Engie Ex Gdf Suez (ENGI)

Analyse Technique

06/01/2017 11:21

Engie CT : résistance clé à 12,55

Notre point pivot est sur 12,55.

Notre préférence : tant que 12,55 n'est pas dépassé nous sommes baissiers avec comme objectifs: 11,72 puis 11,20.

Scénario alternatif : au-dessus de 12,55, hausse probable vers 13,00 puis 13,50.

Commentaire : les indicateurs techniques journaliers se retournent à la baisse et plaident en faveur d’une consolidation.

Supports et résistances court terme :
Résistance 3 : 13,5 **
Résistance 2 : 13 **
Résistance 1 : 12,55 **
Dernier : 12,095
Support 1 : 11,715 **
Support 2 : 11,2 **
Support 3 : 10,5 **

Engie dément vouloir reprendre le contrôle de Suez (DG)

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06/01/2017 | 16:29

Paris
- L'énergéticien français Engie a démenti vendredi avoir l'intention
de reprendre le contrôle du spécialiste de la gestion de l'eau et des
déchets Suez, dont il détient environ un tiers du capital, par la voix
de sa directrice générale Isabelle Kocher.

"Nous n'avons aucun projet sur Suez", a assuré Isabelle Kocher
lors de ses voeux à la presse, démentant ainsi des spéculations
récurrentes sur un rapprochement des deux groupes.

En décembre, BFM Business affirmait notamment que Mme Kocher
s'était entretenue, durant l'été 2016, avec les principaux candidats de
la primaire de la droite et du centre pour leur soumettre son idée de
créer un géant des services à l'énergie autour de l'électricité, du gaz
et de l'eau.

Suez Environnement (aujourd'hui Suez) a été séparé d'Engie
(ex-GDF Suez) en 2008 lors de la fusion de GDF et de Suez, mais Engie en
avait conservé le contrôle jusqu'en 2013 et la rupture du pacte
d'actionnaires de l'entreprise.

"Ce n'est pas notre priorité aujourd'hui que de régler cette
question-là, parce que la priorité aujourd'hui, c'est de dérouler le
projet industriel" d'Engie, a insisté vendredi la dirigeante.

"On peut vraiment rester comme on est. C'est une belle
entreprise où les dialogues sont très étroits, les coopérations
existent", a-t-elle poursuivi au sujet de Suez. Et si un jour Engie
envisageait de s'ouvrir à de nouveaux métiers, "c'est une question qui
est beaucoup plus vaste que Suez".

Face à la morosité du secteur énergétique européen, le
fournisseur de gaz et d'électricité a lancé en 2016 un plan de
transformation sur trois ans avec l'ambition de devenir le chef de file
de la transition énergétique, en mettant l'accent sur les énergies bas
carbone, les services énergétiques et les activités à prix régulés ou
garantis contractuellement.

"Nous sommes en avance sur toutes les dimensions du plan", a
indiqué Isabelle Kocher, soulignant qu'Engie avait déjà réalisé plus de
la moitié de son plan de cessions de 15 milliards d'euros, avec de
bonnes valorisations.

Elle a aussi précisé que son groupe avait déjà cédé ou fermé 9
gigawatts de capacités de production électrique au charbon sur un total
de 15 GW.

Toutefois, Mme Kocher a indiqué qu'elle oeuvrerait en 2017 à
mieux "faire comprendre" la nouvelle stratégie d'Engie, malmené en
Bourse l'an dernier.

"Nous sommes dans la première partie de l'implémentation de ce
plan. C'est la partie la plus ingrate, c'est la partie la plus
difficile, parce que c'est la partie pendant laquelle nous voyons
l'effet de ce que vendons", sans encore voir celui des
réinvestissements, a-t-elle soutenu.

Par ailleurs, Engie étudie la faisabilité économique de ses
projets nucléaires au Royaume-Uni et en Turquie et s'est dit prêt à
investir si les conditions, notamment en termes de prix, sont
satisfaisantes.

Engie aux prises avec «une véritable révolution énergétique»

• Par
  Frédéric De Monicault
• Publié
  
  le 07/01/2017 à 08:00
  

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  1 commentaire
  
  
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Vendredi,
à l'occasion de vœux à la presse, la directrice générale du groupe
énergétique est revenue sur la feuille de route qui mobilise
l'entreprise.

En poste depuis quelques mois, Isabelle Kocher
a fort à faire, dans un environnement difficile pour l'ensemble des
groupes énergétiques. Première femme à piloter un groupe du CAC40, elle a
profité vendredi de vœux à la presse pour rappeler les grands axes de
la feuille de route qui attend Engie
(ex-GDF Suez) et qui court sur trois ans. Ce programme de grande
ampleur, amorcé depuis quelques mois, repose sur trois piliers
essentiels: le renforcement dans les énergies renouvelables, le
développement dans les services énergétiques et l'extension des
positions dans le gaz.

Pour Isabelle Kocher, le terme de
«transition énergétique» est trop réducteur pour qualifier la situation
actuelle: «Nous sommes en présence d'une véritable révolution
énergétique qui se décline autour des trois axes que sont une énergie
décarbonée, une énergie décentralisée et une énergie digitalisée»,
expose la dirigeante.

Programme de cessions

S'agissant du
premier volet, Isabelle Kocher souligne que les énergies renouvelables
et le gaz ont naturellement vocation à remplacer le charbon et le
pétrole. Plusieurs actifs fossiles sont ainsi rentrés dans le cadre du
programme de cessions entamés par Engie. Le groupe a déjà cédé ou fermé 9
gigawatts (GW) d'infrastructures de production électrique sur un total
de 15 GW. En tout ce programme de cessions prévoit un montant de 15
milliards d'euros, dont plus de la moitié a déjà été réalisée, a
souligné Isabelle Kocher. Celle-ci a ajouté que les opérations déjà
effectuées l'ont été dans de bonnes conditions, avec des valorisations
très satisfaisantes.

En marge du déroulement de la stratégie
d'Engie, Isabelle Kocher a profité de cette rencontre avec la presse
pour tordre le cou à un certain nombre de rumeurs qui agitent la place.
Elle a ainsi indiqué qu'elle avait le plein soutien du conseil
d'administration et que sa position n'était pas fragilisée. À la fin de
l'année dernière, les rumeurs en question avaient évoqué des dissensions
avec Gérad Mestrallet,
l'actuel président du conseil d'administration et précédemment patron
opérationnel d'Engie. Sur un autre dossier, Isabelle Kocher a démenti
toute intention de la part d'Engie de reprendre le contrôle du
spécialiste de la gestion de l'eau et des déchets Suez, dont il détient
environ un tiers du capital.

Publié le 09/01/2017 à 06h58,
mise à jour le 09/01/2017 à 07h24

(Boursier.com) — Cours de bourse en berne, transition stratégique
compliquée à mettre en oeuvre, soupçons d'évasion fiscale via le
Luxembourg... Les journées d'Isabelle Kocher, la directrice générale d'Engie,
ne sont pas de tout repos. La dirigeante s'emploie à expliquer semaine
après semaine que son groupe est dans le dur et que les grandes
manoeuvres décidées pour le long terme ne peuvent aboutir en quelques
mois. A cela s'ajoutent les rumeurs, en particulier celles qui la
concernent directement puisque des bruits de couloir ont circulé sur son
départ en raison de mauvais rapports avec Gérard Mestrallet. Engie a
d'ailleurs demandé avant Noël à l'AMF de s'intéresser à la question.

Pas de projet sur Suez

Et puis il y a la rumeur Suez.
Dans la mesure où la stratégie d'Engie consiste à se recentrer sur
l'énergie propre et les services, l'hypothèse d'un retour au bercail de
l'ancienne filiale revient régulièrement sur la table. Vendredi,
Isabelle Kocher a tempéré les ardeurs des partisans d'une telle
opération, en expliquant lors d'une conférence qu'aucun projet n'est en
cours. La directrice générale n'en a pas moins laissé la porte ouverte,
mais en nuançant. Si un jour nous avons besoin d'activités connexes, nous serons plus ouverts sur la question,
a-t-elle indiqué en substance lors de ses voeux à la presse. On peut en
déduire que Suez n'a pas vocation à faire partie du coeur de métier que
bâtit actuellement le management, du moins dans l'état actuel du
programme.

Une directrice générale adjointe en moins

Par
ailleurs, le départ de Sandra Lagumina, directrice générale adjointe en
charge de GRDF, GRTgaz, Storengy, Immobilier, Chine et GTT, ancienne
directrice générale de GRDF, a été acté dans un communiqué diffusé ce
matin. Elle est remplacée par Didier Holleaux, un autre des directeurs
généraux adjoints, qui récupère ses fonctions tout en conservant la
responsabilité des achats, des projets industriels et du développement
nucléaire. Ses autres tâches seront désormais exercées par Shankar
Krishnamoorthy, promu directeur général adjoint, en charge des cinq
métiers du groupe, de la Business Unit Tractebel, d'Engie Solar et de la
direction de la stratégie. Lagumina et Kocher ne se seraient jamais
bien entendues même si la seconde avait promu la première dans une
volonté de renouveler le comité exécutif et de tendre la main à la
faction proche de Jean-François Cirelli, rappellent 'Les Echos' dans
leur édition du jour.

Engie a décidé d'abandonner son projet de ferme pilote hydrolienne
dans le raz Blanchard, où les courants de marée sont parmi les plus
forts en Europe, en raison du défaut d'un fournisseur.

Le groupe
énergétique a également annoncé le départ d'une directrice générale
adjointe, Sandra Lagumina, dont les fonctions sont reprises par un autre
directeur général adjoint, Didier Holleaux.

Le
groupe, en pleine transformation, secoue son état-major avec le départ
de la directrice générale adjointe Sandra Lagumina, remplacée par Didier
Holleaux, un an à peine après sa nomination.

Engie
a annoncé lundi le départ d'une directrice générale adjointe, un an
après sa nomination, et une nouvelle entrée au sein de son comité
exécutif alors que le groupe français est engagé dans un vaste plan de
transformation.

La directrice générale adjointe Sandra Lagumina, en charge
des Infrastructures gazières en France, en Chine et de la filiale GTT,
quittera ses fonctions le 31 janvier, cédant sa place à un autre
directeur général adjoint, Didier Holleaux, précise le groupe dans un
communiqué.

"Le leader de la transition énergétique"

Shankar Krishnamoorthy est quant à lui nommé directeur
général adjoint, responsable des cinq métiers du groupe, de la Business
Unit Tractebel, et de la Direction de la Stratégie. Il rejoint le comité
exécutif et sera également en charge d'Engie Solar, détaille encore le
groupe.

"Avec ces deux nominations, Engie poursuit sa transformation
pour devenir le leader de la transition énergétique et poursuit
l'internationalisation de son comité exécutif", explique la directrice
générale du groupe Isabelle Kocher, citée dans le communiqué.

"L'équipe dirigeante du groupe compte désormais 5
nationalités parmi ses 12 membres et dispose d'une expertise
opérationnelle renforcée", s'est-elle félicité. Engie compte onze
directeurs généraux adjoints, membres du comité exécutif.

Des dissensions avec Isabelle Kocher

Le départ de Sandra Lagumina, qui venait d'être nommée à son
poste il y a seulement un peu plus d'un an, au 1er janvier 2016,
illustrerait selon le journal Les Echos ses dissenssions avec la numéro deux du groupe.

"Isabelle Kocher avait déjà annoncé vendredi lors de ses
voeux (à la presse, ndlr) qu'elle allait redimensionner le comex, que
des nominations allaient être faites dans les prochains jours", rappelle
un porte-parole du groupe contacté par l'AFP.

En décembre dernier, des informations de presse évoquant une
mésentente entre le président d'Engie et sa directrice générale,
avaient conduit le groupe énergétique à un signalement auprès l'Autorité
des marchés financiers.

Face à la morosité du secteur énergétique européen, le
fournisseur de gaz et d'électricité a lancé un plan de transformation
avec l'ambition de devenir le chef de file de la transition énergétique,
en mettant l'accent sur les énergies bas carbone et les services
énergétiques.

J.M. avec AFP

Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie à environ 5,8
millions de consommateurs en France, vont légèrement baisser au 1er
février, après trois mois de hausse, a-t-on appris de source proche du
dossier.

Cette baisse sera "de moins de 1%", a précisé
cette source, confirmant une information du Figaro, qui affirme sur son
site Internet que ce repli sera de 0,6%.

Il s'agit de
la première baisse des tarifs réglementés du gaz, après trois mois
consécutifs de hausse, notamment une progression de 5% de la facture au
1er janvier du fait de la hausse d'une taxe et des coûts
d'approvisionnement d'Engie.

Les tarifs réglementés du
gaz sont révisés mensuellement, selon une formule qui prend en compte
notamment les prix du gaz sur le marché de gros et le cours du baril de
pétrole.

Depuis l'ouverture du marché de l'énergie à la
concurrence, les 10,6 millions de consommateurs français abonnés au gaz
ont le choix entre les tarifs réglementés de l'ancien monopole et les
prix de marché, proposés tant par Engie que par ses concurrents (EDF,
Direct Energie, Eni, Lampiris, etc.).

(END) Dow Jones Newswires

January 09, 2017 12:21 ET (17:21 GMT)

L'Agence des participations de l'Etat (APE) a
annoncé mardi avoir engagé la cession d'une participation de 3,7% au
capital d'Engie (ENGI.FR), une opération qui pourrait rapporter plus
d'un milliard d'euros à l'Etat français et aider au financement de la
filière nucléaire.

Cette cession de titres intervient
dans le cadre d'un placement institutionnel accéléré, est-il indiqué
dans un communiqué de l'APE diffusé par l'équipe de syndication de
Société Générale CIB. Le prix du placement s'inscrit à 11,37 euros par
action, soit une décote de 4,69% par rapport au dernier cours de clôture
(11,93 euros), d'après un autre document de Société Générale qui agit
en tant que teneur de livre avec Goldman Sachs.

La
vente de titres par l'Etat porte sur 90 millions d'actions Engie, ce qui
ferait ressortir un produit de cession de 1,02 milliard d'euros.

"Cette cession s'inscrit dans le cadre d'une politique de gestion
active des participations de l'Etat, qui doit permettre de préserver les
intérêts patrimoniaux et stratégiques de l'Etat", a indiqué l'APE. "Le
produit de la cession de ces titres [...] pourra servir à financer des
investissements de l'Etat actionnaire, notamment la refondation de la
filière nucléaire", a ajouté l'institution.

A l'issue
de la transaction, l'Etat demeurera le premier actionnaire d'Engie avec
une participation de 29,1% au capital et 32,9% des droits de vote.

-Blandine Hénault, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 53; blandine.henault@wsj.com ed: ECH - LBO

(END) Dow Jones Newswires

January 10, 2017 12:33 ET (17:33 GMT)

Publié le 11/01/2017 à 09h30

(Boursier.com) — Lanterne rouge du CAC40, le titre Engie recule de 3,3% à 11,53 euros ce mercredi en début de matinée après que l'Etat français a annoncé la cession de 100 millions d'actions,
soit 4,1% du capital de l'énergéticien, pour un montant de 1,14
milliard d'euros. Le placement des actions a été effectué auprès
d'investisseurs institutionnels sachant que, conformément à la
réglementation, 11,1 millions de titres supplémentaires (soit 0,5% du
capital) seront ultérieurement proposés aux salariés et anciens salariés
éligibles du groupe.

En Bourse, le titre Engie
s'ajuste donc logiquement sur le prix unitaire du placement, évalué à
11,40 euros. Ce cours matérialise une décote de 4,4% par rapport au
cours de clôture de la veille (11,93 euros), soit un discount assez
classique pour ce type d'opérations. L'énergéticien revient pour sa part
tout proche de ses planchers historiques, sur fond d'incertitudes
stratégiques, de faiblesse des prix de l'énergie et de rumeurs de
rapprochement avec Suez, démenties récemment par le groupe.

http://www.boursorama.com/actualites/la-baisse-du-...

Publié le 11/01/2017 à 15h21

(Boursier.com) — Engie
a signé un partenariat avec l'Aner, l'Agence Nationale des Energies
Renouvelables du Sénégal. Il porte sur l'accélération de développement
des énergies renouvelables dans le pays.

Le premier volet de cet
accord porte sur le développement de l'énergie solaire à destination des
particuliers en logements collectifs ou individuels. L'objectif visé
est d'étudier le déploiement, dans un premier temps, de ces solutions
auprès de 11.000 ménages de la ville de Dakar et de sa banlieue. Un
accent sera mis sur les panneaux solaires photovoltaïques pour la
production d'électricité et les chauffe-eaux solaires pour la production
d'eau chaude. L'Aner et Engie étudieront ensemble les solutions de
financement de ces équipements pour faciliter leur déploiement auprès
des clients.

Engie s'engage également dans cet accord à développer
des contrats de performances énergétiques (CPE) auprès des opérateurs
industriels et du secteur tertiaire des grandes agglomérations du
Sénégal. L'objectif est de réduire la consommation énergétique des sites
et de contribuer à l'équilibre du système électrique sénégalais. Engie
adaptera au Sénégal, le concept de CPE qu'il a déployé depuis de
nombreuses années sur l'ensemble de ses marchés de clients industriels
et grands tertiaires partout dans le monde.

Le dernier volet de
cet accord porte sur la participation d'Engie à un " cluster industriel "
pour promouvoir les énergies renouvelables, notamment via des actions
de formation professionnelle et d'un renforcement du tissu industriel
local.

Analyse Technique

11/01/2017 14:47

Engie CT : le risque baissier domine

Notre point pivot est sur 12,35.

Notre préférence : tant que 12,35 n'est pas dépassé nous sommes baissiers avec comme objectifs: 11,20 puis 10,20.

Scénario alternatif : au-dessus de 12,35, hausse probable vers 13,00 puis 13,50.

Commentaire : les indicateurs techniques journaliers sont baissiers et ne montrent pas de signe de retournement.

Supports et résistances court terme :
Résistance 3 : 13,5 **
Résistance 2 : 13 **
Résistance 1 : 12,35 **
Dernier : 11,495
Support 1 : 11,2 **
Support 2 : 10,2 **
Support 3 : 9,5 **

Publié le 12/01/2017 à 09h49

(Boursier.com) — Engie
va développer les énergies renouvelables au Sénégal, en association
avec l'ANER, l'organisme d'Etat en charge de cette compétence. Le
premier volet du programme porte sur le développement d'une offre
d'énergie solaire à destination des particuliers et des immeubles
d'habitation à Dakar et dans sa région. Engie va également proposer des
contrats de performance énergétique à des entreprises et participer à un
cluster dédié pour développer un écosystème dans le pays.
L'énergéticien est déjà présent dans le pays via le projet TER de la
capitale et à travers le projet de ferme solaire Senergy, qui doit
entrer en production cette année.

Engie vise à accompagner la
politique énergétique du Sénégal par son expérience technique et ses
capacités financières, en partenariat étroit avec les acteurs locaux, a commenté la directrice générale Isabelle Kocher.

Publié le 12/01/2017 à 10h02

(Boursier.com) — Engie
va assurer pendant 30 ans la délégation de service public du nouveau
réseau de chaleur à base de géothermie de la Plaine Rive Droite de
Bordeaux Métropole. Le projet vise à aller chercher les aquifères
profonds avec pour objectif couvrir 82% des besoins avec cette chaleur
naturelle, le solde étant obtenu avec du gaz naturel. Après obtention de
l'ensemble des autorisations administratives, la phase de travaux
dédiée au réseau de chaleur commencera. Les forages du doublet
géothermique, constitué d'un puits producteur et d'un puits de
réinjection, qui débuteront début 2019 et dureront 4 mois, seront
réalisés par Storengy, une filiale d'Engie. Une autre filiale, Cofely,
prendra en charge le réseau.

L'investissement représente 43
millions d'euros, notamment pour la centrale de production bâtie avec
des matériaux durables et les 25 km de réseau. Environ 28.000 logements
seront desservis.

La vente par l'Etat français d'un bloc de 4,1%
du capital d'Engie (ENGI.FR) constitue un signal plutôt négatif pour les
autres actionnaires du géant de l'énergie. D'autant qu'elle a été
réalisée malgré la faiblesse du cours en Bourse, l'action Engie
s'échangeant près de ses plus bas historiques.

Malheureusement pour les investisseurs, la cession par l'Etat d'un
nouveau bloc d'actions Engie ne peut être totalement exclue. Grâce au
mécanisme des droits de vote doubles, l'Etat peut encore réduire sa
participation dans le groupe de services aux collectivités tout en
gardant le contrôle de plus d'un tiers des droits de vote, comme la loi
l'exige.

Selon les calculs de Deutsche Bank, l'Etat
pourrait aisément vendre un nouveau bloc d'actions représentant entre 4%
et 5% des parts du groupe sans passer durablement en dessous du tiers
de ses droits de vote.

Après la vente de 4,1% d'Engie,
l'Etat français ne détient plus que 28,7% du capital du groupe.
L'opération a également réduit la part de ses droits de vote à 32,6%,
mais la loi Florange lui permettra rapidement de remonter à plus du
tiers, ainsi que l'a souligné l'Agence des Participations de l'Etat.

Les raisons pour lesquelles l'Etat pourrait céder d'autres titres
Engie afin de lever de nouveaux fonds sont connues et ne manquent pas.
Officiellement, le produit de 1,14 milliard d'euros tiré de la vente de
4,1% du capital doit contribuer à la "refondation de la filière
nucléaire française", actuellement mal en point. Mais d'une manière plus
générale, l'Etat français reste surendetté. Et les candidats à la
présidence de la République ne manquent pas de projets à financer.

Des perspectives à préciser

Certes, la cession par l'Etat de nouveaux titres Engie ne trahit pas
nécessairement pas une défiance vis-à-vis du groupe et de ses
perspectives. Après tout, l'Etat en reste le premier actionnaire de long
terme. En outre, il agit en partie sous la contrainte du calendrier,
pour refinancer Areva (AREVA.FR) et EDF (EDF.FR).

Cependant, l'Etat ne manque pas de participations à céder. Le fait qu'il
ait vendu l'action Engie à des plus bas historiques suggère qu'il
n'attend pas de rebond boursier à court terme. Après un exercice 2016
difficile, 2017 devrait constituer une nouvelle année de transition pour
le groupe, selon le consensus.

Si la vente par l'Etat
de titres Engie constitue un signal négatif pour la valeur, le relatif
succès du placement est quelque peu rassurant. Le nombre de titres Engie
cédé a été relevé de 90 millions initialement à 100 millions, en raison
d'une demande plus forte que prévu. Les investisseurs institutionnels
qui ont repris ces titres n'auront pas manqué d'observer que l'objectif
de cours moyen des analystes fait ressortir un potentiel d'appréciation
supérieur à 25%.

Encore faut-il que le titre dispose de
catalyseurs permettant à ce potentiel de se concrétiser. La publication
des résultats annuels d'Engie début mars devrait permettre au groupe de
préciser ses perspectives à court terme. Mais en attendant, les
investisseurs les plus prudents devraient se baser sur celles des
analystes, qui tablent sur une quasi-stagnation de l'activité et des
résultats cette année.

-Ambroise Ecorcheville, Dow Jones Newswires; 33 (0)1 40 17 17 71; ambroise.ecorcheville@wsj.com ed: VLV

(END) Dow Jones Newswires

January 12, 2017 09:00 ET (14:00 GMT)

ENGIE : Sous les résistances, une consolidation est probable

TEC le 16/01/2017 à 07:01

http://www.boursorama.com/actualites/engie-sous-les-resistances-une-consolidation-est-probable-c2d0e8b1ef76f09ce758593cc0e35528&via=Boursorama&related=boursorama">

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SYNTHESE

Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette
configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique
pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement
possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux
clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la
moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le mouvement haussier semble être arrêté. Le titre est sous sa moyenne
mobile à 50 jours située à 11.94 EUR. Le premier support est à 11.1
EUR, puis à 10.9 EUR et la résistance est à 12.27 EUR, puis à 12.47
EUR.

Dernier cours :11.67

Support :11.1 / 10.9

Resistance :12.27 / 12.47

Opinion court terme :negative

Opinion moyen terme :neutre

(CercleFinance.com) - Engie a rapporté ce lundi

après Bourse avoir signé un protocole d'accord préliminaire avec la

Société d'infrastructures gazières (SIG, détenue par CNP Assurances et

la Caisse des Dépôts) et GRTgaz. Celui-ci consacre la poursuite des

discussions pour déboucher in fine sur l'acquisition d'Elengy à 100% par

GRTgaz.

Elengy est une filiale exclusive d'Engie opérant des

terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL). De son côté, GRTgaz est un

gestionnaire de réseau de transport détenu à 75% par le géant

énergétique et à 25% par la SIG.

'Pour les actionnaires

respectifs de GRTgaz et d'Elengy, ce projet répond à la fois aux enjeux

européens en matière d'infrastructures gazières et aux attentes des

acteurs du marché. Il s'inscrit dans un contexte de consolidation des

infrastructures, essentiellement caractérisé par des acteurs de très

grande taille intégrant plusieurs métiers de la chaîne gazière,

terminaux GNL et transport en particulier', décrypte Engie.

L'acquisition

d'Elengy par GRTgaz, un projet qui sera soumis à la CRE (Commission de

régulation de l'énergie) et aux instances de gouvernance des sociétés

parties à l'opération, renforcerait la place de la France au coeur des

échanges mondiaux de GNL, en adossant à GRTgaz des actifs GNL de grande

qualité, soutenus par une régulation stable.

Elengy est le

deuxième plus grand opérateur européen de terminaux GNL, avec 3

terminaux, une capacité de regazéification de 21,25 milliards de mètres

cubes par an de gaz naturel, et compte 376 collaborateurs. GRTgaz est

pour sa part le deuxième plus grand opérateur européen de transport de

gaz, avec plus de 32.000 kilomètres de gazoducs et 3.000 collaborateurs.

Publié le 18/01/2017 à 06h34

(Boursier.com) — Les ambitions d'Engie
dans les énergies renouvelables passent par le Moyen-Orient. Le groupe
s'est positionné sur deux appels d'offres solaires en Arabie Saoudite, a
révélé le responsable régional Sébastien Arbola à Bloomberg lors d'une
interview. L'énergéticien va aussi participer à d'autres compétitions
dans le royaume ainsi qu'à Oman et Dubaï. Les pays du Golfe se sont
généralement imposés des objectifs élevés en matière d'énergies
renouvelables, mais ne se sont intéressés à la question qu'assez
récemment. Engie est très présent dans la zone, plus que présent même
puisque le groupe est le numéro un régional de la production électrique
privée, avec 28.6 GW de capacités installées fin 2015. Le groupe possède
des parts dans des centrales au gaz et de production d'eau en Arabie
Saoudite, à Bahreïn, au Qatar, dans les Émirats Arabes Unis, au Koweït
et à Oman. Le périmètre de ce qu'Engie appelle ses "sociétés projets" du
Moyen-Orient, soit une quarantaine de participations, correspondait en
2015 à un chiffre d'affaires de 3,86 milliards d'euros pour 605 ME de
bénéfice net.

Publié le 18/01/2017 à 07h01

(Boursier.com) — Plusieurs entreprises mondiales ont profité du
sommet de Davos pour créer une nouvelle organisation dédiée à
l'hydrogène, baptisée "Hydrogen Council", qui va militer pour le
développement de ce mode de production d'énergie. Quatre entreprises
françaises font partie des treize membres fondateurs : Total, Air Liquide, Alstom et Engie. Les nouveaux partenaires estiment investir ensemble environ 1,4 milliard d'euros par an à l'heure actuelle.

Le Conseil se compose, outre les quatre entreprises françaises, de BMW, Daimler, Honda, Hyundai Motor, Kawasaki, Royal Dutch Shell, Linde et Toyota. Les deux premiers co-présidents viennent d'Air Liquide et Toyota.

(CercleFinance.com) - Le groupe a de très importantes ambitions au
Moyen-Orient dans les énergies renouvelables. Avec une Ve/roc de 12, le
titre est largement à son prix.