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Royal Dutch Shell

- 28/10/2015 10:53
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

(CercleFinance.com) - Après avoir renoncé, le mois dernier, à un projet offshore au nord de l'Alaska, la major pétro-gazière Royal Dutch Shell continue de sabrer ses actifs d'Amérique du Nord. C'est cette fois le projet de Carmon Creek, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta réputé pour ses sables bitumineux et dont le potentiel était chiffré à 80.000 barils/jour, qui passe à la trappe. Ce qui occasionnera une charge pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars sur les comptes du 3e trimestre, attendus le 29 octobre.

Le projet était sur la sellette depuis mars 2015. Hier, Shell a annoncé qu'après avoir passé en revue le projet d'un point de vue technique et avoir mis à jour ses hypothèses de coûts, il ne considérait plus, en l'état actuel des choses, que Carmon Creek pouvait figurer au sein de son portefeuille d'actifs.

Le directeur général, Ben van Beurden, a déclaré que cette décision s'était imposée au groupe en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du pétrole.

L'un de problèmes dénoncés le plus clairement : l'absence d'infrastructure permettant de transporter le brut qui aurait été extrait de ce projet vers les “marchés pétroliers globaux”.

Les travaux de développement du gisement seront gelés et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, une maintenance minimale des infrastructures actuelles sera de rigueur.

De ce fait, les comptes du 3e trimestre seront grevés par une provision pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars (1,8 milliard d'euros environ).



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245 Réponses
 ...    12 
221 de 245 - 01/8/2019 09:12
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

(Actualisation: précisions sur la production au deuxième trimestre)



BARCELONE (Agefi-Dow Jones)--Royal Dutch Shell a annoncé jeudi une
baisse de 42% de son bénéfice au deuxième trimestre, attribuée au recul
des cours du pétrole et du gaz et à la contraction des marges des
activités de chimie et de raffinage.



La major
pétrolière anglo-néerlandaise a publié un bénéfice hors variation du
coût de remplacement des stocks de 3,03 milliards de dollars au titre du
deuxième trimestre, contre 5,23 milliards de dollars pour la période
correspondante de 2018.



Le bénéfice ajusté hors
variation du coût de remplacement des stocks, qui exclut certains
éléments exceptionnels et est la mesure de rentabilité préférée de
Shell, s'est établi à 3,46 milliards de dollars, à comparer à 4,69
milliards de dollars au deuxième trimestre 2018. Selon les estimations
de 26 analystes sondés par Vara Research, le bénéfice ajusté hors
variation du coût de remplacement des stocks était attendu à 4,93
milliards de dollars au deuxième trimestre.



La baisse
des cours pétroliers a été en partie compensée par une hausse de la
production, a indiqué Shell. La production totale du deuxième trimestre a
augmenté de 4% sur un an, à 3,6 millions de barils équivalent pétrole
par jour en moyenne, mais elle s'est repliée par rapport au premier
trimestre.



Le chiffre d'affaires a baissé de 7,5% pour
s'établir à 91,84 milliards de dollars, a indiqué Shell. Les flux de
trésorerie opérationnelle ont augmenté à 11,03 milliards de dollars,
contre 9,5 milliards de dollars un an auparavant.



La
société a ajouté qu'elle rachèterait pour 2,75 milliards de dollars
d'actions dans le cadre de la prochaine tranche de son programme de
rachats d'actions, comme au premier trimestre. Shell a lancé un
programme de rachats d'actions de 25 milliards de dollars l'an dernier.



Shell a maintenu son dividende trimestriel à 47 cents par action.



-Oliver Griffin, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



August 01, 2019 02:48 ET (06:48 GMT)

222 de 245 - 02/8/2019 11:32
adrian j boris Messages postés: 302 - Membre depuis: 28/6/2018
Shell : 'une opportunité d'achat', selon Jefferies
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0
02/08/2019 | 09:49
Le bureau d'études Jefferies confirme son conseil d'achat sur la 'major' anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell en visant, sur l'action de classe A cotée à Londres, un objectif de cours inchangé de 2.900 pence. Ce qui augure potentiellement d'une hausse de 20%.

Les analystes réagissent au bénéfice trimestriel décevant (30% sous les attentes, en données ajustées) publié hier par le groupe pétro-gazier, d'ailleurs sanctionné par une baisse de l'action proche de 5% qui continue ce matin. Une déconvenue qui vaut aussi pour la génération de trésorerie opérationnelle. Bref, 'il s'agit d'un mauvais trimestre' découlant notamment de la faiblesse des marchés gaziers et pétrochimiques, indique une note.

Cela étant, argumente Jefferies, il ne s'agit que d'une mauvaise passe transitoire : les analystes sont convaincus que Shell reste en mesure de tenir ses objectifs et notamment de dégager un cash flow libre d'au moins 28 milliards de dollars à horizon 2020. 'Nous sommes d'avis que le marché a surréagi et qu'il s'agit donc là d'une opportunité d'achat', indique une note de recherche.
223 de 245 - 22/8/2019 09:57
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

22 août 2019 / 09:46 / il y a 10 minutes

Shell se place sur le marché de l'électricité australien avec ERM Power

Reuters Staff

2 MINUTES DE LECTURE

Royal
Dutch Shell veut faire son entrée sur le marché de l'électricité
australien avec son projet d'acquisition d'ERM Power pour 617 millions
de dollars australiens. /Photo d'archives/REUTERS/Marcos Brindicci

MELBOURNE
(Reuters) - Royal Dutch Shell veut faire son entrée sur le marché de
l’électricité australien avec son projet d’acquisition d’ERM Power,
numéro deux du pays en matière de fourniture du courant aux entreprises
et à l’industrie, pour 617 millions de dollars australiens (377 millions
d’euros).

En mettant la main sur ERM, le géant pétrolier
anglo-néerlandais, se retrouverait avec 25% du secteur de la
distribution de l’électricité aux professionnels, derrière Origin
Energy, numéro un de ce segment en Australie. Le groupe récupèrerait
également deux centrales fonctionnant au gaz.

PUBLICITÉ

Shell,
qui est déjà l’un des principaux producteurs de gaz en Australie, veut
tirer parti de sa dimension mondiale pour se développer dans
l’électricité, le groupe prenant ainsi acte d’une demande pour une
énergie plus “propre”.

Pour ce faire, il entend investir chaque
année entre deux et trois milliards de dollars US (entre 1,8 et 2,7
milliards d’euros) par an d’ici 2025.

PUBLICITÉ

ERM
a accepté l’offre, qui représente une prime de 43% par rapport à son
dernier cours de clôture, et recommande à ses actionnaires de la voter.

Trevor
St Baker, fondateur d’ERM et actionnaire principal de l’entreprise avec
27%, a dit dans un communiqué qu’il accepterait l’offre de 2,465
dollars australiens par action en cas d’absence de surenchère.

Le titre ERM a fini à 2,45 dollars par action, soit un bond de 42,44%, s’alignant sur le prix de l’offre de Shell.

Sonali Paul, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Jean-Michel Bélot

224 de 245 - 11/9/2019 10:04
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Royal Dutch Shell : HSBC passe d'acheter à conserver en visant 2500 GBp.
225 de 245 - 16/9/2019 08:59
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
Royal Dutch Shell : Berenberg reste à conserver avec un objectif de cours réduit de 2900 à 2750 GBp.
226 de 245 - 29/11/2019 17:01
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Royal Dutch Shell a bien conscience que le

changement climatique implique une évolution de son activité, mais

hésite encore sur la marche à suivre. Tel un client particulièrement

exigeant, le groupe anglo-néerlandais préfère d'abord tester plusieurs

modèles écologiques avant d'en choisir un.


L'approche
est plutôt pertinente dans la mesure où l'on ignore à quoi pourrait
vraiment ressembler un avenir zéro-carbone. A un moment donné, les
investisseurs devront toutefois se préparer à ce que la compagnie
pétrolière prenne une grande décision.



Tous les pays, à
l'exception notable des Etats-Unis, se sont engagés à réduire leurs
émissions carbone pour se conformer à l'Accord de Paris sur le climat,
négocié en 2015. Les événements climatiques extrêmes, les marches pour
le climat et la sensibilisation de plus en plus poussée de l'opinion
publique à ce sujet poussent les gouvernements à agir. Le secteur gazier
et pétrolier est le premier concerné par les changements drastiques qui
doivent être apportés, dans cette optique, à leur modèle économique.




Dans le même temps, les incertitudes concernant le rythme de la
transition énergétique et la façon dont les économies à faibles
émissions de CO(2) devront être structurées pour produire et vendre
énergie, produits alimentaires et moyens de transport restent immenses.




Face à ce casse-tête, Shell a promis, d'ici à 2050, de diviser par
deux son empreinte carbone nette par rapport à son niveau de 2016. La
major a progressivement réduit sa production de pétrole pour développer
celle de gaz et introduit l'électricité dans son mix produit. Elle
applique également son expertise en négoce et vente de détail à des
produits autres que le gaz et le pétrole. Fort de 45.000 points de
vente, soit plus que Starbucks ou McDonalds, Shell sert 30 millions de
clients par jour.



Ces dernières années, le groupe a
également investi entre 1 et 2 milliards de dollars par an en moyenne
dans des tests à petite échelle consacrés à de nouvelles sources
d'énergie, parmi lesquelles l'électricité, les biocarburants, l'énergie
solaire, l'énergie éolienne, les batteries et l'hydrogène. La plupart de
ces essais ne sont pas rentables, mais leur coût reste tout à fait
supportable comparé au flux de trésorerie disponible annuel de plus de
20 milliards de dollars généré par Shell.



Ces tests
permettent au groupe anglo-néerlandais d'obtenir des informations sur de
nouveaux marchés et lui donnent l'opportunité d'influer sur les
attentes des clients et sur la réglementation à mesure qu'elles se
développent. De façon plus hypothétique, le groupe pourrait également
bénéficier ainsi de l'avantage du précurseur dans ces activités à
faibles émissions carbone, susceptibles à terme de générer les juteux
bénéfices escomptés par les investisseurs du secteur pétrolier.




Pour certains, ces projets ne sont pour Shell qu'un moyen de donner
une image plus "verte" à son activité d'énergie fossile, qui absorbe
encore plus de 90% de ses dépenses d'investissement. Or cette vision ne
tient pas compte des investissements massifs auxquels doit procéder le
groupe, l'un des plus grands producteurs d'or noir du monde, pour
réduire de moitié ses émissions carbone.



Shell devra
dépenser près de 180 milliards de dollars d'ici à 2050 pour atteindre
son objectif, selon les estimations de Barclays, un montant énorme mais
pas irréaliste. Le groupe prévoit déjà de consacrer 2 à 3 milliards de
dollars par an à ses nouveaux tests énergétiques entre 2021 et 2025, à
comparer à des dépenses d'investissement totales d'environ 30 milliards
de dollars.



Si les précédentes incursions de Shell sur
de nouveaux marchés comme les métaux, le nucléaire et l'énergie solaire
ont capoté, le calendrier semble lui être plus favorable cette fois-ci
et les erreurs passées devraient lui permettre de rectifier le tir.




La stratégie actuelle constitue pour Shell une façon prudente et
proactive de tester différentes conceptions d'un avenir plus durable.
Pour les actionnaires, la seule autre solution, qui n'a rien
d'attrayant, consiste à attendre qu'une miraculeuse percée des
technologies de capture du CO2 vienne sauver le secteur de l'énergie
fossile.



Viendra pourtant un temps - sans doute vers le
milieu de la prochaine décennie - où Shell devra se prononcer sur les
projets à développer plus avant et sur ceux qu'il lui faudra abandonner.
C'est cette décision-là qui constituera pour Shell le véritable test.



-Rochelle Toplensky, The Wall Street Journal



(Version française Emilie Palvadeau) ed: VLV



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



November 29, 2019 08:07 ET (13:07 GMT)

227 de 245 - 04/12/2019 09:43
Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017

Royal Dutch Shell : MainFirst démarre le suivi à surperformance en visant 2644 GBpTotal : MainFirst démarre le suivi à surperformance en visant 61 EUR.
228 de 245 - 19/12/2019 12:47
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

Royal Dutch Shell : S'attendre au retour d'une tendance affirmée




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19/12/2019 | 09:26


achat

update-arrows.svg

En cours


Cours d'entrée : 26.4€ | Objectif : 28.5€ | Stop : 24.8€ | Potentiel : 7.95%
En phase d'accumulation horizontale, le timing apparaît
intéressant pour se positionner sur Royal Dutch Shell et anticiper ainsi
une extraction par le haut de cette zone de congestion.
On pourra se positionner à l'achat pour viser les 28.5 €.

Royal Dutch Shell : Royal Dutch Shell : S'attendre au retour d'une tendance affirmée


Synthèse
  • D'une manière générale et dans une optique à court terme, la société présente une situation fondamentale intéressante.

Points forts

  • Fondamentalement,
    avec un ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de l'ordre
    de 0.79 pour l'exercice en cours, la société apparaît faiblement
    valorisée.
  • La société bénéficie de multiples de résultats
    attractifs. Avec un PER de 10.85 pour 2019 et de 8.65 pour 2020, la
    société fait partie des moins chères du marché.
  • Les investisseurs qui recherchent du rendement pourront trouver dans cette action un intérêt majeur.
  • L'écart
    entre les cours actuels et l'objectif de cours moyen des analystes qui
    couvrent le dossier est relativement important et suppose un potentiel
    d'appréciation conséquent.

Points faibles

  • Le
    groupe fait partie des entreprises dont les perspectives de croissance
    apparaissent les plus faibles d'après les estimations d'analystes.
229 de 245 - 06/1/2020 11:29
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003

Royal Dutch Shell (LSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 6 Janvier 2020

Plus de graphiques de la Bourse Royal Dutch Shell


Rochelle Toplensky,



The Wall Street Journal




LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Si les données numériques sont le nouvel or
noir, le pétrole pourrait quant à lui connaître le sort du tabac.




Comme les cigarettiers avant eux, les producteurs de pétrole se
trouvent confrontés à une lame de fond encouragée par les pouvoirs
publics et visant à faire sensiblement baisser la demande pour leurs
produits. Partout dans le monde, les gouvernements s'engagent à
décarboner les transports et l'économie en général dans l'optique de
freiner le changement climatique.



Voitures, poids
lourds, trains, avions et bateaux sont à l'origine d'un tiers environ
des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Jusqu'à récemment,
leurs fournisseurs de carburant s'efforçaient surtout de trouver les
moyens de produire davantage. Or la grande question qui se pose
actuellement consiste plutôt à savoir quand la demande atteindra son
pic, et non quand les ressources de pétrole arriveront à épuisement.




Les majors pétrolières semblent aborder cette question sous deux
angles. Certaines, comme Royal Dutch Shell et Total, cherchent des
solutions pour se transformer en producteurs d'énergie à faibles
émissions de carbone. D'autres, comme Exxon Mobil, préfèrent s'en tenir à
leur spécialité : l'extraction pétrolière.



La route vers la décarbonisation sera longue




Les deux approches se défendent. La tendance est clairement à la
décarbonisation, mais rien ne garantit que la révolution climatique sera
menée à son terme. Pour que le monde change, responsables politiques,
industriels et consommateurs devront faire des choix difficiles. Il
faudra mettre des centaines de milliards de dollars sur la table pour
transformer les véhicules, les stations-service, la production, les
réseaux et le stockage d'électricité, de même que pour rééquiper les
sites de production et former les salariés du secteur des énergies
fossiles aux nouvelles sources d'énergie. La transition s'annonce
particulièrement ardue pour le secteur aéronautique.



Le
scénario de développement durable élaboré par l'Agence internationale
de l'Energie (AIE) prévoit un pic de la demande de brut en 2020, à 97
millions de barils par jour, et une réduction de la demande à 73% des
niveaux constatés en 2017 d'ici à 2040. Un autre scénario, moins
ambitieux, prévoit en revanche un pic de la demande d'or noir en 2040, à
106 millions de barils par jour, ce qui représente une hausse de 12%
par rapport aux niveaux de 2017. Les deux scénarios, ainsi que beaucoup
d'autres, sont plausibles.



Les prévisions mondiales
doivent tenir compte d'importantes disparités régionales. La croissance
démographique et l'augmentation de la prospérité en Afrique et en Asie
se traduiront par une hausse des émissions. L'Europe s'est pour sa part
engagée à les réduire drastiquement, tandis que les Etats-Unis ont de
leur côté officialisé leur retrait de l'Accord de Paris et relancé
l'industrie du charbon, même si certains Etats et certaines villes ont
promis de réduire leurs émissions.



Ces divergences
rendent les prédictions difficiles, mais c'est un facteur dont les
majors pétrolières ont l'habitude. Depuis des décennies, elles
construisent des projets complexes et onéreux tout en jonglant avec une
mosaïque changeante d'exigences réglementaires et politiques. Leurs
activités couvrent désormais une palette qui va de la découverte de
nouvelles réserves pétrolières à la vente de café, en passant par les
stations de lavage de voitures. La plupart de ces entreprises disposent
en outre de solides bilans et cash-flows, assainis par un retour à une
rigoureuse maîtrise des coûts, qui leur assurent une trésorerie
suffisante pour investir.



Des expérimentations peu récompensées




Le développement de projets expérimentaux à faibles émissions de
carbone permet aux grandes compagnies pétrolières d'acquérir de
nouvelles compétences et d'influer sur la future évolution des marchés
et de la réglementation. Dans le type de réseau énergétique intelligent
et connecté qui semble à même de pouvoir étancher la soif mondiale de
pétrole, les liens avec le consommateur final seront de plus en plus
importants. Certains investissements dans ces projets se feront à perte,
mais c'est aussi le cas lorsque les forages d'exploration tombent sur
des puits secs. Les actionnaires, eux, doivent surveiller en priorité
toutes les mesures annonciatrices d'un développement plus poussé de ces
projets.



Pour l'heure, les investisseurs ne semblent
pas prêts à récompenser les majors pétrolières pour ce genre
d'expériences. Les actions Shell et Total présentent une décote par
rapport leurs concurrentes américaines.



Cette réaction
peut sembler rationnelle à court et même à long terme : les fabricants
de cigarettes ont prouvé qu'il était possible d'accroître ses bénéfices
dans un marché en baisse. Reste que le précédent offert par Big Tobacco,
qui a perdu une bonne partie de sa valorisation boursière au cours des
deux dernières années sous l'effet d'une nouvelle vague réglementaire
aux Etats-Unis, montre également à quelle vitesse les investisseurs
peuvent retourner leur veste en cas de durcissement de la
réglementation.



Même si les investisseurs ne le
réalisent pas encore, les compagnies pétrolières qui prennent au sérieux
les objectifs mondiaux de décarbonisation ont peut-être trouvé la clé
de leur survie.



-Rochelle Toplensky, The Wall Street Journal



(Version française Emilie Palvadeau) ed: VLV - ECH



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(END) Dow Jones Newswires



January 06, 2020 03:03 ET (08:03 GMT)

230 de 245 - 27/1/2020 14:52
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Les valeurs pétrolières européennes

reculent lundi, tandis que le prix du baril de Brent abandonne plus de

3% en réaction à la propagation du coronavirus en Chine. Total perd 2%,

Royal Dutch Shell et BP cèdent respectivement 2,1% et 2,2%, et Eni

abandonne 1,8%. "Le pétrole a accusé de fortes baisses la semaine

dernière, en grande partie en raison de la crise sanitaire en Chine",

commente David Madden, de CMC Markets. "Le pays est le premier

importateur de pétrole au monde, les opérateurs craignent donc que la

situation freine l'activité économique, entraînant une diminution de la

demande", ajoute-t-il.


-Philip Waller, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret) ed: VLV



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



January 27, 2020 05:58 ET (10:58 GMT)

231 de 245 - 19/5/2020 17:28
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Royal Dutch Shell : AlphaValue reste à l'achat avec un objectif de cours réduit de 1952 à 1743 GBp.
232 de 245 - 30/6/2020 15:30
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Shell a réalisé un deuxième trimestre

meilleur que prévu en dépit des dépréciations découlant de la révision

en baisse de ses prévisions de prix pour le pétrole et le gaz, indique

RBC Capital Markets. Selon l'intermédiaire financier, les prévisions

opérationnelles pour la période sont supérieures aux projections

initiales fournies en avril, bien que le groupe ait abaissé ses

prévisions pour le prix du brut de 60 à 35 dollars le baril en 2020.

"Les prévisions pour le deuxième trimestre sont dans l'ensemble bien

meilleures que celles données fin avril", note Biraj Borkhataria, de

RBC. "Après la baisse du dividende, nous pensons que Shell, même dans

l'environnement actuel, se désendettera rapidement, ce qui devrait

ouvrir la voie à une meilleure rémunération des actionnaires et à une

augmentation du dividende par action au fil du temps", explique-t-il.

L'action Shell perd 0,7% à 1.261 pence.


-Philip Waller, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret) ed: VLV





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(END) Dow Jones Newswires



June 30, 2020 03:36 ET (07:36 GMT)

233 de 245 - 10/7/2020 15:11
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002

LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Les cours du pétrole s'inscrivent en net

repli vendredi, alors que la recrudescence de la pandémie de coronavirus

nourrit les inquiétudes au sujet des perspectives économiques. A 12h20,

le contrat d'août sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex reculait

de 1,06 dollar, soit 2,7%, à 38,56 dollars le baril. Le contrat de

septembre sur le Brent de la mer du Nord perdait 94 cents, soit 2,2%, à

41,41 dollars le baril. "Le plus grand risque est lié à la possibilité

d'une seconde vague [de coronavirus] et en particulier à de nouvelles

fermetures de l'économie", note Carlo Alberto De Casa, analyste à

ActivTrades. "En outre, dans un contexte de récession mondiale, la

demande de pétrole va diminuer, avec les effets que cela implique sur

les prix", ajoute-t-il.


-Philip Waller, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret) ed: LBO





Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



July 10, 2020 06:36 ET (10:36 GMT)

234 de 245 - 26/8/2020 08:41
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

26/08/2020 | 08:35

Barclays
réajuste son conseil. Précédemment neutre, le broker est désormais à
vendre. L'objectif de cours demeure inchangé à 1500 GBX.

235 de 245 - 27/8/2020 08:56
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
Shell : Exane BNP Paribas passe de neutre à surperformance en visant 1590 GBp.
236 de 245 - 08/1/2021 14:49
waldron Messages postés: 9812 - Membre depuis: 17/9/2002
Dans
une note de recherche publiée par Thomas Adolff, le broker Credit
Suisse conseille de s'intéresser au titre avec une opinion à l'achat.
L'objectif de cours est revu à la hausse et passe de 1550 GBX à 1715
GBX.
237 de 245 - 28/5/2021 12:43
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1716 - Membre depuis: 24/6/2003
UBS est positif et recommande le titre à l'achat. L'objectif de cours demeure inchangé à 1860 GBX.
238 de 245 - 03/7/2021 12:58
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
L'analyste Biraj
Borkhataria de chez RBC maintient son opinion acheteuse sur le titre.
L'objectif de cours reste fixé à 2200 GBX.
239 de 245 - 07/7/2021 09:54
Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Royal Dutch Shell a annoncé mercredi
anticiper une nouvelle baisse de sa dette nette au deuxième trimestre,
ainsi que d'importantes dépréciations sur la période pour ses
principales divisions. Le producteur britannique d'énergie prévoit par
ailleurs d'augmenter la rémunération de ses actionnaires à partir de la
publication de ses résultats du deuxième trimestre, prévue le 29
juillet, en leur distribuant entre 20% et 30% de son flux de trésorerie
opérationnelle.


"Au deuxième trimestre, Shell prévoit d'avoir encore réduit sa dette
nette, même si l'ampleur de cette baisse sera modérée par les mouvements
du fonds de roulement", a indiqué le groupe, en précisant qu'il
renoncerait à son objectif d'un endettement de 65 milliards de dollars. A
la fin du premier trimestre, la dette nette de Shell s'établissait à
71,3 milliards de dollars.


Le groupe britannique, qui a récemment lancé une nouvelle stratégie de
transition énergétique, prévoit des dépréciations avant impôts
comprises entre 3,2 milliards et 3,5 milliards de dollars pour sa
division amont au deuxième trimestre et entre 1,3 milliard et 1,4
milliard de dollars pour sa branche gaz intégré. La division produits
pétroliers devrait enregistrer des dépréciations avant impôts d'un
montant de 800 millions à 1 milliard de dollars, et les dépréciations de
la branche chimie sont attendues entre 250 millions et 300 millions de
dollars.


Le groupe a revu à la hausse sa prévision de production de gaz intégré
au deuxième trimestre, entre 900.000 et 960.000 barils équivalents
pétrole (BEP) par jour, contre 880.000 à 940.000 BEP attendus
précédemment. La production des activités amont devrait s'établir entre
2,225 millions et 2,3 millions de barils par jour, à comparer à une
précédente fourchette de 2,15 millions à 2,35 millions de barils par
jour.


Shell a par ailleurs confirmé que ses ventes de produits pétroliers
devraient se situer entre 4 millions et 5 millions de barils par jour au
deuxième trimestre, tandis que les volumes de la chimie devraient
ressortir entre 3,5 millions de tonnes et 3,8 millions de tonnes.


-Valérie Venck, Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 48 25;

vvenck@agefi.fr   ed: DID 


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July 07, 2021 02:48 ET (06:48 GMT)

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Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Royal Dutch Shell a annoncé mercredi
anticiper une nouvelle baisse de sa dette nette au deuxième trimestre,
ainsi que d'importantes dépréciations sur la période pour ses
principales divisions. Le producteur britannique d'énergie prévoit par
ailleurs d'augmenter la rémunération de ses actionnaires à partir de la
publication de ses résultats du deuxième trimestre, prévue le 29
juillet, en leur distribuant entre 20% et 30% de son flux de trésorerie
opérationnelle.


"Au deuxième trimestre, Shell prévoit d'avoir encore réduit sa dette
nette, même si l'ampleur de cette baisse sera modérée par les mouvements
du fonds de roulement", a indiqué le groupe, en précisant qu'il
renoncerait à son objectif d'un endettement de 65 milliards de dollars. A
la fin du premier trimestre, la dette nette de Shell s'établissait à
71,3 milliards de dollars.


Le groupe britannique, qui a récemment lancé une nouvelle stratégie de
transition énergétique, prévoit des dépréciations avant impôts
comprises entre 3,2 milliards et 3,5 milliards de dollars pour sa
division amont au deuxième trimestre et entre 1,3 milliard et 1,4
milliard de dollars pour sa branche gaz intégré. La division produits
pétroliers devrait enregistrer des dépréciations avant impôts d'un
montant de 800 millions à 1 milliard de dollars, et les dépréciations de
la branche chimie sont attendues entre 250 millions et 300 millions de
dollars.


Le groupe a revu à la hausse sa prévision de production de gaz intégré
au deuxième trimestre, entre 900.000 et 960.000 barils équivalents
pétrole (BEP) par jour, contre 880.000 à 940.000 BEP attendus
précédemment. La production des activités amont devrait s'établir entre
2,225 millions et 2,3 millions de barils par jour, à comparer à une
précédente fourchette de 2,15 millions à 2,35 millions de barils par
jour.


Shell a par ailleurs confirmé que ses ventes de produits pétroliers
devraient se situer entre 4 millions et 5 millions de barils par jour au
deuxième trimestre, tandis que les volumes de la chimie devraient
ressortir entre 3,5 millions de tonnes et 3,8 millions de tonnes.


-Valérie Venck, Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 48 25;

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