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Orange, Bouygues, Sfr, Free Et Compagnie...

- 21/6/2015 13:20
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

PARIS (Reuters) - Le propriétaire de SFR-Numericable a proposé 10 milliards d'euros pour acheter Bouygues Telecom, écrit Le Journal du Dimanche, une information à laquelle le ministre de l'Economie a réagi en répétant que la consolidation n'était pas souhaitable.



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129 Réponses
  3    
41 de 129 - 16/11/2015 20:56
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

La
première journée des enchères pour l'attribution de la bande des 700
MHz aux opérateurs de téléphonie mobile s'est déroulée lundi sans que
les six lots en jeu n'aient été attribués, a annoncé l'Autorité de
régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) dans
un communiqué.

Les sept premiers tours d'enchères ont fait monter
le prix de chaque lot à un montant unitaire de 451 millions d'euros en
fin de journée, soit un montant total de plus de 2,7 milliards d'euros, a
précisé le régulateur, qui débutera la deuxième journée à un montant de
456 millions d'euros.

La procédure prévoit que, tant que la
demande des quatre opérateurs sera supérieure au nombre de lots
disponibles, les enchères se poursuivront, avec une hausse du prix de
chaque lot de 5 millions d'euros par tour.

Ces enchères portent
sur les fréquences 700 MHz jusqu'ici utilisées par la télévision et qui
passeront, à partir de la mi-2016 pour les premières régions, dans le
giron de la téléphonie mobile.

Seul Free pourra acquérir plus de deux lots

Considérées
comme des "fréquences en or" parce qu'elles permettent une meilleure
qualité de service tout en offrant une portée plus importante aux
antennes relais, les 700 MHz sont réparties en six lots, pour lesquels
l'Etat espérait obtenir au minimum 2,5 milliards d'euros, ce qui est
déjà garanti vu le niveau de demande enregistré au premier jour. Cette
somme doit permettre de financer la rallonge accordée au secteur de la
Défense lors de la révision de la loi de programmation militaire opérée
début juin.

Chaque opérateur ne pourra pas acquérir plus de deux
lots à l'exception de Free, qui pourra en acheter trois, afin de
compenser sa faible présence sur les bandes de fréquences proches, de
800 et 900 MHz, l'objectif étant d'éviter qu'un opérateur puisse
contrôler plus du tiers des trois bandes 700, 800 et 900 MHz. Bouygues
Telecom, Free Mobile, Orange et SFR avaient déposé un dossier, qui ont
tous

(...) Lire la suite sur La Tribune.fr

42 de 129 - 17/11/2015 08:45
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Bouygues. Barclays réduit son cours visé de deux d’euros à 36 euros et reste à « pondération en ligne ».

LafargeHolcim.
Davy dégrade sa recommandation passant de « neutre »
à « sous-performer ». De son côté, Natixis, reste à l’ « achat » mais
vise dorénavant un cours de 67 euros contre 74 auparavant.

Dassault Aviation. JP Morgan abaisse son objectif de cours de 1,25 euro à 1,18 et maintient sa recommandation à « neutre ».

Ubisoft. Jefferies débute le suivi de la valeur à l’ « achat » et vise 32 euros.

Numéricable-SFR.
Barclays révise à la baisse son objectif de cours à 47,70 euros contre
53 précédemment. Il maintient sa recommandation à « pondération en
ligne ».

ID Logistics. Berenberg a augmenté son « target price » de 19 euros à 144 et réitère son conseil d’ « achat ».


Investir

43 de 129 - 17/11/2015 09:50
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

PARIS (Reuters) - La
plupart des grandes entreprises françaises ont discrètement renforcé
lundi leurs mesures de sécurité, notamment sur les sites ouverts au
public, et certaines ont annulé des évènements prévus à Paris après les
attentats qui ont frappé vendredi soir la capitale.

La plupart des sociétés interrogées n'ont pas souhaité
détailler leur dispositif pour ne pas en réduire l'efficacité, mais
elles ont notamment fait appel à des vigiles pour les postes d'accueil,
comme après les attentats contre Charlie Hebdo en janvier.

"Il y a un renforcement du dispositif de sécurité sur
les sites ouverts au public", a déclaré un porte-parole de PSA Peugeot
Citroën, citant le siège du groupe près des Champs-Elysées, ou encore
les showrooms des marques sur l'avenue-même.

Chez le spécialiste du câble électrique Nexans, où la
sécurité de l'accès aux sites à déjà été renforcée il y a plusieurs
mois, on souligne que le dispositif peut encore se durcir selon les
consignes des autorités.

Elior, spécialiste de la restauration collective, a
adressé samedi à tous ses salariés un mail accompagné d'un numéro
d'urgence. Le groupe a mis en place une cellule de crise afin d'assurer
notamment le suivi sur le terrain des mesures de sécurité prises dans
les lieux publics et de loisir, comme les gares et les aéroports.

Si l'Association européenne de l'énergie éolienne a
maintenu sa conférence EWEA 2015 qui doit débuter mardi à Paris et que
Danone tiendra bien cette semaine son séminaire à Evian, la présentation
par Altran de son plan stratégique a été reportée.

La conférence internationale du New York Times sur le luxe, prévue à Versailles mardi et mercredi, a elle aussi été annulée.

L'annulation des rencontres économiques France-Iran prévues mardi au Medef a également été décidée mardi matin.

Eurodisney a précisé de son côté que le parc de Disneyland Paris resterait fermé jusqu'à mardi compris.

Les centres commerciaux du groupe Klépierre, parmi
lesquels le centre de Val d'Europe de Marne-la-Vallée, celui de Créteil
Soleil ou encore Le Millénaire à Aubervilliers, sont restés ouverts
samedi, avec des mesures de sécurité renforcées comme la fouille
systématique des sacs.

Les grands magasins parisiens comme le Printemps ou les
Galeries Lafayette ainsi que les boutiques de luxe des groupes LVMH et
Kering ont rouvert lundi à Paris, après avoir baissé rideau pendant le
week-end.

SÉCURITÉ MAXIMALE DANS LES TRANSPORTS

Dans les banques, où certaines agences étaient fermées
samedi dans les quartiers frappés par les attentats,, les consignes de
sécurité ont été rappelées.

"Nous avons dit aux employés de plutôt privilégier des
'conf calls' plutôt que des déplacements, c'est le principe de
précaution. Nous avons annulé un certain nombre de manifestations pour
respecter la période de deuil national et aussi respecter les consignes
de sécurité", a souligné un porte-parole du Crédit agricole.

La Poste a annoncé avoir activé depuis ce week-end "le plus haut niveau de ses dispositifs de sécurité."

Parmi les sites sensibles, un porte-parole de Total a
indiqué que la sécurité était à son plus haut niveau sur tous les sites
du groupe.

Airbus Helicopters a souligné pour sa part que les
contrôles avaient été durcis à l'entrée de ses sites, et Orange que la
sécurité avait été renforcée pour garantir "le bon fonctionnement du
réseau". Un porte-parole de l'opérateur n'a pas précisé le nombre de
sites concernés ni la nature du renforcement effectué.

Chez Bouygues Telecom, une cellule de crise est en
place depuis ce week-end pour s'assurer que le réseau fonctionne au
mieux et garantir que les appels d'urgence puissent passer, même lors
des pics comme ceux observés entre vendredi soir et samedi matin, où 25
millions de SMS de plus que la normale ont été échangés.

Du côté des transports, Air France et ADP ont indiqué
lundi que le trafic était normal. La SNCF, elle, est en alerte attentats
depuis l'attaque contre le Thalys en août, tandis qu'Eurotunnel a déjà
un dispositif de sécurité très important depuis la crise des migrants.

Une porte-parole de la RATP a indiqué qu'outre les 300
personnes supplémentaires déployés par la police et la gendarmerie sur
le réseau, elle redéployait ses 1.000 agents de sécurité. Ceux-ci ont
été sensibilisés pour repérer et signaler les comportements anormaux.

(Gilles Guillaume, avec l'ensemble de la rédaction, édité par Jean-Michel Bélot)

44 de 129 - 17/11/2015 16:41
waldron Messages postés: 9815 - Membre depuis: 17/9/2002

La bande des 700 MHz attribuée aux opérateurs de téléphonie mobile
va rapporter à l'Etat 2,8 milliards d'euros, croit savoir le quotidien
Le Mondeicon1.png, qui annonce la fin de la procédure d'attribution au deuxième jour des enchères organisées par l'Arcep.




Selon le journal, les enchères se sont arrêtées au dixième tour à un
prix unitaire de 466 millions d'euros par lot, Orange et Free en
acquérant deux chacun alors que Bouygues Telecom et SFR se partageaient
les deux derniers lots.



Contactées par l'AFP, les différentes parties prenantes se sont refusées à tout commentaire.




Ces enchères portent sur les fréquences 700 MHz jusqu'ici utilisées
par la télévision et qui passeront, à partir de la mi-2016 pour les
premières régions, dans le giron de la téléphonie mobile.



Considérées comme des "fréquences en or" parce qu'elles permettent une meilleure qualité de serviceicon1.png
tout en offrant une portée plus importante aux antennes relais, les 700
MHz sont réparties en six lots, pour lesquels l'Etat espérait obtenir
au minimum 2,5 milliards d'euros.



A l'issue du premier
jour, lundi, ce montant était déjà dépassé puisque le prix unitaire des
lots avait atteint les 451 millions d'euros, soit un total de plus de
2,7 milliards d'euros.



La somme obtenue pour la bande
700 MHz doit permettre de financer la rallonge accordée au secteur de la
Défense lors de la révision de la loi de programmation militaire opérée
début juin.



Chaque opérateur n'a pas la possibilité
d'acquérir plus de deux lots à l'exception de Free, qui pouvait en
acheter trois, afin de compenser sa faible présence sur les bandes de
fréquences proches, de 800 et 900 MHz, l'objectif étant d'éviter qu'un
opérateur puisse contrôler plus du tiers des trois bandes 700, 800 et
900 MHz.



Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR
avaient déposé un dossier, qui ont tous été acceptés par l'Arcep, afin
de participer à ces enchères.





(END) Dow Jones Newswires



November 17, 2015 08:25 ET (13:25 GMT)

45 de 129 - 17/11/2015 18:33
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Orange (EU:ORA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 17 Novembre 2015

Plus de graphiques de la Bourse Orange

La bande de fréquences des 700 mégahertz (MHz) a été attribuée aux
enchères aux quatre grands opérateurs mobiles français, pour un montant
global de 2,8 milliards d'euros, a annoncé mardi à l'AFP le président du
gendarme des télécoms, l'Arcep, Sébastien Soriano.



"La
première phase de la procédure s'est arrêtée ce matin avec la
répartition suivante des six lots mis en vente: deux lots chacun pour
Orange et Free Mobile, un lot chacun pour Bouygues Telecom et SFR. Le
tout pour un montant global de 2,796 milliards d'euros", a déclaré à
l'AFP M. Soriano.





(END) Dow Jones Newswires



November 17, 2015 12:09 ET (17:09 GMT)

46 de 129 - 24/11/2015 20:58
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007
 VARSOVIE, 24 novembre (Reuters) - L'opérateur de téléphonie 
mobile P4, connu sous la marque Play et qui vient d'être mis en
vente par ses propriétaires, a annoncé mardi un bond de près de
42% de son bénéfice sur un an et être devenu le numéro trois
polonais en nombre de clients.
Sur les 12 mois à fin septembre, le bénéfice avant intérêts,
impôts, dépréciations et amortissements (Ebitda) ajusté a grimpé
à 1,41 milliard de zlotys (332 millions d'euros).
Le chiffre d'affaires sur la même période a progressé de
18,4% sur un an pour atteindre 3,98 milliards de zlotys.
La clientèle a augmenté de 15%. Avec 13,55 millions de
clients, Play dépasse Polkomtel PTL.UL , filiale de Cyfrowy
Polsat CPS.WA , pour prendre la troisième place derrière la
filiale polonaise d'Orange ORAN.PA OPL.WA et celle de
Deutsche Telekom DTEGn.DE .
Les propriétaires de P4 explorent avec Bank of America
Merrill Lynch la possibilité d'une vente ou d'une introduction
en Bourse, ont déclaré la semaine dernière plusieurs sources à
Reuters. La transaction pourrait atteindre deux milliards
d'euros.

(Adrian Krajewski; Patrick Vignal pour le service français)
47 de 129 - 25/11/2015 12:19
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

(CercleFinance.com) - Bouygues Telecom est devenu ce mercredi le premier

opérateur à proposer la 4G pour les appels en France à travers sa

solution VoLTE (Voix sur LTE).



Celle-ci est, dans un premier

temps, proposée à 5.000 clients de l'opérateur, dont 700 clients

Entreprises, équipés de terminaux compatibles (Samsung Galaxy S6 et

Samsung Galaxy S6 Edge).



Le déploiement de la VoLTE se fera

progressivement avec, dans le courant de l'année prochaine, une

disponibilité pour l'ensemble des clients éligibles.



La VoLTE

permet de passer des appels via le réseau 4G. Elle offre ainsi une

qualité optimisée de la voix lors de la communication et permet, tout en

téléphonant, de surfer sur le réseau 4G pour envoyer, partager,

télécharger tous types de contenus.

48 de 129 - 02/12/2015 16:49
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

PARIS, 2 décembre (Reuters) - Orange, Numericable-SFR,
Bouygues Telecom et Free continueront d'améliorer leur rentabilité en
2016, grâce à une trêve dans la guerre des prix qui les oppose, prévoit
l'agence de notation Moody's dans une étude publiée ce mercredi.

Les
quatre opérateurs devraient se focaliser sur la création de valeur, en
maintenant leurs dépenses d'investissements à des niveaux élevés pour
développer leurs réseaux 4G et de fibre optique.

Ce changement de
stratégie devrait permettre aux opérateurs de poursuivre l'augmentation
de leur rentabilité malgré la persistance de fortes pressions
concurrentielles, précise Moody's dans un communiqué.

L'agence n'exclut pas pour autant une consolidation du secteur. Altice, maison-mère de Numéricable-SFR, pourrait à nouveau tenter de racheter Bouygues Télécom fin 2016 ou 2017, estime Moody's.

En juin, le propriétaire d'Altice,
le milliardaire Patrick Drahi, avait essuyé un refus de Martin
Bouygues, alors qu'il lui proposait 10 milliards d'euros pour la branche
télécom du groupe Bouygues. (Joseph Sotinel, édité par Jean-Michel
Bélot)


En savoir plus sur

http://investir.lesechos.fr/actions/actualites/les...

49 de 129 - 02/12/2015 18:55
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

PARIS (Reuters) -
L'Autorité de la concurrence pourrait infliger à Orange une amende pour
abus de position dominante qui pourrait dépasser 500 millions d'euros,
écrit mercredi Le Figaro sur son site internet.

Le gendarme de la concurrence, selon le journal, rendra
sa décision avant Noël sur une affaire remontant à avril 2008 et issue
d'une plainte initiale de SFR pour dénoncer les pratiques d'Orange en
France depuis 2003 sur les marchés des communications fixes et mobiles
entreprises.

L'Autorité de la concurrence et Orange se sont refusés à tout commentaire.

(Cyril Altmeyer, édité par Dominique Rodriguez)

50 de 129 - 07/12/2015 23:57
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
(Actualisé avec no comment d'Orange et de Bouygues) 
PARIS, 7 décembre (Reuters) - Orange ORAN.PA a engagé des
discussions préliminaires avec le conglomérat Bouygues BOUY.PA
en vue de lui racheter ses actifs dans les télécommunications et
les médias, rapporte lundi l'agence Bloomberg, qui cite des
sources proches du dossier.
Dans le cadre d'un rapprochement éventuel avec Orange,
Bouygues, qui possède la chaîne de télévision TF1 TFFP.PA et
l'opérateur Bouygues Telecom, retiendrait une participation
minoritaire d'un nouvel ensemble constitué avec Orange et
combinant télécoms et médias, ont expliqué trois sources.
Un rapprochement avec un concurrent est l'une des multiples
possibilités qu'étudie le numéro un français des télécoms,
ajoute Bloomberg.
Aucune offre officielle n'a été formulée et aucune décision
n'a encore été prise, les deux sociétés réfléchissant aux moyens
de surmonter les obstacles réglementaires et antitrust que
pourrait présenter l'opération, précise l'agence.
Contacté par Reuters, un porte-parole du groupe Bouygues,
qui est également présent dans le BTP et la construction, a
estimé qu'il s'agissait d'une "rumeur de marché", ajoutant que
la société avait pour principe de ne jamais commenter les
rumeurs de marché.
"Orange se refuse à commenter les rumeurs de presse qui
animent artificiellement le marché depuis maintenant deux ans",
a de son côté fait savoir un porte-parole d'Orange.
Des quatre principaux acteurs du marché français des
télécoms, l'opérateur historique est celui qui a le moins besoin
de prendre part à une consolidation, a-t-il ajouté.
Fortement ébranlé par l'arrivée de Free mobile (Iliad
ILD.PA ) sur le marché du mobile en 2012, la filiale mobile de
Bouygues est régulièrement présentée comme une cible
potentielle.
Fin juin, le groupe dirigé par Martin Bouygues a rejeté une
offre du groupe européen de télécoms Altice ATCA.AS ,
maison-mère de Numericable-SFR NUME.PA , le valorisant autour
de dix milliards d'euros.
Si les spéculations sur une consolidation du marché français
se sont un temps taries pendant la période des enchères pour les
fréquences 700 MHz, la fin du processus mi-novembre a relancé
les conjectures.
Deux sources au fait du dossier ont dit à Reuters qu'Orange
avait mandaté les banques BNP Paribas BNPP.PA et Morgan
Stanley MS.N pour le conseiller sur le rôle qu'il pourrait
jouer face à la consolidation attendue du marché européen des
télécoms.
Une opération de consolidation en France, qui aboutirait au
rapprochement des numéros un et trois dans le mobile, risquerait
de rencontrer d'importantes réserves de la part des autorités de
la concurrence. Orange avait un temps exploré un tel scénario en
2014 avant d'y renoncer en raison des obstacles réglementaires
mais aussi du prix demandé à l'époque par Bouygues pour sa
filiale.
La cession éventuelle de TF1, première chaîne privée
française, serait également regardée de près par les autorités
de régulation dans l'Hexagone où le secteur audiovisuel est
fortement encadré.

(Gwénaëlle Barzic, édité par Wilfrid Exbrayat)
51 de 129 - 10/12/2015 15:19
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Numericable-Sfr (EU:NUM)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Jeudi 10 Décembre 2015

Plus de graphiques de la Bourse Numericable-Sfr

Le gouvernement n'a pas de "position de principe" contre un retour à
trois opérateurs télécoms en France, a affirmé jeudi le ministre de
l'Economie, Emmanuel Macron, tout en refusant tout commentaire sur les
"rumeurs de marché" autour d'un possible rachat de Bouygues Telecom.




En mai, le ministre avait estimé que l'heure n'était "pas à la
concentration entre opérateurs" avec "quatre opérateurs qui ont chacun
leur place", en référenceicon1.png à Orange, SFR (groupe Altice), Bouygues Telecom et Free.




"J'ai eu l'occasion de le dire sur la situation qui s'était présentée
avec une offre, je m'étais exprimé mais je n'ai pas de religion sur le
sujet en général, ce n'est pas une position de principe", a déclaré
jeudi M. Macron, interrogé par des journalistes en sortanticon1.png d'une réunion du gouvernement à Matignon.



Quant aux informationsicon1.png
de presse évoquant des discussions préliminaires engagées par Orange
pour racheter les activités télécoms et médias de Bouygues, "je n'ai pas
de commentaire à faire, je pense que là ce sont vraiment des rumeurs de
marché", a affirmé le ministre de l'Economie.




L'attribution fin novembre aux enchères par l'Etat des fréquences "en
or" 700 MHz aux quatre opérateurs -pour quelque 2,8 milliards d'euros-
facilitera-t-elle un retour éventuel à trois acteurs?




"L'un n'était pas lié à l'autre, mais il n'y a pas de position de
principe du gouvernement et il n'y a pas non plus de commentaires sur
les rumeurs en cours", a-t-il répondu.



En juin, au moment de l'offreicon1.png
de rachat -finalement rejetée par Bouygues- de Bouygues Telecom par
Altice, Emmanuel Macron avait déjà assoupli sa position, affirmait qu'il
n'avait "pas de religion" sur la nécessité d'avoir trois ou quatre
opérateurs de télécoms en France.



Chamboulé par
l'arrivée de l'opérateur à bas prix Free, le secteur français des
télécoms connaît de nombreux bouleversements: en mars 2014, le groupe
Altice de Patrick Drahi avait emporté SFR pour 11,75 milliards d'euros
face à une offre concurrente de Bouygues. Puis, en juin 2015, Martin
Bouygues avait rejeté une offre de Altice-SFR sur sa filiale télécom.



Le prédécesseur de M. Macron, Arnaud Montebourg, était favorableicon1.png à un retour à trois opérateurs et avait soutenu un rapprochement Bouygues-SFR.





(END) Dow Jones Newswires



December 10, 2015 08:34 ET (13:34 GMT)

52 de 129 - 22/12/2015 09:43
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000



Publié le 22/12/2015 à 08h25

(Boursier.com) — Fêtes de fin d'année ou pas, les tractations entre Orange et Bouygues Telecom
devraient se poursuivre au cours des prochains jours. Selon le
quotidien "Les Echos", qui cite une source proche du dossier, "les
discussions avancent bien. Bouygues est très motivé". Le gouvernement
n'est pas opposé par principe à une réduction du nombre d'opérateurs
télécoms en France, avait déclaré le 10 décembre le ministre de
l'Economie Emmanuel Macron à la suite de la reprise des échanges sur un
rapprochement entre Orange et Bouygues Telecom. Reste que le principal
obstacle à un tel rapprochement est l'autorité de la concurrence alors
que le "futur groupe détiendrait autour de 50% du marché dans le fixe et
le mobile". "L'affaire ne passera pas comme une lettre à la poste",
affirme ainsi un expert au journal.

Bouygues Telecom, qui a beaucoup souffert de l'irruption de Free Mobile (Iliad)
sur le marché des mobiles en 2012, fait régulièrement l'objet de
rumeurs de rachat. Fin juin notamment, le groupe dirigé par Martin
Bouygues a rejeté une offre du groupe européen de télécoms Altice, la maison mère de Numericable-SFR, le valorisant autour de dix milliards d'euros.

53 de 129 - 22/12/2015 18:01
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

(CercleFinance.com) - Selon nos confrères des Echos, un rachat de Bouygues Telecom et Orange (Taiwan OTC: 4554.TWO - actualité) resterait d'actualité.



Révélée

récemment par Bloomberg, l'ouverture de négociations entre les 2

opérateurs n'a à ce stade été démentie par aucun des intéressés. De

fait, une consolidation du secteur des télécoms via un passage de 4 à 3

opérateurs demeure d'actualité et 'certains parlent d'une annonce

possible dès début 2016', relate le quotidien économique, qui cite une

source au fait du dossier selon laquelle les discussions seraient

aujourd'hui avancées et 'Bouygues (Other OTC: BOUYF - actualité) serait très motivé'.



La rumeur d'une surenchère de l'insatiable Patrick Drahi, PDG d'Altice (Other OTC: ATSVF - actualité) , la maison-mère de Numericable-SFR, a en revanche été démentie.



Reste

des questions capitales concernant le coût d'une éventuelle transaction

et surtout l'atteinte à la concurrence, considérant qu'Orange,

l'opérateur historique, est déjà leader du marché hexagonal. Partant,

les autorités concernées pourraient poser un veto à l'existence d'un

nouveau groupe qui, à lui seul, détiendrait environ 50% du marché

français du fixe et du mobile. Un aval supposerait à tout le moins

d'importantes cessions d'actifs.



'Les deux groupes devraient

enchaîner les réunions cette semaine', indique Les Echos. Gageons que

celles-ci fassent notablement avancer le dossier.



(G.D.)

54 de 129 - 31/12/2015 12:45
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

CercleFinance.com) - Bloomberg, les Echos, le Canard enchaîné : voici

certains des grands médias qui, depuis le début du mois de décembre, se

font l'écho d'un éventuel rapprochement entre Orange (Taiwan OTC: 4554.TWO - actualité) et les actifs médias et télécoms du groupe Bouygues (Other OTC: BOUYY - actualité) . L'Etat pousserait à la roue. Mais gare à la concurrence : plus que jamais, Iliad (Paris: FR0004035913 - actualité) , maison mère de Free, semble devoir jouer le rôle d'arbitre.



Le

7 décembre dernier, l'agence Bloomberg évoquait qu'Orange

(capitalisation boursière : 41 milliards d'euros), l'ex-France Telecom

dont l'Etat détient directement et indirectement 23% du capital, serait

intéressé par une prise de participation dans TF1 (Paris: FR0000054900 - actualité) (capitalisation : 2,1 milliards), la première chaîne de télévision privée française dont Bouygues (Swiss: 487662.SW - actualité)

(capitalisation : 12,5 milliards d'euros) détient près de 44% des

parts. Et aussi bien sûr par Bouygues Telecom, que Bouygues pourrait

céder à Orange par un règlement en titres qui ferait du holding l'un des

grands actionnaires d'Orange.



Le 22 décembre, les Echos

rapportaient que ces négociations avançaient bien. Et ce 30 décembre, le

Canard enchaîné s'y mettait à son tour : selon l'hebdomadaire

satirique, Orange prendrait 10% du capital de TF1, une manoeuvre

essentiellement politique poussée par l'Elysée en vue des élections

présidentielles de 2017. Au-delà de ce ?meccano? et peut-être surtout,

Bouygues apporterait sa filiale télécoms à Orange en échange de 10% à

12% du capital de ce dernier. ?On n'a jamais été aussi proches d'un

accord entre Orange et Bouygues Telecom?, rapporte une source citée par

le Canard, selon laquelle quelques semaines seraient encore nécessaires.



Bref, ces trois informations de presse, peu commentées ni

vraiment démenties par les intéressés, vont toutes dans le même sens :

celui d'une réduction de 4 à 3 du nombre d'opérateurs mobiles en France,

ce qui présagerait d'une moindre concurrence alors même que l'usage

croissant des données mobiles permet déjà aux opérateurs de remonter

leurs prix.



Reste un énorme problème : la concurrence, puisque

l'ex-opérateur télécoms historique et Bouygues Telecom disposent des

deux meilleurs réseaux mobiles de l'Hexagone. Leur rapprochement pur et

simple ne passerait sans doute pas le barrage des autorités de la

concurrence, qu'elles soient françaises ou européennes.



On peut

donc se demander si la ?clé? de l'éventuel 'deal' entre Orange et

Bouygues n'est pas entre les mains de Xavier Niel, principal actionnaire

d'Iliad (capitalisation : 12,8 milliards d'euros), maison mère de

l'opérateur alternatif Free. Tel était déjà le cas mi-2015, quand

Numericable-SFR (capitalisation : 14,8 milliards d'euros) avait proposé

sans succès 10 milliards d'euros pour Bouygues Telecom. Une sorte de

?sous-accord? prévoyait alors que Free se verrait rétrocéder, moyennant 2

milliards, l'essentiel de l'infrastructure et des antennes-relais de

Bouygues Telecom.



Pourquoi ? Car (HKSE: 0699-OL.HK - actualité)

le réseau mobile de Free demeure relativement modeste, et que l'accord

d'itinérance signé avec Orange (soit la ?location? d'une partie du

réseau de ce dernier) touche à sa fin. Free a besoin d'un réseau. Or le

groupe, adepte de longue date de la croissance interne, peine à se doter

du sien : il devient en effet extrêmement coûteux, sinon pratiquement

impossible de déployer de nouvelles antennes-relais. Dans ce contexte,

racheter l'infrastructure de Bouygues Telecom pourrait régler non

seulement le problème de concurrence, mais aussi celui de Free. A

suivre.



EG

55 de 129 - 04/1/2016 10:21
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
La dernière édition du Journal du Dimanche, celle du 3 janvier, révèle qu'Orange et Bouygues ont signé un accord de confidentialité concernant Bouygues Telecom, ouvrant ainsi la voie à des négociations plus avancées sur un rachat du numéro quatre du marché par le numéro un. Le document aurait été paraphé la veille de Noël, explique l'hebdomadaire sur la foi de plusieurs sources. Des réunions sont d'ores et déjà programmées pour la semaine qui s'ouvre aujourd'hui. Les plus ambitieux espèrent aboutir à la fin du mois, les plus prudents à la fin du trimestre, écrit le 'JDD', tout en expliquant que l'affaire devrait être examinée par l'Autorité de la concurrence française et non par la Commission européenne à Bruxelles, même si la jurisprudence toute récente ne plaide pas en faveur d'un contrôle hexagonal.

5 MdsE de cessions d'actifs ?

Car même si les deux groupes parviennent à s'accorder, le principal écueil sera celui de l'antitrust, qu'il faudra persuader du bien-fondé de passer de quatre à trois opérateurs. Dans le schéma évoqué par le 'JDD', qui semble conforter les rumeurs antérieures, Bouygues Telecom serait valorisé 10 milliards d'euros. Orange conférerait 15% de son capital à Bouygues, sur la base d'une valeur de 8 MdsE, et honorerait les 2 MdsE restants en numéraire. Les cessions d'actifs pourraient atteindre 5 MdsE, au profit de Free (Iliad) et Numéricable SFR. Orange n'a cependant pas encore contacté formellement ses rivaux, selon la publication dominicale, qui pense que Free pourrait être intéressé par certaines antennes et le réseau de boutiques, mais également par une partie du réseau fibre de l'opérateur historique. SFR pourrait jeter son dévolu sur les clients de l'offre à bas prix B&You.

Les grandes manoeuvres ont donc repris dans les télécoms en France, ce qui devrait satisfaire les bureaux d'études qui voient d'un bon oeil la concentration du secteur autour de trois acteurs, qui contribuera à réduire la pression concurrentielles et améliorera la visibilité. Les analystes apprécient Orange, avec un score synthétique Bloomberg (rapport entre recommandations à l'achat et à la vente, noté sur 5) de 3,81 points, pour un objectif moyen de 17,20 euros, mais davantage Numéricable SFR (4,12, 51,70 euros) et plus encore Iliad (4,32, objectif 232,50 euros).
56 de 129 - 04/1/2016 15:36
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002



Publié le 04/01/2016 à 15h27

(Boursier.com) — Les valeurs des télécoms débutent plutôt bien
l'année à Paris alors que le CaC40 s'enfonce de 2,2% pour cette première
séance de 2016. Une nouvelle fois, les rumeurs de consolidation dans
l'industrie française sont à l'origine de cette bonne tenue de Numericable SFR (-0,3% à 33,4 euros), d'Iliad (+2,10% à 224,7 euros) ou de Bouygues (+1,5% à 37,1 euros).

Selon le "Journal du Dimanche", Orange et Bouygues
ont signé un accord de confidentialité concernant Bouygues Telecom,
ouvrant ainsi la voie à des négociations plus avancées sur un rachat du
numéro quatre du marché par le numéro un. Le document aurait été paraphé
la veille de Noël, explique l'hebdomadaire sur la foi de plusieurs sources. Des réunions sont d'ores et déjà programmées pour la semaine qui s'ouvre aujourd'hui. Les plus ambitieux espèrent aboutir à la fin du mois, les plus prudents à la fin du trimestre,
écrit le 'JDD', tout en expliquant que l'affaire devrait être examinée
par l'Autorité de la concurrence française et non par la Commission
européenne à Bruxelles, même si la jurisprudence toute récente ne plaide pas en faveur d'un contrôle hexagonal.

Le
gouvernement n'est pas opposé par principe à une réduction du nombre
d'opérateurs télécoms en France, avait déclaré le 10 décembre le
ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, à la suite de la reprise des
échanges sur un rapprochement entre Orange et Bouygues Telecom.


Jean-Baptiste André — ©2016, Boursier.com




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Télécoms : le secteur résiste sur fond de spéculations


Crédit photo © Reuters

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57 de 129 - 10/1/2016 10:03
waldron Messages postés: 9815 - Membre depuis: 17/9/2002

Accord
ou non entre Orange et Bouygues, le grand gagnant de la partie de
Monopoly en cours dans les télécoms pourrait être à chercher du côté de
Free Mobile, qui a la possibilité de mettre la main sur les actifs qui
lui conviennent pour un prix modique.

En début de semaine,
l'opérateur historique et le groupe industriel ont confirmé des
"discussions préliminaires" pour un rachat de Bouygues Telecom par
l'ex-monopole, sans se fixer de délais car l'opération est complexe et
passera obligatoirement par des cessions d'actifs pour Orange.

Xavier
Niel et son groupe "Iliad (maison-mère de Free, NDLR) ont clairement le
choix du roi, ils décident si le +deal+ peut se faire ou non. Qu'ils
refusent de racheter certains actifs et c'est l'ensemble de l'accord qui
tombe à l'eau", explique à l'AFP Stéphane Dubreuil, président de
Stallych Consulting.

Mais il n'est pas certain que M. Niel accepte
de réaliser l'opération dans les mêmes conditions que lorsqu'il avait
été approché par Altice en juin (quand le groupe avait proposé 10
milliards d'euros pour Bouygues Telecom), ni celles signées entre Iliad
et Bouygues au printemps 2014.

"On avait alors parlé de 1,8
milliard d'euros" qui auraient pu être payés par Iliad "pour le réseau
et les fréquences" de Bouygues Telecom, rappelle un analyste parisien.
Bouygues cherchait alors à acheter SFR à Vivendi et devançait les
remontrances de l'Autorité de la concurrence.

Si Iliad rachetait
ce réseau, pour Free "ce serait environ deux ans de gagnés sur la 4G,
sans doute plus sur la 3G, pour laquelle ils sont bien plus en retard.
Et puis cela leur permettrait d'arrêter le contrat d'itinérance avec
Orange, ce qui compenserait une partie de la somme investie pour
récupérer le réseau de Bouygues Telecom", selon Sylvain Chevallier,
spécialiste des télécoms et associé chez BearingPoint.

En
revanche, pour le réseau de boutiques de Bouygues Telecom qu'Orange
serait probablement amené à céder, "Free n'a pas une stratégie qui passe
par de la vente physique, il faudrait donc trouver quelqu'un d'autre",
note cet expert.

- Free moins en retard sur son réseau -

En
outre, Xavier Niel peut faire la fine bouche car ses besoins en
infrastructures sont moindres qu'il y a six mois, note M. Dubreuil:
"Free a accéléré sur son réseau, ils ont beaucoup investi. Dans la
situation, je pense donc que si Xavier Niel achète (le réseau de
Bouygues Telecom, NDLR), ce sera à un prix particulièrement bas".

Sur
les derniers mois, Free Mobile a aussi mis la main sur des lots de
fréquences basses, via la vente de la bande des 700 MHz en novembre
d'une part, et par la réallocation de plusieurs lots réalisée par
l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) d'autre part.

Mais
surtout, l'opérateur a profité de l'année pour pousser le déploiement de
son réseau 4G, dépassant désormais Numericable-SFR en nombre de sites
dédiés, selon des relevés de l'Agence nationale des fréquences (ANFR)

Et
pour en récupérer le plus possible au meilleur prix, tout peut servir
de monnaie d'échange pour Xavier Niel, y compris ses 15% d'option sur le
capital de Telecom Italia, qu'il a récemment acquis, alors que
l'opérateur italien est régulièrement cité parmi les cibles européennes
d'Orange.

Un point de vue que défend l'analyste parisien, qui
estime qu'"Orange, ainsi que Xaviel Niel, jouent une partie stratégique
avec Bouygues Telecom d'une part et Telecom Italia de l'autre".

"Orange,
tout comme Deutsche Telekom et Telefonica, veulent devenir les trois
gros opérateurs paneuropéens et il est de notoriété publique qu'Orange
vise un opérateur historique, Telecom Italia, ou KPN aux Pays-Bas. M.
Niel le sait et son entrée en Italie n'est pas anodine", estime cet
expert qui a requis l'anonymat.

"Telecom Italia pourrait être une
monnaie d'échange intéressante mais il n'est même pas certain que Xavier
Niel en ait vraiment besoin, tant il est en position de force pour
faire valider ou capoter un éventuel accord", nuance M. Dubreuil.

Si
Free peut donc gagner gros, le grand perdant pourrait paradoxalement
être Orange, selon Stéphane Dubreuil. "Le groupe devra à la fois gérer
la question sociale et la revente à la découpe de Bouygues Telecom, sans
aucun avantage si ce n'est l'élimination d'un concurrent, c'est faible
au final".

AFP

58 de 129 - 11/1/2016 13:12
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002



Publié le 11/01/2016 à 11h25

(Boursier.com) — La semaine dernière, l'équipe de recherche de
Barclays spécialisée dans le secteur des télécommunications a fait la
tournée des grands-ducs à Paris, en rencontrant les directeurs
financiers d'Orange, Altice et Iliad, mais aussi Xavier Niel, le groupe Bouygues
et l'Arcep. Il ressort de ces entrevues que les perspectives de
consolidation du secteur de 4 à 3 acteurs dans le mobile sont
significatives, explique l'équipe, qui pense que l'aspect concurrentiel
d'une telle opération devrait rester entre les mains du régulateur
national et non aller jusqu'à Bruxelles, où la tâche paraît plus ardue.
Barclays pense qu'une remise en état du marché est probable
post-regroupement, car la stratégie des opérateurs devrait changer et ne
plus se cantonner à la protection des positions de chacun.

Dans
ce contexte, le bureau d'études reste à "surperformance" sur Orange
(objectif 20 euros) et Iliad (objectif 230 euros) et à "pondération en
ligne" sur les autres dossiers : Bouygues (objectif 36 euros) et Numéricable SFR (objectif 47,70 euros)

59 de 129 - 29/1/2016 20:30
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le quatrième opérateur aurait envoyé un mail aux personnes concernées... La filiale d'Iliad proposerait son forfait illimité à 4,99 euros durant 6 mois au lieu de 19,99 euros


(Boursier.com) — Afin de récupérer d'anciens clients, Free Mobile leur aurait envoyé un mail "pour leur proposer une 'offre exclusive', valable jusqu'au 18 février", rapporte le site 'Univers Freebox'. La filiale d'Iliad proposerait son forfait illimité à 4,99 euros durant 6 mois au lieu de 19,99 euros. Seuls les bénéficiaires de ce courriel peuvent accéder à l'offre. Fin 2015, les opérateurs ont multiplié les offres à "prix cassés"...

16% du parc abonnés

Au troisième trimestre 2015, Iliad a annoncé avoir recruté 390.000 nouveaux abonnés mobiles, pour une part de marché mobile qui dépasse désormais les 16%... Au total, le quatrième opérateur comptait 11,3 millions d'abonnés à fin septembre, loin derrière les 28,22 millions de clients Orange.

Sur le trimestre, l'opérateur historique s'est vanté d'avoir engrangé 234.000 forfaits supplémentaires. En revanche, Free se rapproche de Bouygues Télécom et de ses 11,6 millions de clients mobile. Enfin SFR-Numéricable compte 21,8 millions de fidèles...
60 de 129 - 30/1/2016 17:46
waldron Messages postés: 9815 - Membre depuis: 17/9/2002

Rapprochement Orange-Bouygues Telecom: les opérateurs virtuels pourraient en profiter


Si le rapprochement entre Orange et Bouygues Telecom devrait ...



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Photo montage des logos de Bouygues Telecom et de Orange
Photo montage des logos de Bouygues Telecom et de Orange - BEN STANSALL, AFP AFP

© 2016 AFP


    • Publié le 30.01.2016 à 08:01
    • Mis à jour le 30.01.2016 à 08:20

Si le rapprochement entre Orange et Bouygues Telecom
devrait profiter à leurs concurrents directs en ramenant le marché à
trois grands concurrents, les opérateurs mobiles virtuels (MVNO)
pourraient également tirer leur épingle du jeu grâce à la fin de la
guerre des promotions entre les principaux acteurs du marché.

Ces
opérateurs, qui ont pour point commun de ne pas disposer de leur propre
réseau de télécoms (ils utilisent les infrastructures des quatre grands
opérateurs), et sont souvent concentrés sur des niches, tels que les
marchés ethniques ou les entreprises, ont été parmi les principales
victimes de l'arrivée de Free sur le marché mobile en 2013, et de la
guerre des prix qui s'en est suivie.

«Nous avons assisté à
une déflation en valeur du marché, de l'ordre de plusieurs milliards
d'euros. Cela s'est concrétisé par une très forte baisse des prix du
détail alors que cela représentait un axe majeur de différenciation pour
certains MVNO», détaille Nicolas Teisseyre, associé principal en charge
du secteur technologie, médias et télécommunications chez Roland
Berger.

Avec des promotions régulières entre les grands
opérateurs, à l'image de la période de Noël qui a vu fleurir les
forfaits mobiles à moins de 5 euros, il est difficile pour un opérateur
virtuel, aux coûts variables difficiles à amortir, de se différencier
sur les prix.

«Personne ne s'est posé la question de la survie des
MVNO depuis l'arrivée de Free», regrette David Charles, président de
Prixtel, opérateur virtuel créé en 2004. «Avec la consolidation, on va
revenir à la situation de départ avec trois opérateurs sauf
qu'entretemps, on aura sacrifié les MVNO», dépore-t-il.

Pourtant,
quand viendra l'heure de chercher les grands gagnants à l'éventuel
rachat de Bouygues Telecom par Orange, il faudra sans doute jeter un
oeil du côté des opérateurs virtuels, estiment la majorité des
spécialistes du secteur.

«Pour les généralistes, les MVNO
pourraient profiter dans un premier temps d'un report de ventes en leur
faveur. Dans un second temps, avec une reprise de l'investissement des
gros, cela aura un effet induit positif également, avec une meilleure
qualité réseau qui s'appliquera aussi à eux» explique Thomas Coudry,
analyste spécialiste des télécoms chez Bryan, Garnier & Co.

«S'il
y a moins d'intensité concurrentielle, cela pourrait ouvrir une fenêtre
aux MVNO pour se développer un peu plus, mais cela restera assez
marginal dans la mesure où Free restera un acteur majeur du marché dans
l'entrée de gamme», nuance pour sa part Sylvain Chevallier, spécialiste
des télécoms et associé chez BearingPoint.

- Rachats d'actifs en vue -

S'il a envie d'y croire, le président de Prixtel reste en revanche prudent sur l'intérêt réel de l'opération pour les MVNO.

«Certes,
un retour à trois sera une bonne chose concernant la guerre des
promotions mais il n'y a aucun élément prouvant que, demain, les MVNO
pourront animer la concurrence. Il sera important de voir si les
conditions imposées pour le mariage seront opérantes en ce qui nous
concerne», prévient-il.

Pour certains, l'opportunité pourrait se
trouver dans la reprise de certains actifs de Bouygues Telecom dont
Orange serait obligé de se séparer pour faire valider un rachat par
l'Autorité de la concurrence.

Entre le réseau, les fréquences ou
certaines parties du portefeuille de clients, les opportunités sont
réelles pour un MVNO ambitieux, estime ainsi M. Teisseyre.

«Il
peut y avoir des MVNO intéressés et qui pourraient ainsi se positionner
en tant que gros parmi les petits», analyse-t-il, «la plupart des MVNO
ne sont pas très puissants financièrement parlant mais sur le grand
public notamment, il y a sans doute un coup à jouer, en reprenant
B&You (la marque sans engagement de Bouygues Telecom, NDLR) par
exemple».

Pour les autres, il s'agira de profiter avant tout des marges de manoeuvre que permettra le retour à trois opérateurs.

«La
plupart des MVNO sont sur des marchés de niche, ils sont moins chers
sur des types d'appels particuliers. Si fusion il y a demain, il y aura
toujours autant de place, si ce n'est plus, sur ces marchés de niches»,
conclut ainsi Sylvain Chevallier.

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