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Immobilier

- 10/4/2014 07:30
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

Pour le réseau d'agences ORPI et son président Bernard Cadeau « le dynamisme du marché immobilier en 2014 n'est toujours pas à l'ordre du jour ». Selon un sondage ORPI-IPSOS réalisé en mars, seuls 10 % des Français projettent d'acheter un bien immobilier dans l'année, que ce soit pour y habiter, pour le proposer à la location ou pour s'offrir une résidence secondaire. Plus de huit Français sur dix jugent en effet que la baisse des prix annoncée en janvier 2014 n'est pas encore suffisante pour pouvoir acheter le bien qu'ils souhaitent, ou qu'ils ne la constatent pas dans leur région ou leur ville. Selon les transactions réalisées par ORPI depuis le début de l'année, les prix moyens en France ont pourtant baissé de 2,5 % (- 2,2 % pour les maisons et - 4,1 % pour les appartements). De plus, la négociation est de mise : l'écart constaté entre le prix de mise en vente et le prix effectif de vente est de - 4,2 % en moyenne. Ainsi, un bien mis en vente à 300 000 ? sera vendu en réalité 12 600 ? de moins. Des baisses de prix qui ne suffisent pas à convaincre les acheteurs potentiels. En conséquence, les délais moyens de vente, de 97 jours à fin mars 2014, ne cessent de s'allonger : ils ont augmenté de 3 jours depuis janvier. 

Sondage ORPI-IPSOS, 7 avril 2014.



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168 Réponses
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121 de 168 - 18/5/2015 18:49
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'indice du marché immobilier américain mesuré par la National Association of Home Builders pour le mois de mai 2015 est ressorti à seulement 54, contre un consensus de place de 57 et un niveau de 56 rapporté un mois auparavant.
122 de 168 - 23/5/2015 18:07
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
"Compte tenu de la mauvaise conjoncture immobilière du début d'année sur le marché de l'immobilier neuf, Comexposium, l'organisateur, avait choisi de repousser la date du Salon National de l'Immobilier. Quelques mois plus tard, le constat est là : rien n'a vraiment changé. Les mesures gouvernementales n'ont pas encore suffisamment porté leurs fruits". Dans ce climat créant un sentiment d'attentisme général, l'organisateur a préféré annuler la manifestation parisienne de 2015...
124 de 168 - 28/5/2015 17:52
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
En se fondant sur leur dernier échantillon de promesses de ventes, les notaires entrevoient une stabilisation des prix de l’immobilier ancien à Paris avec une moyenne de 7 950 euros le mètre carré qui devrait se retrouver de mai à juillet 2015 dans les actes de ventes. Cela correspond à une très légère hausse par rapport à une moyenne de prix de 7 910 euros constatée au premier trimestre 2015.
125 de 168 - 18/6/2015 17:15
Antoinecac40 Messages postés: 1 - Membre depuis: 18/6/2015
Voici un article que j'ai trouve tres interessant, j'espere qu'il sera benefique dans vos decisions d'investissement.

http://immobilier2015.com/
126 de 168 - 22/6/2015 19:44
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
WASHINGTON/NEW YORK (Reuters) - Les reventes de logements ont atteint leur plus haut niveau en cinq ans et demi en mai, avec un afflux de primo-accédants, dernier indicateur en date reflétant la reprise du marché immobilier et de la croissance au deuxième trimestre.
127 de 168 - 30/6/2015 06:51
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le marché immobilier ancien est reparti. Les derniers chiffres du réseau d’agences immobilières Century 21 (850 agences en France) confirment cette tendance déjà observée depuis quelques mois avec une hausse des volumes de 15% au niveau national, entre le premier semestre 2015 et la première moitié de l’année 2014. L’accélération des ventes s’est matérialisée au deuxième trimestre dans les agences Century 21 et reste étroitement associée au niveau historiquement bas des taux d’intérêt d’emprunts.
128 de 168 - 01/7/2015 11:36
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
La dernière enquête de la Banque de France sur la typologie des ménages surendettés confirme un constat intuitif. Les personnes en état de surendettement sont plutôt des personnes seules (65% des 205.800 dossiers recevables de 2014) et des locataires (77,5% des dossiers).

Mais ce qui attire plus particulièrement l’attention dans ces données, c’est avant tout la progression de l’immobilier dans les situations de surendettement.
129 de 168 - 03/7/2015 11:58
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Dans moins d’un mois, l’encadrement des loyers entrera en vigueur à Paris. Concrètement, les loyers au m² ne pourront pas dépasser des plafonds déterminés par arrêté préfectoral, ces plafonds correspondant aux loyers de référence de la zone majorés de 20%. Seules des caractéristiques exceptionnelles (confort, localisation...) pourront justifier un complément de prix, qui devra être détaillé dans le bail
130 de 168 - 08/7/2015 19:59
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les particuliers profitent à plein de la baisse des taux. Près d'un prêt à l'habitat sur deux (46%) accordé en mai en France était un crédit renégocié, contre 27% en décembre dernier, selon des statistiques publiées mercredi par la Banque de France. Les renégociations ont représenté 7,2 milliards d'euros sur un total de 15,5 milliards, un montant record depuis décembre 2010, de prêts à l'habitat contractés au cours du mois. Un sondage publié par BVA au mois de mai montrait que près d'un emprunteur sur deux a déjà essayé de négocier son crédit.
131 de 168 - 12/7/2015 10:12
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Pannes d'ascenseur, insalubrité, appartements loués par des marchands de sommeil: pour voler au secours des emblématiques barres d'immeubles de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), l'État lance sa première Opération de requalification des copropriétés dégradées (Orcod), prémisse d'un ambitieux renouvellement urbain.

Déambulant entre les allées ternes des barres de dix étages du quartier du Chêne-Pointu, serrant au passage les mains de jeunes qui tuent le temps devant les halls décrépis, la ministre du Logement Sylvia Pinel et la secrétaire d'État chargée de la politique de la Ville Myriam El Khomri ont officialisé cette semaine cette mesure inédite.

Une Orcod est un nouvel outil juridique qui permet à des copropriétés, dans la sphère privée, d'être prises en charge par l'État. Cette mesure est rendue possible par la loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) de mars 2014.
132 de 168 - 16/7/2015 18:51
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le château d'Aunoy est situé en Seine-et-Marne non loin de Vaux-le-Vicomte à environ 50 kilomètres de Paris. Classé à l'Inventaire des Monuments Historiques, il dispose d'une superficie de 800 mètres carrés habitables et il est situé au centre d'un domaine de 71 hectares comprenant un parc, des terres et bois.

Le corps de bâtiment central comprend de belles pièces de réception avec boiseries et une dizaine de chambres et salles de bains. Les communs offrent salles de réception, écuries, salle de chasse et logements...

Le parc a la particularité d'être le premier parc à l'anglaise conçu en France vers 1750 et comprend des étangs, une île, une roseraie et des arbres remarquables. Le domaine comprend également des vergers, un potager, des serres, une orangerie, une maison d'invités et un pavillon de chasse.

Propriété de la famille Tapiau depuis 1980, la demeure est aujourd'hui proposée à la vente pour une somme avoisinant les 12 Millions d'Euros.
133 de 168 - 22/7/2015 18:41
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Tous les observateurs s’accordent à dire que la baisse des taux immobiliers est désormais derrière nous. En revanche, les avis sont plus partagés sur la tendance à venir. Va-t-on avoir une période de stabilisation ? Les taux vont-ils remonter progressivement ? La hausse sera-t-elle au contraire rapide ?

2,12% à 2,36% fin 2015

Les conclusions du dernier Observatoire CSA/Crédit Logement sont en tout cas de nature à rassurer. Fin juin, les emprunteurs bénéficiaient de conditions particulièrement avantageuses avec un taux moyen de 2,01% (1,9% à 15 ans, 2,17% à 20 ans et 2,54% à 25 ans pour les taux fixes). Or, d’après les projections présentées cette semaine, la remontée devrait être modérée, quel que soit le scénario retenu.

D’ici à la fin de l’année, le taux moyen pourrait ne pas dépasser 2,12% dans le meilleur des cas (soit 0,11% de plus qu’actuellement). Et même avec le scénario le moins favorable, la progression ne devrait pas dépasser 0,35%. Ainsi, à 2,36% en moyenne, les taux ne feraient que revenir à leur niveau du début d’année.

2,65% au pire en 2016

Pour 2016, rien d’alarmant non plus. L’Observatoire table en effet sur un taux compris entre 2,36% et 2,65%, soit une progression de 0,35% à 0,64% par rapport à fin juin. Et le rapport de rappeler qu’au pire, le marché serait ainsi au même niveau qu’à l’été 2014.

Il est d’ailleurs à souligner que les relèvements de taux décidés par les banques cet été pourraient bien constituer l’essentiel de la hausse jusqu’à la fin de l’année prochaine. De fait, Crédit Logement et l’institut CSA prévoient une moyenne de 2,27% à 2,32% dès le mois de septembre prochain. En tout cas, même avec le pire des scénarios, « la remontée des taux ne sera pas de nature à casser le dynamisme du marché », d’après l’Observatoire.
134 de 168 - 24/7/2015 13:37
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Après des baisses de 6,9% en province depuis 2011 et de 5,3% à Paris depuis 2012, les prix de l’immobilier ont-ils atteint un point d’inflexion ? Plusieurs observateurs le pensent et les statistiques du deuxième trimestre 2015 semblent leur donner raison. Ceci étant, la société d’analyse économique PrimeView a une vision beaucoup plus pessimiste, voire alarmiste.

La baisse des taux ne peut soutenir durablement les prix

« S’il est tout à fait probable de connaitre un léger mieux au cours des deux à trois trimestres à venir, nous restons dans un environnement fortement déflationniste pour ce type d’actifs pour les 5 à 10 ans à venir », indique une note diffusée ce vendredi 24 juillet.

En fait, pour PrimeView, la pause actuelle est due avant tout à la baisse historique des taux, qui a accru la solvabilité de certains ménages. Mais le mouvement touche à sa fin et sur un plan fondamental, la société juge que l’immobilier est toujours surcoté. Au risque d’étonner, la note souligne même « qu’il reste encore 30% de baisse avant de retrouver des niveaux de prix en adéquation avec la demande solvable de la population française ».

Les revenus des ménages n’ont pas suivi les prix de l’immobilier

Les analystes maison rappellent en premier lieu que si les prix ont baissé d’environ 5% en France depuis 7 ans, la correction a été beaucoup moins violente qu’au Royaume-Uni (-20%) ou qu’aux Etats-Unis. Ainsi, ils jugent que la survalorisation n’a pas disparu.

Pour l’illustrer, PrimeView pointe le rapport entre les prix immobiliers et le revenu disponible des ménages. De 1 en 2000, ce ratio est passé à 2,34. Autrement dit, en 15 ans, les prix ont augmenté bien plus vite que les revenus.

Autre point d’inquiétude pour la société, le nombre de vendeurs nets augmente plus rapidement que le nombre d’acheteurs nets. Et cela pourrait durer jusqu’en 2035. D’ailleurs, PrimeView considère que « la dynamique des prix sera pilotée de plus en plus par des contraintes démographiques (vieillissement de la population) et non par la financiarisation des ménages comme par le passé ».

3 évaluations pour une même conclusion

Reste à savoir comment le cabinet de recherche aboutit à cette prévision de baisse de 30%. Il a tout simplement évalué le repli nécessaire pour ramener à leur moyenne historique trois indicateurs clé : le ratio prix/revenu des ménages, l’indice des prix corrigé des coûts de la construction et enfin la prime de risque de l’immobilier (6,5%).

Notons au passage que si les 30% avancés constituent une moyenne, le potentiel de baisse du marché immobilier est estimé entre 25% et 40% selon la méthode et les hypothèses utilisées.
135 de 168 - 30/7/2015 17:13
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La reprise du nombre de ventes de logements anciens constatée depuis quelques mois en Ile-de-France par la chambre des notaires de la région parisienne se confirme. Avec 33 290 ventes enregistrées en Ile-de-France de mars à mai 2015, dont 7 310 dans Paris, l'activité est même légèrement supérieure à celle constatée en moyenne sur les dix dernières années (+2%).
136 de 168 - 03/8/2015 17:47
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
Le dispositif d’encadrement des loyers de la loi « Alur » entre en vigueur le 1er août à Paris, à « titre expérimental ». Le dispositif est controversé, mais devrait permettre à de nombreux locataires de bénéficier de loyers plus abordables dans la capitale.

C’est une excellente nouvelle pour certains, une mauvaise pour d’autres. À partir du 1er août prochain, les loyers parisiens seront désormais encadrés pour en limiter le niveau. Une mesure qui cherche à répondre au problème de l’augmentation des loyers qui rend parfois les logements difficilement abordables.

Que dit la loi ?
Depuis 2012, les loyers de 28 agglomérations françaises de plus de 50.000 habitants sont déjà encadrés pour limiter la possibilité qu’ont les propriétaires d’élever d’année en année le loyer demandé à leur(s) locataire(s). Désormais, la loi « Alur » (acronyme de la loi pour « l’accès au logement et un urbanisme rénové ») va chercher à limiter le niveau maximal des prix au mètre carré, en commençant par expérimenter ce dispositif à Paris à partir du 1er août.

Le décret n°2015-650, paru au Journal officiel le 10 juin 2015, précise l’objectif et les modalités de ce nouveau dispositif. « Dans les agglomérations où se manifeste un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements, le législateur a entendu encadrer le niveau de fixation du loyer entre les parties lors de la conclusion du bail initial et à l'occasion de son renouvellement. Le loyer du logement mis en location ne peut alors excéder le loyer de référence (…) majoré de 20% ».

Ce loyer de référence, qui est une nouveauté, sera « exprimé en euros par mètre carré », et « arrêté par le préfet pour chaque catégorie de logement sur la base des données produites par un observatoire local des loyers agréé par la ministre », précise le ministère du Logement sur son site officiel.

Cette dernière source explique également que ce dispositif se veut « en faveur du pouvoir d’achat des ménages », et vise à « favoriser l’accès au logement là où le marché locatif est particulièrement tendu ».

Pour autant, précise également le décret du 10 juin : « lorsque le logement présente certaines caractéristiques de localisation ou de confort, le bailleur [aura] la possibilité de fixer un loyer supérieur en appliquant un complément de loyer ».

Controverses sur le dispositif
Le dispositif est néanmoins controversé pour plusieurs raisons.

La première raison, c’est bien sûr la baisse de rendement que ce système cherche volontairement à provoquer pour les propriétaires de logements loués. Pour certains, le dispositif envoie un signal « négatif » aux propriétaires. Sans compter qu’avec des rendements limités, les prix de l’immobilier des grandes villes pourraient être tirés à la baisse à moyen terme. Ce sujet de controverse reste limité, alors que le but de la loi est précisément d’éviter des excès sur le marché de l’immobilier.

La seconde raison, c’est le flou que la loi laisse flotter, avec la possibilité de dépasser le loyer maximal si le logement bénéficie de certaines caractéristiques de confort qui restent mal définies. Des litiges pourraient apparaître entre propriétaires et locataires pour savoir si chaque appartement est concerné, ou non, par ces critères de confort susceptibles d’en faire monter le prix de location.

Enfin, certains considèrent que la loi ne va pas assez loin en faveur des locataires. Certaines critiques considèrent que le périmètre d’application du dispositif est trop réduit. D’autres se concentrent sur un autre élément de la loi, qui précise que les loyers ne pourront pas dépasser de 30% à la baisse le nouveau loyer référent du quartier. Cette mesure, qui bénéficiera cette fois-ci aux propriétaires, est considérée comme pénalisante pour les locataires bénéficiant jusqu’alors de faibles loyers.

À Paris : des baisses de loyers pouvant dépasser 240 euros
À Paris, qui expérimentera donc ce dispositif à partir du 1er août, « l’encadrement des loyers devrait concerner un nouveau locataire sur cinq », explique Le Figaro. Parmi les personnes concernées, la même source poursuit : « selon les calculs de l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (l’Olap), cela se traduira par une baisse de loyer allant jusqu’à 50 euros pour un tiers des locataires signant un nouveau bail, de 50 à 100 euros pour un autre tiers, et supérieure à 100 euros pour le tiers restant. Dans ce dernier tiers, la baisse sera supérieure à 240 euros pour 10% des loyers les plus chers ».

La particularité de la ville de Paris, dans le cadre de l’application d’un tel dispositif, est l’hétérogénéité des prix de l’immobilier en fonction des différents quartiers. Le Figaro précise à ce sujet : « la capitale a été divisée en 80 quartiers et un loyer de référence a été défini pour chaque catégorie de logement, en fonction de ses caractéristiques (nombre de pièces, époque de construction, location nue ou meublée).

Les locataires et propriétaires de logements loués à Paris doivent sans tarder vérifier si le loyer qu’ils paient ou qu’ils reçoivent entre bien dans les bornes prévues par le dispositif, en termes de prix au mètre carré.

X. Bargue
137 de 168 - 05/8/2015 05:19
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le dernier observatoire Crédit Logement/CSA confirme sans surprise une légère remontée du taux d'intérêt des emprunts immobiliers qui ont touché leur plancher au mois de mai. En juillet, le taux moyen des emprunts immobiliers (neuf, ancien, et travaux) se situait à 2,06% après 2,01% en mai et juin 2015. Ce taux est calculé pour une durée d'emprunt moyenne proche de 17 ans...

Production en forte hausse

Ce baromètre confirme aussi la forte hausse de la demande de crédits. La hausse de la production de crédits immobiliers (hors rachats de créances) est en effet mesurée à plus de 50% de mai à juillet par rapport à la même période en 2014. La reprise des marchés est ainsi jugée "rapide et intense" comme en 2010 et en 2013 à la même époque de l'année.

Mais comme le rappelle Crédit Logement, à l'heure actuelle, l'amélioration de la solvabilité de la demande par la seule baisse des taux n'est toujours pas remise en question. Depuis la fin 2013, elle équivaut à un recul des prix de 10%.

Politique commerciale

Cet afflux de demandes de financements devrait cependant inciter les banques à poursuivre les ajustements à la hausse de leurs grilles de taux. "Les établissements sont moins agressifs commercialement, nombre d'entre eux ayant d'ores et déjà réalisé leurs objectifs. Ceci leur permet d'optimiser leurs politiques en matière de marges en rehaussant leurs taux, alors même que l'afflux de dossiers au premier semestre a augmenté leur temps de traitement, lequel atteint des records", explique Alban Lacondemine, président du courtier EmpruntDirect. Les banques deviendraient même plus sélectives, n'hésitant plus à refuser certains clients...

Reflux des taux longs

Pour la suite, Crédit Logement pense que la tendance des prochains mois restera haussière pour les taux tout en demeurant lente et modérée, d'autant que les taux longs ont nettement reflué durant la seconde quinzaine de juillet et que les taux de rémunération des ressources d'épargne (Livret A, LDD) sur lesquelles les établissements de crédit refinancent leur production, baissent à compter du 1er août. S'agissant des taux longs, les taux de l'OAT 10 ans ont ainsi reculé 0,3% depuis le début du mois de juillet, revenant à 0,9% aujourd'hui.

De légères hausses en août

Les premiers barèmes du mois d'août reçus par EmpruntDirect vont dans ce sens avec une hausse moyenne d'environ 0,05%, pouvant aller jusqu'à +0,1% pour les emprunteurs disposant d'un excellent dossier et souhaitant emprunter sur une durée courte de 10 ans. Ces derniers peuvent cependant encore emprunter à un taux très bas de 1,45%. "Les excellents dossiers ne sont pas non plus épargnés, ce qui illustre la surcharge réelle des banques qui même sur les excellents dossiers limitent l'ampleur des décotes", constate également Maël Bernier, pour le courtier Meilleurtaux.com. Quant aux "bons dossiers", les taux se situent désormais autour de 2,25% sur 15 ans et 2,45% sur 20 ans...
138 de 168 - 13/8/2015 20:14
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
Comme dans beaucoup de régions, l’attentisme de 2014 a laissé place au premier semestre 2015 à un retour des acheteurs immobiliers dans les départements des Pays de la Loire (Loire-Atlantique, de Maine-et-Loire, de la Mayenne, de la Sarthe et de la Vendée) grâce aux taux d’emprunts historiquement bas qui ont encouragé les primo-accédants. Le Président de la Fédération Nationale de l’immobilier (FNAIM) pour la région Pays de la Loire, Benoît Fauchard, note cependant que les acheteurs reviennent sur le marché de l’existant, plus accessible que le neuf.

Les maisons dominent

En région Pays de la Loire, près des trois quarts des logements sont des maisons. «La demande se porte plutôt sur les maisons de 4 et 5 pièces avec jardin. Et sur ce segment, les produits de bonne qualité autour des 200 000 euros se vendent en moyenne sous trois mois. Passée la barre des 300 000 euros, il faut vraiment que les biens soient sur des standards supérieurs pour trouver preneur», explique Benoît Fauchard.

Des prix en baisse

Côté prix, après une très légère baisse constatée en début d’année, la tendance est à la stabilisation. Les écarts de prix régionaux restent élevés avec par exemple Angers se situant autour de 2 000 € le mètre carrés pour les appartements alors qu’il faudra compter 50% de plus à Nantes (3 000 €). Les prix moyens de la région (2 463 € pour les appartements 2 017 € pour les maisons) sont sensiblement inférieurs à la moyenne nationale.

«Comme souvent, les biens qui ne sont pas au prix du marché restent en stock et les vendeurs doivent consentir à des réajustements s’ils souhaitent vendre dans des délais raisonnables», prévient la FNAIM Pays de la Loire.

Une offre locative large

Sur le marché de la location, l’immobilier neuf abonde une offre locative déjà large. Les candidats ont donc l’embarras du choix et sont regardants sur la qualité du bien. Cette tendance touche tous les types de biens et les loyers pratiqués sont entrés dans une phase de stabilisation. Comme ailleurs, la FNAIM constate que les propriétaires s’interrogent sur la pérennité de leur investissement locatif, celui-ci étant de plus en plus contraint par la réglementation et la fiscalité. Un certain nombre d’entre eux arbitrent donc leur patrimoine en vendant leur bien locatif.
139 de 168 - 24/8/2015 19:53
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les ventes de maisons repartent... La reprise des ventes de maisons individuelles se confirme en France depuis quelques temps déjà... D'après l'indicateur Markemetron, les ventes ont progressé au cours des mois d'avril, mai et juin de respectivement +10%, +19% et +21%... Une bonne nouvelle pour le leader français du secteur, Maisons France Confort, ou encore pour le petit AST Groupe dont le parcours boursier n'a pas brillé récemment. Ces tendances regarnissent les carnets de commandes des deux groupes et permettent d'être plus optimistes pour l'exercice 2016 compte tenu des délais de construction...
140 de 168 - 24/8/2015 21:54
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

vendredi 21 août 2015 à 17h30

Quelles sont les villes où les prix baissent le plus cet été ?

1 Commentaire(s) |


Vue de Calais, où les prix de l'immobilier baissent le plus en juilletVue de Calais, où les prix de l'immobilier baissent le plus en juillet (©Wikimedia Commons)

En exclusivité pour LaVieImmo.com, Meilleursagents livre son classement de l'évolution des prix de l'immobilier dans les communes de 50.000 habitants*. Sur un an, trois villes situées au Nord de la Seine font très fort avec des baisses supérieures à 8%.

(LaVieImmo.com) - Tour de France des villes - nombreuses en juillet - où les compteurs sont orientés à la baisse. Si Paris affiche -3,4% sur un an, avec 7.770 euros par mètre carré en moyenne, la capitale n'intègre pas le top 10 établi par Meilleursagents des villes, moyennes et grandes, qui affichent le plus fort repli cet été.

La première place de ce classement revient à Calais, qui voit ses prix chuter de 10,8% sur un an. A 1.645 euros le mètre carré, la plus grande ville du Pas-de-Calais devient nettement plus abordable. Mais cette baisse sensible traduit ses difficultés économiques et s’explique aussi par la détérioration de son image liée aux problème des nombreux migrants tentant de passer en Angleterre. Sur le podium des plus fortes baisses figurent Troyes (-9,6%, 1.318 euros) à la deuxième place et Dunkerque (-8,4%, 1.740 euros) à la troisième.

4 villes du sud baissent les tarifs

Mais quatre villes de la moitié sud de la France font également leur apparition parmi les 10 plus fortes baisses annuelles : Saint-Etienne (1.098 euros par mètre carré), 4e avec -7,9%, Perpignan (1.491 euros) et Nîmes, ex aequo à la 7e place avec -6,8%, et enfin Narbonne (1.630 euros), 10e avec un repli de 6%.

En réalité, seule une poignée de métropoles voient leurs tarifs augmenter cet été, et le plus souvent de manière très modérée. Toujours selon les calculs de Melleursagents, Bordeaux arrive en tête, avec +1,2% et 3.110 euros par mètre carré, devant Montpellier qui affiche +0,9% (2.704 euros) et Rennes +0,7% (2.510 euros).



Retrouvez les prix au m² ville par ville, partout en France >>

Les 10 villes où les prix baissent le plus en juillet

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Type de bien :

Adresse :

Surface : m²

Nombre de pièces :

  • 1- Calais : 1.645 €/m2/ -10,8%
  • 2- Troyes : 1.318 €/m2 / -9,6%
  • 3- Dunkerque : 1.740 €/m2 / -8,4%
  • 4- Saint-Etienne : 1.098 €/m2 / -7,9%
  • 5- Le Havre : 1.599 €/m2 / -7,3%
  • 6- Brest : 1.290 €/m2 / -6,8%
  • 7=- Perpignan : 1.491 €/m2 / -6,8%
  • 7=- Nîmes : 1.683 €/m2 / -6,5%
  • 9- Le Mans : 1.358 €/m2 / -6,4%
  • 10- Narbonne : 1.630 €/m2 / -6%

*Prix calculés entre le 1er juillet 2014 et le 1er juillet 2015, sur la base des données de transaction communiquées par les agences partenaires de Meilleursagents et d'annonces immobilières. Pour Paris, deux sources d'informations complémentaires sont compilées : les transactions historiques enregistrées par les Notaires de Paris / Ile de France, et les dernières transactions remontées par les agences immobilières partenaires de Meilleursagents.

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Dernier Message: 12/Mai/2016 16h10