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Engie Ex Gdf Suez (ENGI)

- 05/8/2015 16:52
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009
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ENGIE EX GDF SUEZ



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1261 de 1693 - 27/9/2018 10:45
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fabricant de membranes cryogéniques pour

le transport du gaz naturel liquéfié Gaztransport & Technigaz (GTT) a

pris la tête du SBF 120 jeudi après l'annonce d'une nouvelle commande

et un relèvement de recommandation de Portzamparc. Avec deux nouveaux

méthaniers à équiper sur le chantier naval de SHI en Corée, le groupe a

déjà enregistré 32 commandes cette année, et pourrait en engranger

d'autres d'ici décembre, alors qu'il table sur un objectif de long terme

d'environ 30 commandes par an, souligne Nicolas Royot, chez

Portzamparc. Constatant que le titre a perdu 11% depuis le 19 septembre,

lorsqu'il était passé à "alléger", l'analyste relève son conseil à

"conserver", avec un objectif de cours de 62,1 euros. Le titre prend

5,3%, à 63,9 euros. (fschott@agefi.fr) ed: VLV


Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



September 27, 2018 04:05 ET (08:05 GMT)

1262 de 1693 - 27/9/2018 15:23
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Engie : acquiert le développeur de projets éoliens français Sameole




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27/09/2018 | 14:59


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité Engie a
annoncé jeudi l'acquisition de la totalité des titres de Sameole, un
développeur indépendant de projets éoliens en France, et de son
portefeuille de près de 500 mégawatts (MW) de projets éoliens terrestres
en cours de développement. Le groupe n'a pas communiqué le montant de
l'opération.


Fondée en 2005, Sameole a développé un portefeuille de projets éoliens
dans sept régions, principalement dans le nord-ouest et le sud-ouest de
la France, a détaillé Engie dans un communiqué.


"En cumulant croissance organique et croissance externe, la part des
énergies renouvelables dans notre mix énergétique atteint désormais près
de 70%", a déclaré la directrice générale d'Engie France Renouvelables,
Gwénaëlle Huet, citée dans le communiqué.


Engie se présente comme leader sur le marché éolien terrestre avec
1.900 MW de capacités installées en France. Le groupe ambitionne de
développer 3 gigawatts (GW) éoliens et 2,2 GW solaires à l'horizon 2021.


-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1263 de 1693 - 03/10/2018 13:26
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Pacte: des privatisations controversées au menu de l'Assemblée




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02/10/2018 | 17:29


PARIS (AFP)--Bataille en vue à l'Assemblée nationale": les députés
doivent donner leur feu vert aux cessions d'actifs détenus par l'État
dans Aéroports de Paris, la Française des jeux et Engie (ex-GDF), ce que
les oppositions dénoncent comme une atteinte au patrimoine national.


"La priorité de l'État n'est pas de toucher des dividendes mais
d'investir dans l'avenir", à l'image de ce que font Etats-Unis et Chine,
justifie le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, ex-LR passé chez
LREM.


Ces cessions doivent servir à alimenter un fonds de 10 milliards
d'euros pour l'innovation de rupture lancé en début d'année par le
gouvernement. Une partie pourrait également être consacrée au
désendettement de l'État.


Les trois sociétés concernées sont des acteurs majeurs des secteurs du
transport, des jeux et de l'énergie. Pour l'heure, l'État détient
50,63% des parts d'Aéroports de Paris (ADP), 72% de la Française des
jeux (FDJ) et 24,1% d'Engie, pour un total de quelque 15 milliards
d'euros.


Le projet de loi pour la croissance et la transformation des
entreprises (Pacte), au menu de l'Assemblée nationale jusqu'à jeudi,
entend lever les contraintes légales qui obligent l'État à détenir la
majorité des parts d'ADP, le tiers du capital d'Engie, et qui figent la
détention publique de la FDJ.


Cession en bloc ou d'une partie seulement des parts de l'État? Le
scénario pour ADP n'est pas encore arrêté, mais des collectivités
pourraient entrer dans le tour de table, via un amendement MoDem. Le
gouvernement ne prévoit pas de sortir rapidement du capital d'Engie, et
souhaite conserver environ 20% des parts de la FDJ (seule non cotée en
Bourse).


Celle-ci devrait être la première société privatisée, fin 2019 ou début 2020, d'après la co-rapporteure Marie Lebec (LREM).


Depuis la vente de Saint-Gobain en 1986 sous le gouvernement de
Jacques Chirac, les privatisations n'ont jamais cessé, sous neuf
gouvernements de droite et de gauche.


- "les bijoux de famille" -


Pour les socialistes, "il n'y a pas de justification économique à ce
projet qui entraîne la perte de contrôle par l'État sur des sociétés
stratégiques". Le fonds pour l'innovation "pourrait tout aussi bien être
financé par un fléchage des dividendes perçus par l'État", argue la
députée Marie-Noëlle Battistel.


"Et ce n'est pas une bonne politique que de vendre les bijoux de
famille pour rembourser la dette lorsque l'on emprunte à des taux bas
voire à des taux négatifs", ajoute le porte-parole du groupe Boris
Vallaud, soulignant notamment qu'ADP "a tout d'un service public
national".


"Il y a 3.000 aéroports aux USA, tous publics. Il n'est pas
raisonnable de vouloir se défaire ainsi de ses actifs", juge aussi
Daniel Fasquelle (LR). "Il s'agit d'une stratégie à court terme" qui
"privera l'État de recettes récurrentes et en augmentation", approuve
son collègue Ian Boucard.


"Avec ADP, nous touchons aux frontières de notre pays, avec tout ce
que cela implique en matière de sécurité", pointe aussi le communiste
Stéphane Peu, s'inquiétant d'une éventuelle "fragilisation" d'Air France
par une hausse potentielle des redevances.


Tous brandissent en contre-exemple la privatisation des autoroutes en
2005 qui, rappelle LR, "a conduit à une augmentation des prix et à une
perte de recettes pour l'État".


Face à ces critiques, Bruno Le Maire a promis que les privatisations se feraient dans "un cadre extrêmement régulé".


Pour ADP, "nous maintiendrons évidemment la régulation des tarifs et
le rôle souverain de l'État en matière de contrôle aux frontières" et
"nous garderons la possibilité de résilier la concession en cas de faute
ou de non-respect du cahier des charges", a expliqué le ministre.


S'agissant de la FdJ, il s'est dit "très attaché à ce que nous
conservions la possibilité d'exercer un contrôle fort sur le risque
d'addiction" aux jeux.


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1264 de 1693 - 05/10/2018 15:21
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Détachement du div.

10/10/2018

Paiement du div.

12/10/2018

1265 de 1693 - 08/10/2018 09:17
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

Les administrateurs d'Engie ont examiné l'avenir de la participation de 32% dans Suez,
indiquent 'Les Echos', et ont décidé de se laisser un peu de temps,
même si un scénario de cession tient la corde. La participation pèse
actuellement 2,5 milliards d'euros.

1266 de 1693 - 08/10/2018 09:24
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité Engie

réfléchit à l'avenir de sa participation dans le groupe de services aux

collectivités Suez mais se donne du temps pour prendre une décision,

rapporte le journal Les Echos lundi.


La question aurait
été abordée en fin de semaine dernière au cours d'un séminaire du
conseil d'administration d'Engie, qui détient 32% du capital de Suez.
Selon une source au sein du groupe citée par Les Echos, cette
participation est "trop ou trop peu".



Le groupe
s'apprête ainsi à trancher entre une vente de sa participation, qui lui
rapporterait 2,5 milliards d'euros au cours actuel, ou le lancement
d'une offre sur Suez, mais a décidé de se donner le temps de la
réflexion, précise le quotidien.



Contacté par l'agence Agefi-Dow Jones, Engie n'a pas souhaité commenter ces informations.





-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV




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October 08, 2018 02:08 ET (06:08 GMT)

1267 de 1693 - 08/10/2018 13:04
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité
Engie milite pour que la révision de la programmation pluriannuelle de
l'énergie (PPE), qui pourrait être présentée la semaine prochaine,
réaffirme l'objectif de 10% de gaz renouvelable consommé en France en
2030.



Engie espère que dans le cadre de la PPE, cet
objectif soit dépassé, le groupe estimant que le seuil de 10% sera
atteignable dès 2028, a déclaré Didier Holleaux, directeur général
adjoint d'Engie, lors d'une conférence de presse.



A
l'occasion d'une présentation des attentes du groupe sur la révision
prévue de la PPE, le dirigeant a déploré que les industriels n'aient pas
été davantage associés aux travaux du gouvernement.




Engie espère notamment que le gouvernement ne se contentera pas de
soutenir les énergies vertes déjà largement déployées, comme le
photovoltaïque et l'éolien terrestre, mais donnera également les moyens
aux industriels de développer de nouveaux modes de production
énergétiques renouvelables, tels le biogaz et l'éolien flottant.




Didier Holleaux souhaite que la PPE ne donne pas la part belle à
l'électricité et a prévenu que "décarboner" la filière de production
devait constituer une priorité de la programmation. Le dirigeant craint,
que dans le cadre de la PPE, le soutien au développement du gaz vert
soit "trop modéré" et ne permette pas d'abaisser ses coûts.




Dans un contexte de soutiens publics au biogaz fixé à 1,5 milliard
d'euros par an au plus d'ici à 2030, le prix du mégawatt-heure devrait
baisser de 96 euros à 60 euros, estime Engie.



Publiée à
la fin 2016, la loi de programmation pluriannuelle de l'énergie portait
sur deux périodes, 2016-2018 et 2019-2023, avec une révision initiale
en 2018 puis tous les cinq ans.



-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr; ed: ECH



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October 08, 2018 06:29 ET (10:29 GMT)

1268 de 1693 - 11/10/2018 19:02
maywillow Messages postés: 1324 - Membre depuis: 27/1/2002


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le groupe de services collectifs Engie
a annoncé jeudi avoir remporté un contrat portant sur la fourniture
d'une offre intégrée pour les transports publics de la ville de Santiago
du Chili. Ce contrat prévoit le leasing de 100 bus électriques,
l'installation et la maintenance de bornes de recharge, alimentées à
100% en électricité certifiée d'origine renouvelable.




Ce contrat s'inscrit dans le "plan de transport du troisième millénaire"
porté par le président du Chili, Sebastián Piñera, a indiqué Engie dans
un communiqué. "Ce plan vise à améliorer la qualité et la durabilité
des transports publics de Santiago, et à en faire un système 'zéro
carbone' d'ici 2040, notamment via la mise en service de 6.000 bus
électriques, a ajouté le groupe français.



En 2019, la
ville de Santiago mettra en service 200 bus électriques, dont la moitié
sera fournie par Engie. "Le Chili deviendra ainsi le second pays au
monde doté de la plus grande flotte de bus électriques, derrière la
Chine", a noté le fournisseur de gaz et d'électricité.



-Eric Chalmet, Agefi-Dow Jones; 01 41 27 47 95; echalmet@agefi.fr ed: LBO



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(END) Dow Jones Newswires



October 11, 2018 12:39 ET (16:39 GMT)

1269 de 1693 - 13/10/2018 20:41
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Le secteur de l'énergie sous tension attend sa feuille de route




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13/10/2018 | 07:01

PARIS
(awp/afp) - Le monde français de l'énergie est en ébullition dans
l'attente de connaître la feuille de route énergétique du gouvernement
aux multiples conséquences sociales, économiques et environnementales,
et qui va modeler le secteur pour les dix prochaines années.

La Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour les
années 2019-2023 et 2023-2028 est attendue pour la fin octobre. "Le
déroulé de nos travaux nous permet de maintenir cet objectif" même si ce
n'est "pas à un jour ou une semaine près", indiquait cette semaine le
ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy.

Signe que le dossier est complexe, la première version de la
PPE sera rendue publique avec plusieurs mois de retard, alors qu'elle
était initialement attendue fin juin ou début juillet. Et les arbitrages
seront rendus au plus haut niveau de l'Etat, indique-t-on de source
gouvernementale.

C'est même Emmanuel Macron qui devrait faire les annonces, a-t-on appris de sources concordantes.

L'un des gros enjeux sera de déterminer la trajectoire de baisse de la place du nucléaire dans la production d'électricité.

La France, qui a produit 72% de son électricité grâce au
nucléaire l'an dernier, veut ramener cette part à 50% pour réduire sa
dépendance à cette énergie, à un horizon désormais repoussé à 2030 ou
2035.

Le parc actuel compte 58 réacteurs, dont les deux de la
centrale de Fessenheim qui doivent fermer et qui posent déjà un
casse-tête social et politique au gouvernement.

"Nous ne souhaitons pas que (d'autres) réacteurs ferment avant
2029 mais ce n'est pas à nous d'en décider", a déclaré le PDG d'EDF,
Jean-Bernard Lévy. L'électricien veut en effet prolonger ses réacteurs à
50 ans avant d'en arrêter certains, puis lisser les fermetures sur les
années 2029-2060.

De son côté, François de Rugy affiche une certaine prudence et
souligne que le gouvernement a déjà décidé l'arrêt prochain de quatre
centrales à charbon, très polluantes. "Nous sommes très soucieux de la
sécurité d'approvisionnement électrique des Français", souligne-t-il.

Il y a encore quelques mois l'ex-ministre Nicolas Hulot
promettait lui un "échéancier" précis d'ici à la fin de l'année afin
"qu'on sache quels réacteurs et le nombre de réacteurs" qui doivent
fermer.

"Boîte de Pandore"

Certains acteurs s'inquiètent même d'un retour en arrière sur
les ambitions dans les énergies renouvelables, censées représenter 32%
de la consommation d'énergie et 40% de la consommation d'électricité en
2030.

Car la loi sur la transition énergétique de 2015 va devoir
être révisée pour intégrer le nouveau calendrier de la baisse du
nucléaire. "C'est un peu cette ouverture de la boîte de Pandore que nous
craignons", affirme Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies
renouvelables (SER), "que ce soit l'occasion pour certains de revoir les
objectifs d'énergies renouvelables".

"On va être extrêmement vigilant", abonde Pauline Le Bertre,
déléguée générale de France énergie éolienne: "On parle d'une date,
d'une énergie, et les changements doivent rester cantonnés à cela".

Les présidents des région Occitanie, Pays de la Loire,
Bretagne et PACA, ont aussi écrit au Premier ministre Edouard Philippe
pour lui demander de ne pas oublier dans la PPE l'éolien flottant,
filière émergente dans ces territoires.

D'autres acteurs s'agacent aussi de la tournure prise par les
débats. Didier Holleaux, directeur adjoint d'Engie, dénonce des
scénarios "tout électrique" voire "tout nucléaire", reposant sur la
thèse d'une hausse envisagée de la consommation de courant, loin d'être
partagée par tous.

Le biogaz ou la chaleur renouvelable ont ainsi du mal à se
faire une place dans les discussions, alors que la PPE concerne l'avenir
de toutes les énergies et de tous leurs usages (chauffage, transports,
etc.), afin d'en diminuer les émissions de gaz à effet de serre.

Selon de nombreux experts, l'un des principaux outils à
mobiliser est la réduction de la consommation globale d'énergie, et la
France s'est fixé l'objectif de la diviser par deux d'ici 2050. Or,
selon les calculs du ministère de la Transition écologique, ce ne sera
pas le cas, du fait du retard pris dans les transports et le bâtiment.

mhc-jmi/ef/az

1270 de 1693 - 15/10/2018 09:36
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002
ENGIE  ENGIE.PA  - Bernstein relève sa recommandation à "surperformance", selon des
traders.
1271 de 1693 - 15/10/2018 15:43
The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le titre Engie traverse une année

mouvementée. Il a tour à tour été chahuté en raison d'interrogations sur

la gouvernance du groupe, par la publication en mai d'un chiffre

d'affaires trimestriel décevant, puis par l'annonce en juin de retards

dans l'agenda des révisions de trois unités nucléaires en Belgique.



Depuis, "le nucléaire belge est la principale source d'incertitude et
de nouvelles négatives pour Engie", note Tancrede Fulop, analyste chez
Morningstar, résumant un sentiment largement partagé parmi les
investisseurs.



Au cours des cinq derniers mois, le
titre du fournisseur de gaz et d'électricité a accusé une baisse de 20%.
A un peu moins de 12 euros, il évolue bien en deçà de l'objectif de
cours moyen des analystes sondés par FactSet, à 15,56 euros.




La situation en Belgique constitue un problème épineux pour Engie, qui
a précisé le mois dernier que les retards de redémarrage de certaines
unités belges après une période de maintenance ont déjà pesé à hauteur
de 600 millions d'euros sur l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) et
le résultat net part du groupe depuis le début de l'année.




Compte tenu de cet impact sur les résultats d'Engie et des différents
reports de redémarrage des unités concernées, "les investisseurs sont en
droit de se demander à partir de combien d'occurrences exceptionnelles
le problème devient structurel", soulignent les analystes de Credit
Suisse.



Un risque sur l'endettement




Pour le moment, Engie fait valoir qu'il bénéficie d'une structure
financière saine et ne s'attend à aucun impact des difficultés belges
sur son ratio dette nette/Ebitda. Celui-ci est toujours attendu
inférieur ou égal à 2,5 fois en 2018, grâce à des effets de
compensations d'autres activités porteuses, comme les services et les
infrastructures.



Le ratio actuellement visé est
confortable, souligne un analyste, tout en prévenant que les provisions
pour le nucléaire belge pourraient tout de même le rendre difficile à
atteindre et à consolider en 2019. Ces difficultés pourraient être
accentuées en cas de nouveaux retards l'année prochaine ou si la facture
liée à la gestion des passifs nucléaires dans le pays venait à être
réévaluée à la hausse.



Pour cet analyste, le risque
existe bel et bien et pourrait entamer la capacité d'Engie à effectuer
une éventuelle acquisition de grande envergure, soit au-delà de la
dizaine de milliards d'euros.



Un avis partagé par
Standard and Poor's, pour qui une politique d'investissement plus
agressive d'Engie pourrait entraîner une dégradation de sa note de
crédit, actuellement à "A-", assortie d'une perspective stable. "Engie
n'a pas de marge de manœuvre significative pour effectuer une grosse
acquisition financée par de la dette", juge l'agence de notation.




Et c'est là que le bât pourrait blesser. L'entreprise se retrouve très
exposée à la France, qui représente environ 40% de son chiffre
d'affaires, et a vu sa présence sur des zones de croissance comme les
Etats-Unis et l'Asie réduite par la vente d'actifs dans le charbon.



Une valorisation attractive




Dans l'ensemble, la transformation industrielle d'Engie vers les
services et des activités de production d'énergie renouvelable est
saluée par les opérateurs de marché.



Même si des
intermédiaires financiers appellent à la prudence, le consensus reste
largement positif sur le titre Engie. Selon FactSet, 74% des analystes
ont une recommandation "acheter" ou "surpondérer", 22% sont à
"conserver", et 4% se positionnent à "vendre" ou "sous-pondérer".




Selon les calculs de Credit Suisse, Engie s'échange sur des multiples
de 11,7 fois ses bénéfices, contre un ratio de 14,6 fois pour le
secteur. Le cours actuel d'Engie offre un bon point d'entrée sur le
titre, qui dispose d'importants catalyseurs à moyen terme, comme la
hausse des prix de l'électricité qui n'est actuellement pas intégrée,
soulignent des analystes.



Pour J.P.Morgan Cazenove, si
Engie manque de catalyseurs à court terme, ses fondamentaux sont
robustes et pourraient conduire à une revalorisation à l'horizon 2019.



Pour cela, Engie devra éviter tout nouveau couac d'ici la présentation de son nouveau plan stratégique en février prochain.



-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: ECH



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October 15, 2018 07:27 ET (11:27 GMT)

1272 de 1693 - 17/10/2018 14:05
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Engie : et Casino créent une coentreprise dédiée à l'énergie photovoltaïque




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17/10/2018 | 13:55


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur d'énergie et de services Engie
et le groupe de distribution Casino, via sa filiale GreenYellow, ont
lancé mercredi une coentreprise, baptisée Reservoir Sun, de services aux
entreprises et collectivités dans le domaine de l'énergie
photovoltaïque.


"Reservoir Sun a été créée, avec l'accord des autorités européennes de
régulation de la concurrence et des partenaires sociaux, pour
démultiplier l'autoconsommation solaire photovoltaïque en France", a
précisé Engie dans un communiqué.


"Reservoir Sun se spécialisera sur le segment des centrales solaires
jusqu'à 1 MWc (mégawatts crête) pour les entreprises et collectivités",
installées notamment sur des toitures et des parkings, et a pour
objectif l'installation d'une capacité de production de 100 MWc par an,
"soit près de 300 affaires de 300 kWc en moyenne par projet", a expliqué
Engie.


Reservoir Sun compte investir 100 millions d'euros chaque année sur le
marché des installations de moyenne capacité, a noté Engie.


La structure est entièrement dédiée à cette activité et est détenue à parts égales par Engie et GreenYellow.


-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV


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1273 de 1693 - 19/10/2018 16:22
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

Engie : remporte un contrat avec l'université de Kingston




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19/10/2018 | 12:54

Le
groupe Engie annonce ce jour avoir été choisi par l'université de
Kingston, à Londres, pour un projet de rénovation de logements
étudiants, pour un montant total de 195 millions de livres (soit environ
222 millions d'euros).

Le contrat intègre également la gestion et le suivi des consommations d'énergie des différents sites concernés.

'Le
projet de l'Université de Kingston s'inscrit dans la stratégie d'Engie
qui vise à accompagner les autorités locales et le secteur public en
général dans la planification, la conception et la gestion de leurs
biens immobiliers et espaces publics, pour améliorer la vie de leurs
utilisateurs', explique le groupe.

1274 de 1693 - 19/10/2018 16:24
grupo Messages postés: 1061 - Membre depuis: 11/5/2004

Gaz: les tarifs réglementés augmentent de 5,8% en novembre




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19/10/2018 | 15:56


Paris (AFP)--Les tarifs réglementés du gaz appliqués par Engie à des
millions de foyers vont augmenter de 5,8% hors taxe au 1er novembre, à
la suite de la hausse des cours, a annoncé le régulateur vendredi.


"Après une forte hausse moyenne depuis le début de l'année, la
tendance indicative pour les prochains mois est cependant à une
stabilisation, sur la base des cours du pétrole et du gaz sur les
marchés internationaux", remarque la Commission de régulation de
l'énergie (CRE).


En novembre, les tarifs vont augmenter en moyenne de 5,79% hors taxe,
indique la CRE. Cela représente 5,4% toutes taxes comprises, avait
indiqué auparavant une source proche du dossier.


L'augmentation est de 1,9% pour les foyers qui utilisent le gaz pour
la cuisson, de 3,6% pour ceux qui ont un double usage cuisson et eau
chaude, et de 6% pour les foyers qui se chauffent au gaz.


En France, 4,6 millions de foyers sont encore aux tarifs réglementés
de vente (TRV) appliqués par Engie. Mais ces tarifs vont progressivement
disparaître pour se conformer au droit européen.


Le gouvernement prévoit de décider par ordonnance leur extinction au
1er juillet 2023. L'Assemblée nationale a récemment donné son feu vert
lors de l'examen de la loi Pacte.


Les TRV du gaz sont calculés sur la base d'une formule mathématique et
font l'objet d'un avis de la Commission de régulation de l'énergie
(CRE).


La formule prend en compte les coûts d'approvisionnement en gaz ainsi
que d'autres coûts (acheminement, stockage, coûts commerciaux).


La tendance actuelle à la hausse fait suite à la progression des cours du gaz et du pétrole sur les marchés.


Depuis le 1er janvier 2015, les TRV de gaz hors taxe ont en moyenne augmenté de 5,3%, indique la CRE.


Agefi-Dow Jones The financial newswire

1276 de 1693 - 30/10/2018 18:20
Florenceorbis Messages postés: 515 - Membre depuis: 18/8/2017

Engie (EU:ENGI)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Mardi 30 Octobre 2018

Plus de graphiques de la Bourse Engie


PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'énergéticien Engie a annoncé mardi
avoir reçu les autorisations préfectorales nécessaires pour le projet de
parc éolien en mer posé au large des îles d'Yeu et de Noirmoutier en
Vendée.



PRINCIPAUX POINTS DU COMMUNIQUE:




- Suite à ces autorisations, la société Eoliennes en Mer Iles d'Yeu et
de Noirmoutier (EMYN), portée par Engie, EDP Renewables et la Banque
des Territoires, pourra désormais préparer la construction du parc
(fondations, sous-station électrique...) ou encore la conduite des
appels d'offres de sous-traitance pour la fabrication et l'installation
de ces composants.



- Ce projet avait été attribué à EMYN en juin 2014.




- Les projets d'éolien en mer posés des îles d'Yeu et de Noirmoutier
ainsi que celui de Dieppe Le Tréport également développé par Engie, EDPR
et la Banque des Territoires, auront 1 gigawatt de puissance cumulée.




- Ces deux parcs, ainsi que le projet de ferme pilote éolienne
flottante en Méditerranée, vont contribuer à l'atteinte des objectifs
clés de la France d'éolien en mer installés à horizon 2023.



-Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 48 11; djbourse.paris@agefi.fr ed: LBO



(END) Dow Jones Newswires



October 30, 2018 12:17 ET (16:17 GMT)

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waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

HSBC passe d'alléger à conserver sur Engie, revalorisé de 11,90 à 12,50 EUR.

1278 de 1693 - 05/11/2018 10:48
sarkasm Messages postés: 1319 - Membre depuis: 26/2/2009

Suez Environnement : La course à la tête de Suez entre dans sa dernière ligne droite - Market Blog




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05/11/2018 | 09:42


Par Olivier Pinaud


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le suspense monte dans les couloirs du siège
de Suez à la Défense. Le comité des nominations choisira dans quelques
semaines le remplaçant de Jean-Louis Chaussade, directeur général du
groupe d'eau et de traitement des déchets depuis dix ans, bientôt
atteint par la limite d'âge statutaire.


Ce changement de directeur général s'accompagnera de la nomination
d'un nouveau président du conseil, Gérard Mestrallet étant également
atteint par la limite d'âge lors de l'assemblée générale du printemps
2018.


Sur les cinq directeurs généraux adjoints lancés dans la course au
poste de Jean-Louis Chaussade, deux se sont détachés à l'issue des
auditions menées cet été, indique à L'Agefi une source proche : Bertrand
Camus et Marie-Ange Debon. Mais Jean-Marc Boursier, directeur général
adjoint en charges des finances, qui vient de présenter de bons
trimestriels, et Philippe Maillard, DGA de Suez France, font encore
figure d'outsiders potentiels, ajoute cette source. En revanche,
Jean-Yves Larrouturou serait distancé. Des candidatures externes ne sont
pas exclues. Le nom de Jérôme Pécresse, directeur général de GE
Renewable Energy, est évoqué.


Initié avant l'été par Gérard Mestrallet, le processus de nomination a
depuis été repris en main par Jean-Pierre Clamadieu, le nouveau
président d'Engie. Le groupe d'énergie est l'actionnaire de référence de
Suez avec 32% du capital. Le choix du tandem président-directeur
général dépend en effet des projets stratégiques d'Engie pour sa
participation au capital de Suez, valorisée 2,6 milliards d'euros aux
cours actuels. Si le groupe d'énergie souhaite conserver son influence,
il voudra nécessairement nommer un président à sa main.


Se pose du coup la question de l'avenir de Jean-Louis Chaussade. Sa
promotion à la présidence n'est pas acquise à ce stade, explique une
source. La constitution d'une paire de dirigeants composée uniquement de
personnes ayant fait leur carrière chez Suez n'apporterait pas la
régénération souhaitée de la gouvernance. En outre, les relations de
Jean-Louis Chaussade avec Isabelle Kocher, la directrice générale
d'Engie et administratrice de Suez, ne sont pas non réputées pour leur
caractère chaleureux.


La décision définitive doit intervenir d'ici février, avant la
publication des résultats annuels d'Engie, les premiers depuis la
nomination de Jean-Pierre Clamadieu à la présidence du groupe.


-Olivier Pinaud, L'Agefi. ed: ECH


"Le Market Blog" est le blog économique et financier de l'agence Agefi-Dow Jones.


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7/11/18 | 09:00 Q3 2018 Présentation évolution de l'activité

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The Grumpy Old Men Messages postés: 1134 - Membre depuis: 02/1/2007

Engie : confirme ses perspectives 2018 après neuf mois lestés par le nucléaire belge




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07/11/2018 | 07:58


PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le fournisseur de gaz et d'électricité Engie
(ENGI.FR) a confirmé mercredi ses objectifs pour 2018, alors que ses
résultats des neuf premiers mois de 2018 ont été lestés par des effets
de change négatifs et les retards de redémarrage d'unités nucléaires en
Belgique.


Au cours des neuf mois clos le 30 septembre, le chiffre d'affaires du
groupe a progressé de 0,4% à données publiées et de 1% à périmètre et
taux de change constants sur un an, pour attendre 43 milliards d'euros.


L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) du groupe s'est inscrit à 6,5
milliards d'euros, en baisse de 0,3% à données publiées et en hausse de
5% à périmètre et taux de change constants.


Le résultat opérationnel courant a atteint 3,5 milliards d'euros,
stable à données publiées et en croissance organique de 7,7% par rapport
aux neuf premiers mois de 2017.


La dette nette du groupe atteignait 20,6 milliards d'euros au 30
septembre, en baisse de 1,9 milliard d'euros par rapport au 31 décembre
2017.


Engie a confirmé que, en raison du report des dates de redémarrage de
certaines unités nucléaires en Belgique, son Ebitda 2018 devrait être
"légèrement inférieur" à l'indication données en mars dernier, à savoir
une fourchette indicative comprise entre 9,3 milliards et 9,7 milliards
d'euros.


Les indisponibilités du parc nucléaire belge auront, sur l'ensemble de
l'année, un impact négatif d'environ 600 millions d'euros sur
l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) et le résultat net récurrent
part du groupe, a précisé Engie dans un communiqué.


Engie a également confirmé s'attendre à un résultat net récurrent part
du groupe "dans le bas" de la fourchette de 2,45 milliards à 2,65
milliards d'euros annoncée en mars, ainsi qu'à un ratio dette
nette/Ebitda inférieur ou égal à 2,5 fois et un dividende en hausse à
0,75 euro par action, après 0,70 euro proposé pour 2017.


"Engie présente une croissance solide depuis le début de l'année, à
l'exception des activités nucléaires en Belgique. Cette bonne
performance a permis de compenser les impacts financiers liés aux
indisponibilités du parc nucléaire belge, qui devrait progressivement
retrouver les taux de disponibilité de ces dernières années grâce aux
efforts engagés par nos équipes", a commenté la directrice générale
d'Engie, Isabelle Kocher, citée dans le communiqué.


La filiale belge du groupe, Electrabel, a modifié fin septembre le
calendrier de révision de deux de ses unités, prolongeant l'arrêt de
Tihange 2 jusqu'au 1er juin 2019, contre une reprise prévue le 31
octobre 2018 auparavant, et l'arrêt de Tihange 3 jusqu'au 3 mars 2019,
contre une date précédente de reprise au 30 septembre 2018.


-Alice Doré, Agefi-Dow Jones; +33 1 41 27 47 90; adore@agefi.fr ed: VLV


COMMUNIQUES FINANCIERS DE GDF SUEZ:


Communiqués de presse - ENGIE


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