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Gdf Suez

- 19/2/2009 13:35
ludoverblog Messages postés: 2356 - Membre depuis: 16/11/2005

Craintes exagérées, bilan solide, faibles risques liés au refinancement,… Le titre GDF SUEZ, acteur incontournable du secteur énergétique, garde la faveur des bureaux d’analyse (Citigroup, Morgan Stanley, Credit Suisse) qui sont globalement optimistes sur le dossier avec un objectif moyen de 40,25 EUR (consensus de 25 analystes). Pourtant son cours de bourse fait grise mine. En données hebdomadaires, la valeur est entrée en tendance baissière depuis la rupture sans appel des 36 EUR, en juillet dernier. La chute a été brutale et en octobre dernier, le titre a signé un chandelier hebdomadaire de 22% d’amplitude, un record pour cette valeur. Ces excès ont rapidement été corrigés, mais la valeur n’est jamais parvenue à reconquérir les 36 EUR. Cet objectif de moyen terme est le point d’inflexion de la tendance de fond. En données quotidiennes, après des excès de part et d’autre, un support s’est imposé au niveau des 27 EUR. Techniquement, ce seuil est un premier retracement de la chute d’aout-octobre et le regain de volumes observé à son contact en renforce la pertinence. Sauf nouvelle chute des marchés, ce niveau offre un point d’entrée intéressant à 26,5-27 EUR pour jouer un sursaut vers 30 et 32 EUR.
Opinion : Positive avec comme objectif 32,00.
Warrant : CALL 06/09 Strike 30,00 (ex. 4645Z, 3283T)



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http://ludo.over-blog.net
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281 de 766 - 31/3/2014 13:09
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF Suez compte bien prendre sa revanche sur EDF dans l’éolien offshore

Par Manuel Moragues | UsineNouvelle.com


La Commission de régulation de l’énergie doit rendre avant le 29 mars son rapport au gouvernement sur les candidatures d’EDF et GDF pour les champs éoliens du Tréport et de Noirmoutier. La sélection se fera prochainement. Le consortium emmené par GDF, grand perdant du premier apple d'offres, affiche sa détermination à remporter les deux.


Une envie de revanche. Alors que la Commission de régulation de l’énergie doit transmettre avant ce 29 mars son rapport au ministère de l’Energie sur les candidatures au deuxième appel d’offres français sur l’éolien offshore, le consortium mené par GDF Suez affiche sa détermination à rafler la mise. L’enjeu : les deux champs du Tréport (Seine-Maritime) et de Noirmoutier (Vendée) que se disputent deux candidats. D’un côté, EDF Energies Nouvelles et le développeur de projets allemand WPD Offshore, avec Alstom comme turbinier attitré. De l’autre, GDF Suez, l’énergéticien portugais EDP Renewables et le développeur français Neoen Marine, qui ont choisi les turbines Areva.

Deux candidats pour deux champs… L’attribution par le gouvernement d’un champ à chacun ne serait-il pas le résultat le plus équilibré, le plus probable ? "En quoi cela serait-il plus équilibré ?", rétorque Raphaël



... Lire la suite sur UsineNouvelle.com

282 de 766 - 01/4/2014 10:34
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
INFO LE FIGARO - Les trois opérateurs ont été retenus à l'issue de l'appel d'offres du Syndicat intercommunal pour le gaz et l'électricité en Île-de-France (Sigeif). Celui porte sur l'alimentation en gaz d'une zone de 3,3 millions d'habitants.

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L'un des plus gros appels d'offres européens dans le domaine de l'énergie a rendu son verdict, qui sera publié mardi. Le Syndicat intercommunal pour le gaz et l'électricité en Île-de-France (Sigeif), le plus important syndicat d'énergie en France, a choisi Antargaz, GDF Suez et Direct Énergie pour alimenter en gaz pendant deux ans (2014-2016) des communes et des établissements publics (hôpitaux, collèges, lycées…) d'une zone urbaine d'environ 3,3 millions d'habitants. Une dizaine de fournisseurs ont participé à cette consultation, qui portait sur un volume de 2,4 térawattheures (TWh) par an, «ce qui fait du Sigeif le premier acheteur public de gaz en France, à hauteur de 100 millions d'euros», précise son président, Jean-Jacques Guillet. Le nouveau contrat démarrera précisément le 1er juillet.

Lors du précédent appel d'offres (2012-2014), les lots les plus importants avaient été décrochés par l'espagnol Gas Natural et Altergaz. «Le fait qu'une fois de plus - c'est le cinquième appel d'offres du Sigeif - de nouveaux opérateurs ont été sélectionnés montre la vitalité de la concurrence, se félicite Jean-Jacques Guillet, il n'y a aucune rente de situation, les entreprises les plus offensives remportent la mise.» En l'occurrence, Antargaz obtient notamment les chaufferies des lycées et des collèges de la région Île-de-France tandis que GDF Suez remporte le marché des chaufferies collectives des bailleurs sociaux et celui des hôpitaux. De son côté, Direct Énergie, qui n'était candidat que sur ce segment, gagne l'alimentation des petits sites des membres du Sigeif (350 gigawattheures par an, contre 1200 pour Antargaz et 765 pour GDF Suez).

Économie annuelle de quelque 30 millions d'euros
«Le fait que GDF Suez a été retenu montre que le groupe joue parfaitement le jeu de la concurrence et que la notion d'opérateur historique ne veut plus dire grand-chose», ajoute le responsable du syndicat francilien, le prix ne constitue pas le seul et unique facteur de sélection. D'autres critères techniques entrent également en ligne de compte, comme la capacité des fournisseurs à remplir tous leurs engagements en termes d'approvisionnement des établissements publics.»

Au regard des tarifs réglementées du gaz, les prix de vente obtenus par le Sigeif voient surgir, selon les lots, des gains allant de 19,7 à 24,5%. Soit une économie annuelle pour les membres du groupement d'achat de quelque 30 millions d'euros. «Honnêtement, à force d'entendre parler de la concordance entre les tarifs réglementés et les prix de marché, je ne m'attendais pas à des propositions aussi attractives, poursuit Jean-Jacques Guillet, indépendamment de leur volonté d'être compétitifs, les opérateurs exploitent au maximum l'effet de massification.» Les collectivités qui n'ont pas été associées à ce marché ont encore une chance de prendre le train en marche. Le Sigeif a prévenu qu'il lancera dès cet été un nouvel appel d'offres pour permettre à d'autres collectivités franciliennes de bénéficier de cette dynamique commerciale sur la même période 2014-2016.

Acheter le gaz au meilleur moment sur le marché
«Je me réjouis que le modèle de groupement d'achat initié par le Sigeif fasse école: d'autres syndicats d'énergies travaillent désormais sur le même modèle qui permet de faire des économies significatives, ajoute encore Jean-Jacques Guillet, nous n'avions pas du tout vocation à rester un cas isolé. Quant à l'opération «Gaz moins cher» lancée par l'UFC-Que choisir à l'intention des consommateurs particuliers, elle participe de cette même logique d'un achat groupé.»

Conseil du Sigeif, le cabinet Ravetto Associés souligne combien cet appel d'offres met en lumière les avantages d'un accord-cadre combiné à un groupement de commandes d'envergure. «Dans le cas présent, il s'agit d'un pilotage très fin, avec l'assurance d'acheter le gaz au meilleur moment sur le marché, précise Patrick Labayle, associé au cabinet, les fournisseurs sont sélectionnés dans un premier temps, à charge pour eux ensuite d'exploiter toutes les opportunités.» Chez Ravetto Associés, on note aussi que ce bon fonctionnement de la concurrence envoie aussi un signal fort au moment - à partir du 1er janvier 2015 - où les tarifs réglementés disparaîtront pour l'essentiel des acheteurs publics et des professionnels.

283 de 766 - 01/4/2014 14:53
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
(Boursier.com) — GDF SUEZ va accroître son parc de production d'énergies renouvelables, via la Compagnie du Vent (détenue à 60%) et la Compagnie Nationale du Rhône (49,97%). Le groupe a en effet décroché par leur intermédiaire dix projets solaires photovoltaïques au sol ou sur ombrières, dans le cadre d'un appel d'offres national. Ils représentent en tout 53,35 MWc, ce qui sécurise l'objectif de l'énergéticien de disposer de 200 MWc en 2016 en France, lui qui dispose déjà de 149 MWc en exploitation, en construction ou en développement avancé.

Sur les dix projets, quatre portent sur la technologie des "trackers", ces panneaux photovoltaïques qui suivent le mouvement du soleil et deux utiliseront pour 50% des panneaux photovoltaïques à concentration. Les quatre autres portent sur des installations sur des ombrières de parking. Leur construction est prévue courant 2014-2015 pour des mises en service en 2015 ou début 2016.

Le Watt crête est une unité de mesure représentant la puissance électrique maximale délivrée par une installation photovoltaïque pour un ensoleillement standard de 1.000 W/m2 à une température de 25 degrés (ADEME).

284 de 766 - 01/4/2014 19:10
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 0.51%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 16%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et positif. Le titre pourrait corriger à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 20.8 puis 21.3. Tandis que les prochains supports sont sur : 19.4 puis 19.1.

Notre préférence : Achetez GDF Suez (GSZ) tant que 19.1 est support.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 19.1.
Cours de référence : 19.8.

TRADING CENTRAL
285 de 766 - 02/4/2014 14:20
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Dow Jones News

Nucléaire, gaz de schiste, taxe carbone...: les positions de Ségolène Royal

Nucléaire, gaz de schiste, taxe carbone... Les principales prises de position de Ségolène Royal, nouvelle ministre de l'Ecologie et l'énergie, sur les grands dossiers qu'elle a désormais en main.


SA VISION DE L'ECOLOGIE:


Elle promeut la "social-écologie": "une croissance verte" qu'elle juge être "un levier de sortie de crise très efficace", qu'il faut combiner à un "nouveau modèle social" qui "remet du bien-être et de l'humain dans l'économie".


En 2011, elle estimait que la France devait "devenir la première puissance écologique d'Europe dans le domaine des énergies renouvelables".


Ministre de l'Ecologie entre avril 1992 et mars 1993, Ségolène Royal a représenté la France en 1992 lors du fondateur sommet de la Terre, à Rio. De son bilan, elle met en avant la loi déchets de 1992 pour favoriser la valorisation des déchets et mieux prendre en compte les impacts environnementaux de leur élimination et celle en 1993 obligeant à la prise en compte des paysages dans les permis de construire.


Une action qu'elle poursuit localement depuis 2004 en Poitou-Charentes avec l'adoption de plans en faveur des énergies renouvelables et la promotion de la voiture électrique.


NUCLEAIRE:


Pendant la primaire socialiste en 2011, elle souhaitait ramener le nucléaire "à une énergie d'appoint". Elle s'était prononcée pour une sortie du nucléaire en France à "échéance de 40 ans maximum", avec "réduction de la part du nucléaire à 50% de la production d'électricité avant 20 ans" (le gouvernement a posé l'échéance à 2025).


Elle promettait d'abandonner la construction du futur réacteur EPR à Flamanville et d'en faire un site de recherche sur les techniques de démantèlement et les énergies renouvelables.


Elle était aussi favorable à l'abandon de l'EPR de Penly et de tout projet de stockage de déchets nucléaires en grande profondeur, comme à Bure.


GAZ DE SCHISTE:


En 2011, elle se disait "favorable à l'interdiction" de l'extraction du gaz de schiste tant que "la maîtrise" de cette exploitation "n'est pas garantie". Ne fermant pas la porte à une exploitation par "les générations futures", elle jugeait "nécessaire de poursuivre la recherche sur les procédés d'extraction propres à long terme".


TAXE CARBONE:


Elle avait ferraillé, en 2009, contre le projet de "taxe carbone" de Nicolas Sarkozy, dénonçant un "impôt absurde, un impôt injuste, un impôt historiquement décalé dans le temps", trop pénalisant pour les ménages modestes. Nicolas Hulot, promoteur de cette taxe finalement enterrée courant 2010, a estimé dans un livre paru en 2013 que Ségolène Royal a, avec cette déclaration, "torpillé la taxe et anéanti plusieurs mois de travail".


Ségolène Royal a contesté à nouveau l'été dernier la contribution climat énergie poposée par le gouvernement pour lier en partie les taxes sur les énergies polluantes à leurs rejets en CO2, fustigeant un "impôt supplémentaire". En tant que ministre de l'Energie, elle va toutefois désormais devoir gérer la montée en puissance d'une contribution adoptée à l'automne.


DIESEL:


Elle a aussi clairement pris position contre une hausse de la fiscalité sur le diesel: "On a encouragé les Français pendant des années à acheter des voitures diesel, on ne va pas du jour au lendemain leur taper sur la tête avec un impôt supplémentaire", disait-elle en mars 2013.


Pour lutter contre la pollution atmosphérique issue du transport, elle affirmait en 2011 être contre les péages urbains à l'entrée des grandes villes et préfère la circulation alternée basée sur les plaques d'immatriculation.


NOTRE-DAME-DES-LANDES:


En 2011, elle avait appelé à "une nouvelle enquête d'utilité publique" sur le projet de futur aéroport nantais, évoquant la possibilité de "trouver un site moins nuisible et moins fragile" que celui de Notre-Dame-des-Landes. Cette position avait été saluée par plusieurs opposants au projet. En mai 2013, elle estimait que la construction de l'aéroport "sera très difficile à faire".

286 de 766 - 03/4/2014 18:52
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe d'énergie GDF SUEZ (GSZ.FR) a annoncé jeudi avoir refinancé par anticipation 5 milliards d'euros de lignes de crédit.


PRINCIPAUX POINTS DU COMMUNIQUE:


- GDF SUEZ a signé jeudi avec 25 banques une ligne de crédit multi-devises de 5 milliards d'euros d'une durée de cinq ans avec deux options d'extension d'un an, pour refinancer par anticipation deux lignes de crédit non tirées arrivant à échéance en 2014 et 2015.


- GDF SUEZ a pu saisir des conditions de marché particulièrement favorables, permettant une amélioration significative du coût de cette liquidité grâce à une marge fixe de 20 bps.


- Cette opération a été sursouscrite à hauteur de 40%.


- Le pool bancaire présente une forte diversité géographique, avec la participation de banques de la zone euro (50%), de banques anglo-saxonnes (35%), et également de banques japonaises et chinoises.


-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com

287 de 766 - 04/4/2014 10:26
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe d'énergie GDF Suez (GSZ.FR) a annoncé vendredi la mise en service commerciale du parc éolien de Trairi d'une capacité de 115 mégawatts, situé dans l'état de Ceará dans le Nord-Est du Brésil.


PRINCIPAUX POINTS DU COMMUNIQUE:


- Le parc éolien est exploité par la filiale brésilienne de GDF Suez, Tractebel Energia.


- L'énergie générée par ces fermes éoliennes sera vendue directement à des clients tertiaires et industriels, notamment des centres commerciaux, des supermarchés et des entreprises de taille moyenne.


- Au plus fort de la phase de construction qui a débuté en octobre 2011, ce projet, d'un montant de 170 millions d'euros, a employé plus de 700 personnes, essentiellement recrutées localement.


- Tractebel Energia prévoit de poursuivre ses investissements dans les énergies renouvelables et de développer son portefeuille de clients sur le marché libre.


-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com

288 de 766 - 04/4/2014 17:42
La Forge Messages postés: 1341 - Membre depuis: 03/8/2000
(CercleFinance.com) - GDF Suez (TLO: GAZ-U.TI - actualité) a annoncé, par l'intermédiaire de sa filiale brésilienne Tractebel Energia, la mise en service commerciale du parc éolien de Trairi d'une capacité de 115 MW, situé dans l'état de Ceará dans le Nord-Est (Other OTC: ECPCY - actualité) du Brésil.

L'énergie générée par ces fermes éoliennes sera vendue directement à des clients tertiaires et industriels, notamment des centres commerciaux, des supermarchés et des entreprises de taille moyenne.
289 de 766 - 07/4/2014 11:08
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
La compagnie pétrolière norvégienne Statoil (STO) a annoncé lundi dans un communiqué avoir démarré avec ses partenaires le groupe énergétique français GDF Suez (GSZ.FR) et la major autrichienne OMV (OMV.VI) la production au gisement pétrolier et gazier de Gudrun, en mer du Nord.


Statoil prévoit de récupérer 184 millions de barils de pétrole et de gaz (équivalent pétrole) à partir de ce gisement, toujours selon ce communiqué.


-Dominic Chopping, Dow Jones Newswires


(Version française Céline Fabre)

290 de 766 - 07/4/2014 11:13
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Achat Warrant Call GDF Suez X420B

Date : 07/04/2014
Sous-jacent : GDF Suez (TLO: GAZ-U.TI - actualité) (ISIN : FR0010208488).
Warrant : Warrant Call X420B (ISIN : NL0010632972).
Échéance : 18/12/2015
Prix d'exercice : 20,0000
Stratégie : Achat à 0.9 euro.

Les moyennes mobiles 20 et 50 jours sont haussières et maintiennent un biais positif.


Objectifs et niveau d'invalidation sur le warrant :
1er objectif : 1.25 (39%).
2nd objectif : 1.42 (58%).
Invalidation sous : 0.59 (-34%).

TRADING CENTRAL

291 de 766 - 11/4/2014 09:51
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe d'énergie GDF Suez (GSZ.FR) a annoncé vendredi avoir signé un protocole d'accord de deux ans avec le groupe pétrolier public Pemex afin de développer des projets de gaz naturel et énergétiques au Mexique.


L'accord a été signé en présence des présidents mexicains et français, Enrique Peña Nieto et François Hollande, a indiqué GDF Suez dans un communiqué.


Dans le cadre de ce protocole, GDF Suez et Pemex vont mettre en place un processus de collaboration sur de futurs projets de développement communs portant, entre autres, sur des infrastructures de gaz naturel, des installations de liquéfaction du gaz et des centrales au gaz.


-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com

292 de 766 - 11/4/2014 10:33
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Crédit Suisse dégrade son opinion sur GDF Suez (TLO: GAZ-U.TI - actualité) de 'surperformance' à 'neutre' avec un objectif de cours maintenu à 20,5 euros, et retire le titre du groupe énergétique de ses valeurs préférées ('European Focus List').

'Si nous continuons d'apprécier le dossier, l'action se traite désormais à un niveau très proche de notre objectif de cours et dispose de catalyseurs équilibrés', estime l'analyste.

Il considère en effet que l'exposition de GDF Suez aux facteurs externes est équilibrée entre des risques négatifs, comme des arrêts nucléaires prolongés en Belgique ou des effets de changes, et des risques positifs tels qu'une décision favorable sur la taxe nucléaire belge ou un rebond à plus long terme des prix du CO2.

Selon Crédit Suisse, la capacité de la direction de GDF Suez à réaliser ses objectifs de croissance et de réduction de coûts sera le moteur clé du bénéfice par action.
293 de 766 - 11/4/2014 15:59
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Si Moscou ferme le robinet, Paris pourrait ouvrir le sien. La compagnie française GDF Suez discute d'un possible contrat avec Kiev en vue de lui fournir du gaz, alors que la compagnie russe Gazprom menace de cesser ses exportations vers l'Ukraine. Un porte-parole du ministère ukrainien de l'Energie l'a indiqué à l'agence Reuters.

Inverser les flux
Un peu plus tôt dans la journée ce vendredi, Youri Prodan, l'actuel ministre de l'Energie ukrainien a déclaré devant le Parlement à Kiev:

"Nous allons procéder d'urgence à des achats de gaz en inversant les flux. Aux conditions offertes par les compagnies gazières européennes. Nous nous attendons à ce que cela se fasse avec l'allemand RWE et avec une compagnie gazière française."

Du gaz norvégien?
Parmi les origines de l'approvisionnement de la compagnie française, la Russie arrive en deuxième position, derrière la Norvège. C'est ce qu'avait indiqué Gérard Mestrallet, le patron de la compagnie dans un entretien au Figaro le 20 mars.

Retrouvez cet article sur La Tribune.fr

294 de 766 - 14/4/2014 09:44
La Forge Messages postés: 1341 - Membre depuis: 03/8/2000
Dernier cours : 19.62
Support : 19.14 / 18.77
Resistance : 20.65 / 21.03
Opinion court terme : negative
Opinion moyen terme : positive

TEC
295 de 766 - 16/4/2014 19:05
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF Suez SA (GSZ.FR) a déclaré mercredi envisager de contester en justice la décision d'un tribunal de Bruxelles déboutant Electrabel. La filiale belge du groupe énergétique français avait engagé une action en justice afin de récupérer auprès de l'Etat un montant d'environ 1 milliard d'euros lié au versement de la "taxe nucléaire" en Belgique.


"Nous venons de recevoir la décision. Nous allons l'analyser pour déterminer les suites éventuelles à y donner", a déclaré une porte-parole de GDF Suez, sans souhaiter donner plus de détails.


Dans une décision rendue le 11 avril, un tribunal de Bruxelles a rejeté la demande d'Electrabel d'obtenir le remboursement d'un impôt exceptionnel prélevé sur les bénéfices de ses centrales nucléaires belges, connu sous le nom de "taxe nucléaire", que la filiale belge de GDF paie depuis 2008. Cette taxe à caractère exceptionnel est destinée à financer la politique énergétique belge.


GDF Suez, par l'intermédiaire d'Electrabel, possède et exploite sept réacteurs nucléaires en Belgique, qui produisent environ la moitié de l'électricité du pays.


En 1999, les autorités belges ont décidé de réduire progressivement leur dépendance à l'égard du nucléaire en faveur de sources d'énergie renouvelables. Toutefois, pour des raisons de sécurité de l'approvisionnement et de restriction sur les émissions de dioxyde de carbone, l'énergie nucléaire est revenue au coeur de la politique énergétique belge. En 2009, GDF Suez a signé un protocole d'accord avec les autorités belges afin de prolonger de dix ans la durée de vie de ses trois plus anciens réacteurs et de 20 ans celle de quatre autres réacteurs. En échange, GDF Suez a accepté de verser de 215 millions à 245 millions d'euros par an entre 2010 et 2014. Cet accord n'a toutefois jamais été officiellement finalisé en raison d'une crise politique dans le pays.


En 2012, les autorités belges ont décidé de ne plus autoriser l'extension de la durée de vie des deux plus vieux réacteurs de GDF Suez, dont l'activité doit être arrêtée d'ici à 2015, mais de permettre à un troisième réacteur de rester en activité jusqu'à 2025. Elles ont également rétroactivement doublé la taille de la taxe nucléaire à 550 millions d'euros par an.


GDF Suez estime que la taxe nucléaire en Belgique, qui lui coûte environ 250 millions d'euros par an, fait doublon avec d'autres taxes alors que la loi interdit la double imposition d'un même revenu. Cet argument a toutefois été rejeté par le tribunal de Bruxelles, dans la mesure où cette taxe est exceptionnelle.


-Géraldine Amiel, Dow Jones Newswires

296 de 766 - 18/4/2014 20:51
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Par Ludovic Dupin | UsineNouvelle.com


La commission de régulation de l’énergie appelle à attribuer les deux champs des deuxièmes appels d’offres offshore à GDF Suez. Mais EDF juge légitime de remporter le champ de Vendée.


L’attribution des deux champs du deuxième appel d’offres éolien offshore en France est imminente. Sur les deux zones en lice, Noirmoutier (Vendée) et Tréport (Seine-Maritime), s’affrontent deux champions : EDF et GDF Suez. Avantage pour l’heure au second. À l’étude des dossiers, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) a mieux noté GDF Suez. Mais pas question pour le groupe d’Henri Proglio de jeter l’éponge.

"Sur le champ de Vendée, EDF et GDF Suez sont au coude à coude", reconnaît Béatrice Bouffon, directrice générale adjointe France dédiée offshore chez EDF. "Mais nous défendons le fait que nous avons réalisé beaucoup d’études sur ce site. Nous sommes les seuls à avoir effectué des tests de forage pour définir les meilleurs systèmes de fondations (voir encadré). Par ailleurs, nous avons beaucoup travaillé avec les pêcheurs pour nous adapter à leur activité. Notre projet a une emprise un tiers moins grande que celle du consortium concurrent. Nous plaidons pour que ces éléments soient bien pris en compte".

Proximité des usines

EDF semble en revanche plus fataliste sur les champs du Tréport: "Nous visons un site sur les deux. Nous avons beaucoup travaillé aussi sur le Tréport, mais GDF Suez y a une grande antériorité. Il serait logique que ce site lui revienne. D’autant plus qu’il est à proximité des usines Areva qui le fourniront en machines. De la même manière en Vendée, nous sommes proches des usines Alstom de Saint-Nazaire, notre partenaire", explique Béatrice Bouffon.




... Lire la suite sur UsineNouvelle.com


297 de 766 - 22/4/2014 09:58
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
GTT (EU:GTT)
Intraday Stock Chart
Today : Mardi 22 Avril 2014
(CercleFinance.com) - Au 1er trimestre 2014, Gaztransport & Technigaz (GTT) a enregistré une croissance de ses ventes à données comparables de 31,1% à 59,1 millions d'euros. Les projections antérieures, qui prévoient un CA annuel minimal de 223 millions, soit une progression inférieure à 3%, ont cependant été confirmées par le bureau d'études spécialisé dans les systèmes de stockage gazier.

En Bourse de Paris ce matin, l'action GTT prend 0,5% à 45,7 euros.

Durant le premier quart de l'année, les ventes liées aux redevances ont décollé de 28,6% à 56,4 millions d'euros, tout spécialement les membranes pour méthaniers (+ 34,9% à 46 millions d'euros). La nouvelle division Services a vu ses ventes plus que doubler à 2,7 millions d'euros grâce aux 'prestations de maintenance destinées aux navires en service équipés des systèmes GTT'.

'GTT a réalisé une bonne performance au premier trimestre 2014, portée par le dynamisme des segments méthaniers et FPSO et marquée par les premières commandes dans le domaine du 'bunkering'', a commenté le PDG du groupe, Philippe Berterottière.

Les FPSO, pour 'floating production, storage and offloading unit', sont des 'unités flottantes qui reçoivent le gaz produit sur des sites dispersés, suppriment les impuretés du gaz naturel provenant des champs offshore, assurent le traitement du gaz, le liquéfient et le stockent jusqu'à ce qu'il soit chargé sur un méthanier', explique GTT dans son document de référence. Au sein des redevances, les ventes liées aux FPSO ont augmenté de 23,6% sur le trimestre à deux millions d'euros.

Le 'bunkering' désigne l'utilisation de GNL comme combustible pour la propulsion des navires. Encore marginal pour GTT, ce marché pourrait prendre de l'ampleur dans les années qui viennent. De premières commandes ont été enregistrées en la matière, notamment de la part des chantiers navals STX France 'pour convertir les réservoirs de trois autres navires Brittany Ferries à la propulsion au GNL'.

Le groupe indique enfin que son carnet de commandes comptait 101 entrées à fin mars 2014, dont 86 méthaniers, contre 99 entrées à fin décembre 2013.

En guise de perspectives, GTT vise toujours 'un chiffre d'affaires (2014) d'un montant au minimum de 223 millions d'euros correspondant aux revenus associés aux commandes et aux prestations de services enregistrés par la société. Très élevé, le taux de marge nette est toujours attendu aux environs de 50% du chiffre d'affaires.

Le groupe rappelle enfin que le solde du dividende 2013, soit 2,03 euros par action, sera détaché le 21 mai pour une mise en paiement le 26.

GTT, dont GDF Suez et Total restent les principaux actionnaires, a été introduit en Bourse de Paris fin février dernier au cours de référence de 46 euros.

Plusieurs bureaux d'études ont commencé à suivre le titre. Le 10 avril dernier, Société Générale en parlait comme du 'joyau caché des services pétrogaziers français' et estimait que ce groupe 'de niche' a beaucoup en commun avec la société Schlumberger telle qu'elle était en... 1965. Objectif de cours : 56 euros.

Morgan Stanley a également entamé le suivi à l'achat ('surperformance') le 17 avril, avec une cible de 53 euros. 'Nous considérons GTT comme une manière unique de jouer les perspectives à long terme du gaz naturel liquéfié', indiquait la note de recherche.


298 de 766 - 23/4/2014 18:33
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Le titre GDF-Suez rechute sur la base du corridor 19,5/20E: ce n'est jamais que la 4ème occurrence en l'espace de 4 semaines: toute sortie par le haut ou par le base entrainerait un décalage de cours immédiat de + ou -3% et il faut rappeler que le titre a laissé dans sa hausse échevelée du début de l'année 2 'gaps' béants à 19,25E (mi-mars) et 17,77E (le 25/02).
299 de 766 - 26/4/2014 11:58
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002
GDF SUEZ : CALENDRIER - 28/04/2014 - Résultats - Chiffre d'affaires


Boursorama le 25/04/2014 à 17:150

Résultats T1
300 de 766 - 28/4/2014 12:21
waldron Messages postés: 9836 - Membre depuis: 17/9/2002
Les principaux producteurs européens d'énergie ont prévenu la Commission européenne que les nouvelles règles de Bruxelles destinées à imposer une plus grande transparence au marché des dérivés risquaient d'avoir des effets contre-productifs, en accentuant les risques associés à leurs activités.


Selon un courrier adressé la semaine dernière à la Commission européenne par trois organisations représentant les plus grands producteurs européens de gaz et d'électricité, le durcissement des règles concernant le type de collatéraux à apporter pour le négoce de contrats de dérivés sur l'énergie serait excessivement coûteux pour les sociétés non financières. Ces sociétés utilisent habituellement des options et des contrats à terme pour se couvrir contre la variation des prix de l'énergie.


"Ces changements vont augmenter le coût des transactions pour les groupes énergétiques, qui seront alors plus réticentes à couvrir leurs positions; une situation qui accentuera le risque commercial", a souligné Jérôme Lepage, un représentant de la Fédération européenne des négociants en énergie, l'une des trois organisations signataires de la lettre adressée à la Commission.


Ces organisations représentent les principaux producteurs d'énergie, parmi lesquels l'allemand RWE (RWE.XE), le français GDF Suez (GSZ.FR), l'anglo-néerlandais Royal Dutch Shell (RDSA.LN) et l'américain Exxon Mobil (XOM).


Certains opérateurs boursiers européens, dont Nasdaq OMX, avaient indiqué le mois dernier à la Commission que ces nouvelles règles coûteraient aux sociétés non financières au moins 110 millions d'euros par an, et qu'elles risquaient d'inciter les acteurs du marché à se détourner des plateformes réglementées.


Le désaccord porte sur le type d'actifs que les sociétés non financières peuvent présenter comme collatéraux lorsqu'elles négocient des dérivés sur l'énergie. Dans le cadre de la réglementation actuelle, les entreprises énergétiques peuvent utiliser des garanties bancaires comme collatéraux, mais à partir de 2016, ces garanties devront être entièrement adossées à des actifs liquides.


Ces règles de collatéraux font partie d'une nouvelle loi européenne sur la régulation des produits dérivés négociés de gré à gré (ou EMIR, pour "European Market Infrastructure Regulation").


Après la faillite de Lehman Brothers et le sauvetage d'American International Group (AIG), les régulateurs de part et d'autre de l'Atlantique ont cherché à encourager les opérateurs négociant ces produits peu réglementés à détenir davantage de collatéraux et à recourir à des chambres de compensation centralisées, et non plus bilatérales, de manière à éviter que la faillite d'une grande institution puisse faire tomber tout le système financier.


Or les producteurs et consommateurs d'énergie affirment qu'ils ne disposent pas du même niveau d'actifs liquides que les sociétés financières, parce que leurs capitaux sont investis dans des actifs physiques, comme des sites de production.


Modifier les règles sur les collatéraux n'impliquerait pas nécessairement de remanier la législation EMIR, ce qui prendrait des mois ou des années, a souligné Jérôme Lepage. L'Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) est en train de finaliser les modalités de cette loi, adoptée l'an dernier.


Les organismes signataires de la lettre adressées à la Commission sont la Fédération européenne des négociants en énergie, Eurelectric, qui représente le secteur européen de l'électricité, et Eurogas, qui représente le secteur européen du gaz.


Une porte-parole de la Commission européenne n'a pas souhaité faire de commentaire sur la lettre. Des porte-parole d'Eurelectric et d'Eurogas n'ont pas voulu s'exprimer.


-Tom Fairless, Dow Jones Newswires


(Version française Emilie Palvadeau)

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