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Pétrole, Pétrole !

- 03/12/2014 18:19
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

(CercleFinance.com) - L'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) vient d'annoncer que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont chuté de 3,69 millions de barils la semaine passée, après avoir augmenté de 1,95 million la semaine précédente.

De leurs côtés, les stocks d'essence se sont accrus de 2,14 millions de barils, tandis que les réserves de produits distillés, comme le fioul domestique, ont augmenté de 3,03 millions.

Sur le NYMEX, le cours du baril de pétrole brut livraison janvier 2015 reprend 1,5% aux environs de 67,9 dollars.



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121 de 215 - 18/8/2015 22:02
The Grumpy Old Men Messages postés: 1137 - Membre depuis: 02/1/2007

Les valeurs (para)pétrolières ont poursuivi mardi leur descente aux enfers dans le sillage des cours du baril. Le spécialiste de la caractérisation des réservoirs pétroliers par les données sismiques CGG a signé le plus lourd repli, chutant de 4,2% à 3,755 euros à de nouveaux plus bas depuis près de 12 ans ! Moins malmené, Vallourec a glissé de 0,4% à 12,6 euros, sur ses plus bas niveaux depuis le 21 janvier 2005.

Dans le même temps, la petite compagnie Maurel & prom a abandonné 2,5% sous les 5 euros (4,879 euros), tandis que la major Total a limité son recul à -1,65%.

Le cours du baril WTI pour livraison en septembre se stabilisait mardi après-midi sous les 42 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), à des plus bas depuis mars 2009, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s’échangeait à 48,5 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 20 cents par rapport à la clôture de lundi. Il retombe sur ses plus bas de janvier dernier, soit un cours divisé par plus de deux en un an.

A quand le point bas ?

Initiée en juin 2014, la dégringolade des cours du baril tient à une offre pléthorique que ne peut absorber la demande. Or, ni les Etats-Unis, devenus le premier producteur de brut mondial l'an dernier, ni l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ne semblent disposés à diminuer leur production, tandis que la demande risque de pâtir des signes d'essoufflement de la Chine, deuxième importateur net mondial de brut.

La chute des cours du baril n’a pas le même impact sur tous les acteurs de la filière. Sans conteste, Total est celui qui s’en sort le mieux. Malgré le plongeon de 44% du prix du Brent au deuxième trimestre 2005, le résultat net du groupe a seulement reculé de 2%. Dans l’Amont, Total a profité de la hausse de sa production et des effets de ses programmes de réduction de coût, tandis que ses ...

... Lire la suite sur Tradingsat.com

122 de 215 - 19/8/2015 13:19
The Grumpy Old Men Messages postés: 1137 - Membre depuis: 02/1/2007

MAUREL ET PROM (-3,46%) et TECHNIP (-1,31%) restent victimes des doutes sur la demande de pétrole alors que les économies émergentes ralentissent. Dans une note, Canaccord Genuity a, en outre, abaissé sa recommandation sur Technip d'"acheter" à "conserver" avec un objectif de cours ramené de 60 à 50 euros, le broker s'inquiétant d'une possible dégradation de l'activité à partir de 2017.

123 de 215 - 20/8/2015 10:18
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(Boursier.com) — Les valeurs parapétrolières accusent encore le coup, enchaînant pour la plupart une énième séance de baisse ce jeudi après que les cours du baril ont encore fléchi. Le WTI américain évolue désormais à ses plus bas niveaux de l'année, 41 dollars, ce qui correspond aussi à des planchers depuis mars 2009.

La principale victime de cet environnement délétère pour les investissements pétroliers reste Vallourec dont le titre vient de passer sous les 12 Euros, un plus bas depuis plus de 10 ans. CGG ne fait guère mieux avec plus de 10% de baisse sur les six dernières séances (toutes négatives) et un cours au plus bas depuis 12 ans. Quant à Technip, à l'activité plus défensive, le titre enchaîne aussi une sixième séance dans le rouge avec plus de 8% de repli cumulé, ce qui le ramène sur ses plus bas du début d'année 2015.

Ces trois groupes sont d'ailleurs devenus des cibles pour les hedge funds qui ont accumulé les positions vendeuses ces dernières semaines, à mesure que les comptes trimestriels confirmaient leurs difficultés. D'après les positions vendeuses répertoriées par l'AMF en pourcentage du capital, Vallourec est ainsi la valeur la plus jouée à la baisse en bourse de Paris (environ 16%), devant CGG (plus de 12% du capital). Les hedge funds se risquent nettement moins sur Technip avec un peu plus de 4% du capital concerné par des positions "short".

124 de 215 - 20/8/2015 11:19
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(Boursier.com) — Le WTI s'enfonce un peu plus vers les 40 dollars... Le baril de pétrole continue à perdre du terrain ce jeudi, avec un "light sweet crude" pour livraison octobre qui cède 0,6% à 41 dollars actuellement dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, au plus bas depuis février 2009. Et la baisse n'est sans doute pas terminée à en croire de nombreux experts. "Étant donné où nous sommes maintenant, il existe une probabilité de 90% pour que nous plongions vers les dans le 30 dollars", explique au "Wall Street Journal", Chris Main, stratégiste pétrole chez Citigroup.

L'or noir reste plombé par un marché pour le moins déséquilibré avec d'un côté une offre abondante et de l'autre une demande guère suffisante pour combler cette excès de production. Un déséquilibre illustré par la hausse surprise des stocks hebdomadaires américains la semaine passée. D'après le dernier rapport hebdomadaire dévoilé par le Département à l'Energie américain, les stocks commerciaux de brut, hors réserve stratégique, ont augmenté de 2,6 millions de barils lors de la semaine close au 14 août, à 456,2 millions de barils, quand le consensus tablait sur une baisse de 0,8 millions de barils. Les stocks restent ainsi proches de niveaux plus observés à cette période de l'année depuis au moins 80 ans!

"La demande de brut va tomber à l'échelle nationale en septembre, par rapport aux niveaux actuels, avec le début de la saison de maintenance des raffineries, ce qui devrait conduire à encore davantage de stocks", explique BNP Paribas. "Que les stocks de brut grimpent à une époque où les raffineries tournent encore à un rythme élevé va impacter le sentiment du marché".

Ailleurs dans le monde, l'essoufflement de la croissance chinoise pèse également lourdement sur les cours de l'huile. "Nous assistons en ce moment à l'acte final du supercycle des matières premières dirigé par la Chine, ce qui affecte le pétrole", explique Daniel Yergin, vice-président chez IHS. "Et avec l'offre excédentaire actuelle sur le marché et le spectre du retour du pétrole iranien, nous pourrions certainement revisiter les plus bas de la crise financière".

Enfin, preuve du sentiment baissier qui prédomine actuellement chez les investisseurs, les fonds spéculatifs et autres gestionnaires de fonds ont réduit la semaine dernière leurs positions nettes longues sur le WTI à leur plus bas niveau depuis septembre 2010.

125 de 215 - 21/8/2015 20:20
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

(Boursier.com) — Où va s'arrêter la chute ? Le baril de brut léger américain plonge encore de 2,2% à 40,4 dollars en cette fin de semaine sur le New York Mercantile Exchange, au plus bas depuis le début de l'année 2009. Le WTI devrait ainsi subir ce soir à la clôture sa huitième semaine de baisse d'affilée, ce qui n'était plus arrivé depuis début 1986 ! L'or noir reste plombé par un marché pour le moins déséquilibré avec d'un côté une offre abondante et de l'autre une demande guère suffisante pour combler cette excès de production.

Les multiples indicateurs de ralentissement de l'économie chinoise et la hausse de la production de l'Opep, avec le retour progressif de l'Iran sur le marché, illustrent bien cet important déséquilibre. L'annonce d'une hausse surprise des réserves de brut américaines la semaine passée pèse également fortement sur les cours de l'or noir. Les stocks américains sont en effet près de 100 millions de barils au-dessus de leur moyenne saisonnière des cinq dernières années,.

"Évidemment, les préoccupations au sujet de l'économie mondiale tirent vraiment ce marché vers le bas", déclare à Bloomberg, Phil Flynn, analyste chez Price Futures Group à Chicago. "C'est autant une histoire de demande que d'offre. Le niveau de 40$ est une zone psychologique très importante".

126 de 215 - 23/8/2015 20:14
waldron Messages postés: 9824 - Membre depuis: 17/9/2002

L'Iran veut une réunion d'urgence de l'Opep

23/08/15 à 16:03 - Reuters 0 Commentaire(s)

DUBAI, 23 août (Reuters) - Le ministre iranien du Pétrole, Bijan Zanganeh, s'est prononcé dimanche en faveur d'une réunion d'urgence de l'Opep pour tenter d'enrayer la chute des cours du pétrole, rapporte dimanche l'agence de presse de son ministère.

L'Iran rejoint ainsi l'Algérie, qui a réclamé ce mois-ci une réunion d'urgence du cartel. Plusieurs délégués de l'Opep ont cependant déclaré qu'aucune réunion n'était prévue avant celle qui doit se tenir le 4 décembre.

Le contrat octobre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a plongé vendredi en séance sous les 40 dollars le baril pour la première fois depuis 2009.

La chute des cours du pétrole s'explique essentiellement par le déséquilibre entre une offre abondante et une demande atone.

L'abondance de l'offre résulte de la conjonction entre le boom du pétrole et du gaz de schiste en Amérique du Nord et la décision de l'Opep, réaffirmée début juin, de ne pas baisser sa production.

La demande continue parallèlement de se ralentir, notamment en Chine, dont le vaste secteur manufacturier s'est contracté en août à un rythme jamais vu depuis près de six ans et demi. La Chine est le deuxième consommateur mondial de brut.

(Rania El Gamal; Patrick Vignal pour le service français)

127 de 215 - 24/8/2015 12:56
The Grumpy Old Men Messages postés: 1137 - Membre depuis: 02/1/2007

BP (NYSE:BP)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 24 Août 2015

Plus de graphiques de la Bourse BP

Les actions des majors pétrolières européennes ont démarré la séance lundi en forte baisse dans un contexte de mouvement de vente généralisé sur les actions et les matières premières, entraîné par les marchés chinois. Les actions Shell (RDSA.LN) et BP (BP.LN) cèdent respectivement 2,3% et 2,7%, tandis que le français Total (FP.FR) abandonne 2,4%. Les cours de Bourse des trois compagnies ont été affectés cette année par le reflux des prix du brut qui a contraint les entreprises à tailler dans leurs coûts. Le titre BP a perdu 15% de sa valeur depuis le début de cette année, tandis que Shell s'est replié de 26% depuis janvier.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires (Version française Céline Fabre) ed/EC





(END) Dow Jones Newswires



August 24, 2015 04:01 ET (08:01 GMT)

128 de 215 - 24/8/2015 15:14
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(CercleFinance.com) - Plombé par la chute des cours du pétrole (-4% à 38,8 dollars le baril sur le NYMEX), Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité) dévisse 5,5% à Londres et ne profite donc guère d'une note de Jefferies, qui relève pourtant sa recommandation de 'conserver' à 'achat', mais abaisse son objectif de cours de 2200 à 2150 pence.



Le broker garde des réserves quant au prix d'acquisition de BG Group (London: BG.L - actualité) , mais il estime qu'après la transaction, une valeur supplémentaire significative peut être ajoutée par des rachats d'actions, des cessions, de nouvelles réductions des coûts et des synergies.



'Nous nous attendons à ce que l'entité combinée dispose de l'un des cycles de trésorerie les plus résilients dans le secteur à une large fourchette de prix du pétrole', ajoute l'intermédiaire financier.

129 de 215 - 24/8/2015 21:24
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1717 - Membre depuis: 24/6/2003

Plombé par une nouvelle chute des marchés chinois et des inquiétudes renouvelées sur un éventuel afflux d'or noir iranien, le marché pétrolier a chuté lundi à New York pour terminer pour la première fois depuis six ans sous 40 dollars le baril.



Le cours du baril de référence (WTI) pour livraison en octobre a perdu 2,21 dollars à 38,24 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), un niveau auquel il n'était pas retombé en clôture depuis février 2009.





(END) Dow Jones Newswires



August 24, 2015 14:40 ET (18:40 GMT)

130 de 215 - 26/8/2015 19:02
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les valeurs parapétrolières sont à la fête en bourse ce mercredi, à l'image de Technip qui grimpe de 5,4% à 47,3 euros en tête du CAC40. Le titre du groupe parapétrolier, qui affiche un rebond d'environ 10% en deux séances, est porté par de nouvelles spéculations dans le secteur après l'annonce du rachat de Cameron International par l'américain Schlumberger. Le numéro un mondial du secteur va s'offrir son homologue américain pour un montant total de 14,8 milliards de dollars...

CGG flambe de son coté de près de 13% et Vallourec avance de 7,2%
131 de 215 - 27/8/2015 19:57
waldron Messages postés: 9824 - Membre depuis: 17/9/2002

Total (EU:FP)
Intraday Stock Chart

Today : Jeudi 27 Août 2015

Click Here for more Total Charts.

Le faible niveau des prix du baril de pétrole devrait durer "un certain temps", au vu des fondamentaux du marché, a estimé jeudi le directeur général de la major française Total, Patrick Pouyanné.



"Est-ce que ça va durer? Franchement je pense que oui, pour un certain temps", a déclaré M. Pouyanné lors de l'université d'été du Medef, en référence aux cours du pétrole brut, qui rechutent depuis juillet et évoluent actuellement à leurs niveaux les plus bas depuis début 2009.



Cette situation devrait perdurer "parce qu'il y a des fondamentaux de marché, parce que (...) l'offre est extrêmement abondante".



"La demande commence à réagir", encouragée par ces prix faibles, a-t-il toutefois observé. "La hausse de la demande de pétrole cette année va être la plus importante depuis 10 ans, parce que, les prix baissant, il y a plus de conso(mmation), y compris en Europe, y compris en France", a ajouté le dirigeant.





(END) Dow Jones Newswires



August 27, 2015 13:16 ET (17:16 GMT)

132 de 215 - 29/8/2015 09:20
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Samedi 29 Août 2015

Plus de graphiques de la Bourse Shell B

Le géant pétrolier anglo-néerlandais Shell a fermé deux oléoducs stratégiques au Nigeria, afin de réparer des fuites dont certaines causées par des sabotages, et a déclaré un "état de force majeure" sur ses exportations de brut.



Dans un communiqué reçu vendredi, la SPDC, filiale nigériane de Shell, annonce que cet "état de force majeure" a été décidé jeudi "après la fermeture des oléoducs Trans Niger (TNP) et Nembe Creek Trunkline (NCTL)."



Ces deux pipelines acheminent le pétrole à partir du terminal de Bonny Light, l'un des principaux du pays. L'entreprise fait état d'une fuite sur le TNP au niveau d'Oloma dans l'Etat méridional de Rivers, "tandis que le NCTL est fermé pour remplacer des tronçons où le brut a été siphonné".



Shell, qui ne mentionne pas la quantité de pétrole concernée par ces fuites, dit tenter de rouvrir les deux canalisations au plus vite.



Invoqué dans des circonstances exceptionnelles, "l'état de force majeure" permet à la compagnie pétrolière de s'exonérer de toute responsabilité en cas de non-respect de ses contrats de livraison.



Shell se plaint régulièrement des vols de pétrole et du sabotage des oléoducs. Elle accuse les vandales d'être responsables des cas de pollution pétrolière qui lui sont imputés dans le sud du pays.



Le vol de pétrole brut et le sabotage des oléoducs sont un problème majeur au Nigeria, premier producteur de pétrole d'Afrique (plus de deux millions de barils par jour). Selon des estimations, ils représentent des pertes de revenus de 6 milliards de dollars (4,3 milliards d'euros) par an.





(END) Dow Jones Newswires



August 28, 2015 14:49 ET (18:49 GMT)

133 de 215 - 01/9/2015 17:01
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le rebond aura fait long feu. Après avoir rebondi de plus de 8% la veille et de plus de 25% au cours des trois dernières séances, le baril de pétrole retombe lourdement ce mardi. Le WTI pour livraison octobre plonge de 6% à 46,3 dollars en ce moment sur le New York Mercantile Exchange.

La publication d'indicateurs de conjoncture particulièrement décevants un peu partout dans le monde ravive les craintes de net ralentissement de la demande de brut. L'activité du secteur de l'industrie manufacturière s'est contractée en Chine en août tandis que sa croissance a faibli dans la zone euro comme en Grande-Bretagne. Même aux Etats-Unis, la croissance du secteur manufacturier a connu au mois d'août son rythme le plus faible depuis près de deux ans.

"Tout va dans le sens d'une période clairement difficile pour l'économie mondiale", explique à Reuters Peter Dixon, économiste de Commerzbank. "Les banques centrales qui envisagent de relever leurs taux d'intérêt dans un avenir proche vont donc étudier ces chiffres et cela pourrait les conduire à prendre le temps de la réflexion". "Les chiffres PMI de la Chine du jour ont simplement rappelé aux gens l'histoire de la faiblesse de la Chine", explique de son côté au "Wall Street Journal", Julian Jessop, directeur de la recherche produits de base chez Capital Economics.
134 de 215 - 02/9/2015 14:21
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Royal Dutch Shella (EU:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mercredi 2 Septembre 2015

Plus de graphiques de la Bourse Royal Dutch Shella

(CercleFinance.com) - Royal Dutch Shell annonce avoir reçu le feu vert

sans condition de la Commission européenne pour son projet de fusion

avec BG Group, opération dont il attend la finalisation pour le début de

l'année 2016.



Avec l'autorisation pré-conditionnelle obtenue au

Brésil, la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise a ainsi rempli deux

des cinq préconditions à cette transaction valorisée à 64 milliards

d'euros, selon les termes convenus le 8 avrilicon1.png.



'La

combinaison avec BG constitue un tremplin pour faire de Shell une

entreprise plus simple et plus rentable, la rendant plus résiliente dans

un monde où les prix du pétrole pourraient rester bas un certain

temps', commente le CEO Ben van Beurden.

135 de 215 - 04/9/2015 07:43
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(Boursier.com) — BASF
et Gazprom ont finalement réalisé l'échange d'actifs signé en décembre
2013, qui aurait dû aboutir avant la fin de l'année 2014. Les deux
groupes se sont engagés à le mener à bien d'ici la fin de l'année. Il
devrait avoir un effet rétroactif au 1er janvier 2013. Dans le cadre de
l'accord, la filiale de l'allemand Wintershall devrait recevoir
l'équivalent économique de 25% plus une action des blocs IV et V de la
formation Achimov du champ Urengoy dans l'ouest sibérien. Les blocs,
dont les réserves en gaz naturel sont estimées à 2,4 milliards de baril
équivalent pétrole, seront conjointement développés par les deux
groupes. La production devrait démarrer en 2018.

En
échange, Wintershall va transférer sa part dans la coentreprise de
trading et de stockage de gaz actuellement opérée avec Gazprom, dont 50%
de WINGAS, WIEH et WIEE, mais aussi la moitié des titres Wintershall
Noordzee. Ces activités ont représenté, ensemble, 12,2 milliards d'euros
de chiffre d'affaires et 260 ME d'EBITDA pour BASF en 2014, et 7,2 MdsE
et 240 ME d'EBITDA sur le seul premier semestre 2015. Le partenariat
dans le transport de gaz se poursuivra.

136 de 215 - 04/9/2015 07:49
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Boursier.com) — Gazprom, BASF, E.ON, Engie, OMV et Shell
ont signé ce matin, à Vladivostok, le pacte d'actionnaires qui permet
de lancer le projet Nord Stream 2, développé par une entreprise commune
baptisée New European Pipeline AG. Celle-ci sera détenue à 51% par
Gazprom, les autres partenaires détenant tous 10%, hormis Engie qui ne
sera propriétaire que de 9%. Des rumeurs avaient circulé au mois d'août concernant une telle participation du groupe français.Nord
Stream 2 prévoit la construction de deux gazoducs offshore d'une
capacité annuelle de 55 milliards de mètres cubes, entre la Russie et
l'Allemagne, en passant sous la Mer Baltique. Le projet profitera de
l'expérience acquise sur Nord Stream. Il sécurisera l'approvisionnement
européen en gaz.

137 de 215 - 10/9/2015 12:26
waldron Messages postés: 9824 - Membre depuis: 17/9/2002

BP (NYSE:BP)
Intraday Stock Chart

Today : Jeudi 10 Septembre 2015

Click Here for more BP Charts.

Les actionnaires de BP (BP.LN) ne semblent pas satisfaits et ce contexte crée une opportunité d'achaticon1.png,
affirme Bernstein. Le titre du groupe britannique a sous-performé le
secteur pétrolier et gazier européen de 5% et ses principaux rivaux de
10% depuis le début du troisième trimestre, "ce qui paraît extrême",
estime le courtier. "Dans la mesure où l'action semble intégrer un plus
mauvais scénario que le ralentissement de 1987, ce à quoi nous ne
croyons pas, le titre présente là une très bonne opportunité
d'investissement", ajoute-t-il. L'action BP perd 0,7%, à 340 pence.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires (Version française Céline Fabre) ed/EC





(END) Dow Jones Newswires



September 10, 2015 05:57 ET (09:57 GMT)

138 de 215 - 11/9/2015 13:02
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La nouvelle chute des cours du pétrole entraînera en 2016 un net déclin de la production pétrolière des pays hors Opep, surtout aux Etats-Unis, tout en continuant à soutenir plus que prévu la demande mondiale, selon l'Agence internationale de l'Energie (AIE).

La production des pays non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole devrait connaître son repli le plus fort en 24 ans, avec une baisse de près de 0,5 million de barils par jour (mbj) à 57,7 mbj, dont 0,4 mbj pour le seul pétrole de schiste américain, estime l'AIE dans son rapport mensuel publié vendredi.

"L'effondrement des prix du pétrole entraîne la fermeture des sites de production coûteux, d'Eagle Ford au Texas à la Russie en passant par la mer du Nord", explique-t-elle.

"La production américaine de pétrole devrait payer le plus lourd tribut" à cette débandade des cours, qui ont été réduits de plus de moitié depuis juin 2014, passant même sous la barre psychologique des 40 dollars à New York fin août, ajoute le bras énergétique des pays développés de l'OCDE.

L'AIE y voit l'effet de la stratégie de l'Arabie saoudite et des autres pays de l'Opep, qui continuent à "pomper vigoureusement" malgré la baisse des prix afin de maintenir leurs parts de marché et contrer l'expansion des huiles de schiste aux Etats-Unis.


"La stratégie de l'Opep, menée par l'Arabie saoudite, de défendre ses parts de marché indépendamment du prix semble produire l'effet recherché d'écarter la production coûteuse et +inefficace+", souligne-t-elle.

Dans le même temps, la consommation mondiale d'or noir continuera à croître, estime l'AIE, qui a relevé ses prévisions pour 2015 et 2016. L'agence basée à Paris anticipe désormais une demande de 94,4 mbj cette année, contre 94,2 mbj auparavant, et une augmentation un peu plus modérée l'an prochain, à 95,8 mbj pour 2016, contre 95,6 mbj.

Cette tendance est alimentée par la faiblesse des prix, une amélioration du contexte macroéconomique et un hiver plus rigoureux en 2015, selon elle.
139 de 215 - 14/9/2015 16:44
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Dans son rapport mensuel rendu public lundi, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a abaissé ses pronostics sur la consommation d'or noir l'an prochain. Le cartel anticipe désormais une demande totale de 94,08 millions de barils par jour (mbj) en 2016. La croissance en rythme annuel s'établirait à 1,29 mbj, soit 50.0000 barils par jour (b/j) de moins que ce qu'il prévoyait précédemment.

A l'inverse, l'Opep a rehaussé ses estimations de croissance de la demande de 84.000 b/j pour 2015, à 1,46 mbj pour atteindre 92,79 mbj, grâce à l'impact sur la consommation des prix bas du pétrole.

La révision à la baisse des projections de marché pour 2016 s'explique pour l'essentiel par le net ralentissement à l'oeuvre dans les pays émergents. L'Opep anticipe un fléchissement du rythme de croissance en Chine, tandis que la Russie et le Brésil s'inscriraient en récession. Le trou d'air conjoncturel sur ce dernier pays devrait d'ailleurs faire baisser de 20.000 b/j la demande en Amérique Latine.
140 de 215 - Modifié le 14/9/2015 21:56
Ariane Messages postés: 1317 - Membre depuis: 29/9/2002

Les cours du pétrole ont de nouveau baissé lundi à New York, dans un
marché peu animé tentant d'évaluer un rapport mitigé de l'Organisation
des pays exportateurs de pétrole (Opep) et prudent à trois jours d'une
décision sur les taux d'intérêts américains.



Le cours
du baril de référence (WTI) pour livraison en octobre a reculé de 63
cents à 44,00 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).




Le rapport mensuel de l'Opep sur le marché du pétrole "a fourni une
révision de bon augure de sa prévision d'offre des pays hors-Opep, mais
elle a aussi revu en baisse sa prévision de demande en 2016", a résumé
Tim Evans, chez Citi.



Phil Flynn, chez Price Futures
Group, a surtout retenu de ce rapport que l'Opep avait de nouveau relevé
ses estimations de croissance de la demande pour 2015, en plus du
déclin de production hors-Opep.



M. Flynn a tout de même
convenu que ce rapport était plus de nature à faire baisser les cours
que celui publié vendredi par l'Agence internationale de l'énergie
(AIE).



L'AIE avait affirmé que la production des pays
hors Opep devrait connaître l'an prochain son plus fort repli en 24 ans,
tout en relevant ses prévisions de demande en pétrole pour 2015 et
2016.



Reste que lundi, M. Flynn jugeait le marché
particulièrement calme, ce qu'il expliquait par la fête du Nouvel An
juif, et sous influence selon lui de la baisse des actions cotées à Wall
Street.



Or les marchés boursiers comme l'ensemble des
marchés financiers observent la plus grande prudence à l'approche de la
réunion de la Réserve fédérale, qui doit décider jeudi de relever ou non
ses taux directeurs, ce qui serait une première depuis près de dix ans.



"Une hausse des taux ne sera pas bonne pour le
pétrole, elle signifiera un dollar plus fort, ce qui heurterait
probablement les prévisions de demande, c'est pourquoi le pétrole reste
en mode de consolidation en dépit des informations haussières", a ainsi
noté Bill Baruch, chez iiTrader.com.



Toute hausse du
dollar tend à peser sur le marché du pétrole, dont les échanges sont
libellés billets verts, car elle pénalise les acheteurs munis d'autres
devises.






(END) Dow Jones Newswires



September 14, 2015 15:13 ET (19:13 GMT)

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