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Gdf Suez

- 19/2/2009 13:35
ludoverblog Messages postés: 2356 - Membre depuis: 16/11/2005

Craintes exagérées, bilan solide, faibles risques liés au refinancement,… Le titre GDF SUEZ, acteur incontournable du secteur énergétique, garde la faveur des bureaux d’analyse (Citigroup, Morgan Stanley, Credit Suisse) qui sont globalement optimistes sur le dossier avec un objectif moyen de 40,25 EUR (consensus de 25 analystes). Pourtant son cours de bourse fait grise mine. En données hebdomadaires, la valeur est entrée en tendance baissière depuis la rupture sans appel des 36 EUR, en juillet dernier. La chute a été brutale et en octobre dernier, le titre a signé un chandelier hebdomadaire de 22% d’amplitude, un record pour cette valeur. Ces excès ont rapidement été corrigés, mais la valeur n’est jamais parvenue à reconquérir les 36 EUR. Cet objectif de moyen terme est le point d’inflexion de la tendance de fond. En données quotidiennes, après des excès de part et d’autre, un support s’est imposé au niveau des 27 EUR. Techniquement, ce seuil est un premier retracement de la chute d’aout-octobre et le regain de volumes observé à son contact en renforce la pertinence. Sauf nouvelle chute des marchés, ce niveau offre un point d’entrée intéressant à 26,5-27 EUR pour jouer un sursaut vers 30 et 32 EUR.
Opinion : Positive avec comme objectif 32,00.
Warrant : CALL 06/09 Strike 30,00 (ex. 4645Z, 3283T)



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http://ludo.over-blog.net
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501 de 766 - 12/11/2014 15:24
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 12 novembre (Reuters) - L'équilibre entre offre et
demande de gaz en France devrait être assuré cet hiver malgré
les risques liés à la crise russo-ukrainienne, selon les
prévisions fournies mercredi par GRTgaz, le gestionnaire de la
majeure partie du réseau de transport français.
Cette situation résulte d'un meilleur remplissage des
stockages souterrains qu'au cours de l'hiver 2013-2014, favorisé
par une réglementation et des contrôles renforcés, et d'un plus
grand écart de prix entre l'été et l'hiver qui a incité les
fournisseurs à faire des réserves, a précisé dans un communiqué
la société, dont GDF Suez GSZ.PA détient 75% du capital.
GRTgaz a en outre indiqué que tous les points du réseau
pourraient être mobilisés en cas de grande vague de froid, mais
conseille aux fournisseurs de prévoir d'importantes livraisons
de gaz naturel liquéfié (GNL) dans ce cas de figure pour
répondre à la demande.
"Les anticipations que certains ont pu faire d'une crise
russo-ukrainienne ont sans doute amené les opérateurs à prendre
davantage de précautions cette année", a souligné son directeur
général Thierry Trouvé, lors d'une conférence de presse.
"Dans les études que nous avons menées, on n'a pas constaté
de problème insoluble en cas de crise russe - et pas seulement
de crise ukrainienne", a-t-il ajouté.
Thierry Trouvé a rappelé que, par rapport à 2009, le gazoduc
Nord Stream permettait aujourd'hui à la Russie de contourner
l'Ukraine pour alimenter l'Europe de l'Ouest.
Il a également souligné que la Russie représentait entre 15%
et 20% du gaz consommé en France selon les années, un niveau qui
peut selon lui être compensé si besoin.
L'Ukraine, la Russie et l'Union européenne ont par ailleurs
signé fin octobre à Bruxelles un accord garantissant les
livraisons de gaz russe à l'Ukraine durant l'hiver, après quatre
mois d'interruption due aux tensions politiques entre Kiev et
Moscou. ID:nL5N0SP6RD

Voir aussi :
* France-Risque "modéré" de coupures d'électricité cet hiver
ID:nL6N0SX14X

(Benjamin Mallet, édité par Dominique Rodriguez)
502 de 766 - 13/11/2014 08:32
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF Suez: confirme ses objectifs financiers pour 2014.

(CercleFinance.com) - Le chiffre d'affaires s'élève à 54 484 millions d'euros au 30 septembre 2014, en recul de - 7,5 % en brut et de - 7,3 % en organique par rapport à septembre 2013. Le chiffre d'affaires de toutes les branches est en croissance organique, à l'exception de celui de la branche Energie Europe.

' Le recul de la branche Energie Europe s'explique par l'impact défavorable du climat sur les ventes de gaz (les neuf premiers mois de 2014 ayant été très doux en Europe et notamment en France, alors que 2013 avait été exceptionnellement froid) et plus généralement par une baisse des volumes et des prix de vente sur les principaux marchés de la branche ' indique le groupe.

Hors branche Energie Europe, le chiffre d'affaires est en croissance organique de + 5,0 % par rapport à fin septembre 2013 et de + 8,3 % sur le trimestre par rapport au 3ème trimestre 2013.

L'Ebitda sur la période s'élève à 8 854 millions d'euros, en baisse de - 15,4 % en brut et de - 12,0 % en organique par rapport à la même période en 2013. Hors branche Energie Europe, cet agrégat est en variation organique de - 1,0 % par rapport à fin septembre 2013 et de + 6,8 % sur le trimestre.

Le Résultat Opérationnel Courant s'élève à 5 360 millions d'euros, en recul de - 17,3 % en brut et de - 13,7 % en organique par rapport à fin septembre 2013. Hors branche Energie Europe, la croissance organique est de + 2,1 % par rapport à fin septembre 2013 et de + 15,0 % sur le trimestre.

Le Groupe confirme ses objectifs financiers pour 2014. Il vise un Résultat Net Récurrent part du Groupe, après prise en compte de l'effet lié aux arrêts de Doel 3 et Tihange 2, entre 3,1 et 3,5 milliards d'euros. A ce stade, le Groupe anticipe un RNRpg au milieu de cette fourchette. Cet objectif repose sur une estimation d'Ebitda et de ROC en bas des fourchettes initialement annoncées de 12,3 à 13,3 et 7,2 à 8,2 milliards d'euros respectivement.

La direction s'attend à un ratio dette nette/Ebitda inférieur ou égal à 2,5x et le maintien d'une notation de catégorie ' A ' et un dividende au titre de 2014 avec un taux de distribution de 65-75 % (payout), avec un minimum de 1 euro par action, payable en numéraire.

503 de 766 - 13/11/2014 08:45
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - GDF Suez a publié jeudi des résultats en baisse au titre des neuf premiers mois de 2014, pénalisés par un climat défavorable et l'arrêt de trois réacteurs nucléaires en Belgique, et a ajusté à la baisse une partie de ses objectifs annuels.

Le producteur et distributeur de gaz et d'électricité a précisé qu'il visait désormais pour 2014 un résultat net récurrent part du groupe dans le milieu d'une fourchette de 3,1 à 3,5 milliards d'euros, contre 3,3 à 3,7 milliards précédemment, pour tenir compte des arrêts de deux des réacteurs belges (Doel 3 et Tihange 2).

Cet objectif repose sur une estimation d'Ebitda (résultat brut d'exploitation) et de résultat opérationnel courant en bas des fourchettes initialement annoncées de 12,3 à 13,3 milliards et 7,2 à 8,2 milliards d'euros respectivement, a ajouté GDF Suez dans un communiqué.

En matière de dividende, le groupe continue en revanche de prévoir pour 2014 un taux de distribution de 65% à 75%, avec un minimum de 1 euro par action payable en numéraire.

GDF Suez a enregistré au cours des neuf premiers mois de 2014 un Ebitda de 8,9 milliards (-15,4% en brut, -12,0% en organique) et un chiffre d'affaires de 54,5 milliards (-7,5% en brut, -7,3% en organique).


(Benjamin Mallet, édité par Jean-Michel Bélot)
504 de 766 - 13/11/2014 09:26
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - GDF Suez a publié un résultat opérationnel courant sur 9 mois de 5,360 milliards d'euros, en recul de 17,3% en données brutes et en repli 13,7% en termes organiques. Hors branche Energie Europe, la croissance organique est de 2,1% par rapport à fin septembre 2013 et de + 15% sur le trimestre. L'Ebitda s'est, lui, élevé à 8,854 milliards d'euros, en recul de 15,4% en brut et en retrait de 12% en organique. Hors branche Energie Europe, cet agrégat affiche un repli organique de 1,0% par rapport à fin septembre 2013, mais une progression 6,8% sur le trimestre.
Le chiffre d'affaires a atteint 54,484 milliards d'euros, en recul de 7,5% en brut et en repli de 7,3% en organique. Le chiffre d'affaires de toutes les branches est en croissance organique, à l'exception de celui de la branche Energie Europe.

S'agissant des perspectives sur l'exercice en cours, GDF Suez table sur un résultat net récurrent part du groupe, après prise en compte de l'effet lié aux arrêts de Doel 3 et Tihange 2, entre 3,1 et 3,5 milliards d'euros. Le groupe anticipait auparavant un résultat net récurrent part du groupe, compris entre 3,3 et 3,7 milliards d'euros, hors arrêts de ces centrales.

Ce nouvel objectif de résultat net récurrent part du groupe repose sur une estimation d'Ebitda et de résultat opérationnel courant en bas des fourchettes initialement annoncées de 12,3 à 13,3 milliards et 7,2 à 8,2 milliards d'euros respectivement.

Le groupe d'énergie cible par ailleurs toujours un ratio de dette nette rapportée à l'Ebitda inférieur ou égal à 2,5 et le maintien d'une notation de catégorie « A ». Ce ratio s'élevait à 2,35 à fin septembre.

GDF Suez prévoit enfin un dividende au titre de 2014 avec un taux de distribution de 65-75 %, avec un minimum de 1 euro par action, payable en numéraire.


AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) producteur mondial d'électricité non nucléaire, premier fournisseur de services d'efficacité énergétique, deuxième fournisseur de services à l'environnement ;
- Montée en puissance des activités à l'international - Amérique du Nord (5,5 %), Asie-Moyen Orient et Océanie (9,8 %) - la France restant le premier marché du groupe (38,5 %), devant la Belgique (11,4 %) et le reste de l'Europe (29,1 %) ;
- Au-delà des branches énergie Europe (25 %) et International (29 %), croissance des divisions global Gaz et GNL (16%), services à l'énergie ( 8 %), (25%) et infrastructures (25%), à la rentabilité opérationnelle très supérieure à celle de la production pure d'énergie ;
- Stratégie désormais fondée sur la transition énergétique en Europe, les services à l'énergie et les grandes infrastructures gazières hors d'Europe (Japon et émergents) ;
- Réduction drastique de la dette en 2013 et 2014, par cessions d'actifs en Amérique centrale.

Les points faibles de la valeur
- Pression fiscale et réglementaire accrue et conditions de marché difficiles en Europe, premier marché du groupe avec 80 % du chiffre d'affaires, devant l'Asie-Pacifique (9 %), et les deux Amérique (5,5 %) ;
- Faible lisibilité sur les tarifs de gaz, sujets aux décisions de l'Etat français, actionnaire à hauteur de 36 %, qui a diminué le prix réglementé du gaz en août 2014 ;
- Sensibilité aux décisions politiques en Belgique (10% de l'EBITDA) où la nouvelle taxe sur le nucléaire représentera environ 250 millions d'euros par an et où la filiale Electrabel a été pénalisée de 2 Mds? d'amende ;
- Retard dans le nucléaire par rapport à EDF (Paris: FR0010242511 - actualité) , et difficultés en Belgique où la fermeture des réacteurs Doel 3 et Tihange 2 est encore repoussée ;
- Incertitudes sur la gouvernance future, Gérard Mestrallet devant quitter la présidence en 2016;
- Risques géopolitiques autour de la livraison du gaz russe à l'Europe de l'ouest.

Comment suivre la valeur
- Secteur des « utilities », traditionnellement sensible à l'évolution des taux d'intérêt et aux décisions politiques ;
- Performances financières liées à l'évolution des prix du gaz, eux-mêmes dépendants du fioul domestique, du fioul lourd, du Brent et de la parité de change euro/dollar ;
- Evolution de la politique européenne sur la mise en place de mécanismes de capacités garantissant la sécurité d'approvisionnement ;
- Exécution du plan d'actions Perform 2015 : d'une part 11 Mds? de cessions d'actifs matures en Europe, entre 2013 et 2014 ; d'autre part, 7 à 8 Mds? d'investissements bruts annuels sur 2013-2015 (centrale hydro-électrique de Jirau et exploration de gaz naturel au Brésil, usine méthanière en Louisiane, contrats dans le gaz en Chine...) ;
- Accroissement du portefeuille de GNL (20 Mt attendues en 2017 contre 16 Mt vendues en 2013) dont le groupe est 3ème fournisseur mondial ;
¬- Rumeurs de cession partielle de la position dans Suez Environnement, détenu à 36 % ;
- Valeur non opéable, car contrôlée à 33 % par l'Etat français, et dont le capital évoluera : vers un désengagement total, en 2017, de GBL (groupe Albert Frère, actionnaire à 2,4 %) et vers un autre désengagement partiel de l'Etat français.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Services aux collectivités
Engagés dans un nouveau paysage énergétique, les énergéticiens mondiaux, surtout européens, doivent s'adapter face à l'érosion de la rentabilité de leur activité de production électrique, d'après le cabinet de conseil Bain & Company. Selon une étude, sur les cinq dernières années, dans certaines régions, les marges issues de la production d'électricité ont diminué de plus de moitié, ce qui rend non rentables de nombreuses centrales à charbon en Amérique du Nord et des centrales à cycle combiné gaz en Europe, conçues pour ne fonctionner que lors des périodes de pointe de la demande. Certains groupes doivent donc revoir leur portefeuille d'actifs et déterminer comment réduire les coûts.

505 de 766 - 13/11/2014 10:19
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
La baisse de l'Ebitda et du chiffre d'affaires de GDF Suez (GSZ.FR) sur neuf mois est conforme aux attentes, observe la banque d'investissement Bryan Garnier. Elle remarque que cette détérioration est principalement liée à la branche Energie Europe, qui pâtit d'impacts non récurrents. Elle maintient une recommandation "acheter" avec une juste valeur de 23 euros sur le titre, qui gagne actuellement 0,4%, à 18,52 euros.


-William Horobin, Dow Jones Newswires; william.horobin@wsj.com


(Version française Céline Fabre)

506 de 766 - 14/11/2014 17:55
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
DOW JONES NEWS


La Fédération française de rugby (FFR) a annoncé vendredi avoir choisi le groupement Icade-Besix-Cofely GDF-Suez pour la conception, construction, l'entretien et la maintenance de son Grand Stade de rugby prévu à l'horizon 2018 à Ris-Orangis (Val-de-Marne).


Le comité directeur de la FFR a désigné ce groupement au terme de 17 mois de mise en concurrence des offres. La FFR et le groupement doivent désormais finaliser le contrat.


Le stade voulu par la FFR, actuellement liée et jusqu'en 2017 par une concession avec le Stade de France, est prévu pour accueillir 82.000 personne. Il sera doté d'un toit et d'une pelouse rétractables.


Le budget annoncé pour la réalisation de cette enceinte privée est de 600 millions d'euros. La FFR entend recourir en grande partie à l'emprunt pour la financer, emprunt garanti par les collectivités territoriales.

507 de 766 - 15/11/2014 15:04
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 15 novembre (Reuters) - L'Etat français, qui prévoit de céder entre cinq et dix milliards d'euros d'actifs sur les 18 prochains mois, commencera par vendre des parts dans les aéroports régionaux et dans des sociétés "où l'Etat dispose de droits de vote double", déclare samedi Emmanuel Macron dans un entretien accordé au Monde.
Prié de dire si l'Etat va vendre des actions d'EDF ou de la Française des jeux, le ministre de l'Economie répond: "Nous allons commencer par d'autres entreprises comme les aéroports régionaux, ou encore des sociétés où l'Etat dispose de droits de vote double qui lui permettent de garder un poids important."

L'Etat a notamment des droits de vote double chez GDF Suez , dont il détient 33,6% du capital, souligne une source proche du dossier.

Le gouvernement a annoncé le 11 juillet dernier la privatisation de l'aéroport de Toulouse-Blagnac, détenu à 60% par l'Etat.

Emmanuel Macron a indiqué mi-octobre que la priorité du gouvernement n'était pas de réduire sa participation dans le capital d'Orange ni de Renault. Il avait déjà écarté une privatisation de l'électricien EDF. (voir )

En cédant des actifs, l'Etat français veut contribuer à son désendettement mais aussi réinvestir dans des secteurs prioritaires ou certaines entreprises qui ont besoin d'être accompagnées.

L'Etat actionnaire dispose d'un portefeuille de participations dans 74 entreprises dont la valeur est d'environ 110 milliards d'euros. Le gouvernement a annoncé en août 2013 qu'il allait mener une politique active de gestion de ces participations. (Chine Labbé, avec Geert De Clercq)

508 de 766 - 16/11/2014 19:50
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - L'Etat français est prêt à céder des parts dans les groupes énergétiques à condition de conserver un pouvoir d'orientation stratégique en leur sein, a déclaré dimanche Ségolène Royal.

"Avec (le ministre de l'Economie) Emmanuel Macron, nous avons examiné la totalité de ces participations de l'Etat pour voir ce qui était nécessaire, ce qui ne l'était pas forcément, et ce qui était possible", a expliqué la ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie sur France 5.

"Lorsque la participation de l'Etat peut baisser tout en gardant à l'Etat le même pouvoir par rapport à l'orientation de ces entreprises stratégiques (...), il n'y a aucune raison de laisser au frigidaire un certain nombre de participations financières", a-t-elle estimé.

Emmanuel Macron déclare dans Le Monde publié samedi que l'Etat, qui prévoit de céder entre cinq et dix milliards d'euros d'actifs sur les 18 prochains mois, commencera par vendre des parts dans les aéroports régionaux et dans des sociétés "où l'Etat dispose de droits de vote double".

(Sophie Louet avec Geert de Clercq)

509 de 766 - 17/11/2014 12:09
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
DOW JONES NEWS

Les tarifs réglementés du gaz naturel, dont dépendent 7,6 millions de foyers français, diminueront en moyenne de 0,79% (hors taxes) au 1er décembre, après deux mois consécutifs de hausse, a annoncé lundi le gendarme de l'énergie.


Pour les foyers se chauffant au gaz, la baisse sera de 0,8%, détaille la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dans un communiqué. Elle sera de 0,3% pour ceux qui n'utilisent le gaz que pour la cuisson, et de 0,5% pour ceux qui en ont un double usage cuisson et eau chaude.


"Cette évolution résulte de la baisse des coûts d'approvisionnement du fournisseur (...) et s'inscrit dans un contexte de relative stabilité des prix du gaz depuis le mois d'octobre et de tendance à la baisse des cours des indices pétroliers retenus dans la formule tarifaire", explique la CRE.


Depuis le 1er janvier, les tarifs du gaz ont diminué de 2,1% en moyenne. Ils avaient augmenté de 2,31% en novembre et de 3,9% en octobre.


Les tarifs réglementés du gaz consistent en un prix de détail, qui n'inclut pas encore les diverses taxes, mais comprend les coûts d'approvisionnement de GDF Suez. Ils sont révisés mensuellement.


La formule de calcul de ces tarifs réglementés a été modifiée cet été, renforçant leur indexation sur les prix de marché alors qu'autrefois ils étaient essentiellement adossés à l'évolution des cours du pétrole brut.


Environ 7,6 millions de foyers, sur un total de 10,6 millions d'abonnés au gaz, étaient aux tarifs réglementés à la fin juin, tandis que 2,98 millions avaient souscrit des offres à prix libres, dites "de marché", chez GDF Suez ou un fournisseur alternatif.

510 de 766 - 17/11/2014 14:06
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - GDF-Suez valide la cassure des 18,30E (ex-plancher du 8 au 22 août) ce qui ouvre la route d'un retracement des 17E, le récent point bas des 15 et 16 novembre dernier.
511 de 766 - 17/11/2014 15:18
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF SUEZ : Une consolidation vers les supports est probableSYNTHESE


Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. La valeur du RSI est inférieure à 50 : cela confirme la faiblesse des cours. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 18.6 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 17.28 EUR, puis à 16.45 EUR et la résistance est à 19.78 EUR, puis à 20.19 EUR.

Dernier cours : 18.47
Support : 17.28 / 16.45
Resistance : 19.78 / 20.19
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : negative
512 de 766 - 17/11/2014 15:48
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF Suez vend sa filiale hongroise de négoce
lundi 17 novembre 2014 10h35
Imprimer cet article[-] Texte [+] BUDAPEST, 17 novembre (Reuters) - GDF Suez prévoit de céder sa filiale hongroise de négoce d'électricité au négociant hongrois MET Group, détenu à 40% par la compagnie pétrolière et gazière MOL, ont annoncé les deux entreprises dans un avis financier.
Le communiqué, en date du 11 novembre, ne comporte pas d'autre précision. Aucun commentaire n'a pu être obtenu dans l'immédiat auprès du groupe français et de MET Group.

Des groupes étrangers présents dans le secteur hongrois de l'énergie et de l'électricité, comme l'allemand E.ON, ont réduit leurs opérations dans le pays au vu de la politique du Premier ministre Viktor Orban consistant à réduire les prix de l'électricité pour les ménages et à accroître l'influence de l'Etat sur le secteur.

En février, GDF Suez avait annoncé la vente à MET Group de sa participation de 24,5% dans la centrale électrique de Dunamenti, au sud de Budapest. (Gergely Szakacs, Véronique Tison pour le service français
513 de 766 - 18/11/2014 20:37
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, perdant 1.5%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 9.18%.

Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 19 puis 19.3. Tandis que les prochains supports sont sur : 17.4 puis 16.9.

Notre préférence : Le titre GDF Suez (GSZ) est baissier tant que 19.3 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 19.3.
Cours de référence : 18.7.
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
514 de 766 - 08/12/2014 10:10
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC

SUEZ : Risque de correction sous les résistancesSYNTHESE


Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. Néanmoins, le RSI se trouve dans la zone de surachat, on peut s'attendre à une correction technique à court terme. De plus, les stochastiques sont très élevés, ce qui confirme les risques en cas de retournement brutal. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 18.54 EUR, puis à 17.89 EUR et la résistance est à 21.14 EUR, puis à 21.79 EUR.

Dernier cours : 20.52
Support : 18.54 / 17.89
Resistance : 21.14 / 21.79
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : positive
515 de 766 - 12/12/2014 11:53
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
L'autorité britannique de régulation des marchés de l'électricité et du gaz, l'Ofgem, a infligé une amende à trois groupes énergétiques pour ne pas s'être conformés dans les temps à la législation sur l'environnement, dans le cadre du programme d'économie d'énergie du gouvernement.


L'Ofgem a annoncé vendredi avoir infligé une amende de 450.000 livres (plus de 570.000 euros) à GDF Suez/IPM pour ne pas avoir respecté ses obligations dans les délais impartis. Le régulateur a également sanctionné le britannique SSE (SSE.LN) à hauteur de 1,75 million de livres et ScottishPower à hauteur de 2,4 millions de livres.


Ces trois énergéticiens avaient jusqu'à fin 2012 pour se conformer au programme du gouvernement britannique sur les économies d'énergie.


IPM est une joint-venture entre Mitsui (8031.TO) et International Power, qui est contrôlé par le français GDF SUEZ (GSZ.FR).


-Tapan Panchal, Dow Jones Newswires


(Version française Aurélie Henri)

516 de 766 - 12/12/2014 17:48
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe de services aux collectivités GDF Suez (GSZ.FR) et l'énergéticien marocain Nareva Holding ont annoncé vendredi la mis en service commerciale du parc éolien de Tarfaya, dans le sud de la côte Atlantique du Maroc. D'une puissance de 301 MW, ce parc éolien a été construit par Tarfaya Energy Company (TAREC), une coentreprise détenue à parité par les deux partenaires. Le parc éolien de Tarfaya est le plus grand d'Afrique, avec 131 éoliennes d'une puissance de 2,3 MW chacune. Il permettra de fournir de l'électricité à 1,5 million de foyers, sans émission de CO2. En Afrique, GDF Suez est présent dans quatre autres projets, pour une capacité brute d'environ 2.485 MW en construction: le parc éolien de West Coast 1 (94 MW), les centrales électriques d'Avon (970 MW) et Dedisa (335 MW) en Afrique du Sud, ainsi que la centrale thermique de Safi (2x693 MW) au Maroc, a indiqué le groupe français dans un communiqué. (eric.chalmet@wsj.com)
517 de 766 - 15/12/2014 09:20
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - GDF-Suez ouvre un second 'gap', sous 18,89E, après celui des 19,39E du 11/12: le titre s'enfonce nettement sous la MM100 (19E) en direction du récent plancher des 18,30E du 13 au 15 novembre.
En cas d'enfoncement, retour à la case départ de la mi-octobre, soit 18,15E.

518 de 766 - 15/12/2014 10:24
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
TEC


GDF SUEZ : La consolidation peut se poursuivreSYNTHESE


Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. La valeur du RSI est inférieure à 50 : cela confirme la faiblesse des cours. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX


Après un plus haut à 20.52 EUR le titre corrige vers la moyenne mobile à 50 jours à 18.79 EUR : le comportement des cours sur ce niveau permettra d'envisager la poursuite du mouvement à moyen terme. Les premiers points d'achats (ou supports court terme) sont à 18.24 EUR et 17.65 EUR. Les résistances sont à 21.21 EUR et 21.8 EUR.

Dernier cours : 18.94
Support : 18.24 / 17.65
Resistance : 21.21 / 21.8
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : positive
519 de 766 - 15/12/2014 17:00
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
par Geert De Clercq

PARIS (Reuters) - Une nouvelle réduction de la participation de l'Etat français au capital de GDF Suez pourrait constituer la première opération d'envergure du programme de cessions d'actifs envisagé par le gouvernement, estiment sources et analystes du secteur.

Elle s'inscrirait dans le cadre de la vente de cinq à dix milliards d'euros d'actifs dans les 18 prochains mois, dont quatre milliards serviront au désendettement de l'Etat comme prévu par le projet de loi de finances 2015, annoncé en octobre par le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron.

Si les entreprises du secteur de la Défense pourraient elles aussi y contribuer, Emmanuel Macron et la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, ont clairement indiqué que les participations de l'Etat dans l'énergie seraient en première ligne.

Leurs propos ont déclenché des spéculations sur une éventuelle vente d'une partie de 84,5% du capital d'EDF que l'Etat détient, qui valent aujourd'hui près de 36 milliards d'euros, dans la mesure où la loi prévoit un seuil minimum de détention publique de 70% pour l'entreprise.

Mais une combinaison de facteurs industriels et politiques rend plus probable une nouvelle vente d'actions GDF Suez, certains analystes évoquant jusqu'à 10% du capital qui vaudraient autour de cinq milliards d'euros, pour une participation total déjà réduite de 36,7% à 33,6% depuis une cession en juin.


PLUS DÉLICAT POUR EDF

"L'énergie est le secteur le plus probable pour des cessions mais, entre GDF Suez et EDF, on sent que le nucléaire est le secteur le plus sensible", estime Loïc Dessaint, directeur général de la société de conseil aux investisseurs Proxinvest.

Une source gouvernementale souligne elle aussi qu'une cession de titres EDF serait plus délicate politiquement.

Pour une deuxième source gouvernementale, la plus grande internationalisation de GDF Suez rend l'entreprise moins sensible sur la scène nationale et en fait donc un candidat plus probable aux cessions qu'EDF.

Et si l'Etat ne pouvait légalement détenir moins du tiers du capital de l'ancien monopole gazier en vertu d'une loi de 2006, deux nouveaux textes lui permettraient de passer sous ce seuil dès l'an prochain.

Sans nommer GDF Suez, Ségolène Royal a laissé entendre le mois dernier que le gouvernement pourrait recourir à la loi dite "Florange", datant de fin mars, qui permet à l'Etat, comme à tout autre actionnaire détenant des titres nominativement pendant deux ans, des droits de vote doubles dans les sociétés publiques et l'autorise ainsi à réaliser des cessions d'actions tout en gardant le même contrôle de ces sociétés.

Cette loi précise d'ailleurs que, dans des entreprises comme GDF Suez, l'Etat peut réduire temporairement sa participation en dessous du seuil minimal requis à condition d'atteindre ce seuil de détention du capital ou des droits de vote dans un délai de deux ans.

Ce dispositif devrait être complété dans la Loi Macron au cours des prochains mois par un texte exonérant l'Etat de l'obligation de lancer une OPA s'il repassait au-dessus d'un tiers des droits de vote de GDF Suez.

Le gouvernement et GDF Suez n'ont pas souhaité s'exprimer sur le sujet.


(Avec Jean-Baptiste Vey et Yann Le Guernigou, édité par Benjamin Mallet et Cyril Altmeyer)

520 de 766 - 16/12/2014 18:10
waldron Messages postés: 9835 - Membre depuis: 17/9/2002
Le producteur d'énergie GDF Suez (GSZ.FR) a annoncé mardi avoir remporté un contrat de 1,7 milliard de dollars pour la construction d'une nouvelle centrale électrique et d'une ligne de transmission au Chili.


Ce contrat prévoit la construction d'une centrale thermique de 375 MW et de son accès portuaire, ainsi que celle d'une ligne de transport d'électricité qui reliera les villes de Mejillones et Copiapó.


La centrale, dont la mise en exploitation est prévue pour 2018, représente un investissement d'environ 1 milliard de dollars, soit environ 800 millions d'euros. De son côté, le coût total de la ligne de transport est estimé à 700 millions de dollars (environ 560 millions d'euros).


"Ce succès fait suite aux contrats remportés au Brésil en novembre dernier. Il marque une nouvelle étape dans l'ambition de GDF Suez d'être le premier producteur privé d'électricité en Amérique latine d'ici trois ans", a déclaré le PDG du groupe, Gérard Mestrallet.


GDF Suez est présent au Chili via E-CL, le principal producteur d'électricité du réseau électrique du nord du Chili, avec une capacité installée de 2.016 MW. Le groupe possède également 63% du terminal méthanier de Mejillones, qui est entré en exploitation en avril 2010.


-Blandine Hénault, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 53; blandine.henault@wsj.com

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