Siemens

Actualisé: Gamesa et Siemens confirment la fusion de leurs activités dans l'éolien

L'électricien espagnol Gamesa (GAM.MC) a annoncé vendredi avoir
conclu un accord contraignant en vue de fusionner son activité dans
l'éolien avec celle du conglomérat industriel allemand Siemens (SIE.XE),
une transaction qui donnera naissance à l'un des leaders mondiaux de la
construction de parcs éoliens.

Siemens prendra une
participation majoritaire de 59% dans l'entité combinée et les
actionnaires de Gamesa détiendront 41% du nouvel ensemble. En vertu de
l'accord conclu, Siemens versera aux actionnaires de Gamesa 3,75 euros
en numéraire par action, un montant qui sera payé dès la fusion achevée,
ont indiqué les deux parties.

La nouvelle
coentreprise, qui aura son siège social international en Espagne et sera
cotée à la Bourse de Madrid, devrait réaliser un chiffre d'affaires de
9,3 milliards d'euros et un bénéfice d'exploitation ajusté de 839
millions d'euros, a affirmé Siemens.

Les deux groupes
prévoient de dégager 230 millions d'euros d'économies annuelles au
niveau opérationnel à partir de la quatrième année suivant l'achèvement
de la transaction.

La question Adwen est résolue

Siemens et Gamesa avaient déjà conclu un accord de principe en février
en vue de fusionner leurs activités dans l'éolien, mais leur
rapprochement s'est heurté à un obstacle car Gamesa devait renégocier la
structure de sa coentreprise dans l'énergie éolienne offshore, Adwen,
avec Areva.

Dans le cadre de l'accord conclu, le géant
français du nucléaire devra, dans un délai de trois mois, céder sa
participation dans Adwen à Gamesa ou bien vendre la totalité du capital
d'Adwen à un investisseur tiers.

La fusion
entre les activités d'éoliennes offshore de Siemens et les parcs éoliens
terrestres de Gamesa donnera naissance à un nouveau leader mondial en
termes de capacités, devant le géant chinois Xinjiang Goldwind Science
& Technology, le groupe danois Vestas et le conglomérat américain
General Electric, d'après FTI Consulting.

Vers 15h, l'action Siemens s'adjugeait 1,4%, à 92,13 euros tandis que Gamesa bondissait de 5,4%, à 18,02 euros.

-Christopher Alessi et Carlos Lopez-Perea, Dow Jones Newswires

(Monica Houston-Wäsch et Eyk Henning ont contribué à cet article)

(Version française Aurélie Henri) ed: ECH-JEB

(END) Dow Jones Newswires

June 17, 2016 09:48 ET (13:48 GMT)

Siemens (EU:SIA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 31 Octobre 2017

(CercleFinance.com) - Selon le journal financier allemand Börsen

Zeitung, le conglomérat allemand Siemens n'hésiterait plus : pour

l'introduction en Bourse (IPO, selon l'acronyme anglais) de sa 'pépite'

médicale Healthineers, le groupe aurait un temps caressé l'idée de

choisir New York. Mais cette éventualité n'est plus d'actualité et la

place allemande de Francfort tiendrait désormais la corde

Les

motivations de Siemens seraient d'abord fiscales, mais il serait aussi

question de contraintes de temps, croit savoir le Börsen Zeitung,

Siemens entendant réaliser l'opération au 1er semestre 2018.

L'été

dernier, et selon des informations de presse, Healthineers était

valorisée jusqu'à 40 milliards d'euros. L'IPO, elle, serait d'un montant

de l'ordre de cinq milliards d'euros.

Schneider, le retour de la piste indienne

Anthony Bondain,



publié le 01/11/2017 à 06h52

(Boursier.com) — Le français Schneider Electric
serait en pole-position pour racheter la division électricité et
automatismes du groupe d'ingénierie indien Larsen & Toubro, a appris
le journal local des affaires 'Mint' auprès de deux sources bien
informées. Le groupe dirigé par Jean-Pascal Tricoire se serait allié
avec le fonds souverain de Singapour, Temasek, pour déposer une offre.
Un prix de 2,3 milliards de dollars a été évoqué par les mêmes
informateurs. ABB,
qui avait un temps été cité comme prétendant principal, pourrait avoir
jeté l'éponge. Le groupe irlandais Eaton serait en revanche encore sur
les rangs.

La rumeur d'une ticket Schneider-Temasek n'est pas
vraiment nouvelle : le quotidien 'Economic Times', concurrent de 'Mint',
en avait fait part dès le mois d'août dernier, en évoquant aussi le nom
d'Eaton pour les actifs mis en vente par L&T. A l'époque, un prix
de 150 à 170 milliards de roupies (entre 2,3 et 2,6 Mds$) avait été
évoqué. Quant à la rumeur d'une cession de la division "Electrical &
Automation" du groupe indien, elle circule depuis plusieurs années. En
2011 déjà, la presse indienne avait évoqué sa mise en vente, en citant
comme prétendants... Schneider et ABB !

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Actualités

Reuters

Consultation

Siemens confirme un projet d'IPO de Healthineers au 1er semestre

publié le 19/02/2018 à 09h50

FRANCFORT (Reuters) - Le conglomérat industriel allemand
Siemens a annoncé lundi viser une introduction en Bourse de
Healthineers, sa filiale d'équipements médicaux, au premier semestre
2018, en proposant aux investisseurs des actions existantes de la
société.

Healthineers, fabricant d'appareils de radiographie et
d'IRM, devrait être valorisé à environ 40 milliards d'euros à l'issue de
son offre publique de vente (IPO), qui sera sans doute la plus
importante en Allemagne depuis la privatisation de l'opérateur Deutsche
Telekom en 1996.

L'annonce de Siemens survient après un important
mouvement de correction au début du mois sur les marchés financiers qui
se sont ressaisis tout récemment.

"Siemens Healthineers est à
présent prêt pour ses débuts sur le marché", a déclaré dans un
communiqué Michael Sen, président du conseil de surveillance de
Healthineers et membre du directoire de Siemens.

Siemens a dit
vouloir coter une participation minoritaire "significative" de
Healthineers, sans préciser le nombre d'actions proposées.

Des
sources avaient déclaré à Reuters la semaine dernière que le groupe
allemand ne comptait pas introduire en Bourse plus de 20% de sa filiale
et que le produit de l'opération bénéficierait à Siemens et non à
Healthineers.

Goldman Sachs, Deutsche Bank et JPMorgan seront les
banques coordinatrices au niveau mondial, secondées par BNP Paribas,
BofA Merrill Lynch, Citigroup et UBS.

Berenberg, Commerzbank, HSBC, Jefferies, Nordea, RBC et UniCredit seront co-chefs de file de l'opération.

Healthineers,
en concurrence avec les divisions d'équipements médicaux de Philips, de
General Electric et une multitude de petites entreprises
technologiques, prévoit de distribuer 50 à 60% de son bénéfice net sous
forme de dividendes une fois qu'il sera coté.

(Edward Taylor et Maria SheahanClaude Chendjou pour le service français, édité par Véronique Tison)

Siemens (EU:SIA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 20 Mars 2018

(CercleFinance.com) - Orange a annoncé ce mardi l'extension du contrat entre Orange Business Services et Siemens AG.

Selon

les termes de nouveau contrat, ayant cours sur 6 ans et d'un montant

global de 240 millions d'euros, Orange Business Services se voit confier

par le conglomérat allemand la conception de son réseau mondial SD-WAN.

Orange

Business Services migrera l'infrastructure réseau mondiale de Siemens

vers un réseau SD-WAN dynamique et flexible. Il connectera ce faisant

ses applications cloud et ses objets connectés.

Avec un centre

de services unique et une présence locale dans 166 pays, Orange Business

Services est à même de fournir à Siemens des services réseau managés

dans les 94 pays où il opère. Ce dispositif permet au conglomérat

allemand de renforcer la gouvernance et la coopération de longue date

établies entre son siège à Munich et ses divisions internationales.

Orange Business Services et Siemens alliés dans l'IoT

Jean-Noël Legalland,



publié le 18/04/2018 à 16h08

(Boursier.com) — Orange Business Services et Siemens
entendent promouvoir l'adoption et l'intégration de l'Internet des
Objets dans le secteur de l'industrie. L'objectif initial est d'élaborer
des solutions de traçabilité pour optimiser les chaînes
d'approvisionnement et d'améliorer la supervision des équipements afin
d'en accroître la performance, et ainsi, de développer de nouveaux
services s'appuyant sur les technologies numériques pour renforcer la
satisfaction des clients et créer de nouveaux modèles d'activité.

Ce
partenariat aidera les entreprises à connecter leurs machines et leurs
infrastructures IT au monde numérique, promettent les deux groupes.
Grâce aux données générées et à leur analyse, elles pourront accroître
leur productivité et leur rentabilité.

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Orange
Business Services fournit la connectivité cellulaire mondiale et
apporte ses compétences dans les domaines du conseil, de l'intégration
de systèmes et du développement d'applications. Le partenariat repose
sur l'alliance de MindSphere, le système d'exploitation IoT ouvert de
Siemens basé sur le cloud, et de Datavenue, l'offre IoT et Data
Analytics d'Orange Business Services.

Orange Business Services
connectera les systèmes et les objets via MindSphere. Les clients
choisiront parmi plusieurs offres semi-packagées autour de la
traçabilité, de la supervision d'équipements, ou des solutions et
applications personnalisées. Orange Business Services fournira, dans un
premier temps, des solutions de connectivité cellulaire et de type Low
Power Wide Area Network. D'autres composantes de Datavenue seront
intégrées prochainement dans l'offre.

Dans un premier temps, ce partenariat se concentrera sur l'Europe, avec le déploiement de solutions en Allemagne et en Autriche.

http://www.zonebourse.com/SIEMENS-436605/analyses-broker/Siemens-UBS-toujours-a-l-achat-26756186/" target="popup">

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12/06/2018 | 16:57

L'analyste UBS annonce
ce jour maintenir sa recommandation 'Achat' sur le titre Siemens, alors
que 'les étapes du plan Vision 2020+ et la fusion Mobilité/Alstom
deviennent plus clairs', selon le broker.

Rappelons que le
rapprochement proposé de Siemens Mobility avec Alstom a connu une
nouvelle étape importante en fin de semaine dernière, avec l'annonce par
les deux groupes du dépôt d'une demande d'autorisation de l'opération
dans le cadre de la procédure de contrôle des concentrations auprès de
la Commission européenne.

UBS réaffirme par ailleurs son objectif de cours sur Siemens, à 138 euros.

Total

et Siemens Energy annoncent un accord de collaboration technique afin

d'étudier des solutions durables pour la réduction des émissions de CO2,

collaboration qui se concentrera sur les installations de liquéfaction

du gaz naturel et la production d'électricité associée.

Ils

s'associeront pour fournir des solutions industrielles telles que la

combustion d'hydrogène propre dans les turbines à gaz, la liquéfaction

tout-électrique du gaz naturel, ou encore l'optimisation de la

production d'électricité.

'Le développement d'un GNL à faible

émission de gaz à effet de serre est essentiel pour faire face à la

demande d'énergie croissante au niveau mondial', commente Arnaud

Breuillac, directeur général de l'exploration-production de Total.