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- 05/3/2015 19:13
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013

Une obligation... qui n'aura aucune conséquence si vous ne vous y pliez pas. C'est ainsi que l'on peut définir la loi sur les détecteurs de fumée, à installer avant ce dimanche 8 mars . Nous avions bien compris que cette loi n'était pas contraignante et qu'en ne s'y soumettant pas, les propriétaires ne s'exposaient à aucune amende ou autre sanction. Mais il nous semblait logique que les assureurs, ayant vocation à indemniser leurs clients en cas d'incendie, tiendraient compte de l'infraction dans leurs garanties ou même dans leurs primes.

VIDEO : qui doit installer le détecteur de fumée ? Où le placer chez soi ?

Eh bien non. "La garantie incendie est acquise et en aucun cas conditionnée à l'installation d'un détecteur de fumée", affirme Julien Callard, responsable du marché dommages des particuliers chez Axa France. Et Jean-Pierre Vallaud, responsable technique MRH chez Maaf de confirmer : "le particulier ne risque rien à ne pas installer de détecteur". Avant de rajouter rapidement : "le principal risque dans ce domaine, c'est tout de même d'être blessé ou de perdre la vie dans un incendie."

Cette menace est-elle suffisante pour inciter les particuliers à s'équiper ? Il semblerait que non. A l'approche de l'entrée en vigueur de l'obligation d'installation, il semblerait qu'à peine la moitié d'entre eux l'aient d'ores et déjà fait, selon un sondage LSA.

Evidemment notre propos n'est absolument pas de vous décourager de le faire. En effet, encore une fois, l'enjeu est bien plus important que quelques euros sur une prime ou même que l'indemnisation des dégâts causés par un incendie. Mais si un démarcheur tente de vous forcer la main en vous faisant craindre les conséquences d'une non-conformité avec la loi, au moins vous serez prévenu : il n'y en aura aucune.



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21 de 35 - 09/6/2015 08:51
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La réforme de la collecte de l'impôt sur le revenu se précise en France. "Beaucoup nous demandent de mettre en place la retenue à la source. Nous engagerons le processus en 2016", a déclaré le ministre des Finances, Michel Sapin dimanche lors de l'émission "Tous Politiques" sur 'France Inter'.
22 de 35 - 12/6/2015 20:12
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le calendrier de la réforme de la collecte de l'impôt est un peu plus clair. Le ministre des Finances, Michel Sapin présentera mercredi prochain en Conseil des ministres une communication relative au prélèvement à la source. "Nous regarderons comment agir en termes de méthodes", a-t-il expliqué jeudi soir au micro d'Europe 1. "Il faut au moins deux années pour se préparer à la mise en place (...)
23 de 35 - 13/7/2015 16:06
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Placer son argent dans une banque ou chez un assureur est avant tout une marque de confiance. Dans de nombreux cas (dépôts, assurance-vie en euros, livrets...), le capital du client bénéficie en effet d’une garantie. Mais cette garantie est à la charge de l’établissement. Que se passerait-il si la banque ou l’assureur venait à faire défaut ?

Même si la probabilité de faillite d’un établissement financier est assez faible, un filet de sécurité a bien été prévu afin de ne pas léser les clients. Plusieurs garanties peuvent alors s’appliquer.

Dépôts

En France, les dépôts des clients sont garantis par le Fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR). La couverture concerne les comptes courants, mais aussi les livrets, les comptes à terme, les CEL, les PEL... Elle s’applique jusqu’à 100.000 euros par personne et par établissement.

Il est toutefois à noter que le FGDR dispose d’environ 2 milliards d’euros de réserve alors que les dépôts des Français dépassent les 1.500 milliards d’euros. Il ne pourrait donc intervenir que dans des situations isolées. En cas de crise plus large, seule une intervention de l’Etat serait à même de sauver les dépôts des clients.

Livrets A, LDD, LEP

Les trois livrets réglementés disposent d’un régime particulier. Du fait de la centralisation d’une partie de leurs encours à la Caisse des dépôts, ils bénéficient d’une garantie de l’Etat.

Coffres bancaires

Les sommes et objets placés dans un coffre loué dans une banque ne sont pas considérés comme des dépôts bancaires. En revanche, les banques disposent d’assurances spécifiques pour les coffres de leurs clients.

Titres

Les actions, obligations et parts d’OPCVM détenues par les clients ne sont a priori pas concernées en cas de faillite puisqu’elles ne sont pas la propriété de l’établissement financier. Toutefois, afin de protéger les épargnants contre d’éventuelles fraudes aboutissant à une impossibilité de restituer les titres, une garantie a aussi été mise en place (via le FGDR).

Elle joue jusqu’à 70.000 euros par personne et par prestataire. De surcroît, les espèces associées au compte-titre bénéficient d’une garantie supplémentaire de 70.000 euros. Si l’intermédiaire est une banque, cette garantie supplémentaire passe à 100.000 euros et se confond avec la garantie des dépôts.

Assurance-vie

Le cas de l’assurance-vie n’a pas non plus été oublié. C’est ici le Fonds de garantie des assurances de personnes (FGAP) qui peut être activé. Le montant indemnisé peut aller jusqu’à 70.000 euros par assuré et par établissement. Il passe même à 90.000 euros si le contrat sert une rente viagère.
24 de 35 - 07/8/2015 17:48
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
La loi Macron est désormais une réalité avec la publication du texte ce vendredi au Journal officiel. Parmi les points abordés, les tarifs des notaires ont fait l’objet de nombreux débats. Désormais, le cadre est donc arrêté, avec un système à deux étages.

Des remises possibles, mais très encadrées

Les tarifs fixes et déterminés par arrêtés seront la règle pour la majeure partie des prestations des notaires mais aussi d’autres professions réglementées comme les huissiers de justice ou les administrateurs. Ces tarifs seront révisés au moins tous les 5 ans.

Une exception concernera toutefois les actes portant sur des biens ou des droits d'un montant élevé. Au-delà d’une certaine valeur (fixée également par arrêté), leur tarification pourra être proportionnelle à la valeur du bien ou du droit transféré (comme à l’heure actuelle).

Enfin, dans le cadre de ces tarifs proportionnels, des remises pourront être consenties. Ces remises seront à taux fixe et ne concerneront que les tarifs dont l'assiette dépasse un seuil, déterminé là encore par arrêté. Notons enfin que la remise accordée devra elle aussi être comprise dans des limites définies par voie réglementaire.

Des arrêtés attendus

Il ne manque donc plus que les arrêtés en question pour ouvrir la voie à ce nouveau mécanisme de tarification. Le gouvernement n'a pas encore donné de calendrier précis, mais l'article relatif aux tarifs des professions réglementées indique que le système devra entrer en vigueur au plus tard à la fin du sixième mois suivant la promulgation de la loi. Les tarifs des notaires évolueront donc au plus tard au mois de mars 2016.
25 de 35 - 10/8/2015 17:02
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Beaucoup d’emprunts immobiliers proposés par les banques sont aujourd’hui modulables, c’est-à-dire que l’emprunteur a la possibilité de demander sans frais une baisse ou une hausse de ses mensualités de remboursement. Il convient de se renseigner dès la souscription sur cette possibilité qui est encadrée par des limites à la baisse ou à la hausse. Une baisse des mensualités aura pour conséquences de rallonger la durée du crédit et donc d’augmenter son coût global. A l’inverse, une hausse des mensualités raccourcira la durée d’emprunt et réduira donc son coût.

Alternative à l’épargne

Le bénéfice à augmenter ses mensualités lorsque ses finances le permettent peut facilement se mesurer en comparant les faibles rendements des produits d’épargne. Augmenter de 100 euros par mois la mensualité d’un emprunt au taux de 2,5% sera par exemple beaucoup plus avantageux que de verser ces 100 euros sur son Livret A qui rapporte moins de 1%.

Des limites à respecter

Pour activer la modulation de son prêt, un simple courrier mentionnant la nouvelle échéance souhaitée suffit. Vous devrez ensuite accepter la proposition de la banque qui vous fera parvenir un nouvel échéancier.
26 de 35 - 12/8/2015 17:01
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
L’adoption de la loi Macron a eu pour conséquence l’entrée en vigueur immédiate de certaines mesures concernant le logement. Depuis le 8 août, le délai de rétractation lors de l’achat d’un logement a été porté à 10 jours au lieu de 7 jours auparavant.

A compter de la promesse de vente

Ce délai de rétractation, instauré pour procurer à l’acheteur un délai de réflexion suffisant, s’applique à tout acte ayant pour objet la construction ou l'acquisition d'un logement. Le délai court à compter du lendemain de la réception (ou de la remise en mains propres) de la lettre notifiant l'acte, c’est-à-dire de la promesse de vente ou du compromis de vente dans le cas d’un achat immobilier dans l’ancien.

Depuis le 8 août

Concrètement, confirmation prise auprès de la chambre des notaires de Paris, pour toute promesse de vente signée depuis le 8 août, l’acheteur dispose de 10 jours de réflexion durant lesquels il peut se rétracter et renoncer à son achat sans motivation ni pénalité. Pour le vendeur, ce délai reste cependant synonyme d’incertitude et on peut donc s’interroger sur l’utilité de l’avoir rallongé de 3 jours, 7 jours paraissant déjà confortables...
27 de 35 - 13/8/2015 19:32
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
On pourrait considérer la période estivale comme une phase de transition relativement calme mais la situation en Europe avec les négociations grecques qui se poursuivent, les signaux négatifs qui s'accumulent en Chine et l'incertitude liée à la très attendue réunion de la FED en septembre devraient générer de la volatilité.
28 de 35 - 09/9/2015 11:54
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Fonds d’investissement, opérateurs aéroportuaires, groupes de services collectifs... Les candidats au rachat de l’aéroport de Nice sont nombreux. Mais dans l’optique de la privatisation, il faudra aussi compter sur les particuliers. Après avoir tenté d’intégrer des particuliers au tour de table de la cession de l’aéroport de Toulouse l’an dernier, Wiseed compte bien engager une opération du même type sur la Côte d’Azur, dans le cadre de la cession à venir de la participation de l’Etat (60%) dans l’aéroport niçois.

Un soutien politique au projet

« Nous sommes en contact avec le cabinet de Christian Estrosi, le président de la Métropole Nice Côte d’Azur, pour intégrer une opération de crowdfunding dans la cadre de la privatisation », explique Thierry Merquiol, le président de Wiseed, à L’Argent & Vous.

Si les choses n’ont pu aboutir à Toulouse, du fait d’une levée de fonds trop faible et d’un manque de volonté politique, le dossier semble ici mieux engagé. Car d’après Thierry Merquiol, l’accueil du projet de financement participatif par les dirigeants politiques locaux est tout autre. D’un strict point de vue financier, l’argent de particuliers ne sera pas nécessaire pour réussir la privatisation. Il y a assez de candidats déclarés. Mais « L’objectif premier des autorités est de fédérer des particuliers et des acteurs économiques locaux autour du projet », souligne le président de Wiseed.

100 millions d’euros à la clé ?

Au vu du montant attendu de la cession des 60% de l’Etat (jusqu’à 1 milliard d’euros), les particuliers ne pourront d’ailleurs jouer qu’un rôle secondaire sur le plan financier. Ceci étant, l’opération devrait être plus aboutie qu’à Toulouse (20 millions d’euros levés), où Wiseed dit avoir manqué de temps. Comptant s’appuyer sur des entreprises ou des institutions locales, Thierry Merquiol ambitionne de mobiliser 100 millions d’euros, dont 50 millions d’euros en provenance des particuliers, « si le soutien politique local est confirmé ».

La plateforme dispose en tout cas de quelques mois pour peaufiner son dossier puisqu’elle envisage de présenter le projet en fin d’année afin de réaliser la levée de fonds au premier trimestre 2016.

En revanche, Thierry Merquiol exclut pour l’heure de regarder du côté de l’aéroport de Lyon, du fait d’une absence de soutien politique pour un tel projet.
29 de 35 - 24/9/2015 08:57
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Certains dispositifs mis en place par le gouvernement prendront fin le 31 décembre. Il n’est donc pas trop tard pour en profiter, mais vous devez faire vite car ils nécessitent souvent l’intervention d’un professionnel. Voilà les avantages à ne pas laisser passer.

Abattement exceptionnel pour les donations de terrain à bâtir (TAB)
Si vous êtes dans une logique de transmission de votre patrimoine, vous pouvez encore profiter de cette mesure. En donnant un TAB vous profitez, en plus des abattements déjà en vigueur, d’un abattement exceptionnel venant minorer, pour le calcul des droits de donation, la valeur du bien que vous transmettez. Le BOFIP a apporté quelques précisions sur les conditions pour bénéficier de ce régime de faveur : le bien doit être donné en pleine propriété. Il exclu donc les donations de biens dont vous vous réservez la jouissance. Il s’agit d’un abattement par donateur (celui qui donne), qui doit être partagé si plusieurs personnes bénéficient de la donation.

Le montant de l’abattement varie en fonction du lien de parenté : 100.000 euros en ligne directe (enfant, parent) ou conjoint (marié ou pacsé), 45.000 euros : entre frères et soeurs 35.000 euros pour tout autre personne. La donation doit être signée avant le 31 décembre.
30 de 35 - 25/9/2015 14:15
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Il ne s’agissait jusqu’ici que d’une possibilité, évoquée dans la presse. C’est désormais officiel. Dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2016, les règles de revalorisation des prestations sociales vont être simplifiées.

Des dates harmonisées

Premier volet de la réforme, les dates de revalorisation seront alignées. Il existe en effet diverses dates : 1er janvier (RSA par exemple), 1er avril (allocations familiales, minimum vieillesse...), 1er septembre (adultes handicapés) et 1er octobre (retraites).

A l’avenir, ces prestations seront ajustées le 1er avril. Seules les retraites continueront à évoluer le 1er octobre.

Une référence qui change

L’autre grand changement concerne la référence utilisée. Actuellement, c’est l’inflation prévisionnelle qui sert de base. Afin de tenir compte des erreurs d’évaluation (entre l’inflation attendue et l’inflation réelle), la plupart des prestations font l’objet d’un correctif l’année suivante en fonction de l’inflation réellement constatée.

Cela peut faire naître beaucoup d’incompréhension chez les bénéficiaires. Certaines allocation (RSA, AAH) ne font quant à elles pas l’objet d’une correction. Ainsi, les prestations peuvent augmenter plus vite ou moins vite que l’inflation si les prévisions s’avèrent fausses.

Pour simplifier les calculs, le gouvernement a décidé de retenir dès 2016 l’inflation moyenne des 12 derniers mois. Ce qui évitera les correctifs a posteriori.

Une économie à la clé

Bien entendu, l’objectif n’est pas seulement de clarifier le fonctionnement des allocations. Le gouvernement espère bien au passage réaliser des économies, principalement en économisant trois mois de revalorisation sur les prestations initialement revues en janvier et en bénéficiant d’un effet de décalage au moment de la reprise de l’inflation. Pour 2016, le gain est évalué à 500 millions d’euros.
31 de 35 - 28/9/2015 10:15
Carole2016 Messages postés: 129 - Membre depuis: 28/7/2015
De sources de presse, le gouvernement s'apprêterait à rendre obligatoire la déclaration de revenus en ligne. La proposition serait présentée par Michel Sapin, mercredi, lors de la présentation du Budget à l'occasion du Conseil des ministres hebdomadaire. La télédéclaration figurerait donc à un article du projet de Loi de Finances pour 2016.
32 de 35 - 16/12/2015 20:14
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Les épargnants se plaignent de gagner des clopinettes avec leurs économies. Ils n'ont pas tort... Avec une rémunération brute de 0,75% depuis août, le Livret A n'a jamais aussi peu rapporté dans l'absolu. Dans ce contexte peu réjouissant, investir une part de son épargne en actions prend tout son sens. En pleine phase de reprise, la Bourse est susceptible d'apporter la dose de performance qui manque cruellement sur les placements sans risques actuellement. Vous hésitez à franchir le pas ? Retrouvez sur Boursier.com toutes les informations utiles et tous les outils nécessaires pour investir sur les actions. Et découvrez en souscrivant à notre service Privilèges des conseils pour choisir à chaque instant les titres les plus prometteurs.

2) Les liquidités n'ont jamais été aussi importantes

Comme d'autres banques centrales avant elle, la BCE n'a pas hésité l'an dernier à abaisser ses taux à des niveaux quasi nuls. Elle a aussi déployé en 2015 un programme " d'assouplissement quantitatif " (rachat de dettes souveraines) de 60 milliards d'euros par mois. Cet afflux d'argent frais a mécaniquement dopé la performance des grands indices boursiers en Europe. A Paris, le CAC40 s'inscrit ainsi en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année. Et ce n'est sans doute pas fini alors que le " QE " de la BCE ne s'arrêtera qu'en septembre 2016, au plus tôt.

3) La reprise pointe le bout de son nez en zone euro

Les efforts de la BCE pour relancer la machine économique confortent le scénario de sortie de crise du vieux continent. Bien que fragile, la reprise de la zone euro est bien au rendez-vous en 2015 avec une croissance qui s'est élevée à +0,4% en zone euro au deuxième trimestre après un PIB à +0,3% sur les trois premiers mois de l'année. A moins d'un retournement cataclysmique de la croissance mondiale, le meilleur est sans doute à venir. Le PIB de la région pourrait croître de 1,7% en 2016 après une hausse de 1,5% en 2015 selon les projections du FMI. De quoi conforter le choix des grands gérants internationaux en faveur des actions européennes...

4) De nombreux secteurs restent sous-valorisés

Les derniers mois se sont caractérisés par des écarts de performances significatifs sur les marchés. Le compartiment des cycliques a globalement bu la tasse à la Bourse de Paris depuis le 1er janvier - à l'exception notable de l'automobile - alors que les valeurs de croissance à forte visibilité comme Airbus, Essilor ou Veolia ont trusté le palmarès des plus fortes revalorisations. Miser sur une reprise à moyen terme des actions à la traîne pourrait à terme rapporter gros, à condition de faire preuve de discernement. Quoi qu'il en soit, il vous faudra à l'avenir rester mobile pour faire fructifier votre argent, en épousant le bon timing sur les actions. Des tendances que nous décryptons chaque semaine dans la lettre confidentielle Opportunités, exclusivement réservée aux abonnés de Boursier.com Privilèges.

5) Les opérations financières s'accélèrent

Alcatel-Lucent, Norbert Dentressangle, Faiveley, Canal+... Les opérations de fusions-acquisitions, que nous avions pour la plupart anticipées, se sont accélérées ces derniers temps avec à la clé de belles plus-values pour les actionnaires. Envie de bénéficier à votre tour des OPA ? Retrouvez dans le service Boursier.com Privilèges une liste complète des " valeurs opéables " avec leur probabilité de réalisation. Et découvrez aussi chaque semaine dans la Lettre Opportunités nos convictions fortes du moment.
33 de 35 - 22/12/2015 18:56
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
1) Les placements sans risques ne rapportent plus

Les épargnants se plaignent de gagner des clopinettes avec leurs économies. Ils n'ont pas tort... Avec une rémunération brute de 0,75% depuis août, le Livret A n'a jamais aussi peu rapporté dans l'absolu. Dans ce contexte peu réjouissant, investir une part de son épargne en actions prend tout son sens. En pleine phase de reprise, la Bourse est susceptible d'apporter la dose de performance qui manque cruellement sur les placements sans risques actuellement. Vous hésitez à franchir le pas ? Retrouvez sur Boursier.com toutes les informations utiles et tous les outils nécessaires pour investir sur les actions. Et découvrez en souscrivant à notre service Privilèges des conseils pour choisir à chaque instant les titres les plus prometteurs.

2) Les liquidités n'ont jamais été aussi importantes

Comme d'autres banques centrales avant elle, la BCE n'a pas hésité l'an dernier à abaisser ses taux à des niveaux quasi nuls. Elle a aussi déployé en 2015 un programme " d'assouplissement quantitatif " (rachat de dettes souveraines) de 60 milliards d'euros par mois. Cet afflux d'argent frais a mécaniquement dopé la performance des grands indices boursiers en Europe. A Paris, le CAC40 s'inscrit ainsi en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année. Et ce n'est sans doute pas fini alors que le " QE " de la BCE ne s'arrêtera qu'en septembre 2016, au plus tôt.

3) La reprise pointe le bout de son nez en zone euro

Les efforts de la BCE pour relancer la machine économique confortent le scénario de sortie de crise du vieux continent. Bien que fragile, la reprise de la zone euro est bien au rendez-vous en 2015 avec une croissance qui s'est élevée à +0,4% en zone euro au deuxième trimestre après un PIB à +0,3% sur les trois premiers mois de l'année. A moins d'un retournement cataclysmique de la croissance mondiale, le meilleur est sans doute à venir. Le PIB de la région pourrait croître de 1,7% en 2016 après une hausse de 1,5% en 2015 selon les projections du FMI. De quoi conforter le choix des grands gérants internationaux en faveur des actions européennes...

4) De nombreux secteurs restent sous-valorisés

Les derniers mois se sont caractérisés par des écarts de performances significatifs sur les marchés. Le compartiment des cycliques a globalement bu la tasse à la Bourse de Paris depuis le 1er janvier - à l'exception notable de l'automobile - alors que les valeurs de croissance à forte visibilité comme Airbus, Essilor ou Veolia ont trusté le palmarès des plus fortes revalorisations. Miser sur une reprise à moyen terme des actions à la traîne pourrait à terme rapporter gros, à condition de faire preuve de discernement. Quoi qu'il en soit, il vous faudra à l'avenir rester mobile pour faire fructifier votre argent, en épousant le bon timing sur les actions. Des tendances que nous décryptons chaque semaine dans la lettre confidentielle Opportunités, exclusivement réservée aux abonnés de Boursier.com Privilèges.

5) Les opérations financières s'accélèrent

Alcatel-Lucent, Norbert Dentressangle, Faiveley, Canal+... Les opérations de fusions-acquisitions, que nous avions pour la plupart anticipées, se sont accélérées ces derniers temps avec à la clé de belles plus-values pour les actionnaires. Envie de bénéficier à votre tour des OPA ? Retrouvez dans le service Boursier.com Privilèges une liste complète des " valeurs opéables " avec leur probabilité de réalisation. Et découvrez aussi chaque semaine dans la Lettre Opportunités nos convictions fortes du moment.
34 de 35 - 23/12/2015 19:40
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
2,1 milliards d’euros d’allègements fiscaux supplémentaires. Telle est l’ampleur de la réforme de l’IR annoncée à la rentrée dernière et formalisée dans le cadre du budget 2016. Comme l’a déjà annoncé l’exécutif, quelque 8 millions de foyers vont profiter des nouvelles mesures pour un gain moyen de 252 euros. De manière plus précise, environ 1 million de ménages sortiront ainsi de l’impôt ou éviteront d’y entrer.

Ainsi, environ 46% des foyers devraient être imposés contre 46,5% en 2015. Concrètement deux mesures vont venir modifier les niveaux d’imposition en 2016.

Un ajustement du barème

Tout d'abord, le barème d’abord été retouché pour tenir compte de l’inflation passée (+0,1%). Ainsi, l’entrée dans la première tranche (celle à 14%) ne se fera plus dès 9.690 euros mais à partir de 9.700 euros, comme l’indique le tableau suivant.

LE BARÈME DE L'IMPÔT SUR LE REVENU
PLF 2016
BARÈME 2016 BARÈME 2015
REVENUS 2015 TAUX REVENUS 2014 TAUX
Moins de 9.700€ 0% Moins de 9.690€ 0%
Moins de 26.791€ 14% Moins de 26.764€ 14%
Moins de 71.826€ 30% Moins de 71.754€ 30%
Moins de 152.108€ 41% Moins de 151.956€ 41%
Plus de 152.108€ 45% Plus de 151.956€ 45%
Une réforme de la décote

Outre cet ajustement à la marge, le cœur de la réforme provient de la décote. Rappelons que la décote est un mécanisme qui permet d’atténuer l’entrée dans l’impôt grâce à un rabais. Pour 2016, le montant de la décote a été modifié, tout comme son calcul.

Pour un célibataire, le rabais correspondra à la différence entre 1.165 euros et les trois quarts de l’impôt brut. Par exemple, pour un impôt brut de 1.000 euros, le contribuable obtiendra une ristourne de 415 euros (1.165 – 1.000*3/4) et ne paiera que 585 euros.

Pour les couples, le calcul se fera en utilisant la même règle mais avec une valeur de référence de 1.920 euros.

L’impôt annulé en dessous de 701 euros

Grâce à la décote et sachant que l’impôt n’est pas recouvré en dessous de 61 euros, on peut donc dire qu’en 2016, les célibataires devant jusqu’à 701 euros d’impôt brut n’auront finalement rien à payer. Au-delà, la décote profitera à ceux dont l’impôt brut est inférieur à 1.553 euros.

Pour les couples, la décote annulera les impôts inférieurs à 1.132 euros et en allègera le montant jusqu’à 2.560 euros.

Les couples sans enfants exonérés jusqu’à 30.540 euros

Pour beaucoup, ces niveaux d’imposition peuvent toutefois paraître abstraits. Heureusement, des tableaux ont été donnés dans le cadre du débat budgétaire afin d’indiquer à partir de quels niveaux de revenus les ménages seront imposés.

Comme le montre le tableau ci-dessous, un célibataire restera en dehors de l’impôt s’il déclare moins de 16.341 euros (soit 14.707 euros de RFR après abattement forfaitaire de 10%). Pour un couple sans enfant, le seuil d’entrée dans l’impôt sera de 30.540 euros.

Précisons enfin que les ménages qui gagnent plus pourront bénéficier d’un rabais sur leur impôt théorique grâce à la décote. Un célibataire profitera de la décote jusqu’à 23.103 euros déclarés. Pour un couple sans enfant, la décote jouera jusqu’à 41.873 euros.

L'IMPACT DU NOUVEAU BARÈME D'IR EN 2016
*avant abattement de 10%, L'Argent & Vous d'après PLF
SEUIL D'ENTRÉE DANS L'IMPÔT (REVENUS 2015) NIVEAU À PARTIR DUQUEL LA DÉCOTE NE S'APPLIQUE PLUS (REVENUS 2015)
REVENUS IMPOSABLES REVENUS DÉCLARÉS* REVENUS IMPOSABLES REVENUS DÉCLARÉS*
1 part 14.707€ 16.341€ 20.793€ 23.103€
1,5 part 19.554€ 21.727€ 25.643€ 28.492€
2 parts 27.486€ 30.540€ 37.686€ 41.873€
2,5 parts 32.336€ 35.929€ 47.262€ 47.262€
3 parts 37.186€ 41.317€ 47.386€ 52.651€
4 parts 46.886€ 52.095€ 57.086€ 63.429€
35 de 35 - 04/1/2016 10:23
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Faire une demande de prêt est, en général, un processus long qui requiert de constituer un dossier comprenant les revenus sur quelques années, des justificatifs de domicile... Un ensemble de documents qui prouvent la stabilité financière du demandeur et donc sa capacité de remboursement. Tout ce mécanisme a pour but de rassurer les organismes prêteurs, mais quelles solutions existent lorsque le demandeur a besoin d'agent rapidement ?

Le mini-crédit est un service financier spécifique qui a pour but d'aider les particuliers qui veulent obtenir une aide financière rapidement. Ce crédit est très différent des prêts qui existent. En effet, le montant du crédit est compris entre 100 et 600 euros (le montant maximum est bloqué à 200 euros lors de la période de lancement). Comme le montant prêté est très petit, la durée de remboursement est donc courte. La restitution de l'argent doit être faite 30 jours après réception de l'argent. Enfin, l'élément le plus important est la vitesse de traitement qui est la plus rapide du marché. En effet, vous pouvez obtenir l'argent sur votre compte seulement 24 heures après votre demande en ligne.

Les avantages du mini-crédit

Obtenir un crédit sans fournir un nombre important de documents administratifs est aujourd'hui possible grâce aux mini-crédits. Cette nouvelle offre de crédit en ligne permet un traitement rapide. Cela semblait encore impossible il y a quelques années, mais les organismes de crédits tels que Cashper ont rendu cela possible. Les garanties exigées sont proportionnelles au montant du prêt. Comme le montant prêté est petit et que le remboursement est fait rapidement, il n'est pas nécessaire d'avoir beaucoup de garanties. Une fois la demande effectuée en ligne, le client doit envoyer une documentation minimale pour prouver son identité et témoigner de sa situation économique actuelle. Il est tout à fait possible d'obtenir un prêt lorsque l'on est au chômage ou en retraite par exemple dans la mesure où l'on peut prouver que l'on a une rentrée d'argent chaque mois.

Une étude, réalisée par CSA - Cofidis en 2015, a mis en évidence que 18 % des Français sont à découvert tous les mois. Ces personnes recherchent donc des solutions de financement rapides. C'est pourquoi, les organismes de mini-crédit comme Cashper, concentrent tous leurs efforts sur l'accélération de la procédure. Internet est un atout important car les clients peuvent remplir directement leur demande en ligne. De ce fait, les informations entrent directement dans le système de gestion et sont traitées plus rapidement. Enfin, grâce à un système performant de scoring, chaque demande peut être traitée en quelques heures.

Le mini-crédit est une solution qui vous permet d'obtenir de l'argent en toute discrétion. En effet, les organismes qui proposent ce produit sont obligatoirement affiliés à des banques. De ce fait, l'argent ne transite pas par un autre organisme, il est versé directement sur votre compte.

Le mini-crédit est donc le service financier idéal pour les personnes qui ont besoin d'argent rapidement et en toute discrétion.
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Dernier Message: 04/Janv/2016 09h23