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Euro Dollar (EURUSD)

- Modifié le 17/9/2015 09:05
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Intraday Stock Chart: Euro vs United States DollarGraphiques historiques: Euro vs United States Dollar
Intraday Stock ChartGraphiques historiques

 


Les 1.29 ont stoppé la baisse. Il faut repasser au-dessus des 1.35 pour inverser la tendance.

 







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30 Réponses
1 
1 de 30 - 21/2/2013 20:20
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

USD+Spot.png



L'euro est en train d'aller chercher de l'appui sur les 1.31.
2 de 30 - 12/8/2015 17:11
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La décision surprise de la Banque de Chine visant à dévaluer le yuan face au dollar profite... à la monnaie européenne ! Les opérateurs estiment que cette mesure pourrait en effet retarder la première hausse des taux de la Fed, puisque les Etats-Unis risquent de voir leur compétitivité baisser avec l'appréciation du billet vert...

Au lendemain d'une dévaluation surprise de près de 2%, la banque centrale chinoise a de nouveau laissé filer le yuan mercredi, fixant le point médian de la bande de fluctuation de la devise sous le cours de clôture de la veille. En deux jours, la monnaie chinoise a ainsi perdu plus de 4%...

Le compromis entre Athènes et ses créanciers (FMI et institutions européennes) concernant le déblocage d'un troisième plan d'aide, évalué à 85 milliards d'euros, profite également à la devise unique.

Dans ce contexte, l'euro gagne 1% face au billet vert
3 de 30 - 18/8/2015 19:01
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
L'euro baissait face au dollar mardi, dans un marché sans grand élan ni volume du fait de la période estivale, la prudence restant de mise en l'absence d'indicateurs américains majeurs et de nature à permettre aux cambistes d'affiner leurs prévisions pour les taux américains.

Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris) mardi, la monnaie unique européenne valait 1,1027 dollar contre 1,1078 dollar lundi vers 21H00 GMT.
4 de 30 - 24/8/2015 19:47
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Journée historique en vue pour l''euro. La monnaie unique s'envole désormais de 2,7% face au billet vert à 1,1693 dollar entre banques, au plus haut depuis le début de l'année. Alors que les places boursières s'effondrent cet après-midi, la devise européenne bénéficie de ce net regain d'aversion au risque et des craintes entourant la croissance chinoise, et plus globalement mondiale. Ces inquiétudes renforcent en effet les doutes quant à un resserrement monétaire de la Fed dès le mois prochain.

"Le yen et l'euro bénéficient à la fois de l'aversion au risque sur les marchés émergents causée par la décision surprise de la Chine sur le yuan et de la baisse des attentes de hausse des taux de la Fed", indique à Bloomberg, Mansoor Mohi-Uddin, stratégiste marché chez Royal Bank of Scotland Group à Singapour.
5 de 30 - 04/9/2015 21:12
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Les incertitudes entourant la politique de la Réserve fédérale américaine ont profité vendredi à la devise européenne. L'euro, qui venait de céder plus de 1,5% en deux séances dans l'anticipation d'un renforcement des mesures d'assouplissement de la Banque centrale européenne, est reparti de l'avant vendredi après la publication de chiffres de l'emploi américains mitigés en août. En soirée, la monnaie européenne cotait 1,1155$, en hausse d'environ 0,3%.

La croissance du marché de l'emploi américain a ralenti en août, avec 173.000 créations d'emplois dans le secteur non agricole, au plus bas depuis 5 mois, après +245.000 (chiffre révisé en hausse) en juillet. Les économistes avaient tablé sur environ 220.000 créations d'emplois le mois dernier. En revanche, le taux de chômage a reculé, passant de 5,3% en juillet à 5,1% en août, alors que les économistes l'attendaient à 5,2%. Il s'agit du chiffre le plus faible depuis avril 2008.
6 de 30 - 10/9/2015 20:20
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
Le rebond de l'euro se poursuit, après avoir été initié vendredi dernier par la publication des chiffres de l'emploi américain en août. Jeudi en fin de journée, la devise européenne progressait de 0,56% à 1,1283$, ce qui portait sa progression à près de 1,5% en 5 séances.

L'annonce de créations d'emplois moins nombreuses que prévu le mois dernier aux Etats-Unis (173.000 au lieu des 220.000 attendues) a semé le doute sur un relèvement des taux directeurs de la Fed dès sa réunion des 16 et 17 septembre. Or, tout éloignement de l'échéance de hausse des taux affaiblit le dollar en le rendant moins attractif en termes de rémunération anticipée.

Les statistiques US publiées jeudi n'ont pas apporté d'éléments déterminants aux marchés. Le nombre de demandeurs d'emplois a reculé la semaine dernière, mais les prix à l'importation ont subi en août leur plus forte baisse depuis janvier, en baisse de 11,4% sur un an.

Une minorité d'investisseurs voit la Fed agir dès le 17 septembre

Les fluctuations du marché de l'emploi et le ralentissement économique observé en Chine, qui pourrait affecter les entreprises américaines, sont des facteurs qui pourraient inciter la Réserve fédérale temporiser, et à reporter le début de son cycle de resserrement monétaire, sans doute au mois de décembre.

Selon des données compilées par l'agence 'Bloomberg', les investisseurs ne sont ainsi plus que 30% à attendre une hausse des taux directeurs de la Fed dès la semaine prochaine, alors qu'ils étaient 48% avant que la Chine ne choque les marchés mondiaux en dévaluant unilatéralement sa monnaie le 11 août dernier. Ils sont en revanche 59% à s'attendre à une première hausse des taux en décembre.

Larry Summers demande à la Fed de s'abstenir

Mercredi, Lawrence Summers, ancien secrétaire américain au Trésor et ancien membre de la Fed, a appelé la banque centrale américaine à reporter le début de la hausse des taux. Dans une tribune publiée par le 'Washington Post', M. Summers estime que "les arguments en faveur d'un report sont encore plus solides que deux semaines plus tôt", lorsqu'il avait déjà plaidé pour la patience de la Fed.

Il considère que les marchés ont déjà produit une partie du durcissement monétaire par leur récente baisse, et par une hausse de l'écart entre les taux d'emprunt des émetteurs les plus solides et ceux de moins bonne qualité de crédit.

Le responsable américain estime en outre que les récentes statistiques macro-économiques mondiales ont fait refluer les risques inflationnistes, rendant moins urgent un resserrement de la politique monétaire américaine.

Les mouvements de taux de changes resteront donc à court terme essentiellement déterminés par les anticipations sur la politique monétaire américaine.

Cependant, à moyen terme, la perspective de normalisation de la politique monétaire américaine devrait soutenir le dollar, d'autant que la hausse des taux signifiera que les autorités monétaires ont confiance dans la solidité de la croissance américaine, ce qui constitue un autre facteur de soutien de leur monnaie.
7 de 30 - 16/9/2015 20:17
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
La devise européenne a connu une journée en dents de scie, mercredi, entamant la séance en recul, avant de s'orienter franchement à la hausse. En début de soirée, l'euro progressait de 0,45% à 1,1314$, après avoir cédé 0,6% sur les deux séances précédentes dans l'attente de la décision de la Fed sur ses taux directeurs, prévue jeudi soir.

Les prix à la consommation ont à peine progressé en août en Europe

La devise européenne a été chahutée par la publication de l'inflation en août en Europe, puis aux Etats-Unis. A 11H00, l'annonce par l'institut Eurostat d'une quasi-stagnation des prix en zone euro et dans l'Union européenne, a fait reculer l'euro jusqu'à 1,1214$.

Mais à 14H30, l'euro est reparti à la hausse après la publication d'une inflation négative aux Etats-Unis le mois dernier. Des deux côtés de l'Atlantique, on reste très loin des objectifs d'inflation officiels des banques centrales, à savoir un rythme annuel de 2%...

La BCE prête à accentuer son programme de rachat d'actifs

Dans la zone euro, le taux d'inflation s'est établi en deuxième lecture à 0,1% en août sur un an, après +0,2% en lecture initiale, et +0,2% en juillet. Dans l'ensemble de l'Union européenne, les prix à la consommation ont frôlé la baisse (0,00%), après +0,2% en juillet. Ces chiffres ont incité les marchés à anticiper de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la BCE afin de lutter contre le risque de déflation.

Pour contrer le spectre de la déflation et stimuler la croissance, la banque centrale européenne a lancé en mars dernier un vaste programme de rachat d'actifs, portant sur 60 milliards d'euros mensuels, y compris des obligations d'Etat. Une politique qui avait commencé à porter ses fruits, jusqu'à ce que la rechute des cours du pétrole, cet été, ne plombe à nouveau les prix.

Lors de la réunion de la BCE du 3 septembre, son président, Mario Draghi, a fait savoir que l'institut monétaire se tenait prêt à aller plus loin dans ce programme. Celui-ci dispose de "flexibilité concernant sa taille, sa composition et sa durée", a ainsi précisé M. Draghi. Le programme initial prévoit de racheter au total 1.140 MdsE d'actifs jusqu'en septembre 2016.

Les prix ont baissé aux Etats-Unis en août... La Fed en tiendra-t-elle compte ?

Aux Etats-Unis, où la Fed se réunit mercredi et jeudi, le phénomène déflationniste guette également l'économie. L'indice des prix à la consommation a ainsi reculé de 0,1% en août par rapport à juillet, sa première baisse depuis janvier. Sur un an, les prix ont augmenté de 0,2%.

L'inflation sous-jacente, qui exclut l'énergie et l'alimentation, n'a augmenté que très légèrement, de 0,1% sur un mois, et de 1,8% sur un an. Ces données ne plaident pas en faveur d'une hausse des taux rapide, et pourraient convaincre la Fed de ne pas relever ses taux, ce jeudi. Cette perspective a affaibli le dollar en deuxième partie de journée.

Comme les autres marchés, celui des devises se montre nerveux à l'approche de la décision de la Fed, qui semble divisée sur le calendrier de relèvement de ses taux directeurs, fixés proches de zéro (0,00% à 0,25%) depuis décembre 2008.

Certains indicateurs, dont l'amélioration du marché de l'emploi américain, plaident pour un début de normalisation monétaire. Mais d'autres indicateurs, notamment la faiblesse persistante de l'inflation, pointent davantage vers la poursuite d'une politique monétaire ultra-accommodante.
8 de 30 - Modifié le 17/9/2015 09:07
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Il faut surveiller les 1.13 puisque nous en sommes au troisième contact en peu de temps.
9 de 30 - 18/9/2015 08:22
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro s'est nettement apprécié, jeudi soir, après la décision de la Fed de ne pas relever ses taux directeurs. La devise européenne a bondi de 1,3% à New York, pour s'établir à 1,1431$ dans la nuit de jeudi à vendredi. Ce matin, il recule légèrement à 1,1412$. Le dollar a aussi reculé face aux autres devises, notamment le yen, le billet vert cédant 0,5% autour de 120 yen.

La veille, l'euro avait déjà gagné du terrain, les investisseurs estimant que les turbulences récentes sur les marchés mondiaux dissuaderaient la Fed d'agir dès cette semaine, compte tenu de la publication, mercredi d'un taux d'inflation négatif aux Etats-Unis en août (-0,1% par rapport à juillet).

Leurs voeux ont donc été exaucés, ce qui redonne à court terme une bonne dose d'attractivité à la devise européenne. A moyen terme, la progression de l'euro pourrait cependant être freinée par le ralentissement de l'inflation en Europe, qui pourrait pousser la BCE à accentuer son programme de rachat d'actifs pour lutter contre le retour d'un risque de déflation... De quoi encore alimenter une forte volatilité sur les marchés financiers.
10 de 30 - 21/9/2015 18:33
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
L'euro baissait face au dollar lundi, dans un marché sans grand élan, le billet vert se reprenant un peu après avoir souffert la semaine dernière du maintien en l'état de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).

Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1206 dollar, contre 1,1299 dollar vendredi vers 21H00 GMT.
11 de 30 - 22/9/2015 08:14
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro a commencé la semaine en nette baisse, tombant lundi sous le seuil de 1,12$, un nouveau recul d'environ 1%, après avoir déjà perdu plus de 1% vendredi, après qu'un membre de la BCE a évoqué un possible renforcement des mesures d'assouplissement de la banque centrale européenne.

Lundi en soirée, la devise européenne reculait de plus de 1%, à 1,1193$, les marchés ayant reçu cinq sur cinq le message de Benoît Coeuré, membre du conseil de la BCE, qui a rappelé vendredi que le niveau de l'euro est "au premier plan de notre tableau de bord". En cas d'euro trop fort, la BCE a la "capacité à agir, en modulant" son programme de rachat d'actifs, a-t-il prévenu, confirmant des propos déjà tenus par Mario Draghi, le 3 septembre dernier, lors de la conférence de rentrée de la BCE.

Goldman Sachs voit l'euro tomber près de la parité avant la fin de l'année

M. Coeuré a ainsi mis fin brutalement à une envolée de la devise européenne, qui avait profité de l'immobilisme de la Fed sur ses taux directeurs, le 17 septembre, pour monter jusqu'à 1,144$ après la décision de la Fed de ne pas relever ses taux. De nombreux cambistes estiment que la BCE veillera en tout état de case à ce que l'euro ne remonte pas au-dessus de la barre de 1,15$, un niveau qu'elle juge préjudiciable à l'économie européenne...

Lundi, le dollar a repris un peu du terrain perdu depuis le 17 septembre par rapport à un panier de monnaies mondiales, après que trois membres de la Fed ont affirmé pendant le week-end, qu'une hausse des taux avant la fin de l'année restait d'actualité, malgré les risques internationaux évoqués par Janet Yellen, la présidente de la banque centrale américaine.

De son côté, la banque d'affaires américaine Goldman Sachs vient de réitérer son opinion baissière sur l'euro, tablant sur des annonces prochaines de la BCE sur un accroissement de son "QE" (programme d'assouplissement quantitatif). Les stratégistes de GS indiquent, dans une note publiée pendant le week-end, que l'euro pourrait encore perdre près de 10% d'ici à la fin 2015, ce qui ramènerait la devise européenne tout près de la parité avec le dollar...

Vers une prolongation des achats de la BCE jusqu'à la fin 2016, voire la mi-2017 ?

En mars dernier, Goldman Sachs prévoyait déjà la parité euro/dollar à la fin 2015. Cette fois, GS ne donne pas de niveau précis, mais estime que l'euro peut encore perdre entre 6 et 10 cents d'ici à la fin décembre, ce qui le ramènerait dans une fourchette de 1,07$ à 1,03$, à un nouveau plus bas depuis début 2003. En mars, la monnaie unique européenne avait déjà chuté autour de 1,04$, au moment où la BCE donnait le coup d'envoi de son vaste programme de rachat d'actifs de 1.140 milliards d'euros sur 19 mois.

Désormais, de nombreux courtiers estiment donc que la BCE devra encore accroître ce programme, afin de stimuler l'activité économique et de lutter contre un nouvel accès de faiblesse de l'inflation intervenu depuis l'été. Pour Goldman Sachs, la BCE annoncera bientôt son intention de prolonger ses achats de 60 milliard d'euros par mois au-delà de la date initialement prévue de septembre 2016.

Ces achats devraient ainsi se poursuivre à ce niveau de 60 MdsE mensuels jusqu'à la fin 2016, puis être réduits progressivement au courant du premier semestre 2017, estiment les stratégistes de la banque.
12 de 30 - 23/9/2015 12:51
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
L'euro se stabilisait face au dollar mercredi, dans un marché prudent avant un discours du président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi, le billet vert restant soutenu de son côté par des attentes de resserrement américain avant la fin de l'année.

Vers 09H30 GMT (11H30 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1138 dollar, contre 1,1132 dollar mardi vers 21H00 GMT.
13 de 30 - 24/9/2015 07:01
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro a rebondi mercredi après avoir effectué une glissade de 2,5% en trois séances. Dans la soirée, la monnaie unique européenne regagnait 0,5% à 1,1185$, les cambistes préférant solder leurs positions baissières, après que le président de la BCE, Mario Draghi a semblé écarter une action rapide de la BCE pour accroître son programme de rachat d'actifs.
14 de 30 - 24/9/2015 18:42
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
L'euro gagnait du terrain face au dollar jeudi, aidé par un indicateur allemand encourageant, tandis que le billet vert souffrait de données décevantes aux États-Unis avant un discours de la présidente de la Réserve fédérale américaine (Fed).

Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1250 dollar, contre 1,1180 dollar mercredi vers 21H00 GMT.
15 de 30 - 25/9/2015 15:24
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro perd (-0,5%) à nouveau du terrain en cette fin de semaine face au billet vert, à 1,112$ entre banques. La monnaie de l'oncle Sam est soutenue par les propos de Janet Yellen hier soir. La présidente de la Fed a en effet confirmé que le comité de politique monétaire réfléchissait toujours à relever les taux en 2015 sous réserve que l'inflation reste stable et que l'économie des Etats-Unis reste suffisamment dynamique pour encore faire baisser le taux de chômage. S'exprimant une semaine après que la Fed a pris les investisseurs de court en ne relevant pas ses taux, elle a précisé que ni ses collègues ni elle ne pensaient que les récents développements économiques affecteront de manière significative la politique monétaire de l'institut d'émission.

Pour tenter de cerner un peu plus la date de la prochaine hausse des taux (les investisseurs étant partagés entre la réunion d'octobre et celle de décembre), les opérateurs scruteront de près les indicateurs économiques au programme cet après-midi outre-Atlantique. L'ultime évaluation du PIB du second trimestre (14h30 : consensus +3,7% en rythme annualisé), l'indice flash PMI des services (15h45 : consensus 55,6) et l'indice du sentiment des consommateurs américains selon l'Université du Michigan (16h00 : consensus 86,5) seront ainsi dévoilés.

"Yellen a prononcé un discours qui a confirmé le début de la normalisation en 2015, si la situation économique évolue comme la Fed l'anticipe", explique à Bloomberg, Sam Tuck, stratège devises senior chez ANZ Bank New Zealand à Auckland. Elle "était plus optimiste -ou hawkish- que le ton employé lors de la conférence de presse suivant la réunion du FOMC. La tendance de renforcement du dollar devrait continuer".
16 de 30 - 02/10/2015 15:33
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Si le CAC40 broie du noir après les chiffres pour le moins décevants de l'emploi mensuel américain, la monnaie unique grimpe nettement face au billet vert. L'euro avance actuellement de 0,80% à 1,1280$ entre banques, après avoir franchi les 1,13$ un peu plus tôt.

Les créations de postes non-agricoles aux Etats-Unis se sont établies au nombre de 142.000 en septembre, contre un consensus de 203.000 ! Si le taux chômage est ressorti stable, à 5,1%, les créations d'emplois pour les mois de juillet et d'août ont été révisées en nette baisse et le taux de participation est tombé à 62,4%, du jamais vu depuis octobre 1977. Autre mauvaise nouvelle, le salaire horaire moyen a reculé de 1 cent à 25,09$ quand le marché attendait une progression.

Une annonce qui réduit fortement les chances de voir la Fed augmenter ses taux avant la fin de l'année, tout du moins lors de la prochaine réunion prévue à la fin du mois. Selon les futurs, il n'y a désormais plus que 8% de chance de voir la réserve fédérale augmenter ses taux en octobre et seulement 30% en décembre.
17 de 30 - 21/10/2015 20:27
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
La paire euro-dollar faisait du surplace mercredi, les investisseurs choisissant par prudence de l'ignorer en attendant une réunion de la Banque centrale européenne, dont ils surveilleront plus les discours que les actes.

Vers 18H00 GMT (20H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1342 dollar contre 1,1346 dollar mardi vers 21H00 GMT.

La devise européenne se stabilisait également face à la monnaie nippone, à 135,97 yens, comme mardi soir.

Le dollar aussi retrouvait un niveau proche de l'équilibre face à la devise japonaise, à 119,88 yens contre 119,84 yens la veille.

"Il y a beaucoup de chances pour que la Banque centrale exprime son inquiétude pour l'économie de la zone euro, mais très peu de chance qu'elle mette en oeuvre des mesures supplémentaires d'assouplissement quantitatif" lors de sa réunion de jeudi, a résumé Kathy Lien, chez BK Asset Management.

"Nous pensons qu'elle ne peut pas continuer à ignorer bien longtemps la détérioration des statistiques allemandes", a-t-elle toutefois ajouté, pariant sur une baisse de l'euro vu la probabilité que la BCE se voie contrainte d'agir à court ou moyen terme.

"Tout accent accommodant que pourrait prendre (le président de la BCE Mario) Draghi demain serait interprété comme le signal qu'un assouplissement supplémentaire pourrait intervenir en décembre", a noté de son côté Omer Esiner, chez Commonwealth Foreign Exchange, tout en relevant qu'une telle orientation suscite "une forte résistance" jusque parmi les responsables de la BCE.

La banque centrale a en effet annoncé mardi que les conditions du crédit s'étaient améliorées au troisième trimestre en zone euro, avec une augmentation des demandes de crédit à la fois de la part des entreprises et des particuliers, ce qui ne plaide pas pour des mesures d'urgence.

L'institution a engagé en mars un vaste programme de rachats d'actifs, à hauteur de 60 milliards d'euros par mois, qui a pour but de relancer l'inflation et de soutenir l'économie, mais a pour effet collatéral de diluer la valeur de la monnaie unique européenne.

Du côté du dollar, l'absence de nouvelles statistiques "n'aide pas à clarifier les prévisions troubles sur la politique" que va adopter la Réserve fédérale, dont le comité de politique monétaire se réunit dans une semaine, a noté Omer Esiner.

"A plus long terme nous prévoyons que le dollar va se renforcer quand la Fed s'approchera d'un inflexion moins accommodante de sa politique, alors que les autres grandes banques centrales restent orientées vers un assouplissement", a noté pour sa part Erik Nelson, chez Wells Fargo.

"Le dollar n'a peut-être pas encore atteint un plus bas" car "comme les attentes d'une hausse de taux sont reportées au premier trimestre 2016 et même peut-être plus tard, le dollar risque de nouvelles périodes de faiblesse", estimait en revanche Jameel Ahmad, analyste chez FXTM.

Vers 18H00 GMT, la livre britannique repartait en petite baisse face à la monnaie unique européenne, à 73,55 pence pour un euro, comme face au dollar, à 1,5422 dollar pour une livre.

La devise suisse baissait face à l'euro, à 1,0865 franc suisse pour un euro, comme face au billet vert, à 0,9579 franc suisse pour un dollar.

La devise chinoise a terminé à 6,3491 yuans pour un dollar, contre 6,3485 yuans la veille.

L'once d'or a fini à 1.167,10 dollars au fixing du soir, contre 1.177,75 dollars mardi.
18 de 30 - 19/11/2015 20:30
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Paradoxe... Alors que l'euro venait de perdre plus de 6% en un mois, il s'est offert jeudi un vif rebond, alors même que la perspective d'une hausse des taux directeurs américains - son principal facteur d'affaiblissement - se confirme chaque jour davantage.

Après être retombée au plus bas depuis 7 mois, mardi, dans le sillage des attentats de Paris, la devise européenne s'est redressée au-dessus de 1,07$, à 1,0730$, en hausse de 0,7%. En début de semaine pourtant, les analystes se bousculaient pour anticiper la chute de l'euro jusqu'à la parité de 1 pour 1 avec le dollar, et ce avant la fin de l'année. Mercredi, la banque Invesco a aussi rejoint le groupe de ceux (Goldman Sachs, Nomura...) qui voient la parité arriver avant la fin de l'année.

La hausse des taux de la Fed devrait être moins rapide que prévu

Des cambistes évoquaient jeudi le dénouement de positions vendeuses sur l'euro, après la publication mercredi des Minutes de la dernière réunion de la Fed américaine. Le compte-rendu de la réunion des 27 et 28 octobre a ainsi confirmé qu'une majorité de membres du conseil de politique monétaire de la Fed s'est prononcée pour une première hausse des taux dès décembre... La Fed estime que l'économie américaine désormais est assez forte pour supporter des taux un peu plus élevés.

Pour autant, le compte-rendu a aussi laissé entendre, entre les lignes, que la normalisation de la politique monétaire de la Fed sera sans doute très progressive, en raison des risques qui pèsent encore sur la croissance mondiale en 2016, notamment en Chine. Or, une hausse plus graduelle que prévue des taux de la Fed entraînerait une appréciation du dollar moins forte que celle anticipée jusqu'ici par les cambistes.

La BCE détient au moins autant que la Fed la clé de l'évolution de l'euro

Avant la prochaine réunion de la Fed, les 15 et 16 décembre prochain, ce sera toutefois la BCE qui pourrait décider du sort de l'euro, lors de sa réunion du 3 décembre. En effet, si la banque centrale européenne annonçait à cette occasion de nouvelles mesures d'assouplissement, cela contribuerait à un affaiblissement de l'euro.

Les marchés misent sur un nouvel abaissement du taux de dépôt de la BCE, pourtant déjà négatif, à -0,2%. Ils attendent aussi que la BCE muscle son programme de rachat d'actifs mené depuis mars, via un allongement du programme au-delà de septembre 2016, et/ou via une augmentation du montant des actifs achetés (60 MdsE par mois actuellement). Tout renforcement du "QE" européen pèserait sur le cours de l'euro, ce qui est d'ailleurs un des effets recherchés par la BCE afin de soutenir l'économie européenne et lutter contre les risques de déflation.

En attendant, ce jeudi, les Bourses européenne, qui avaient ouvert en vive hausse, ont nettement réduit leurs gains en fin de séance, mises à mal par le rebond de l'euro face au dollar. Le CAC 40 a ainsi gagné 0,17% à la clôture, après avoir progressé de 1,1% en matinée.
19 de 30 - 27/11/2015 20:53
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
La devise européenne a terminé la semaine en légère baisse vendredi, les cambistes tablant chaque jour davantage sur l'annonce de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la BCE, lors de sa réunion de la semaine prochaine.

Vendredi soir, l'euro s'accrochait au seuil de 1,06$ (-0,04%), au plus bas depuis plus de 7 mois, après avoir passé l'essentiel de la journée sous ce seuil. Sur la semaine, l'euro a reculé de l'ordre de 0,5%. Il abandonne près de 7% depuis la mi-octobre, et plus de 12% depuis le début de l'année, où il évoluait autour de 1,20$. En mars dernier, l'euro avait frôlé la parité de 1 euro pour 1 dollar, au moment où la Banque centrale européenne avait lancé son programme de rachat d'actifs de 60 milliards d'euros par mois. Ce programme n'a pour l'instant que partiellement atteint son but, à savoir lutter contre les risques de déflation et relancer la croissance de la zone euro grâce à un euro faible, qui stimule les exportations.

La parité une nouvelle fois à portée de main?

L'actualité de ces dernières semaines a incité les investisseurs à anticiper de nouvelles annonces fortes de la part de la BCE, qui se réunira jeudi prochain, le 3 décembre. La faiblesse de l'inflation dans la zone euro, la probable remontée des taux directeurs américains en décembre, le ralentissement des pays émergents et enfin, les attentats de Paris et leurs possibles conséquences sur la croissance européenne, sont autant de facteurs qui devraient inciter la BCE à muscler son programme d'assouplissement quantitatif ("QE").

Dans ces conditions d'afflux de liquidités, l'euro serait donc appelé à poursuivre la glissade, selon les experts, dont certains prévoient la parité avec le dollar dans les prochaines semaines...

Vers un taux de dépôt négatif, à double détente ?

Le 3 décembre, les analystes s'attendent notamment à une nouvelle baisse du taux de facilité de dépôt de la BCE, qui s'applique aux réserves excédentaires déposées par les banques auprès de la BCE. Déjà négatif, à -0,2%, ce taux pourrait encore être abaissé pour inciter les banques européenne à accroître le crédit plutôt que de placer leurs réserves, à perte, dans les coffres de la BCE.

Les dernières informations en provenance de Francfort laissent penser que la BCE pourrait adopter un taux de dépôt à deux étages. Ainsi, selon des informations relayées par 'Reuters', la nouvelle baisse (peut-être à -0,4% ou -0,5%) ne serait appliquée qu'au-delà d'un certain montant déposé, afin de ne pénaliser que les banques qui déposent de gros excédents à la banque centrale.

La mesure toucherait dans ce cas en priorité les banques du coeur de la zone euro, à commencer par les banques allemandes, selon une étude de la banque RBS. Le principal avantage d'un système dual (qui existe déjà au Danemark et en Suisse), est qu'il aurait "un impact limité sur les profits des banques tout en tirant les taux d'intérêt de court terme encore plus bas", estiment de leur côté les spécialistes de la banque Natixis.

Les membres de la BCE encore divisés sur un coup de pouce au "QE"?

Les spéculations des marchés sont également très élevées concernant un renforcement du programme de rachat d'actifs de la BCE mis en place depuis mars dernier. La banque centrale pourrait ainsi relever les montants mensuels acquis (60 MdsE actuellement) et/ou allonger la durée de son programme, prévu pour l'instant pour durer jusqu'en septembre 2016.

Les Minutes de la dernière réunion de la BCE, publiées le 19 novembre, ont cependant montré que les membres du conseil de la BCE restaient divisés sur l'opportunité de muscler le programme de "QE". Cette révélation avait entraîné un rebond temporaire de l'euro.
Dès le lendemain, 20 novembre, le président de la Fed Mario Draghi avait cependant réaffirmé la volonté de la BCE d'assouplir encore sa politique monétaire. "Si nous estimons que la trajectoire de notre politique n'est pas suffisante pour atteindre notre objectif, nous ferons ce que nous devons pour faire remonter l'inflation aussi vite que possible", avait affirmé le patron de la BCE.

Face aux attentes très fortes des marchés financiers, "Super Mario" devra donc une nouvelle fois manoeuvrer finement pour ne pas décevoir les investisseurs jeudi prochain...
20 de 30 - 30/11/2015 19:27
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L'euro a signé en novembre sa plus forte baisse mensuelle depuis le mois de mars, lorsqu'il avait frôlé la parité de 1 euro pour 1 dollar. Lundi soir, la devise européenne cotait 1,0563$ dans les échanges interbancaires à New York (-0,3% par rapport à vendredi), ce qui porte son recul à 4% sur le mois de novembre et à 12,7% depuis le 1er janvier.

Plus que jamais, les marchés tablent sur l'annonce de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la BCE, lors de sa réunion de ce jeudi 3 décembre. Dans le même temps, ils anticipent une hausse des taux de la Réserve fédérale américaine, le 16 décembre prochain. Cette divergence de politique monétaire justifie le grand écart entre l'euro et le dollar, et pourrait envoyer l'euro vers la parité avec le billet vert, sauf si le président de la BCE, Mario Draghi, décevait les marchés jeudi.

Vers un taux de dépôt négatif, à double détente ?

Les attentes sont en effet si fortes envers le BCE que certains experts doutent que "Super Mario" puisse les satisfaire totalement...

D'une part, les analystes tablent sur une nouvelle baisse du taux de facilité de dépôt de la BCE, qui s'applique aux réserves excédentaires déposées par les banques auprès de la BCE. Déjà négatif, à -0,2%, ce taux pourrait encore être abaissé (peut-être à -0,4%) pour inciter les banques européenne à accroître le crédit plutôt que de placer leurs réserves, à perte, dans les coffres de la BCE.

Les dernières informations en provenance de Francfort laissent penser que la BCE pourrait adopter un taux de dépôt à deux étages. Ainsi, selon des informations relayées par 'Reuters', la nouvelle baisse ne serait appliquée qu'au-delà d'un certain montant déposé, afin de ne pénaliser que les banques qui déposent de gros excédents à la banque centrale.

Le programme de rachat d'actifs sera-t-il musclé ?

D'autre part, les opérateurs anticipent un renforcement du programme de rachat d'actifs de la BCE mis en place depuis mars dernier. La banque centrale pourrait ainsi relever les montants mensuels acquis (60 milliards d'euros actuellement) et/ou allonger la durée de son programme, prévu pour l'instant pour durer jusqu'en septembre 2016.

La BCE pourrait aussi décider d'élargir la gamme d'actifs financiers qu'elle a le droit d'acheter dans le cadre de son programme de "QE".

En mars dernier, l'euro avait frôlé la parité de 1 euro pour 1 dollar, au moment où la Banque centrale européenne avait lancé son programme de rachat d'actifs de 60 milliards d'euros par mois. Ce programme n'a pour l'instant que partiellement atteint son but, à savoir lutter contre les risques de déflation et relancer la croissance de la zone euro grâce à un euro faible, qui stimule les exportations de la région.
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