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Gdf Suez

- 19/2/2009 13:35
ludoverblog Messages postés: 2356 - Membre depuis: 16/11/2005

Craintes exagérées, bilan solide, faibles risques liés au refinancement,… Le titre GDF SUEZ, acteur incontournable du secteur énergétique, garde la faveur des bureaux d’analyse (Citigroup, Morgan Stanley, Credit Suisse) qui sont globalement optimistes sur le dossier avec un objectif moyen de 40,25 EUR (consensus de 25 analystes). Pourtant son cours de bourse fait grise mine. En données hebdomadaires, la valeur est entrée en tendance baissière depuis la rupture sans appel des 36 EUR, en juillet dernier. La chute a été brutale et en octobre dernier, le titre a signé un chandelier hebdomadaire de 22% d’amplitude, un record pour cette valeur. Ces excès ont rapidement été corrigés, mais la valeur n’est jamais parvenue à reconquérir les 36 EUR. Cet objectif de moyen terme est le point d’inflexion de la tendance de fond. En données quotidiennes, après des excès de part et d’autre, un support s’est imposé au niveau des 27 EUR. Techniquement, ce seuil est un premier retracement de la chute d’aout-octobre et le regain de volumes observé à son contact en renforce la pertinence. Sauf nouvelle chute des marchés, ce niveau offre un point d’entrée intéressant à 26,5-27 EUR pour jouer un sursaut vers 30 et 32 EUR.
Opinion : Positive avec comme objectif 32,00.
Warrant : CALL 06/09 Strike 30,00 (ex. 4645Z, 3283T)



ludoverblog-gsz-19022009.gif

http://ludo.over-blog.net
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766 Réponses
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661 de 766 - 13/5/2015 09:32
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002


GDF-Suez: ricoche sous 18,58E.

Date : 13/05/2015 @ 09:12
Source : Cercle Finance
Stock : Gdf Suez (GSZ)
Quote : down.gif 17.96 -0.29 (-1.59%) @ 09:15
Gdf Suez share priceChartTradesLevel2






GDF-Suez: ricoche sous 18,58E.




Gdf Suez (EU:GSZ)
Intraday Stock Chart


Today : Mercredi 13 Mai 2015


Click Here for more Gdf Suez Charts.



(CercleFinance.com) - GDF-Suez ne parvient pas à refermer le 'gap' des
19,44E et ricoche sous 18,58E: le 'pullback' ramène le titre sous les
18E, au contact du support moyen terme des 17,75E testé le 14 janvier
puis le 5/6 mai.
Une cassure préfigurerait une rechute vers 16,9E, le plancher de mi-octobre 2014.
662 de 766 - 13/5/2015 12:07
kevin85 Messages postés: 286 - Membre depuis: 20/4/2015

(CercleFinance.com) - Engie, ex-GDF Suez, a ajusté ce mercredi sa fourchette de résultat net récurrent part du groupe pour 2015 suite à la mise à jour de la durée d'indisponibilité des centrales belges Doel 3 et Tihange 2.



Electrabel, filiale de GDF Suez, a dû revoir la durée d'indisponibilité des centrales nucléaires belges Doel 3 et Tihange 2 après les détails communiqués par l'Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) sur le processus d'analyse du dossier des cuves des deux sites.

L'AFCN, qui doit toujours décider si elle autorise Electrabel à redémarrer les réacteurs de Doel 3 et Tihange 2, a estimé que le processus durerait encore quelques mois.

L'impact du non fonctionnement des deux centrales sur le résultat net récurrent part du groupe est ainsi estimé à quelque 40 millions d'euros par mois.

Engie abaisse en conséquence pour 2015 sa fourchette de résultat net récurrent part du groupe de 150 millions d'euros, correspondant aux quatre mois supplémentaires de non fonctionnement.

Sa fourchette est désormais comprise entre 2,85 et 3,15 milliards d'euros à climat moyen en France.

Cet objectif repose sur une estimation d'Ebitda et de résultat opérationnel courant de respectivement 11,55 à 12,15 milliards d'euros et 6,65 à 7,25 milliards d'euros.

Engie confirme par ailleurs un ratio dette nette/Ebitda inférieur ou égal à 2,5x et un dividende au titre de 2015 avec un taux de distribution de 65-75% et un minimum d'un euro par action, payable en numéraire.
663 de 766 - 13/5/2015 14:28
Anonyme
Puisque tu as jugé utile de ne rien faire pendant 3 longues années correspondantes en gros à la période la plus dure de ma vie /falille....
tu ne verras aucun inconvenien à ce des amis mes amis interviennent
tu pourras ainsii continuer à dialoguer avec tes ..;avatars aussi divers qu'avariél'art de la cruauté , des centaines pour ne pas dire des milliers

et cultiver en solo ou avec ton mentor l'art des paroles pseudos vertueuses et des agissements ignobles le tout sur fond de bavardage incessant

vous etes 2 monstres tant pis si vous ne pigez pas
2 saloperies avec qui je nai rien à faire ni plus rien à dire
664 de 766 - 13/5/2015 17:36
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002


GDF SUEZ
:
Des fissures dans les prévisions de résultats









13/05/15 à 15:23

-

Investir.fr



0

Commentaire(s)





Le groupe a annoncé à la fois le report du redémarrage de ses deux
réacteurs à l’arrêt en Belgique et, conséquence de ce retard, un
abaissement de ses objectifs de résultats pour l’année.







Des fissures dans les prévisions de résultats | Crédits photo : Christophe Audebert


Des fissures dans les prévisions de résultats | Crédits photo : Christophe Audebert







L'analyse (Investir)


Lors de l’assemblée générale du 28 avril, il y a deux
semaines, lors de l’assemblée générale annuelle, Gérard Mestrallet, le
PDG de GDF Suez comptait encore sur un redémarrage des réacteurs de Doel
3 et Tihange 2 le 1er juillet prochain. Tout en insistant
sur le fait que la décision relevait de l’autorité de sûreté belge,
l’Agence Fédérale de Contrôle Nucléaire.

Or, cette dernière a
décidé de prolonger son examen du dossier, ce qui reporte, en l’état
actuel des choses, la remise en route des deux installations au 1er
novembre. Elles ont été mises à l’arrêt en mars 2014 (pour la deuxième
fois), voilà plus d’un an, à cause de micro-fissures dans l’inox des
cuves. Sachant que l’indisponibilité de ces réacteurs nucléaires coûte
une quarantaine de millions d’euros par mois à GDF Suez, le futur Engie a
dû revoir des prévisions de résultats pourtant confirmées le 28 avril.

Des résultats 2015 au mieux stables

Les
objectifs donnés en février dernier visaient à un Ebitda (excédent brut
d’exploitation) compris entre 11,7 et 12,3 milliards d’euros, contre
12,1 milliards dégagés en 2014. Le bénéfice net récurrent était estimé
alors entre 3 et 3,3 milliards, contre 3,1 milliards l’année passée.

Les
prévisions abaissées ce mercredi anticipent désormais pour cette année
une fourchette de 11,55 à 12,15 milliards d’euros pour l’Ebitda et de
2,83 à 3,15 milliards pour le bénéfice net récurrent. Ces résultats
s’annoncent donc au mieux stables par rapport à l’exercice passé, compte
tenu du plan de réduction de coûts renforcé de 250 millions d’euros,
décidé par le groupe en début d’année pour tenter de compenser le manque
à gagner engendré par la forte baisse des prix du pétrole et du gaz.

Le
groupe ne précise pas si la perspective d’une augmentation des
résultats est confirmée pour 2016 mais elle intégrait notamment le
redémarrage des deux réacteurs belges.







Le conseil




Ecart



Ce nouveau contretemps sur le redémarrage des réacteurs
et son incidence sur l’évolution des bénéfices du futur Engie nous
incite à rester encore à l’écart.



Le cours au moment du conseil : 18.01 €


665 de 766 - 13/5/2015 17:50
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002

(AOF) - Engie (+0,47% à 18,335 euros) sous-performe le CAC 40
pénalisé par la révision à la baisse de ses objectifs 2015 en raison de
l'indisponibilité plus longue que prévu de deux de ses réacteurs
nucléaires en Belgique. En effet les centrales nucléaires belges Doel 3
et Tihange 2, arrêtées depuis le 26 mars 2014 pour des tests de sûreté
liés à des microfissures et qui devaient redémarrer le 1er juillet,
seront en fait indisponibles jusqu'au 1er novembre 2015.L'impact négatif
du non fonctionnement des deux centrales sur le résultat net récurrent
part du groupe est estimé à environ 40 millions d'euros par mois.

Dans
ce cadre, l'énergéticien français a réduit pour 2015 sa fourchette de
résultat net récurrent part du groupe de 150 millions d'euros,
correspondant aux quatre mois supplémentaires de non fonctionnement,
avec une fourchette désormais comprise entre 2,85 et 3,15 milliards
d'euros, à climat moyen en France. Il tablait auparavant sur résultat
net récurrent part du groupe compris entre 3 à 3,3 milliards.

Le
nouvel objectif repose sur une estimation de résultat brut
d'exploitation (Ebitda) et de résultat opérationnel courant de
respectivement 11,55 à 12,15 milliards d'euros (contre 11,7 à 12,3
milliards précédemment) et 6,65 à 7,25 milliards (contre 6,8 à 7,4
milliards).

En revanche, le groupe a confirmé viser un
ratio dette nette sur Ebitda inférieur ou égal à 2,5 et le maintien
d'une notation de catégorie "A", de même qu'un dividende d'un minimum de
1 euro par action au titre de 2015, payable en numéraire.

Le
conseil d'administration du groupe a en outre décidé le principe d'un
acompte sur dividende de 0,50 euro par action au titre de l'exercice
2015, qui serait versé le 15 octobre 2015.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur

-
Premier producteur mondial d'électricité non nucléaire, premier
fournisseur de services d'efficacité énergétique, deuxième fournisseur
de services à l'environnement ;

- Opportunités de croissance liées
à la transition énergétique dans le monde, avec une bonne visibilité
pour le groupe : 10,5 GW de capacité en construction, soit plus de deux
fois les capacités mises en services en 2014 ;

- Montée en
puissance des activités à l'international -Amérique du Nord (5,5 %),
Asie-Moyen Orient et Océanie (9,8 %)- la France restant le premier
marché du groupe (38,5 %), devant la Belgique (11,4 %) et le reste de
l'Europe (29,1 %) ;

- Au-delà des branches énergie Europe (25 %)
et International (29 %), croissance des divisions global Gaz et GNL
(16%), services à l'énergie ( 8 %), (25%) et infrastructures (25%), à la
rentabilité opérationnelle très supérieure à celle de la production
pure d'énergie ;

- Exécution avec un an d'avance du plan d'actions Perform 2015 ;

- Visibilité sur le dividende jusqu'en 2016 -65 à 75 % de distribution avec un minimum de 1 € par titre.

Les points faibles de la valeur

- Pression fiscale et réglementaire accrue et conditions de marché difficiles en Europe, premier marché du groupe ;

-
Faible lisibilité sur les tarifs de gaz, sujets aux décisions de l'Etat
français, actionnaire à hauteur de 36 %, qui a diminué le prix
réglementé du gaz en août 2014 ;

- Dans le nucléaire, sensibilité aux décisions politiques en Belgique (10% de l'EBITDA) ;

-Sensibilité
au recul des cours du brut, frein à l'expansion des renouvelables,
ainsi qu'à la contraction des prix de marché de l'électricité, d'où un «
plan de réaction rapide » de nouvelles réductions de coûts ;

- Risques géopolitiques autour de la livraison du gaz russe à l'Europe de l'ouest.

Comment suivre la valeur

- Secteur des « utilities », traditionnellement sensible à l'évolution des taux d'intérêt et aux décisions politiques ;

-
Performances financières liées à l'évolution des prix du gaz, eux-mêmes
dépendants du fioul domestique, du fioul lourd, du Brent et de la
parité de change euro/dollar ;

- Réorganisation du groupe pour
2016 -remplacement des 5 divisions par métiers par 24 entités
opérationnelles, fondées essentiellement sur des zones géographiques et
capables d'offrir plusieurs services à un même client ;

- Avancée des objectifs financiers 2014-2016 : notation « A » pour la dette et capex nets de 6 à 7 Mds€ ;

-
Nucléaire belge : impact positif sur le bénéfice de la réouverture des
centrales Doel3 et Tihange d'une part, risque de fermeture définitif, en
novembre 2015, des centrales D1 & 2 en cas de désaccord entre le
Parlement et le groupe sur les compensations financières à un
rallongement de 10 ans de leur durée de vie ;

- Accroissement du
portefeuille de GNL (20 Mt attendues en 2017 contre 16 Mt vendues en
2013) dont le groupe est 3ème fournisseur mondial ;

- Réalisation de l'objectif 2015 d'un EBITDA entre 11,7 et 12,3 Mds€ et d'un résultat net de 3 à 3,3 Mds€ ;

-
Valeur non opéable, car contrôlée à 34,2 % par l'Etat français, dont
1,9 % par la Caisse des dépôts, mais dont le capital évoluera : vers un
désengagement total, en 2017, de GBL (groupe Albert Frère, actionnaire à
2,4 %) et vers un autre désengagement partiel de l'Etat français. LE SECTEUR DE LA VALEUR

Services aux collectivités

La
scission d'E.on en deux sociétés spécialisées, avec d'un côté les
énergies renouvelables et de l'autre les énergies thermiques
traditionnelles telles que le charbon, gaz, nucléaire, trading et
exploration, souligne les mutations du marché énergétique européen et sa
bipolarité. Le premier électricien mondial, EDF, résiste bien à ce
nouvel environnement grâce à ses centrales nucléaires, qui n'ont
enregistré aucune dépréciation. Alors que ses concurrents ferment des
actifs gaziers, le groupe a investi dans trois nouveaux cycles combinés
gaz ces dernières années. La situation est différente pour GDF Suez, qui
a mis sous cocon de nombreuses centrales en Europe. Il a déprécié 14,9
milliards d'euros d'actifs en 2014. Son dirigeant est à la tête du
groupe Magritte, qui réunit onze des plus grands énergéticiens
européens, et souhaite des mesures pour préserver l'avenir énergétique
de l'Europe.

666 de 766 - 14/5/2015 15:18
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002

GDF Suez : Achat du turbo call 4S96Z (4S96Z)

Zonebourse
GDF Suez : Achat du turbo call 4S96Z
GDF Suez : Achat du turbo call 4S96Z (4S96Z)

(Zonebourse.com) Engie revient sur une zone pour initier un achat.


Le groupe spécialisé dans l'énergie garde une valorisation attrayante
avec un PER de 13.90x pour les estimés de 2016. De plus le consensus des
analystes sondés par Thomson Reuters affiche un cours moyen proche de
21 EUR ce qui laisse un réel potentiel d’appréciation. Les récentes
révisions haussières des BNA pourraient procurer une nouvelle dynamique à
l’action.


Techniquement, le titre revient au contact d’une plage de prix
importante qui concentre à la fois le passage d’une oblique haussière et
d’un support court terme sur la base des 17.70 EUR. Cette zone pourrait
permettre à la valeur de rebondir en direction des 18.6 EUR puis 19.15
EUR.


Par conséquent, un achat peut se mettre en place par l'intermédiaire du
turbo call illimité Commerzbank 4S96Z qui cote actuellement 0.29 EUR.


Ce produit dispose d'un prix d'exercice à 14.66 EUR pour une barrière désactivante à 15.35 EUR.


Le ralliement des objectifs précédemment cités permettrait de réaliser
des gains respectifs de 35% et 50%. Néanmoins, un stop sous les 17 EUR
viendra protéger la position en cas d’enfoncement graphique.

Zonebourse.com -

667 de 766 - 14/5/2015 15:59
Anonyme
je suis desolee les amis mais le ...pb ne sera pas reglé auj ni demain un jour s'ajoutera aux mille autres sans que ces 2 psychopathes ne ressenetnt quoi que ce soit
Auj je regrette de n'etre pas allé simplement à geneve comme proposé
Je n'aurai pas foutu en l'air 3 ans de plus ma vie tout en perturbant serieusement la votre

sans respect on ne construit rien et je ne laisserai pas cet individu minable nuisible , sous pretexte qu'il peut offrir la lune, cela rese à voir d'ailleurs
me cracher à nouveau au visage


j
668 de 766 - 14/5/2015 16:04
Anonyme
tu n'auras pas d'autre occasion de te payer ma tete et tu meriterai mon poing dans la figure et les 2 genoux en compote pour ces 3 années
il est vrai que des le debut il fallait stopper net
Avec les tordus pas de solution à moins d'en etre
669 de 766 - 15/5/2015 06:40
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000
MERCREDI 27 MAI 
- 08h45 Enquête de conjoncture auprès des ménages / mai

Après Bourse :
- Manutan MATP.PA / résultats du S1
- Cegedim CGDM.PA / résultats du S1

Assemblées générales :
- 16h00 Orange ORAN.PA
- Faurecia EPED.PA
- Euler Hermes ELER.PA
- Rexel RXL.PA
- 15h00 Ipsen IPN.PA
- Haulotte Group PYHE.PA
- Axway AXW.PA

Egalement :
- Engie (ex-GDF Suez) GSZ.PA / séminaire presse sur le thème de "la nouvelle
donne gazière, au coeur de la transition énergétique"

JEUDI 28 MAI
- 08h45 Indice des prix des logements anciens / T1

Avant Bourse :
- Pierre & Vacances PVAC.PA / résultats du S1

Egalement :
- Capgemini CAPP.PA / journée investisseurs
- Faiveley Transport FAIP.PA / résultats annuels ID:nL5N0XX2E2
- Laurent Perrier LPER.PA / résultats annuels
- Engie (ex-GDF Suez) GSZ.PA / séminaire presse sur le thème de "la nouvelle
donne gazière, au coeur de la transition énergétique"
670 de 766 - 15/5/2015 07:59
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

(Boursier.com) — Luminus, la filiale belge d'EDF,
veut faire son entrée en bourse. L'opération, prévue sur Euronext
Bruxelles, pourrait avoir lieu d'ici la fin de l'année, si les
conditions sont réunies, a indiqué l'entreprise actuellement détenue à
65,3% par l'énergéticien français. Ce sont les actionnaires minoritaires
qui ont, conformément au pacte conclu en 2010, fait jouer la "clause de
liquidité" pour pouvoir sortir du capital. Ils disposaient de deux
"fenêtres de tir", l'une en 2015 et l'autre en 2018. EDF avait fait
savoir récemment que les actionnaires avaient exercé leur option.
Cependant, le conseil d'administration a opté pour l'entrée en bourse,
ce qui ne semble pas avoir été du goût des minoritaires, qui
représentent les communes belges : la presse locale évoque un conseil
houleux qui s'est achevé par un vote favorable à l'introduction grâce à
la majorité détenue par EDF, tandis que les représentants des
minoritaires y étaient fermement opposés.

Le numéro deux du marché

Luminus
disposait à la fin de l'année 2014 d'environ 10% des capacités de
production d'énergie en Belgique, soit 1.954 MW, et de 1,7 million de
clients, l'équivalent de 20% du marché local. Elle détient une part de
10,2% des centrales nucléaires de Tihange 2 et 3 et de Doel 3 et 4,
propriété d'Electrabel (Engie, ex-GDF Suez),
soit 419 MW, et d'un droit de tirage de 100 MW sur la centrale
française de Chooz-B. La majorité (1.286 MW) de ses capacités provient
de centrales thermiques à flamme, mais Luminus s'emploie à développer
ses actifs dans les énergies renouvelables et se présente, à ce titre,
comme la première développeuse d'éolien terrestre du pays. Le rachat
tout récent d'ATS, en cours de finalisation, a de surcroît renforcé sa
présence dans les services énergétiques.

Quelle valorisation ?

EDF avait racheté Luminus (à l'époque SPE-Luminus) au britannique Centrica,
qui en détenait 51%, en 2009. L'année suivante, le groupe avait acquis
12,5% additionnels aux autres actionnaires, qui disposaient d'une option
de vente. La participation de 63,5% n'a plus varié depuis. A l'époque,
les 12,5% avaient été cédés pour 215 millions d'euros, ce qui valorisait
Luminus à 1,7 milliard d'euros environ. Depuis, les entreprises du
secteur énergétique n'ont pas été à la fête et les acteurs belges moins
encore, puisque les réacteurs de Doel 3 et Tihange 2 sont à l'arrêt
depuis la découverte de microfissures. Un arrêt qui se prolongera
jusqu'en novembre, a annoncé hier Electrabel, et qui a déjà nécessité
des dépréciations comptables. Fin 2014, Luminus valorisait ses parts
dans les deux réacteurs à 190 ME.

671 de 766 - 18/5/2015 09:18
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002
GDF SUEZ : La tendance baissière peut reprendre
GDF SUEZ : La tendance baissière peut reprendre

SYNTHESE


Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette
configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique
pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement
possible. Inférieurs à 20, les stochastiques sont extrèmement bas. Les
volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10
derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le
titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours
située à 18.37 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la
moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 16.37 EUR,
puis à 15.97 EUR et la résistance est à 18.76 EUR, puis à 19.56 EUR.




Dernier cours :17.83
Support :16.37 / 15.97
Resistance :18.76 / 19.56
Opinion court terme :negative
Opinion moyen terme :negative
672 de 766 - 19/5/2015 19:26
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002

Bryan Garnier s'est dit mardi
"rassuré" sur le potentiel de croissance d'Engie (ex-GDF Suez) au-delà
de 2015, à la suite d'un contact avec la société. Pas d'inquiétude non
plus en Belgique, où "les négociations se poursuivent et plutôt en
faveur d'Electrabel", la filiale de l'énergéticien français, qui fait
face à une indisponibilité plus longue que prévu de deux de ses
réacteurs nucléaires.


Engie a ajusté mi-mai ses prévisions annuelles afin d'intégrer
l'impact du non fonctionnement des deux centrales belges Doel 3 et
Tihange 2, tablant désormais pour 2015 sur un résultat net récurrent
part du groupe de 2,85 à 3,15 milliards d'euros, à climat moyen en
France, contre 3 à 3,3 milliards visés précédemment.


"Les mauvaises nouvelles sont derrière nous, ce qui rend le dossier
assez attractif notamment au regard de la valorisation actuelle", a
souligné le broker, toujours à l'achat sur le titre avec un objectif de
cours inchangé de 23 euros.




Retrouvez cet article sur Tradingsat.com

673 de 766 - 20/5/2015 06:30
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 0.14%. Depuis le début de l'année, il est en baisse de 5.94%.

Du point de vue de l'analyse technique :
le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est
inférieur à sa ligne de signal et négatif. La configuration est
baissière à court terme. Enfin, le titre est inférieur à sa moyenne
mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en hausse depuis quelques jours.

Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 18.6 puis 18.9. Tandis que les prochains supports sont sur : 17.1 puis 16.7.

Notre préférence : Le titre GDF Suez (Swiss: GSZ.SW - actualité) (GSZ) est baissier tant que 18.9 est résistance.

Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 18.9.
Cours de référence : 18.3.


Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL

674 de 766 - 20/5/2015 07:49
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

conseil VotreArgent.fr : Allégez

Profil.
Acteur dans les domaines de l'électricité, du gaz naturel et des
services à l'énergie, Engie (ex GDF Suez) est surtout le premier
producteur mondial d'électricité non nucléaire.


Evènements marquants. Le groupe a cumulé l'an passé
les points noirs, de l'arrêt des centrales belges à la baisse de la
demande européenne en passant par les conditions climatiques
défavorables. Sans compter la baisse des prix du pétrole. Conséquence,
excédent brut d'exploitation, bénéfice net récurrent et chiffre
d'affaires sont en baisse malgré la montée en puissance du plan de
réduction de coûts. 2015 n'annonce pas encore d'embellie. Au contraire,
la chute de l'or noir et du gaz oblige Engie (ex GDF Suez) à 250
millions d'euros d'économies supplémentaires. Le groupe espère maintenir
le bénéfice net récurrent entre 3 et 3,3 milliards. Une relance de la
demande pourrait tout changer.


Les plus et les moins du dossier


- La baisse attendue du bénéfice net par action


- La réduction des investissements


+ La remontée du dollar

675 de 766 - 20/5/2015 09:30
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

ENGIE (ex-GDF SUEZ) - Citi a relevé son conseil sur la valeur, de neutre, avec un objectif de cours porté de 19,5 à 20,0 euros.

676 de 766 - 20/5/2015 09:50
La Forge Messages postés: 1339 - Membre depuis: 03/8/2000

Boursier.com) — EDF n'est pas le seul énergéticien français à s'intéresser aux actifs d'Areva. GDF Suez
(Engie) serait également sur les rangs, selon deux sources citées par
Bloomberg. Le groupe de Gérard Mestrallet lorgnerait les activités
internationales de services d'Areva NP, l'ancien Framatome, c'est-à-dire
une partie de l'activité réacteurs. Un périmètre plus restreint que
celui qu'EDF convoite officiellement.

Le choix de GDF Suez est
dicté par le fait qu'EDF ne devrait pas s'en laisser compter sur la
branche services en France, indissociable de la conduite des opérations
de ses 58 réacteurs hexagonaux. La totalité de la branche services
d'Areva, en France et à l'international, a réalisé l'année dernière 1,63
milliard d'euros de chiffre d'affaires.

677 de 766 - 20/5/2015 11:26
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002

Engie en tête du CAC 40 après le relèvement du conseil de Citi à "achat"

Date : 20/05/2015 @ 11:13
Source : Dow Jones News
Stock : Gdf Suez (GSZ)
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Engie en tête du CAC 40 après le relèvement du conseil de Citi à "achat"





Gdf Suez (EU:GSZ)
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Today : Mercredi 20 Mai 2015


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Le titre Engie (GSZ.FR), anciennement GDF Suez, signe la plus forte hausse du CAC 40 mercredi, en progression de 0,9% à 18,44 euros, porté par un relèvement de recommandation de Citigroup. L'intermédiaire financier a relevé son conseil de "neutre" à "achat" et a revu son objectif de cours de 19,50 euros à 20 euros. "Nous pensons que le marché porte trop son attention sur les marges sous pression dans l'activité de gaz naturel liquéfié et pas assez sur les effets positifs liés à la progression des volumes", soulignent les analystes. La nouvelle organisation et le renouvellement de l'équipe dirigeante pourraient aboutir à plus de réductions de coûts et à de nouvelles opportunités sur le portefeuille dès l'année prochaine, note également Citi. Selon la banque, Engie pourrait être en mesure de relever son dividende d'ici à 2018. "Un probable placement du gouvernement français pourrait peser sur l'action", relève toutefois Citigroup. (blandine.henault@wsj.com) ed/VV
678 de 766 - 20/5/2015 11:32
kevin85 Messages postés: 286 - Membre depuis: 20/4/2015

Merci bonne journée

679 de 766 - 20/5/2015 13:16
kevin85 Messages postés: 286 - Membre depuis: 20/4/2015

(Boursier.com) — Dans un marché hésitant, GDF Suez
(Engie) gagne 1,5% à 18,54 euros, dans de beaux volumes. C'est Citi qui
soutient la tendance, avec le relèvement de sa recommandation à
l'achat, pour une valorisation de 20 euros contre 19,50 euros
précédemment. Le dossier a affiché une contreperformance de 13%
récemment contre son secteur, ce qui ouvre une bonne porte d'entrée,
selon l'analyste.


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680 de 766 - 21/5/2015 09:18
waldron Messages postés: 9825 - Membre depuis: 17/9/2002

(AOF) - Refrain connu : un broker réputé relève sa recommandation sur
une action et la valeur monte. C'est ce qui est arrivé à Engie mercredi
(+2% à 18,64 euros). Citi, la filiale de Bourse de Citigroup, a relevé
sa recommandation sur l'ex-GDF Suez de Neutre à Achat et révisé à la
hausse son objectif de cours de 19,50 à 20 euros. Le broker observe que
le titre a sous-performé de 13% le secteur des utilities. Par ailleurs,
les réponses qui seront apportées au problème de la durée de vie des
centrales nucléaires et de la fiscalité pourraient être prochainement
"des catalyseurs positifs".Le courtier estime par ailleurs que marché
est trop obnubilé par les marges sur le gaz liquide et pas assez sur les
effets positifs de la croissance des volumes sur le marché.

De plus rajoute-t-il, la réorganisation du groupe et de l'équipe de direction pourrait accélérer la baisse des coûts.

Un seul bémol, Citi pense que la probabilité d'un placement par l'Etat français pourrait freiner la remontée du titre.

Malgré
la hausse d'aujourd'hui, il accuse une baisse de 4,7% depuis le début
de l'année après un gain de près de 14% en 2014, tandis que l'indice
sectoriel européen progresse de 7%.

En début de mois,
l'énergéticien français et futur « leader de la transition énergétique
en Europe », a révisé à la baisse de ses objectifs 2015 en raison de
l'indisponibilité plus longue que prévu de deux de ses réacteurs
nucléaires en Belgique.

Dans ce cadre, la société a réduit
pour 2015 sa fourchette de résultat net récurrent part du groupe de 150
millions d'euros, correspondant aux quatre mois supplémentaires de non
fonctionnement, avec une fourchette désormais comprise entre 2,85 et
3,15 milliards d'euros, à climat moyen en France. Il tablait auparavant
sur résultat net récurrent part du groupe compris entre 3 à 3,3
milliards.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur

-
Premier producteur mondial d'électricité non nucléaire, premier
fournisseur de services d'efficacité énergétique, deuxième fournisseur
de services à l'environnement ;

- Opportunités de croissance liées
à la transition énergétique dans le monde, avec une bonne visibilité
pour le groupe : 10,5 GW de capacité en construction, soit plus de deux
fois les capacités mises en services en 2014 ;

- Montée en
puissance des activités à l'international -Amérique du Nord (5,5 %),
Asie-Moyen Orient et Océanie (9,8 %)- la France restant le premier
marché du groupe (38,5 %), devant la Belgique (11,4 %) et le reste de
l'Europe (29,1 %) ;

- Au-delà des branches énergie Europe (25 %)
et International (29 %), croissance des divisions global Gaz et GNL
(16%), services à l'énergie ( 8 %), (25%) et infrastructures (25%), à la
rentabilité opérationnelle très supérieure à celle de la production
pure d'énergie ;

- Exécution avec un an d'avance du plan d'actions Perform 2015 ;

- Visibilité sur le dividende jusqu'en 2016 -65 à 75 % de distribution avec un minimum de 1 € par titre.

Les points faibles de la valeur

- Pression fiscale et réglementaire accrue et conditions de marché difficiles en Europe, premier marché du groupe ;

-
Faible lisibilité sur les tarifs de gaz, sujets aux décisions de l'Etat
français, actionnaire à hauteur de 36 %, qui a diminué le prix
réglementé du gaz en août 2014 ;

- Dans le nucléaire, sensibilité aux décisions politiques en Belgique (10% de l'EBITDA) ;

-Sensibilité
au recul des cours du brut, frein à l'expansion des renouvelables,
ainsi qu'à la contraction des prix de marché de l'électricité, d'où un «
plan de réaction rapide » de nouvelles réductions de coûts ;

- Risques géopolitiques autour de la livraison du gaz russe à l'Europe de l'ouest.

Comment suivre la valeur

- Secteur des « utilities », traditionnellement sensible à l'évolution des taux d'intérêt et aux décisions politiques ;

-
Performances financières liées à l'évolution des prix du gaz, eux-mêmes
dépendants du fioul domestique, du fioul lourd, du Brent et de la
parité de change euro/dollar ;

- Réorganisation du groupe pour
2016 -remplacement des 5 divisions par métiers par 24 entités
opérationnelles, fondées essentiellement sur des zones géographiques et
capables d'offrir plusieurs services à un même client ;

- Avancée des objectifs financiers 2014-2016 : notation « A » pour la dette et capex nets de 6 à 7 Mds€ ;

-
Nucléaire belge : impact positif sur le bénéfice de la réouverture des
centrales Doel3 et Tihange d'une part, risque de fermeture définitif, en
novembre 2015, des centrales D1 & 2 en cas de désaccord entre le
Parlement et le groupe sur les compensations financières à un
rallongement de 10 ans de leur durée de vie ;

- Accroissement du
portefeuille de GNL (20 Mt attendues en 2017 contre 16 Mt vendues en
2013) dont le groupe est 3ème fournisseur mondial ;

- Réalisation de l'objectif 2015 d'un EBITDA entre 11,7 et 12,3 Mds€ et d'un résultat net de 3 à 3,3 Mds€ ;

-
Valeur non opéable, car contrôlée à 34,2 % par l'Etat français, dont
1,9 % par la Caisse des dépôts, mais dont le capital évoluera : vers un
désengagement total, en 2017, de GBL (groupe Albert Frère, actionnaire à
2,4 %) et vers un autre désengagement partiel de l'Etat français. LE SECTEUR DE LA VALEUR

Services aux collectivités

La
scission d'E.on en deux sociétés spécialisées, avec d'un côté les
énergies renouvelables et de l'autre les énergies thermiques
traditionnelles telles que le charbon, gaz, nucléaire, trading et
exploration, souligne les mutations du marché énergétique européen et sa
bipolarité. Le premier électricien mondial, EDF, résiste bien à ce
nouvel environnement grâce à ses centrales nucléaires, qui n'ont
enregistré aucune dépréciation. Alors que ses concurrents ferment des
actifs gaziers, le groupe a investi dans trois nouveaux cycles combinés
gaz ces dernières années. La situation est différente pour GDF Suez, qui
a mis sous cocon de nombreuses centrales en Europe. Il a déprécié 14,9
milliards d'euros d'actifs en 2014. Son dirigeant est à la tête du
groupe Magritte, qui réunit onze des plus grands énergéticiens
européens, et souhaite des mesures pour préserver l'avenir énergétique
de l'Europe.

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