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17/9/2007 12:09
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0CC
Messages postés: 4515 -
Membre depuis: 14/7/2007
au fait le diam est casse par le bas ...
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17/9/2007 12:10
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SCHIETT6
Messages postés: 1867 -
Membre depuis: 18/8/2007
re attaque du point du niveau de baisse de 5434,90
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17/9/2007 12:10
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Zo0m
Messages postés: 507 -
Membre depuis: 19/8/2007
Bonjour ....Et béh dit donc .....
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17/9/2007 12:10
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chimais
Messages postés: 680 -
Membre depuis: 20/8/2007
$/Y et €/Y se vautrent
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17/9/2007 12:11
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psluse
Messages postés: 513 -
Membre depuis: 20/8/2007
ne jamais rattraper un couteau qui tombe... ca n a peut etre pas fini de devisser
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17/9/2007 12:13
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Zo0m
Messages postés: 507 -
Membre depuis: 19/8/2007
Je débarque complètement ! Cela vaut il encore le coup de jouer la baisse .
On est déjà "très" bas là . Rebond pas rebond ?S'il y a une bonne âme pour
éclairer ma lanterne , en deux mots ...allé 3 :-)
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17/9/2007 12:17
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0CC
Messages postés: 4515 -
Membre depuis: 14/7/2007
http://www.boursorama.com/cours.phtml?symbole=1uNRK.L
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17/9/2007 12:24
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batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
Zoom, je pense que l'on est en D.
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17/9/2007 12:34
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Zo0m
Messages postés: 507 -
Membre depuis: 19/8/2007
Merci Batcha c très clair ;-)
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110 de 207
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17/9/2007 12:34
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Zo0m
Messages postés: 507 -
Membre depuis: 19/8/2007
Occ qui est la prochaine Braclay's ?
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111 de 207
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17/9/2007 12:44
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psluse
Messages postés: 513 -
Membre depuis: 20/8/2007
es ce normal.... on fait la queue a la cantine pour retirer le plat du jour
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112 de 207
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17/9/2007 12:56
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0CC
Messages postés: 4515 -
Membre depuis: 14/7/2007
ama ça commence par un s et ça fini par un g
ou c e
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113 de 207
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17/9/2007 12:59
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0CC
Messages postés: 4515 -
Membre depuis: 14/7/2007
http://fr.finance.yahoo.com/m6
un petit zoiel en passant
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17/9/2007 13:18
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batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
(3) 13/09 17h15 5573->
....i : 13/09 17h15 5573->5487 (86)
........i' : 5573->5506 (67)
........ii' : 5506->5536 zig-zag
........iii': 5536->5505 (31)
........iv' : 5505->5517
........v' : 5517->5487 (30)
....ii : 14/09 13h00 5487->5573max
........a: 14/09 13h00 5487->5518 (31)
........b: 14/09 14h15 5518->5487
........c: 14/09 14h45 5487->5554, 5573max (i), 5506max (i.i')
............5487+1.618x31=5537
............double creux: 5518+(5518-5487)=5549
............61.8% de i= 5540
....iii: 14/09 16h45 5554->5431 (123)
....iv : 14/09 11h50 5431->5487max
....v :
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17/9/2007 13:24
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batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
5487 = résistance importante pour moi
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17/9/2007 13:46
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M3lanie
Messages postés: 1847 -
Membre depuis: 27/11/2006
C'est bien calme, aujourd'hui...
Juste quand je m'apprête à annoncer le top des posteurs...
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17/9/2007 13:55
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paquerette2
Messages postés: 639 -
Membre depuis: 30/7/2007
«Distressed debt»: les professionnels du marché en embuscade
[ 17/09/07 ]
Les acteurs du « distressed », qui anticipaient une dégradation du crédit au second semestre, ont vu leurs engagements augmenter.
La crise du « subprime » est-elle de bon augure pour les « fonds vautours », ainsi surnommés parce qu'ils investissent dans la dette d'entreprises en difficultés, la « distressed debt » ? Dans un rapport de Debtwire, début 2007, les acteurs du marché du « distressed » anticipaient une nouvelle vague de crédits d'entreprises en difficulté en Europe, à compter du second semestre de cette année, sur les LBO secondaires, ou de crédits détenus par les banques publiques allemandes. Après 19 milliards d'euros en 2006, les engagements dans les fonds « distressed » totalisaient 24 milliards de dollars au premier semestre.
« Ils ont la conviction qu'il y aura bientôt de la matière. Toute la difficulté est de ne pas tirer trop tôt », note un banquier cédant et investisseur sur le marché « distressed ». Autre signe, aux Etats-Unis, le nombre de sociétés dont la dette est traitée à un niveau « distressed » est passée de 57 à 148 en août tandis que, en montant absolu, l'indice obligataire spécialisé de Merrill Lynch a triplé en juillet, à 13,8 milliards de dollars, et doublé en août, à 24,8 milliards. Les espoirs de ces fonds en mal de cible semblent donc en passe d'être comblés.
« Aujourd'hui, des créances de CDO d'entreprises sous LBO de très bonne qualité commencent à se traiter avec un niveau de décote de l'ordre de 5 % à 9 % », fait observer un professionnel.
« Bientôt de la matière »
Mais les jeux sont loin d'être faits. « La prudence qui règne aujourd'hui pourrait être source d'illiquidité pour les sociétés en crise. Néanmoins les entreprises présentent encore des fondamentaux solides », nuance Jan Zarzycki, responsable des prises de participation et financements « distressed » en France chez Deutsche Bank. Ensuite, quand bien même les banques ou les fonds céderaient des dettes portant sur des actifs de bonne qualité légèrement décotés, rien ne dit que les fonds de restructuration de dette s'y rueront. « Un investisseur distressed demande au minimum 12 % à 25 % de décote et tout dépend de l'horizon de retournement de la société. S'il doit être long, comme c'est le cas aujourd'hui avec les niveaux de levier atteints, la décote devra être d'autant plus substantielle », indique un banquier spécialisé.
Des cessions de dette comme celle de GAL, le holding de CAT, logisticien de Renault, qui se sont beaucoup traitées autour de 80 % au premier semestre, « se traiteraient beaucoup plus bas aujourd'hui », précise un banquier.
« Ces deux dernières années nous pouvions trouver preneur à des prix relativement élevés. Aujourd'hui, les niveaux de décote exigés ont sensiblement augmenté, dit Jean-Pierre Falgas, responsable des affaires spéciales de BNP Paribas. Cela nous pousse à restructurer nos créances en interne. » En clair, « nous sommes passés d'un marché de vendeurs à un marché d'acheteurs en matière de créances distressed », résume-t-il. Surtout, il ne faut pas omettre le premier impact de la crise sur le marché « distressed » : la dégradation des conditions de financement des opérations en cours. « Aujourd'hui, quand je recherche de 2 à 25 millions d'euros pour des sociétés sous mandat ad hoc, aucun allongement de crédit n'est accordé », observe Philippe Druon, avocat associé chez Weil, Gotshal & Manges.
ANNE DRIF
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17/9/2007 13:57
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0CC
Messages postés: 4515 -
Membre depuis: 14/7/2007
on est tj sur oblique basse du canal plus haut
on la suit ...
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17/9/2007 14:03
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paquerette2
Messages postés: 639 -
Membre depuis: 30/7/2007
Semaine de vérité pour les banques de Wall Street après la tempête de l'été
[ 17/09/07 ]
Lehman Brothers ouvre demain la saison des résultats trimestriels des banques d'investissement américaines. Attendue avec impatience par les investisseurs, son annonce donnera une idée de l'impact de la crise estivale sur les banques de marché.
DE NOTRE BUREAU DE NEW YORK.
L'heure de vérité va sonner cette semaine pour les banques de Wall Street. Une quinzaine de jours après la clôture d'un troisième trimestre marqué par la crise du « subprime », tous les regards vont dès demain se tourner vers Lehman Brothers qui, avant Morgan Stanley puis Goldman Sachs, les jours suivants, ouvre le bal des résultats trimestriels.
Dès vendredi dernier, Merrill Lynch a prévenu que ses comptes trimestriels, attendus pour le mois prochain, comporteraient des « ajustements à la valeur de marché («fair value») » de son exposition aux marchés de crédit « subprime ». Le risque que cet exercice affecte les résultats est « significatif », a-t-il laconiquement indiqué sans plus de détails. Merrill Lynch est l'un des principaux émetteurs de dette titrisée de type CDO (« collateralized debt obligation ») avec 10,3 milliards d'actifs à fin juin. Exposée au « subprime » à travers sa filiale First Franklin, la banque est à la fois investisseur, prêteur et apporteur de contrepartie et de garanties sur les marchés touchés.
Une marge de manoeuvre
« On a pu mesurer l'impact de la crise sur les spécialistes du crédit immobilier et sur un acteur comme Bear Stearns qui a connu des difficultés spécifiques. Là, on va voir l'impact global », pronostique Rob Hegarty, consultant au sein du cabinet Tower Group. « La réalité est que, sur un plan comptable, les dirigeants bénéficient toujours d'une certaine marge de manoeuvre leur permettant d'être plus ou moins agressifs », met néanmoins en garde Scott Sprinzen, de Standard & Poor's.
Premier à rendre ses comptes publics, Lehman devrait ainsi contribuer à donner le ton. A la lumière de précédents historiques, la crise traversée cet été et les soubresauts qui risquent de se poursuivre pourraient théoriquement avoir de très lourdes conséquences. Imaginant un scénario catastrophe proche de la tempête financière de 1998, Standard & Poor's calcule ainsi que les revenus des banques d'affaires américaines, de plus en plus dépendantes de leurs activités « fixed income », pourraient dans le pire des cas chuter de 47 % sur la seconde moitié de 2007, entraînant ainsi un recul de 70 % des résultats avant impôt.
De bons fondamentaux
Mais derrière cette vision noire que l'agence de notation juge de toutes les façons très peu probable se dissimule une bonne nouvelle : les banques d'affaires resteraient, même dans ce cas, rentables bien que leur marge passerait de 36 % sur la première moitié de l'année à 21 % sur la seconde.
Si Standard & Poor's comme la majorité des analystes restent pour l'instant sereins, c'est d'abord que les experts sont nombreux à estimer que bien que réelle, la crise du « subprime » ne doit pas faire oublier que les fondamentaux de l'économie mondiale restent bons et que, même si elle est en perte de vitesse, l'économie américaine pourrait elle aussi continuer de croître à un rythme tournant autour de 2 %. La direction de Lehman, qui a rencontré les analystes d'UBS, n'a cependant pas caché que les objectifs de croissance fixés par la banque seraient beaucoup plus difficiles à atteindre si la croissance passait sous cette barre des 2 %.
Mike Mayo, de Deutsche Bank, souligne de son côté que « la première baisse des taux en quatre ans », que devrait décider demain la banque centrale américaine, devrait également avoir un impact positif tant sur le marché boursier que sur les fondamentaux des banques très dépendantes de l'évolution de la courbe des taux. « La diversité de leurs activités devrait aussi permettre aux banques d'encaisser le choc. Ce qu'elles ont perdu sur le «subprime» sera peut-être plus que compensé par les éventuels gains liés aux activités de marché qui ont pu profiter de la très forte volatilité du mois d'août », analyse Rob Hegarty.
Relativement confiantes, les équipes de Sandler O'Neill ne misent pour l'instant en moyenne que sur un recul de 5 % du résultat par action des « brokers » sur le troisième trimestre tout juste clos. Selon le consensus recueilli par Reuters Estimate, le résultat par action trimestriel de Lehman devrait ainsi être de 1,54 dollar contre 1,57 sur la même période l'an dernier.
Tailler dans les coûts
Fidèle à leurs habitudes, les banques d'affaires devraient en plus tailler rapidement dans leurs coûts. Les bonus sont d'ores et déjà en ligne de mire et les effectifs seront eux aussi réduits comme l'a déjà démontré Lehman Brothers en poussant vers la sortie 2.500 personnes.
Scott Sprinzen ne s'attend cependant pas à un bain de sang. « Les réductions d'effectifs ont déjà commencé et certaines banques vont cesser certaines activités spécifiques », reconnaît l'analyste, mais, un rebond restant encore possible, les banques vont sans doute chercher à conserver à moindre coût un personnel dont elles pourraient avoir besoin demain.
« Wall Street rayonnait encore de confiance il y a quelques mois. Aujourd'hui, il y a de la prudence. Mais il n'y a pas de panique », conclut Rob Hegarty. Reste à voir l'accueil que le marché va réserver à des banques qui, après des années de folle croissance, entrent dans une phase de décélération.
DAVID BARROUX
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17/9/2007 14:03
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psluse
Messages postés: 513 -
Membre depuis: 20/8/2007
Lol le top des posteurs... MDRRR cést OCC qui poste le plus y a aucun doute, suivi de Batcha et Schiett
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