Ipsos en
2014
Croissance
organique de + 0,8% au T4, +0,3% sur l'année
Paris, 24 février
2015 - Au quatrième trimestre de 2014, le chiffre d'affaires
d'Ipsos est de 500,7 millions d'Euros en progression de 2,2% par
comparaison avec la même période de l'année précédente. Ce - timide
- retour à la croissance reflète une amélioration des effets de
change (+1,5%) très négatifs en 2013 et pendant la première moitié
de 2014, et une légère croissance organique (+0,8%) qui, à défaut
d'être spectaculaire, confirme qu'avant même les premiers effets du
projet « The New Way », les équipes d'Ipsos ont été en
mesure de stabiliser l'activité.
Pour l'ensemble de 2014, le
chiffre d'affaire d'Ipsos est de 1 669,5 millions d'Euros en
baisse de 2,5% sur un an. Ces données annuelles portent encore le
stigmate d'évolutions de change négatives pour 2,2% et d'effets de
périmètre également négatifs pour 0,6%, très partiellement
compensés par une croissance organique légèrement positive de
+0,3%.
Au total, l'année 2014 a été
insatisfaisante malgré le léger rebond de la fin de l'exercice.
Depuis trois ans, Ipsos ne progresse plus, rendant évident un
nécessaire effort de transformation, « The New Way »,
dont les grandes lignes sont exprimées plus loin dans ce communiqué
et dont Ipsos attend un retour à la croissance.
ÉVOLUTION DE L'ACTIVITÉ PAR RÉGION ET PAR LIGNE DE
MÉTIER
Par zone géographique, la région
EMEA aura été la plus dynamique en reportant une progression
organique de 2%, grâce aux marchés émergents mais aussi en raison
d'une évolution positive du chiffre d'affaires au Royaume-Uni, en
Belgique, aux Pays-Bas et même, il est vrai à partir d'un point
bas, en Espagne.
La zone Amériques est en faible recul, à -1,5%, se redressant
lentement mais, on peut le penser, sûrement tant en Amérique Latine
qu'en Amérique du Nord. Ici, l'impact du projet « The New
Way » devrait être évident dans la période
2015/2017.
Enfin, la zone Asie Pacifique est également en léger recul à -1%,
malgré une croissance significative en Chine compensée par une
médiocre fin d'année dans les pays les plus développés de la
région : Japon, Corée et Australie.
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par zone
géographique
(en millions d'euros) |
2014 |
2013 |
Évolution 2014/2013 |
Croissance organique |
Europe,
Moyen Orient et Afrique |
760,9 |
752,2 |
1,2% |
2% |
Amériques |
634,1 |
675,6 |
-6,1% |
-1,5% |
Asie
Pacifique |
274,5 |
284,6 |
-3,6% |
-1% |
Chiffre d'affaires annuel |
1 669,5 |
1 712,4 |
-2,5% |
0,3% |
La stabilité générale de
l'activité d'Ipsos en 2014 masque des différences importantes de
performances d'une ligne de métier à l'autre. Les équipes d'Ipsos
MediaCT qui vont être réunies avec celles d'Ipsos ASI
(communication publicitaire) ont vu leur activité rester en retrait
tout au long de l'année. Elles sont très liées à l'industrie de la
presse dont les recettes baissent dans beaucoup de régions. Elles
devraient retrouver un réel dynamisme dès que les nouvelles
solutions qu'elles vont commercialiser dès cette année trouveront
leur clientèle. Elles sont au coeur d'investissements consentis par
Ipsos depuis plusieurs années et ont développé des solutions
originales, flexibles et sûres dans les mesures actives et passives
des médias électroniques digitaux ou non.
Les autres lignes de métiers ont connu en 2014 un parcours plus
stable. Ipsos est en particulier satisfait que les études d'opinion
et de recherche sociale aient connu en 2014 un succès réel après un
exercice 2013 juste à l'équilibre. Ipsos, qui est la première
marque mondiale dans ce domaine, avec une présence publique dans
plus de 30 pays différents, croit qu'il s'agit d'un domaine où le
potentiel de croissance reste important en raison, entre autres, de
la multiplication des institutions internationales,
gouvernementales ou non.
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par ligne de
métier
(en millions d'euros) |
2014 |
2013 |
Évolution 2014/2013 |
Croissance organique |
Études
Publicitaires |
257,9 |
274,5 |
-6,1% |
0,5% |
Études
Marketing |
864,5 |
891,0 |
-2,1% |
0 |
Études
Médias |
157,1 |
169,7 |
-7,5% |
-5% |
Études
d'Opinion et Recherche sociale |
163,1 |
152,0 |
3,1% |
4% |
Études
pour la gestion de la Relation Client / Salarié |
226,8 |
225,2 |
-0,1% |
3,5% |
Chiffre d'affaires annuel |
1 669,5 |
1 712,4 |
-2,5% |
0,3% |
En
millions d'euros |
2014 |
2013 Publié |
Chiffre
d'affaires |
1 669,5 |
1 712,4 |
Marge brute |
1 072,2 |
1 098,8 |
Marge brute / CA |
64,2% |
64,1% |
Marge opérationnelle |
173,1 |
182,1 |
Marge opérationnelle / CA |
10,4% |
10,6% |
Autres
charges et produits non courants |
(17,2) |
(18,2) |
Charges
de financement |
(22,8) |
(23,4) |
Impôts |
(34,1) |
(33,5) |
Résultat net ajusté*, part du Groupe |
120,8 |
121,0 |
*Le résultat net
ajusté est calculé avant les éléments non monétaires liés à l'IFRS
2 (rémunérations en actions), avant l'amortissement des incorporels
liés aux acquisitions (relations clients), avant les impôts
différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est
déductible dans certains pays et avant l'impact net d'impôts des
autres produits et charges non courants.
La marge
opérationnelle du Groupe s'établit à 173,1 millions d'Euros à
10,4% rapporté au chiffre d'affaires, à peu près stable par rapport
à l'an dernier et ce malgré la stabilité de l'activité. Elle est en
très légère progression au 2ème semestre
après avoir été en baisse de 90 points de base au 1er
semestre.
La marge
brute (qui se calcule en retranchant du chiffre d'affaires des
coûts directs variables et externes liés à l'exécution des
contrats) poursuit sa progression et s'établit à 64,2%, signe d'une
bonne capacité à maintenir les prix dans tous les pays.
En ce qui concerne les coûts
d'exploitation, la masse salariale est en
baisse de 1,5% en raison des effets de change mais augmente en
pourcentage du chiffre d'affaires et de la marge brute.
La hausse des rémunérations variables en action qui passent de 11,3 à
12,0 millions d'euros pèse pour 5 points de base dans l'évolution
de la marge opérationnelle, en raison de l'inclusion d'un plus
grand nombre de salariés dans le plan d'association des équipes au
succès de l'entreprise, via des attributions d'actions gratuites
depuis 2012. À partir de 2015, le programme mis en place ayant
atteint son plein régime en 2014 ne devrait plus peser sur
l'évolution du taux de marge opérationnelle.
Les frais
généraux sont maîtrisés et en baisse de 3,7%.
Les autres
charges et produits opérationnels incluent principalement des
effets de change transactionnels sur les postes du compte
d'exploitation.
En dessous de la marge
opérationnelle, les dotations aux amortissements
des incorporels liés aux acquisitions concernent la partie des
écarts d'acquisition affectée aux relations clients au cours des 12
mois suivant la date d'acquisition et faisait l'objet d'un
amortissement au compte de résultat selon les normes IFRS sur
plusieurs années. Cette dotation s'élève à 4,6 millions d'euros,
contre 4,7 millions précédemment.
Le solde net du poste autres charges et produits non courants et non
récurrents s'établit à -17,2 millions d'euros contre -18,2
millions d'euros publiés en 2013. Il prend en compte des éléments à
caractère inhabituel non liés à l'exploitation et inclut les coûts
d'acquisition ainsi que les coûts liés aux plans de restructuration
en cours, notamment en Europe de l'Ouest.
En 2013, les autres charges et produits non courants et non
récurrents publiés incorporaient aussi sur une ligne spécifique
l'impact net des éléments non courants liés à la
transaction Synovate, qui se montait à -71,3 millions
d'euros.
Les charges de
financement. La charge d'intérêt nette s'élève à 22,8 millions
d'euros en 2014 contre 23,4 millions d'euros en 2013, en baisse de
2,4% en raison de la baisse de l'endettement ; elle comprend
une variation de la juste valeur des dérivés qui est négative pour
0,4 millions d'euros alors qu'elle était positive de 1,2 millions
d'euros en 2013.
Impôts. Le
taux effectif d'imposition au compte de résultat en norme IFRS
s'établit à 26% contre 25,8% en 2013. Il intègre, comme par le
passé, une charge d'impôts différés passifs de 4,2 millions d'euros
(contre une charge de 3,8 millions en 2013) qui vient annuler
l'économie d'impôts réalisée grâce à la déductibilité fiscale des
amortissements d'écarts d'acquisition dans certains pays, alors
même que cette charge d'impôts différés ne serait due qu'en cas de
cession des activités concernées, et qui est par conséquent
retraitée dans le résultat net ajusté.
Le Résultat net
ajusté, part du Groupe, qui est l'indicateur pertinent et
constant utilisé pour la mesure de la performance, s'établit à
120,8 millions d'euros, stable par rapport à 2013 où il s'était
établi à 121,0.
La structure
financière
Flux nets de
trésorerie libre. La trésorerie libre générée par
l'exploitation et nette des investissements courants est en
progression de 52,8% à 113,7 millions d'euros contre 74,4 millions
d'euros en 2013 grâce à une bonne maîtrise de la variation du
besoin en fonds de roulement, ce qui constitue un véritable
tournant après l'opération Synovate et aussi un record historique
depuis l'introduction en bourse d'Ipsos, il y a 15 ans, au
1er juillet 1999.
Dans le détail :
-
la capacité d'autofinancement s'établit à 192,6
millions d'euros en 2014 contre 196,3 millions d'euros en 2013, en
ligne avec la baisse du résultat d'exploitation.
-
Le besoin en fonds de roulement qui connaissait
une variation négative de 54,1 millions d'euros en 2013 réduite à
18,7 millions d'euros en 2014.
-
Les investissements courants en immobilisations
corporelles et incorporelles, principalement constitués
d'investissements informatiques, sont en légère baisse en lecture
directe dans le tableau des flux de trésorerie : 14,3 millions
d'euros décaissés sur l'année contre 17,2 millions d'euros l'an
dernier. En effet, Ipsos a entrepris depuis 3 ans une politique
d'investissements dans le domaine informatique qui ne sont pas
capitalisés au bilan mais sont enregistrés sous forme de services
informatiques dans les coûts d'exploitation. Il convient de noter
par ailleurs qu'Ipsos a également pour principe comptable constant
de ne pas capitaliser les coûts des temps passés par ses propres
équipes de développeurs. Les investissements informatiques
comptabilisés en charges d'exploitation (que ce soit sous forme de
services informatiques, de masse salariale des 600 informaticiens
qui travaillent à Ipsos et de dépréciation de matériels et
logiciels achetés et capitalisés) se sont élevés au total à environ
100 millions d'euros en 2014, stables par rapport à 2013.
En ce qui concerne les investissements non courants, Ipsos a investi 9
millions d'euros au total sur l'année dans son programme
d'acquisition, procédant notamment au rachat de minoritaires dans
une société américaine et dans certains pays émergents (Egypte,
Balkans et en Amérique centrale) et en rachetant une société en
Israël.
Par ailleurs, Ipsos a investi 11,5 millions d'euros dans son
programme de rachat d'actions afin de limiter les effets de
dilution de ses plans d'attribution d'actions gratuites.
Les capitaux
propres à 901,3 millions d'euros contre 852,5 millions publiés
au 31 décembre 2013.
Les dettes
financières nettes s'élèvent à 545,4 millions d'euros au 31
décembre 2014 contre 544,8 millions d'euros au 31 décembre 2013,
stables malgré un impact fortement négatif de la hausse du dollar,
en raison de la bonne génération de flux de trésorerie
d'exploitation sur les 12 derniers mois.
À taux de change constant du 31 décembre 2013, la dette financière
nette se serait élevée à 485 millions d'euros, 59% de la dette
d'Ipsos est libellée en dollar américains ce qui constitue une
couverture naturelle du risque de change bilanciel, 50% environ du
goodwill d'Ipsos étant situé en Amérique du Nord et dans des pays
dont les monnaies sont directement reliées au dollar américain
comme le Moyen Orient et Hong Kong.
Le ratio d'endettement net est de 60,5% contre 63,9% l'an
dernier.
Position de
liquidité. La trésorerie à la clôture de
l'année s'établit à 149,2 millions d'euros contre 148,7 millions
d'euros au 31 décembre 2013, assurant une bonne position de
liquidité à Ipsos qui dispose par ailleurs d'environ 200 millions
d'euros de lignes de crédit disponibles.
2014 ne laissera pas dans
l'histoire la trace d'une année heureuse où la croissance enfin
retrouvée aurait redonné aux citoyens un élan, un esprit
d'ouverture, une confiance sans lesquels rien de solide - ni les
activités des entreprises privées, ni celles des états - ne peut
être bâti.
2014 aura été une année complexe,
difficile à lire. Elle n'a pas été exempte de bonnes nouvelles, la
baisse du prix du pétrole et du gaz transfère plus d'un trilliard
de dollars, des pays producteurs et exportateurs, peu nombreux,
vers les pays importateurs, beaucoup plus nombreux. La faiblesse
des taux d'intérêt allège la facture de la dette de nombreux états
et aussi celle des ménages et des entreprises. Le montant total des
économies générées par le maintien des taux à un niveau très bas
représentera plusieurs centaines de milliards de dollars
disponibles pour être investis ? épargnés ?
dépensés ? Enfin, les variations des taux de change sont
allées, au fil de l'année, plutôt dans le bon sens pour toutes les
entreprises, sauf bien sûr pour celles qui publient leurs comptes
en dollar.
Pourquoi donc cette impression
mitigée ? D'abord l'argent n'est pas tout, même s'il compte
beaucoup. Comme nous l'avions noté il y a un an, la transformation
de notre environnement, toujours plus global, technologique,
financiarisé, exacerbe l'anxiété liée à ces changements et est un
terreau fertile à la propagation des idéologies xénophobes,
fondamentalistes, violentes que la faible légitimité des instances
politiques ne parvient pas à contenir. Ensuite, l'argent facile,
abondant, ne joue son rôle de soutien à la demande - et donc
in fine - à l'économie que s'il est convenablement réparti - ce qui
n'est pas le cas aujourd'hui. Les Etats qui depuis 2008 ont déjà
beaucoup donné n'en peuvent plus et ne peuvent plus s'endetter
davantage, à l'exception des Grecs, nos meilleurs débiteurs. Quant
aux classes moyennes des pays développés, elles attendent, en vain,
le retour de l'inflation qui rognerait leurs stocks de dette et les
inviterait à anticiper leurs achats.
Surtout, et ceci explique cela, les pressions continues sur les
prix ne faiblissent pas. Qui aurait pu imaginer que la baisse de
l'euro par rapport au dollar, à la livre sterling et au yuan
chinois ne provoquerait pas un peu d'inflation importée et serait,
au contraire concomitante à une baisse de l'indice général des
prix ?
Les dés sont lancés mais ne sont pas encore retombés. Comment
l'Europe et, à sa suite d'autres régions du monde, va-t-elle éviter
l'enclenchement fatal d'un processus déflationniste ? Comment
éviter la propagation d'anticipations déflationnistes, dans
une économie caractérisée par l'hyper compétitivité, les
interrogations des consommateurs et des clients sur la valeur de ce
qu'ils achètent, la mise à leur service de comparateurs de prix, la
réduction ou - en tout cas - le contrôle des dépenses publiques.
2015 apportera ses réponses. Les conditions d'une reprise
rigoureuse des économies sont rassemblées, sauf l'atonie de la
demande. Nous savons aujourd'hui que les gains de productivité -
bien décevants - et l'essor démographique qui faiblit - certains
diront heureusement - ne suffiront pas à nourrir la croissance
durable des économies. Il va falloir que les ménages s'y
mettent.
Qui, mieux que les entreprises,
peut contribuer à rendre l'offre plus intéressante et donc la
demande plus vivace ?
Aujourd'hui, nous sommes dans un espace mou où pourtant les
exemples de réussite de certaines marques, dès lors qu'elles sont
différenciées dans leurs propositions, fortes et persistantes dans
leur communication, sont impressionnants. Malheureusement, ces
exemples heureux d'une offre forte portée par un marketing efficace
se concentrent dans quelques secteurs, le haut de gamme, la
distribution online, les marques locales, en tout cas localisées
par les consommateurs.
C'est bien, mais pas assez pour
entraîner la majorité des entreprises à faire - ou à refaire - de
leurs marques le fer de lance de leur croissance.
Il est vrai que la tâche des
marketeurs et des communicants n'est pas facile. Ils doivent gérer
des consommateurs et clients avertis - peut-être trop - des médias
fragmentés, trop chers quand ils sont « traditionnels »,
peut-être pas assez bien monétisés quand ils sont digitaux et
mobiles, des concurrents plus vifs dans l'imitation que dans
l'ouverture de nouvelles voies, des informations abondantes,
contradictoires, confuses. Ils doivent aussi travailler sous la
pression des apôtres de la génération de cash-flow, qui à force de
vouloir bien faire, finissent par ralentir les prises de décision
et donc par rendre l'action moins risquée, certes, mais souvent
moins efficace. Tous ces facteurs freinent le déploiement d'une
offre attractive, de communications engageantes et de choix médias
optimaux.
Pour sa part, notre industrie doit mieux aider ses clients, les
entreprises comme les institutions.
Ipsos a décidé de se transformer
en mettant en place son programme « The New
Way ».
D'ici à 2017, Ipsos veut changer la donne, et aider ses clients,
eux aussi, à opérer les changements qui leur permettront de prendre
plus vite, en étant mieux informés et plus sûrs de leurs sources,
de meilleures décisions sur leurs produits, leurs services et leurs
marques.
De façon symbolique, Ipsos a adopté une nouvelle promesse :
GAME CHANGERS, pour illustrer son intention. Nous comptons
mobiliser toutes nos ressources, notre énergie, notre savoir-faire
pour rendre concret ce propos : changer pour aider nos clients
à changer.
Le programme « The New
Way » a démarré à l'été 2014. Même si ses principes sont
d'ores et déjà choisis, la définition précise et la mise en place
de la totalité des changements que ces principes déterminent
s'étendra sur les trois prochains exercices.
Aujourd'hui, une vingtaine de mesures importantes ont été actées.
Leur mise en place est en cours. Elles s'articulent autour de
quatre thématiques :
-
La simplification de l'organisation et de la
gouvernance d'Ipsos.
-
La clarification des priorités et des valeurs
d'Ipsos accompagnée par la refonte des systèmes d'évaluation des
performances des équipes et des individus et, par voie de
conséquence, des critères d'attribution de la partie variable des
rémunérations (cash et actions gratuites).
-
L'amplification de l'effort d'Ipsos pour
développer son offre liée aux problématiques de digitalisation des
marchés, notamment via la création d'Ipsos Connect qui réunit les
compétences et les services d'Ipsos dans la mesure des médias et de
la communication des marques. Toutes les problématiques nées des
interactions contenues/contenants seront traitées par Ipsos
Connect.
-
L'accroissement et la réorientation des dépenses
d'investissement d'Ipsos afin de mettre plus vite à la disposition
de ses clients de « nouveaux services » et des services
gérés centralement, au moins dans leur phase de lancement, et de
maturation.
Ipsos veut aussi renforcer sa
présence auprès des laboratoires pharmaceutiques, des services
financiers, des constructeurs automobiles, des institutions
publiques nationales et internationales, gouvernementales ou
non-gouvernementales et, enfin auprès des médias. Bien entendu, les
services nouveaux et les services gérés centralement sont, pour la
plupart, définis pour répondre aux besoins de ces différentes bases
de clientèle.
Ipsos va s'appuyer sur ses
avantages concurrentiels : sa taille, son implantation dans
tous les grands marchés, développés ou émergents, sa connaissance
des marchés et ses relations clients, la diversité et les
compétences de ses équipes, sa capacité à innover et ses valeurs
d'intégrité, de curiosité, de collaboration, de priorité donnée aux
besoins de ses clients et, bien sûr, son esprit d'entreprise. Ipsos
est confiant dans sa capacité de mettre en valeur ses compétences,
son expérience, sa neutralité et sa flexibilité et aussi de
délivrer des informations sûres, simples à appréhender, immédiates
et substantielles.
Le programme « The New
Way » doit permettre à Ipsos de retrouver une croissance
organique, certes modeste, mais bien réelle dès 2015, comprise
entre 1 et 2%, puis plus forte en 2016 et 2017, dans une fourchette
de 2 à 5%.
La rentabilité d'Ipsos sera
affectée en 2015 par des coûts supplémentaires d'investissements et
de restructuration de l'ordre de 20 millions d'euros, ramenant la
marge opérationnelle à 10%. Celle-ci progressera en 2016 puis
en 2017 dans la fourchette déjà annoncée de 11 à 12% pour cette
dernière année.
Annexes
-
Compte de résultat consolidé
-
État de la situation financière
-
État des flux de trésorerie consolidés
-
État des variations des capitaux propres
consolidés
La plaquette des
États financiers consolidés au 31 décembre 2014 est disponible sur
le site d'Ipsos :
http://www.ipsos.com/french/Information_financiere
La présentation de l'activité et des résultats
2014 sera disponible le 25 février 2015 sur le
site :
http://www.ipsos.com/french/Investisseurs
À propos
d'Ipsos
Ipsos est une société d'études
indépendante, contrôlée et dirigée par des professionnels du
secteur, qui compte des bureaux dans 87 pays. Fondé en France en
1975, Ipsos est devenu l'un des premiers groupes mondiaux d'études,
avec une forte présence sur tous les grands marchés. Ipsos est la
troisième société d'études au monde. Elle est cotée à la Bourse de
Paris depuis 1999.
GAME CHANGERS
« Game Changers » est la signature publicitaire d'Ipsos.
Chez Ipsos, nous sommes passionnément curieux à propos des
individus, des marchés, des marques et de la société. Nous aidons
nos clients à naviguer plus vite et plus aisément dans un monde en
profonde mutation.
Nous leur apportons l'inspiration nécessaire à la prise de
décisions stratégiques.
Nous leur délivrons sécurité, rapidité, simplicité et
substance.
Nous sommes des Game Changers.
Ipsos
est coté sur l'Eurolist de NYSE-Euronext.
La société qui fait partie du SBF 120 et de l'indice Mid-60 est
également éligible au SRD.
Code ISIN FR0000073298, Reuters
ISOS.PA, Bloomberg IPS:FP
www.ipsos.com
Compte de résultat consolidé de l'exercice 2014
en milliers d'euros |
31/12/2014 |
31/12/2013
publié |
31/12/2013 retraité (**) |
Chiffre d'affaires |
1 669 469 |
1 712 403 |
1 695 053 |
Coûts
directs |
(597 275) |
(614
620) |
(621 315) |
Marge brute |
1 072 194 |
1 097 783 |
1073 738 |
Charges de personnel - hors rémunération en actions |
(680 017) |
(690 096) |
(690 096) |
Charges de personnel - rémunération en actions * |
(11 998) |
(11 321) |
(11 321) |
Charges générales d'exploitation |
(207 379) |
(215
393) |
(215 393) |
Autres charges et produits opérationnels |
326 |
1
158 |
1
158 |
Marge opérationnelle |
173 128 |
182 132 |
158 087 |
Dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions
* |
(4 644) |
(4 712) |
(4 712) |
Autres charges et produits non courants * |
(17 172) |
(18 205) |
(18 985) |
Quote-part dans les résultats des entreprises associées |
(92) |
26 |
26 |
Résultat opérationnel (hors impact net des réestimations
liées à la transaction Synovate post délai d'affectation) |
151 220 |
159 241 |
134 416 |
Impact net des réestimations liées à la transaction Synovate
post délai d'affectation * |
|
(71
273) |
(71 273) |
Résultat opérationnel |
151 220 |
87 968 |
63 143 |
Charges de financement |
(22 817) |
(23 373) |
(23 373) |
Autres
charges et produits financiers |
2 788 |
(5
903) |
(5 903) |
Résultat net avant impôts |
131 191 |
58 693 |
33 868 |
Impôts - hors impôts différés sur amortissement du goodwill |
(29 889) |
(29 715) |
(24 437) |
Impôts différés sur amortissement du goodwill * |
(4 197) |
(3
782) |
(3 782) |
Impôt sur
les résultats |
(34 086) |
(33 498) |
(28 220) |
Résultat net |
97 105 |
25 195 |
5 648 |
Dont
part du Groupe |
89 716 |
17 439 |
(2 108) |
Dont part
des minoritaires |
7 388 |
7 756 |
7 756 |
Résultat net part du Groupe par action de base (en
euros) |
1,98 |
0,38 |
(0,05) |
Résultat
net part du Groupe par action dilué (en euros) |
1,96 |
0,38 |
(0,05) |
Résultat net ajusté * |
128 857 |
129 685 |
110 138 |
Dont Part du Groupe |
120 767 |
120 950 |
101 403 |
Dont Part des minoritaires |
8 090 |
8 735 |
8 735 |
Résultat
net ajusté, part du groupe par action |
2,67 |
2,67 |
2,24 |
Résultat
net ajusté dilué, part du groupe par action |
2,63 |
2,63 |
2,20 |
(*) ajusté des éléments non monétaires liés à
l'IFRS 2 (rémunération en actions), de l'amortissement des
incorporels liés aux acquisitions (relations clients), des impôts
différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est
déductible dans certains pays et de l'impact net d'impôts des
autres produits et charges non courants.
(**) retraité des corrections
d'erreurs des exercices antérieurs : Différentes erreurs ont
été commises au cours des exercices antérieurs à 2014 (2013, 2012
ou antérieurs) dans les estimations de chiffre d'affaires ainsi que
des coûts de certains projets. En particulier, les entités Synovate
achetées en Octobre 2011 ne disposaient pas d'un système comptable
unifié et la qualité de l'information sur les projets en cours
n'était pas toujours bonne. Le passage des entités Synovate sur
l'ERP d'Ipsos a permis d'identifier peu à peu des anomalies sur
certains projets créés dans le passé sans qu'il soit possible de
dire quelles années avant 2012 étaient concernées car les listes de
projets en cours ne comportaient pas nécessairement les
informations requises concernant leur date de création lors de la
migration effectuée sur la période 2012 à 2014 selon les pays.
En conséquence et conformément à
IAS 8 §47, le montant cumulé de ces erreurs a été affecté et
corrigé dans le compte de résultat retraité de l'exercice 2013
uniquement. Voir note 1.3 des états financiers consolidés.
Etat de la
situation financière
Comptes annuels au 31 décembre 2014
en milliers d'euros |
31/12/2014 |
31/12/2013
publié |
31/12/2013 retraité (**) |
ACTIF |
|
|
|
Goodwills |
1 198 778 |
1 133 006 |
1 133 006 |
Autres immobilisations incorporelles |
85 234 |
87 336 |
87 336 |
Immobilisations corporelles |
32 425 |
36 154 |
36 154 |
Participation dans les entreprises associées |
357 |
772 |
772 |
Autres actifs financiers non courants |
27 407 |
23 832 |
23 832 |
Impôts
différés actifs |
38 626 |
36
544 |
36 544 |
Actifs non courants |
1 382 828 |
1 317 644 |
1 317 644 |
Clients et comptes rattachés |
610 212 |
583 932 |
565 477 |
Impôts courants |
18 110 |
18 866 |
18 866 |
Autres actifs courants |
75 637 |
56 977 |
56 977 |
Instruments financiers dérivés |
4 164 |
2 224 |
2 224 |
Trésorerie
et équivalents de trésorerie |
149
258 |
148
703 |
148
703 |
Actifs courants |
857 380 |
810 702 |
792 247 |
TOTAL ACTIF |
2 240 208 |
2 128 346 |
2 109 891 |
|
|
|
|
en milliers d'euros |
31/12/2014 |
31/12/2013
publié |
31/12/2013 retraité (**) |
PASSIF |
|
|
|
Capital |
11 334 |
11 334 |
11 334 |
Primes d'émission |
540 201 |
540 201 |
540 201 |
Actions propres |
(763) |
(686) |
(686) |
Ecarts de conversion |
(39 129) |
(61 274) |
(61 166) |
Autres
réserves |
372
588 |
349
513 |
329
743 |
Capitaux propres - part du Groupe |
884 231 |
839 088 |
819 426 |
Intérêts
minoritaires |
17 055 |
13
409 |
13 409 |
Capitaux propres |
901 286 |
852 497 |
832 835 |
Emprunts et autres passifs financiers non courants |
608 020 |
628 355 |
628 355 |
Provisions non courantes |
14 920 |
16 076 |
16 076 |
Provisions pour retraites |
23 890 |
20 997 |
20 997 |
Impôts différés passifs |
114 568 |
104 148 |
98 657 |
Autres
passifs non courants |
44 627 |
65
636 |
65 636 |
Passifs non courants |
806 026 |
835 212 |
835 212 |
Fournisseurs et comptes rattachés |
253
040 |
221 600 |
228
298 |
Emprunts et autres passifs financiers courants |
90
782 |
67
397 |
67
397 |
Impôts courants |
11
111 |
10
296 |
4
805 |
Provisions courantes |
4 860 |
3 941 |
3 941 |
Autres
passifs courants |
173
104 |
137
403 |
137
404 |
Passifs courants |
532 896 |
440 637 |
441 845 |
TOTAL PASSIF |
2 240 208 |
2 128 346 |
2 109 891 |
(**) retraité des corrections d'erreurs des
exercices antérieurs. Voir note 1.3 des états financiers
consolidés
Etat des flux de trésorerie consolidés
Comptes annuels au 31 décembre
2014
en milliers d'euros |
31/12/2014 |
31/12/2013 publié |
OPERATIONS D'EXPLOITATION |
|
|
RESULTAT NET |
97
105 |
25
195 |
Eléments sans incidence sur la
capacité d'autofinancement |
|
|
Amortissements des immobilisations corporelles et
incorporelles |
25 647 |
26 578 |
Résultat net des sociétés mises en équivalence, nets des dividendes
reçus |
92 |
( 26) |
Moins-value (plus-value) sur cessions d'actifs |
287 |
506 |
Variation nette des provisions |
(2 814) |
74 624 |
Rémunération en actions |
11 349 |
10 814 |
Autres produits et charges calculés |
2 221 |
(1 034) |
Frais d'acquisition de sociétés consolidées |
1 807 |
2 814 |
Charge de financement |
22 817 |
23 373 |
Charge d'impôt |
34 086 |
33 498 |
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT AVANT CHARGES DE FINANCEMENT ET
IMPOT |
192 597 |
196 341 |
Variation du besoin en fonds de roulement |
(18 724) |
(54 136) |
Intérêts financiers nets payés |
(21 227) |
(24 699) |
Impôts payés |
(23 317) |
(25 132) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DE L'EXPLOITATION |
129 330 |
92 374 |
OPERATIONS
D'INVESTISSEMENT |
|
|
Acquisitions d'immobilisations corporelles et incorporelles |
(14 274) |
(17 186) |
Produits des cessions d'actifs corporels et incorporels |
101 |
325 |
Augmentation / (diminution) d'immobilisations financières |
(1 423) |
(1 103) |
Acquisitions de sociétés et d'activités consolidés |
(2 534) |
11 784 |
FLUX DE TRESORERIE AFFECTES AUX OPERATIONS
D'INVESTISSEMENT |
(18 130) |
(6 180) |
OPERATIONS DE FINANCEMENT |
|
|
Augmentation / (Réduction) de capital |
( 0) |
186 |
(Achats) / Ventes nets d'actions propres |
(11 532) |
(3 944) |
Augmentation / (diminution) des emprunts à long terme |
(59 398) |
(28 733) |
Augmentation / (diminution) des découverts bancaires |
(2 229) |
3 287 |
Rachats d'intérêts minoritaires |
(6 418) |
(2 395) |
Dividendes versés aux actionnaires de la société mère |
(31 804) |
(28 996) |
Dividendes versés aux minoritaires des sociétés intégrées |
(3 534) |
( 885) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DES OPERATIONS DE
FINANCEMENT |
(114 915) |
(61 480) |
VARIATION NETTE DE LA TRESORERIE |
(3 715) |
24 714 |
Incidence des variations des cours des devises sur la
trésorerie |
4 270 |
(8 265) |
TRESORERIE A L'OUVERTURE |
148 703 |
132 253 |
TRESORERIE A LA CLOTURE |
149 258 |
148 703 |
Etat des variations des capitaux propres consolidés au 31 décembre
2014
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
en milliers d'euros |
Capital |
Primes d'émission |
Titres d'auto-contrôle |
Autres réserves |
Ecarts de conversion |
Capitaux propres |
|
|
|
|
|
|
|
|
Attribuables aux
actionnaires de la société |
Intérêts minoritaires |
Total |
|
Situation au 1er janvier 2013 |
11 332 |
540 017 |
( 983) |
360 024 |
4 170 |
914 560 |
11 556 |
926 116 |
|
Variation de capital |
2 |
184 |
- |
- |
- |
186 |
5 |
191 |
|
Distribution dividendes |
- |
- |
- |
(28 987) |
- |
(28 987) |
(1 174) |
(30
162) |
|
Effet des acquisitions et des engagements de rachats
d'intérêts minoritaires |
- |
- |
- |
2 250 |
- |
2 250 |
(2 361) |
( 111) |
|
|
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
|
Livraison d'actions propres concernant le plan
d'attribution d'actions gratuites 2011 |
- |
- |
4 332 |
(4 332) |
- |
- |
- |
- |
|
Autres mouvements sur les actions propres |
- |
- |
(4 038) |
94 |
- |
(3 944) |
- |
(3 944) |
|
Rémunérations en actions constatées directement en capitaux
propres |
- |
- |
- |
10 814 |
- |
10 814 |
- |
10 814 |
|
Autres mouvements |
- |
- |
2 |
(7 981) |
- |
(7 979) |
( 209) |
(8 188) |
|
Transactions avec les actionnaires |
2 |
184 |
296 |
(28 142) |
- |
(27 660) |
(3 740) |
(31 400) |
|
Résultat de l'exercice |
- |
- |
- |
17 439 |
- |
17 439 |
7 756 |
25 195 |
|
Autres éléments du résultat global |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
|
Investissements nets à
l'étranger et couvertures afférentes |
- |
- |
- |
- |
(7 779) |
(7 779) |
- |
(7 779) |
|
Impôts différés sur
investissements nets à l'étranger |
- |
- |
- |
- |
( 950) |
( 950) |
- |
( 950) |
|
Variation des écarts de
conversion |
- |
- |
- |
- |
(56
714) |
(56
714) |
(2 162) |
(58 876) |
|
Gains et pertes
actuariels |
- |
- |
- |
324 |
- |
324 |
- |
324 |
|
Impôts différés sur gains et
pertes actuariels |
- |
- |
- |
( 133) |
- |
( 133) |
- |
( 133) |
|
Total des autres éléments du résultat
global |
- |
- |
- |
190 |
(65
443) |
(65
252) |
(2 162) |
(67
414) |
|
Résultat global |
- |
- |
- |
17 629 |
(65 443) |
(47 813) |
5 594 |
(42 219) |
|
Situation au 31 décembre 2013 |
11 334 |
540 201 |
( 686) |
349 511 |
(61 274) |
839 087 |
13 410 |
852 497 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Situation au 1er janvier 2014
publiée |
11 334 |
540 201 |
( 686) |
349 511 |
(61 274) |
839 087 |
13 410 |
852 497 |
|
Corrections d'erreurs exercice 2013 et années
antérieures |
|
|
|
(19 663) |
|
(19 663) |
|
(19 663) |
|
Situation au 1er janvier 2014
retraitée |
11 334 |
540 201 |
( 686) |
329 848 |
(61 274) |
819 424 |
13 410 |
832 834 |
|
Variation de capital |
- |
0 |
- |
- |
- |
0 |
- |
0 |
|
Distribution dividendes |
- |
- |
- |
(31 720) |
- |
(31 720) |
(5 043) |
(36 764) |
|
Effet des
acquisitions et des engagements de rachats d'intérêts
minoritaires |
- |
- |
- |
(14 573) |
- |
(14 573) |
672 |
(13 901) |
|
Livraison
d'actions propres concernant le plan d'attribution d'actions
gratuites 2012 |
- |
- |
11 254 |
(11 254) |
- |
- |
- |
- |
|
Autres
mouvements sur les actions propres |
- |
- |
(11 331) |
( 201) |
- |
(11 532) |
- |
(11 532) |
|
Rémunérations en actions constatées directement en capitaux
propres |
- |
- |
- |
12 451 |
- |
12 451 |
- |
12 451 |
|
Autres mouvements |
- |
- |
- |
(1 135) |
- |
(1 135) |
(1 119) |
(2 254) |
|
Transactions avec les actionnaires |
- |
0 |
(77) |
(46 432) |
- |
(46 508) |
(5 491) |
(51 999) |
|
Résultat de l'exercice |
- |
- |
- |
89 716 |
- |
89 716 |
7 388 |
97 105 |
|
Autres éléments du résultat global |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
|
Investissements nets à
l'étranger et couvertures afférentes |
- |
- |
- |
- |
(6 662) |
(6 662) |
- |
(6 662) |
|
Impôts différés sur
investissements nets à l'étranger |
- |
- |
- |
- |
3 050 |
3 050 |
- |
3 050 |
|
Variation des écarts de
conversion |
- |
- |
- |
- |
25 752 |
25 752 |
1 747 |
27 499 |
|
Gains et pertes actuariels |
- |
- |
- |
( 555) |
- |
( 555) |
- |
( 555) |
|
Impôts différés sur gains et
pertes actuariels |
- |
- |
- |
14 |
- |
14 |
- |
14 |
|
Total des autres éléments du résultat
global |
- |
- |
- |
( 541) |
22 140 |
21 599 |
1 747 |
23 345 |
|
Résultat global |
- |
- |
- |
89 175 |
22 140 |
111 315 |
9 135 |
120 450 |
|
Situation au 31 Décembre 2014 |
11 334 |
540 201 |
( 763) |
372 588 |
(39 134) |
884 231 |
17 055 |
901 286 |
|
Ipsos en 2014 - Stabilité
confirmée
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