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Engie Ex Gdf Suez (ENGI)

- 05/8/2015 16:52
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
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ENGIE EX GDF SUEZ



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1696 Réponses
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781 de 1696 - 27/2/2017 16:21
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Tendances analyse technique




Court TermeMoyen TermeLong Terme
TendanceNeutreBaissièreBaissière
Résistance11,812,313,3
Ecart / Rés.-3,0%-7,3%-14%
Ecart / Supp.5,1%5,1%3,2%
Support10,910,911,1
782 de 1696 - 28/2/2017 14:26
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1717 - Membre depuis: 24/6/2003

Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie à environ 5,8 millions de consommateurs en France, augmenteront de 2,63% en moyenne au 1er mars, a annoncé la Commission de régulation de l'énergie (CRE) mardi.




La hausse (hors taxes) sera de 2,7% pour les foyers se chauffant au
gaz, de 0,9% pour les consommateurs utilisant le gaz pour la cuisson, et de 1,7% pour ceux qui en ont un double usage cuisson et eau chaude.




"La hausse du mois de mars est due à l'augmentation du prix du gaz sur
le marché de gros des Pays-Bas et sur le marché du Nord de la France
(PEG Nord) par rapport au mois de février", a expliqué la CRE dans un
communiqué.



"La baisse marquée des températures en janvier a encouragé la consommation de gaz et l'utilisation des stocks, ce qui a entrainé une évolution à la hausse des prix européens", a-t-elle précisé.



Depuis le 1er janvier 2014, les tarifs réglementés du gaz ont toutefois baissé de 12,7% en moyenne.




Ces tarifs sont révisés mensuellement, selon une formule qui prend en
compte notamment les prix du gaz sur le marché de gros et le cours du
baril de pétrole.



Depuis l'ouverture du marché de
l'énergie à la concurrence, les 10,6 millions de consommateurs français
abonnés au gaz ont le choix entre les tarifs réglementés de l'ancien
monopole et les prix de marché, proposés tant par Engie que par ses
concurrents (EDF, Direct Energie, Eni, Lampiris, etc.).






(END) Dow Jones Newswires



February 28, 2017 07:39 ET (12:39 GMT)

783 de 1696 - 02/3/2017 09:13
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

(AOF) - Engie a accusé en 2016 une perte nette de 400 millions
d'euros après une perte de 4,6 milliards en 2015. Le producteur et
fournisseur de gaz et d'électricité a été une nouvelle fois pénalisé
par des dépréciations d'actifs liées aux prix de l'énergie en Europe.
Son résultat net récurrent part du groupe a par ailleurs reculé de 4,3% à
2,5 milliards d'euros. L'Ebitda a atteint 10,7 millions d'euros, en
baisse de 5,2%. En organique, le repli est de 2,7%. Le chiffre
d'affaires est ressorti à 66,6 milliards, en baisse de 4,6% (-4% en
organique). Ces chiffres sont conformes à "la guidance" 2016.

Engie
a indique que la génération de cash était restée très soutenue à 9,7
milliards d'euros permettant une poursuite de la réduction de la dette
nette.

Les programmes de rotation de portefeuille et
d'investissements atteignent respectivement 8 milliards d'euros de
cessions à ce jour soit plus de 50 % de l'objectif à fin 2018, et 4,7
milliards d'euros d'investissements de croissance en 2016.

Le
programme de performance " Lean 2018 " est en avance par rapport à sa
feuille de route 2016. Le groupe décide d'accélérer sa mise en œuvre en
révisant ses objectifs de 20 % à la hausse (1,2 milliard d'euros de
gains nets à horizon 2018).

En 2017, Engie prévoit un
résultat net récurrent part du groupe compris entre 2,4 et 2,6 milliards
d'euros qui marque une accélération de la croissance organique portée
par ses moteurs de croissance.

Au titre des résultats 2016,
confirmation d'un dividende de 1 euro par action en numéraire, et au
titre des résultats 2017 et 2018, d'un dividende de 0,70 euro par action
et par an en numéraire.

Isabelle Kocher, directeur général
d'Engie, a déclaré : " Nos résultats pour 2016 sont solides, en ligne
avec la guidance. Nous sommes en avance sur notre plan de transformation
à 3 ans. En un an, nous avons déjà signé plus de 50 % des cessions
prévues et identifié 75 % des investissements. Nous nous recentrons et
accélérons notre développement sur nos métiers cœur : la production
d'électricité bas carbone, les réseaux, principalement gaziers, et les
solutions intégrées pour nos clients. Ces métiers stratégiques que nous
maîtrisons parfaitement sont au cœur de la révolution énergétique et
présentent des potentiels de croissance importants".

"En
parallèle, nous développons de nouveaux moteurs de croissance en nous
appuyant sur l'innovation et le digital. Notre plan de performance “Lean
2018“ progresse également plus vite que prévu, nous conduisant à en
relever l'objectif de 20 %. Tous ces leviers nous permettent de
confirmer notre objectif pour 2018 : un groupe agile, moins carboné et
au profil dérisqué, pour devenir leader de la transition énergétique
dans le monde", a-t-elle complété.

784 de 1696 - 02/3/2017 09:22
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

Le géant de l'énergie Engie (ENGI.FR) a annoncé
jeudi l'acquisition au Royaume-Uni de Keepmoat Regeneration pour 330
millions de livres sterling, ou environ 390 millions d'euros, afin de se
renforcer dans la rénovation de bâtiments pour améliorer leur efficacité énergétique.



Keepmoat Regeneration génère un chiffre d'affaires annuel de 800 millions de livres sterling, ou environ 930 millions d'euros, et compte 2.500 employés, a indiqué le groupe français dans un communiqué.




La société britannique "dispose à ce jour d'un carnet de commandes
d'un montant total de 1 milliard de livres, ou environ 1,2 milliard
d'euros, et d'un portefeuille d'opportunités de projets de rénovation de 9 milliards de livres, soit environ 10,6 milliards d'euros, à travers le Royaume-Uni" a précisé l'ex-GDF Suez.



L'annonce du rachat de Keepmoat Regeneration intervient après qu'Engie a publié plus tôt dans la matinée ses résultats
annuels. Le groupe a réduit sa perte nette à 400 millions d'euros en
2016, contre un déficit de 4,6 milliards d'euros en 2015 en raison
notamment de dépréciations pour 6,8 milliards d'euros.





-Ambroise Ecorcheville, Agefi-Dow Jones; 01 41 27 47 90; aecorcheville@agefi.fr ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



March 02, 2017 02:32 ET (07:32 GMT)

785 de 1696 - 02/3/2017 09:38
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie reprend l'initiative après un exercice 2016 à oublier

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Engie reprend l'initiative après un exercice 2016 à oublier


Crédit photo © Reuters

FR0010208488



Publié le 02/03/2017 à 08h12,
mise à jour le 02/03/2017 à 09h27

(Boursier.com) — Engie
a publié des résultats 2016 médiocres, comme prévu. Le groupe va
renforcer son programme d'économies et guide sur des résultats 2017
plutôt supérieurs aux attentes. Le dividende, 1 euro au titre de 2016,
va reculer comme prévu par la suite. Le marché accueille positivement
les objectifs 2017. Il faut dire que le sentiment est si dégradé sur le
dossier que la moindre lueur d'espoir est exploitée. Mais cette fois, il
faut être honnête, une embellie semble se dessiner. La trajectoire
paraît conforme à ce que la directrice générale Isabelle Kocher avait
annoncé : un début de plan douloureux puis un horizon qui se dégage par
la suite. En bourse, le titre gagner près de 5% à 12,215 euros, dans de
gros volumes. Bryan Garnier a apprécié les prévisions et signale que le
prochain catalyseur pourrait être la vente de la division E&P. Voilà
qui tombe bien, puisque la directrice générale a confirmé ce matin des
négociations avancées en vue d'une cession, comme les dernières rumeurs
le laissaient entendre.

Résultats en berne...

PUBLICITÉ

L'énergéticien
a dégagé un chiffre d'affaires de 66,6 milliards d'euros au terme de
son exercice 2016, en baisse de -4%. L'EBITDA de la période, à 10,7
MdsE, recule de -2,7%, tandis que le résultat opérationnel courant
s'établit à 6,2 MdsE, en hausse de 1,6%. Toutes les variations sont
fournies en données organiques. Le résultat net récurrent part du groupe
est en retrait de -4,3% à 2,5 MdsE. Le cash-flow issu des opérations se
contracte légèrement à 9,7 MdsE, tandis que la dette nette a reculé de
près de 3 MdsE, à 24,8 MdsE, soit un ratio dette nette/EBITDA de 2,3
fois, en amélioration par rapport à 2,5 fois un an plus tôt. En novembre
dernier, Engie avait annoncé viser un bénéfice net récurrent dans le
bas de la fourchette annoncée précédemment, 2,4 à 2,7 MdsE, sur la base
d'une fourchette indicative d'Ebitda de 10,8 à 11,4 MdsE (là aussi
attendu en bas de prévision). Le consensus s'était repositionné à 10,757
MdsE d'EBITDA et 2,397 MdsE de bénéfice net.

... mais des promesses pour 2017

Cette année, le groupe prévoit un résultat net récurrent part du groupe compris entre 2,4 et 2,6 MdsE (2,37 MdsE au consensus), en forte croissance organique
sur la base d'un EBITDA de 10,7 à 11,3 MdsE (consensus 10,5 MdsE).
Après avoir versé un dividende de 1 euro au titre de 2016, il prévoit de
rémunérer ses actionnaires à hauteur de 0,70 euro au titre de 2017 puis
de 2018, comme prévu. Isabelle Kocher souligne que le plan stratégique
2018 progresse plus vite que prévu. Ses objectifs sont d'ailleurs
relevés de 20%. Les gains attendus sur l'EBITDA en 2018 passent de 1 à
1,2 MdE. A fin décembre 2016, ces gains représentaient 530 ME, soit
davantage que les 500 ME prévus initialement sur l'année.

786 de 1696 - 02/3/2017 11:00
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

PARIS (Reuters) - Engie est en discussions avancées avec un
acquéreur potentiel de ses activités d'exploration et production
(E&P) pétrolière et gazière, a annoncé jeudi sa directrice
financière Judith Hartmann.

Lors d'une conférence avec
les analystes financiers, elle a également indiqué qu'Engie était très
confiant dans sa capacité à atteindre 85% de son objectif de cessions
d'ici fin 2017.

Dans le cadre de ce plan de 15 milliards
d'euros pour la période 2016-2018, le groupe à déjà annoncé à ce jour
8,0 milliards de cessions, soit plus de 50% du programme.

La
directrice générale d'Engie Isabelle Kocher avait indiqué en septembre
2016 que la capacité du groupe à céder son pôle E&P pétrolière et
gazière dans de bonnes conditions s'améliorait avec le rebond des prix
du brut.

Engie a publié jeudi des résultats 2016
pénalisés par les prix de l'énergie en Europe mais vise une croissance
organique de ses performances cette année grâce aux premiers effets de
son plan de transformation et fait état de prévisions supérieures aux
attentes.

(Benjamin Mallet, édité par Dominique Rodriguez)

787 de 1696 - 02/3/2017 16:31
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie
a publié jeudi des résultats 2016 pénalisés par les prix de l'énergie
en Europe mais vise une croissance organique de ses performances cette
année grâce aux premiers effets de son plan de transformation et fait
état de prévisions supérieures aux attentes.

Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité,
également très présent dans les services énergétiques, a toutefois
précisé dans un communiqué que ses résultats pourraient stagner en 2017
en données brutes.

Engie vise cette année un résultat net récurrent part
du groupe compris entre 2,4 et 2,6 milliards d'euros qui repose sur une
estimation d'Ebitda de 10,7 à 11,3 milliards, des chiffres qui se
comparent à 2,2 et 10,1 milliards pour 2016 en données retraitées des
cessions et des taux de change.

Selon un consensus réalisé par Inquiry Financial pour
Reuters, les analystes attendaient en moyenne jusqu'ici un résultat net
récurrent de 2,4 milliards en 2017, avec un Ebitda de 10,7 milliards.

Engie a également souligné que, dans le cadre de son
plan de cessions de 15 milliards d'euros pour la période 2016-2018, il
avait à ce jour annoncé 8,0 milliards de cessions, soit plus de 50% du
programme.

Le groupe a aussi relevé son objectif d'économies de
20% et vise donc désormais 1,2 milliard d'euros de gains nets au niveau
de son Ebitda à horizon 2018.

"Nous sommes en avance sur toutes les dimensions du plan de transformation", a souligné lors d'une conférence téléphonique Isabelle Kocher,
la directrice générale, que des articles de presse disaient fragilisée
ces derniers mois en raison de la chute du cours de Bourse d'Engie.

Le marché salue ces annonces et le titre bondit en tête
de l'indice CAC 40 en début de séance à la Bourse de Paris, avec un
gain de 5%.

ENGIE VA TRAVAILLER À DES PARTENARIATS EN BELGIQUE

Evoquant les activités du groupe dans le nucléaire en Belgique, portées par Electrabel, Isabelle Kocher a rappelé qu'Engie envisageait d'y accueillir des partenaires, en particulier belges.

"Maintenant que la loi de prolongement (des centrales)
est votée, maintenant que la renégociation triennale des provisions est
faite, nous allons évidemment continuer à travailler sur ce sujet."

Engie, ex-GDF Suez, a enregistré pour 2016 un résultat
net récurrent part du groupe de 2,5 milliards d'euros (-4,3%), un Ebitda
de 10,7 milliards (-5,2% en brut, -2,7% en organique) et un chiffre
d'affaires de 66,6 milliards (-4,6% en brut, -4,0% en organique).

Selon le consensus, les analystes attendaient en
moyenne un résultat net récurrent de 2.448 millions d'euros, un Ebitda
de 10.871 millions et un chiffre d'affaires de 65.700 millions.

Les pertes de valeurs portent principalement sur des
activités de production d'électricité liées au prix de marché en Europe
(1,9 milliard d'euros) et proviennent aussi de la révision à la hausse
des provisions nucléaires en Belgique (1,0 milliard).

L'impact de ces dépréciations sur le résultat net part
du groupe s'élève à -3,8 milliards d'euros, entraînant une perte de 0,4
milliard après -4,6 milliards au titre de 2015.

DIVIDENDES CONFIRMÉS

Engie a en outre confirmé son intention de verser un
dividende de 0,70 euro par action et par an en numéraire au titre de
2017 et 2018 après celui de 1 euro par action (stable) proposé au titre
de 2016.

Interrogée sur l'évolution des effectifs du groupe, Isabelle Kocher
n'a pas fourni de chiffre global, rappelant seulement que ces effectifs
étaient en croissance dans certains métiers mais qu'ils baissaient dans
d'autres du fait des cessions et des restructurations - par exemple
dans l'exploration-production pétrolière et gazière.

Toujours dans le cadre de son plan 2016-2018, Engie
veut investir dans des activités peu émettrices de CO2, se recentrer sur
les réseaux (principalement gaziers) et proposer de nouvelles offres
intégrées, portant la part des activités régulées ou "contractées" à
plus de 85% de son Ebitda et réduisant ainsi son exposition aux prix des
matières premières et de l'énergie.

A fin 2016, cette part s'élevait déjà à 75%.

Engie a par ailleurs annoncé jeudi l'acquisition de
Keepmoat Regeneration, leader sur le marché britannique de la rénovation
énergétique des bâtiments, pour 330 millions de livres sterling
(environ 390 millions d'euros).

(Edité par Dominique Rodriguez)

par Benjamin Mallet

788 de 1696 - 02/3/2017 16:35
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

02/03/2017 | 08:54


Engie a accusé en
2016 une perte nette de 400 millions d'euros après une perte de 4,6
milliards en 2015. Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité a
été une nouvelle fois pénalisé par des dépréciations d'actifs liées
aux prix de l'énergie en Europe. Son résultat net récurrent part du
groupe a par ailleurs reculé de 4,3% à 2,5 milliards d'euros. L'Ebitda a
atteint 10,7 millions d'euros, en baisse de 5,2%. En organique, le
repli est de 2,7%. Le chiffre d'affaires est ressorti à 66,6 milliards,
en baisse de 4,6% (-4% en organique). Ces chiffres sont conformes à "la
guidance" 2016.

Engie a indique que la génération de cash était
restée très soutenue à 9,7 milliards d'euros permettant une poursuite de
la réduction de la dette nette.

Les programmes de rotation de
portefeuille et d'investissements atteignent respectivement 8 milliards
d'euros de cessions à ce jour soit plus de 50 % de l'objectif à fin
2018, et 4,7 milliards d'euros d'investissements de croissance en 2016.

Le
programme de performance " Lean 2018 " est en avance par rapport à sa
feuille de route 2016. Le groupe décide d'accélérer sa mise en œuvre en
révisant ses objectifs de 20 % à la hausse (1,2 milliard d'euros de
gains nets à horizon 2018).

En 2017, Engie prévoit un résultat
net récurrent part du groupe compris entre 2,4 et 2,6 milliards d'euros
qui marque une accélération de la croissance organique portée par ses
moteurs de croissance.

Au titre des résultats 2016, confirmation
d'un dividende de 1 euro par action en numéraire, et au titre des
résultats 2017 et 2018, d'un dividende de 0,70 euro par action et par an
en numéraire.

Isabelle Kocher, directeur général d'Engie, a
déclaré : " Nos résultats pour 2016 sont solides, en ligne avec la
guidance. Nous sommes en avance sur notre plan de transformation à 3
ans. En un an, nous avons déjà signé plus de 50 % des cessions prévues
et identifié 75 % des investissements. Nous nous recentrons et
accélérons notre développement sur nos métiers cœur : la production
d'électricité bas carbone, les réseaux, principalement gaziers, et les
solutions intégrées pour nos clients. Ces métiers stratégiques que nous
maîtrisons parfaitement sont au cœur de la révolution énergétique et
présentent des potentiels de croissance importants".

"En
parallèle, nous développons de nouveaux moteurs de croissance en nous
appuyant sur l'innovation et le digital. Notre plan de performance “Lean
2018“ progresse également plus vite que prévu, nous conduisant à en
relever l'objectif de 20 %. Tous ces leviers nous permettent de
confirmer notre objectif pour 2018 : un groupe agile, moins carboné et
au profil dérisqué, pour devenir leader de la transition énergétique
dans le monde", a-t-elle complété.

aof.gif

789 de 1696 - 02/3/2017 19:05
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le marché attendait le pire des résultats
d'Engie. Le bond de 8% de l'action jeudi donne la mesure de son
soulagement car la réponse à la première question qu'il se posait est
connue : Isabelle Kocher sait tenir ses engagements.




Malgré une perte nette, le directeur général a su démontrer que le plan
2016-2018 se déroule bien : plus de 50% des cessions annoncées sont déjà
réalisées dans de bonnes conditions,
permettant le retour à un endettement raisonnable. La rentabilité,
quoiqu'encore médiocre, se stabilise, en termes d'excédent brut
d'exploitation et de résultat récurrent. La chasse aux coûts fonctionne
au point que son objectif est relevé de 20%.



Par
ailleurs, les dépréciations d'actifs, qui pèsent encore pour près de 4
milliards, touchent à leur fin. Il était temps : à 30 milliards en cinq
ans, elles faisaient peser sur le groupe et son directeur général une
menace mortelle.



Celle-ci s'estompe du fait d'une embellie conjoncturelle - de bon augure pour le prix de l'électricité et la rentabilité des centrales - et du fait aussi d'une clarification des perspectives du nucléaire en Belgique.



D'où une probable remontée de la profitabilité, modeste du fait des restrictions de périmètre mais réelle.




Le chemin à parcourir pour sortir le cours du marasme reste long. Les
activités nouvelles sur lesquelles compte Engie devront générer des
cash-flows à la hauteur et justifier un dividende par action plus élevé que les maigriots 70 centimes annoncés.




Quant à savoir si la gouvernance du groupe sera stabilisée par ces
résultats encourageants, Isabelle Kocher peut aussi l'espérer. Encore
qu'il soit plus facile de redresser un géant industriel que de faire
taire les rumeurs à Paris !





-Philippe Mudry, Directeur des rédactions de L'Agefi ed: ECH





L'Agefi est propriétaire de l'agence Agefi-Dow Jones





(END) Dow Jones Newswires



March 02, 2017 12:25 ET (17:25 GMT)

790 de 1696 - 02/3/2017 19:15
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

Isabelle Kocher, DG d'Engie, annonce pour 2017 le retour à la croissance
(Crédits : GDF-Suez)

Malgré un résultat négatif, la directrice générale
Isabelle Kocher rassure les marchés en promettant pour 2017 le retour à
la croissance et à la rentabilité en se recentrant sur de nouveaux
métiers stratégiques.



Certes, l'ex GDF-Suez accuse une perte de 400 millions
d'euros sur son exercice 2016. Mais ce n'est rien en comparaison des 4,6
milliards de 2015. Le chiffre d'affaires s'est replié de 4,6%, à 66,6
milliards d'euros, tandis que la dette nette s'est améliorée à 24,8
milliards d'euros à fin 2016, en baisse de 2,9 milliards. L'excédent
brut d'exploitation (Ebitda) s'établit à 10,7 milliards, en baisse de
5,2% pour cause d'augmentation des provisions nucléaires en Belgique et
d'importantes dépréciations d'actifs de production d'électricité en
Europe liées à la baisse des prix. Surtout, avec un résultat net
récurrent de 2,5 milliards d'euros (-4,3%) hors éléments exceptionnels
conformes aux prévisions, et 2,2 milliards une fois retraité des effets
de change et des cessions de l'année écoulée, Isabelle Kocher, sa
directrice générale à la manœuvre depuis mai 2016, promet pour 2017 le
retour de la croissance. Elle annonce en effet pour l'an prochain un
résultat net récurrent entre 2,4 et 2,6 milliards d'euros et un excédent
brut d'exploitation (Ebitda) de 11,3 milliards.

Après avoir
boudé l'entreprise depuis de longs mois, inquiets notamment des rumeurs
de dissensions à sa tête, les marchés ont salué ces annonces en faisant
bondir le cours de Bourse, qui atteignait 12,58 euros à 17h, en hausse
de 8,05%.

Au-delà d'un premier exercice plutôt réussi pour la
seule femme à la tête d'une entreprise du CAC 40, ces résultats
constituent un signal positif quant à la faisabilité d'une transition
énergétique.

En effet, c'est en se recentrant sur la production
d'énergie décarbonée, les services énergétiques aval (qui ont vocation à
aider les clients à s'approprier cette transition, notamment en
développant des productions décentralisées et décarbonées) et les
infrastructures, essentiellement gazières, et de plus en plus,
électriques, que le groupe est en mesure de faire ces promesses.

Rotation accélérée du portefeuille

Si
ce sont les énergies les plus exposées aux prix des commodités (souvent
les plus carbonées) qui continuent d'affecter négativement les
résultats, ces actifs voient leur poids diminuer plus rapidement encore
que prévu dans le cadre du plan de transformation sur trois ans à
l'horizon 2018.

À cette date, Engie souhaite plafonner la part de
ses activités les plus exposées à 15% de son Ebitda, sachant qu'elle
est déjà passée de 50% à 25% fin 2016. Le plan de cession de 15
milliards sur trois ans est déjà réalisé à plus de 50% en un an, avec
l'hydroélectricité et le charbon américain, ainsi que les centrales à
charbon en Indonésie et en Inde. Des cessions qui se sont faites dans de
meilleures conditions qu'anticipées, ce qui a permis au passage au
groupe de créer de la valeur. Les activités d'exploration / production
d'hydrocarbures sont également à céder.

"En
réduisant l'exposition du groupe aux fluctuations des prix de l'énergie,
la réorientation de notre portefeuille a déjà permis d'améliorer notre
profil de risque", a indiqué Isabelle Kocher.

Croissance organique et acquisitions ciblées

Le produit des cessions déjà réalisées
(8 milliards d'euros) est ré-investi, notamment dans la construction de
centrales, « la meilleure façon de créer de la valeur en démontrant
notre savoir-faire », selon Isabelle Kocher.

L'énergéticien
dispose d'une enveloppe globale de 16 milliards d'euros à réinvestir en
trois ans dans ses métiers prioritaires, dont 4,7 milliards ont déjà été
dépensés en 2016. Le groupe privilégie les acquisitions ciblées
permettant soit de pénétrer de nouveaux marchés, soit de se renforcer
dans ses nouveaux métiers stratégiques. Après le fabricant allemand de
solaire à couches organiques Heliatek et le spécialiste de la modélisation 3D Siradel
en 2016, c'est l'acquisition du britannique Keepmoat, spécialiste des
services de rénovation énergétique pour les collectivités, qu'Isabelle
Kocher a officialisée ce 2 mars.

Les activités sur lesquelles le groupe mise désormais présentent un meilleur profil de rentabilité, de 7 à 8% contre 2 à 3% pour celles dont il se désengage.

«
Nous parlons bien de métiers et de solutions qui existent et sur
lesquels nous avons déjà des positions fortes », insiste Isabelle
Kocher. « Ces nouvelles activités représentent déjà 80% du résultat
opérationnel courant, et 100% du résultat net », précise-t-elle encore.

Energies décarbonées et transports

La
croissance de ces activités ne fait selon elle aucun doute car elles
correspondent à ce dont le monde a besoin pour prendre le virage de la
révolution énergétique. En parallèle, Engie travaille d'ores et déjà sur
des relais de croissance à 5 ou 10 ans
« qui nous permettront d'être de plus en plus innovants et d'être
perçus comme tels », souligne Isabelle Kocher. Une image indispensable
pour qui se veut un leader mondial de la transition énergétique.

Les
énergies renouvelables, où 2,4 gigawatts de nouvelles capacités, ont
été développées en 2016 (+22%) pour un investissement de 2,1 milliards
d'euros, représentent à fin 2016 22GW, soit 20% des capacités totales de
production du groupe.

Les solutions développées pour les villes et territoires,
qui prennent peu à peu le relais des Etats dans le mouvement de
décentralisation à l'œuvre en développant réseaux de chaleur, éclairage
public ou transports, ont vu leur nombre de projets doubler en 2016.

Parmi
les activités de services, le groupe se positionne également dans les
transports, avec le déploiement de 4.000 bornes de recharge pour
véhicules électriques aux Pays-Bas (dans le cadre de son programme
« Better mobility today ») ou encore l'ouverture d'une ligne de train
express régional entre Dakar et son aéroport.

Forte de ces
résultats, la patronne de l'ex GDF-Suez se dit plus que jamais confiante
dans la capacité du groupe à devenir un chef de fil de la « révolution
énergétique » qui se dessine de façon plus en plus claire et
irréversible, indépendamment des tendances affichées par certains
gouvernements.












Dominique Pialot


Dominique Pialot



@PIALOT1




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791 de 1696 - 03/3/2017 08:10
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002



Publié le 03/03/2017 à 07h28

(Boursier.com) — La branche services d'Engie
fait partie du consortium retenu par Infrastructure Ontario et le
Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) pour le projet de
redéveloppement CAMH Phase 1C, qui consiste à construire deux bâtiments
modernes à Toronto, sur Queen Street West, qui abriteront des services
psychiatriques. La construction devrait démarrer en fin d'année pour
s'achever au printemps 2020. Le contrat représente au total 685 millions
de dollars canadiens (environ 487 millions d'euros). La part d'Engie,
qui assurera ma mission de facility manager, n'a pas été communiquée.

792 de 1696 - 03/3/2017 11:24
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009



Publié le 03/03/2017 à 09h58

(Boursier.com) — L'objectif de cours moyen des analystes sur Engie
s'est déplacé de 13,76 à 14,09 euros, après la publication des
résultats 2016 et des perspectives 2017 de l'énergéticien. Après une
période d'actualité adverse, un point d'inflexion semble avoir été
atteint sur le dossier, avec un flux d'informations plus porteur, au
niveau des cessions, du plan stratégique et des objectifs. Parmi les
changements les plus en vue, Bank of America Merrill Lynch a été séduit
et relève sa recommandation à l'achat. Chez AlphaValue, Juan Rodriguez a
réitéré son avis à l'achat et son objectif de 14 euros, mais trouve que
les anticipations sont désormais mieux ancrées et que le profil plus
dynamique prôné par le management commence à pointer son nez.

L'action
Engie pourrait bien passer toute la semaine dans le vert. Elle
progresse de 1,6% ce matin après avoir bondi de 8,2% la veille. Pour
l'heure, l'action a gagné 14,1% sur la semaine, sa meilleure performance
depuis la semaine du lundi 13 octobre 2008, quand le titre (qui
s'appelait encore GDF Suez) avait repris 21%... mais après une chute de
-34% sur la semaine précédente, dans le sillage de rumeurs de régulation
autoritaire du marché belge, qui avaient fait plonger le dossier, alors
que la crise financière battait son plein.

793 de 1696 - 03/3/2017 15:09
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

03/03/2017 | 11:33

Oddo confirme son
opinion à l'Achat sur la valeur avec un objectif de cours de 14,10 E. '
Le titre se traite sur une décote 10% Vs DJ stoxx Utilities avant
ajustement du consensus ' estime le bureau d'analyses. ' Compte tenu de
l'évolution du mix vers des activités plus porteuses une prime serait
justifiée '.

Oddo estime que la publication des résultats 2016
est en ligne avec les attentes. Le groupe a réalisé un résultat net
récurrent part du groupe en repli de 4,3% à 2,5 milliards d'euros pour
2016, bénéficiant des effets de son programme de performance et du
redémarrage des centrales nucléaires belges, mais encore impacté par les
prix des commodités.

L'Ebitda du groupe énergétique s'établit à
10,7 milliards d'euros, en recul de 5,2% en brut et en décroissance
organique de 2,7%, mais la génération de cash soutenue à 9,7 milliards
d'euros permet une poursuite de la réduction de la dette nette.

'
La guidance 2017 est encourageante même en retraitant des effets de
périmètre négatifs liés à la cession attendue des activités E&P '
indique Oddo dans son étude du jour.

Engie prévoit en effet pour
2017 un résultat net récurrent part du groupe compris entre 2,4 et 2,6
milliards, en forte croissance organique. Cet objectif repose sur une
fourchette d'estimation d'Ebitda de 10,7 à 11,3 milliards, lui aussi en
forte croissance organique.

' Le groupe va profiter d'une
accélération des investissements sur la période 2017-18 qui se traduira
par une bonne résistance des résultats et un retour de la croissance des
BPA '.

794 de 1696 - 03/3/2017 15:16
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

cerclefinance-84x27_121550.gifhttp://l.yimg.com/os/651/2011/11/18/cerclefinance-84x27_121550.gif" alt="Cercle Finance">Cercle Financeil y a 1 heure 51 minutes

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(CercleFinance.com) - Un chemin de croix : c'est ce à quoi s'apparente le sort des actionnaires d'Engie (London: 0LD0.L - actualité)

qui ont eu le courage de le rester ces dernières années. Qu'on en juge :

encore supérieur à 40 euros durant l'été 2008, le cours du titre a

ensuite dégringolé jusqu'aux environs de dix euros début 2017. Mais sur

la semaine, après ses comptes annuels, l'action Engie affiche pour

l'heure la meilleure performance du CAC 40 : + 14,5 % !



Que

retenir des comptes annuels 2016 présentés le 2 mars ? Un moindre mal :

supérieure à 10% en données comparables au premier semestre, le

contraction du CA (Francfort: A0JC59 - actualité) annuel de l'énergéticien s'est finalement limitée à 4% sur l'année.



Toujours

en données organiques, le résultat opérationnel courant s'est permis le

luxe de prendre 1,6% à 6,2 milliard d'euros, même si le bénéfice net

récurrent (2,5 milliards d'euros, 2,2 milliards hors changes et

cessions) se tasse encore un peu (- 4,3%, en données publiées).



Notons

enfin qu'en tenant compte des exceptionnels négatifs, si le résultat

net part du groupe est resté dans le rouge en 2016 à hauteur de 415

millions, il atteignait - 4,6 milliards un an plus tôt.



Et

maintenant ? Si Gérard Mestrallet demeure président du conseil

d'administration, il a passé l'an dernier la direction générale de

l'ex-GDF Suez (Milan: 1GSZ.MI - actualité)

à Isabelle Kocher, qui s'est révélée active : avec huit milliards

d'euros de cessions annoncées, l'objectif 2018 est déjà atteint à plus

de 50% quand la mise en place d'économies se passe si bien que

l'objectif (2018 également) a été relevé de 20%, à 1,2 milliard d'euros.

De plus, le groupe devrait accélérer ses investissements dans les

segments plus dynamiques, comme les énergies renouvelables, qui

paraissent porteurs financièrement. Bref, il se passe clairement quelque

chose de nouveau chez Engie.



Enfin, les prévisions pour 2017,

portées par les effets combinés de la reprise des cours des matières

premières énergétiques et des économies, sont engageantes : le CA

devrait renouer cette année avec une 'forte' croissance organique,

prévoit la direction, et l'excédent brut d'exploitation devrait suivre.



Quid,

enfin, du dividende ? Stable à un euro au titre de 2016, il sera comme

prévu ramené à 0,70 euro au titre de 2017 comme 2018, un niveau plus

soutenable qui devrait rassurer, d'autant qu'il assure un rendement

(2017) toujours supérieur à 5%.



Oddo Securities salue d'ailleurs

?une 'guidance' 2017 encourageante?. Selon les analystes, 'le risque de

révision à la baisse du consensus nous semble nul pour le moment', un

bon point pour Engie après des années de disette. A l'achat, Oddo vise

14,1 euros.

795 de 1696 - 03/3/2017 16:51
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009





PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le
message d'un retour à une forte croissance organique d'Engie (ENGI.FR)
dès cette année est bien passé auprès du marché. Vendredi, l'action
Engie enregistre une cinquième séance consécutive de progression, bien
partie pour signer ainsi l'une des meilleures performances hebdomadaires de son histoire. En hausse de 1,07% à 12,74 euros, le titre s'est revalorisé de 13,5% en l'espace d'une semaine.



Alors que les comptes 2016 de l'ex-GDF Suez, publiés jeudi matin,
portent encore les stigmates de son exposition aux prix des matières
premières, l'argumentaire de la nouvelle directrice générale
sous-tendant l'objectif d'un retour dès cette année à une forte
croissance organique a fait mouche.



Nommée l'an dernier
seulement à la tête d'Engie, succédant à Gérard Mestrallet, Isabelle
Kocher peut se féliciter des progrès plus rapides que prévus accomplis
dans la mise en oeuvre du plan de transformation stratégique présenté
début 2016, qui vise à réduire à terme à moins de 15% la part du
résultat opérationnel réalisée dans les activités exposées aux prix des
matières premières. Une gageure, sachant que ces activités de production
dites "merchant" représentaient encore récemment la moitié des
résultats.





La moitié du programme de cessions est bouclée






La rotation du portefeuille a débuté sur un rythme enlevé, puisque la
moitié du programme de cessions d'actifs a été bouclé à fin 2016, soit
7,2 milliards d'euros de cessions (réduction de dette inclus) sur un
objectif de 15 milliards à fin 2018. Remarquablement, Engie a su tirer
un bon prix de ces opérations, générant 600 millions d'euros de
plus-values dans les comptes. Isabelle Kocher a indiqué lors d'une
conférence de presse que jusqu'à 85% du programme pourrait être achevé
dès la fin de cette année.



Au-delà du remaniement de son périmètre, Engie a pris de l'avance dans la mise en oeuvre du plan d'amélioration de sa performance,
baptisé Lean 2018, lequel visait initialement des économies récurrentes
représentant 1 milliard d'euros à horizon 2018. Le groupe est
finalement parvenu à dégager 530 millions d'euros dès la première année,
incitant la direction à relever de 20%, à 1,2 milliard d'euros,
l'objectif d'économies sur trois ans.



Si la diminution
des frais généraux a représenté environ le tiers des gains enregistrés
l'an dernier, la majorité provient d'améliorations de l'efficacité opérationnelle, telles qu'une réduction des accidents du travail et une progression du taux de satisfaction des clients.



Aux yeux d'Isabelle Kocher, ces réalisations démontrent à quel point les équipes d'Engie sont engagées "avec résolution,
rigueur, mais aussi avec enthousiasme" dans le programme de
transformation. "Nous sommes tous très motivés pour conserver l'avance
prise dans notre plan de marche", a-t-elle déclaré.





Des positions de leader



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dans ses moteurs de croissance






Pour la dirigeante, Engie a "l'immense chance" d'avoir d'ores et déjà
pris des positions de premier plan mondial sur les trois métiers devenus
ses principaux moteurs de croissance et qui offrent un meilleur profil
de risque : la production d'électricité peu émettrice de CO2, via le gaz
naturel et les énergies renouvelables, la gestion des infrastructures
(telles que les réseaux et les terminaux de stockage) et les solutions
aval, incluant évidemment la fourniture de gaz et d'électricité mais
également la gestion de réseaux thermiques et la rénovation de
bâtiments.



Dans ce dernier domaine, l'ambition d'Engie
est d'aider ses clients à s'approprier la révolution énergétique en
cours, à travers une gestion plus intelligente de l'énergie pour
s'adapter notamment au rythme par nature intermittent des capacités
renouvelables.





KeepMoat, une acquisition emblématique






L'acquisition de KeepMoat, annoncée cette semaine en parallèle de la
publication des résultats 2016, illustre la volonté de poursuivre
l'expansion dans des métiers à forte valeur ajoutée, non exposés à la
volatilité des prix
de l'énergie. KeepMoat est leader de la rénovation énergétique de
l'habitat en Grande-Bretagne, pays où des incitations fiscales ont
permis un décollage précoce de ce marché. Engie s'attend à ce que la
demande pour ce type de services progresse à terme un peu partout. Dans
le domaine des solutions clients, la rentabilité des capitaux engagés
s'élève à environ 11%, contre 9% en moyenne pour le groupe.




La patronne d'Engie peut légitimement se féliciter : nul doute que
l'opération reconquête est bien engagée. Reste que le titre vaut encore
moins que la moitié de son record historique de 2008, et qu'il affiche
encore un retard de 10% en un an face à un CAC 40 en hausse de 13%. La
marge de revalorisation est importante, et les efforts sont loin d'être
terminés.





-Guillaume Bayre, Agefi-Dow Jones ; 01 41 27 47 93; gbayre@agefi.fr ed: ECH





"Le Market Blog" est le blog économique et financier de l'agence Agefi-Dow Jones.





(END) Dow Jones Newswires



March 03, 2017 09:54 ET (14:54 GMT)

796 de 1696 - 03/3/2017 19:30
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

vente du call avec 45 % de gain




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strat_N.png
Analyse du 03/03/2017 | 17:26






L'équipe Zonebourse
vend le call T249S de la Société Générale à 0.67 EUR. Ce call avait été
acheté à 0.46 EUR, ce qui génère un gain de 45 %.

MnemoTypeStrikeBarrière Echéance
T249SCALL9.549.54 00/00/0000
Cours entréeCours de sortiePerformance
0.460.6745.00%

Voir le conseil associé


Engie S.A. : vente du call avec 45 % de gain


equipeZB_21.jpg

Patrick Rejaunier

© Zonebourse.com 2017

797 de 1696 - 06/3/2017 08:21
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002

ENGIE : Les résistances sont proches

TEC le 06/03/2017 à 07:40

0















http://www.boursorama.com/actualites/engie-les-resistances-sont-proches-4f59ea82b95f35b169555c7da2fa4ed4&via=Boursorama&related=boursorama">

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http://bour.so/n/4f59ea8&title=ENGIE+%3A+Les+r%C3%A9sistances+sont+proches&overview=ENGIE+%3A+Les+r%C3%A9sistances+sont+proches&urllanguage=fr&urlaffiliate=32003&encoding=UTF-8">viadeo.png

0f3274bb759e71151f2f173f15808602-627x440ENGIE : Les résistances sont proches

SYNTHESE


Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette
configuration confirme la bonne orientation du titre. Néanmoins, le RSI
se trouve dans la zone de surachat, on peut s'attendre à une correction
technique à court terme. De plus, les stochastiques sont très élevés, ce
qui confirme les risques en cas de retournement brutal. Les volumes
échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers
jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est en
phase de reprise technique. Il est au-dessus de sa moyenne mobile à 50
jours. Le support est à 10.93 EUR, puis à 10.47 EUR; la résistance est à
13.71 EUR, puis à 14.18 EUR.

Dernier cours :12.8

Support :10.93 / 10.47

Resistance :13.71 / 14.18

Opinion court terme :neutre

Opinion moyen terme :neutre

798 de 1696 - 08/3/2017 19:37
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

Engie : souscrira à l'augmentation de capital prévue pour l'acquisition de GE Water par Suez

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Engie : souscrira à l'augmentation de capital prévue pour l'acquisition de GE Water par Suez


Crédit photo © Reuters

FR0010208488



Publié le 08/03/2017 à 19h16

(Boursier.com) — Engie -premier actionnaire de Suez avec 32,6%- se félicite de l'acquisition par Suez
de GE Water & Process Technologies, filiale de GE spécialisée dans
le traitement de l'eau pour les industriels. "Je me réjouis de cette
opération qui permettra à Suez de renforcer ses positions sur le marché
des clients industriels et ouvre la voie à de nouvelles coopérations
entre nos deux groupes, en particulier aux Etats-Unis", déclare Isabelle
Kocher, Directeur Général d'Engie.

Engie souscrira à l'augmentation de capital prévue dans le cadre de cette transaction, à hauteur de sa participation dans Suez, soit environ 240 millions d'euros.

A

l'occasion de cette opération et afin d'approfondir leur coopération

industrielle et commerciale, Engie et Suez développeront de nouvelles

synergies. Ils mettront par ailleurs en place un dispositif de

collaboration renforcée, notamment dans les services aux industriels

799 de 1696 - 09/3/2017 11:44
The Grumpy Old Men Messages postés: 1142 - Membre depuis: 02/1/2007

Engie : UBS confiant sur le long terme

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Engie : UBS confiant sur le long terme



FR0010208488



Publié le 09/03/2017 à 11h13

(Boursier.com) — L'équipe d'analystes d'UBS a tiré des conclusions positives de la récente publication annuelle d'Engie.
En particulier, le broker a été agréablement surpris par la guidance
2017 (Ebitda dans une fourchette 10,7/11,3 MdsE et bénéfice net compris
entre 2,4 et 2,6 MdsE), nettement au-dessus des prévisions du consensus.
Après mise à jour de sa séquence bénéficiaire, UBS relève par
conséquent de 12 à 12,50 euros son objectif sur Engie,
tout en reconduisant son opinion "neutre". La prudence du bureau de
recherche s'explique par les tensions sur le bilan, déséquilibres qui ne
devraient pas disparaître de sitôt malgré les cessions d'actifs
projetées. En revanche, UBS est confiant sur l'histoire de
transformation qui devrait produire ses effets au-delà de 2018.

800 de 1696 - 09/3/2017 13:21
The Grumpy Old Men Messages postés: 1142 - Membre depuis: 02/1/2007

LONDRES (Reuters) - Engie a vendu ses activités de gaz de schiste en
Grande-Bretagne à Ineos, a annoncé jeudi le groupe pétrochimique suisse,
qui n'a pas dévoilé le montant de l'opération.

Ineos, qui a
largement investi pour développer ses activités de gaz de schiste
britanniques, a indiqué reprendre totalement le portefeuille de licences
du groupe français pour les explorations terrestres, soit 15 licences,
dont sept dans lesquelles il possédait déjà des participations.

Ineos,
qui a récemment ramené son siège social de Suisse vers la
Grande-Bretagne, veut investir un milliard de livres dans le gaz de
schiste pour alimenter son pôle pétrochimique.

A l'inverse, la
décision illustre le recentrage d'Engie sur les infrastructures
énergétiques, comme les gazoducs, et les services, après la forte baisse
qu'ont connu les cours pétroliers.

Le gouvernement britannique a
déclaré vouloir exploiter le sous-sol censé receler des réserves
conséquentes de gaz de schiste compenser la baisse de production de
pétrole et de gaz mer du Nord. Il en attend la création de quelque
64.000 emplois et un soutien à la croissance économique.

Mais le
développement a été ralenti en raison d'obstacles des autorités de
régulation et de l'opposition d'une partie de l'opinion publique qui
juge l'exploitation incompatible avec la lutte contre le changement
climatique et craint une contamination de la nappe phréatique.

L'action Engie gagnait 0,5% en Bourse de Paris vers 12h00 GMT, dont l'indice CAC-40 cédait 0,16% dans le même temps.

(Karolin Schaps, Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)

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