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La Crise ?

- 19/6/2014 07:53
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

Les Français estiment en moyenne le budget d'un mariage à 8.257 euros pour 70 invités, et la plupart d'entre eux considèrent cette cérémonie comme synonyme de contraintes et de choix budgétaires, selon un sondage réalisé par Opinionway publié jeudi.

Les personnes interrogées habitant en région parisienne ont un budget estimé d'environ 18% de plus que les habitants de province, à 9.419 euros contre 7.986 euros, et, s'ils organisaient un mariage, les moins de 35 ans dépenseraient environ 16% de plus que leurs aînés (9.200 euros contre 7.904 euros).

Les sondés appartenant à un foyer gagnant plus de 3.500 euros par mois envisagent quant à eu un budget supérieur de 80% (11.525 euros) à celui anticipé par les foyers gagnant moins de 1.000 euros (6.189 euros).

Le repas, le traiteur et la pièce montée sont considérés comme le poste de dépense le plus onéreux par 61% des personnes interrogées, devant le lieu du mariage ou la salle de réception (12%), la lune de miel (8%) et les tenues - robes de mariés, costumes (8%).

Plus de huit sondés sur dix considèrent que le mariage est "plutôt synonyme de contraintes" financières, et qu'il nécessite de "faire des choix pour limiter le budget": se passer de cameraman ou de photographe (cité par 44% des sondés), économiser sur l'hébergement des mariés (38%), les cadeaux des invités (36%), la décoration (28%) ou la lune de miel (27%).

Pour financer ces dépenses nuptiales, la plupart des personnes interrogées évoquent l'épargne (85%) et l'aide des parents ou des proches (73%). Mais 42% d'entre eux parlent aussi de sponsors (pâtissiers, fleuristes), 41% d'un crédit, et un tiers font référence à un financement participatif, où chaque invité paye une part du mariage.

Le sondage a été réalisé en ligne les 4 et 5 juin sur un panel de 1.014 personnes par OpinionWay pour Sofinco.



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101 de 112 - 06/1/2016 12:11
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Pour le troisième mois consécutif, l'indice reflétant la confiance des ménages est resté stable en décembre 2015 à 96, selon les dernières données de l'Institut national de la statistique. Ce niveau demeure toutefois inférieur à la moyenne de longue période.

Épargner avant d'acheter

Dans le détail, "le solde d'opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée est quasi stable (-1 point). Concernant leur situation financière personnelle future, leur opinion s'améliore (+3 points)". Ils se situent à respectivement à -25 et -27 points, contre des moyennes de long terme de -19 et -4 points. Concernant l'épargne, les Français sont plus nombreux à penser que le moment est propice pour mettre de côté (indicateur à 8, contre 4 le mois précédent). En revanche, le nombre de personnes interrogées pensant qu'il est temps de réaliser des achats est stable à -14, sur la moyenne de long terme.

Chômage : craintes en hausse

Sur le front de l'emploi, "les craintes des ménages concernant le chômage s'élèvent nettement, après avoir fortement baissé en novembre : le solde correspondant augmente de 11 points et retrouve le niveau atteint en septembre 2015. Ce solde est supérieur à sa moyenne de long terme depuis juin 2011" (46 points contre 32 en moyenne), fait valoir l'Insee. Rappelons que l'Institut anticipe une légère baisse du taux de chômage à compter de la mi-2016.
102 de 112 - 13/1/2016 19:53
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Standard & Poor's anticipe dans ses dernières prévisions une croissance de 1,6% du PIB (produit intérieur brut) de la France cette année et en 2017, ce qui devrait permettre une très légère inflexion du chômage à partir de la fin 2016. De son côté, le gouvernement table dans son projet de loi de finances 2016 sur une hypothèse de progression de 1,5% en 2016 comme en 2017, après 1,0% en 2015.

Pour Jean-Michel Six, chef économiste Europe, Moyen-Orient et Afrique de Standard & Poor's, l'économie française reste "un peu en retrait" du cycle de reprise observé à l'échelle européenne, avec une amélioration "moins prononcée, plus chaotique". Selon l'agence de notation, les parts de marché de la France à l'exportation se stabilisent après avoir traversé une phase de forte érosion, indépendamment des effets de change. Le début de redressement des marges des entreprises et du secteur de l'immobilier constituent également des signes encourageants.

Chute du pétrole

En revanche, l'écart marqué entre les marges des entreprises françaises et celles de leurs homologues européennes, ainsi que l'effondrement des deux dernières années du secteur du logement et de la construction, seront difficiles à combler rapidement. L'enjeu au niveau de la zone euro et donc également de la France est actuellement de consolider le rebond en une reprise permettant la progression durable de l'emploi, ce qui nécessitera une reprise de l'investissement. Mais cet élément reposant sur la confiance des chefs d'entreprise reste difficile à anticiper, dans un contexte mondial d'incertitudes économiques et géopolitiques.

D'autant qu'un "environnement international fondamentalement déflationniste", marqué par la chute des cours du pétrole et des matières premières, entrave à court terme les retombées positives sur l'économie réelle du programme massif de rachats d'actifs lancé en mars dernier par la Banque centrale européenne (BCE). L'agence S&P a confirmé mi-décembre la note à long terme AA de la dette souveraine de la France ainsi que la perspective négative qui lui est attachée. Elle se prononcera à nouveau le 22 avril et le 21 octobre prochains sur cette note.
103 de 112 - 18/1/2016 18:39
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Les arrivées de touristes internationaux ont augmenté de 4,4 % en 2015 pour atteindre un total de 1,181 milliard. Par rapport à 2014, les déplacements d'une nuitée ou plus ont progressé de 50 millions, révèle lundi l'Organisation mondiale du tourisme (OMT), une agence des Nations unies basée à Madrid. Ainsi, 2015 se classe comme la sixième année consécutive de croissance supérieure à la moyenne : les arrivées internationales ont augmenté tous les ans de 4%, ou plus, depuis 2010, année qui a suivi la crise.

Bon score pour l'Europe

"Les résultats de 2015 ont été influencés par les taux de change, les cours du pétrole ainsi que les crises d'origine naturelle et humaine dans de nombreuses régions du monde. Dans l'environnement actuel, les questions de sûreté et de sécurité prennent un relief particulier", écrit l'OMT dans un communiqué. La croissance dans les destinations d'économies avancées (+5%) a, grâce aux bonnes performances de l'Europe (+5% également), dépassé celle des destinations d'économies émergentes (+4%).

La France toujours numéro un

La France reste le pays le plus visité, devant les Etats-Unis, l'Espagne et la Chine, selon des données provisoires. Au niveau des régions, l'Europe, les Amériques et l'Asie-Pacifique ont toutes enregistré des taux de croissance d'environ 5 % en 2015. Les arrivées au Moyen-Orient ont progressé de 3%, tandis que l'Afrique enregistre une baisse estimée à 3%, "imputable principalement à la faiblesse des résultats en Afrique du Nord, laquelle représente plus du tiers des arrivées dans la région".
104 de 112 - 19/1/2016 18:37
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les Français ont plus épargné en 2015 qu’en 2014. D’après Les Cahiers de l’épargne de la société Pair Conseil, les nouveaux placements financiers des ménages se sont élevés à 95 milliards d’euros l’an passé.

Si l’on ramène ce chiffre au nombre de ménages du pays (environ 28,5 millions), chaque foyer a donc mis de côté quelque 3.300 euros, selon nos calculs

Comme le rappelle le communiqué, ces 95 milliards restent inférieurs aux 125 milliards constatés en 2010 mais dépassent de 23% les 77 milliards d’euros placés en 2014.

Un patrimoine financier en hausse de 4,6%

En ajoutant à ces flux la progression des valorisations, Pair Conseil ajoute que le patrimoine financier des Français a gagné 4,6% en 2015 (+209 milliards d’euros) pour atteindre 4.754 milliards d’euros.

Autrement dit, le patrimoine financier moyen approche désormais des 167.000 euros par foyer. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne. Mais des publications passées de l’Insee ont montré qu’en France près de la moitié du patrimoine nationale est détenu par les 10% de foyers les plus riches. A l’inverse, les 20% de ménages les plus pauvres ne cumulent que 0,23% des richesses.

Stagnation de l’immobilier

Cette progression d’ensemble du patrimoine financier a en tout cas permis de compenser la stagnation du patrimoine immobilier, à 7.023 milliards d’euros.

Ainsi, Pair Conseil assure que le patrimoine global des Français a grossi de 1,8% en 2015, à 11.777 milliards d’euros. Précisons qu’il s’agit là d’un patrimoine brut (c’est-à-dire sans déduction de l’endettement). Cela explique d’ailleurs l’écart important avec les 10.334 milliards d’euros de patrimoine net annoncés récemment par l’Insee au titre de l’année 2014.
105 de 112 - 21/1/2016 18:48
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
'an dernier, les Français auraient perdu dix milliards d'euros en misant aux jeux d'argent et de hasard, selon les données collectées par le quotidien 'Le Monde'. Les opérateurs agréés de paris sportifs et la Française des jeux apparaissent comme les deux principaux bénéficiaires de ce copieux gâteaux.

Les paris sportifs font le plein

Selon les chiffres publiés cette semaine par l'Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel), les mises enregistrées en paris sportifs "online" se sont élevées à 1,4 milliard d'euros en 2015, ce qui représente une hausse de 30% par rapport à l'année précédente. Pourtant, aucune grande compétition sportive ne s'est tenue au cours des 12 derniers mois. Cette progression s'explique en grande partie par la hausse du nombre de joueurs réguliers (+ 18%), précise l'Arjel. A l'inverse, les mises de paris hippiques ont reculé de 2% à un peu plus d'un milliard d'euros.

Année record pour la FDJ

La Française des Jeux tire également profit de la situation. La semaine dernière, la société a fait état d'une année 2015 record, avec une progression de ses ventes de 5,4% à 13,7 milliards d'euros. Les jeux de loterie - qui représentent 83% des ventes - ont enregistré un chiffre d'affaires de 11,4 milliards d'euros (+ 3,8%), notamment grâce au dynamisme des jeux de grattage (+10% à 6,3 milliards d'euros). Enfin, on notera la reprise des casinos. Après avoir enregistré une baisse de leur activité durant sept années consécutives, le produit brut des jeux a progressé en 2015 de 2,8% à 2,2 milliards d'euros l'an dernier.
106 de 112 - 05/2/2016 19:54
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Paris perd sa première place de ville la plus attractive du monde pour les investissements étrangers... Après une percée en 2015, la capitale perd sa troisième place pour retomber à la cinquième, derrière Londres, qui se place en tête, suivi de Shanghaï, New York et Hong-Kong, selon le dernier classement "Global Cities Investment Monitor" de KPMG et Paris-Ile de France Capitale Economique.

Poids des attentats

Les auteurs de cette étude évoquent néanmoins une bonne performance pour Paris, "en dépit de l'impact que les attentats de janvier ont pu avoir sur la concrétisation de projets sur l'année". Ils notent par ailleurs que la ville se situe dans le groupe de tête mondial dans toutes les catégories de fonctions stratégiques (quartiers généraux, centres de recherche, centre de design, de formation, de marketing) et reste la première métropole de la zone Euro.

Chute de 10% pour l'Europe

Les investissements internationaux ont une nouvelle fois reculé dans le monde, en repli de -8,7% (-31% depuis 2008). "L'Asie-Pacifique et l'Amérique du Nord (-3%) résistent mieux que l'Europe (-10%), qui se situe juste dans la moyenne mondiale, devant l'Amérique du Sud (-21%), l'Afrique et le Moyen-Orient (-20%)"...
107 de 112 - 12/2/2016 15:45
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Le Produit intérieur brut (PIB), corrigé des variations saisonnières, a augmenté de 0,3% dans la zone euro au quatrième trimestre 2015, selon l'estimation rapide d'Eurostat. Il s'agit d'une croissance identique au trimestre précédent et en ligne avec les attentes du marché. En glissement annuel, le PIB affiche une hausse de 1,5%. Sur l'ensemble de l'année 2015, le PIB progresse également de 1,5%.

Baisse de la production industrielle

En décembre, la production industrielle de la zone euro a diminué de 1% mais a augmenté de 1,3% en glissement annuel. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient une hausse mensuelle de 0,3% et annuelle de 0,8%. La croissance est insuffisante pour créer suffisamment d'inflation et porter cette dernière vers l'objectif de la Banque centrale européenne, soit un petit peu moins de 2%, estiment les économistes. L'inflation était de 0,4% en janvier.
108 de 112 - 15/2/2016 19:20
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Dans le cadre de la réforme du code du travail que présentera la ministre, Myriam El Khomri, le 9 mars prochain en conseil des ministres, la procédure de licenciement économique devrait être modifiée, à en croire les informations des 'Echos'... Afin de limiter le pouvoir d'interprétation des juges, "l'idée serait de préciser directement dans la loi quelles sont les conditions dans lesquelles une entreprise peut invoquer la nécessité de procéder à un licenciement économique", peut-on lire dans les colonnes du quotidien.

En outre, cela permettrait de limiter les contestations de la part des salariés. Ce que réclame le patronat de longue date... De quoi relancer la polémique après le débat récent autour du contrat "agile".

L'exemple espagnol

La France pourrait ainsi prendre exemple sur l'Espagne. Depuis 2012, le droit du travail dispose qu'une entreprise peut procéder à un licenciement économique si elle subit "des pertes persistantes", c'est-à-dire si "durant trois ­trimestres consécutifs, le niveau de recettes ordinaires ou de recettes provenant des ventes de chaque trimestre est inférieur au niveau enregistré lors du même trimestre de l'année précédente", détaillent encore 'Les Echos'.

Le gouvernement pourrait également intégrer dans la loi une jurisprudence de la Cour de cassation datant de 1995. Il s'agit de l'arrêt Vidéocolor qui admet que "lorsqu'elle n'est pas liée à des difficultés économiques ou à des mutations technologiques, une réorganisation peut constituer un motif économique si elle est nécessaire à la sauvegarde de la compétitivité de l'entreprise ou du secteur d'activité du groupe à laquelle elle appartient", rappelle la Cour de cassation.
109 de 112 - 03/3/2016 19:40
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
La lutte contre la fraude fiscale est un sujet phare du gouvernement. Et force est de constater qu’en 2015, les résultats ont été spectaculaires. D’après les chiffres dévoilés par Bercy, les redressements ont pour la première fois dépassé les 20 milliards d’euros. A 21,2 milliards d’euros, ils ont progressé de près de 10% par rapport à 2014.

Une facture de 4,4 milliards d’euros à la charge des particuliers

Dans le détail, les droits nets (c’est-à-dire les sommes redressées) se sont élevés à 16,1 milliards d’euros. Les 5 milliards d’euros de différence correspondent aux pénalités appliquées à ces droits.

Si la majeure partie des 21,2 milliards d’euros concerne les entreprises, les particuliers ont aussi été dans le viseur avec des droits et pénalités de 4,39 milliards d’euros. Comme le montre le tableau ci-dessous, 2,78 milliards d’euros de droits ont été récupéré sur l’impôt sur le revenu et 1,02 milliard d’euros du côté de l’ISF.
110 de 112 - 12/4/2016 18:29
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le Fonds monétaire international (FMI) a revu en baisse ses prévisions pour la croissance mondiale pour la quatrième fois en un an du fait du ralentissement de l'économie chinoise, de la faiblesse persistante des prix du pétrole et de la fragilité de la reprise dans les économies développées. Il table désormais sur une progression du PIB français en 2016 de 1,1% (contre 1,3% en janvier), puis de 1,5% en 2017 (contre 1,3%).

Plus pessimiste que le gouvernement

Ces prévisions sont inférieures à celles de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), publiées également ce mardi. Il anticipe en effet une croissance de l'économie de +1,6% cette année et l'an prochain. De son côté, le gouvernement anticipe une hausse de 1,5% en 2016 comme en 2017.

Risque de stagflation

Dans sa dernière publication, le FMI table sur une croissance de 3,2% cette année et de 3,5% en 2017 contre des prévisions de respectivement 3,4% et 3,6% en janvier. Il met en garde contre un risque de stagnation généralisée et dit s'inquiéter du risque de voir une croissance plus faible rendre l'économie mondiale plus vulnérable à des chocs comme la dépréciation des devises ou l'aggravation de conflits géopolitiques.
111 de 112 - 13/4/2016 19:58
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le nombre de retraités bénéficiant d'une pension du régime général a dépassé pour la première fois les 13 millions en 2015, selon des chiffres publiés mercredi par la Caisse nationale d'assurance vieillesse...

Au 31 décembre 2015, l'Assurance retraite a versé une pension personnelle ou de reversion à 13,9 millions de retraités. Le nombre des nouveaux bénéficiaires (656.944) est en hausse de 3,3% par rapport à 2014.

1.037 euros par mois

L'âge moyen des retraités du régime général est globalement stable, à 73,8 ans. Le montant moyen de la retraite de base (sans les retraites complémentaires) pour une carrière complète au régime général était de 1.037 euros par mois en 2015...
112 de 112 - 18/4/2016 19:09
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Manuel Valls est favorable à une réforme complète des minima sociaux français et a validé lundi la proposition de Christophe Sirugue. Le député PS de Saône-et-Loire a rendu ce lundi au Premier ministre un rapport dans lequel il défend la création d'un revenu minimum dès l'âge de 18 ans contre 25 actuellement, avec la fusion des minima sociaux dans une allocation de 400 euros par mois pour les jeunes en situation de précarité...

Mise en oeuvre rapide

Le député socialiste et les services du Premier ministre, qui ont annoncé ce feu vert, ont précisé qu'avant cette réforme systémique, des mesures de simplification et d'harmonisation seraient prises en 2017, année des élections présidentielle et législatives... "Le Premier ministre a indiqué que l'ensemble des propositions formulées dans le rapport visant à simplifier et harmoniser les prestations devraient être mises en oeuvre très rapidement", déclare Matignon.

3,5 milliards d'euros

"Le Premier ministre a demandé à ses ministres que les propositions de plus long terme présentées dans le rapport fassent l'objet d'un travail approfondi, comme le préconise Christophe Sirugue, qui permettra de s'engager dans cette réforme d'ampleur dans les prochains mois", poursuit le communiqué.

Le coût serait "de l'ordre de 3,5 milliards d'euros", estime le député dans un entretien à 'Libération'. Il propose donc que la mesure s'applique à partir du 1er janvier 2017...
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