phildup85
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Bonsoir à tous,
PP Fibonacci du JOUR
High (H) : 3159.48
Low (L) : 3118.48
Close (C) : 3135.18
R3 = 3178
R2 = 3163
R1 = 3153
Pivot = 3137
S1 = 3122
S2 = 3112
S3 = 3096
Vendredi 13-7
Economie Chine. PIB du deuxième trimestre. France. – Créations d’entreprises en juin (8 h 45). – Indice de référence des loyers du deuxième trimestre (8 h 45). Italie. Emissions obligataires. Etats-Unis. – Orientation des prix à la production en juin (14 h 30). –Indice de confiance de l’université du Michigan pour le mois de juillet (15 h 55). Le consensus des économistes de l’agence Bloomberg table sur une stabilisation en juillet de l’indice à 74 points après la forte contraction du mois précédent. En juin, l’indice a reculé, passant de 79,3 points à 73,2 points.
Sociétés Orchestra-Kazibao. Chiffre d’affaires du premier trimestre (après Bourse).
International JPMorgan. Résultats du deuxième trimestre. Wells Fargo & Co. Résultats du deuxième trimestre.
bcheval7
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Oups...
NTERVIEW ALBERT EDWARDS, RESPONSABLE DE LA STRATÉGIE GLOBALE, SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CROSS ASSET RESEARCH
Albert Edwards (Société générale) : pourquoi Wall Street va perdre la moitié de sa valeur
Par Marina Alcaraz | 12/07 | 17:55 | mis à jour à 19:36
Le responsable de la stratégie globale à la Société Générale s'inquiète de la conjoncture américaine. Considéré comme un « bear » (pessimiste), Albert Edwards estime que l'économie américaine est sans doute déjà entrée en récession. Il craint que le S&P 500 ne descende à son plus bas de 2009, à 666 points.
Quels sont les principaux risques pour les marchés dans les prochains mois ?
La crise est loin d'être finie. Au-delà des inquiétudes sur la zone euro -qui vont demeurer -, les craintes sur le reste du monde vont devenir de plus en plus importantes, au cours de l'été. Tous les éléments d'une récession mondiale sont en place. La Chine risque de souffrir d'un ralentissement brutal, alors que les autorités chinoises, qui constatent les premiers signes de déflation, perdront également le contrôle sur la croissance. De plus en plus de statistiques vont inquiéter les investisseurs ces prochaines semaines. Le PIB de la Chine pourrait ralentir à 3%, voire moins. Toutefois, à la différence d'il y a quelques mois, le risque chinois est de mieux en mieux appréhendé par les investisseurs : nombre d'entre eux prévoient un net ralentissement. La situation aux Etats-Unis, en revanche, est bien moins intégrée par les marchés, alors que le pays est déjà en récession.
Une récession de quelle ampleur ?
Elle pourrait être moins importante que lors de la crise de 2008 -où le PIB avait fléchit de plus de 5% en cumulé-, mais néanmoins significative. Alors que le consensus prévoit toujours une croissance d'environ 2,5% cette année, l'économie entre en récession avec un PIB en recul potentiel de 2 %. Cela risque de provoquer une forte chute des résultats des sociétés, pouvant aller jusqu'à 30% à 40%. Les marges des entreprises (sur la base des résultats opérationnels) sont actuellement à leurs plus hauts historiques. Les avertissements sur résultats devraient donc se multiplier tout au long de la saison des publications cet été -qui vient de débuter. En excluant les valeurs financières, les profits des entreprises américaines ont déjà commencé à baisser au deuxième trimestre ( attendus à -0,3% selon le consensus, NDLR). Et, ce n'est que le début !
Dans ce contexte, comment voyez-vous les marchés évoluer ?
Le marché n'a pas encore pris en compte tous les risques sur l'économie américaine. Il s'inquiète du futur, après les élections, en particulier des reconductions d'exemptions d'impôts et de charges et de baisses des dépenses de l'Etat. C'est cette falaise fiscale ( « fiscal cliff » ) qui préoccupe les investisseurs, alors même que les Etats-Unis sont déjà sans doute entrés en récession, comme le suggèrent les indices ISM. Il faut se souvenir que fin 2007, aussi, alors que la récession aux Etats-Unis débutait, Wall Street se portait alors relativement bien. Le S&P 500 pourrait ainsi atteindre son plus bas de mars 2009 à 666 points (soit un indice divisé de moitié, NDLR), dans les prochains mois. Et, les autres marchés mondiaux risquent d'être affectés. D'autant, que les volumes baissent dans la période estivale, amplifiant les mouvements.
C'est une vision bien négative, alors que les marchés sont peu valorisés...
Après presque trois années de reprise (depuis 2009), il n'est pas illogique que l'économie et les Bourses repartent à la baisse, sur fond de désendettement massif. Les investisseurs ne se sont pas rendus complètement compte que l'on était dans un « bear market » (marché baissier) depuis le début des années 2000. Les marchés sont bas mais pourraient encore baisser. Wall Street est davantage à risque, car bien plus cher que l'Europe. La valorisation relative a atteint un plus haut historique. Les ratios cours/bénéfices, à douze mois, (« price earnings ») peuvent descendre jusqu'à leurs points bas de la dernière période de baisse en 2009 à 8,5 fois en Europe et 10,5 fois aux Etats-Unis.
Un nouveau programme d'assouplissement quantitatif de la Fed ne pourrait-il pas limiter la chute des marchés ?
Des statistiques macroéconomiques décevantes aux Etats-Unis augmentent, en effet, la probabilité d'une troisième vague d'assouplissement quantitatif (un QE3). Mais, les deux précédents programmes ont eu de moins en moins d'effets sur la croissance et les marchés. Les banques centrales ne peuvent pas empêcher une récession : elles peuvent juste en limiter l'impact. Les investisseurs sont trop confiants dans la capacité de ces institutions, dans le contexte de désendettement massif. Cela me rappelle le sentiment au Japon à la fin des années 90 : les investisseurs espéraient que la BoJ allait permettre une reprise...
2 de 23-13/7/2012 06:140
2luma
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merci assez bonnes nouvelles de chine avec un pib à 7.6
hier emploi us un peu mieux et deficit US un peu moins pire seulement grace aux recttes fiscales
chez pavé Peugeot que fera l'etat ?
un peu de vert en Asie alors chez nous stable ou rebond ?
on est toujours au dssus mm20
bonne journée à tous et bon weekend
PS ce qu'on aime pas surtout si celà se propage
la france aime bien monter les taxes
l'Ukraine augmente de 70% l"accise sur les alcools au 1/07/2012
3 de 23-13/7/2012 08:350
betyjc
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bonjour
tant que m20 (3136) tient l'objectif est la m7 (3184)/"mon niveau 3178"
sous m20 et le plus bas d'hier, ma ligne niveau 3106 serait l'objectif bas
bons trades
4 de 23-13/7/2012 09:010
bcheval7
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Bonjour à Tous,
Merci Betyjc pour ces précisions, un retour au dessus des 3.200 me ferait prendre une petite louche supplémentaire de short, wait and see.
Bonne journée et bon trade à Tous !
5 de 23-13/7/2012 15:490
Constantia
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Bonjour,
Petit commentaire sur les points pivots donnés, je n'ai pas les mêmes alors j'aimerais savoir sur quelle formule vous vous basez?? moi c'est du classique en journalier, (H+B+C) / 3 ...
Après je n'ai pas encore comparé avec d'autres formules, mais peut être en Camarilla??
Merci +++
6 de 23-Modifié le 13/7/2012 16:430
betyjc
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constantia, peux-tu nous donner tes H B C d'hier ? merci
..........
la m7 est atteinte...et maintenant ????....retour sur m20 ?
(je ne connais pas le niveau exact de m7 ....mais au moins ma ligne 3178 atteinte.)
7 de 23-13/7/2012 17:010
phildup85
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Constantia, j'utilise les PP de Fibonacci
8 de 23-13/7/2012 17:100
maximilien124
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la mm7 se situe a 3171.19 j ai une résistance a 3175 sa fais bcp a passer
9 de 23-Modifié le 13/7/2012 18:190
betyjc
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en hebdo
clôture à nouveau sous m50 baissière , néanmoins elle est fortement sollicitée
au-dessus 3190 ma 1ere ligne hebdo est à 3270
sous les 3115 ma 1ere est 3080
macd est passé positif, le stoch est haussier,il reste le rsi qui se maintien toujours sous les 50.....attention en cas de cassure par le haut
le graph...
en daily ,il est encore un peu tot pour anticiper une traversée ou non de la m7 sous la m20.....mais ce sera à surveiller...
nous clôturons au-dessus de la m7, cela semble assez favorable pour une reprise haussière avec pour cible le fibo 61.8% (3254)
pour autant la m200 nous attend au passage et n'a pas dit son dernier mot...(niveau 3200)
10 de 23-14/7/2012 00:100
Constantia
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Voici pour la seance du 12 :
H : 3 167.3
B : 3 117.5
C : 3 147.4
Sinon pour les fibonacci, je ne m'y suis jamais réelement penché, mais pourquoi pas ! merci (je suis pas trés AT au départ mais il en faut)
11 de 23-14/7/2012 04:270
betyjc
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@constantia
la différence que tu constate se situe dans ces points HBC et non dans les formules de calcul;
regarde les chiffres donnés par phildup85 HLC des le début pris sur le cac que tu peux trouver sur bourso ou prorealtime et bien d'autres...
.....
tes chiffres correspondent soit à des cfd ou futures.....normal ces différences puisque à la base ,les chiffres retenus ne sont pas les mêmes.
bon 14 jullet....et que ça "pète"
12 de 23-14/7/2012 08:140
pounet2
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cela peut sans doute vous aider pour les pivots
La technique des Points Pivots
technique ancienne encore très utilisée, car elle permet de déterminer des points d'entrée de support et de résistance.
Il existe plusieurs définitions des points Pivots :
la technique classique, les points de camarilla, les points de wood , les points Pivot de Fibonacci .
Comment calculer les points Pivot:
H=plus haut
L= plus bas
C= cloture
R= résistance
S= soutient
O= ouverture
PP= point pivot
-dans la technique classique les équations sont les suivantes :
R2= PP+(H-L)=PP+(R1-S1)
R1=(PP*2)-L
PP=(H+L+C)/3
S1=(PP*2)-H
S2=PP-(H-L)=PP-(R1-S1)
-points pivots de Wood
ce sont les memes équations que dans la technique classique,SAUF QUE LE PP EST:(H+L+2C)/4
les Camarilla
nous entrons-là quasiment dans un mystère, en effet plusieurs techniques existent pour déterminer les points de camarilla, le problème est de savoir quelle est la bonne.
Je vous en donne une, il existe des calculateurs qui font ça tout seul.
R4= {1,1*(H-L)/2}+C
R3={1,1*(H-L)/4}+C
R2={1,1*(H-L)/6}+C
R1={1,1*(H-L)/12}+C
PP=(H+B+C)/3
S1=C-{1,1*(H-L)}/12
S2=C-{1,1*(H-L)}/6
S3=C-{1,1*(H-L)}/4
S4=C-{1,1*(H-L)}/2
une autre technique pour les curieux:
HL5=(H/L)*C
HL4={(H/L)+0,83}/1,83]*C
HL3={(H/L)+2,66}/3,66]*C
LL5=C-(HL5-C)
LL4=C-(HL4-C)
LL3=C-(HL3-C)
comme vous le voyez le Camarilla est très simple!!
les pivots de Fibonacci
R3=PP+(H-L)*1
R2=PP+(H-L)*0,618
R1=PP+(H-L)*0,382
PP=(H+L+C)/3
S1=PP-(H-L)*0,382
S2=PP-(H-L)*0,618
S3=PP-(H-L)*1
--il y a possibilité d'anticiper avec les points Pivot le marché du lendemain dans des conditions bien précises.
-si la clôture du jour est inférieure à l'ouverture on peut faire le calcul suivant : (H+L+C+L)=X
pour le lendemain on peut projeter :
H=X/2-L
L=X/2-H
-si la clôture du jour est supérieure à l'ouverture on peut faire le calcul suivant :(H+L+C+H)=X
pour le lendemain on peut projeter :
H=X/2-L
L=X/2-H
-si la clôture du jour est égale à l'ouverture, en peut faire le calcul suivant :(H+L+C+C)=X
pour le lendemain on peut projeter :
H=X/2-L
L=X/2-H
ces formules d'anticipation sont importantes à retenir de par leur intérêt, et de plus vous ne les trouverez pas sur les sites parlant des points pivots.
Voyons maintenant comment trader avec les points pivots. Nous allons voir trois façons de faire, la méthode classique décrite sur tous les sites, une méthode un peu plus pointue, et enfin la façon dont personnellement je trade avec les points Pivots, en particulier pour les CFD.
Première méthode :
les niveaux mis en lumière par la méthode des points pivots, jouent un rôle psychologique important.D'une part,car de nombreux traders suivent la méthode et agissent de la même façon lorsque l'on touche les niveaux spécifiques, d'autre part car le calcul détermine des zones techniquement représentatives.
Pour les classiques, le plus important est le point pivot. En effet ils considèrent que toute évolution des cours au-dessus du point pivot signifie que l'on est dans une tendance positive. À l'inverse, toute évolution sous ce niveau indique que la tendance est plutôt sur un biais négatif.
La technique d'intervention devient alors très simple, on passe à l'achat lorsque les cours franchissent en hausse le niveau du pivot, et inversement en passe vendeur lorsque les cours cassent en baisse le pivot.
Une fois entrée en position sur une valeur, les niveaux de support S1 et S2 et de résistance R1 et R2 nous donneront alors des objectifs et nous permettront d'affiner le money management de notre trade.
Au passage en hausse du pivot, on passe acheteur sur la valeur et on positionne une vente stop de sécurité juste sous le niveau du pivot. Ainsi en cas de faux signal, nous sortons tout de suite de la transaction.une fois entrée dans cette position, notre premier objectif de hausse est R1. Imaginons que les cours montent et atteignent R1, notre nouvel objectif de hausse devient R2. Pour protéger les bénéfices que nous avons déjà engrangés nous augmentons notre stop de sécurité. Les cours montent et atteignent R2, nous pouvons alors décider de prendre le bénéfice ou de continuer à rester en position si nous estimons qu'il reste un potentiel complémentaire. Dans ce cas pour protéger les bénéfices que nous avons déjà engrangés, nous remontons notre vente de sécurité juste sous la résistance R2.
Dans la situation inverse où nous ferions une vente à découvert, nos objectifs de baisse seraient localisés sur les supports S1 et S2. Personnellement, lorsque la première résistance ou le premier support est franchi, à moins qu'il n'y ait une nette tendance, je prends mon bénéfice sur la moitié de ma position.
Se rappeler que le premier franchissement du point pivot de la journée est le plus important.
Avant d'entrer sur le marché, j'attends en général un quart d'heure pour voir quelle est la tendance. De plus, les trades à l'aide des points pivots, sont affinées par un graph en UT minute, avec les MM 5 et MM 11, plus le MACD 4 20 4.
--Une deuxième façon d'utiliser les points pivots, est de choisir les jours basés sur la tendance qui détermine si on va trader long ou short ce jour là.
Pour cela, on calcule la moyenne sur 3 jours et sur 5 jours du cours pivot. Si le point pivot journalier est plus grand que les deux moyennes, alors la tendance à court terme est en hausse, et on entre long sur le marché. À l'inverse si le point pivot est plus bas que les deux moyennes, on entrera court sur le marché.
la troisième façon, est celle que j'utilise. Je rentre très rarement sur le marché au niveau du point pivot.
Puisque c'est ma façon de faire, je dois dire qu'avant d'utiliser les points Pivots, j'ai observé sur cinq actions et trois indices(CAC,DOW,NASDACQ) l'évolution des graph en rapport avec les points Pivots.ceux-ci couplés à l'étude de deux moyennes mobiles et du M A C D modifiés. Je me suis aperçu qu'il y avait une augmentation de volume au niveau des résistances et des soutiens.
Ces volumes étaient maximums au niveau R2 et S2. J'ai donc décidé de trader presque exclusivement sur ces deux niveaux, en vendant R2 et en achetant S2. Avec prise partielle de bénéfice au niveau 1 sur les supports et les résistances, et en posant des stops au fur et à mesure de l'évolution des cours.
Avec cette méthode, j'arrive en moyenne à 7 trades gagnants sur 10. De plus je coupe très rapidement mes pertes. Je pense qu'il vaut mieux plusieurs petits trades gagnants, qu'un gros trade perdant.
J'interviens en général sur le CAC entre 8 h et 14 h selon les nouvelles économiques attendues ,et sur le DOW après la fermeture de Paris.
J'ai de plus tendence à travailler de plus en plus avec 2 écrans.
13 de 23-15/7/2012 00:200
Constantia
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@ Betyjc, merci de cette remarque, il est vrai que la source du graph "france40" ou j'ai pris les chiffres n'est pas égale au court réel, pourtant pris sur prorealtime (et faut pas me demander pourquoi parce que je le sais même pas)
"la corrélation entre le prix des CFD et les sous jacents est parfaite, il n'y a aucune différence" (phrase que l'on peut lire plutot souvent, cherchez l'erreur.)
Mais jusque là, rien de trés grave, si le cac avait réellement atteind ces HBC, les pivots seraient bons, pas d'inquiétude.
@ Pounet2, cette explication est parfaite, ca résume un bon nombre de choses et va bien m'être utile (surement pas le seul), et merci pour ca.
En fait, pour partager, je suis sur les CFD actions (uniquement pour le moment), mon approche trading se base sur le tape reading, en trading Level2, mais j'ai besoin d'utiliser d'autres paramêtre pour valider certaines analyses, notamment avec les pivots (est ce que ce mur sur le carnet correspond bien à une résistance ou support des pivots? question que j'eu l'occasion de rechercher)
Nous débattons un peu dans une section qui n'a rien à voir, peut être pourrions nous créer prochainement un topic la dessus, ou chacun partagerait sur son approche trading, pour tous les styles et tous les niveaux.
Bonne fin de weekend !
14 de 23-15/7/2012 09:100
betyjc
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@ constantia
le cac clôture 17:35
le france40 clôture vers 23 h (d’où cette différence)
15 de 23-15/7/2012 09:350
pounet2
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ce "topic" existe depuis longtemps sur le site,il suffit de le retrouver
16 de 23-15/7/2012 18:530
FELIXINOU
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Bonjour a toutes et a tous,
Article qui merite qu on s y attarde
Chine : la croissance marque le pas
Publié le 13/07/2012 | 12h19 |
Jean-Baptiste Huet
La Chine a annoncé un taux de croissance de 7,6 % au deuxième trimestre, le plus faible depuis le début de la crise. Mais, selon certains observateurs, les chiffres dévoilés ce vendredi 13 juillet sont à prendre avec des pincettes…
La Chine n'aurait eu que dix jours ouvrables pour calculer sa croissance (Photo : AFP)
Ce qu'il faut retenir
> 7,6 % de croissance annoncé au deuxième trimestre par Pékin
> Un chiffre considéré comme peu crédible pour les observateurs
> La Chine doit faire face à une crise du surinvestissement
Vendredi 13 juillet, les autorités chinoises ont annoncé un taux de croissance de 7,6 % au deuxième trimestre, le plus faible depuis le début de la crise. L'activité a tendance à s'essouffler dans le pays. Pékin doit faire face au ralentissement de la demande intérieure ainsi qu'à un coup de frein dans les exportations. Selon certains observateurs, les chiffres dévoilés ce vendredi enjoliveraient même la réalité.
Les observateurs doutent des chiffres avancés par Pékin
Ils constatent en effet que l'échéance du deuxième trimestre avait lieu le 30 juin. Nous sommes le 13 juillet, la Chine n'a donc eu que dix jours ouvrables pour calculer sa croissance ? Rappelons qu'en France, pays vingt fois plus petit, il faut deux mois à l’Insee pour effectuer ce calcul. Autre observation des analyste qui leur fait douter de la fiabilité des chiffres officiels : la Chine ne révise jamais sa croissance quand la plupart des autres pays le font.
Ainsi, les données fournies par l'administration centrale chinoise n'intéressent plus les observateurs, qui les jugent peu crédibles. Les spécialistes préfèrent se tourner vers d'autres indicateurs qu'il jugent plus tangibles, plus "palpables". Bien plus inquiétants aussi.
Une crise du surinvestissement
Selon Marc Fiorentino, économiste invité sur BFM Business ce matin, en regardant l'évolution de la consommation électrique, on peut déduire que la croissance chinoise se situe en réalité autour de 2 à 3 %. Soit moins de la moitié des chiffres officiels.
Par ailleurs, les provinces chinoises sont très endettées, mais on ne connaît pas non plus précisément leur situation. Le pays a longtemps soutenu artificiellement son activité, notamment via de vastes programmes de constructions subventionnées. Aujourd’hui, il fait face à une crise du surinvestissement : des routes qui ne sont pas terminées, des immeubles vides… Des nouvelles alarmantes quand on sait que la moitié de la croissance chinoise de ces dernières années a été tirée par l’immobilier.
17 de 23-15/7/2012 18:570
bcheval7
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Merci Felix !
Une petite A.T peut être ? :)
Bonne soirée et bonne semaine !
18 de 23-15/7/2012 19:100
FELIXINOU
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Regard sur le marche: Bernanke pourrait sceller la tendance du marche pour le restant de l'ete.
Pendant que la plupart des traders esperent un nouvel assouplissement monetaire de la part de la Fed, la semaine prochaine Bernie pourrait annoncer au membres du congres que c'est a leur tour d'agir.
Bernanke fera son rapport semestriel sur l'etat de l economie devant un panel de senateurs mardi puis mercredi devant un commite de financiers.
"Il va encore ressasser l histoire du gouffre fiscal" rapporte Diane Swonk, economiste en chef chez Mesirow Financial. "Il se doit de le rappeler. Cela ecarte deja toute perspective de croissance".
En parallele au discours de Bernanke, le calendrier des affaire sera charge, en commencant par les ventes au detail US lundi, l inflation et quelques rapport sur l immobilier.
On attend aussi les resultats de majors comme coca cola, american express, bank of america, microsoft, ibm et general electric.
Cependant meme si les resultats de ces dernieres confirmeront ou non le ralentissement eco US, ce sera tres probablement le speech de Bernie qui scelleront les attentes du marche pour le reste de l'ete.
Sources: CNBC
19 de 23-15/7/2012 19:430
FELIXINOU
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Membre depuis: 01/2/2009
Si maintien au dessus de EMA 100 probabilite de l objectif forte toutes choses egales par ailleurs.
20 de 23-15/7/2012 19:460
FELIXINOU
Messages postés: 3141 -
Membre depuis: 01/2/2009
A ce moment la on aurait une tres grosse ETEi amorcee depuis le 20 mai avec en LDC les 3300.
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NTERVIEW ALBERT EDWARDS, RESPONSABLE DE LA STRATÉGIE GLOBALE, SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CROSS ASSET RESEARCH
Albert Edwards (Société générale) : pourquoi Wall Street va perdre la moitié de sa valeur
Par Marina Alcaraz | 12/07 | 17:55 | mis à jour à 19:36
Le responsable de la stratégie globale à la Société Générale s'inquiète de la conjoncture américaine. Considéré comme un « bear » (pessimiste), Albert Edwards estime que l'économie américaine est sans doute déjà entrée en récession. Il craint que le S&P 500 ne descende à son plus bas de 2009, à 666 points.
Quels sont les principaux risques pour les marchés dans les prochains mois ?
La crise est loin d'être finie. Au-delà des inquiétudes sur la zone euro -qui vont demeurer -, les craintes sur le reste du monde vont devenir de plus en plus importantes, au cours de l'été. Tous les éléments d'une récession mondiale sont en place. La Chine risque de souffrir d'un ralentissement brutal, alors que les autorités chinoises, qui constatent les premiers signes de déflation, perdront également le contrôle sur la croissance. De plus en plus de statistiques vont inquiéter les investisseurs ces prochaines semaines. Le PIB de la Chine pourrait ralentir à 3%, voire moins. Toutefois, à la différence d'il y a quelques mois, le risque chinois est de mieux en mieux appréhendé par les investisseurs : nombre d'entre eux prévoient un net ralentissement. La situation aux Etats-Unis, en revanche, est bien moins intégrée par les marchés, alors que le pays est déjà en récession.
Une récession de quelle ampleur ?
Elle pourrait être moins importante que lors de la crise de 2008 -où le PIB avait fléchit de plus de 5% en cumulé-, mais néanmoins significative. Alors que le consensus prévoit toujours une croissance d'environ 2,5% cette année, l'économie entre en récession avec un PIB en recul potentiel de 2 %. Cela risque de provoquer une forte chute des résultats des sociétés, pouvant aller jusqu'à 30% à 40%. Les marges des entreprises (sur la base des résultats opérationnels) sont actuellement à leurs plus hauts historiques. Les avertissements sur résultats devraient donc se multiplier tout au long de la saison des publications cet été -qui vient de débuter. En excluant les valeurs financières, les profits des entreprises américaines ont déjà commencé à baisser au deuxième trimestre ( attendus à -0,3% selon le consensus, NDLR). Et, ce n'est que le début !
Dans ce contexte, comment voyez-vous les marchés évoluer ?
Le marché n'a pas encore pris en compte tous les risques sur l'économie américaine. Il s'inquiète du futur, après les élections, en particulier des reconductions d'exemptions d'impôts et de charges et de baisses des dépenses de l'Etat. C'est cette falaise fiscale ( « fiscal cliff » ) qui préoccupe les investisseurs, alors même que les Etats-Unis sont déjà sans doute entrés en récession, comme le suggèrent les indices ISM. Il faut se souvenir que fin 2007, aussi, alors que la récession aux Etats-Unis débutait, Wall Street se portait alors relativement bien. Le S&P 500 pourrait ainsi atteindre son plus bas de mars 2009 à 666 points (soit un indice divisé de moitié, NDLR), dans les prochains mois. Et, les autres marchés mondiaux risquent d'être affectés. D'autant, que les volumes baissent dans la période estivale, amplifiant les mouvements.
C'est une vision bien négative, alors que les marchés sont peu valorisés...
Après presque trois années de reprise (depuis 2009), il n'est pas illogique que l'économie et les Bourses repartent à la baisse, sur fond de désendettement massif. Les investisseurs ne se sont pas rendus complètement compte que l'on était dans un « bear market » (marché baissier) depuis le début des années 2000. Les marchés sont bas mais pourraient encore baisser. Wall Street est davantage à risque, car bien plus cher que l'Europe. La valorisation relative a atteint un plus haut historique. Les ratios cours/bénéfices, à douze mois, (« price earnings ») peuvent descendre jusqu'à leurs points bas de la dernière période de baisse en 2009 à 8,5 fois en Europe et 10,5 fois aux Etats-Unis.
Un nouveau programme d'assouplissement quantitatif de la Fed ne pourrait-il pas limiter la chute des marchés ?
Des statistiques macroéconomiques décevantes aux Etats-Unis augmentent, en effet, la probabilité d'une troisième vague d'assouplissement quantitatif (un QE3). Mais, les deux précédents programmes ont eu de moins en moins d'effets sur la croissance et les marchés. Les banques centrales ne peuvent pas empêcher une récession : elles peuvent juste en limiter l'impact. Les investisseurs sont trop confiants dans la capacité de ces institutions, dans le contexte de désendettement massif. Cela me rappelle le sentiment au Japon à la fin des années 90 : les investisseurs espéraient que la BoJ allait permettre une reprise...