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Edf

- 27/1/2007 20:39
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

Edf




L'annee 2006 a ete consacre a la consolidation. Le creux en pince A sur
la MME 10 a relance la tendance haussiere qui n'en est qu'a ses debuts.

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301 de 619 - 09/3/2015 21:07
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - L'Etat a demandé à Areva et à EDF de repenser leurs relations industrielles et commerciales mais une fusion entre les deux groupes n'est pas à l'ordre du jour, a déclaré lundi Emmanuel Macron dans une interview à Reuters.

Le ministre de l'Economie a indiqué que la refonte souhaitée de la filière nucléaire française pouvait en revanche déboucher sur des rapprochements capitalistiques entre le groupe nucléaire et l'électricien dans certaines activités, notamment les réacteurs.

"Il y a une réflexion stratégique qui a été demandée aux deux sociétés et l'enjeu n'est ni de fusionner EDF et Areva ni d'organiser un rapprochement global entre les deux groupes", a-t-il dit.

"Notre objectif est de repenser la relation industrielle et commerciale entre Areva et EDF et c'est là-dessus que nous avons demandé aux deux sociétés de travailler. Cela peut conduire ensuite à des rapprochements capitalistiques sur certains secteurs. Je pense aux réacteurs notamment", a-t-il ajouté.

La mise au point fait suite à des déclarations de la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, qui a indiqué sur BFM TV qu'une fusion entre Areva, en difficultés après l'annonce d'un exercice 2014 lourdement déficitaire, et EDF était une des hypothèses envisageables.

Ces propos ont ébranlé EDF en Bourse de Paris, où l'action du groupe a perdu 2,82% à 22,265 euros lundi sur des inquiétudes des investisseurs qu'il soit fait appel aux moyens de l'électricien pour consolider la situation financière d'Areva.

Pour Emmanuel Macron, "ce n'est pas EDF qui va redresser Areva".

"En revanche c’est une plus grande cohérence de la filière nucléaire qui permettra demain à EDF et Areva d'être plus fort. C'est ce à quoi nous travaillons", a-t-il ajouté, en insistant sur la nécessité de "corriger toute une série de décisions prises les années précédentes qui avaient parfois traduit un manque de cohérence".

"Nous avons demandé à Areva et EDF de travailler sur le plan stratégique et opérationnel à un rapprochement, notamment sur la partie réacteurs, soit en terme commercial à l'export soit, et l'un n'excluant pas l'autre, de manière plus approfondie entre leurs activités sur ce domaine en France", a encore dit le ministre.

Emmanuel Macron a répété qu'une recapitalisation éventuelle d'Areva par l'Etat français ne se posait pas à ce stade.

"L'Etat prend toutes ses responsabilités sur le sujet d'Areva (...) Comme je l'ai déjà dit, notre objectif n'est pas aujourd'hui d'envisager une recapitalisation par l'Etat parce que c'est avant tout des problèmes opérationnels et stratégiques à traiter bien davantage que des problèmes de bilan".

(Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse)



302 de 619 - 10/3/2015 09:38
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002


Citi relève son objectif de cours pour EDF (EDF.FR) à 26 euros, contre 23,30 auparavant, et maintient une recommandation "acheter" sur le titre. La banque considère qu'EDF a un certain nombre de défis à relever mais qu'à moyen terme, ceux-ci sont plus gérables que pour ses concurrents. Elle note que les investisseurs sont prudents en raison des engagements nucléaires de l'électricien, de ses perspectives de flux de trésorerie et de ses relations avec le groupe d'ingénierie nucléaire Areva (AREVA.FR). La banque conclut que la décote d'environ 25% du titre EDF par rapport au secteur n'est pas justifiée, en particulier dans le contexte actuel de faiblesse des rendements des emprunts d'Etat et des prix des matières premières.


-Nadya Masidlover, Dow Jones Newswires; nadya.masidlover@wsj.com (Version française Céline Fabre)
303 de 619 - 10/3/2015 17:54
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002


L'Etat devrait moins intervenir dans la fixation des tarifs de l'électricité, a estimé mardi une commission d'enquête parlementaire, qui préconise en revanche de revenir à un contrôle total des activités stratégiques d'EDF et invite l'électricien public à réduire ses coûts d'exploitation.


Dressant le constat d'une "crise profonde du secteur de l'électricité" en France, la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur les tarifs de l'électricité juge sévèrement le rôle joué par l'Etat dans cette situation.


"L'Etat a tour à tour considéré EDF soit comme une vache à lait, soit comme un pompier. Sa part de responsabilité dans la situation actuelle ne peut être négligée", estime-t-elle dans son rapport, publié mardi.


En particulier, "le fait que l'Etat ne distingue pas son rôle d'actionnaire de la responsabilité qu'il exerce au titre de la puissance publique est un facteur de perturbation" pour EDF, juge Clotilde Valter, députée PS rapporteur de la commission.


Aussi, elle suggère de revenir à "une détention intégrale (...) par l'Etat" pour les activités d'EDF "qui revêtent un intérêt essentiel pour la nation", afin de ne "pas être bridé par l'obligation de respecter les intérêts des actionnaires minoritaires".


Par ailleurs, dans la fixation des tarifs réglementés de l'électricité, la commission propose d'"accroître le rôle de la CRE", la Commission de régulation de l'énergie, "et, corrélativement, diminuer celui du pouvoir exécutif".


Alors que le PDG d'EDF Jean-Bernard Lévy a estimé à plusieurs reprises que la méthode de calcul des tarifs réglementés de l'électricité ne permettait pas au groupe de couvrir ses coûts, la commission estime que "la seule solution réside dans la diminution des coûts d'exploitation", et non dans une augmentation de ces tarifs.


La commission plaide toutefois pour une refonte de la contribution au service public de l'électricité (CSPE, taxe prélevée sur la facture d'électricité pour financer notamment le développement des énergies renouvelables), qui a flambé ces dernières années.


Certaines des affectations de cette taxe - futur chèque énergie, soutiens aux anciens projets d'énergies renouvelables - pourraient être financées par toutes les consommations d'énergie (gaz naturel, GPL, bois, fioul), et plus seulement par l'électricité.


Cette commission d'enquête avait été créée en septembre, à l'initiative du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, qui avait évoqué une "spirale d'augmentation (des tarifs) préoccupante et peu comprise par les consommateurs", ceux-ci n'ayant "rien gagné" à l'ouverture du marché à la concurrence votée en 2003.
304 de 619 - 11/3/2015 10:38
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
EDF doit-il revoir sa stratégie financière ? C'est ce que suggère un rapport de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les tarifs de l’électricité, selon lequel le Groupe n'exerce pas une pression suffisante sur ses coûts. Par ailleurs, il critique la vision "court-termiste" de l'Etat, actionnaire à 85% de l’électricien public.

Publié hier et adopté à l'unanimité, le rapport juge ainsi que la demande du PDG d’EDF d’augmenter sensiblement le tarif de l’Arenh (le prix auquel EDF doit céder une part de sa production nucléaire à ses concurrents) n’est "pas justifié sur le plan méthodologique" et ne résoudrait pas l’enjeu financier de l'entreprise, écrit le quotidien Les Echos.

Pour réformer les tarifs, le rapport suggère d’autres pistes, comme une refonte de la CSPE (la taxe finançant notamment le développement des énergies renouvelables) ou un paiement de l’électricité "au forfait", ajoute le journal.

Selon la rapporteure de la commission d’enquête, la députée PS Clotilde Valter (Calvados), le dispositif est "en bout de course" et doit donc être réformé.

Retrouvez cet article sur Tradingsat.com
305 de 619 - 13/3/2015 09:38
zebulon1 Messages postés: 180 - Membre depuis: 14/11/2014
L'action EDF est repassé sous une zone de support majeur et semble se diriger vers un nouveau test des plus bas annuel à 21.14 points. La faiblesse du titre apparaît encore aujourd'hui avec un CAC qui rebondi et EDF n'en profite pas.... Autant dire qu'aux premiers mouvements de baisser sur le CAC40, la valeur devrait s'effondrer. (analyse Centralcharts)

Graphique en journalier :


4787-906-goal.png
306 de 619 - 13/3/2015 10:30
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004
EDF : vers un rapprochement avec Areva en Finlande ?

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Il y a 2 heures

(Boursier.com) — EDF pourrait voler au secours d'Areva sur son chantier à problèmes en Finlande. Selon 'Le Figaro' du jour, le géant nucléaire français, qui a pris des années de retard dans la construction d'un réacteur EPR dans ce pays, serait sur le point de conclure un accord tripartite avec EDF et son client finlandais, l'électricien TVO, le futur exploitant de la centrale d'Olkiluoto 3 (OL3).

Cet accord "n'est pas encore signé, mais il est en bonne voie" et devrait être conclu au cours des prochaines semaines, précise le quotidien. L'accord prévoit qu'EDF puisse travailler aussi bien en support d'Areva que de TVO, dans le cadre d'une mission d'ingénierie d'envergure.
L'accord ne comporterait en revanche aucun volet capitalistique, et n'exposerait ainsi pas EDF aux risques financiers liés au chantier, notamment au contentieux juridique entre Areva et son client finlandais.

"Areva avait absolument besoin d'un électricien à ses côtés"

Ce chantier de l'EPR finlandais est l'un des dossiers sensibles ayant plombé les comptes d'Areva, qui a affiché une perte nette de 4,8 milliards d'euros en 2014. Démarrée en 2004, la construction de ce réacteur ne sera pas achevée avant 2018, alors qu'à l'origine, le réacteur de 3ème génération (le premier jamais vendu par Aeva) aurait dû être livré en 2009... A lui seul, le chantier OL3 a entraîné la prise de provisions pour 4,6 MdsE dans les comptes d'Areva ces dernières années.

Selon un spécialiste du secteur, cité par 'Le Figaro', "le chantier d'OL3 est devenu tellement problématique pour Areva qu'il avait absolument besoin d'un électricien à ses côtés pour espérer se sortir de ce guêpier".

Pour l'instant, les deux groupes français n'ont fait aucun commentaire sur ce projet de coopération en Finlande.

L'Etat pousse à une refonte de la filière nucléaire française

A la suite de l'annonce, le 4 mars dernier, des pertes 2014 et d'un plan de réduction de coûts de 1 MdE, l'Etat français, principal actionnaire d'Areva, mais aussi actionnaire de référence d'EDF, a demandé aux deux groupes de travailler à un rapprochement, afin de refondre la filière nucléaire française et de la rendre plus efficace, notamment à l'export.

Le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, a précisé en début de semaine que "nous avons demandé à Areva et EDF de travailler sur le plan stratégique et opérationnel à un rapprochement, notamment sur la partie réacteurs, soit en terme commercial à l'export soit, et l'un n'excluant pas l'autre, de manière plus approfondie entre leurs activités sur ce domaine en France".

Le ministre n'a pas exclu des alliances capitalistiques, mais a en revanche écarté toute fusion totale entre les deux groupes, démentant les propos d'une autre ministre, Ségolène Royal.
La ministre de l'Ecologie et de l'Energie avait estimé lundi que l'hypothèse d'une fusion avec EDF était "sur la table", parmi d'autres options pour Areva.

Victoria Adam — ©2015, Boursier.com
2 commentaires
EDF : vers un rapprochement avec Areva en Finlande ?

Crédit photo © Reuters
FR0010242511
2 réactions à cet article : participez à la discussion

creche

il a fallu attendre la connaissance de tous de pertes abyssales pour demander aux 2 entreprises de travailler davantage ensemble ?
mais à quoi pensent-ils ces ministres que l'on paie grassement ?
Ce matin à 09h32
creche

et puis Anne Lauvergeon, trop fière pour avouer à temps que son entreprise était embourbée en Finlande ?
j'espère qu'elle va se faire virer et sans parachute doré !
Ce matin à 09h53

Tous les commentaires
307 de 619 - 13/3/2015 15:53
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004
13/03/2015 @ 15:42
Source : Dow Jones News
Stock : EDF (EDF)
Quote : 22.185 -0.51 (-2.25%) @ 15:35
EDF share price Chart Trades Level2

Réacteur EPR/travail au noir: "rôle central" de Bouygues TP, selon le parquet
EDF (EU:EDF)
Intraday Stock Chart

Today : Vendredi 13 Mars 2015
Click Here for more EDF Charts.

Des amendes ont été requises vendredi en correctionnelle, notamment contre Bouygues TP qui, selon le parquet, a joué un "rôle central" dans une affaire de travail dissimulé de centaines d'étrangers sur le gigantesque chantier du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche).


"Le recours à (l'agence d'intérim international) Atlanco n'a qu'un seul objectif, violer les règles de cotisations sociales" et trouver "une main-d'oeuvre la plus malléable possible", a tonné le procureur de la République de Cherbourg Eric Bouillard, avant de requérir 150.000 euros d'amende contre Bouygues TP, dont il a dénoncé le "rôle central" selon lui.


Bouygues TP, Quille, deux filiales de Bouygues Construction, et l'entreprise française Welbond armatures, sont poursuivies notamment pour recours aux services d'entreprises pratiquant le travail dissimulé: Atlanco et la société roumaine de BTP Elco.


La peine maximale a été requise contre la "nébuleuse" Atlanco, 225.000 euros d'amende, ainsi que l'interdiction d'exercer en France. Le parquet a requis 80.000 euros d'amende contre chacune des autres sociétés.


Ces amendes sont "bien inférieures aux bénéfices réalisés", a souligné M. Bouillard, soit plusieurs millions d'euros de cotisations non payées.


De 460 salariés - 163 Polonais, 297 Roumains - à plus de 500 sont concernés, selon le parquet.


"J'étais dans le brouillard (...) Vous n'imaginez pas le nombre de problèmes techniques que nous avons eu à résoudre sur ce chantier", s'est défendu à la barre le directeur de projet de l'époque de Bouygues TP, Michel Bonnet, à qui le tribunal demandait pourquoi il n'avait pas rompu avant juin 2011 avec Atlanco, malgré de premières alertes en 2009. Des propos "atterrants" selon le procureur.


Maître-d'oeuvre de ce chantier qui cumule retards et déboires, EDF a en juin 2011 demandé à Bouygues de mettre fin à la situation irrégulière de dizaines de Polonais après une verbalisation de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Dans les jours suivants, les Polonais ont été ramenés "manu militari" dans leur pays, selon l'ASN, dans "des bus de la honte" selon l'avocat de la CGT Flavien Jorquera.


EDF a autorisé les accès au chantier d'ouvriers qui n'étaient pas en règle mais n'est pas poursuivie.


- Bras de fer -


"Derrière l'absence de (déclarations des salariés en France) il y a des hommes. Les conséquences (sur la santé, la retraite), pour eux et leurs familles sont terribles", a plaidé vendredi Wladislaw Lis, avocat d'une cinquantaine de Polonais.


Face aux témoignages d'ouvriers roumains, lus par le tribunal, sur des paiements en liquide, des congés non payés, des frais non remboursés, un responsable d'Elco a répondu qu'il avait été induit en "erreur" par un cabinet d'experts comptables.


L'ombre du principal prévenu, Atlanco Limited, a plané durant les quatre longs jours d'audience. La justice n'a pas réussi à retrouver cette société "un peu fantôme" selon le tribunal dont le siège serait à Dublin ou à Chypre.


Le procès a donné lieu à un long bras de fer entre l'inspecteur de l'ASN, appelé à la barre, et les six avocats de Bouygues.


"Si vous faites les questions et les réponses, je n'ai plus qu'à retourner m'asseoir", a lancé jeudi Jean Fresneda, sept ans d'expérience à l'ASN dont quatre comme inspecteur du travail, aux ténors du barreau parisien, les appelant au "factuel".


Selon le fonctionnaire, des problèmes similaires ont eu lieu sur le chantier de l'EPR de Finlande, qui a démarré avant Flamanville, avec "une agence de placement irlandaise inscrite à Chypre qui y employait 400 travailleurs polonais". Bouygues TP et Atlanco y ont aussi travaillé. Quatre EPR sont en construction dans le monde, dont deux en Chine.


Ce procès est celui du "décalage entre le niveau de cotisations sociales patronales en France (51,7%) et leur niveau" dans d'autres pays européen (12,1% à Chypre), selon le président du tribunal Nicolas Houx, malgré les dénégations de Bouygues TP.


A l'époque des faits (2008-2012), le chantier employait environ 3.000 personnes, dont environ un tiers d'étrangers selon l'ASN. Les avocats de Bouygues vont plaider la relaxe.
308 de 619 - 15/3/2015 09:08
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - Un rapprochement opérationnel entre EDF (Paris: FR0010242511 - actualité) et Areva devrait trouver une première forme en Finlande, là où le groupe nucléaire éprouve les pires difficultés à mener à bien le chantier de l'EPR d'Olkiluoto 3 (OL3). Selon Le Figaro, un accord tripartite entre EDF, Areva et son client finlandais, l'électricien TVO - futur exploitant de la centrale - n'est pas encore signé, mais il est en bonne voie. Une conclusion est espérée au cours des prochaines semaines. Il prévoit qu'EDF puisse travailler aussi bien en support d'Areva que de TVO, dans le cadre d'une mission d'ingénierie d'envergure.
Interrogés par le quotidien, les deux groupes français ne font aucun commentaire sur leur projet de coopération en Finlande, qui n'aura pas de volet capitalistique. "Pas question en effet qu'EDF soit exposé au risque financier massif que fait peser sur Areva le contentieux juridique avec TVO", a précisé Le Figaro.

En revanche ajoute Le Figaro, dans le cadre des négociations appuyées par l'État entre EDF et Areva, un rapprochement entre les ingénieries des deux groupes fait partie des nombreux scénarios mis sur la table.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) opérateur français d'électricité (production nucléaire à 75 %) et un des leaders européens de l'énergie, diversifié dans le gaz ;
- Forts besoins énergétiques dans le monde et prix de revient très compétitif grâce aux réacteurs nucléaires dont la durée en France et au Royaume-Uni a été rallongée ;
- Stratégie du « mix génération » renforcée avec la prise de contrôle total d'EDF Energies renouvelables, activité en forte croissance en 2013 ;
- Forte rentabilité de la filiale italienne Edison, désormais détenue à 97,4 % et fin de l'aventure américaine, déficitaire, dans le nucléaire ;
- Renforcement des positions dans le nucléaire au Royaume-Uni ;
- Politique généreuse de distribution des dividendes de 55 % à 65 % du résultat courant.

Les points faibles de la valeur
- Faible visibilité en raison de la dimension « politique » de la valeur : intervention de l'Etat, notamment sur la hausse des tarifs de l'électricité, débat sur la sûreté nucléaire, interrogations sur la future formule de l'ARENH (accès régulé à l'électricité nucléaire historique) ;
- Faible visibilité sur les conséquences des « stress tests » réalisés sur le parc nucléaire du groupe et plus généralement sur le niveau des investissements nécessaires (hausse des dépenses de maintenance, durée de vie des centrales, fermeture de certains sites...) ;
- Sensibilité au réchauffement climatique sur les revenus du groupe, très partiellement compensés par la hausse des tarifs ;
- En France, incertitudes liées au futur plan de transition énergétique visant à diminuer à 50 % contre 73 % en 2013 la part du nucléaire dans la production française ;
- Difficultés de la filiale britannique confrontée à des risques techniques dans les réacteurs nucléaires et, en France, report à 2017 du démarrage de l'EPR de Flamanville;
- Positions à l'international encore trop faible, la France restant le plus gros contributeur à l'excédent brut d'exploitation (64 %), loin devant le Royaume-Uni (12 %) et l'Italie (6,5 %) ;
- Recul des commandes d'électricité de la part des fournisseurs alternatifs, qui s'alimentent sur les prix du marché au détriment du nucléaire, plus cher ;
- Cours très éloigné du cours d'introduction de 32 euros en 2005.

Comment suivre la valeur
- Secteur des « utilities » (producteurs d'eau, de gaz et d'électricité), traditionnellement considéré comme défensif mais actuellement considéré à risque dans un environnement de pression fiscale accrue ;
- Activité encadrée par la loi NOME (libre concurrence entre tous les acteurs du marché et revente du quart de la production d'électricité nucléaire d'EDF à ses concurrents) avec des prix de l'électricité administrés en France d'où des difficultés à faire passer le coût de maintien du réseau dans les tarifs qui devraient croître de 30 % d'ici 2017, selon la CRE ;
- Corrélation positive entre la hausse des tarifs et le cours de Bourse ;
- Relations historiquement imbriquées entre Areva et EDF (Areva est le premier fournisseur d'EDF, et EDF, le premier client d'Areva) et désormais difficiles en raison de désaccords sur des contrats ;
- Spéculations sur un remodelage du capital de la filiale de transport d'électricité RTE ;
- Vision 2014-2018 : livraison de grands projets -terminal méthanier de Dunkerque, EPR de Flamanville 3, énergies renouvelables-, poursuite de la maîtrise des coûts, gains de synergies de 2,5 Mds? en 2015 et retour à un cash-flow positif après dividendes ;
- Attente de la présentation par le nouveau président Jean-Bernard Lévy du plan stratégique 2015-2018 ; ;
- Société publique contrôlée à hauteur de 84,49 % par l'Etat qui pourrait réduire sa participation.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Services aux collectivités
La scission d'E.on en deux sociétés spécialisées, avec d'un côté les énergies renouvelables et de l'autre les énergies thermiques traditionnelles telles que le charbon, gaz, nucléaire, trading et exploration, souligne les mutations du marché énergétique européen et sa bipolarité. Le premier électricien mondial, EDF, résiste bien à ce nouvel environnement grâce à ses centrales nucléaires, qui n'ont enregistré aucune dépréciation. Alors que ses concurrents ferment des actifs gaziers, le groupe a investi dans trois nouveaux cycles combinés gaz ces dernières années. La situation est différente pour GDF Suez (Swiss: GSZ.SW - actualité) , qui a mis sous cocon de nombreuses centrales en Europe. Il a déprécié 14,9 milliards d'euros d'actifs en 2014. Son dirigeant est à la tête du groupe Magritte, qui réunit onze des plus grands énergéticiens européens, et souhaite des mesures pour préserver l'avenir énergétique de l'Europe.
309 de 619 - 16/3/2015 20:04
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 1.1%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 1.38%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en hausse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 23 puis 23.5. Tandis que les prochains supports sont sur : 21.1 puis 20.4.

Notre préférence : Le titre EDF (EDF (Paris: FR0010242511 - actualité) ) est baissier tant que 23.5 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 23.5.
Cours de référence : 22.5.
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
310 de 619 - 20/3/2015 12:55
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
DOW JONES NEWS

Dans un courrier adressé à Jean-Bernard Lévy, le PDG d'EDF (EDF.FR), le gouvernement français a acté que la durée de vie d'une partie au moins du parc nucléaire de l'électricien pourrait être prolongée au-delà de 40 ans et a ouvert la porte à un allongement de l'amortissement de ses installations, rapporte le journal Les Echos vendredi.


Le projet industriel "reposera sur une mise en oeuvre progressive du programme de grand carénage, en adaptant en conséquence la durée d'amortissement du parc électronucléaire", est-il indiqué dans cette lettre, selon le journal.


Le courrier est signé de trois ministres, d'après Les Echos: Michel Sapin (Finances), Ségolène Royal (Energie) et Emmanuel Macron (Economie).
311 de 619 - 20/3/2015 15:43
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Achat Bonus Cappé EDF M431B

Date : 20/03/2015
Sous-jacent : EDF (ISIN : FR0010242511)
Certificat : Bonus Cappé M431B (ISIN : FR0012087179).
Échéance : 17/09/2015
Bornes : 19,5000 - 28,0000
Stratégie : Achat à 25.4 euros.

Le titre s'est extirpé d'une figure de consolidation en biseau, renforçant la probabilité d'un rebond technique au cours des prochains mois. L'indicateur RSI hebdomadaire évolue autour de sa zone de neutralité et la moyenne mobile à 50 semaines et encore baissière. Ainsi EDF pourrait évoluer entre les bornes à 20.8 et 30 euros au cours des prochains mois.
Copyright 1999 - 2015 TRADING CENTRAL
312 de 619 - 21/3/2015 11:07
The Grumpy Old Men Messages postés: 1140 - Membre depuis: 02/1/2007
PARIS (Reuters) - Le gouvernement a acté que la durée de vie d'une partie au moins du parc nucléaire français pourrait être prolongée au-delà de quarante ans et ouvre la voie à un allongement de la durée d'amortissement des centrales, rapporte vendredi Les Echos.

Selon une lettre de mission envoyée en janvier au PDG d'EDF Jean-Bernard Lévy, citée par le quotidien, l'exécutif indique que le projet industriel du groupe reposera sur une mise en oeuvre "progressive" du programme d'investissement dit "de grand carénage", "en adaptant en conséquence la durée d'amortissement du parc électronucléaire".
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Jean-Bernard Lévy a déclaré en début d'année que le groupe était confiant dans sa capacité à prolonger la durée de vie des centrales nucléaires françaises de 40 à 50 ans, voire 60 ans, et a confirmé que le programme d'investissement dans le parc français devrait atteindre 55 milliards d'euros d'ici à 2025.

L'enjeu financier est considérable pour le groupe dans la mesure où un amortissement de ses centrales françaises sur une durée plus longue que 40 ans aurait mécaniquement pour effet d'améliorer ses comptes.

Toujours selon Les Echos, l'Etat demande aussi à EDF d'assurer "une maîtrise renforcée des coûts de production, de commercialisation et de gestion", mais ne se prononce pas sur la question des tarifs.

EDF a redit en février son souhait d'obtenir en France des hausses de tarifs lui permettant de couvrir ses coûts et d'investir.

L'électricien public, dont l'Etat détient 84,5% du capital, a dans le même temps annoncé des mesures d'économies devant lui permettre d'atteindre son objectif de générer un flux de trésorerie (cash-flow) positif en 2018 après dividendes (hors projet Linky).

L'Etat, selon la lettre citée par Les Echos, veut en outre qu'EDF veille à "maintenir une rémunération appropriée de [ses] actionnaires" tout en soulignant la nécessaire maîtrise de l'endettement financier du groupe.

EDF se doit aussi d'améliorer les performances de ses 58 réacteurs, dont la disponibilité avait atteint un point bas en 2013 avant de se redresser l'an dernier.

Le ministère de l'Economie et des Finances n'a pas commenté ces informations dans l'immédiat tandis que personne n'était disponible au ministère de l'Energie. EDF n'a de son côté pas souhaité s'exprimer sur le sujet.

La dernière décision d'EDF d'allonger la durée d'amortissement de ses centrales nucléaires en France, pour la porter de 30 à 40 ans, date de 2003.

(Benjamin Mallet, avec Ingrid Melander, édité par Jean-Michel Bélot)


313 de 619 - 23/3/2015 08:56
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
BOURSIER


L'agence Moody's a placé la notation "Aa3" d' EDF sous surveillance en vue d'un abaissement, pour refléter le risque associé à la transition d'un marché réglementé vers un marché libéralisé, qui plus est à une période où les prix du marché sont inférieurs à ceux des prix régulés pour l'énergie nucléaire (dits "ARENH").

Un contexte adverse

La nouvelle formule de calcul des tarifs créée par la loi NOME et la dérégulation des prix du 1er janvier prochain pour les moyens et les gros consommateurs professionnels vont ramener de 84% à 50% la part de clients finaux sous tarifs régulés entre 2014 et 2016. L'ancien monopole va également connaître une concurrence accrue des fournisseurs alternatifs compte tenu des niveaux de prix actuels.

L'agence de notation indique de surcroît que les cash-flows d'EDF sont mis sous pression à un moment où le groupe doit prendre en charge les investissements de la mise à niveau de son parc nucléaire en France. A ce stade, elle n'a en revanche pas intégré un scénario de soutien financier d'EDF à Areva , qu'elle ne privilégie d'ailleurs pas.
314 de 619 - 23/3/2015 09:44
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC

ELECTRICITE DE FRANCE : Sous les résistances, une consolidation est probable

SYNTHESE

Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 23.34 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 21.67 EUR, puis à 20.85 EUR et la résistance est à 24.14 EUR, puis à 24.96 EUR.
Dernier cours : 22.89
Support : 21.67 / 20.85
Resistance : 24.14 / 24.96
Opinion court terme : negative
Opinion moyen terme : negative
315 de 619 - 23/3/2015 18:45
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 1.69%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 0.29%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 23.5 puis 23.9. Tandis que les prochains supports sont sur : 21.6 puis 21.

Notre préférence : Le titre EDF (EDF (Paris: FR0010242511 - actualité) ) est baissier tant que 23.9 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 23.9.
Cours de référence : 22.9.
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316 de 619 - 27/3/2015 11:25
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
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Nucléaire : EDF n’exclut plus de reprendre une partie d’Areva

26/03/15 à 19:41 | mis à jour à 20:33 - Les Echos

Le site Areva de Saint-Marcel (Saône-et-Loire), qui fabrique les gros composants des centrales nucléaires. - HAMILTON/REA

Les discussions avancent entre EDF et Areva. Après les propos du gouvernement enjoignant les deux groupes à trouver une plus grande « convergence » entre leurs activités, les scénarios commencent à se préciser. Selon nos informations, EDF n’exclut plus de prendre une participation dans une large partie des activités d’Areva : l’ensemble du périmètre de l’ex-Framatome. Une option jugée « crédible », selon l’entourage de l’électricien public. « S’il y a une maîtrise plus forte sur l’ingénierie et la chaîne d’approvisionnement, cela peut faire sens », poursuit cette source. Mais il y aurait alors des conditions, au premier rang desquelles une prise de participation « majoritaire » de ces activités. En 2001, Areva est né de la fusion entre la Cogema, qui assure l’ensemble du cycle du combustible nucléaire (des mines d’uranium au retraitement des combustibles usés), et de Framatome, qui regroupe l’ingénierie des réacteurs et la fabrication des composants nécessaires à la construction d’une centrale nucléaire. Rebaptisé Areva NP, l’ex-Framatome rassemble une quinzaine d’établissements, parmi lesquels plusieurs sites d’ingénierie (Saint-Quentin, Equeurdreville, Bagnols-sur-Cèze…) et plusieurs sites industriels (Jeumont, Saint-Marcel, Le Creusot, Romans…). Ce scénario, s’il était finalement validé, irait à contre-courant de ce que plaidait l’ancien PDG d’EDF Henri Proglio. Le prédécesseur de Jean-Bernard Lévy rejetait, lui, toute intégration verticale avec son fournisseur, jugeant notamment que l’opération serait haïe par les marchés.
Autres scénarios

L’opération, toutefois, est loin d’être faite, et nombre de questions sont encore ouvertes autour d’un tel schéma, notamment sa gouvernance. Il faudrait aussi rallier le gouvernement à ce schéma. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, serait toutefois partisan d’une intégration verticale, indiquent plusieurs sources proches du dossier.

Si EDF et Areva travaillent visiblement de concert, l’opinion d’Areva n’est pas encore arrêtée sur le dossier. Plusieurs sources indiquent ainsi que « le point d’atterrissage n’est pas encore trouvé ». Surtout, d’autres scénarios circulent également. L’un d’eux consisterait notamment à opérer un rapprochement entre les deux groupes limité à l’ingénierie des réacteurs, ce qui semblerait avoir la préférence de l’équipementier. Cela concernerait alors, côté Areva, environ 2.000 personnes, selon une source du groupe. Areva en lourde difficulté financière, l’entourage se disait récemment « agnostique sur les scénarios, du moment que cela fasse sens industriellement ».

Dans les deux cas, des synergies pourraient être trouvées dans l’ingénierie, EDF comme Areva jugeant le dispositif actuel peu efficace. EDF estime notamment que les services d’ingénierie d’Areva sont trop chers, tandis qu’Areva observe qu’EDF consacre une part importante de ses ressources à surveiller son fournisseur… Aujourd’hui, les deux groupes partagent déjà une coentreprise d’ingénierie (55 % EDF, 45 % Areva) consacrée aux projets du « nouveau nucléaire ».
317 de 619 - 27/3/2015 12:13
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002


EDF Energy a annoncé vendredi avoir remporté, à l'issue d'un appel d'offres, un contrat annuel de 1 milliard de livres (1,37 milliard d'euros) au Royaume-Uni pour fournir de l'électricité à des milliers de bâtiments et sites publics.


La filiale britannique d'Electricité de France (EDF.FR) a obtenu le renouvellement d'un contrat de quatre ans auprès de la Crown Commercial Service, une agence gouvernementale chargée des achats et des services pour le secteur public.


L'accord porte sur environ 8.000 sites, soit l'équivalent de 9,6 térawattheures (TWh) par an.


-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com
318 de 619 - 30/3/2015 08:23
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC


ELECTRICITE DE FRANCE : La tendance baissière peut reprendre

SYNTHESE

Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 23.44 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 21.19 EUR, puis à 20.61 EUR et la résistance est à 24.08 EUR, puis à 24.66 EUR.
Dernier cours : 22.54
Support : 21.19 / 20.61
Resistance : 24.08 / 24.66
Opinion court terme : negative
Opinion moyen terme : negative
319 de 619 - 01/4/2015 20:14
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - Philippe Knoche, directeur général d'Areva, a fait savoir mercredi que la possibilité d'une reprise de l'ensemble des activités du groupe dans les réacteurs nucléaires par EDF faisait partie des possibilités. Le quotidien Les Echos rapportait vendredi qu'EDF envisageait de prendre une participation majoritaire dans l'ensemble d'Areva NP, qui correspond au périmètre de l'ex-Framatome et regroupe la conception, la fabrication et la maintenance des réacteurs nucléaires, ainsi que la fabrication de gros composants.. "Il n'y a pas qu'une seule solution. Il y a la solution que vous décrivez mais il peut y en avoir d'autres », a déclaré Philippe Knoche lors d'une audition devant les sénateurs.

Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a indiqué, à plusieurs reprises, que des rapprochements capitalistiques entre Areva et EDF pourraient intervenir dans certaines activités.
320 de 619 - 02/4/2015 09:33
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - Le ministre français de l'Economie a promis jeudi pour les prochaines semaines des "propositions concrètes" sur un rapprochement entre EDF et Areva dans le domaine des réacteurs nucléaires.

La reprise de l'ensemble des activités d'Areva dans les réacteurs nucléaires fait partie des questions posées par l'Etat sur l'avenir du groupe, avait déclaré mercredi son directeur général, Philippe Knoche.

A quelques heures d'une réunion du comité de groupe d'Areva, Emmanuel Macron a confirmé sur BFM que l'Etat, actionnaire des deux entreprises, leur avait demandé de faire des propositions en ce sens pour redresser Areva, en grande difficulté.

"Il y a des schémas industriels, il y a des schémas capitalistiques avec des rapprochements, ils sont en train de regarder", a déclaré le ministre. "Ça ne concerne pas tout Areva, ça ne concerne que la partie réacteurs."

"Dans les toutes prochaines semaines, on aura des propositions concrètes" pour contribuer au redressement d'Areva, a ajouté Emmanuel Macron.

Il a déploré que l'Etat ait été "défaillant" durant les années 2000 et ait laissé les deux entreprises mener des politiques "hostiles" et néfastes l'une envers l'autre, notamment en matière d'approvisionnement et à l'international.

"On a demandé à Areva et EDF de mieux travailler sur le plan commercial ensemble sur la partie réacteurs, de mieux travailler à l'international et donc d'avoir des projets communs et de se rapprocher et de regarder comment consolider tout le métier du réacteur et les métiers attachés", a-t-il précisé.

Emmanuel Macron a refusé de se prononcer sur l'idée de la création d'une co-entreprise, proposée par certains syndicats d'Areva comme le CFE-CGC. "Il faut à la fin un résultat qui soit simple, opérationnel et qui permette aux dirigeants de réussir et de se concentrer sur leurs entreprises", a-t-il conclu.

(Emmanuel Jarry, édité par Jean-Michel Bélot)
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