliards
d'euros proposé par Patrick Drahi en juin dernier.

L'intermédiaire
dit retenir uniquement les 2 autres méthodes : 1/un DCG de 7,9
milliards d'euros un CMPC de 7,1% et un taux de croissance à l'infini
maintenu à 1%; ainsi que des comparables de 6,2 milliards d'euros, en
retenu un multiple de 7,0X l'Ebitda 2016. Moyennant quoi, sa
valorisation ne ressort plus qu'à 7 milliards d'euros, contre 8,5
milliards auparavant.

L'échec des discussions avec Orange consacre
du point de vue de Natixis la fin de l'aspct spéculatif, qui portait le
titre depuis début 2015. 'Le principal trigger s'envole', assène
l'analyste, qui ne décèle plus de potentiel de hausse et juge
l'hypothèse d'une consolidation du marché français des télécoms 'exclue
pour un certain temps, au moins jusqu'aux prochaines élections
présidentielles'.

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US (NASDAQ) -0.7%
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EU:MLCMI 3.24 30.6%
EU:ALVAZ 39.20 21.7%
EU:ALLAM 1.02 17.6%
EU:MLLOI 17.70 16.4%
EU:ALI2S 7.60 11.8%
EU:ALICA 12.50 11.6%
EU:NAI 9.00 10.4%
EU:EEM 3.64 10.3%
EU:ALGTR 3.68 9.5%