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07/5/2014 19:26
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Pauline75
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Membre depuis: 10/9/2013
Le gouvernement français a attribué mercredi au consortium mené par GDF Suez la totalité du 2e appel d'offres pour l'éolien en mer, faisant ainsi le choix d'une "répartition équitable" entre les grands acteurs de la filière, selon Ségolène Royal, la ministre de l'Ecologie et de l'Energie.
GDF Suez, associé à Neoen Marine et au portugais EDP Renouvelables, avec des éoliennes de 8 mégawatts fournies par Areva, a remporté les projets de construction de deux parcs éoliens d'une capacité totale de 1.000 mégawatts (MW), l'un au large du Tréport (Seine-Maritime), l'autre au large des îles d'Yeu et Noirmoutier (Vendée).
Ségolène Royal, qui n'a pas souhaité préciser le coût supporté au final par le consommateur pour la production de cette électricité, a estimé que cette décision va permettre de créer "une véritable force de frappe française" dans l'éolien offshore.
Le consortium mené par GDF Suez était en concurrence avec un consortium mené par EDF, associé à l'allemand WPD Offshore et qui devait s'équiper d'éoliennes Alstom de 6 mégawatts.
Avec cette décision, le gouvernement s'est donc rangé à la recommandation de la Commission de régulation de l'énergie, qui avait, selon des informations de presse, mis en tête le projet du consortium mené par GDF Suez sur les deux parcs.
Gérard Mestrallet, le PDG de GDF Suez, s'est dit "très fier" de remporter cet appel d'offres, précisant que ces deux parcs éoliens permettront d'alimenter 1,6 million de personnes à l'horizon 2027.
Il a ajouté que les projets impliqueront la création de 1.000 emplois pendant 20 ans dans les ports concernés pour l'entretien et la maintenance des éoliennes.
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12/2/2016 20:10
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Pauline75
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Membre depuis: 10/9/2013
Pédaler pour aller travailler va pouvoir vous rapporter 25 centimes par kilomètre. Un décret paru ce vendredi vient d’officialiser le barème de l’indemnité prévue par la loi sur la transition énergétique.
Mieux encore, cette indemnité versée pour les trajets domicile-travail sera valable pour les vélos à assistance électrique et pourra être cumulée avec un abonnement de transport collectif. Seule condition, les trajets effectués à vélo et en transport collectif ne devront pas se chevaucher. Le décret précise par ailleurs que la distance retenue correspondra à la distance la plus courte entre le domicile du salarié et son lieu de travail (ou le point relais).
Un dispositif facultatif et plafonné
Les amoureux de la petite reine ne doivent toutefois pas céder à un enthousiasme excessif. Le versement de la prime sera en effet facultatif. En d’autres termes, il appartiendra à l’employeur d’appliquer la mesure ou de ne pas l’appliquer.
Par ailleurs, si les employeurs vont pouvoir bénéficier d’une incitation fiscale, celle-ci sera plafonnée. Ils ne pourront déduire les sommes versées que dans la limite de 200 euros par an et par salarié.
Selon nos calculs, en prenant le cas d’un salarié ayant 7 semaines de congés et travaillant 220 jours par an, la prime maximale correspondra donc à un trajet quotidien d’environ 3,5 km.
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11/3/2016 20:16
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Pauline75
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Membre depuis: 10/9/2013
Le secteur des biotechnologies découvre parfois des ressources naturelles insoupçonnées dans le but de traiter les maladies humaines. C'est le cas de la start-up marseillaise Coral Biome qui a mis en lumière des propriétés anti-cancéreuses pour certaines toxines sécrétées par les coraux. Il s'agit de molécules cytotoxiques qui peuvent être prélevées dans les tissus coralliens ou dans l'eau de culture. Coral Biome maîtrise en effet la culture d'une centaine d'espèces de coraux dans un laboratoire dédié.
L'une de ces molécules, la Palytoxine (brevet propriétaire), se serait révélée d'une efficacité inédite à des doses infinitésimales lors de tests fonctionnels sur plusieurs lignées cancéreuses (cerveau, leucémie, peau, poumons) dont certaines sont résistantes aux thérapies actuelles. D'après Coral Biome, la Palytoxine serait d'ailleurs un million de fois plus efficace sur les cellules cancéreuses que sur les cellules saines.
Afin d'optimiser l'efficacité d'un potentiel futur médicament, Coral Biome cherche aujourd'hui des partenaires pour coupler la toxine à des vecteurs. Elle se tourne vers la technologie très prometteuse d'ADC (Antibody Drug Conjugate) qui permet d'utiliser le système immunitaire pour adresser la toxine vers les tumeurs. Tout cela a un coût et la société ouvre aujourd'hui son capital dans le but de lever 750.000 euros pour poursuivre ses activités.
Ses études ayant déjà permis de dresser une liste de nombreux composés naturels marins ayant des applications potentielles dans différents domaines de santé (cancérologie, inflammation, infectiologie, cosmétologie), Coral Biome ambitionne de devenir d'ici cinq ans un des leaders européens de la bioprospection de molécules marines bio-actives extraites des coraux tropicaux pour fournir les grands laboratoires pharmaceutiques.
Parallèlement à ses programmes de R&D, la société marseillaise développe son activité de vente de coraux pour le marché de l'ornement auprès des particuliers et professionnels.
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Mieux encore, cette indemnité versée pour les trajets domicile-travail sera valable pour les vélos à assistance électrique et pourra être cumulée avec un abonnement de transport collectif. Seule condition, les trajets effectués à vélo et en transport collectif ne devront pas se chevaucher. Le décret précise par ailleurs que la distance retenue correspondra à la distance la plus courte entre le domicile du salarié et son lieu de travail (ou le point relais).
Un dispositif facultatif et plafonné
Les amoureux de la petite reine ne doivent toutefois pas céder à un enthousiasme excessif. Le versement de la prime sera en effet facultatif. En d’autres termes, il appartiendra à l’employeur d’appliquer la mesure ou de ne pas l’appliquer.
Par ailleurs, si les employeurs vont pouvoir bénéficier d’une incitation fiscale, celle-ci sera plafonnée. Ils ne pourront déduire les sommes versées que dans la limite de 200 euros par an et par salarié.
Selon nos calculs, en prenant le cas d’un salarié ayant 7 semaines de congés et travaillant 220 jours par an, la prime maximale correspondra donc à un trajet quotidien d’environ 3,5 km.