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Gaz De Schiste

- 18/8/2015 19:12
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
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TOTAL : Total, Engie: Londres propose de nouvelles licences d'exploration de gaz de schiste

18/08/15 à 18:18 - Dow Jones 0 Commentaire(s)

Total, Engie: Londres propose de nouvelles licences dexploration de gaz de schiste | Crédits photo : 360b / Shutterstock.com Total, Engie: Londres propose de nouvelles licences dexploration de gaz de schiste | Crédits photo : 360b / Shutterstock.com

LONDRES (Dow Jones)--Le gouvernement britannique a annoncé mardi qu'il attribuerait à plusieurs compagnies, dont Total et Engie , de nouveaux permis d'exploration de gaz de schiste sur des blocs onshore, alors que le Royaume-Uni redouble d'efforts pour exploiter les potentielles réserves schisteuses du pays.

Le Royaume-Uni est l'un des rares pays d'Europe à autoriser la fracturation hydraulique, mais les progrès sont lents et le secteur n'en est qu'à ses balbutiements.

Le gouvernement britannique a indiqué qu'une activité nationale de gaz de schiste pourrait permettre de compenser le déclin de la production d'hydrocarbures en mer du Nord et de réduire les importations de gaz naturel.

Londres a annoncé mardi qu'il attribuerait avant la fin de l'année des licences d'exploration à des entreprises du secteur portant sur 27 blocs gaziers et pétroliers.

Outre Total et Engie, de plus petites sociétés comme IGas Energy (IGAS.LN), Egdon Resources (EDR.LN) et Celtique Energie Petroleum comptent au nombre des entreprises concernées, de même que Cuadrilla Resources et le géant suisse de la chimie Ineos.

Un second groupe de 132 blocs gaziers et pétroliers onshore fera l'objet d'une consultation pour déterminer s'ils peuvent être exploités dans le cadre des réglementations environnementales.

Les licences pour tous les blocs proposés seront attribuées cette année.

-Selina Williams, The Wall Street Journal (Version française Emilie Palvadeau) (ed/AE)

Dow Jones Newswires

August 18, 2015 12:18 ET (16:18 GMT)



Réponses
7 Réponses
1
1 de 7 - 18/8/2015 22:14
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Les autorités britanniques ont retenu mardi les entreprises sélectionnées pour 27 nouveaux permis d'exploration d'hydrocarbures conventionnels et de schiste, pour la première fois depuis sept ans concernant cette source d'énergie controversée mais soutenue par le gouvernement Cameron.

La Oil & Gas Authority (OGA), le régulateur national du secteur, a indiqué avoir retenu notamment les groupes britanniques Cuadrilla et IGas (ce dernier allié à Total), le français GDF Suez (Engie) ou encore le suisse Ineos pour un total 27 blocs terrestres d'exploration dans le centre et le nord de l'Angleterre.

C'est la première fois depuis 2008 que des permis ont été proposés pour rechercher du pétrole et du gaz de schiste dans le pays. Les licences doivent encore être formellement attribuées aux entreprises sélectionnées au cours de l'année.

Elles ne le seront qu'après la finalisation d'études environnementales plus poussées pour un second groupe de 132 blocs d'exploration à travers le pays, qui devraient être proposés ultérieurement.

"Il est important que nous continuions dans cette voie et faisions avancer le schiste, tout en maintenant de solides contrôles environnementaux. L'investissement dans le schiste pourrait atteindre 33 milliards de livres (46,5 milliards d'euros) et soutenir 64.000 emplois", a souligné Nicholas Bourne, secrétaire d'État à l'Énergie.

Le Premier ministre conservateur David Cameron est un soutien très enthousiaste du développement du gaz de schiste, y voyant potentiellement une source d'énergie bon marché et abondante, malgré l'opposition de certains riverains et associations de défense de l'environnement qui s'inquiètent des conséquences de l'utilisation de la technique de la fracturation hydraulique.

Alors que les forages sont au point mort depuis 2011, quand un puits de Cuadrilla avait causé de légères secousses sismiques dans le nord de l'Angleterre, le gouvernement britannique a pris des mesures pour tenter d'accélérer le développement du schiste.

Il a ainsi annoncé la semaine dernière qu'il pourrait désormais délivrer directement les autorisations nécessaires pour exploiter les sites, afin de contourner des autorités locales jugées trop lentes ou réticentes.
L'association environnementale Les amis de la Terre a jugé mardi que les nouvelles licences allaient "provoquer colère et de controverses parce que partout où la fracturation hydraulique a été proposée, elle s'est heurtée à l'opposition des riverains".

Les opposants à cette technique - qui consiste à créer des fissures souterraines et à y infiltrer un mélange d'eau, de sable et de produits chimiques pour permettre l'extraction d'hydrocarbures prisonniers de la roche - craignent notamment la pollution des réserves d'eau potablle


lafigero AFP

2 de 7 - 19/8/2015 09:57
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

C'est la première fois depuis 2008 que des permis ont été proposés pour rechercher du pétrole et du gaz de schiste dans le pays.

Les autorités britanniques ont retenu mardi 18 août les entreprises sélectionnées pour 27 nouveaux permis d'exploration d'hydrocarbures conventionnels et de schiste , pour la première fois depuis sept ans concernant cette source d'énergie controversée mais soutenue par le gouvernement Cameron.

La Oil & Gas Authority (OGA), le régulateur national du secteur, a indiqué avoir retenu notamment les groupes britanniques Cuadrilla et IGas (ce dernier allié à Total), le français GDF Suez (Engie) ou encore le suisse Ineos pour un total 27 blocs terrestres d'exploration dans le centre et le nord de l'Angleterre.

C'est la première fois depuis 2008 que des permis ont été proposés pour rechercher du pétrole et du gaz de schiste dans le pays. Les licences doivent encore être formellement attribuées aux entreprises sélectionnées au cours de l'année. Elles ne le seront qu'après la finalisation d'études environnementales plus poussées pour un second groupe de 132 blocs d'exploration à travers le pays, qui devraient être proposés ultérieurement.

64.000 emplois à la clé ?

"Il est important que nous continuions dans cette voie et faisions avancer le schiste , tout en maintenant de solides contrôles environnementaux. L'investissement dans le schiste pourrait atteindre 33 milliards de livres (46,5 milliards d'euros) et soutenir 64.000 emplois", a souligné Nicholas Bourne, secrétaire d'État à l'Énergie.

Le Premier ministre conservateur David Cameron est un soutien très enthousiaste du développement du gaz de schiste , y voyant

... Lire la suite sur Challenges
3 de 7 - 22/10/2015 09:40
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

(CercleFinance.com) - Via ses filiales américaines Veolia Water

Technologies et Veolia North America, Veolia a remporté plusieurs

contrats de traitement des eaux auprès d'un exploitant américain de

pétrole et de gaz de schiste, Antero Resources (Stuttgart: 7A6.SG - actualité) . Le montant de l'affaire n'a pas été détaillé.



Le

groupe français de services collectifs aura la charge de concevoir, de

construire et d'exploiter, dans les Appalaches et pour le compte de son

client, une usine capable de traiter quotidiennement 9.500 m3 (60.000

barils/jour) d'eaux industrielles. L'investissement est chiffré à 275

millions de dollars (environ 240 millions d'euros au cours du jour).



L'entrée

en service de l'installation est prévue fin 2017. Selon Veolia, le

recyclage de eaux permettra à Antero Resources d'économiser environ

150.000 dollars par puits de forage, sans compter les économies de

transport.



Dans le détail, 'Antero détiendra les actifs de

traitement et les installations auxiliaires qui seront construits par

Veolia au cours des deux prochaines années, après quoi Veolia va

exploiter les systèmes en vertu d'un accord séparé de 10 ans qui

comprend une garantie de performance pour une haute disponibilité, une

durée de vie mécanique élargie et la capacité de traiter un large

éventail de reflux et de caractéristiques de l'eau produite, tout en

rencontrant les normes de rejet des eaux de surface de la Virginie

occidentale', indique Veolia.



Veolia ajoute qu'il considère les

marchés pétroliers comme un relais de croissance : ces derniers

représentent actuellement 1,5 milliard d'euros de son CA (NasdaqGS: CA - actualité) , chiffre qui devrait passer à 3,5 milliards d'ici 2020.

4 de 7 - 28/1/2016 20:05
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Total (EU:FP)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Jeudi 28 Janvier 2016

Plus de graphiques de la Bourse Total

La justice a annulé jeudi l'abrogation du permis de recherches de gaz
de schiste de Total dans la région de Montélimar (Drôme), a-t-on appris
auprès de l'avocate de plusieurs eurodéputés écologistes opposés à ces
recherches.



La décision du tribunal administratif de
Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) "était attendue", a réagi auprès de l'AFP Me
Hélène Bras, qui représente notamment José Bové et Michèle Rivasi. Le
rapporteur public avait en effet préconisé le 8 janvier que Total puisse
reprendre ses recherches, car le groupe s'était engagé à ne pas
recourir à la méthode de la fracturation hydraulique, jugée néfaste pour
l'environnement.



"Le tribunal administratif ne dit
toutefois pas qu'il rend son permis à Total", affirme Me Bras, selon
laquelle le permis de recherche a "expiré le 31 mars 2015". "On ne
ressuscite pas un mort", a-t-elle ironisé.



En 2011,
Total avait vu ce permis de recherche -délivré en 2010- abrogé en raison
de la loi du 13 juillet 2011 qui interdit le recours à la fracturation
hydraulique.



"Nous demandons à l'État de faire appel de
cette décision car l'interdiction d'extraire du gaz de schiste en
France est ébranlée", ont plaidé les eurodéputés Michèle Rivasi et José
Bové dans un communiqué. "Elle était induite par l'inscription dans la
loi de l'impossibilité d'utiliser la fracturation hydraulique (...).
Pour faire vivre cette loi, il faut absolument en lever les ambigüités",
ont-ils ajouté.



Contacté par l'AFP, Total n'a pas
souhaité réagir. Mi-janvier, son PDG Patrick Pouyanné avait toutefois
affirmé que le groupe ne passerait pas en force contre la volonté du
gouvernement, qui avait abrogé son permis.



"Je n'ai pas
envie de passer en force sur ce sujet-là. Si la collectivité nationale
ne souhaite pas qu'on fasse d'exploration de gaz de schiste, nous ne le
ferons pas", avait-il expliqué. "Je pense qu'il faut qu'il y ait un
consensus sur un sujet pareil."



En décembre, le
tribunal administratif de Cergy-Pontoise a par ailleurs confirmé
l'abrogation, décidée en 2011, de deux permis d'exploration de gaz de
schiste délivrés à la société Schuepbach en 2010 en Aveyron et en
Ardèche.





(END) Dow Jones Newswires



January 28, 2016 12:45 ET (17:45 GMT)

5 de 7 - 18/4/2016 00:15
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Pas d'accord à Doha sur le pétrole




Actualités des marchés


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REUTERS |
Le 17/04/16 à 22:50


Les tensions entre l'Arabie saoudite et l'Iran persistent. Ryad exige
que la république islamique s'associe au gel de la production. Pour
Téhéran, stabiliser la production effacerait les bénéfices attendus de
la levée des sanctions. L'échec à Doha devrait tirer les cours du brut
vers le bas.





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Les tensions Iran-Arabie menacent un accord sur le pétrole | Crédits photo : Sophie James / Shutterstock.com





Les tensions Iran-Arabie menacent un accord sur le pétrole | Crédits photo : Sophie James / Shutterstock.com

par Rania El Gamal et Reem Shamseddine

DOHA, 17 avril (Reuters) - Les discussions de Doha entre pays producteurs de pétrole membres de l'Opep ou extérieurs au cartel se sont achevées ce dimanche sans accord sur un "gel" de la production, l'Arabie saoudite ayant exigé que l'Iran se joigne au mouvement.

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Même si les concertations vont se poursuivre, l'issue de cette réunion entre ministres du Pétrole
va raviver les inquiétudes des acteurs du secteur, qui redoutent que
les pays producteurs ne relancent la course aux parts de marché, ce qui
risquerait de porter un coup d'arrêt à la remontée du prix du baril.

L'Arabie saoudite notamment a menacé d'accroître sa production si aucun n'accord n'était trouvé.

Dix-huit pays, dont la Russie
qui ne fait pas partie de l'Organisation des pays exportateurs de
pétrole (Opep), étaient représentés à Doha pour finaliser un accord dans
les tuyaux depuis février et qui aurait stabilisé la production
jusqu'en octobre prochain à ses niveaux de janvier.

Mais Ryad,
chef de file de l'Opep, a insisté pour que tous les pays membres de
l'Opep soient partie prenante à ce gel concerté de la production, y
compris l'Iran. Or, la République islamique, absente dimanche à Doha, se
refuse à stabiliser sa production au moment où la levée des sanctions
occidentales liées à son programme nucléaire peut lui permettre de
reprendre pied sur le marché mondial de la production de brut.

"Si
l'Iran gèle sa production pétrolière au niveau de février, cela
signifiera qu'il ne peut pas bénéficier de la levée des sanctions", a
expliqué le ministre iranien du Pétrole, Bijan Zanganeh.

SOUS LES 40 DOLLARS ?

Au
terme de cinq heures de discussion tendue, notamment entre l'Arabie
saoudite et la Russie, sur la formulation d'une éventuelle déclaration
finale, délégués et ministres ont annoncé qu'aucun accord n'avait été
trouvé.

"Nous avons conclu que nous avions tous besoin de temps
pour de nouvelles consultations", a déclaré le ministre qatari de
l'Energie Mohamed al Sada. Plusieurs sources au sein de l'Opep ont
précisé que si l'Iran acceptait de s'associer au gel de la production
lors de la prochaine réunion du cartel, prévue le 2 juin, les
discussions avec les autres pays producteurs pourraient reprendre.

Le ministre russe du Pétrole, Alexander Novak,
a regretté les exigences "déraisonnables" de l'Arabie saoudite et s'est
dit déçu de l'issue de la réunion de Doha. Alors, dit-il, qu'il était
arrivé au Qatar
avec le sentiment qu'il s'agissait de parvenir à un accord, et non de
débattre, il s'est dit surpris par ces nouvelles exigences formulées
dimanche matin.

L'échec de la réunion de Doha pourrait mettre un terme à la récente remontée des cours pétroliers.

"Avec
l'absence d'accord aujourd'hui, la confiance des marchés dans la
capacité de l'Opep à parvenir à un accord équilibrant la production va
probablement baisser et cela va certainement avoir un effet baissier
sur les marchés pétroliers, où les cours se sont en partie redressés
sur l'anticipation d'un accord. Sans accord, les probabilités d'assister
à un rééquilibrage des marchés sont désormais repoussées à la mi-2017",
a résumé Abhishek Deshpande, spécialiste du pétrole chez Natixis.

L'espoir d'une limitation concertée de l'offre mondiale avait permis au baril de Brent
de rebondir à près de 45 dollars, en progression de 60% par rapport aux
plus bas touchés en janvier autour de 27 dollars, après la chute qui
lui avait fait perdre plus de 75% depuis le pic à 115 dollars de la
mi-2014.

Anticipant une réaction impulsive des marchés, Amrita
Sen, experte chez Energy Aspects, estime que le baril pourrait retomber
sous le seuil des 40 dollars ce lundi.

"Même si l'absence d'un
accord de gel n'a pas de conséquence négative sur les équilibres --
puisque l'Iran est véritablement le seuil pays susceptible d'accroître
sa production de manière substantielle --, elle va avoir un immense
impact négatif sur le sentiment (des marchés), surtout au vu du battage
médiatique qu'il y a eu autour de cet accord", explique-t-elle.
(Bertrand Boucey, Eric Faye, Marc Angrand et Henri-Pierre André pour le
service français)


En savoir

plus sur

http://investir.lesechos.fr/marches/actualites/les...

6 de 7 - 18/5/2016 16:53
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Renoncer à importer du gaz de schiste: une "erreur" pour le PDG de Total

Challengesil y a 1 heure 48 minutes



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  • 15151362_original.jpghttp://globalfinance.zenfs.com/images/FR_AFTP_Challenges_LIVE/15151362_original.jpg" alt="Patrick Pouyanné, le PDG de Total">Challenges - Patrick Pouyanné, le PDG de Total

Patrick Pouyanné a estimé que l'industrie européenne gagnerait en compétitivité grâce au gaz de schiste.

Interdire
l'importation de gaz de schiste américain en Europe serait "une erreur"
pour l'industrie européenne, qui gagnerait en compétitivité grâce à
cette source d'énergie, a estimé mercredi 18 mai le PDG du géant
français du pétrole Total, Patrick Pouyanné.

La ministre française de l'Environnement et de l'Energie, Ségolène
Royal, avait indiqué le 10 mai à l'Assemblée nationale vouloir "examiner
juridiquement" comment interdire l'importation de gaz de schiste en
France, alors que sa principale technique d'extraction, la fracturation
hydraulique, est interdite sur le territoire depuis 2011 pour des
raisons environnementales.

Le lendemain, elle avait écrit aux dirigeants d'EDF et d'Engie pour
leur demander de "renoncer" à l'avenir à importer ce gaz, après des
critiques soulevées par la signature de contrats d'importation de gaz
naturel liquéfié (GNL) américain, dont une partie provient de gisements
de schiste.

"On va en acheter, dans un an ou deux", a déclaré Patrick Pouyanné à
propos du gaz de schiste lors d'une audition devant la commission des
Affaires économiques du Sénat. "On prévoit d'importer du gaz américain
en Europe ou d'ailleurs dans le monde, c'est un marché mondial. (...) Je
ne sais pas quand on parle de traité transatlantique, de libre-échange,
comment on fait pour empêcher le gaz de circuler".

"Plutôt une bonne nouvelle"

"Ce serait une erreur pour l'industrie européenne", a-t-il poursuivi, estimant que l'arrivée "en masse" du GNL américain

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7 de 7 - 05/6/2016 08:43
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

Introduction de La Française de l'Energie jusqu'au 6 juin. Souscrire?

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Publié le 01/06/2016 à 08h05,
mise à jour le 05/06/2016 à 08h05

(Boursier.com) — La PME forbachoise La Française de l'Energie (FDE)
a placé son introduction en Bourse sous le signe de l'économie durable
et de l'indépendance énergétique : elle vient en effet financer en
Bourse la production d'électricité à partir de gaz de mines, sans
fracturation hydraulique contrairement au gaz de Schiste et avec une
empreinte carbone 10 fois plus faible que le gaz importé. Le tout avec
pour but, une consommation locale.

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