News_week-End_29_30-09
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Modifié le 29/9/2007 13:01
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artes
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
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File de NEWS orientée USA / Monde
Bon W-E à tous & à toutes !
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Modifié le 29/9/2007 12:59
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- http://biz.yahoo.com/topic/us-markets/
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extract: http://biz.yahoo.com/ap/070928/wall_street_box.html?.v=2
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AP
How Major Stock Market Indexes Fared
Friday September 28, 8:05 pm ET
By The Associated Press
How Major Stock Market Indexes Fared Friday
Wall Street registered slight declines Friday as Wall Street finished the third quarter on a cautious note. The major stock indexes finished the quarter higher, and Friday saw solid readings on consumer spending, construction spending, inflation and Midwest manufacturing. But investors have yet to see how most companies weathered the summer's market turbulence.
The Dow Jones industrial average fell 17.31, or 0.12 percent, to 13,895.63.
The Standard & Poor's 500 index lost 4.63, or 0.30 percent, to 1,526.75.
The Nasdaq composite index declined 8.09, or 0.30 percent, to 2,701.50.
For the week:
The Dow is up 75.44, or 0.55 percent.
The S&P is up 1.00, or 0.07 percent.
The Nasdaq is up 30.28, or 1.13 percent.
For the quarter:
The Dow is up 487.01, or 3.63 percent.
The S&P is up 23.40, or 1.56 percent.
The Nasdaq is up 98.27, or 3.77 percent.
For the year:
The Dow is up 1,432.48, or 11.49 percent.
The S&P is up 108.45, or 7.65 percent.
The Nasdaq is up 286.21, or 11.85 percent.
(This version CORRECTS Corrects weekly change in Dow Jones industrial average)
Signé Artes
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29/9/2007 14:18
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News on : http://www.futuresknowledge.com/Market_Analysis/index.asp
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Modifié le 29/9/2007 22:37
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Market Overview
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Source : http://finance.yahoo.com/marketupdate/overview?u
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Weekly Recap - Week ending 28-Sep-07
Despite lingering concerns about the economic outlook, the three major averages ended the week higher.
U.S. stocks started the period on a weak note, as a landmark strike at General Motors (GM) raised concerns about the outlook for other industrial companies and the economy. On Monday, approximately 73,000 workers in the United Auto Workers union went on strike against the Detroit-based auto maker, as the two sides failed to reach an agreement over cuts in health care costs and union demands to keep U.S. production jobs.
Financial shares also weakened during Monday's session on news that Deutsche Bank (DB), Germany's largest bank, may have to take a big write down of its leveraged loan commitments due to the meltdown in the sub-prime mortgage market.
The markets trended modestly higher on Tuesday, however, as disappointing earnings/sales updates from several notable companies and weak economic data were offset by strength in the Technology sector.
Fueling concerns about a slowdown in consumer spending, value-oriented retailer Target Corp. (TGT) warned that September same-store sales would fall below its previous forecasts because of weak customer traffic. Meanwhile, Lowe's Cos. (LOW), the nation's second largest home improvement chain, cut its full-year profit outlook due to unfavorable weather conditions in some parts of the U.S., and homebuilder Lennar Corp. (LEN) reported a large third quarter loss and said it would be cutting more jobs in the fourth quarter amid persisting weakness in the housing market.
On the economic front, the Conference
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Modifié le 29/9/2007 23:43
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artes
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Daily Video is out for 09/28/07
S&P,EMini & Futures - Weekend Webinar:
Available at:
You Tube Videos.
SHORT TERM TRADING VIDEO PAGE. http://livewithoscar.com/modules.php?name=Daily_Video
Enjoy the Show! - Oscar
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29/9/2007 23:20
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est-ce-que tout ce qui suit est exact?trouvé sur forum croc
L’US $ est une monnaie privée
On ne peut comprendre la crise financière actuelle, ni les rapports de force internationaux, sans tenir compte du caractère privé de la Banque centrale des États-Unis (la « Fed »). C’est elle, c’est-à-dire un consortium de banques privées, et non le gouvernement de Washington qui édite les billets verts.
Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.
L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries d’Andrew Carnegie.
Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.
Le XVIe amendement de la Constitution états-unienne, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens états-uniens. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :
- 1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
- 2. La Banque Lazard frères de Paris
- 3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
- 4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
- 5. La Banque Lehmann à New York
- 6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
- 7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
- 8. La Banque Goldman Sachs à New York.
Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.
En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.
Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.
Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.
Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les matières premières et autres valeurs au monde.
Source : Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, juillet-août 2007.
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est-ce-que tout ce qui suit est exact?trouvé sur forum croc
L’US $ est une monnaie privée
On ne peut comprendre la crise financière actuelle, ni les rapports de force internationaux, sans tenir compte du caractère privé de la Banque centrale des États-Unis (la « Fed »). C’est elle, c’est-à-dire un consortium de banques privées, et non le gouvernement de Washington qui édite les billets verts.
Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.
L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries d’Andrew Carnegie.
Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.
Le XVIe amendement de la Constitution états-unienne, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens états-uniens. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :
- 1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
- 2. La Banque Lazard frères de Paris
- 3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
- 4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
- 5. La Banque Lehmann à New York
- 6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
- 7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
- 8. La Banque Goldman Sachs à New York.
Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.
En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.
Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.
Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.
Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les matières premières et autres valeurs au monde.
Source : Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, juillet-août 2007.
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Messages postés: 1509 -
Membre depuis: 15/12/2006
Une Lecture s'impose, "L'ARGENT" de John Kenneth Galbraith (Auteur), Daniel Blanchard (Traduction) , http://www.amazon.fr/LArgent-John-Kenneth-Galbraith/dp/2070328155/ref=sr_1_4/402-1437704-7790561?ie=UTF8&s=books&qid=1191102514&sr=1-4
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et plus général : http://www.amazon.fr/s?ie=UTF8&search-type=ss&index=books-fr&field-author=John%20Kenneth%20Galbraith&page=1
- (Cliquer ici)
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Messages postés: 1509 -
Membre depuis: 15/12/2006
à lire... http://www.marketoracle.co.uk/Article2189.html
et ...
--
AP
Mich. Lawmakers Try to Avoid Shutdown
Sunday September 30, 6:07 am ET
By David Eggert and Tim Martin, Associated Press Writers
Michigan Lawmakers Try to Reach Budget Deal, Avoid Partial Government Shutdown
LANSING, Mich. (AP) -- Lawmakers trying to avoid a partial government shutdown were taking a short break early Sunday from brokering deals on tax increases and other measures aimed at plugging a budget deficit.
http://biz.yahoo.com/ap/070930/michigan_budget.html?.v=2
...
encore... http://biz.yahoo.com/ap/070930/meat_recall.html?.v=1
...
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Messages postés: 1509 -
Membre depuis: 15/12/2006
source ; http://www.marketoracle.co.uk/Article2287.html
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../...
Currently, Wall Street is divided into two camps: those who feel the Fed should fight recession, and those who feel it should fight inflation. The former feel that a recession can only be avoided if the Fed rescues the economy from the imploding housing market. To these analysts, inflation is not a problem as it will be contained by slower growth. The other camp maintains that the housing slowdown is not significant enough to derail the otherwise healthy U.S. economy, and should therefore not distract the Fed from its primary mission of fighting inflation. As usual on Wall Street, both camps have it wrong.
../...
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Messages postés: 1509 -
Membre depuis: 15/12/2006
Monday, September 24, 2007 , http://www.marketoracle.co.uk/Article2240.html
Central Banks Playing The Paper Game Bring the World Close to Hyper Inflation / Economics / Money Supply
By: Captain_Hook
Apparently we have arrived – arrived at the point where any and all problems encountered must now be papered over – and we've gone global in this regard. You might want to listen to Jim Sinclair's talk on why the derivatives problem will necessarily lead us into hyperinflation. I'm not sure I agree with all his assertions, however the primary message is undeniable, and the market action is backing such claims, so they must be taken seriously. In this regard, let's take a quick look at money supply now to ensure our thinking is on the right track. Wouldn't you know it, in addition to monetization efforts taking off (growing at a 14% annualized rate), which of course we already knew about, growth rates in visible measures including both Money At Zero Maturity (MZM) and M2 are also going vertical, which gold is correctly responding to then. Here, these are not quite what would be considered hyperinflationary levels, but they are damn close --- close enough to talk about mild hyperinflation.
Read full article... Read full article... http://www.marketoracle.co.uk/Article2240.html
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Modifié le 30/9/2007 19:43
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Messages postés: 1509 -
Membre depuis: 15/12/2006
Suite, http://www.futuresknowledge.com/Market_Analysis/index.asp
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& http://www.marketoracle.co.uk/Topic6.html
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Le statut hégémonique des USA s'éteint doucement
Par Paul Craig Roberts, le 19 septembre 2007
Le mémoire d'Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve Fédéral, a été mis dans l'actualité ces derniers jours. Ses commentaires sur divers présidents ont troublé les républicains, avec George W. Bush récoltant des critiques et Clinton des éloges, et disant que l'invasion de l'Irak par Bush était pour le pétrole, pas pour les ar.mes de destruction de masse.
Les opposants aux gu.erres de Bush ont bien accueillis les déclarations de Greenspan, car elles déshabillent peu à peu le prétexte moral de l'agression de Bush, laissant la cupidité nue sans masque.
L'Irak n'a certainement pas été envahi à cause des ar.mes de destruction de masse, que l'administration Bush savait ne pas exister. Mais le prétexte du pétrole est aussi faux. Les USA auraient pu acheter beaucoup de pétrole pour le billion de dollars que l'invasion de l'Irak a déjà coûtés en frais et en dépenses futures déjà engagées.
D'ailleurs, l'invasion de l'Irak par Bush, en aggravant le déficit US et en augmentant la dépendance des USA aux prêts étrangers, a sapé le rôle de monnaie de réserve du dollar, menaçant de ce fait la capacité des USA à payer leurs importations. Greenspan lui-même a dit que le dollar « n'a pas beaucoup d'avantage » et pourrait être remplacé par l'euro comme monnaie de réserve. Vers la fin de l'année dernière, Greenspan a dit, que les banques centrales étrangères détenaient déjà 25 pour cent de leurs réserves en euros et 9 pour cent dans d'autres devises étrangères. Le rôle du dollar s'est réduit à 66 pour cent.
Si le dollar perdait son statut de monnaie de réserve, les USA devraient comme par magie muter d'un déficit commercial de 800 milliards de dollars à une balance commercial en surplus de sorte que les USA puissent gagner assez d'euros pour payer leurs importations de pétrole et de biens manufacturés.
Les gue.rres de Bush concernent l'hégémonie Étasunienne, pas le pétrole. Les compagnies pétrolières n'ont pas écrit le « Projet pour un nouveau siècle américain » des néo-conservateurs, qui exige l'hégémonie US-israélienne sur le Moyen-Orient, une hégémonie qui éliminerait opportunément les obstacles à l'expansion territoriale israélienne.
L'industrie pétrolière a fait valoir son influence après l'invasion. Dans son livre, Maison de fous armés, Greg Palast, le journaliste d'investigation de la BBC, documente que l'intérêt de l'industrie pétrolière US pour le pétrole du Moyen-Orient est très différent de s'emparer du pétrole. Palast prouve que les intérêts de ces sociétés pétrolières coïncident avec ceux de l'OPEP. Les compagnies pétrolières veulent un débit pétrolier contrôlé, ce qui entraîne des prix stables et élevés. Par conséquent, l'industrie pétrolière US a entravé le plan néo-conservateur, incubé à la Heritage Foundation et destiné à l'Arabie Saoudite, pour se servir du pétrole irakien pour casser l'OPEP. [*]
Saddam a eu des ennuis parce qu'à un moment il coupait la production pour soutenir les palestiniens et le moment suivant qu'il pompait le maximum permis. Le mouvement montant et descendant des prix était déstabilisant même pour l'industrie pétrolière. Palast signale qu'un rapport du Council on Foreign Relations conclut : Saddam a une « influence déstabilisante... pour la circulation du pétrole dans les marchés internationaux du Moyen-Orient. »
L'aspect le plus notable du mémoire de Greenspan est son insouciance de la perte de l'industrie manufacturière US. Au lieu d'un problème, Greenspan y voit simplement un glissement salutaire des emplois de l'« ancienne » industrie manufacturière (acier, voitures et textiles) vers la « nouvelle » telle que celle des ordinateurs et des télécommunications. Cela démontre une ignorance remarquable des données statistiques de la part d'un président de Réserve Fédérale renommé pour sa direction sur de nombreuses délocalisations et son manque de compréhension complet de la chose.
L'incitation à délocaliser à l'étranger les emplois n'a rien à faire avec l'« ancienne » ou la « nouvelle » économie. Les entreprises délocalisent leur production, parce qu'elles peuvent produire à meilleur coût à l'étranger ce qu'elles vendent aux Étasuniens. Quand les sociétés apportent aux USA leur production fabriquée à l'étranger pour la vendre, les marchandises comptes comme des importations.
Si Greenspan avait pris la peine de regarder les données de la balance commerciale US, il aurait découvert qu'en 2006, les dernière données complètes sur un an, les USA ont exporté pour 47.580 millions de dollars d'ordinateurs et en ont importé pour 101.347 millions de dollars, pour un déficit commercial sur les ordinateurs de 53.767 millions de dollars. Dans les équipements de télécommunications les USA ont exporté pour 28.322 millions de dollars et en ont importé pour 40.250 millions de dollars, pour un déficit commercial dans les équipement de télécommunications de 11.883 millions de dollars.
Greenspan n'a probablement pas réfléchi sérieusement à la délocalisation à l'étranger, parce que comme la plupart des économistes il croit de manière erronée que c'est du libre-échange et qu'il a appris dans les cours d'économie il y a des décennies avant l'avènement de la délocalisation que le libre-échange ne peut faire aucun mal.
Depuis le début du 21ème siècle je signale que la délocalisation n'est pas de l'échange, libre ou autre. C'est de l'arbitrage du travail. En remplaçant le boulot aux USA par le boulot à l'étranger pour la production des marchandises et des services destinés aux marchés US, les entreprises détruisent l'échelle de mobilité ascendante aux USA. Jusqu'ici les économistes ont préféré leurs illusions aux faits.
Il devient plus difficile pour les économistes de couver en leur sein l'illusion que la délocalisation serait du libre-échange. Ralph Gomory -- le distingué mathématicien et coauteur avec William Baumol, ancien président de l'American Economics Association, de Global Trade and Conflicting National Interests (Commerce mondial et conflits d'intérêts nationaux), le travail le plus important en 200 ans sur la théorie du commerce --, est entré dans le débat public.
Lors d'une entrevue avec Manufacturing & Technology News (le 17 septembre), Gomory confirmait qu'il n'y a aucune base dans la théorie économique pour prétendre qu'il est bon de démolir nos propres capacités de production et de les reconstruire dans un pays étranger. Ce n'est pas du libre-échange quand une compagnie déplace sa fabrication à l'étranger.
Gomory dit que les économistes et les responsables « traitent toujours les compagnies comme si elles représentaient le pays, et elles ne le font pas. » Les compagnies ne sont plus liées aux intérêts de leurs pays d'origine, parce que le lien a été découplé entre le souci de rentabilité et le bien-être du pays. Les économistes, précise Gomory, ne reconnaissent pas les implications de ce découplage pour la théorie économique. (Président Ralph Gomory de Sloan Foundation : Le transfert de la production à l'étranger n'est pas du libre-échange, par Richard McCormack)
Un pays qui délocalise à l'étranger sa propre production ne peut pas équilibrer son commerce. Les Étasuniens peuvent consommer plus qu'ils produisent seulement parce que le dollar est la monnaie de réserve mondiale. Cependant, le statut de monnaie de réserve du dollar est érodé par les dettes liées au commerce et aux déficits budgétaires continuels.
Les USA sont sur le chemin d'un Armageddon économique. Se dépouillant de l'industrie, dépendant des biens et des services étrangers, et privés du dollar comme monnaie de réserve, les USA deviendront un pays du Tiers Monde. Gomery note qu'il serait très difficile -- peut-être impossible -- pour les USA de réacquérir les capacités de fabrication qu'ils ont donné aux autres pays.
Comment un peuple, dont la politique économique le transforme en pays du Tiers Monde avec ses diplômés universitaires travaillant comme serveuses, barmans, et conduisant des taxi, peut se considérer comme une puissance hégémonique même pendant qu'il accumule des dettes de guerre qui sapent davantage leur capacité à payer leurs factures d'importation, est un mystère.
Paul Craig Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor dans l'administration Reagan. Il est l'auteur de Supply-Side Revolution : An Insider's Account of Policymaking in Washington ; Alienation and the Soviet Economy et Meltdown: Inside the Soviet Economy, et est coauteur avec Lawrence M. Stratton de The Tyranny of Good Intentions : How Prosecutors and Bureaucrats Are Trampling the Constitution in the Name of Justice. Clic ici pour l'entrevue [en anglais] de Peter Brimelow de Forbes Magazine avec Roberts au sujet de la récente épidémie d'inconduite des procureurs.
Original : http://www.vdare.com/roberts/070919_economic.htm
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30/9/2007 22:05
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batcha
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Membre depuis: 20/8/2007
C'est exact maybe3, voici un autre article sur ce sujet: http://www.globalresearch.ca/index.php?context=viewArticle&code=LEN20060701&articleId=2712
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extract: http://biz.yahoo.com/ap/070928/wall_street_box.html?.v=2
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AP
How Major Stock Market Indexes Fared
Friday September 28, 8:05 pm ET
By The Associated Press
How Major Stock Market Indexes Fared Friday
Wall Street registered slight declines Friday as Wall Street finished the third quarter on a cautious note. The major stock indexes finished the quarter higher, and Friday saw solid readings on consumer spending, construction spending, inflation and Midwest manufacturing. But investors have yet to see how most companies weathered the summer's market turbulence.
The Dow Jones industrial average fell 17.31, or 0.12 percent, to 13,895.63.
The Standard & Poor's 500 index lost 4.63, or 0.30 percent, to 1,526.75.
The Nasdaq composite index declined 8.09, or 0.30 percent, to 2,701.50.
For the week:
The Dow is up 75.44, or 0.55 percent.
The S&P is up 1.00, or 0.07 percent.
The Nasdaq is up 30.28, or 1.13 percent.
For the quarter:
The Dow is up 487.01, or 3.63 percent.
The S&P is up 23.40, or 1.56 percent.
The Nasdaq is up 98.27, or 3.77 percent.
For the year:
The Dow is up 1,432.48, or 11.49 percent.
The S&P is up 108.45, or 7.65 percent.
The Nasdaq is up 286.21, or 11.85 percent.
(This version CORRECTS Corrects weekly change in Dow Jones industrial average)
Signé Artes