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Jamais, Oh Grand Jamais......

- 24/4/2015 17:57
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

L'Union européenne a autorisé vendredi l'importation et la commercialisation de 19 OGM, deux jours après avoir proposé aux Etats membres une réforme leur permettant d'interdire leur utilisation sur leur territoire.

Onze produits de la multinationale américaine Monsanto --plusieurs variétés de soja, maïs, colza et coton-- figurent au nombre des OGM autorisés, a précisé la Commission dans un communiqué.

Les huit autres sont des produits de la firme américaine Dupont et des groupes allemands Bayer et BASF.

Dix-sept de ces OGM sont destinés à l'alimentation animale et humaine, deux sont des fleurs coupées.

Ces autorisations "étaient en suspens", car les Etats membres ne sont pas parvenus à constituer une majorité pour ou contre leur commercialisation. L'autorisation est immédiate et vaut pour dix ans.

Si les gouvernements européens approuvent la réforme présentée mercredi, ils pourront interdire l'utilisation des OGM sur leur territoire.

Dans le cas contraire, les règles applicables seront celles qui ont conduit la Commission européenne à autoriser la commercialisation des OGM ne présentant aucun risque pour la santé animale et humaine dans l'ensemble de l'UE, solution réclamée par les grands groupes.

Greenpeace a accusé le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, "de ne pas avoir l'intention de rapprocher l'Europe des citoyens, comme il l'a promis, et d'agir en faveur des intérêts des Etats-Unis et de Monsanto".



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61 de 64 - 22/3/2016 18:12
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'Egypte pourrait commander en avril quatre navires militaires à DCNS et un satellite de télécoms militaires à Airbus Group et Thales pour un total de plus d'un milliard d'euros, écrit mardi latribune.fr.

Le Caire, qui avait déjà passé début 2015 une commande de 5,2 milliards d'euros comprenant les premiers Rafale exportés par Dassault Aviation et une frégate multimissions Fremm de DCNS, pourrait signer ces nouveaux contrats lors de la visite de François Hollande prévue le 18 avril, ajoute le site d'informations économiques.

Le constructeur naval militaire français DCNS, dont l'équipementier Thales détient 35%, vendrait à l'Egypte quatre navires de guerre, dont deux nouvelles corvettes Gowind en plus des quatre commandées par l'Egypte en 2014, ainsi qu'un patrouilleur hauturier Adroit et un navire plus petit du chantier naval Piriou, pour un montant total de 500 à 600 millions d'euros, dit-on de source proche du dossier.

Airbus Space Systems et Thales Alenia Space, coentreprise entre Thales et l'italien Finmeccanica, pourraient de leur côté signer un contrat évalué à 600 millions d'euros pour un satellite de télécoms militaires, l'Egypte ayant renoncé à l'achat d'un satellite d'observation pour des raisons budgétaires, précise latribune.fr.

DCNS, Airbus Space Systems et Thales Alenia Space se sont refusés à tout commentaire. Le ministère français de la Défense n'était pas immédiatement disponible.
62 de 64 - 12/4/2016 18:34
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Dans le Var, le radar situé au lieu-dit "Les Adrets de l'Esterel" sur l'A8 fonctionne dans le sens Puget sur Argens - Mandelieu la Napoule et flashe en moyenne 380 fois par jour, pour un revenu estimé à 3,6 ME, un record !
63 de 64 - 19/4/2016 19:07
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Ils sont 80 en France, appelés les "dignitaires" du Parlement, et se partagent une somme rondelette en guise d"indemnités "spécifiques"... L'Association pour une démocratie directe dénonce ce mardi sur son site internet le versement de 1,5 million d'euros chaque année pour ces "hauts parlementaires", et adresse une lettre ouverte aux présidents de l'Assemblée et du Sénat...

"Alors que la loi organique de 1958 et les règlements des Assemblées parlementaires n'autorisent que deux indemnités pour un montant maximum de 6.893,35 euros, quatre-vingts parlementaires touchent une rallonge mensuelle défiscalisée pouvant aller jusqu'à 7.057,55 euros", écrit l'association, qui souhaite "faire cesser au plus vite le versement de ces indemnités spéciales et demander le remboursement des trop-perçus"...

Rallonge conséquente

Dans le détail, les présidents de l'Assemblée et du Sénat touchent 7.057,55 euros de "bonus", et les Questeurs du Sénat 4.132,29 euros, tandis que leurs homologues de l'Assemblée gagnent 4.927,50 euros. Cette rallonge, avec des montants très variables, est également versée aux vice-présidents des deux chambres, mais aussi aux présidents de groupe ou de commission, aux rapporteurs ou encore aux présidents de délégation.

"La loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Elle doit donc être respectée par tous, à commencer par les Assemblées parlementaires", rappelle l'association, dans ses lettres ouvertes adressées aux présidents des deux chambres. L'Association pour une démocratie directe dénonce régulièrement les abus des parlementaires, comme par exemple l'usage abusif de leur indemnité représentative...
64 de 64 - 25/4/2016 19:34
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Trente ans après la catastrophe de Tchernobyl en 1986, les organismes français responsables de la sûreté nucléaire ne disposent pas des ressources nécessaires pour remplir l'ensemble de leurs missions, déclare le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) dans un entretien publié dans l'édition de mardi du quotidien "Le Monde".

Pierre-Franck Chevet souligne qu'"un accident majeur, comme ceux de Tchernobyl ou de Fukushima, ne peut être exclu nulle part dans le monde, y compris en Europe, même si nous faisons tout pour le prévenir."

Inquiétudes pour la France

Mais il s'inquiète surtout d'un contexte "particulièrement préoccupant" pour la sûreté nucléaire en France, du fait des "graves difficultés économiques, financières ou budgétaires des acteurs industriels du nucléaire", qui surviennent, alors que 150 installations (réacteurs d'EDF, sites d'Areva, mais aussi réacteurs de recherche du Commissariat à l'énergie atomique, CEA) ont été mis en service il y a près de quarante ans.

"La question est de savoir, en particulier pour les réacteurs, s'ils peuvent être prolongés, avec des normes de sûreté rehaussées", ce qui nécessitera non seulement "un très gros travail d'analyse" préalable mais aussi "un contrôle renforcé de l'ASN", observe Pierre-Franck Chevet.

Pas assez de ressources

Mais l'ASN et l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (ISRN) "n'ont actuellement pas les ressources nécessaires pour assurer pleinement leurs missions de contrôle"... Faute d'avoir obtenu les 150 postes supplémentaires réclamés au gouvernement, ce qui représente selon le président de l'ASN un budget d'environ 20 millions d'euros, les deux organismes sont "contraints d'arbitrer entre (leurs) priorités, en privilégiant les installations en activité par rapport à celles en construction." "Cette situation n'est pas satisfaisante", déclare-t-il.

D'autant plus qu'un contrôle renforcé sera nécessaire pour suivre les travaux visant à éventuellement prolonger la durée de vie de certaines installations, qui vont demander de lourds investissements à une filière nucléaire encore en cours de réorganisation. "Pour l'instant, il n'y a pas de signaux alarmants qui indiqueraient que la sûreté se dégrade en France. Mais la situation peut dériver dans les années à venir. Il nous faut rester extrêmement vigilants", note le président de l'ASN...
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