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grupo
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grupo
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Membre depuis: 11/5/2004
http://www.boursorama.com/cours.phtml?symbole=1uBP...
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21/8/2015 20:20
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Ariane
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Membre depuis: 29/9/2002
(Boursier.com) — Où va s'arrêter la chute ? Le baril de brut léger américain plonge encore de 2,2% à 40,4 dollars en cette fin de semaine sur le New York Mercantile Exchange, au plus bas depuis le début de l'année 2009. Le WTI devrait ainsi subir ce soir à la clôture sa huitième semaine de baisse d'affilée, ce qui n'était plus arrivé depuis début 1986 ! L'or noir reste plombé par un marché pour le moins déséquilibré avec d'un côté une offre abondante et de l'autre une demande guère suffisante pour combler cette excès de production. Les multiples indicateurs de ralentissement de l'économie chinoise et la hausse de la production de l'Opep, avec le retour progressif de l'Iran sur le marché, illustrent bien cet important déséquilibre. L'annonce d'une hausse surprise des réserves de brut américaines la semaine passée pèse également fortement sur les cours de l'or noir. Les stocks américains sont en effet près de 100 millions de barils au-dessus de leur moyenne saisonnière des cinq dernières années,. "Évidemment, les préoccupations au sujet de l'économie mondiale tirent vraiment ce marché vers le bas", déclare à Bloomberg, Phil Flynn, analyste chez Price Futures Group à Chicago. "C'est autant une histoire de demande que d'offre. Le niveau de 40$ est une zone psychologique très importante".
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24/8/2015 12:55
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The Grumpy Old Men
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Membre depuis: 02/1/2007
BP (NYSE:BP) Graphique Intraday de l'Action Aujourd'hui : Lundi 24 Août 2015 Les actions des majors pétrolières européennes ont démarré la séance lundi en forte baisse dans un contexte de mouvement de vente généralisé sur les actions et les matières premières, entraîné par les marchés chinois. Les actions Shell (RDSA.LN) et BP (BP.LN) cèdent respectivement 2,3% et 2,7%, tandis que le français Total (FP.FR) abandonne 2,4%. Les cours de Bourse des trois compagnies ont été affectés cette année par le reflux des prix du brut qui a contraint les entreprises à tailler dans leurs coûts. Le titre BP a perdu 15% de sa valeur depuis le début de cette année, tandis que Shell s'est replié de 26% depuis janvier.
-Sarah Kent, Dow Jones Newswires (Version française Céline Fabre) ed/EC
(END) Dow Jones Newswires
August 24, 2015 04:01 ET (08:01 GMT)
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10/9/2015 12:27
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
BP (NYSE:BP) Intraday Stock Chart Today : Jeudi 10 Septembre 2015 
Les actionnaires de BP (BP.LN) ne semblent pas satisfaits et ce contexte crée une opportunité d'achat ,
affirme Bernstein. Le titre du groupe britannique a sous-performé le
secteur pétrolier et gazier européen de 5% et ses principaux rivaux de
10% depuis le début du troisième trimestre, "ce qui paraît extrême",
estime le courtier. "Dans la mesure où l'action semble intégrer un plus
mauvais scénario que le ralentissement de 1987, ce à quoi nous ne
croyons pas, le titre présente là une très bonne opportunité
d'investissement", ajoute-t-il. L'action BP perd 0,7%, à 340 pence.
-Sarah Kent, Dow Jones Newswires (Version française Céline Fabre) ed/EC
(END) Dow Jones Newswires
September 10, 2015 05:57 ET (09:57 GMT)
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27/10/2015 10:43
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Grupo GuitarLumber
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Membre depuis: 24/6/2003
CercleFinance.com) - BP a fait état mardi de résultats bénéficiaires au titre de son troisième trimestre, l'impact de l'épisode de la marée noire du Golfe de Mexique de 2010 commençant à s'estomper.
Le
groupe pétrolier britannique affiche sur le trimestre écoulé un profit net de 46 millions de dollars, à comparer avec une lourde perte de 5,8 milliards de dollars au deuxième trimestre de l'exercice.
Son
'cash-flow' opérationnel atteint 5,2 milliards de dollars sur le trimestre, un montant qui aurait totalisé 5,4 milliards de dollars en excluant les pénalités encore payées dans le dossier Macondo.
Dans
son communiqué, BP dévoile par ailleurs ses plans afin de faire face à un environnement de prix pétroliers qu'il attend bas pendant une période 'prolongée'.
Le groupe énergétique, qui formule une hypothèse de
base d'un baril de brut à 60 dollars à horizon 2017, explique vouloir profiter de la vigueur de ses activités dans l'aval et de ses réductions de coûts.
BP compte néanmoins réduire ses dépenses
d'investissement pour les ramener entre 17 et 19 milliards de dollars annuels jusqu'en 2017, contre 19 milliards en données organiques cette année.
Le groupe - qui veut aussi continuer à simplifier son
organisation et à alléger ses coûts - vise par ailleurs 10 milliards de dollars de cessions sur l'exercice 2015, dont 7,8 milliards déjà assurées.
Les cessions d'actifs devraient ensuite revenir dans
une fourchette de trois à cinq milliards de dollars l'an prochain, puis autour de deux à trois milliards de dollars annuels par la suite.
Enfin, BP annonce le versement d'un dividende trimestriel de 10 cents, à payer au mois de décembre.
Toutes
ces annonces étaient bien accueillies par les investisseurs mardi matin à la Bourse de Londres, où le titre BP s'octroyait 1,8% à 391,1 pence.
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29/10/2015 18:03
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maywillow
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Membre depuis: 27/1/2002
par Ron Bousso et Karolin Schaps (Reuters) - Le secteur pétrolier s'enfonce
progressivement dans le rouge après des années de bénéfices imposants,
un retournement de situation qui s'explique par la chute des cours
pétroliers, sans grand espoir que ceux-ci se redressent
spectaculairement. Les "majors" ont toutes les peines du monde à s'adapter
avec des cours pétroliers qui ont chuté de moitié depuis juin 2014;
elles réduisent sans cesse leurs investissements, pratiquent des coupes
claires dans leurs effectifs et renoncent à certains projets. Les retombées de cette situation inconfortable ont été
particulièrement sensibles au troisième trimestre: certaines compagnies
ont vu leur bénéfice dégringoler, tandis que d'autres ont affiché des
pertes. Les provisions pour dépréciation qu'elles ont constituées sont
de l'ordre de 25 milliards de dollars (22,8 milliards d'euros) sur la
période janvier-septembre. Sur 10 des 20 premières compagnies pétrolières
nord-américaines et européennes qui ont publié leurs comptes du
troisième trimestre, sept se sont retrouvées déficitaires. Il s'agit de Royal Dutch Shell, Eni, Occidental Petroleum, Anadarko Petroleum, Hess, Suncor et ConocoPhillips. Shell a annoncé ce jeudi une perte de 7,4 milliards de
dollars au troisième trimestre, en raison d'une charge de 8,2 milliards
de dollars liée à l'arrêt d'un projet controversé de prospection en
Alaska et d'un autre dans les sables bitumineux au Canada. A coût
courant, il a dégagé un bénéfice de 1,8 milliard de dollars, inférieur
au consensus et au résultat inscrit un an auparavant. Pour moitié, les charges de Shell se rapportaient à une
révision à la baisse de ses prévisions d'évolution des prix pétroliers
et gaziers, a expliqué le directeur général Ben van Beurden. Eni a lui accusé une perte nette d'un milliard de
dollars et Total a subi un recul de 23% de son bénéfice net ajusté, qui
est cependant ressorti supérieur au consensus. "Le secteur bascule rapidement dans le rouge", dit
Jason Gammel, analyste spécialisé de Jefferies. "Il va renouer petit à
petit avec les bénéfices en réduisant ses coûts mais ça prendra du
temps. Cela dépendra de l'évolution des prix mais quoi qu'il en soit il
faudra du temps pour répercuter ces économies dans tout le système". SALE TEMPS POUR L'INVESTISSEMENT ET LES EFFECTIFS Même si les majors européennes ont sensiblement abaissé
leur point mort en gérant plus rigoureusement leurs charges et leurs
dépenses, il leur faudrait un baril à 78 dollars environ en 2016 pour
couvrir les dépenses et les dividendes, estimait Jefferies avant les
dernières parutions trimestrielles. Les analystes interrogés par Reuters voient le baril de Brent de Mer du Nord à 58,60 dollars en moyenne l'an prochain. Shell, qui, selon Jefferies, a le seuil de rentabilité
le plus bas, autour de 66 dollars le baril, a dit qu'il supprimerait
encore un millier d'emplois en sus des 6.500 suppressions de postes déjà
annoncées cette année. Les pétroliers se tournent aussi vers le marché
obligataire, tirant parti de ratios d'endettement relativement bas, pour
couvrir les dépenses et les dividendes lesquels, à l'exception d'Eni,
sont restés inchangés. BP a par exemple porté son ratio d'endettement de 15%
l'an dernier à 20% à présent, ayant accepté en juillet de régler 20
milliards de dollars d'amendes liées à la marée noire du Golfe du
Mexique de 2010. Le marasme sectoriel a obligé les majors européennes à
réduire leurs programmes d'investissement de 15% environ cette année, à
près de 107 milliards de dollars, et les coupes risquent d'être encore
plus franches l'an prochain. C'est ainsi que le norvégien Statoil, qui a publié
mercredi un résultat bien plus faible que prévu, entend réduire encore
ses coûts en retranchant un milliard de dollars de plus à ses dépenses
d'investissement, pour les ramener à 16,5 milliards. Le recul massif des revenus de production a toutefois
été compensé par des gains exceptionnels dans le raffinage et le négoce,
la baisse des prix ayant dopé la demande mondiale de combustibles. BP, comme Total, est parvenu à déjouer les consensus
des analystes cette semaine en évoquant une hausse de la production, de
solides résultats dans le raffinage et d'une manière générale une
meilleure gestion. L'indice européen du secteur pétrolier et gazier perdait 0,6% jeudi dans l'après-midi. (Avec Gwladys Fouche à Oslo, Stephen Jewkes à Milan, Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par Marc Joanny)
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05/11/2015 18:26
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maywillow
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Membre depuis: 27/1/2002
(CercleFinance.com) - BP a annoncé jeudi son intention d'accélérer le développement du projet gazier offshore Atoll en Egypte.
Le
géant énergétique indique avoir conclu aujourd'hui un protocole d'accord en ce sens avec le Ministre égyptien du pétrole Tarek El Molla.
Contrôlé à 100% par BP, le projet se situe au large du delta du Nil.
La
première production, attendue en 2018, vise un potentiel de 1.500 milliards de pieds cube de gaz et de 31 millions de barils de condensats, entièrement destinés au marché local.
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10/11/2015 08:42
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The Grumpy Old Men
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Membre depuis: 02/1/2007
BP (NYSE:BP) Graphique Intraday de l'Action Aujourd'hui : Mardi 10 Novembre 2015 
La compagnie pétrolière britannique BP (BP.LN) prévoit que les cours
du pétrole restent aux alentours de 60 dollars le baril pendant au moins
trois ans, car l'offre continue de dépasser la demande, a déclaré mardi
Michael Townshend, directeur de la région Moyen-Orient chez BP.
"En termes d'offre et de demande, on ne prévoit pas de demande
supérieure à l'offre avant la fin de l'an prochain. Et lorsque cela se
produira [...] il faudra encore écouler les stocks, ce qui pourrait
prendre deux années de plus", a précisé Michael Townshend lors d'une
conférence de presse à Abou Dhabi.
-Sarah Kent, Dow Jones Newswires
(Version française Aurélie Henri) ed: VLV
(END) Dow Jones Newswires
November 10, 2015 02:04 ET (07:04 GMT)
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26/7/2016 12:06
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grupo
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Membre depuis: 11/5/2004
(CercleFinance.com) - Plus de 6 ans après, l'épouvantable marée noire qui a fait suite à l'explosion de la plate-forme Deepwater Horizon, dans le Golfe du Mexique (Etats-Unis), continue d'empoisonner l'existence de BP. La major pétrolière cède 1,4% ce mardi en début de séance après la publication de ses comptes du deuxième trimestre.
Ceux-ci ont été
marqués par une perte nette toujours importante de 1,419 milliard de dollars, mais plus de 4 fois inférieure à celle déplorée l'an passé à la même période. Il n'en demeure pas moins que BP a une nouvelle fois pâti de charges liées à la catastrophe précitée, lesquelles ont gonflé la facture à la somme mirobolante de... 61,6 milliards de dollars (avant impôts).
Nonobstant la marée noire, BP a également pâti d'une
activité décevante dans son coeur de métier et de l'érosion des cours du baril. Son bénéfice ajusté a en conséquence substantiellement baissé, de 1,3 milliard de dollars au deuxième trimestre de 2015 à 720 millions, alors que le consensus des analystes visait 819 millions.
La
production s'est, elle, repliée de 1% à 2,09 millions de barils équivalent pétrole par jour et les marges de raffinage ont atteint un plus bas au deuxième trimestre depuis 6 ans.
L'ensemble de ces
éléments a conduit la direction à annoncer une nouvelle réduction du budget d'investissement pour cette année, sous le seuil de 17 milliards de dollars originellement envisagé.
(G.D.)
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The Grumpy Old Men
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Membre depuis: 02/1/2007
(CercleFinance.com) - Le distributeur australien Woolworths a fait part d'un accord avec BP pour lui céder son réseau de 527 stations-services et 16 sites de développement associés, pour un montant de près de 1,8 milliard de dollars australiens.
Ce
transfert d'actifs, qui permettra à Woolworths de renforcer son bilan et de réinvestir dans ses activités principales, sera accompagné d'un partenariat stratégique à long terme avec le géant pétrolier britannique.
La
transaction et le partenariat seront soumis aux conditions usuelles, y compris les feux verts des autorités de la concurrence et sur les investissements étrangers. Elle ne devrait pas être finalisée avant le 2 janvier 2018.
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grupo
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Membre depuis: 11/5/2004
BP: Credit Suisse remonte son objectif de cours. http://l.yimg.com/os/651/2011/11/18/cerclefinance-84x27_121550.gif" alt="Cercle Finance">Cercle Finance – il y a 13 minutesSociétés : - BP
- CREDIT SUISSE GROUP AG CREDIT S
- CES
(CercleFinance.com) - Credit Suisse (IOB: 0QP5.IL - actualité) réaffirme son opinion 'surperformance' sur BP et remonte son objectif de cours de 500 à 530 pence, pour refléter un plus grand confort à plus long terme pour le titre du géant énergétique britannique.
Le
bureau d'études incorpore les mouvements récents sur le portefeuille du groupe, 'des mouvements qui ont été sensibles et ont tous renforcé la base, la duration de la base et l'optionalité future des activités'.
'BP
s'est réduit au cours des six dernières années à une taille qu'il voit comme 'optimale' - une version plus simple et plus concentrée que sa forme précédente', pointe l'analyste, soulignant notamment que le recentrage permet une plus grande visibilité.
Credit Suisse met
aussi en avant le point stratégique prévu fin février, voyant un potentiel pour de nouvelles économies de coûts au-delà de l'objectif de sept milliards de dollars, potentiel qui n'est pas reflété dans ses estimations.
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ET RDSB ET TOTAL