Engie Ex Gdf Suez (ENGI)
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05/8/2015 16:52
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sarkasm
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ENGIE EX GDF SUEZ
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14/2/2018 11:05
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sarkasm
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PARIS (Agefi-Dow Jones)--Jean-Pierre
Clamadieu prendra lors de l'assemblée générale du 18 mai la présidence
du conseil d'administration d'Engie, en remplacement de Gérard
Mestrallet, atteint par la limite d'âge. Soutenue par l'Etat, premier
actionnaire d'Engie, la nomination du directeur général de Solvay a été
approuvée mardi par le conseil d'administration qui a "pris la décision
de nommer président d'honneur Gérard Mestrallet en reconnaissance des 23
années qu'il a consacrées à la construction du groupe".
De son côté, le groupe de chimie belge a annoncé l'accélération de la succession de Jean-Pierre Clamadieu.
Si la succession de Gérard Mestrallet a créé des tensions avec sa
directrice générale, Isabelle Kocher, l'arrivée de Jean-Pierre Clamadieu
est bien perçue. Il "coche presque toutes les cases", approuvent les
analystes de Bryan Garnier : il connaît déjà Isabelle Kocher ; il est
proche du gouvernement belge, ce qui pourrait avantager les relations
entre la filiale belge du groupe et les autorités locales concernant
l'avenir des centrales nucléaires exploitées par Engie dans le pays ;
enfin, Jean-Pierre Clamadieu est un bon connaisseur des questions
énergétiques et relatives au développement durable et a orchestré chez
Solvay une transformation semblable à celle engagée par Isabelle Kocher
au sein d'Engie.
Mais sa nomination soulève des
questions. Opérationnel chez Solvay, Jean-Pierre Clamadieu se
contentera-t-il d'un siège non exécutif chez Engie ? Son arrivée
entrainera-t-elle une inflexion de stratégie ? Selon plusieurs
analystes, la question de la participation de 32% d'Engie au capital de
Suez finira notamment par se poser.
Gérard Mestrallet
aura 70 ans le 1er avril 2019 et, à moins d'une modification des statuts
de Suez, il sera ainsi frappé par la limite d'âge imposée au président
du conseil d'administration. Or, Gérard Mestrallet a toujours défendu
l'attelage des deux groupes, autrefois réunis sous un même toit. Les
analystes de Raymond James s'attendent à ce que "2019 ouvre une nouvelle
ère". Ceux de RBC estiment qu'Engie a intérêt à céder sa part,
"l'avertissement lancé par Suez en janvier ayant montré le risque de
détenir une participation importante dans une activité non stratégique".
Engie pourrrait ainsi redéployer les quelque 2,5
milliards d'euros qu'il récupérerait vers ses métiers prioritaires, les
énergies renouvelables et les services.
-Olivier Pinaud, L'Agefi ed: VLV
L'Agefi est propriétaire de l'agence Agefi-Dow Jones.
(END) Dow Jones Newswires
February 14, 2018 04:05 ET (09:05 GMT)
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14/2/2018 17:33
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waldron
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Engie cherche des acquisitions potentielles
publié le 14/02/2018 à 16h10
Crédit photo © Reuters
par Benjamin Mallet PARIS (Reuters) - Engie doit
identifier de nouveaux moteurs de croissance et s'interroger sur
l'opportunité de procéder à des acquisitions, a déclaré mercredi sur BFM
Business le futur président du conseil d'administration du groupe,
Jean-Pierre Clamadieu. Une source proche du conseil
d'administration d'Engie a par ailleurs déclaré à Reuters que le groupe
passait en revue des acquisitions potentielles d'envergure. Actuel
patron du groupe de chimie belge Solvay, Jean-Pierre Clamadieu a été
choisi mardi pour succéder en mai à Gérard Mestrallet à la présidence
non exécutive du groupe énergétique français, en pleine mutation, et
former ainsi un nouveau tandem avec la directrice générale Isabelle
Kocher. "Il faut maintenant qu'on construise l'avenir, qu'on
identifie les moteurs de croissance", a-t-il dit lors d'un entretien
accordé à BFM Business, précisant qu'il voyait cependant "beaucoup de
cohérence" dans la stratégie de cessions d'Engie et dans la priorité
donnée aux renouvelables et aux services. "Au travers des
contacts que j'ai pu avoir avec à la fois le conseil et l'actionnaire de
référence, en l'occurrence l'Etat, je pense que l'enjeu maintenant,
c'est le développement du groupe", a-t-il ajouté. "Comment est-ce
qu'on croît, est-ce qu'on a aujourd'hui une base suffisante pour
croître, est-ce qu'il faut imaginer de la croissance externe ? (...)
C'est la question qui est posée." Jean-Pierre Clamadieu a aussi
souligné qu'Isabelle Kocher restait "le patron opérationnel" d'Engie et
qu'il voulait former avec elle un "duo efficace" dans le cadre d'une
gouvernance "apaisée" - alors que la dirigeante souhaitait
officieusement obtenir la présidence du groupe en plus de ses fonctions
actuelles - après deux ans de rumeurs et de tensions avec Gérard
Mestrallet. Une source proche du conseil d'administration a
déclaré à Reuters qu'une "revue des grosses acquisitions possibles
(était) présentée au conseil tous les trois mois", au moment où le plan
de cessions de 15 milliards d'euros d'activités liées aux énergies
fossiles est en passe d'être bouclé. "UN TROU DANS LES RÉSULTATS" "Le
fait de céder des actifs du 'vieux monde' crée un trou dans les
résultats et ce ne sont pas les renouvelables qui vont le combler tout
de suite, donc Kocher cherche une acquisition", selon cette source. Un porte-parole d'Engie n'a pas souhaité commenter ces informations. Des
sources bancaires ont indiqué au début du mois qu'Engie - à l'instar de
Total - était pressenti pour se porter candidat au rachat du
spécialiste des renouvelables Eneco détenu par des municipalités
néerlandaises, qui pourrait être mis en vente d'ici à l'été et vaudrait
quelque 4 milliards d'euros. Avant même son plan de cessions actuel, Engie avait suivi une sévère cure d'amaigrissement. Entre
les exercices 2012 et 2016, son chiffre d'affaires est passé de 97
milliards à 66,6 milliards d'euros, son Ebitda de 17 milliards à 10,7
milliards et son résultat net récurrent part du groupe de 3,8 milliards à
2,5 milliards, tandis que son ratio endettement net sur Ebitda a baissé
de 2,58 à 2,32. Depuis début 2012, la capitalisation boursière
d'Engie a fondu de 40%, à quelque 30 milliards d'euros, et l'action a
plafonné autour de 15 euros depuis la nomination d'Isabelle Kocher au
poste de directrice générale, le 3 mai 2016. En
matière d'acquisitions, le scénario d'une alliance franco-allemande dans
le domaine de l'énergie entre Engie et RWE à travers Innogy, filiale
cotée du groupe allemand spécialisée dans la gestion des réseaux et les
énergies renouvelables, a semble-t-il été l'occasion d'une passe d'armes
l'an dernier entre Isabelle Kocher et Gérard Mestrallet. "CAMOUFLET" "Mestrallet
a vraiment poussé en faveur d'une opération et Kocher l'a vraiment
bloquée (...) Mestrallet et (Edmond) Alphandéry (président du comité de
la stratégie et des investissements) ont pris comme un camouflet qu'elle
balaie ce scénario d'un revers de la main", selon la source proche du
conseil. Au moment des rumeurs autour d'Innogy, Isabelle Kocher
faisait valoir il y a un an que son groupe devait avant tout mettre en
oeuvre son plan de transformation et qu'une opération d'envergure
n'était "pas du tout une priorité". L'ouverture d'une nouvelle
phase stratégique pourrait coïncider avec une réduction supplémentaire
du poids de l'Etat français au capital d'Engie (24,1% aujourd'hui) par
le biais d'un volet de la loi "Pacte" sur les entreprises qui
permettrait au gouvernement d'engager de nouvelles cessions des titres
Engie qu'il détient. A ce sujet, après avoir rencontré le ministre
de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire lundi matin, Jean-Pierre
Clamadieu a déclaré que le gouvernement s'exprimerait "au moment où il
le juge opportun", soulignant toutefois que l'Etat n'avait pas
nécessairement "vocation à être actionnaire de très long terme" d'Engie. (Edité par Dominique Rodriguez)
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15/2/2018 11:25
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sarkasm
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Membre depuis: 26/2/2009
(CercleFinance.com) - Jean-Pierre Clamadieu, futur président du conseil d'administration d'Engie, a donné hier quelques indications quant à la stratégie du groupe énergétique sur le plateau de BFM TV.
Au micro d'Hedwige Chevrillon, l'actuel patron du
chimiste Solvay a notamment déclaré qu'il s'était assuré de pouvoir constituer 'un duo efficace' avec Isabelle Kocher, la directrice générale (DG) d'Engie. Il a estimé que la dissociation de la présidence du conseil d'administration de la direction générale est 'une manière très efficace de gérer une gouvernance moderne'. L'exemple d'Axa, au conseil duquel siègent Mme Kocher comme M. Clamadieu, a été cité. Bref, ce dernier a joué la carte de 'l'apaisement' et de la 'sérénité' chez Engie.
M. Clamadieu a aussi brièvement commenté la stratégie du
groupe. Il pris acte de la politique récente de 'désinvestissement' d'Engie et de la concentration du groupe sur les énergies renouvelables et les services.
Mais 'l'enjeu, maintenant, c'est le
développement du groupe', a-t-il déclaré, ce qui pose des questions sur la croissance 'interne et externe'. M. Clamadieu a estimé que le conseil d'administration et la direction générale doivent co-construire ensemble 'les moyens de mettre en oeuvre cette stratégie'.
Un
analyste parisien commente ce matin: 'selon le récit effectué par la presse, notamment Le Monde, Isabelle Kocher était opposée à l'acquisition d'Innogy l'année dernière, ce qui s'avère un bon choix rétrospectivement au regard de la chute du titre ces derniers mois. Mais la DG serait néanmoins partie à la recherche d'une acquisition d'envergure', à en croire les agences de presse.
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16/2/2018 09:46
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grupo
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Membre depuis: 11/5/2004
Engie prépare son prochain plan d'actionnariat salarié
Anthony Bondain,
publié le 16/02/2018 à 06h28
Crédit photo © Reuters
(Boursier.com) — Engie
a lancé un plan mondial d'actionnariat salarié baptisé "Link 2018". Le
plafond de l'offre a été fixé à 35 millions d'actions, qui représentent
1,43% du capital. Les actions proviennent en majorité des titres
acquis auprès de l'Etat lors de ses derniers placements. Le prix de
référence retenu dépendra d'une moyenne pondérée des cours sur vingt
séances. Après une décote de 20 à 30%, il permettra de déterminer le
prix auquel seront proposées les actions. Le groupe a prévu que les deux prix soient fixés le 21 juin prochain. Les
salariés de 18 pays sont éligibles, dans les conditions classiques de
ce type d'opération. Plusieurs formules sont proposées. La période de
réservation est prévue du 30 avril au 22 mai prochain. Les bénéficiaires
qui n'auraient pas participé à l'offre pendant la période de
réservation pourront encore le faire durant la période de rétractation,
du 22 au 25 juin. La réalisation de l'offre est programmée pour le 2 août prochain.
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1105 de 1699
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16/2/2018 12:12
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grupo
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Membre depuis: 11/5/2004
Synthèse - La société présente une situation fondamentale intéressante dans une optique d'investissement à court terme.
Points forts - Le
titre évolue à proximité de son support long terme en données
hebdomadaires, situé à EUR 12.48, offrant ainsi un bon timing
d'intervention. - D'un point de vue graphique, le timing apparaît opportun à proximité du support des 12.5 EUR.
- Fondamentalement,
avec un ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de l'ordre
de 0.85 pour l'exercice en cours, la société apparaît faiblement
valorisée. - Avec un PER à 12.64 pour l'exercice en cours et 12.45
pour l'exercice 2018, les niveaux de valorisation du titre sont très
bon marché en termes de multiples de résultat. - La société fait partie des valeurs de rendement avec un dividende attendu relativement important.
- Les analystes sont positifs sur le titre. Le consensus moyen recommande l'achat ou la surpondération de la valeur.
- L'objectif
de cours moyen des analystes suivant la valeur est relativement éloigné
et suppose un potentiel d'appréciation important.
Points faibles - Les
perspectives de croissance du chiffre d'affaires de l'entreprise sont
très faibles pour les prochains exercices, d'après les estimations du
consensus Thomson-Reuters. - Le groupe présente un endettement relativement élevé rapporté à son EBITDA.
- Les
publications du groupe ont souvent déçu par le passé, avec des écarts
négatifs relativement importants par rapport aux attentes.
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16/2/2018 17:18
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Engie connecte au réseau sa 150e éolienne de Belgique à Meerhout
Trends Tendances
16/02/18 à 15:55 - Mise à jour à 15:54
Source: Belga
Le groupe
énergétique Engie a inauguré, vendredi à Meerhout (Anvers), sa 150e
éolienne en Belgique, indique Engie dans un communiqué. L'entreprise
dispose désormais de plus de 307 MW de capacité éolienne et plus de 621
KW de capacité verte.
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http://www.levif.be/s/r/c/800901&text=Engie%20connecte%20au%20r%C3%A9seau%20sa%20150e%20%C3%A9olienne%20de%20Belgique%20%C3%A0%20Meerhout&via=redacTendances" target="_blank" title="Partager sur Twitter">Partager sur Twitter
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© Belga La
première éolienne d'Engie a été installée en 2001 à Kasterlee. "Dix-sept
ans plus tard, ce ne sont pas moins de 150 éoliennes qui produisent
localement une énergie décarbonnée. En 2017, ces éoliennes ont produit
574 GWh, soit l'équivalent de la consommation de 164.000 familles
pendant un an et 261.830 tonnes de CO2 qui n'ont pas été émises dans
l'atmosphère", explique Engie. Le groupe table sur plus de 550 MW d'énergie éolienne d'ici 2020. Cette année, 80,5 MW vont compléter le parc éolien du fournisseur d'énergi
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19/2/2018 09:14
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Florenceorbis
Messages postés: 519 -
Membre depuis: 18/8/2017
ENGIE : Baissier mais survendu TEC le 19/02/2018 à 07:41
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http://www.boursorama.com/actualites/engie-baissier-mais-survendu-44c37f69b16a6149fd866004062193cc&via=Boursorama&related=boursorama">
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http://bour.so/n/44c37f6&title=ENGIE+%3A+Baissier+mais+survendu&overview=ENGIE+%3A+Baissier+mais+survendu&urllanguage=fr&urlaffiliate=32003&encoding=UTF-8"> ENGIE : Baissier mais survenduSYNTHESE
Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette
configuration dégrade les perspectives sur le titre. Mais attention le
RSI est survendu, ce qui laisse la possibilité d'une consolidation.
Inférieurs à 20, les stochastiques sont extrèmement bas. Les volumes
échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers
jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX Le titre est
orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à
14.12 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne
mobile à 50 jours. Notre premier support est à 11.39 EUR, puis à
10.72 EUR et la résistance est à 13.42 EUR, puis à 14.1 EUR. Dernier cours :12.65 Support :11.39 / 10.72 Resistance :13.42 / 14.1 Opinion court terme :neutre Opinion moyen terme :negative
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20/2/2018 15:59
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waldron
Messages postés: 9901 -
Membre depuis: 17/9/2002
La zone de soutien des 12.5 EUR actuellement testée par Engie pourrait faciliter un rebond, au moins technique. Les fondamentaux de la société militent d'ailleurs aussi pour ce scénario.
Fondamentalement, avec un ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de l'ordre 0.85 pour l'exercice en cours, la société apparaît faiblement valorisée compte tenu de la visibilité que lui procure son type d'activité. On notera néanmoins que les analystes ont revu légèrement à la baisse leurs prévisions de résultats. Avec un bénéfice par action pour l'exercice en cours estimé par le consensus à 0.99 EUR et 1.01 EUR pour l'exercice prochain, le titre se paye sur la base des cours actuels 12.73 et 12.51 fois les résultats.
Techniquement, le titre vient de subir une forte correction depuis plusieurs semaines. Cette dégradation des prix a entrainé l’action sur les 12.5 EUR, zone qui peut servir de socle pour un rebond technique significatif. La portée de cette configuration haussière se situe au niveau de 13.5 EUR, première résistance importante. Certes les moyennes mobiles restent encore dans une tendance baissière mais la survente des indicateurs peut favoriser un regain d’intérêt pour le titre.
On pourra donc se positionner acheteur dans la zone de cours actuelle, par l'intermédiaire du turbo call infini Société Générale K442S qui cote 1.54 EUR.
Ce produit dérivé dispose d'un niveau de financement à 9.67 EUR pour une barrière désactivante à 10.057 EUR.
On visera les 13.5 EUR voire 13.9 EUR par extension, soit des potentiels respectifs de l'ordre de 30% et 40%.
Le seuil d'invalidation théorique fixé initialement vers 12.1 EUR limitera le risque à 19%. Mnemo | Type | Strike | Barrière | Echéance | K442S | CALL | 9.67 | 10.057 |
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Cours | Obj. théorique | Risk théorique | 1.54 | 40% | -19% |
>> Retrouvez toutes nos Recommandations Warrants
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21/2/2018 10:25
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Grupo GuitarLumber
Messages postés: 1724 -
Membre depuis: 24/6/2003
(CercleFinance.com) - Filiale de l'énergéticien français outre-Atlantique, Engie North America a annoncé hier l'acquisition d'Infinity Renewables, qui développe des champs de fermes éoliennes dans la région. Le montant de l'opération n'a pas été précisé.
Basé
à Santa Barbara, en Californie, Infinity Renewables est doté d'un portefeuille d'actifs d'une capacité totale de 8.000 mégawatts (MW) 'à divers stades de développement'.
Depuis sa création, en 2008, la
cible a développé puis commercialisé 'près d'une douzaine de projets totalisant plus de 1.600 MW de capacité', indique Engie North America.
Engie entend conserver la totalité du personnel d'Infinity Renewables.
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1110 de 1699
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21/2/2018 11:06
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Grupo GuitarLumber
Messages postés: 1724 -
Membre depuis: 24/6/2003
La zone de soutien des 12.5 EUR actuellement testée par Engie pourrait faciliter un rebond, au moins technique. Les fondamentaux de la société militent d'ailleurs aussi pour ce scénario.
Fondamentalement, avec un ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de l'ordre 0.85 pour l'exercice en cours, la société apparaît faiblement valorisée compte tenu de la visibilité que lui procure son type d'activité. On notera néanmoins que les analystes ont revu légèrement à la baisse leurs prévisions de résultats. Avec un bénéfice par action pour l'exercice en cours estimé par le consensus à 0.99 EUR et 1.01 EUR pour l'exercice prochain, le titre se paye sur la base des cours actuels 12.73 et 12.51 fois les résultats.
Techniquement, le titre vient de subir une forte correction depuis plusieurs semaines. Cette dégradation des prix a entrainé l’action sur les 12.5 EUR, zone qui peut servir de socle pour un rebond technique significatif. La portée de cette configuration haussière se situe au niveau de 13.5 EUR, première résistance importante. Certes les moyennes mobiles restent encore dans une tendance baissière mais la survente des indicateurs peut favoriser un regain d’intérêt pour le titre.
On pourra donc se positionner acheteur dans la zone de cours actuelle, par l'intermédiaire du turbo call infini Société Générale K442S qui cote 1.54 EUR.
Ce produit dérivé dispose d'un niveau de financement à 9.67 EUR pour une barrière désactivante à 10.057 EUR.
On visera les 13.5 EUR voire 13.9 EUR par extension, soit des potentiels respectifs de l'ordre de 30% et 40%.
Le seuil d'invalidation théorique fixé initialement vers 12.1 EUR limitera le risque à 19%. Mnemo | Type | Strike | Barrière | Echéance | K442S | CALL | 9.67 | 10.057 |
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Cours | Obj. théorique | Risk théorique | 1.54 | 40% | -19% |
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25/2/2018 10:18
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The Grumpy Old Men
Messages postés: 1147 -
Membre depuis: 02/1/2007
- 08/03/2018 00:00 : Résultats annuels
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26/2/2018 08:58
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grupo
Messages postés: 1069 -
Membre depuis: 11/5/2004
ENGIE : Retour possible sur les supports TEC le 26/02/2018 à 08:27
http://www.boursorama.com/actualites/engie-retour-possible-sur-les-supports-70e575699ba3e6c43475a6dab01eeb75&via=Boursorama&related=boursorama">
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http://bour.so/n/70e5756&title=ENGIE+%3A+Retour+possible+sur+les+supports&overview=ENGIE+%3A+Retour+possible+sur+les+supports&urllanguage=fr&urlaffiliate=32003&encoding=UTF-8"> ENGIE : Retour possible sur les supportsSYNTHESE
Le MACD est négatif, mais il se situe au-dessus de sa ligne de signal :
la tendance est en train de changer. Maintenant, le MACD doit franchir
zéro pour que la hausse se poursuive dans les jours à venir.
L'indicateur principal de la force du mouvement (RSI) montre que la
situation technique est assez saine car il n'y a pas de surachat. Les
indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les
jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des
volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50
jours située à 13.91 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à
la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 12.01 EUR,
puis à 11.48 EUR et la résistance est à 13.57 EUR, puis à 14.09 EUR.
Dernier cours :12.98 Support :12.01 / 11.48 Resistance :13.57 / 14.09 Opinion court terme :positive Opinion moyen terme :negative
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1113 de 1699
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26/2/2018 16:27
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grupo
Messages postés: 1069 -
Membre depuis: 11/5/2004
26/02/2018 | 15:32 JPMorgan a relevé
sa recommandation de Neutre à Surpondérer, avec un objectif de cours
inchangé à 12,50 euros, sur Suez. Un mois après l'avertissement du
groupe, le bureau d'études estime que les anticipations des
investisseurs sur ses perspectives sont désormais plus prudentes. Par
ailleurs, les résultats de son concurrent Veolia ont confirmé la reprise
du marché français qui est de première importance pour Suez.
Le
broker anticipe en outre des catalyseurs favorables dans les semaines et
mois à venir : un important programme de restructurations qui serait
annoncé lors des résultats, la cession d'une participation minoritaire
dans United Water qui pourrait cristalliser de la valeur, voire même une
OPA d'Engie.
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02/3/2018 09:16
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waldron
Messages postés: 9901 -
Membre depuis: 17/9/2002
Un mariage Suez / Veolia détruirait de la valeur
Anthony Bondain,
publié le 02/03/2018 à 07h05
Crédit photo © Suez
(Boursier.com) — Un rapprochement entre Suez et Veolia détruirait beaucoup de valeur parce qu'il faudra vendre beaucoup d'actifs ,
a expliqué le patron de Suez, Jean-Louis Chaussade, dans un entretien
accordé hier à Bloomberg TV. Le fantasme d'un mariage entre les deux
géants français des services collectifs refait régulièrement surface.
Mais il ne fait aucun doute que compte tenu de leurs parts de marché
respectives en France, tout rapprochement semble voué aux foudres des
autorités antitrust. Un sentiment évidemment partagé par Chaussade, qui
n'est pas sûr que politiquement, notamment en Europe et en France, cela soit raisonnable . Le
dirigeant s'est aussi employé à minimiser la rumeur selon laquelle le
départ de Gérard Mestrallet de la présidence de son actionnaire
principal, Engie,
pourrait entraîner une modification des rapports entre les deux
sociétés. Il a expliqué que tout le monde est satisfait par la situation
actuelle, malgré la mauvaise passe traversée par son entreprise.
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02/3/2018 17:48
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waldron
Messages postés: 9901 -
Membre depuis: 17/9/2002
Engie : Bryan Garnier reste à 'achat', réduit sa cible 01/02/2018 | 13:25 Bryan Garnier réaffirme
sa recommandation 'achat' sur Engie et ajuste sa valeur intrinsèque
('fair value') de 16,5 à 16 euros, après l'avertissement sur résultat
lancé par Suez la semaine dernière.
L'intermédiaire financier
souligne que le groupe énergétique détient encore une participation
d'environ 33% dans Suez, ce dernier représentant environ 5% du résultat
net récurrent d'Engie dans ses estimations.
Bryan Garnier abaisse
ses prévisions d'EBITDA, EBIT et BPA de 0,5%, 0,9% et 1,7%
respectivement sur la période 2017-2020 et note que sa valorisation
'somme des parties' d'Engie comprend la valeur de marché de Suez, qui a
plongé sur les quelques derniers jours.
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05/3/2018 08:49
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grupo
Messages postés: 1069 -
Membre depuis: 11/5/2004
ENGIE : Un rebond est probable depuis les supports TEC le 05/03/2018 à 07:20
http://www.boursorama.com/actualites/engie-un-rebond-est-probable-depuis-les-supports-04e68a90f910a4dca3f61e713ca54dfe&via=Boursorama&related=boursorama">
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http://bour.so/n/04e68a9&title=ENGIE+%3A+Un+rebond+est+probable+depuis+les+supports&overview=ENGIE+%3A+Un+rebond+est+probable+depuis+les+supports&urllanguage=fr&urlaffiliate=32003&encoding=UTF-8"> ENGIE : Un rebond est probable depuis les supportsSYNTHESE
Le MACD est négatif, mais il se situe au-dessus de sa ligne de signal :
la tendance est en train de changer. Maintenant, le MACD doit franchir
zéro pour que la hausse se poursuive dans les jours à venir. Pour sa
part, le RSI est plutôt dans une zone de survente, ce qui ne milite pas
pour une baisse immédiate. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas
de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont
supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50
jours située à 13.73 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à
la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 12.02 EUR,
puis à 11.76 EUR et la résistance est à 13.54 EUR, puis à 14.05 EUR.
Dernier cours :12.27 Support :12.02 / 11.76 Resistance :13.54 / 14.05 Opinion court terme :positive Opinion moyen terme :negative
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05/3/2018 09:28
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grupo
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Engie SA : publication des résultats annuels 05/03/2018 | 08:45 L´entreprise publiera
ses résultats du FY 2017 le 08/03/2018. Au regard des dernières
publications, la société a souvent publié en deçà des attentes du
consensus. Au cours des derniers mois, les 18 analystes du consensus
Thomson Reuters ont revu leurs estimations du bénéfice net par action à
la baisse.
Un bénéfice net par action annuel de 0.99 EUR est
attendu pour 2017 (- 528.7% par rapport à 2016). Un tableau
récapitulatif des publications et des estimations annuelles est
disponible ci-après.
Publications annuelles | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 (e) | 2018 (e) | CA Millions € | Publié Prévision Ecart | 74 686 78 101 -4,4% | 69 883 72 304 -3,3% | 66 639 66 649 -0,01% | 64 036
| 64 020
| Résultat opérationnel (EBITDA) Millions € | Publié Prévision Ecart | 12 138 11 972 1,4% | 11 262 11 284 -0,20% | 10 689 10 756 -0,62% | 9 315
| 9 596
| Résultat d'exploitation (EBIT) Millions € | Publié Prévision Ecart | 7 161 6 966 2,8% | 6 326 6 271 0,88% | 6 172 6 134 0,63% | 5 466
| 5 640
| Résultat Avt. Impôt (EBT) Millions € | Publié Prévision Ecart | 4 698 5 295 -11% | -4 789 4 146 -215% | 1 072 4 469 -76% | 3 744
| 4 138
| Résultat net Millions € | Publié Prévision Ecart | 2 440 3 124 -22% | -4 617 1 213 -480% | -415 2 394 -117% | 2 379
| 2 458
| BNA € | Publié Prévision Ecart | 1,00 1,29 -22% | -1,99 0,93 -314% | -0,23 0,98 -123% | 0,99
| 1,01
| Date de publication | 26/02/2015 | 25/02/2016 | 02/03/2017 |
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05/3/2018 11:46
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grupo
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Engie Eur1 (EU:GSZ) Graphique Intraday de l'Action Aujourd'hui : Lundi 5 Mars 2018 PARIS (Agefi-Dow Jones)--Endel Engie, filiale du groupe Engie
(ENGI.FR) pour les services au nucléaire et la maintenance industrielle,
a annoncé lundi l'acquisition de la société française Eras, spécialisée
dans l'amélioration de la performance des sites de production et le
management des investissements industriels, pour un montant non précisé.
"L'ambition de ce rapprochement est de proposer une
gestion optimisée à chaque étape de la vie des actifs industriels, ainsi
que de réaliser des projets clefs en main. La complémentarité des
compétences en ingénierie de process d'Endel et d'Eras leur permettra
aussi de se développer sur des projets de plus grande taille et
d'accompagner encore davantage leurs clients à l'international", a fait
valoir Endel Engie dans un communiqué.
-Guillaume Bayre, Agefi-Dow Jones; 01 41 27 47 94; gbayre@agefi.fr ed: VLV
(END) Dow Jones Newswires
March 05, 2018 04:16 ET (09:16 GMT)
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05/3/2018 13:37
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waldron
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Total notifie à Bruxelles le rachat des activités GNL amont d'Engie
Anthony Bondain,
publié le 05/03/2018 à 12h30
Crédit photo © Total Media
(Boursier.com) — Total a notifié vendredi 2 mars à la Commission européenne son projet d'acquisition des activités GNL d'Engie.
L'antitrust a fixé au 11 avril la date butoir d'examen de la
concentration. La major pétrolière avait annoncé en novembre la
signature d'un accord en vue du rachat des activités GNL amont d'Engie
pour une valeur d'entreprise de 1,49 milliard de dollars. Le
portefeuille comprend des participations dans des usines de
liquéfaction, et notamment dans le projet Cameron LNG aux États- Unis,
des contrats d'achat et de vente à long terme de GNL, une flotte de
méthaniers ainsi que des droits de passage dans des terminaux de
regazéification en Europe. Des compléments de prix pouvant aller jusqu'à
550 M$ seraient versés par Total en cas d'amélioration des marchés
pétroliers dans les prochaines années. La finalisation de cette
transaction devrait avoir lieu mi-2018 et aura une date effective au 1er
janvier 2018. Environ 180 salariés seront repris par l'acquéreur. Total
deviendra le deuxième acteur du secteur parmi les majors avec 10% du
marché mondial.
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06/3/2018 08:09
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waldron
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Engie se renforce dans le solaire aux Etats-Unis avec SoCore
Anthony Bondain,
publié le 06/03/2018 à 06h27
Crédit photo © Reuters
(Boursier.com) — La filiale nord-américaine d'Engie
a renforcé ses positions dans le solaire en rachetant SoCore Energy,
une entreprise intégrée qui développe et opère des projets
photovoltaïques dans la sphère public-privé et dans privée. Les
modalités financières de la transaction n'ont pas été révélées dans le
communiqué. Le portefeuille de SoCore, une filiale d'Edison
International, comprend 150 MW de projets opérationnels ou prêts à être
achevés, 170 MW de projets à un stade avancé de développement et un
certain nombre de projets comprenant du stockage sur batteries. La
société basée à Chicago emploie 70 personnes. La consultante d'une firme
spécialisée citée par la publication américaine Greentech Media estime
que cette transaction permet à Engie de passer du 8ème au 5ème rang des
propriétaires d'actifs solaires aux Etats-Unis, sur la base des chiffres
du 4ème trimestre 2017.
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Dernier Message: 21/Déc/2024 23h38
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PARIS (Agefi-Dow Jones)--Jean-Pierre
Clamadieu prendra lors de l'assemblée générale du 18 mai la présidence
du conseil d'administration d'Engie, en remplacement de Gérard
Mestrallet, atteint par la limite d'âge. Soutenue par l'Etat, premier
actionnaire d'Engie, la nomination du directeur général de Solvay a été
approuvée mardi par le conseil d'administration qui a "pris la décision
de nommer président d'honneur Gérard Mestrallet en reconnaissance des 23
années qu'il a consacrées à la construction du groupe".
De son côté, le groupe de chimie belge a annoncé l'accélération de la succession de Jean-Pierre Clamadieu.
Si la succession de Gérard Mestrallet a créé des tensions avec sa
directrice générale, Isabelle Kocher, l'arrivée de Jean-Pierre Clamadieu
est bien perçue. Il "coche presque toutes les cases", approuvent les
analystes de Bryan Garnier : il connaît déjà Isabelle Kocher ; il est
proche du gouvernement belge, ce qui pourrait avantager les relations
entre la filiale belge du groupe et les autorités locales concernant
l'avenir des centrales nucléaires exploitées par Engie dans le pays ;
enfin, Jean-Pierre Clamadieu est un bon connaisseur des questions
énergétiques et relatives au développement durable et a orchestré chez
Solvay une transformation semblable à celle engagée par Isabelle Kocher
au sein d'Engie.
Mais sa nomination soulève des
questions. Opérationnel chez Solvay, Jean-Pierre Clamadieu se
contentera-t-il d'un siège non exécutif chez Engie ? Son arrivée
entrainera-t-elle une inflexion de stratégie ? Selon plusieurs
analystes, la question de la participation de 32% d'Engie au capital de
Suez finira notamment par se poser.
Gérard Mestrallet
aura 70 ans le 1er avril 2019 et, à moins d'une modification des statuts
de Suez, il sera ainsi frappé par la limite d'âge imposée au président
du conseil d'administration. Or, Gérard Mestrallet a toujours défendu
l'attelage des deux groupes, autrefois réunis sous un même toit. Les
analystes de Raymond James s'attendent à ce que "2019 ouvre une nouvelle
ère". Ceux de RBC estiment qu'Engie a intérêt à céder sa part,
"l'avertissement lancé par Suez en janvier ayant montré le risque de
détenir une participation importante dans une activité non stratégique".
Engie pourrrait ainsi redéployer les quelque 2,5
milliards d'euros qu'il récupérerait vers ses métiers prioritaires, les
énergies renouvelables et les services.
-Olivier Pinaud, L'Agefi ed: VLV
L'Agefi est propriétaire de l'agence Agefi-Dow Jones.
(END) Dow Jones Newswires
February 14, 2018 04:05 ET (09:05 GMT)