News1209
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Modifié le 12/9/2007 01:43
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artes
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File orientée NEWS, zone USA / MONDE
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12/9/2007 09:07
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artes
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Source : from Larry Levin and Secrets of Traders , subject Secrets of Traders Newsletter and Trading signals , date 12 Sep 2007 02:44
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LARRY LEVIN
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Dear Trader,
How does the market move higher when Ben Bernanke is talking? Well that's easy, if he doesn't say anything, we know it can't be bad!
And that's exactly what happened on Tuesday. Ben Beranke came to the podium with absolutely nothing new to say. Most traders I know were looking for some kind of surprise. Did we get it???
Nope, and most traders were dissapointed, but not the market. The market took that news as if Ben Bernanke said everything is on target for a very nice rate decrease come next week! That's what the market wants and expects.
If it doesn't get it, there could be big selling over the next several weeks! It should be fun to watch!!!
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12/9/2007 09:13
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SINGAPOUR (Reuters) - Le secrétaire au Trésor des Etats-Unis Henry Paulson pense que la crise de confiance qui perturbe les marchés du crédit durera plus longtemps que celles des deux décennies passées, écrit le Financial Times mercredi.
Paulson fait référence aux crises financières asiatique et russe des années 90 et avant cela à la crise de la dette de l'Amérique latine dans les années 80.
L'ex-patron de la banque d'investissement Goldman Sachs explique que la complexité et la répartition planétaire des valeurs mobilières qui sont au coeur de la crise risquent fort de prolonger cette dernière.
De son côté, le Wall Street Journal écrit que Paulson n'a proposé aucun remède pour apaiser les tensions sur le crédit lors d'un petit déjeuner donné mardi par le quotidien Christian Science Monitor.
Il s'est contenté de réaffirmer que la crise prélèverait son tribut sur l'économie américaine mais que celle-ci était suffisamment résistante pour poursuivre sa croissance.
Paulson s'est dit particulièrement attentif au papier commercial adossé à des actifs, un compartiment où il est difficile de faire des affaires depuis la tourmente née de la crise du crédit immobilier à haut risque ("subprime"), poursuit le WSJ.
Il a souligné qu'il restait opposé aux propositions de certains parlementaires qui souhaitent que soient déplafonnés les prêts immobiliers des organismes semi-publics Fannie Mae et Freddie Mac.
Paulson y voit une fausse solution pour ouvrir la voie à une résolution de la crise du crédit dans la mesure où ces organismes sont spécialisés dans des catégories de crédit plus conventionnelles, pour une clientèle présentant des garanties de crédit plus solides que celle du subprime.
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Modifié le 12/9/2007 11:10
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artes
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Source: http://commerzbank.zonebourse.com/wm/WarrantMatin189.pdf
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LA CLÔTURE DE WALL STREET
Wall Street s'est offert une reprise d'une belle ampleur (hausses indicielles comprises entre 1,35 et 1,5%) sur la
base d'espoirs de hausse reposant d'avantage sur des spéculations que des éléments concrets, Ben Bernanke
n'ayant pas abordé la question du biais monétaire de la FED lors de son intervention publique depuis Berlin.
Mais à défaut de signes concrets, les opérateurs s'en sont remis à leur expérience des précédentes crises de
confiance ou de liquidité: la Banque Centrale américaine n'a jamais laissé la situation s'envenimer au risque de
voir un scénario de récession s'ancrer dans les esprits. L'hypothèse d'une détente de -50Pts du Prime Rate le 18
septembre reste privilégiée à 60%.
Avec une belle unanimité, tous les compartiments de la cote ont bénéficié de rachats à bon compte: l'indice Dow
Jones a gagné 1,38% (+180Pts, avec un seul titre en très léger repli), et le Nasdaq a pris 1,50%... tutoyant le seuil
des 2.600Pts.
Le seul chiffre "officiel" du jour concernait le déficit commercial américain au mois de juillet: il s'est très légèrement
contracté pour revenir à 59,2 milliards de dollars, les exportations ayant progressé de 2,7% (leur plus forte hausse
de ces trois dernières années).
Les cambistes n'en ont guère tenu compte et le Dollar a égalé en milieu de soirée son plancher historique des
1,3850/E: la forte hausse des valeurs américaines n'y a rien fait.
La crise du "subprime" reste toujours bien présente, la NAR estime que les prix immobiliers vont continuer de
reculer fin 2007 puis en 2008 alors que 57% des emprunteurs à taux variable sont dans l'impossibilité de trouver
des solutions de refinancement moins coûteuses (15% d'entre eux étant en difficulté: les défauts de paiement se
multiplient).
Face à l'ampleur du problème, Washington Mutual a ainsi annoncé hier soir avoir accru ses provisions dans le
cadre de créances douteuses relatives à la crise du subprime aux Etats-Unis, rapporte ce mardi le journal La
Tribune.
La plus grande "caisse d'épargne" des Etats-Unis va ainsi passer 500 millions de dollars supplémentaires de
provisions portant le total à 2,2 milliards de dollars.
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Modifié le 12/9/2007 11:10
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artes
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OSCAR, SHORT TERM TRADING: Daily Video now available - Trade Date: 09/12/07 , date 12 Sep 2007 09:03:53 -0000
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Daily Video is out for 09/12/07
S&P,EMini & Futures - Trading R
http://livewithoscar.com/modules.php?name=Daily_Video
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12/9/2007 15:28
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De crackipa (crackipa) Boursomarquer crackipa Ignorer crackipa Recommander ce message 4
alerte maximum le 14 septembre! 15:06 12/09/07
des six ogives nucléaires parties du dakota du nord il n'en serait arrivé que 5, manque une. au dernières nouvelles les avions israéliens et américains resteront au sol le 14 septembre 2007, pour maintenance, le dernier exercice de maintenance au sol date du 11 septembre 2001. le 14 septembre me semble être une date particulièrement dangereuse et je préfère passer pour un paranoïaque irrécupérable que de voir le 14 au soir que j'avais malheureusement raison, les informations sortent, des agents américains parlent, dénoncent, un parlementaire américain aurait été assassiné alors qu'il enquêtait sur des rumeurs de chute de wall street de 50% avant le 21 septembre, des gens aux états-unis parient des fortunes que la bourse va s'effondrer avant la fin du mois comme s'ils s'attendaient à un attentat, ce parlementaire après avoir été déclaré mort d'une crise cardiaque a été déclaré tombé dans l'escalier quand on a remarqué des coups à la tête.
"Then last Wednesday, Congressman Paul Gillmor (R-OH) was found dead in his home. This was reported as a heart attack, until word leaked out that he had blunt trauma to the head and neck. http://www.msnbc.msn.com/id/20649320/ Now we're being told he fell down the stairs. Gillmor was investigating a series of option trades that are suspicious- someone is betting billions of dollars that the market will fall 50% by September 21st. Even with the housing crisis, it would take a major catastrophe, like a "terrorist" attack, to precipitate such a plunge. As part of his job on the House Finance Committee, Gillmor was investigating this deal. Was he murdered because he was about to reveal something ? "
Dans cette histoire de quel côté est l'objectivité ? on voudrait nous faire croire que l'objectivité est du côté de ceux qui ne doutent pas, la vérité serait du côté de ceux qui ne se posent pas de questions. je n'ai aucune certitude, je m'informe, je confronte les différentes thèses et je ne crois pas à la candeur des journalistes, que les parlementaires américains ferment leur gueule pour éviter de se faire assassiner, je peux le comprendre, qu'un journaliste ne se pose pas de question et ne fasse pas son travail pour ne pas nuire à sa carrière me semble peu glorieux ou reluisant et, bien que je ne dispose d'aucune vérité certaine sur ce qui s'est passé le 11/9 2001 je suis en revanche certain que l'immense majorité des journalistes sont des prostitués.
en fait dès qu'on met le nez dans ce dossier on voit bien que ça pue de tous les côtés, l'uranium du niger qui n'existe pas, dénoncé par l'ambassadeur au niger wilson mari de l'ex chef de la cia pour le proche-orient, valérie plame, affaire qui a quand même secoué l'amérique et l'administration bush, je vous passe le cambriolage à rome de l'ambassade du niger par des pieds nickelés en retraite de la cia pour trouver le tampon et le papier à lettre pour fabriquer le faux, ensuite les avions dans les tours et la façon dont elles s'effondrent, même celle qui n'est pas atteinte, tout cela se déroulant pendant un exercice de simulation, comme les attentats de londres d'ailleurs, quel journaliste amateur et distrait pourrait prendre ces faits pour argent comptant ? je ne détiens pas la vérité mais je peux assurer que tout cela sent le coup fourré à plein nez. il suffit d'ouvrir le dossier 10 minutes pour voir qu'il y a quelque chose qui cloche.
Donc dans ce contexte et avec les informations disponibles le 14 septembre me parait être une échéance très risquée, en raison de la disparition d'un ogive nucléaire et du vol d'un avion chargé de 6 têtes au dessus des états-unis, fait unique dans l'histoire des states et dont nous avons été au courant uniquement grâce à une fuite, en raison également du contexte boursier qui semble sur le point d'imploser et en raison de cette journée de maintenance du 14, les états unis seront à la merci d'une attaque ce jour-là et tout le monde le sait, la coïncidence du fait que la compagnie aérienne israélienne garde ses avions au sol également ce jour-là ajoute à la suspicion.
est-ce que je pense que bush est assez bête pour tenter ce coup-là ? oui, définitivement oui, bush et ses acolytes sont exactement du genre à vouloir enfoncer le clou et à continuer à taper sur le même clou tordu en pensant que ça finira par rentrer, répandons le mot sur les doutes existant sur le 11/9 2001 et sur l'éventuelle catastrophe du 14/9 2007. il est à n'en pas douter que si une telle catastrophe survenait on trouverait un homme de bonne mine qui viendrait la main sur le coeur nous jurer que l'iran est derrière tout ça, d'ailleurs l'iran possède des armes de destruction massive et l'industrie militaire pourra redémarrer et relancer l'économie américaine, tout concorde pour laisser penser qu'une action d'envergure est en préparation il n'y a qu'à voir l'agitation des médias et les fausses k7 qui circulent, est-ce que je crois que ben laden a envoyé un k7 pour expliquer ses vues aux américains ? mais je ne suis plus un enfant, dommage que ben laden n'ait pas envoyé de k7 pour soutenir musharaf. qu'est-ce que bush compte faire du bordel pakistanais, les experts américains ont-ils anticipé le foutoir que la débâcle américaine va laisser là-bas ? Evidemment non, c'était pas sur internet. En plus du bordel en afghanistan et en irak. Redessiner le moyen orient n'était-il pas une tache hors de portée de l'administration bush ? et un nouvel attentat arrangerait-il quelque chose au problème. bien sûr que non, j'espère que cheney sera destitué avant la fin de ce mois et bush au mois d'octobre, et qu'ensuite ils seront jugés, contrairement à celle de mon pays je fais confiance à la justice américaine, enfin, quand on ne prend pas 30 ans pour 1 tag.
amilcar
source:http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=85343
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batcha
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DEBKAfile Reports: Two US carrier-strike groups are bound for Persian Gulf region, bringing number back to three
September 10, 2007, 10:52 AM (GMT+02:00)
USS Truman Strike Group heading for Gulf
DEBKAfile’s military sources report that from the third week of July, the only American strike force- carrier in the Persian Gulf-Arabian Sea region was the USS Enterprise. By the end of September, it will be joined by the USS Nimitz and the USS Truman Strike Groups. Our sources note that with their arrival, three American naval, air and marine forces will again confront Iranian shores at a time of crisis in the military and civilian leadership of Iran - signaled by the abrupt change of Revolutionary Guards Corps commanders, rising Israel-Syrian tensions and a troubled situation in Lebanon.
The Nimitz left the region to take part in large-scale Malabar 2007 II exercise with five Asian nations, termed by Indian military observers “the first step towards establishing Asian NATO. Since the maneuver ended Friday, Sept. 7, the Nimitz has been on its way back to the Persian Gulf. The Truman group, made up of 12 warships and submarines, including a nuclear sub, with 7,600 sailors, air crew and marines aboard, has just completed a long series of training exercises and is preparing to set out for its new posting. It carries eight squadrons of fighters, bombers and spy planes.
The Truman force’s battle cry is: “Give ‘em hell”.
The combined naval strike groups include the Monterey-CG 61 guided missile cruiser, the USS Barry DDG 52 and USS Mason-DDG 87 guided missile destroyers, the USS Albuquerque-SSN 706 fast nuclear strike submarine and the combat logistical USNS Arctic T-AOE 8.
In the last week of August, the USS Kearsarge Expeditionary Strike Group took up position opposite the Lebanese coast amid trepidation over the September presidential election. Our military sources reported that aboard the group’s vessels are members of the 22nds Marine special operations-capable Expeditionary Unit, who are ready to execute landings on Lebanese beaches.
-> d'ici fin Septembre
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12/9/2007 21:37
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paquerette2
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Pétrole : le brut au seuil des 80 dollars à New York
[ 12/09/07 - 18H54 ] - Voir les commentaires publiés (1)
La décision de l'Opep d'accroître de 500.000 barils par jour sa production à compter du 1er novembre n'a pas eu l'effet escompté sur les marchés. Le baril de "light sweet crude" a battu un nouveau record historique, à 79,89 dollars
Rien ne semble pouvoir freiner l'envolée des prix du brut : ni la hausse de production de l'Opep, ni la révision à la baisse des prévisions de demande de l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a frôlé le seuil psychologique des 80 dollars, à 79,89 dollars, dépassant ainsi très sensiblement son précédent record historique en date du 1er août à 78,77 dollars. Même tendance sur l' Intercontinental Exchange de Londres, où le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre gagnait vers 19 heures (heure de Paris) 1,34 dollar par rapport à sa clôture de mardi, à 77,72 dollars. Le record historique du Brent date du 7 août 2006 à 78,64 dollars.
Les cours de l'or noir ont été portés par la baisse plus forte que prévu des stocks de brut aux Etats-Unis : -7,1 millions de barils, à 322,6 millions de barils pour la semaine achevée vendredi 7 septembre, là où les analystes attendaient un recul de 2,7 millions de barils. Les stocks d'essence ont pour leur part reculé de 700.000 barils, à 190,4 millions de barils, alors que les stocks de distillats ont progressé de 1,8 million de barils à 134 millions de barils, selon les données fournies par le Department of Energy.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a pourtant fait état ce mercredi de prévisions de nature à rassurer les marchés pétroliers. L'agence a en effet a revu légèrement à la baisse son anticipation de la demande mondiale de pétrole pour 2007 et 2008, et prévenu qu'elle pourrait encore la revoir une fois connues les conséquences de la crise des "subprime".
L'agence, qui représente les intérêts énergétiques des pays industrialisés, table dans son rapport mensuel sur une demande de 85,9 millions de barils par jour (mbj) pour 2007 et de 88 mbj pour 2008, alors qu'elle prévoyait dans son précédent rapport une demande de 86 mbj pour 2007 et de 88,2 mbj pour 2008. "La douceur du climat et la substitution (énergétique) ont contribué à la baisse de la demande" qui a été moins forte que prévu en juin et juillet, explique l'AIE qui prévient qu'à l'avenir, "les prix élevés pourraient davantage écorner la demande".
L'AIE impute également ce changement de pronostic à la révision à la baisse par l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) des perspectives de croissance des principaux pays industrialisés suite à la crise des "subprime" qui a secoué les places financières mondiales. Les effets de cette crise "doivent encore être évalués", l'impact étant "pour l'instant très incertain", mais "il est probable que les conditions du crédit aux Etats-Unis et dans d'autres pays développés se resserrent", souligne l'AIE, qui indique qu'elle "pourrait réviser ultérieurement la prévision pour 2008 au vu des événements".
Dans son rapport, l'AIE a abaissé légèrement ses prévisions de demande des pays de l'OCDE qui devrait croître de 0,4% à 49,4 mb/j en 2007 et de 1,6% à 50,2 mb/j en 2008. Des prévisions qui tablent sur un hiver "normal" mais qui pourraient être également revues si les conséquences de la crise des "subprime" s'avèrent "plus néfastes que prévu". La prévision de demande des pays hors OCDE est inchangée. Elle devrait progresser de 3,5% à 36,5 mbj en 2007 et de 3,6% à 37,8 mbj en 2008. Les prévisions pour la Chine sont maintenues à 7,6 mb/j pour 2007 et 8 mb/j en 2008.
En ce qui concerne l'offre, la production mondiale de pétrole a baissé de 0,43 mbj en août à 84,6 mb/j à cause d'interruptions de production dans le golfe du Mexique et en Mer du Nord, et d'une baisse des exportations irakiennes. La production des pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'est élevée en moyenne à 30,4 mbj, en légère baisse par rapport à juillet. L'Agence évalue toujours la capacité excédentaire de production du cartel à un peu moins de 3 mb/j.
La capacité des pays de l'Opep qui ont décidé mardi de mettre 500.000 barils de plus sur le marché pour contrer la récente flambée des prix, devrait augmenter à 34,5 mbj fin 2007 et à 35,8 mbj fin 2008. Les attentes de production pour les pays hors Opep sont maintenues à 50 mbj pour 2007 mais revues très légèrement à la hausse à 51,1 mbj pour 2008. (avec AFP)
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12/9/2007 21:41
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paquerette2
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Membre depuis: 30/7/2007
L'euro à 1,39 dollar pour la première fois de son histoire
[ 12/09/07 - 15H17 ]
Portée par la chute du billet vert, la monnaie européenne a franchi la barre du 1,39 dollar, dépassant son précédent record absolu de 1,3852 qui datait du 24 juillet
Les économistes pariaient sur un tout prochain record absolu de l'euro. C'est chose faite. La monnaie européenne a franchi la barre mercredi de 1,3890 dollar, le niveau le plus élevé depuis sa création. Son précédent record historique avait été enregistré le 24 juillet, à 1,3852 dollar.
L'euro profite de la faiblesse du dollar américain, provoquée par les inquiétudes portant sur l'état de l'économie outre-atlantique. Des inquiétudes accrues par l'annonce, vendredi, de la destruction de 4.000 emplois en août aux Etats-Unis, alors que les économistes tablaient sur 110.000 créations. Devant le risque d'une possible récession, les opérateurs parient sur des prochaines baisses des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine, qui pénaliseraient le dollar.
La plupart des opérateurs s'attendent à ce que la Fed baisse son principal taux directeur de 0,5 point de pourcentage, à 4,75%, mardi lors de sa prochaine réunion. Mais d'autres soulignent que Ben Bernanke, le président de la banque centrale américaine, a, au contraire de son prédécesseur Alan Greenspan, quelques réticences à baisser les taux d'intérêt quand les marchés financiers le réclament, et qu'il a plusieurs fois répété que la Fed n'était pas responsable des moins-values des investisseurs.
L'euro a également été soutenu par les déclarations du président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet mardi, qui a estimé que les banques européennes étaient peu affectées par la crise financière du crédit immobilier à risque américain. Il a aussi indiqué que les indicateurs macroéconomiques "confirmaient qu'il existait toujours des risques d'inflation à moyen terme". Selon les analystes, cela signifie que les hausses des taux attendues dans la zone euro seront retardées, mais pas annulées. En conséquence, ont-ils expliqué, le différentiel de taux d'intérêt entre les Etats-Unis, où les taux sont actuellement à 5,25%, et la zone euro, où ils sont à 4%, pourrait se réduire, et donc rendre les actifs européens plus attractifs au détriment des actifs américains, dopant ainsi la devise européenne.
En France, Eric Woerth, le ministre français du Budget, a affirmé que cette hausse de l'euro pesait sur la croissance. L'appréciation de l'euro "pose problème pour le commerce extérieur" et "pèse sur les déficits, pèse sur la croissance", a-t-il développé à la sortie du Conseil des ministres. Christine Lagarde, ministre de l'Economie et des Finances, a de son côté à nouveau maintenu les prévisions de croissance économique du gouvernement pour 2007, fixées entre 2 et 2,5%. "On a travaillé dans la fourchette, on tient nos engagements", a-t-elle déclaré alors que la veille, la Commission européenne avait fortement abaissé sa prévision de croissance 2007 pour la France à 1,9%, contre 2,4% précédemment. (avec AFP)
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LARRY LEVIN
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Dear Trader,
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