UKX FTSE 100 Index

Les marchés d'actions devraient être bien orientés en début de séance









Eurostoxx 50 4.453,05 points +1,13%
CAC 40 7.401,35 points +1,13%
DAX 40 16.567,35 points +0,83%
FTSE 100 7.459,09 points +0,17%
SMI 11.185,88 points +0,33%
AEX 778,17 points +0,87%
BEL 20 3.552,84 points -0,44%
IBEX 35 9.880,30 points +0,13%

DJIA 37.468,61 points +0,54%
Nasdaq 15.055,65 points +1,35%
S&P 500 4.780,94 points +0,88%

Nikkei 225 35.963,27 points +1,40%

Cours de change à 06h50
Variation par rapport à la clôture à New York

EUR/USD 1,0883 +0,06%
EUR/JPY 161,78 +0,39%
USD/JPY 148,65 +0,33%

A SUIVRE EN FRANCE

La foncière spécialiste des plateformes logistiques Argan a annoncé jeudi soir viser une progression de 6% de son résultat net récurrent en 2024, à 133 millions d'euros, après avoir dépassé ses prévisions pour cet indicateur de rentabilité en 2023.

Le groupe de luxe LVMH a de son côté annoncé jeudi la nomination de Michael Burke au poste de PDG de son pôle LVMH Fashion Group, en remplacement de Sidney Toledano.

Le groupe de construction et de concessions Eiffage a indiqué avoir remporté le marché en groupement concernant la réalisation d'Helios 2, une extension du Campus Thales-Hélios situé à Vélizy-Meudon. Les termes financiers du contrat n'ont pas été communiqués.

La société d'investissement Eurazeo a quant à elle annoncé avoir réalisé un investissement "minoritaire" d'environ 25 millions d'euros dans la société Ex Nihilo, une marque de haute parfumerie basée à Paris. Fondé en 2013, Ex Nihilo a réalisé un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros en 2023.

Aucun indicateur économique ne doit être publié vendredi en France.

ACTIONS

Les marchés d'actions européens devraient progresser vendredi en début de séance, grâce à un regain d'optimisme induit par les valeurs technologiques, qui a permis aux indices américains et asiatiques de gagner du terrain.

Vers 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 gagnait 25,6 points, soit 0,4%, selon les données du courtier IG. Le contrat sur le DAX 40 prenait 52 points, soit 0,3%, et celui sur le FTSE 100 montait de 21,6 points, soit 0,3% également.

La Bourse de New York a terminé en hausse jeudi après trois séances de repli, le segment technologique ayant profité des résultats meilleurs que prévu du fabricant de semi-conducteurs Taiwan Semiconductor Manufacturing (TSMC) et d'une certaine accalmie sur les taux obligataires.

Les investisseurs craignent toujours que la Réserve fédérale (Fed) assouplisse sa politique monétaire plus tard que prévu compte tenu des bons chiffres sur les ventes de détail en décembre et des commentaires des banquiers centraux, qui ont tempéré les anticipations de baisse des taux d'intérêt.

Les investisseurs en actions comme en obligations spéculent désormais sur le fait que la banque centrale ne se pressera pas de réduire les coûts d'emprunt puisque l'économie montre des signes de résilience.

"L'économie continue de surprendre par sa vigueur", affirme Nadia Lovell, stratégiste pour les actions américaines chez UBS Wealth Management.

Le Congrès américain a adopté jeudi une loi permettant de financer l'Etat fédéral jusqu'au début mars et ainsi d'éviter une paralysie de certaines administrations, ou "shutdown", avant la date butoir de vendredi. Ce texte, qui attribue des fonds aux différents ministères, laisse le temps aux élus de boucler une loi de finances définitive pour cette année dans le cadre d'un budget global de 1.660 milliards de dollars voté en janvier.

Vendredi, les marchés examineront l'indice de confiance des ménages de l'Université du Michigan pour janvier et les ventes de logements anciens en décembre aux Etats-Unis.

En Asie, les principaux marchés évoluent en ordre dispersé vendredi. En fin de séance, l'indice Shanghai Composite reculait de 0,6% et le Hang Seng perdait 0,8% à Hong Kong. En revanche, l'indice Nikkei a clôturé en hausse de 1,4% à Tokyo.

OBLIGATIONS

Les taux des emprunts du Trésor américain progressent légèrement vendredi matin. Les rendements des obligations à 10 et 30 ans ont terminé jeudi à leur plus haut niveau depuis le début de l'année, pour la troisième séance consécutive, après l'annonce d'inscriptions au chômage plus faibles que prévu aux Etats-Unis la semaine dernière.

Ces données sont tombées après la publication, mercredi, de ventes de détail plus élevées que prévu outre-Atlantique. La vigueur des récentes statistiques économiques a conduit les responsables de la Fed à contrer les attentes d'une réduction des taux d'intérêt dès le mois de mars. Jeudi, le président de la Fed d'Atlanta, Raphael Bostic, a réaffirmé qu'il ne s'attendait pas à ce que la banque centrale américaine réduise les coûts d'emprunt avant le troisième trimestre.

Les marchés évaluent à 97,4% les chances que la Fed laisse ses taux d'intérêt inchangés le 31 janvier, selon l'outil FedWatch de CME Group. La probabilité d'une réduction des taux de 25 points de base en mars est estimée à 53,8%, contre 70,2% il y a une semaine. Les marchés s'attendent toutefois toujours à ce que la Fed procède à cinq à sept réductions des taux d'un quart de point de pourcentage d'ici à décembre.

Vers 7h20, le taux du titre du Trésor américain à 10 ans gagnait 2 points de base, à 4,164%. Celui du titre à 2 ans montait d'environ 2 points de base, à 4,372%.

CHANGES

L'euro gagne un peu de terrain face au dollar vendredi matin et s'apprécie par rapport au yen, à l'instar du billet vert.

Le yen recule par rapport aux autres devises asiatiques et du G10, alors que le marché s'attend à ce que la Banque du Japon (BOJ) laisse sa politique accommodante inchangée au cours de sa réunion des 22 et 23 janvier. L'indice des prix à la consommation a ralenti en décembre par rapport à novembre, ce qui devrait conforter la BOJ dans l'idée que le pic de l'inflation est passé, souligne Alvin T. Tan, responsable de la stratégie de changes à RBC Capital Markets.

PETROLE

Les contrats à terme sur le pétrole évoluent de façon hésitante vendredi matin, en raison de signaux contradictoires. D'un côté, les tensions persistantes au Moyen-Orient et la hausse des marchés d'actions soutiennent les prix du pétrole, indique ING.

De l'autre, le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur le marché du pétrole a des implications baissières, celui-ci prévoyant que la croissance de la demande mondiale de brut ralentira à 1,2 million de barils par jour en 2024, contre 2,3 millions de barils par jour en 2023, ajoute ING.

Vers 7h20, le contrat de mars sur le Brent de mer du Nord perdait 9 cents, à 79,01 dollars le baril, tandis que le contrat de février sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex gagnait 8 cents, à 74,16 dollars le baril.

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January 19, 2024 01:41 ET (06:41 GMT)

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