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Modifié le 03/10/2007 23:33
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artes
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Cours du LINDEX
LindeX Market Data
http://secondlife.com/whatis/economy-market.php
(Cliquer ici)
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artes
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source : http://second-life.gamebiz.fr/screenshot.php
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Keytrade, la première banque belge arrive dans Second Life
La vraie bonne idée de l'implantation de Keytrade (groupe Crédit Agricole) dans Second Life est le HUD (Head Up Display) mis à la disposition des avatars. Avec son HUD, la banque belge donne un outil permettant de convertir différentes monnaies en Linden dollars et inversement, le taux de conversion est automatiquement mis à jour, de plus le HUD donne accès à un flux d'information fourni par Dow Jones, une agence de presse mondiale spécialisée dans l'information financière et économique en temps réel. Ce HUD permet donc aux avatars lors d'un achat en Linden dollars de connaître immédiatement le montant dans leur monnaie bien réelle et cela sans sortir de Second Life.
Pour gagner de la place sur l'écran, il est possible de masquer le clavier et passer en mode réduit qui n'affiche que la conversion US$, L$ (pourquoi ne pas pouvoir afficher une autre devise ?)
Ce qu'il y de très, très intéressant dans ce concept c'est que le HUD est clairement brandé Keytrade, il permet donc de créer un lien, visuel certes, mais un lien quand même, permanent entre l'avatar et la marque. D'un point de vue marketing, cette idée est tout à fait astucieuse.
Un point à souligner est le fait que la banque n'hésite pas à faire la promotion de son projet Second Life sur sa page d'accueil.
Keytrade n'est pas la première marque à avoir proposé un HUD. Chez Mercedes, il est possible de retirer un HUD permettant de jouer au golf, San Pellegrino offre un HUD permettant de découvrir des bars et d'en proposer de nouveaux. Il y a donc clairement une tendance qui est en train d'émerger visant à exploiter les HUD à des fins marketing. Pour faire un parallèle avec le monde du web (Netvibes, iGoogle, etc...) et les postes clients (Vista, Mac, Yahoo, Google Desktop...), je crois que l'on peut dire qu'un HUD est l'équivalent d'un widget et que l'on n'a pas fini d'entendre parlé de ce concept par les marques et les entreprises.
L'agence Emakina, représentée en France par groupeReflect, qui a déjà à son actif le projet Brussels Airlines (voir à ce sujet cette note), a réalisé cette implantation en collaboration avec bluepill Group, une agence spécialisée dans les mondes virtuels. ../... http://www.slbusinessreview.com/
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04/10/2007 08:52
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2jip
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L'INSEE revoit à la baisse sa prévision de croissance pour 2007
L'INSEE a revu à la baisse sa prévision de croissance de l'économie française pour 2007 de 2,1% à 1,8%, en raison du trou d'air du deuxième trimestre et d'un essoufflement attendu au quatrième trimestre, lié au moindre dynamisme de la demande intérieure et à la dégradation de la conjoncture internationale.
L'Institut national de la statistique estime que l'appréciation de l'euro face aux autres devises devrait coûter environ 0,25 point de produit intérieur brut à l'économie française cette année. Il précise cependant que la hausse de la monnaie européenne n'est pas la cause de la révision en baisse de ses prévisions de croissance.
"Sur l'ensemble de 2007, on a un peu moins d'investissement et un peu moins de consommation des ménages qu'en 2006", a expliqué Eric Dubois, chef du département de la conjoncture de l'INSEE, lors du point de conjoncture de l'institut mercredi. Le PIB de la France a progressé de 2,2% en 2006.
L'INSEE a également prévenu que le ralentissement de la croissance française pourrait s'amplifier si la crise traversée cet été par les marchés financiers se prolongeait. "Si la crise devait persister, alors les entreprises pourraient être conduites à différer de nombreux projets d'investissement, par manque de visibilité sur la croissance des débouchés ou par difficulté à en obtenir le financement, et la croissance en serait amoindrie", explique l'organisme.
L'institut de conjoncture ajoute cependant qu'il est pour l'instant impossible de mesurer l'impact des turbulences actuelles des marchés financiers sur l'économie réelle.
Lors de son précédent point de conjoncture en juin, l'INSEE prévoyait une croissance de 2,1% pour l'ensemble de l'année 2007, grâce à une hausse du PIB de 0,6% au deuxième trimestre et de 0,7% pour les troisième et quatrième trimestres.
Mais le trou d'air de la croissance française au deuxième trimestre -0,3% de croissance seulement- et la nouvelle modération de la croissance anticipée au quatrième trimestre, qui devraient gommer le rebond prévu au troisième trimestre, ont changé la donne.
L'INSEE table désormais sur une augmentation du PIB de 0,7% au troisième trimestre, grâce à un phénomène de rattrapage technique sur le deuxième trimestre, et de 0,5% seulement sur les trois derniers mois de l'année.
La prévision de l'institut pour l'ensemble de 2007 est inférieure à celle du gouvernement. La ministre de l'Economie Christine Lagarde a récemment reconnu que la croissance cette année serait "proche de 2%", dans le bas de sa fourchette initiale de prévisions comprise entre 2% et 2,5%.
La plupart des économistes, dont le consensus se situe autour de 1,8%, estiment que les prévisions de croissance du gouvernement pour cette année sont trop optimistes. L'INSEE évalue l'acquis de croissance pour 2008 à 0,8%.
Si la consommation des ménages et l'investissement des entreprises restent les principaux moteurs de l'économie française en 2007, ils devraient toutefois légèrement s'essouffler par rapport à l'an dernier, indique l'INSEE.
Soutenue par une hausse de 3,2% du pouvoir d'achat, la consommation des ménages devrait progresser de 2,1% cette année après une hausse de 2,3% en 2006. Outre les créations d'emplois, chiffrées à 340.000 en 2007 par l'INSEE, contre 285.000 l'an dernier, les gains de pouvoir d'achat des ménages sont alimentés par la progression des salaires, la baisse de l'impôt sur le revenu et les mesures de soutien à la consommation mises en place par le nouveau gouvernement, comme la détaxation des heures supplémentaires entrée en vigueur le 1er octobre.
Selon Eric Dubois, cette mesure devrait à elle seule augmenter le revenu disponible des ménages de 400 millions d'euros au quatrième trimestre. AP
ir/sll
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04/10/2007 10:18
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artes
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La Clôture de WallStreet
http://commerzbank.zonebourse.com/wm/WarrantMatin207.pdf
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Wall Street s'est offert une petite séance de consolidation sans grande intensité et le Dow Jones repasse sous les
14.000Pts (13.970) tandis que le Standard & Poor's 500 a cédé 0,45%, butant une nouvelle fois en tout début de
séance sur la résistance historique des 1.550Pts de la 1ère quinzaine de juillet.
Le Nasdaq Composite qui avait le plus progressé cet été rétrograde de -0,65%, à 2.729,5.
Le seul chiffre 'officiel', ce fut l'indice ISM des 'services' de septembre, il est ressorti comme prévu en recul de 1
point à 54,8 contre 55,8 en août et 55 anticipé.
L'autre chiffre émanait du cabinet privé ADP qui annonce 58.000 créations de postes dans le secteur privé (c'est
comparable au score préliminaire du mois d'août): un total jugé plutôt encourageant à 48H des chiffres de
l'emploi.
Les économistes attendent 95.000 nouveaux jobs vendredi après les 4.000 disparus au mois d'août.
Sur le front des valeurs, peu d'écarts remarquables: Echostar a gagné +4,6%, Ciena +6%, Fiserv +3,9% ... et les
constructeurs de maisons individuelles ont poursuivi leur rebond avec des gains de +3,5% en moyenne (+4,4%
sur Lennar, +3,1% pour Pulte Homes).
A l'inverse, beaucoup de titres dans le rouge avec des pertes parfois impressionnantes comme sur Wynn Resort
qui a perdu 10%, Micron -8,9% (1ère perte annuelle de 154Mns$, annonce de perspectives moroses concernant
les mémoires NAND).
Parmi les baisses les plus significatives, les opérateurs retenaient celle d'Applied Materials (-3,7% dans le sillage
de Micron), de KLA (-3,6%: mêmes causes, mêmes effets), d'Alcoa et US Steel (-3,1% et -2,6%), et surtout d'Intel
(-2,2% alors que Morgan Stanley entame la couverture du titre à 'sous-pondérer').
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