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Royal Dutch Shell

- 28/10/2015 10:53
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1724 - Membre depuis: 24/6/2003

(CercleFinance.com) - Après avoir renoncé, le mois dernier, à un projet offshore au nord de l'Alaska, la major pétro-gazière Royal Dutch Shell continue de sabrer ses actifs d'Amérique du Nord. C'est cette fois le projet de Carmon Creek, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta réputé pour ses sables bitumineux et dont le potentiel était chiffré à 80.000 barils/jour, qui passe à la trappe. Ce qui occasionnera une charge pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars sur les comptes du 3e trimestre, attendus le 29 octobre.

Le projet était sur la sellette depuis mars 2015. Hier, Shell a annoncé qu'après avoir passé en revue le projet d'un point de vue technique et avoir mis à jour ses hypothèses de coûts, il ne considérait plus, en l'état actuel des choses, que Carmon Creek pouvait figurer au sein de son portefeuille d'actifs.

Le directeur général, Ben van Beurden, a déclaré que cette décision s'était imposée au groupe en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du pétrole.

L'un de problèmes dénoncés le plus clairement : l'absence d'infrastructure permettant de transporter le brut qui aurait été extrait de ce projet vers les “marchés pétroliers globaux”.

Les travaux de développement du gisement seront gelés et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, une maintenance minimale des infrastructures actuelles sera de rigueur.

De ce fait, les comptes du 3e trimestre seront grevés par une provision pour dépréciation de l'ordre de deux milliards de dollars (1,8 milliard d'euros environ).



Réponses
245 Réponses
  3   ... 
41 de 245 - 24/1/2016 13:30
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1724 - Membre depuis: 24/6/2003

DUBAI (Reuters) - L'introduction en Bourse de la compagnie pétrolière
saoudienne Saudi Aramco pourra se faire aussi bien sur le marché local
qu'à l'international, mais les réserves de brut du royaume n'en feront
pas partie, a déclaré son président à la chaîne de télévision al
Arabiya.

"Les réserves ne seront pas vendues, mais la capacité de
la société à produire à partir des réserves est à l'étude", a déclaré
Khalid al Falih à la chaîne satellitaire basée à Dubaï dans un entretien
diffusé dimanche et accordé à Davos, en Suisse, où s'est tenu la
semaine dernière le Forum économique mondial.

Aramco détient des réserves de brut évaluées à 265 milliards de barils, soit 15% du total mondial.

En
cas de mise en Bourse, elle deviendrait la première société cotée
valorisée à 1.000 milliards de dollars (plus de 920 milliards d'euros),
ont calculé des analystes.

(Noah Browning et Hadil al Sayegh, Danielle Rouquié pour le service français)

42 de 245 - 25/1/2016 14:47
Ariane Messages postés: 1320 - Membre depuis: 29/9/2002

LONDRES, 25 janvier (Reuters) - Total
devra réaliser des coupes plus importantes dans ses investissements et
ses distributions aux actionnaires que ses principaux concurrents
européens si les cours du brut restent bas, et s'il veut conserver sa
note de crédit actuelle, a estimé lundi l'agence Fitch.

Les
dépenses du groupe devront diminuer d'un tiers cette année par rapport à
2015 pour ramener l'endettement net à un niveau compatible avec le
maintien de sa note AA-, explique-t-elle dans une étude.

Total
a déclaré auparavant s'attendre à avoir dépassé l'an dernier son
objectif de réduction de coûts, fixé à 1,2 milliard de dollars, et il
prévoit de retirer 10 milliards de dollars de cessions d'actifs d'ici
2017. Pour 2016, le pétrolier français table sur des investissements en
capital de 20 à 21 milliards de dollars, soit trois milliards de moins
que l'an dernier.

"Si Total
ne parvenait pas à atteindre ses objectifs de cessions, les coupes dans
les dépenses non contraintes devraient atteindre 44% par rapport à
2015", estime Fitch,
qui fonde ses calculs sur l'hypothèse d'un cours moyen du pétrole de 45
dollars cette année, 50 dollars en 2017 et 55 dollars l'année suivante.

Royal Dutch Shell a annoncé de son côté un programme de cessions de 30 milliards de dollars une fois bouclé le rachat de BG.

Fitch
écrit que si Shell ne concluait aucune cession, il devrait réduire ses
dépenses non contraintes de 49% pour assurer le maintien de sa note de
crédit d'ici 2018.

"Les compagnies peuvent faire plus que couper
dans leurs investissements et leur rendement actionnarial", ajoute
l'agence de notation.

Jusqu'à présent, Eni est la seule grande compagnie pétrolière à avoir réduit les distributions de liquidités à ses actionnaires.

Fitch
note que la réduction des dépenses d'exploitation pourrait être
facilitée, au fil du temps, par le renouvellement des contrats sur la
base de prix de marché réduits. (Karolin Schaps; Marc Angrand
pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)


En

savoir plus sur

http://investir.lesechos.fr/actions/actualites/tot...

43 de 245 - 27/1/2016 16:12
Ariane Messages postés: 1320 - Membre depuis: 29/9/2002

(CercleFinance.com) - Royal Dutch Shell (Xetra: R6C1.DE - actualité)

indique que ses actionnaires, réunis ce jour en assemblée générale à La

Hague aux Pays-Bas, ont donné leur feu vert au rachat de BG Group

(London: BG.L - actualité)

par la compagnie pétro-gazière anglo-néerlandaise. La résolution

autorisant ce rapprochement a en effet reçu le soutien d'un peu plus de

83% des droits de vote qui se sont exprimés.



Les actionnaires de

BG Group doivent encore se prononcer sur le projet en assemblée

générale ce jeudi. En cas d'accord, la fusion entre les deux géants

énergétiques pourrait être finalisée le 15 février, après la réalisation

des dernières conditions usuelles.



Pour mémoire, Shell (London: RDSB.L - actualité)

avait annoncé en avril 2015 son accord de fusion avec le groupe gazier

britannique. Cette opération géante avait ensuite été approuvée par

différentes autorités de régulation, dont la Commission européenne en

septembre dernier.

44 de 245 - 03/2/2016 13:46
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

La major pétrolière anglo-néerlandaise Shell
(RDSA.LN) devrait annoncer, avant Bourse jeudi, un résultat ajusté en
baisse de 37% à 2,04 milliards de dollars au quatrième trimestre, contre
3,26 milliards de dollars un an plus tôt, selon les prévisions
recueillies auprès de cinq analystes. La production devrait en outre
ressortir en baisse de 2,6% par rapport au quatrième trimestre de 2014.
Shell est le dernier des mastodontes du secteur à publier ses chiffres
dans une saison des résultats meurtrie par la chute des cours du pétrole
et du gaz l'an dernier. Les commentaires relatifs à ses projets
d'investissement seront examinés de près dans ce contexte. Ces résultats
sont les derniers avant l'absorption de BG Group, une acquisition d'un
montant d'environ 50 milliards de dollars qui devrait être bouclée le 15
février. La compagnie a déjà annoncé qu'elle prévoyait de supprimer
2.800 emplois et de vendre pour 30 milliards de dollars d'actifs en
conséquence de cette opération, mais les investisseurs seront à l'affût
du moindre détail sur les prochaines étapes.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires



(Version française Céline Fabre) ed : LBO





(END) Dow Jones Newswires



February 03, 2016 06:43 ET (11:43 GMT)

45 de 245 - 04/2/2016 09:04
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

LONDRES (Reuters) -
Royal Dutch Shell a fait état jeudi de son plus faible bénéfice annuel
depuis treize ans, le géant anglo-néerlandais ayant, comme l'ensemble du
secteur, pâti de l'effondrement des cours du brut.

La première "major" européenne, dont les actionnaires
ont approuvé la semaine dernière le rachat de BG pour 49 milliards de
dollars (44 milliards d'euros), a précisé que son bénéfice net avait
fondu de 87% en 2015, à 1,94 milliard de dollars, niveau conforme aux
anticipations des analystes financiers.

Le résultat ajusté du seul quatrième trimestre a reculé de 44%, à 1,83 milliard de dollars.

Le 20 janvier, Shell avait dit anticiper pour les trois derniers mois de l'année dernière un bénéfice divisé par près de deux.

Les investissements sur l'ensemble de 2015 sont ressortis à 28,9 milliards de dollars, soit 8,4 milliards de moins qu'en 2014.

En prenant en compte BG, Shell prévoit des
investissements de 33 milliards de dollars cette année, soit un recul de
45% par rapport au total combiné de 2015.

Shell a noté avoir cédé pour 5,5 milliards de dollars d'actifs l'an dernier.

(Karolin Schaps et Ron Bousso, Benoît Van Overstraeten pour le service français)

46 de 245 - 04/2/2016 09:33
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Jeudi 4 Février 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell B

Le géant pétrolier et gazier anglo-néerlandais Royal Dutch Shell
(RDSA.LN) annoncé jeudi que son bénéfice avait chuté de près de 60% au
quatrième trimestre en conséquence du repli des cours pétroliers.



Le bénéfice hors variation de la valeuricon1.png
des stocks - qui équivaut au résultat net pour les groupes pétroliers
américains - s'est replié à 1,8 milliard de dollars, contre 4,2
milliards de dollars un an plus tôt. Sur l'ensemble de l'exercice, le
bénéfice a reculé de 80%, à 3,8 milliards de dollars, contre 19
milliards de dollars en 2014.



Ces résultatsicon1.png
sont les derniers publiés par le groupe avant la finalisation de son
acquisition, le 15 février, du britannique BG Group pour environ 50
milliards de dollars.



Le directeur général de Shell, Ben van Beurden, a déclaré que cette transaction "mar[quait] le début d'un nouveauicon1.png chapitre pour Shell, qui rajeunirait le groupe et améliorerait les rendements pour les actionnaires".





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires



(Version française Maylis Jouaret) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



February 04, 2016 02:43 ET (07:43 GMT)

47 de 245 - 04/2/2016 12:23
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

Le géant pétrolier et gazier anglo-néerlandais
Royal Dutch Shell (RDSA.LN) a annoncé jeudi que son bénéfice avait chuté
de près de 60% au quatrième trimestre en conséquence du recul de sa
production et des cours du pétrole.



Le bénéfice hors
variation de la valeur des stocks s'est replié à 1,8 milliard de
dollars, contre 4,2 milliards de dollars un an plus tôt. Sur l'ensemble
de l'exercice, le bénéfice a reculé de 80%, à 3,8 milliards de dollars,
contre 19 milliards de dollars en 2014.



Malgré la chute
des résultats, le titre gagne du terrain en Bourse, les investisseurs
saluant le maintien du dividende. A 11h05, l'action s'adjugeait 5,9%, à
1.523 pence.





Le recul des cours du pétrole plombe la rentabilité






A l'instar de ses concurrents comme BP, Chevron ou Exxon Mobil, Shell a
vu ses bénéfices amputés par le recul fort et prolongé des cours du
pétrole. Depuis juin 2014, les cours du brut ont chuté de 70% environ.




L'activité d'exploration et de production de Shell a accusé une perte
de 5,7 milliards de dollars en 2015, pénalisée par des dépréciations, le
recul des cours et la baisse des volumes.



Ces
résultats sont les derniers publiés par le groupe avant la finalisation
de son acquisition, le 15 février, du britannique BG Group pour environ
50 milliards de dollars.



Le directeur général de Shell,
Ben van Beurden, a déclaré que cette transaction marquerait "le début
d'un nouveau chapitre pour Shell, qui rajeunira le groupe et améliorera
la rémunération des actionnaires".





Shell préserve son dividende






Ben van Beurden a confirmé que Shell verserait un dividende de 1,88
dollar par action au titre de 2015, comme pour l'exercice précédent, et
que 1,88 dollar "au minimum" serait payé pour 2016.




L'énergéticien anglo-néerlandais a tenu jusqu'à présent son engagement
de préserver son dividende, mais sur la base du cours actuel, cela
revient à un rendement élevé de près de 9% en 2016, observe Laith
Khalaf, analyste senior chez Hargreaves Lansdown. Shell devrait à terme
bénéficier d'une amélioration de son flux de trésorerie grâce aux actifs
de BG, et si le groupe parvient à convaincre le marché que le dividende
peut être maintenu aux niveaux actuels, cela devrait faire monter son
cours de Bourse, ajoute-t-il.





-Sarah Kent, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri et Maylis Jouaret) ed: VLV - ECH





(END) Dow Jones Newswires



February 04, 2016 05:21 ET (10:21 GMT)

48 de 245 - 13/2/2016 21:42
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

France CAC40 Stock Market Technical Outlook

Stock-Markets / European Stock Markets

Feb 13, 2016 - 06:25 PM GMT

By: Austin_Galt


Stock-Markets

gold_star.gifThe
French stock index, the CAC40, has traded more or less as outlined in
analysis produced back in May 2015. That analysis called the top in
place and outlined expectations of a bear market to play out.

Price hit a low this past week at 3892 which was just over 26%
down from the May 2015 high and I believe that may well represent the
final low to the bear market.



Let's take a top down approach to the analysis beginning with the monthly chart.

CAC40 Monthly Chart

CAC40 Monthly Chart

I showed this chart back in May 2015 using the same bullish and
bearish Fibonacci Fans to identify the 2015 high so let's revise
them.

The bullish fan drawn from the 2009 low shows the 2015 high
bang on resistance from the 76.4% angle while price is now back at
support from the 88.6% angle.

The bearish fan, drawn from the 2000 high, shows the 2015 high
at resistance from the 76.4% angle while price is now just above
support from the 61.8% angle.

I have added Fibonacci retracement levels of the move up from
2009 low to 2015 high and the recent low was right around support
from the 50% angle which keeps the uptrend in a relatively strong
position, assuming this is the low of course.

The Bollinger Bands show the 2015 high traded above the upper
band while the current low has traded well below the lower band. This
characteristic is a common feature found at solid highs and lows.

The RSI is oversold while the MACD indicator is still bearish
so caution still needs to be heeded but I believe conditions on the
monthly chart are certainly conducive to a resumption of the uptrend.

CAC40 Weekly Chart

CAC40 Weekly Chart

The upper horizontal line denotes the 2011 high of 4169 and
price has dipped under this level as it gives that support a thorough
test.

The lower horizontal line denotes the 2014 low of 3789 and
price turning back up above this level effectively puts in the next
higher low thereby keeping the overall uptrend intact.

I have drawn three Fibonacci Fans but have excluded some
unimportant angles to keep the picture uncluttered. Let's run through
them.

The bearish fan drawn from the 2007 high shows the 2011 low at
support from the 61.8% angle. The 88.6% angle provided solid
resistance all throughout 2014. Once price eventually cracked above
this 88.6% angle it became support and price has just dipped back
under this angle as it gives the support a good test. I expect a
bounce back above the angle imminently.

The bullish fan drawn from the 2009 low shows the 2015 high at
resistance from the 50% angle. The 2011 low was bang on support from
the 88.6% angle while the current low is bang on support from the
61.8% angle.

The bullish fan drawn from the 2011 low shows the 2014 low bang
on support from the 50% angle while the current low is bang on
support from the 61.8% angle.

So, there is clearly some excellent symmetry going on and it adds confidence that we may well have a solid low in play here.

The RSI is oversold with a bullish divergence showing at this
price low while the MACD indicator is bearish although price turning
back up would see that change fairly quickly.

Let's wrap it up with the daily chart.

CAC40 Daily Chart

CAC40 Daily Chart

I have drawn two bearish Fibonacci Fans - one from the 2015
high and one from the major secondary high. Both show the current low
being right around support from the 88.6% angles from both fans.
Nice.

The Bollinger Bands show price threatening to leave the lower
band but until that happens it is still possible to push a touch
lower or at least test the low.

The RSI shows a triple bullish divergence in place which often
leads to a significant price rise while the MACD indicator is bearish
although the averages do appear to be coming together with the
potential for a bullish crossover shortly.

The two horizontal lines denote resistance from previous swing
highs and price needs to bust above here to confirm the low is indeed
in place.

Summing up, I have been bearish since my previous analysis
called the bull market high back in 2015. I am now changing the
outlook back to bullish with the expectation that a new bull market
is about to begin.

By Austin Galt

www.thevoodooanalyst.com

49 de 245 - 15/2/2016 12:51
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1724 - Membre depuis: 24/6/2003

LONDRES (Reuters) - Royal Dutch Shell a annoncé lundi avoir bouclé le
rachat de BG Group pour 36 milliards de livres (46 milliards d'euros),
la plus grande fusion dans le secteur pétrolier depuis des années qui
donne naissance au numéro un mondial du gaz naturel liquéfié (GNL).

Ce
rapprochement doit permettre à Shell de réduire l'écart avec
l'américain Exxon Mobil, première "major" mondiale, mais le processus de
transition s'annonce compliqué dans un contexte d'effondrement des
cours du brut.

Le directeur général de Shell, Ben van Beurden joue
gros avec cette fusion qui s'inscrit dans sa stratégie de recentrer son
groupe sur le GNL et le forage en eau profonde.

"Nous serons
maintenant capables de dessiner les contours d'un groupe plus simple,
plus épuré et plus compétitif en nous concentrant sur nos compétences
dans l'eau profonde et le GNL", déclare Ben van Beurden dans un
communiqué.

La fusion, annoncée il y a 10 mois, a reçu le soutien
massif des actionnaires même si certains ont fait valoir que la lente
reprise prévue des cours du pétrole représentait un risque pour les
finances et la croissance du groupe.

Shell a fait savoir qu'il
supprimerait des milliers d'emplois et céderait pour 30 milliards de
dollars (27 milliards d'euros) d'actifs du nouveau groupe sur une
période de trois ans pour financer la fusion, racheter des actions et
soutenir son dividende, qu'il s'est engagé à maintenir ou à augmenter.

Le rapprochement permet à la nouvelle entité de ravir à
50 de 245 - 15/2/2016 17:22
waldron Messages postés: 9905 - Membre depuis: 17/9/2002

Shell A (LSE:RDSA)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Lundi 15 Février 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell A

Les grands groupes pétroliers européens font feu de tout bois pour
surmonter l'effondrement du prix du baril. Et l'une des armes employées
ces derniers mois est celle du dividende en actions.



Proposer à ses actionnaires une rémunérationicon1.png
en actions a le double avantage pour une entreprise de préserver la
trésorerie tout en renforçant les fonds propres. Malheureusement, la
dilution mécanique des résultats et la perspective d'un titre sous la
pression de nouveaux flux vendeurs à court terme a aussi fréquemment
tendance à rebuter les investisseurs.



Lors des
différents versements de coupons intervenus l'an dernier, seuls 5%
environ des actionnaires du groupe britannique BP (BP.LN) ont fait le
choix du dividende en actions, à l'exception du dernier acompte, pour
lequel cette proportion est montée jusqu'à 20%. Chez l'anglo-néerlandais
Royal Dutch Shell (RDSA.LN), ce tauxicon1.png est resté autour de 23%, avant de progresser aussi au dernier trimestre.





Objectif 50%






De son côté, le français Total (FP.FR) a indiqué la semaine dernière
qu'il tablait plutôt sur un taux d'option pour le dividende en actions
de l'ordre de 50% cette année, soit une proportion similaire à celle
observée l'an dernier.



Certes, le groupe s'est donné
les moyens de ses ambitions. Comme pour les deux acomptes versés en
2015, le groupe va proposer pour le troisième acompte et pour le solde
du dividende 2015 un prix de souscription des actions nouvelles offrant
une décote de 10% par rapport au cours moyen des vingt séances de Bourse
précédant la décision de mise en distribution.



Et les
investisseurs devraient ensuite disposer d'un délai de deux semaines
environ pour choisir le mode de versement. Si le cours de Total
progresse entre-temps, le dividende en actions n'en sera que plus
séduisant.





Pas de remords






Lors du délai qui avait précédé le versement de l'acompte d'octobre
2015, l'action Total avait progressé de plus de 10% et environ 60% des
actionnaires avaient choisi le dividende en actions. Pour celui versé en
janvier, le titre avait reculé durant la période d'option et la
proportion d'actionnaires séduits était tombée à 38%.



Dans les deux cas, le groupe a bénéficié d'une aideicon1.png
précieuse pour la gestion de ses flux de caisse. Et contrairement à ses
rivaux anglo-saxons qui se sont engagés à racheter dès que possible les
actions ainsi émises, le groupe français ne semble éprouver aucun
remords au sujet de la dilution ainsi engendrée pour ses actionnaires.



Les actionnaires des groupes pétroliers ne sont visiblement pas tous égaux face au dividende en actions.





-Helen Thomas et Yann Morell y Alcover, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; yann.morellyalcover@wsj.com ed : LBO





"Le Market Blog" est le blog économique et financier du Serviceicon1.png français de Dow Jones Newswires.





(END) Dow Jones Newswires



February 15, 2016 09:39 ET (14:39 GMT)

51 de 245 - 18/2/2016 08:38
maywillow Messages postés: 1331 - Membre depuis: 27/1/2002

Shell B (LSE:RDSB)
Graphique Intraday de l'Action

Aujourd'hui : Jeudi 18 Février 2016

Plus de graphiques de la Bourse Shell B

La compagnie pétrolière et gazière Royal Dutch Shell (RDSB.LN) a
annoncé mercredi avoir commencé à rembourser les 2 milliards de dollars
de dettes liées au pétrole qu'elle doit à l'Iran, réduisant ainsi un
obstacle majeur à la reprise de son activité dans le pays, qui n'est
plus soumis aux sanctions de l'Occident.



Le géant
anglo-néerlandais avait livré du pétrole iranien sans pouvoir le payer,
en raison de l'embargo sur les transactions bancaires avec Téhéran mis
en place en 2012. Les sanctions imposées à l'Iran ont été levées en
janvier.



"Nous sommes en mesure de confirmer que le
processus de remboursement de la dette de Shell à l'égard de [la
compagnie publique National Iranian Oil] a commencé", a déclaré un
porte-parole du groupe.





-Benoit Faucon, Dow Jones Newswires



(Version française Aurélie Henri) ed: VLV





(END) Dow Jones Newswires



February 18, 2016 02:10 ET (07:10 GMT)

52 de 245 - 20/2/2016 09:12
waldron Messages postés: 9905 - Membre depuis: 17/9/2002

http://seekingalpha.com/article/3913136-dividends-...

53 de 245 - 14/3/2016 17:04
La Forge Messages postés: 1346 - Membre depuis: 03/8/2000

Royal Dutch Shell surge not over


By Harriet Mann | Mon, 14th March 2016 - 14:59

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Royal Dutch Shell surge not over

Low crude prices have savaged oil industry profits, but there's been a

fresh burst of positive momentum as the International Energy Agency

(IEA) reports signs that "prices might have bottomed out". Royal Dutch Shell (RDSB)

shares have risen, despite last month reporting its first upstream loss

in at least 25 years, and, although more is needed to protect the

dividend long-term, Barclays reckons the investment case is "compelling"

and a recovery to 18-month highs very possible.

Earnings on a current
cost of supplies basis slid from $19 billion (£13 billion) in 2014 to
$3.8 billion last year. Forced to abandon work in Alaska and on its
Canadian Carmon Creek project, Shell's upstream business made a $5.7
billion loss, the first on record, according to Barclays. Thankfully,
the integrated gas and downstream business did limit the damage.

Helped
by its new project off the coast of Nigeria, daily production reached 3
million barrels of oil equivalent per day (boepd). But a 13% negative
reserve replacement rate - volume of reserves added compared to the
volume of oil used in the period - reflects the reserve base shrinking
by 1.3 billion to 11.5 billion barrels in the period.

Operating
costs and capital investment shrunk by $12.5 billion over the year, with
$5.5 billion-worth of divestments taking the 2014/2015 total to over
$20 billion, way over target - Shell wants to sell $30 billion of assets
over the next three years. And it must, with upstream costs of $14.7
boepd still 145% higher than when Brent last averaged $50 a barrel 11
years ago, says Barclays.

That's why management is so confident
about the £40 billion acquisition of BG, which will beef up Shell's
portfolio with an additional deep water and liquefied natural gas
offering. According to analysts, Shell breaks even on the deal with
Brent in the low $60s, although synergies and further capital
expenditure cuts could bring this lower. Upstream efficiency now become a
focus with the acquisition out of the way.

graph 1

"We
see the BG transaction as critical to help speed through much needed
change and should further enhance Shell’s free cash flow profile in
almost any oil price environment," explains Barclays analyst Lydia
Rainforth. Barclays trims its forecast for earnings per share in 2016 by
3 cents to $1.30, but increases its estimate for next year by 7 cents
to $2.43.

Shell's share price halved in the six months to
mid-January, but, in line with a strengthening oil price, it has bounced
by nearly a third since and broken out of a downward trading channel
established in 2014.

Shell now trades on a forward price/earnings ratio of 18.6 times, a premium to both BP (BP.)
(on 15.8 times) and the sector. That rating does drop to just 10.1
times based on Barclays' latest estimates for 2017. It's why the broker
thinks the share price rally could continue to 2,450p.

"Shell is
clearly not exempt from the squeeze in earnings and cash flow faced by
the industry, but with the acquired assets it is likely to have more
levers than most to pull through the downturn. We continue to see the
investment case for Royal Dutch Shell as compelling and rate the stock
'overweight'."

This article is for information and
discussion purposes only and
does not form a
recommendation to invest or
otherwise. The value of
an investment may fall.
The investments referred
to in this article may
not be suitable for
all investors, and if in
doubt, an investor should
seek advice from a
qualified investment adviser.

54 de 245 - 16/3/2016 11:20
waldron Messages postés: 9905 - Membre depuis: 17/9/2002

Pétrole : le baril rebondit, rencontre Opep-non Opep le 17 avril

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Publié le 16/03/2016 à 10h29



Pétrole : le baril rebondit, rencontre Opep-non Opep le 17 avril


Crédit photo © Reuters

(Boursier.com) — Le baril de pétrole retrouve le chemin de la
hausse ce mercredi après avoir enregistré sa plus forte baisse en deux
jours depuis un mois. Le " light sweet crude " pour livraison avril
grimpe de 1,7% à 37 dollars en ce moment sur le New York Mercantile
Exchange.

Une réunion entre les membres de l'Organisation des
pays exportateurs de pétrole et les grands pays producteurs non membres
du cartel devrait se tenir le 17 avril à Doha, indique l'agence Dow
Jones. Les acteurs devraient profiter de ce meeting pour entériner le
gel de la production décidé mi-février par l'Arabie saoudite et la
Russie. L'annonce de ce gel a été un facteur de soutien important pour
l'or noir compte tenu du déséquilibre conséquent entre offre et demande
sur le marché pétrolier. L'Iran ne participera pas à ce rendez-vous
puisque Téhéran a déjà indiqué qu'il pourrait geler sa production
seulement une fois que cette dernière aura atteint 4 millions de barils
par jour, contre 3 millions actuellement.

Alors que l'évolution
des réserves hebdomadaires américaines de brut sera une nouvelle fois
scrutée de près cet après-midi, l'Institut Américain du pétrole a fait
état hier soir d'une hausse limitée à 1,5 million de barils des stocks
la semaine passée, soit la plus faible progression en un mois. "L'offre
sort petit à petit du marché", explique à Bloomberg, Michael McCarthy,
stratège chez CMC Markets à Sydney. "Il y a des preuves d'une baisse de
la production des Etats-Unis et le nombre d'appareil de forages continue
de décliner. Une combinaison de ces facteurs et de la survente évidente
du marché signifie que nous voyons plus de stabilité".

55 de 245 - 16/3/2016 16:29
waldron Messages postés: 9905 - Membre depuis: 17/9/2002


REUTERS |
Le 16/03/16 à 15:42




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TOTAL





Grande-Bretagne : Impôts en baisse pour le secteur pétrolier de la mer du Nord | Crédits photo : Total

LONDRES, 16 mars (Reuters) - Le ministre britannique des Finances, George Osborne,
a annoncé mercredi une baisse d'impôts pour les compagnies pétrolières
exploitant des gisements en mer du Nord afin de relancer un secteur qui
souffre de la chute des cours pétroliers.

"Je réduis aujourd'hui de moitié la majoration de l'impôt sur le pétrole
et le gaz, de 20% à 10%. Je supprime aussi l'impôt sur les revenus
pétroliers", a déclaré George Osborne, en présentant le nouveau projet
de budget.

"Nous devons agir maintenant pour le long terme (..)
afin de soutenir cette industrie écossaise clé et de favoriser
l'emploi", a-t-il ajouté, faisant référence à la chute des cours
pétroliers qui a eu un impact sur l'emploi en Ecosse.

Les deux mesures annoncées sont rétroactives au 1er janvier 2016.

Le
mois dernier, le North Sea, un consortium réunissant les compagnies
pétrolières et gazières britanniques, a dit que la baisse du cours de
l'or noir avait accéléré l'arrêt définitif de l'exploitation de certains
gisements, précisant que le nombre de fermetures pourrait atteindre 80
d'ici la fin 2020, 21 ayant déjà été enregistrées en 2015.

A la
Bourse de Londres, les actions des groupes liés au pétrole comme BP
(+2,6%), Shell (+2,50%) et Cairn Energy (+4,33%) affichaient après les
annonces de George Osborne des hausses nettement supérieures à celle de
l'indice FTSE 100 (+0,65%). A

Paris, Total prenait 0,94% vers 14h40 GMT alors que le CAC 40 perdait 0,06%. (Sarah Young et Susanna Twidale; Claude Chendjou pour le service français, édité par Marc Angrand)


En

savoir plus sur

http://investir.lesechos.fr/actions/actualites/gra...

56 de 245 - 23/3/2016 15:19
sarkasm Messages postés: 1325 - Membre depuis: 26/2/2009

Div pay-dateMar 29 2016

57 de 245 - 23/3/2016 15:40
sarkasm Messages postés: 1325 - Membre depuis: 26/2/2009

Le titre Royal Dutch Shell présente une valorisation extrêmement faible suggérant une possible poursuite du mouvement.



D'après les estimations des analystes qui suivent la valeur, la société
se paye, sur la base des cours actuels, 13.22 et 8.31 fois les résultats
attendus pour les deux prochains exercices. Ce multiple de résultat
réduit est renforcé par une valeur d'entreprise, c'est à dire une
capitalisation du groupe retraitée de sa situation financière nette,
correspondant actuellement à 0.91 fois son chiffre d'affaires. Ces
niveaux de valorisation limitent là encore théoriquement le potentiel de
repli, sauf si le pétrole venait à voir son prix fortement retomber.



Techniquement, le titre vient d'accomplir un rebond qualitatif depuis la
borne basse des 17 EUR. Les cours arrivent au contact d'une résistance
et d'une oblique sur la zone des 22 EUR. Par conséquent, il conviendra
de suivre le franchissement de cette plage de prix pour reprendre un
position à l'achat et viser une nouvelle cible en direction des 25 EUR.
Un stop sous les points d’entrée protégera la positon en cas d’échec du
débordement.






Royal Dutch Shell  : Royal Dutch Shell  : La force du mouvement


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Patrick Rejaunier

58 de 245 - 26/3/2016 09:05
waldron Messages postés: 9905 - Membre depuis: 17/9/2002

http://www.zonebourse.com/ROYAL-DUTCH-SHELL-6273/a...

59 de 245 - 28/3/2016 18:30
The Grumpy Old Men Messages postés: 1149 - Membre depuis: 02/1/2007

Is Shell About To Exit The North Sea?

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Is Shell About To Exit The North Sea?


Is Shell About To Exit The North Sea?

Is Shell About To Exit The North Sea?

Published at 03:36PM - 28/03/16

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Is Shell about to exit the
North Sea? As evidence emerges indicating that the supermajor is getting
ready for such an event, could rumours of a Shell exit really be true?

Since finalising its acquisition of rival
oil and gas firm, BG Group last month; Shell has been open about its
need to offload at least US$30 billion worth of assets, to help
rebalance its books.

That need continues to grow with
increasing urgency as the mammoth $70 billon acquisition, originally put
forward in times when a barrel of oil looked unlikely to ever go below
$100, struggles to look financially viable in times when it looks
unlikely to ever go above $50.

Shell CEO Ben van Beurden

Back in February, when answering
questions on the proposed US$30 billion asset sell off, Ben van Beurden
said that it would be a good time to sell, claiming that “the buyers are
there, … and in non-traditional routes such as MLPs, private equity and
other oil and gas companies.”

When asked for a time schedule, van
Beurden said: “This will build over that three-year period and 2016 is
likely to see asset sales that are below the $10 billion mark.”

Move To Offshore LNG

With BG Group’s assets now firmly on its
books, Shell can boast the world’s biggest producer of LNG, much of
which is centred in Brazil, Australia and the deepwater Gulf of Mexico.

Shell’s own offshore LNG project,
Prelude, is expected to reach first production later this year. The
giant FLNG vessel will be the world’s largest offshore facility once
on-stream, having the displacement greater than 5 Nimitz class aircraft
carriers combined, and will be located offshore Western Australia.

Shell Prelude FLNG
Shell Prelude FLNG

The move is yet another step by Shell,
away from its traditional offshore activities and, into the more
technically challenging and less crowded market of deepwater and
unconventional offshore production.

Shell CEO, Ben van Beurden, alluded to
the company’s refocus during a press conference, held to announce the
completion of the BG acquisition, back in February 2016.

van Beurden said: “We have acquired
productive oil and gas projects in Brazil and Australia and other key
countries. We will now be able to shape a simpler, leaner, more
competitive company, focusing on our core expertise in deep water and
LNG.”

Oil Super Majors And The North Sea

It’s no secret that both reserves and
production right across the North Sea sectors continue to decline, with
2015 production rates on the UK continental shelf 65% below that of
their peak- around 2000.

UKCS Production Rates
UKCS Production Rates © UK OGA

This coupled with the increasing
frequency of statements from Shell, and a North Sea that continues to
become ever more crowded, by much smaller, leaner producers, adds weight
to the argument that Shell really could be ready to exit.

Most assets currently operated by Shell
in the North Sea are either already in their decommissioning phase, look
at crude oil’s own benchmark namesake Brent Field for example, or have
desperately dwindling production rates.

Shell Brent Field. © Offshore Post
Shell Brent Field. © Offshore Post

The same ingredients proved ideal for
similar action by rival BP back in 2003, when it sold off what most
regarded to be the company’s crown jewels and largest oil field in the
North Sea – the giant ‘Foggy’ Forties.

The move was part of BP’s then global
expansion, that saw it move heavily into the Gulf of Mexico, Azerbaijan
and most notably Russia.Although it must be said that BP continues to operate a select number of assets in the North Sea.

So Is Shell About To Exit The North Sea?

Over the last 24 hrs, speculation across
the globe has been growing in weight to suggest there will be a UK asset
sell off of some kind.

Having contacted Shell’s London HQ,
Monday, the company confirmed to Offshore Post that, the leading
financial advisory and asset management firm Lazard has been brought in
to advise the team working on the company’s divestment strategy.

Further, Shell confirmed that both Bank
of America Merrill Lynch and Morgan Stanley have been appointed to work
on some asset sales.

A Shell Spokesperson added: “We expect
several banks to bid for and get transaction mandates for our $30bn
asset-sale programme.”

Shell has refused to comment further, declining to give any indication as to the future of individual assets and likely buyers.

However one potential buyer that has been
more open about their intent on acquiring some of Shell’s North Sea
assets, and centre for much of the recent speculation, is newly formed
Neptune Oil and Gas, headed up by former Centrica CEO, Sam Laidlaw.

Neptune Oil and Gas CEO Sam Laidlaw
Neptune Oil and Gas CEO Sam Laidlaw

A spokesman for the fund has been quoted
as saying “Shell’s North Sea assets are being considered as part of our
wider strategy to target large-scale investment in distressed assets in
the North Sea, North Africa and South East Asia.”

So is Shell about to exit the North Sea?
The ongoing and obligated work to decommission assets aside, it is a
case of watch this space. But if a Shell exit is imminent, whatever the
scale, we will all know very soon.

60 de 245 - 30/3/2016 16:00
Ariane Messages postés: 1320 - Membre depuis: 29/9/2002

La compagnie pétrolière Shell (RDSA.LN) a
annoncé mercredi qu'elle avait rencontré les enquêteurs néerlandais
concernant son rôle dans un accord pétrolier controversé au Nigeria.




Le groupe anglo-néerlandais a indiqué que la récente visite effectuée
par le service d'enquête et de renseignement financiers et le procureur
néerlandais au siège de la compagnie à La Haye concernait un bloc
pétrolier nigérian qui fait l'objet d'une enquête pénale en Italie.




Shell a acquis le bloc OPL 245 avec la compagnie pétrolière italienne
Eni (ENI.MI) en 2011 pour 1,3 milliard de dollars, ce qui a mis fin à
des années de litige au sujet de sa propriété.



"Shell
coopère avec les autorités et examine les allégations, qu'elle prend au
sérieux", a indiqué la compagnie dans un courriel, sans préciser la
nature de ces allégations ni si elles la concernaient directement.





-Sarah Kent et Eric Sylvers, Dow Jones Newswires



(Version française Céline Fabre) ed: ECH





(END) Dow Jones Newswires



March 30, 2016 08:01 ET (12:01 GMT)

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