VALLOUREC : Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2016Par VALLOUREC | GlobeNewswire – il y a 20 minutesPartagerTweet Communiqué de presse Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2016 Résultats financiers du T3 2016
Chiffre d'affaires de 693 millions d'euros, en baisse de 20,5 % par rapport au T3 2015 (-20,6 % à taux de change constants)
Résultat brut d'exploitation de -52 millions d'euros, en amélioration de 14 millions d'euros par rapport au T3 2015
Résultat net, part du ...
VALLOUREC : Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2016Par VALLOUREC | GlobeNewswire – il y a 20 minutesPartagerTweet Communiqué de presse Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2016 Résultats financiers du T3 2016
Chiffre d'affaires de 693 millions d'euros, en baisse de 20,5 % par rapport au T3 2015 (-20,6 % à taux de change constants)
Résultat brut d'exploitation de -52 millions d'euros, en amélioration de 14 millions d'euros par rapport au T3 2015
Résultat net, part du Groupe de -160 millions d'euros, relativement stable par rapport au T3 2015 Résultats financiers des neuf premiers mois 2016
Chiffre d'affaires de 2 127 millions d'euros, en baisse de 27,7 % (-25.3 % à taux de change constants)
Résultat brut d'exploitation de -156 millions d'euros par rapport à 0 million d'euros au cours des neuf premiers mois de 2015
Flux de trésorerie disponibles
négatifs de -392 millions d'euros, à comparer à +35 millions d'euros au
cours des neuf premiers mois de 2015
Dette nette de 1 020 millions d'euros, en baisse de 499 millions d'euros par rapport au 31 décembre 2015
Résultat net, part du Groupe de -575
millions d'euros par rapport à -439 millions d'euros au cours des neuf
premiers mois de 2015 Plan de transformation : des étapes importantes franchies au T3 2016
Fusion [1] de Vallourec Tubos do Brasil et Vallourec & Sumitomo
Tubos do Brasil et création de Vallourec Soluções Tubulares do Brasil le
1 er octobre 2016
Obtention de toutes les autorisations
de la part des autorités locales pour l'acquisition d'un intérêt
majoritaire dans Tianda Oil Pipe
Réductions de coûts en ligne avec les objectifs et réduction des effectifs d'environ 300 au T3 2016, et de -22 % depuis fin 2014 Partenariat stratégique entre Serimax et Technip
Finalisation d'un accord de partenariat stratégique et acquisition par Technip d'un intérêt de 20 % dans Serimax Perspectives
Objectifs de l'exercice 2016 confirmés Boulogne-Billancourt (France), 8 novembre 2016 - Vallourec, leader mondial des solutions tubulaires premium
annonce aujourd'hui ses résultats du troisième trimestre et des neuf
premiers mois de 2016. L'information financière consolidée a été
présentée par le Directoire au Conseil de Surveillance le 8 novembre
2016.Commentant ces résultats, Philippe Crouzet, Président du Directoire, a déclaré: « Au cours de ce trimestre, nous avons constaté
des signes d'amélioration aux Etats-Unis où le nombre d'appareils de
forage et la demande OCTG ont augmenté pour la première fois depuis fin
2014. Cependant, dans la zone Hémisphère Est, les commandes de la part
des compagnies pétrolières internationales (IOCs) sont restées très
faibles et le carnet de commandes enregistré auprès des compagnies
pétrolières nationales (NOCs) pour les prochains trimestres reflète
l'environnement de prix très disputés des derniers trimestres. Ce trimestre, nous avons franchi des étapes
importantes de notre Plan de Transformation. Ainsi qu'annoncé le mois
dernier, nous avons fusionné nos activités brésiliennes au sein d'une
nouvelle entité dénommée Vallourec Soluções Tubulares do Brasil qui va
générer des synergies industrielles et administratives significatives.
En Chine, l'obtention de toutes les autorisations de la part des
autorités locales va nous permettre de prendre le contrôle de Tianda Oil
Pipe prochainement. Enfin, en Europe, la mise en place de notre
réorganisation progresse bien. A travers ces actions, nous répondons aux
défis d'aujourd'hui et préparons Vallourec à bénéficier pleinement de
la reprise des marchés Pétrole et Gaz.» Chiffres clés 9M 9M % de En millions d'euros T3 T3 % de 2016 2015 variation 2016 2015 variation 905 1 091 -17,0 % Production expédiée (milliers de tonnes) 333 317 +5,0 % 2 1272 942 -27,7 % Chiffre d'affaires 693 872 -20,5 % (156)0 na Résultat brut d'exploitation (52) (66) -21,2 % -7,3% 0,0 % -7,3 pt En % du CA -7,5% -7,6% +0,1 pt (561)(393) +42,7 % Résultat d'exploitation (1) (143) (165) -13,3 % (575)(439) +31,0 % Résultat net, part du Groupe (160) (164) -2,4 % (392)+35 -427 m Cash-flow disponible (2) (75) +32 -107 mDont 92 millions d'euros de charges de
restructuration et 70 millions d'euros de dépréciations pour perte de
valeur liées à la mise en place du Plan de Transformation.Le cash-flow disponible (Free cash flow, FCF),
mesure à caractère non strictement comptable, se définit comme la
capacité d'autofinancement après prise en compte des investissements
industriels bruts et de la variation du besoin en fonds de roulement lié
à l'activité. na : non applicable I - CHIFFRE D'AFFAIRES CONSOLIDÉ PAR MARCHÉ 9M 9M % de En millions d'euros T3 T3 % de 2016 2015 variation 2016 2015 variation1 3702 021 -32,2 %Pétrole et gaz, Pétrochimie439582 -24,6 %335402 -16,6 %Énergie électrique108149 -27,5 %422519 -18,7 %Industrie & autres146141 +3,5 % 2 127 2 942 -27,7 % Total 693 872 -20,5 % Au troisième trimestre 2016, le chiffre d'affaires consolidé s'est établi à 693 millions d'euros, en baisse de 20,5 % par rapport au troisième trimestre 2015 (-20,6 % à taux de change constants) . L'effet volume positif (+5,0 %) a été neutralisé par un effet prix/mix fortement négatif (-25,6 %). Sur les neuf premiers mois de 2016, le chiffre d'affaires s'est établi à 2 127 millions d'euros, en baisse de 27,7 % par rapport aux neuf premiers mois de 2015 (- 25,3 % à taux de change constants) en raison principalement de la baisse des volumes (-17,0 %) et
d'un effet prix/mix négatif (-8,3 %). Le mix clients favorable
enregistré au premier semestre 2016 dans la zone EAMEA a été neutralisé
par la forte détérioration des prix au cours de la période dans la zone
EAMEA et aux Etats-Unis. Pétrole et gaz, pétrochimie (64,4 % du chiffre d'affaires) Au troisième trimestre 2016 , le chiffre d'affaires Pétrole et gaz s'est établi à 411 millions d'euros, en baisse de 22,8 % par rapport au T3 2015 (-22,4 % à taux de change constants). Au cours des neuf premiers mois de 2016 , le chiffre d'affaires Pétrole et gaz s'est établi à 1 273 millions d'euros, en retrait de 31,7 % par
rapport aux neuf premiers mois de 2015 (-29,3 % à taux de change
constants) :
Aux États-Unis , les volumes et le chiffre d'affaires du troisième trimestre
2016 ont été en hausse séquentielle grâce à l'amorce du restockage de la
part des distributeurs et à la reprise progressive de la consommation
d'OCTG résultant de la hausse des appareils de forage en activité et de
l'efficacité de ceux-ci. Le chiffre d'affaires du troisième trimestre
2016 s'est toutefois inscrit en baisse par rapport au T3 2015 en raison
du déclin des prix qui se sont stabilisés au deuxième semestre à un
niveau faible. Au cours des neuf premiers mois de 2016, le chiffre
d'affaires s'est inscrit en baisse significative en raison de faibles
volumes et de l'importante baisse des prix.
Dans la zone EAMEA [2] , tandis que les volumes OCTG du T3 2016 ont été relativement
stables par rapport au T3 2015, le chiffre d'affaires s'est inscrit en
baisse en raison d'un effet prix fortement négatif. Au cours des neuf premiers mois de 2016, le chiffre
d'affaires a été en baisse en raison d'une pression intense sur les prix
des commandes plus récentes.
Au Brésil , afin de faciliter la transition vers la nouvelle entité
Vallourec Soluções Tubulares do Brasil, les volumes du deuxième semestre
2016 ont été concentrés en grande partie sur le T3. Ainsi, le chiffre
d'affaires du T3 2016 est en hausse par rapport au T3 2015. Au cours des neuf
premiers mois de 2016, le chiffre d'affaires s'est inscrit en fort recul
en raison de la baisse de l'activité de forage. Au troisième trimestre 2016 , le chiffre d'affaires Pétrochimie s'est établi à 28 millions d'euros, en retrait de 42,9 % par
rapport au T3 2015 (-44,9 % à taux de change constants) en raison de la
faible demande persistante et d'un environnement fortement
concurrentiel. Au cours des neuf premiers mois de 2016 , le chiffre d'affaires Pétrochimie s'est établi à 97 millions d'euros, en baisse de 38,2 % par
rapport aux neuf premiers mois de 2015 (-36,9 % à taux de change
constants). Énergie électrique (15,8 % du chiffre d'affaires) Au troisième trimestre 2016 , le chiffre d'affaires Énergie électrique s'est établi à 108 millions d'euros, en retrait de 27,5 % par rapport au T3 2015 à périmètre courant [3] (-26,2 % à taux de change constants). Au cours des neuf premiers mois de 2016 , le chiffre d'affaires Énergie électrique s'est établi à 335 millions d'euros, en baisse de 16,6 % par rapport aux neuf premiers mois de 2015 à périmètre courant 3 (-15,2% à taux de change constants) :
Les ventes dans l' énergie électrique conventionnelle sont restées relativement stables au T3 et aux neuf premiers
mois de 2016, soutenues par les livraisons pour des centrales à charbon
en Chine, dans un environnement très compétitif.
Dans le nucléaire , comme anticipé, le chiffre d'affaires est en baisse significative au T3 et aux neuf premiers mois de 2016. Industrie & autres (19,8 % du chiffre d'affaires) Au troisième trimestre 2016 , le chiffre d'affaires Industrie & autres s'est élevé à 146 millions d'euros, en hausse de 3,5 % par rapport au T3 2015 (+0,7 % à taux de change constants). Au cours des neuf premiers mois de 2016 , le chiffre d'affaires Industrie & autres s'est établi à 422 millions d'euros, en baisse de 18,7 % par
rapport aux neuf premiers mois de 2015 (-15,2 % à taux de change
constants) :
En Europe , le chiffre d'affaires des neuf premiers mois de 2016 est en recul en raison de la baisse des volumes et des prix.
Au Brésil , en dépit d'un meilleur T3 2016 par rapport au T3 2015, le
chiffre d'affaires des neuf premiers mois de 2016 est en léger recul,
affecté par un environnement macroéconomique dégradé dans les secteurs
de l'automobile et de la construction. Bien que les prix du minerai de
fer aient bénéficié d'une tendance haussière au T3 2016, les prix du
minerai de fer sur les neuf premiers mois de 2016 sont en recul par
rapport aux 9M 2015. II - ANALYSE DES RÉSULTATS CONSOLIDÉS DU TROISI È ME TRIMESTRE 2016 ET DES NEUF PREMIERS MOIS DE 2016 Analyse des résultats consolidés du T3 2016 Au troisième trimestre 2016, le résultat brut
d'exploitation s'est établi à -52 millions d'euros, en amélioration de
14 millions d'euros par rapport au T3 2015 avec :
Un chiffre d'affaires consolidé en recul
de 20,5 % par rapport au T3 2015 à 693 millions d'euros, avec un fort
impact prix/mix négatif ;
Une marge industrielle en léger retrait de
4 millions d'euros par rapport au T3 2015, à 56 millions d'euros. La
baisse du chiffre d'affaires a été quasiment compensée par la
concentration au T3 2016 des livraisons à Petrobras prévues au deuxième
semestre 2016. Les coûts sont en baisse grâce au plan Valens et
l'adaptation dans les usines se poursuit ;
Des coûts administratifs, commerciaux et
de recherche (SG&A) à 106 millions d'euros, en recul de 11,3 % par
rapport au troisième trimestre 2015. Le résultat d'exploitation se traduit par une perte de 143 millions d'euros , par rapport à une perte de 165 millions d'euros au T3 2015,
principalement en raison de l'amélioration du résultat brut
d'exploitation. Le résultat financier est négatif à -31 millions d'euros contre -15 millions d'euros au T3 2015, principalement en raison de l'évolution du résultat de change. L'impôt sur les bénéfices est un produit de 6 millions d'euros contre un produit de 3 millions d'euros au T3 2015, principalement en raison de la reconnaissance d'impôts différés actifs. Les participations ne donnant pas le contrôle s'élèvent à -10 millions d'euros , contre -14 millions d'euros au T3 2015. Le résultat net, part du Groupe est une perte de 160 millions d'euros , stable par rapport au T3 2015 qui représentait une perte de 164 millions d'euros. Analyse des résultats consolidés des 9M 2016 Au cours des neuf premiers mois de 2016, le
résultat brut d'exploitation s'est établi à -156 millions d'euros, en
baisse de 156 millions d'euros par rapport aux neuf premiers mois de
2015, avec :
Un chiffre d'affaires consolidé en recul
de 27,7 % par rapport aux neuf premiers mois de 2015 (-25,3 % à taux de
change constants) à 2 127 millions d'euros ;
Une marge industrielle en retrait de 218
millions d'euros, à 178 millions d'euros, principalement impactée par :
(i) la baisse d'activité et, dans une moindre mesure, (ii) les
inefficacités associées à la faible charge des usines, malgré la bonne
adaptation des coûts ;
Des coûts administratifs, commerciaux et
de recherche (SG&A) à 331 millions d'euros, en baisse de 13,7 % par
rapport aux neuf premiers mois de 2015. Le résultat d'exploitation se traduit par une perte de 561 millions d'euros , par rapport à une perte de 393 millions d'euros au cours de neuf
premiers mois de 2015, principalement en raison de : (i) la baisse du
résultat brut d'exploitation, et (ii) de charges de restructuration de
92 millions d'euros et de dépréciations d'actifs de 70 millions d'euros
essentiellement liées aux initiatives stratégiques annoncées le 1 er février 2016 et comptabilisées au premier semestre 2016. Le résultat financier est négatif à -99 millions d'euros contre -52 millions d'euros en 9M 2015, principalement en raison de l'évolution du résultat de change. L'impôt sur les bénéfices est un produit de 52 millions d'euros contre une charge de 12
millions d'euros en 9M 2015, principalement en raison de la
reconnaissance d'impôts différés actifs. Les participations ne donnant pas le contrôle s'élèvent à -37 millions d'euros, contre -19 millions d'euros en 9M 2015. Le résultat net, part du Groupe est une perte de 575 millions d'euros , contre une perte de 439 millions d'euros en 9M 2015. III - FLUX DE TRÉSORERIE ET SITUATION FINANCI È RE Vallourec a généré des flux de trésorerie disponibles négatifs de -75 millions d'euros au T3 2016. Au cours des neuf premiers mois de 2016,
Vallourec a généré des flux de trésorerie disponibles négatifs de
-392 millions d'euros, contre des flux de trésorerie disponibles positifs de 35 millions
d'euros au cours des neuf premiers mois de 2015. Cette évolution est due
notamment aux éléments suivants :
Des flux nets de trésorerie négatifs
générés par l'activité à -275 millions d'euros, principalement en raison
de la baisse du résultat brut d'exploitation ;
Une légère augmentation du besoin en fonds
de roulement au cours des neuf premiers mois de 2016
(-17 millions d'euros) contre une baisse de 279 millions d'euros
sur la même période l'an passé ;
Des investissements industriels bruts en
baisse, à -100 millions d'euros, contre -159 millions d'euros au cours
des neuf premiers mois de 2015. Au 30 septembre 2016, l'endettement net du Groupe a baissé de 499 millions d'euros par rapport au 31 décembre 2015 pour s'établir à 1 020 millions d'euros , représentant un ratio d'endettement sur capitaux propres consolidés de 29,1 %, contre 50,0 % fin 2015.La baisse de la dette nette au cours des neuf
premiers mois de 2016 est due à l'encaissement du produit de
l'augmentation de capital s'élevant à 959 millions d'euros au premier
semestre 2016, en partie diminué des décaissements liés à l'activité au
cours de la période. IV - LIQUIDITÉLe 4 juillet 2016, Vallourec a prolongé avec
succès la maturité d'environ 1,5 milliard d'euros de ses lignes de
crédit moyen et long terme comme suit :
Une ligne de crédit bilatérale renouvelable de 90 millions d'euros à échéance février 2021, au lieu de février 2019 ;
Une ligne de crédit renouvelable de 400 millions d'euros à échéance juillet 2020, au lieu de juillet 2019 ;
Un crédit syndiqué de 1,1 milliard d'euros à échéance février 2020 étendu à février 2021 à hauteur de 989 millions d'euros.Au 30 septembre 2016, Vallourec disposait de 1,316 milliard d'euros de trésorerie. La dette court terme au 30 septembre 2016
s'élevait à 1,242 milliard d'euros, dont 650 millions d'euros au titre
de l'emprunt obligataire arrivant à échéance en février 2017.Au 30 septembre 2016, Vallourec disposait de
2,110 milliards d'euros de lignes de crédit moyen et long terme
confirmées disponibles non tirées, et 0,2 milliard de lignes de crédit
disponibles non tirées à échéance juillet 2017. V - PLAN DE TRANSFORMATIONLa mise en oeuvre du Plan de Transformation
qui vise à rationaliser l'empreinte industrielle du Groupe et à
améliorer sa compétitivité progresse.Comme annoncé précédemment, Vallourec Soluções
Tubulares do Brasil a été créée le 1er octobre 2016 à la suite de la
fusion de Vallourec Tubos do Brasil et Vallourec & Sumitomo Tubos do
Brasil. Cette fusion est une étape importante dans la rationalisation
de l'empreinte industrielle brésilienne de Vallourec et permettra de
générer des synergies industrielles et administratives significatives.En Chine, Vallourec a obtenu toutes les
autorisations des autorités locales afin d'acquérir le contrôle de
Tianda Oil Pipe. L'opération devrait être finalisée avant la fin de
l'année et permettra au Groupe de développer une offre plus compétitive
combinant la technologie VAM® et des coûts de production moins élevés. En France, la dernière campagne de production
au laminoir de Déville-Lès-Rouen a eu lieu en septembre 2016. La
fermeture du laminoir est prévue d'ici la fin de l'année. A
Saint-Saulve, la fermeture du laminoir est prévue au T1 2017. En Ecosse,
la ligne de traitement thermique située à Bellshill devrait être fermée
d'ici la fin de l'année.Les négociations exclusives initiées avec
Ascometal en vue de la cession d'un intérêt majoritaire dans l'aciérie
de Saint-Saulve progressent conformément au calendrier. La signature
d'un accord définitif devrait intervenir d'ici la fin de l'année.Les réductions de coûts dans le cadre du plan Valens sont en ligne avec les objectifs.Au cours du T3 2016, les effectifs du Groupe
ont été réduits de 300. A fin septembre 2016, ils sont en baisse de 22%
par rapport à fin décembre 2014. VI - PARTENARIAT STRATÉGIQUE ENTRE SERIMAX ET TECHNIPComme suite à l'annonce du 11 janvier 2016,
Serimax, filiale de Vallourec et l'un des leaders mondiaux des solutions
de soudage offshore et onshore, et Technip, un leader mondial en
gestion de projet, ingénierie et construction dans le secteur de
l'énergie, et client de longue date de Serimax, ont finalisé un
partenariat stratégique dans le domaine du soudage de conduites
sous-marines le 28 octobre 2016. Dans ce cadre, Technip a acquis un intérêt de 20 % dans Serimax. Technip et Serimax mettront en commun leur expertise et
déploieront la technologie de soudage de Serimax sur tous les spoolbases [4] et navires de pose en S [5] de Technip. VII - TENDANCE DE MARCHÉ ET PERSPECTIVESVallourec confirme ses objectifs 2016 tels qu'annoncés lors de la publication des résultats annuels 2015, à savoir:
Un résultat brut d'exploitation inférieur à celui de 2015 ;
Un cash flow disponible négatif d'environ
-600 millions d'euros, à fonds de roulement et taux de change
stables par rapport à fin 2015 ;
Une dette nette n'excédant pas 1,5 milliard d'euros en fin d'année, après acquisition de Tianda et intégration globale de VSB. Les livraisons et résultats de l'activité Pétrole et gaz de Vallourec devraient encore être affectés par des conditions de marché mitigées au cours des prochains trimestres :
Aux É tats-Unis , le rebond des livraisons au T3 2016 résultant du restockage
des distributeurs et de la reprise progressive du marché devrait se
confirmer au T4 2016. Les livraisons d'OCTG devraient être comparables
au cours des prochains trimestres. Les prix, qui ont été sous pression
au premier semestre 2016, se sont stabilisés à un niveau bas au deuxième
semestre.
Dans la zone EAMEA , le carnet est composé de commandes enregistrées au cours des
derniers trimestres auprès des compagnies pétrolières nationales (NOCs) à
des prix qui n'ont cessé de décliner. Les compagnies pétrolières
internationales (IOCs), dont les volumes de commandes sont très faibles,
n'ont toujours pas commencé à sanctionner de nouveaux projets. Les
faibles volumes et marges du T3 2016 ne devraient donc pas connaître
d'amélioration significative au cours des prochains trimestres.
Au Brésil, la concentration des livraisons du second semestre 2016 sur le
T3 2016 se traduira par un faible niveau de livraisons au T4 2016. Selon
le Plan Stratégique de Petrobras publié le 20 septembre 2016, la
consommation de tubes OCTG devrait rester stable dans les prochains
trimestres par rapport au second semestre 2016. L'activité É nergie électrique devrait s'inscrire en baisse en 2016 par rapport à 2015 à périmètre constant [6] , en prenant en compte le ralentissement d'activité du segment
nucléaire en 2016. Le Groupe n'anticipe pas d'évolution notable pour les
prochains trimestres. Les activités Industrie & autres devraient être en baisse en 2016 par rapport à 2015. En Europe,
les activités continueront à être affectées par la faiblesse des
investissements mondiaux et la pression sur les prix. Au Brésil, les
activités non énergie devraient rester stables. Le Groupe n'anticipe pas
d'évolution notable pour les prochains trimestres. Compte tenu de ce qui précède, les conditions dans lesquelles
Vallourec opère au cours de ce semestre devraient rester relativement
comparables au premier semestre 2017. Les résultats du Groupe devraient
bénéficier, à partir de mi-2017, du rééquilibrage attendu des marchés
Pétrole et Gaz et des effets continus du Plan de Transformation. Réflexions et informations prospectives Ce communiqué de presse contient des réflexions et des
informations prospectives. De par leur nature, ces réflexions et
informations comprennent des projections financières et des estimations
ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des
déclarations portant sur des projets, des objectifs et des attentes
concernant des opérations, des produits et services ou des performances
futures. Bien que la Direction de Vallourec estime que ces réflexions et
informations prospectives sont raisonnables, Vallourec ne peut garantir
leur exactitude ou leur exhaustivité. Ces réflexions et informations
prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes
difficiles à prévoir et généralement en dehors du contrôle de Vallourec,
qui peuvent impliquer que les résultats et événements effectivement
réalisés diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits
ou prévus dans les réflexions et les informations prospectives. Ces
risques comprennent ceux qui sont développés ou identifiés dans les
documents publics déposés par Vallourec auprès de l'AMF, y compris ceux
énumérés dans la section « Facteurs de Risques » du Document de
référence déposé auprès de l'AMF le 16 Mars 2016 (N° D.16-0141). Présentation des résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois de 2016 Conférence téléphonique analystes en anglais et audio webcast à 18h30 (heure de Paris).
Pour écouter l'audio webcast :
Pour participer à la conférence, veuillez composer le : + 44 20 3427 1902 (depuis le Royaume-Uni), + 33 1 76 77 22 30 (depuis la France), + 1 212 444 0896 (depuis les États-Unis), + 44 20 3427 1902 (depuis tous autres pays) Code d'accès à la conférence : 6160086
L'audio webcast sera disponible sur le site web à l'adresse suivante : http://www.vallourec.com/FR/GROUP/FINANCE Calendrier 22 février 2017Publication des résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2016 À propos de Vallourec Leader mondial sur ses marchés, Vallourec fournit des solutions
tubulaires de référence pour les secteurs de l'énergie et pour d'autres
applications parmi les plus exigeantes : des puits de pétrole et de gaz
en conditions extrêmes aux centrales électriques de dernière génération,
en passant par des projets architecturaux audacieux et des équipements
mécaniques ultra-performants. Fidèle à son esprit pionnier et fort d'une
R&D de pointe, Vallourec ne cesse de repousser les frontières
technologiques. Implanté dans une vingtaine de pays, au plus près de ses
clients, le Groupe rassemble 20 000 collaborateurs passionnés et
engagés qui offrent bien plus que des tubes : ils proposent des
solutions toujours plus innovantes, fiables et compétitives, pour rendre
possibles tous les projets.Coté sur Euronext à Paris (code ISIN :
FR0000120354, Ticker VK) éligible au Service de Règlement Différé (SRD),
Vallourec fait partie des indices SBF 120 et Next 150.Aux États-Unis, Vallourec a mis en place un
programme sponsorisé d'American Depositary Receipt (ADR) de niveau 1
(ISIN code : US92023R2094, Ticker : VLOWY). La parité entre l'ADR et
l'action ordinaire Vallourec est de 5 pour 1. vallourec.com
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