L’Impériale (TSE : IMO, NYSE American : IMO) a diffusé
aujourd’hui une version mise à jour de ses prévisions pour 2025. La
stratégie de la compagnie reste axée sur l’optimisation de la
valeur des actifs existants et l’avancement d’occasions de
croissance avantageuses à forte valeur tout en poursuivant la
réduction de ses émissions et la production de rendements parmi les
meilleurs de l’industrie pour ses actionnaires.
« Notre plan de 2025 s’appuie sur l’élan créé et permettra à la
compagnie d’atteindre un rendement d’exploitation encore plus
solide, avec des volumes plus élevés et des charges décaissées
unitaires moins élevées1 à Kearl et à Cold Lake », déclare Brad
Corson, président du conseil d’administration, président et chef de
la direction. Dans le secteur Aval, le débit des raffineries est
plus élevé d’année en année grâce à un calendrier d’exécution
d’activités d’entretien planifiées plus léger, et le lancement de
l’installation de diesel renouvelable devrait accroître les ventes
de produits.
« Nos investissements stratégiques et l’attention soutenue
portée à la croissance rentable des volumes, à la réduction des
coûts et à la création de gains d’efficacité ont accru la capacité
de L’Impériale à générer de solides flux de trésorerie disponibles1
sous tout un éventail de conditions opérationnelles. », d’ajouter
M. Corson.
Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration2
devraient se chiffrer entre 1,9 et 2,1 milliards de dollars. Dans
le secteur Amont, les principaux investissements favorisent la
croissance des volumes, notamment la technologie visant à accroître
la récupération du bitume et la progression des travaux miniers à
Kearl, ainsi que l’achèvement du projet de réaménagement Leming et
les possibilités de forage de grande valeur à Cold Lake. Les
investissements dans le secteur Aval portent sur l’achèvement du
projet de diesel renouvelable de Strathcona, dont le lancement est
prévu vers le milieu de l’année, et d’autres initiatives
d’optimisation destinées à améliorer la souplesse en matière de
distribution et de traitement dans l’ensemble du réseau.
Dans le secteur Amont, la production devrait se situer entre 433
000 et 456 000 barils d’équivalent pétrole brut par jour. Les
volumes plus élevés reflètent la croissance continue à Kearl, la
première année complète de contribution de Grand Rapids à Cold
Lake, ainsi que d’autres initiatives d’optimisation. Le projet de
réaménagement Leming, qui utilise la technologie de séparation
gravitaire stimulée par injection de vapeur, devrait démarrer vers
la fin de l’année et être en production essentiellement en 2026 et
au-delà.
Dans le secteur Aval, le débit devrait atteindre entre 405 000
et 415 000 barils par jour avec un taux d’utilisation de la
capacité se situant entre 94 % et 96 %. La compagnie prévoit des
activités d’entretien planifiées à chacune de ses raffineries en
2025, les répercussions attendues sur le débit et les coûts étant
inférieures à celles obtenues en 2024. L’Impériale continue de
mettre l’accent sur l’amélioration de ses activités avantageuses du
secteur Aval canadien en tirant parti de son réseau logistique
pancanadien pour introduire efficacement ses produits sur des
marchés de grande valeur, maximisant ainsi la flexibilité de sa
gamme de produits et de pétrole brut issus de ses raffineries en
vue d’améliorer la résilience et de développer son offre de
produits à faible intensité de carbone en vue de répondre aux
besoins des clients partout au Canada.
L’Impériale reste déterminée à fournir de l’énergie sûre, fiable
et abordable aux Canadiens, y compris à réduire l’intensité des
émissions. « J’ai entière confiance en notre capacité à créer de la
valeur pour nos actionnaires grâce à l’ingéniosité et au travail
assidu de notre main-d’œuvre et de nos actifs de haute qualité »,
déclare M. Corson.
1 Mesures financières non conformes aux PCGR – voir la
définition et le rapprochement sous Complément d’information.
2 Voir la définition sous Complément d’information.
Prévisions pour l’ensemble de l’année
2025
En dollars canadiens, sauf indication
contraire
Total des dépenses en immobilisations
et frais d’exploration en M $
1 900 – 2 100
Production en amont en bep/jour
433 000 – 456 000
Kearl (brut) en barils/jour
280 000 – 290 000
Cold Lake en barils/jour
150 000 – 160 000
Syncrude en barils/jour
75 000 – 80 000
Débit des raffineries en
barils/jour
405 000 – 415 000
Utilisation de la capacité de raffinage
(en %)
94 % – 96 %
Activités d’entretien planifiées pour
2025
La production, le débit et les coûts
d’exploitation3 sur une base annualisée, avant redevances,
représentent la part de L’Impériale.
Secteur amont :
T2 : Kearl, 9 kb/j, 57 M$ de coûts
d’exploitation
T2 : Cold Lake, 3 kb/j, 30 M$ de coûts
d’exploitation
T3 : Syncrude, 6 kb/j, 111 M$ de coûts
d’exploitation
Secteur Aval et Produits
chimiques
T2 : raffinerie de Strathcona, 3 kb/j, 19
M$ de coûts d’exploitation
T2 : raffinerie de Nanticoke, 6 kb/j, 41
M$ de coûts d’exploitation
T3/T4 : raffinerie de Sarnia, 3 kb/j, 51
M$ de coûts d’exploitation
1 Voir la définition sous Complément d’information.
2 La production en Amont est la part de L’Impériale avant
redevances, à l’exception de Kearl, dont la base brute est de 100
%. Kearl est la propriété conjointe de L’Impériale (70,96 %) et
d’ExxonMobil Canada (29,04 %).
3 Mesures financières non conformes aux PCGR – voir la
définition et le rapprochement sous Complément d’information.
Mise en garde
Les énoncés contenus dans le présent communiqué qui sont liés à
des situations ou des événements futurs, y compris les projections,
les prévisions, les objectifs, les attentes, les estimations et les
plans d’affaires sont des énoncés prospectifs. Les énoncés
prospectifs peuvent être identifiés par l’emploi de tournures
utilisant certains mots, notamment : croit, anticipe, entend,
propose, planifie, but, recherche, projette, présage, cible,
évalue, prévoit, stratégie, perspective, prévision, compte, futur,
continue, probable, peut, doit, aspire et autres références
semblables à des périodes futures. Les énoncés prospectifs contenus
dans le présent communiqué comprennent notamment des références aux
prévisions 2025 de L’Impériale et à son plan pour 2025; aux
prévisions relatives à la production totale du secteur Amont et des
actifs pour 2025; aux prévisions quant au débit et à l’utilisation
de la capacité de raffinage du secteur Aval; au coût, à la portée
et à l’impact des activités d’entretien planifiées en 2025. à la
stratégie d’entreprise de L’Impériale qui reste axée sur
l’optimisation des actifs existants, sur la sélection d’initiatives
de croissance et sur la production de rendements pour les
actionnaires; à l’attention que la compagnie porte sur la
croissance rentable du volume, la réduction des coûts et la
création de gains d’efficacité, y compris les réductions attendues
des charges décaissées unitaires à Kearl et à Cold Lake; aux
dépenses prévues en immobilisations et frais d’exploration se
situant entre 1,9 et 2,1 milliards de dollars pour 2025; à la
capacité de la compagnie à générer des flux de trésorerie
disponibles et à respecter ses engagements envers les actionnaires,
et à mettre l’accent sur les efficacités en matière de coûts; à
l’impact et au calendrier d’investissement à Kearl et à Cold Lake
pour soutenir l’augmentation des volumes, notamment en ce qui a
trait au projet de Grand Rapids, au projet de réaménagement du
terrain de Leming et aux possibilités de forage de grande valeur à
Cold Lake; au calendrier et à l’impact du projet de diesel
renouvelable de Strathcona; aux prévisions de production totale du
secteur Amont et des actifs pour 2025; aux prévisions de débit et
d’utilisation de la capacité du secteur Aval; aux améliorations
apportées aux activités en Aval de la compagnie, y compris par le
transport efficace des produits, la flexibilité de la gamme
proposée par la raffinerie et la poursuite du développement de son
offre de produits à faibles émissions de carbone; aux coûts, à la
portée et à l’impact des activités d’entretien planifiées en 2025;
et à la détermination de la compagnie à fournir de l’énergie sûre,
fiable et abordable, ainsi qu’à réduire l’intensité de ses
émissions.
Les énoncés prospectifs sont fondés sur les prévisions actuelles
de la compagnie, ses estimations, ses projections et ses hypothèses
émises au moment de la déclaration. Les résultats financiers et
d’exploitation réels qui seront obtenus, notamment les attentes et
les hypothèses portant sur la demande d’énergie future,
l’approvisionnement et le bouquet énergétique; sur les prix des
matières premières, les taux de change et les conditions générales
du marché; sur les taux de production, la croissance et la
composition des différents actifs; sur les plans, le calendrier,
les coûts, les évaluations techniques et les capacités des projets,
ainsi que sur la capacité de la compagnie à exécuter efficacement
ces plans et à exploiter ses actifs, notamment le projet Grand
Rapids à Cold Lake et le projet de réaménagement de Leming, le
projet de diesel renouvelable de Strathcona ainsi que toute
modification de la portée, des conditions ou des coûts de ces
projets; sur l’adoption et l’incidence de nouvelles installations
et technologies à l’égard des réductions de l’intensité des gaz à
effet de serre, notamment le remplacement par des solvants du
processus à vapeur à forte intensité d’énergie à Cold Lake, le
diesel renouvelable de Strathcona, le captage et le stockage du
carbone notamment en lien avec l’hydrogène requis pour le projet de
diesel renouvelable, les technologies de récupération et les
projets d’efficacité, et tout changement dans la portée, les
modalités et les coûts de ces projets; sur les résultats des
programmes de recherche et des nouvelles technologies, notamment en
ce qui concerne les émissions de gaz à effet de serre, ainsi que la
capacité de porter les nouvelles technologies à une échelle
commerciale à coût concurrentiel et la compétitivité des sources
d’énergie de rechange et des autres technologies de réduction des
émissions; sur l’obtention des approbations réglementaires en temps
opportun, en particulier en ce qui concerne les projets de
réduction des émissions à grande échelle; sur le montant et le
calendrier des réductions d’émissions, notamment l’incidence des
carburants à faible teneur en carbone; sur l’obtention du soutien
nécessaire des décideurs politiques et d’autres parties prenantes
pour diverses nouvelles technologies comme le captage et le
stockage du carbone et le diesel renouvelable; sur la disponibilité
et le coût des charges d’alimentation obtenues de sources et de
cultures locales et la fourniture de diesel renouvelable à la
Colombie-Britannique dans le cadre de sa législation sur les
carburants à faibles émissions de carbone; sur les lois et les
politiques gouvernementales applicables, y compris relativement aux
changements climatiques, aux réductions des émissions de gaz à
effet de serre et aux carburants à faibles émissions de carbone;
sur les activités d’entretien planifiées et le coût de ces
activités; sur la génération de trésorerie, les sources de
financement et la structure du capital, comme les dividendes et les
rendements pour les actionnaires, y compris les échéanciers et les
montants de rachat d’actions; sur les dépenses liées aux
immobilisations et à l’environnement; sur le taux d’utilisation de
la capacité de raffinage; et sur le rendement des tiers
fournisseurs de services pourraient varier considérablement selon
un certain nombre de facteurs.
Ces facteurs comprennent les variations mondiales, régionales ou
locales de l’offre et de la demande de pétrole, de gaz naturel, de
produits pétroliers et de produits pétrochimiques ainsi que les
incidences sur les prix, les écarts et les marges, y compris les
mesures prises par les gouvernements étrangers en ce qui concerne
les niveaux d’approvisionnement et les prix et la survenance de
guerres; la réglementation environnementale, dont les règlements
concernant les changements climatiques et les gaz à effet de serre,
et les changements à ces règlements; la gestion et les calendriers
des projets et l’achèvement de ces projets dans les délais prévus;
la disponibilité et le rendement des tiers fournisseurs de
services; les difficultés techniques ou opérationnelles imprévues;
les dangers et les risques opérationnels; l’opposition des tiers
aux activités, aux projets et aux infrastructures de la compagnie
et des fournisseurs de services; les résultats des programmes de
recherche et des nouvelles technologies, et la capacité de déployer
de nouvelles technologies à une échelle commerciale à un coût
concurrentiel; l’échec, le retard ou l’incertitude concernant la
politique de soutien et le développement du marché pour l’adoption
de technologies énergétiques émergentes à faibles émissions et
d’autres technologies favorables aux réductions d’émissions; les
risques environnementaux inhérents aux activités d’exploration et
de production pétrolières et gazières; l’obtention, en temps
opportun, de l’approbation des organismes de réglementation et de
tierces parties; le transport pour l’accès aux marchés; les
événements politiques ou réglementaires y compris les modifications
apportées aux lois ou aux politiques gouvernementales, aux taux de
redevances, aux tarifs et aux lois fiscales; l’efficacité de la
gestion et la préparation pour une intervention en cas de sinistre;
les incidents liés à la cybersécurité; la disponibilité et la
répartition de capitaux; les taux de change; la conjoncture
économique générale, y compris l’inflation et les récessions ou les
ralentissements économiques et leur durée; ainsi que d’autres
facteurs abordés dans les facteurs de risque à la rubrique 1A et à
la rubrique 7 du rapport de gestion sur la situation financière et
les résultats d’exploitation de L’Impériale Limitée du plus récent
rapport annuel sur le formulaire 10-K.
Les énoncés prospectifs ne garantissent pas le rendement futur
et comportent un certain nombre de risques et d’incertitudes, dont
certains sont similaires à ceux d’autres sociétés pétrolières et
gazières et d’autres sont exclusifs à L’Impériale. Les résultats
réels de L’Impériale pourraient différer considérablement des
résultats implicites ou explicites selon les énoncés prospectifs,
et les lecteurs sont priés de ne pas s’y fier aveuglément.
L’Impériale ne s’engage aucunement à publier une mise à jour des
énoncés prospectifs fournis aux présentes, sauf si la loi
l’exige.
Les énoncés prospectifs et autres déclarations concernant les
initiatives et les aspirations environnementales, sociales et en
matière de durabilité de L’Impériale ne sont pas une indication que
ces énoncés sont importants pour les investisseurs ou qu’ils
doivent être communiqués dans les documents de la compagnie déposés
auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières. De
plus, les énoncés environnementaux, sociaux et en matière de
durabilité historiques, actuels et prospectifs peuvent être basés
sur des normes de mesure des progrès qui sont encore en voie de
développement, sur des contrôles et des processus internes qui
continuent d’évoluer et sur des hypothèses qui pourraient changer
dans l’avenir, y compris l’élaboration de nouvelles règles. Les
projets ou débouchés individuels peuvent progresser en fonction
d’un certain nombre de facteurs, notamment la disponibilité d’une
politique de soutien, la technologie permettant une réduction
rentable, le processus de planification de la compagnie et
l’alignement avec nos partenaires et autres parties prenantes.
Dans ce communiqué, tous les montants en dollars sont exprimés
en dollars canadiens, sauf indication contraire. Le présent
communiqué doit être lu conjointement avec le formulaire 10-K le
plus récent de L’Impériale.
Le terme « projet » tel qu’il est utilisé dans ce rapport peut
renvoyer à toute une gamme d’activités différentes et n’a pas
nécessairement le même sens que celui qu’on lui donne dans les
rapports sur la transparence des paiements au gouvernement.
Complément d’information
Dépenses en immobilisations et frais d’exploration
Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration (ou
dépenses en capital) correspondent au total combiné des ajouts
coûteux à une propriété, à une usine et à un équipement, des ajouts
aux contrats de location-financement, des investissements et
acquisitions supplémentaires; des frais d’exploration calculés
avant impôts à partir de l’état consolidé des résultats; et de la
quote-part de la compagnie dans les coûts de cette nature encourus
par les sociétés dans lesquelles elle détient une participation en
actions. Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration
excluent l’achat de crédits carbone.
Mesures financières non conformes aux PCGR
Les expressions définies ci-dessous sont fréquemment utilisées
chez L’Impériale dans ses principaux indicateurs de rendement
financier et de gestion commerciale. Ces définitions sont offertes
pour faciliter la compréhension des indicateurs et de la façon dont
ils sont calculés. Ces mesures ne sont pas exigées en vertu des
principes comptables généralement reconnus (PCGR) des États-Unis.
Ces mesures constituent des « mesures financières non conformes aux
PCGR » en vertu du règlement G de la Securities and Exchange
Commission et la rubrique 10(e) du Règlement S-K, et d’« autres
mesures financières » en vertu du Règlement 52-112 sur
l’information concernant les mesures financières non conformes aux
PCGR et d’autres mesures financières des Autorités canadiennes en
valeurs mobilières.
Le rapprochement de ces mesures financières non conformes aux
PCGR et de la mesure la plus comparable selon les PCGR, ainsi que
d’autres renseignements requis par ces règlements ont été fournis.
Les mesures financières non conformes aux PCGR ainsi que les autres
mesures financières ne sont pas des mesures financières normalisées
selon les PCGR et n’ont pas non plus de sens normalisé. Par
conséquent, ces mesures pourraient ne pas être directement
comparables aux mesures présentées par d’autres sociétés et ne
devraient pas se substituer aux mesures financières conformes aux
PCGR.
Un rapprochement des mesures financières historiques non
conformes aux PCGR est incorporé à titre de référence et peut être
consulté dans le rapport annuel le plus récent de la compagnie sur
le formulaire 10-K sous le titre « Termes d’usage courant », ou
dans le communiqué trimestriel sous Annexe VI, disponible sur EDGAR
à l’adresse www.sec.gov, sur SEDAR+ à l’adresse www.sedarplus.ca et
sur le site Web de la compagnie à l’adresse www.imperialoil.ca.
Flux de trésorerie disponible
Le flux de trésorerie disponible est une mesure financière non
conforme aux PCGR qui correspond aux flux de trésorerie issus des
activités d’exploitation, moins les ajouts aux immobilisations
corporelles et les placements en actions de la compagnie, plus le
produit de la vente d’actifs. Les « Flux de trésorerie liés aux
activités d’exploitation » figurant dans l’état consolidé des flux
de trésorerie de la compagnie constituent la mesure financière la
plus directement comparable que l’on peut trouver dans les états
financiers. Cette mesure est utilisée pour évaluer les liquidités
disponibles pour les activités de financement (y compris, mais sans
s’y limiter, les dividendes et les achats d’actions) après des
investissements dans l’entreprise.
Coûts d’exploitation
Les coûts d’exploitation constituent une mesure financière non
conforme aux PCGR qui correspond aux coûts de la période pour
produire, fabriquer et préparer de toute autre façon les produits
de la compagnie en vue de leur vente, ce qui comprend les coûts des
énergies utilisées, les coûts de main-d’œuvre et les coûts
d’entretien. Les coûts d’exploitation sont calculés avant impôts et
excluent les coûts des matières premières, les impôts et les
intérêts débiteurs. Le total des dépenses figurant dans l’état
consolidé des résultats de la compagnie constitue la mesure
financière la plus directement comparable que l’on peut trouver
dans les états financiers. Même si l’entreprise est responsable de
tous les éléments de revenus et dépenses composant le bénéfice net,
les coûts d’exploitation correspondent aux dépenses plus
directement contrôlées par l’entreprise et constituent donc un bon
indicateur du rendement de l’entreprise.
Charges d’exploitation décaissées (charges
décaissées)
Les charges d’exploitation décaissées sont une mesure financière
non conforme aux PCGR qui correspond au total des dépenses,
déduction faite des achats de pétrole brut et de produits, des
taxes d’accise fédérales et des frais de carburant, du financement,
et des coûts de type hors trésorerie dont la dépréciation et
l’épuisement, ainsi que la retraite non liée aux services et les
avantages postérieurs au départ à la retraite. Les composants des
charges d’exploitation décaissées comprennent ce qui suit : «
Production et fabrication », « Frais de vente et frais généraux »,
et « Exploration », dans l’état consolidé des résultats de la
compagnie. La somme de ces postes de l’état des résultats sert
d’indication des charges d’exploitation décaissées et ne représente
pas les décaissements totaux de la compagnie. Le « Total des
dépenses » figurant dans l’état consolidé des résultats de la
compagnie constitue la mesure financière la plus directement
comparable que l’on peut trouver dans les états financiers. Cette
mesure est utile pour que les investisseurs comprennent les efforts
de la compagnie pour optimiser la trésorerie grâce à une gestion
disciplinée des dépenses.
Charges d’exploitation décaissées unitaires (charges
décaissées unitaires)
Les charges d’exploitation décaissées unitaires constituent un
ratio non conforme aux PCGR. Les charges d’exploitation décaissées
unitaires (charges décaissées unitaires) sont calculées en divisant
les charges d’exploitation décaissées par la production brute
totale d’équivalent pétrole et sont calculées pour le segment
Amont, ainsi que pour les principaux actifs de ce secteur. Les
charges d’exploitation décaissées, une mesure financière non
conforme aux PCGR, sont indiquées et rapprochées ci-dessus. Cette
mesure est utile pour que les investisseurs comprennent les efforts
de gestion des dépenses déployés pour les principaux actifs de la
compagnie à titre de composants dans le cadre général du secteur
Amont. Les charges d’exploitation décaissées unitaires, comme
utilisées par la direction, ne correspondent pas directement à la
définition des « Coûts de production unitaires moyens » énoncée par
la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et
indiquée dans le formulaire SEC 10-K de la compagnie.
Après plus d’un siècle d’activité, L’Impériale
continue de dominer son secteur en mettant la technologie et
l’innovation au service du développement responsable des ressources
énergétiques canadiennes. En tant que premier raffineur de pétrole
au Canada, producteur de pétrole brut et de produits pétrochimiques
de premier plan et principal distributeur de carburants à l’échelle
nationale, notre entreprise s’engage à maintenir des normes élevées
dans tous ses domaines d’activité.
Source : L’Impériale
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