Le laboratoire pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) a accepté de verser 20 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites contre ses filiales chinoises, accusées d'avoir versé des pots-de-vin pour accroître leurs ventes, a annoncé vendredi la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme des marchés financiers américains.



Selon ce dernier, entre 2010 et 2013, une filiale de GlaxoSmithKline et une joint-venture basée en Chine ont offert des présents déplacés à des responsables étrangers, dont des professionnels de la santé. Ces pratiques représentent une violation du Foreign Corrupt Practices Act, qui s'applique à toutes les entreprises opérant aux Etats-Unis, qu'elles soient américaines ou étrangères comme GSK.



Dans un communiqué distinct, GSK assure avoir engagé plusieurs réformes en la matière.



-Ezequiel Minaya, The Wall Street Journal



(Version française : Christine Lejoux) ed :





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September 30, 2016 17:30 ET (21:30 GMT)




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