Crédit Agricole - Un Pivot À Exploiter.... (ACA)

Source :	Dow Jones News
Stock :	Crédit Agricole (ACA)
Quote :	14.075 -0.235 (-1.64%) @ 12:29
Crédit Agricole share price Chart Trades Level2

Natixis perd 2,2%, Goldman Sachs abaisse son avis à "vendre"

Credit Agricole (EU:ACA)
Intraday Stock Chart

Today : Lundi 27 Juillet 2015

Le titre Natixis KNFR) recule lundi de 2,2% à 6,84 euros, accusant un
des plus forts replis du SBF 120, alors que les analystes de Goldman
Sachs ont abaissé leur recommandation sur la valeur de "neutre" à
"vendre". Dans une note consacrée aux banques françaises,
l'intermédiaire financier estime que Natixis est, avec Crédit Agricole
(ACA.FR), plus exposé à l'inflation des actifs pondérés en fonction du
risque (RWA) que ses concurrentes Société Générale (GLE.FR) et BNP
Paribas (BNP.FR), et ce alors que la banque affiche des multiples de
valorisation plus élevés. Par ailleurs, Natixis affiche une surcote en
Bourse par rapport aux sociétés de gestion alors que la banque ne tire
que 40% de ses revenus de cette activité. L'objectif de cours pour
Natixis est néanmoins relevé à 6 euros, contre 5,4 euros auparavant.
Goldman Sachs maintient ses recommandations "vendre" sur Crédit Agricole
(-1,6% à 14,09 euros) et "neutre" sur Société Générale (-1,8% à 44,44
euros). En revanche, l'intermédiaire financier relève son conseil de
"neutre" à "achat" sur BNP Paribas (-1,2% à 56,54 euros).
(blandine.henault@wsj.com) ed/LB

(Boursier.com) — La structure cotée du Groupe Crédit Agricole, Crédit Agricole SA, a publié des résultats en hausse au second trimestre 2015, en dépit d'un accroissement du coût du risque dû à des provisions exceptionnelles. La banque verte a confirmé qu'elle n'avait pas, à ce stade, de projet de réorganisation de sa structure que certains jugent trop complexe.

Activité et bénéfices en hausse

La banque a dégagé un bénéfice net consolidé part du groupe de 920 millions d'euros au cours du second trimestre 2015, et même de 982 ME sur une base ajustée, au-delà des 901 ME anticipés par le consensus Bloomberg. Il est en progression de 6,2% en glissement annuel une fois que tous les éléments non-récurrents et volatils ont été retirés. Plus haut dans le compte de résultats, le produit net bancaire est en vive hausse de 18,1% à 4,63 milliards d'euros et le résultat brut d'exploitation s'envole de 49% à 1,84 MdE. Le coût du risque grève les résultats de 601 ME, 12,4% de plus qu'un an avant, mais il comprend 350 ME de complément de provision pour litige. Cela n'empêche en tout cas pas le résultat d'exploitation d'être en très forte croissance de 76,4% à 1,24 MdE. Le ratio CET1 non phasé s'établissait fin juin à 10,3%, en hausse de 30 points par rapport à juin 2014. Il était de 10,2% à fin mars.

Le conseil d'administration évoque un très bon niveau de résultat, qui s'appuie sur tous les métiers, notamment grâce à la gestion de l'épargne et aux assurances, mais également du côté de la Banque de financement et d'investissement. Le coût du risque a intégré pour la première fois sur le second trimestre les garanties "switch", qui permettent de couvrir l'exigence prudentielle liée à la détention des participations de Crédit Agricole SA dans les caisses régionales et dans Crédit Agricole Assurances. Elles ont entraîné un produit de 173 ME pour la structure cotée, produit gommé par 350 ME provisions prises en complément dans le cadre de l'enquête en cours des autorités américaines concernant des transactions en dollars avec des pays frappés par l'embargo américain. Crédit Agricole SA indique que les discussions sont désormais très avancées avec les autorités américaines pour une résolution du litige, ce qui devrait aboutir à un règlement avant la fin de l'année.

Pas de bouleversement en vue dans l'organisation

Le management de l'établissement ajoute que les réflexions démarrées en septembre 2013 concernant son organisation se poursuivent. Ces réflexions font l'objet d'échanges avec les autorités de tutelle, en particulier les services de la Banque Centrale Européenne, échanges qui ont conduit à "constater des contraintes non levées à ce jour". En conséquence, aucune opération susceptible d'affecter substantiellement le périmètre de Crédit Agricole SA n'est réalisable à ce stade, explique la direction, contrairement aux rumeurs récentes. Les réflexions se poursuivent donc, avec pour ligne directrice une vraie vision à l'échelle du groupe dans le droit fil de son histoire et de sa culture coopérative et mutualiste. En d'autres termes, il ne devrait pas y avoir d'évolution majeure à court terme.

(CercleFinance.com) - Les spécialistes de Natixis (Paris: FR0000120685 - actualité) n'en démordent pas : il est toujours selon eux opportun d'acheter l'action Crédit Agricole (Paris: FR0000045072 - actualité) , malgré 'un deuxième trimestre (T2) mitigé' pour cause de déception du côté du ratio de solvabilité et d'incertitude du côté de la gouvernance du groupe. L'objectif de cours associé au conseil est de 16,8 euros.

A la Bourse de Paris ce matin, l'action de la caisse centrale de la banque verte dévisse de 10% sous 13 euros.

Natixis commence par saluer une 'solide' performance opérationnelle au 2e trimestre, dont les résultats sont jugés 'de très bonne qualité'. En effet, en données récurrentes et selon Natixis, le résultat net du 2e trimestre dépasse les attentes du consensus de 2,5%. 'Toutes les divisions opérationnelles affichent une performance supérieure aux attentes avec une mention spéciale pour la Banque de financement et d'investissement (BFI)', souligne la note de recherche.

Le bureau d'études ne s'inquiète pas non plus de la provision de 350 millions d'euros pour la BFI 'car (le groupe) n'est pas loin d'un accord avec l'Office of Foreign Assets Control (OFAC, autorités américaine chargée de sanctions économiques et commerciales, ndlr) sur la violation des embargos américains', indique la note.

En revanche, la note revient sur les points difficiles de la publication : la stabilité du ratio de solidité financière CET1 d'un trimestre sur l'autre, à 10,2%, 'constitue une élément négatif, notamment par rapport aux autres banques françaises', sanctionne Natixis, qui ne le surévalue pas pour autant.

Autre difficulté relevée : 'les commentaires du groupe à propos de l'évolution de la gouvernance ne sont pas assez clairs', juge la note. ?Le groupe CA (NasdaqGS: CA - actualité) indique que les échanges avec la BCE (Toronto: BCE-PA.TO - actualité) ont mis en évidence des contraintes qui ne sont pas levées à ce stade. Il ne faut donc pas s'attendre à une annonce imminente', indique encore Natixis.

CREDIT AGRICOLE : Déception sur l’organisation, mais la rentabilité s’améliore

04/08/15 à 12:31 - Investir.fr 0 Commentaire(s)

Malgré des comptes semestriels meilleurs que prévu, la Bourse sanctionne le report de la réforme des complexes structures du groupe.

L'analyse (Investir)

La chute du cours de la banque verte ce matin paraît imputable à la déception de certains investisseurs qui espéraient un transfert de la fonction et de l’activité d’organe central (pouvoir de contrôle) par la structure cotée Crédit Agricole SA à son actionnaire principal (56,7% du capital), la SAS Rue La Boétie, société qui regroupe les caisses régionales (ou à la Fédération, l’organe politique). Les plus optimistes imaginaient même que cette transaction de plusieurs milliards d’euros aurait pu donner lieu à un dividende exceptionnel. Or, ce projet ROC (réorganisation de l’organe central) est reporté sine die, car les conditions posées par les superviseurs européens n’ont pas pu être levées. Elles concernent la mesure de la solvabilité des banques mutualistes.

Au Crédit Agricole, les banques régionales sont confortablement dotées en fonds propres et apportent une garantie à Crédit Agricole SA (mécanisme switch), qui sinon devrait se doper d’une dizaine de milliards d’euros de capitaux propres supplémentaires, à mettre en face des actifs du pôle assurance, dont la valeur est sensible aux taux d’intérêt. Au premier semestre, cette garantie a d’ailleurs été activée en faveur de Crédit Agricole SA.

Quoi qu’il en soit, le ratio de solvabilité CET1 (qui rapporte les fonds propres aux encours, pondérés selon leur degré de risque) s’élevait fin juin à 13,2% au niveau du groupe et à 10,2% (+0,3 point sur un an) au niveau de Crédit Agricole SA. C’est très au-delà du minimum requis, qui était de 3,5% en 2013, puis est monté à 4% en 2014 et à 4,5% cette année. Il sera de 7% minimum début 2019. Crédit Agricole SA vise 10,5% dès 2016. Au premier semestre, l’option pour le dividende en actions a permis de lever 759 millions de fonds propres (à 12,17 euros par action).

Les comptes semestriels sont bons, mais comportent encore un élément exceptionnel. Le stock de provisions pour litiges juridiques a été augmenté de 350 millions d’euros pour atteindre 1,6 milliard. Il couvre entre autres le montant estimé de l’amende en négociation aux Etats-Unis dans l’affaire des pays sous embargo. Les discussions ont en effet avancé, permettant d’avoir une idée plus précise du montant final. Crédit Agricole SA a aussi enregistré pour la première fois cette année dans ses charges une contribution de 175 millions au Fonds de résolution unique. Ce FRU, l’un des piliers de l’union bancaire européenne, est destiné à faire face en cas de défaillance d’une banque. A noter que ni cette charge ni la provision pour litige ne sont déductibles fiscalement, d’où un taux d’impôt assez élevé (34,5%).

Des risques mieux couverts

Si l’on raisonne à données comparables, hors éléments exceptionnels, le bénéfice net semestriel est en hausse de 14,9%, à 1,7 milliard d’euros. En réalité, il a doublé, car l’an passé il avait fallu compter avec le coût de la banque portugaise Esperito Santo. L’objectif fixé à 4 milliards d’euros pour 2016 est maintenu, malgré un contexte de taux d’intérêt moins favorable depuis son annonce en 2014. Si l’on analyse l’évolution des différents agrégats (toujours à données comparables), on constate que le produit net bancaire (chiffre d’affaires) a progressé de 6,6%, à presque 8,9 milliards d’euros, avec des charges d’exploitation contenues (+3,3% à 5,76 milliards), conduisant à un résultat brut d’exploitation de plus de 3 milliards (+10,7%). Le résultat d’exploitation frôle 2 milliards, le coût du risque ayant poursuivi son repli (-27,2% à 1,08 milliard). Il n’a plus représenté que 0,39% de l’encours de crédits au deuxième trimestre (-13 points de base) après 0,46% (-14) au premier. Les créances dépréciées s’élèvent à 15,2 milliards (-4% sur un an) soit 3,6% de l’encours total (421,8 milliards) contre 4% un an plus tôt. Les provisions couvrent 55,1% de ces créances à risque, contre 54,2% un an plus tôt. Ce taux de couverture est même de 72,9% (contre 71,1%) en incluant les provisions collectives (non affectées).

Ruptures des modèles économiques

La présentation des comptes semestriels était d’autant plus attendue qu’elle était la première de Philippe Brassac, directeur général depuis l’AG du 20 mai. Le nouveau patron du Crédit Agricole n’a pas caché qu’il faudra « abaisser les bases de coûts », compte tenu de la situation générale et des mutations du secteur. Selon lui, « le potentiel de crise n’est peut-être pas totalement purgé, les risques de crise systémique demeurent. Il y a un risque de volatilité assez forte, de secousses assez violentes. Le QE a un effet anesthésiant, il donne l’illusion d’un financement infini aux Etats. C’est un dispositif qui n’est pas pérenne mais il n’est pas facile d’y mettre fin ». Philippe Brassac a aussi souligné que le secteur « va vers une période de rupture des modèles économiques », avant de détailler les défis à relever : « un environnement de taux bas qui pourrait durer », « des concurrences dérégulées avec l’intrusion des fintechs », « le shadow banking, par exemple la possibilité d’ouvrir un compte en banque dans les bureaux de tabac », « le financement direct par le marché sans passer par le bilan des banques », « le risque juridique installé durablement », sans oublier les évolutions réglementaires qui impliquent de « défendre le modèle coopératif et mutualiste ».

Le conseil

Achat / Objectif : 17.5 €
Nous maintenons notre recommandation positive pour viser 17,5 euros. L’actif net comptable ressortait fin juin à 18,1 euros par action, soit une décote de 28%. En déduisant écarts d’acquisition et incorporels, il serait de 12,4 euros, niveau où le cours est presque retombé. La capitalisation boursière se limite à 8,6 fois le bénéfice net de 4 milliards d’euros visé pour 2016.

Le cours au moment du conseil : 12.96 €

(Boursier.com) — Il ne fallait pas s'attendre aujourd'hui à une vague de louanges sur le dossier Crédit Agricole, au lendemain d'une publication trimestrielle qui a fait sombrer le titre de plus de 10%, sous les 13 euros. Les analystes reviennent pour la seconde couche, après avoir ajusté leurs modèles en intégrant le fait que le vaste chantier de réorganisation structurel de la banque verte est au point mort et n'aboutira pas dans un futur proche. Beaucoup d'investisseurs voyaient dans cette modernisation de l'architecture mutualiste un levier important en bourse pour l'entité cotée, Crédit Agricole SA. C'est raté.

RBC Capital Market n'a rien changé, toujours à "performance de marché" sur le titre, valorisé 12,50 euros. JP Morgan en revanche réduit sa recommandation de "neutre" à "souspondérer" et son objectif de 14 à 13 euros. Nomura et MainFirst demeurent "neutres" et visent tous deux 14 euros. Barclays n'est pas enclin à changer son avis "souspondérer" ni sa valorisation à 11 euros. Hier, Morgan Stanley avait abaissé de 15,90 à 14,70 euros son objectif en restant à "pondération en ligne".

(CercleFinance.com) - Credit Suisse (NYSE: CS - actualité) a abaissé son objectif de cours sur Crédit Agricole (Paris: FR0000045072 - actualité) de 15,8 à 15,1 euros, sans pour autant modifier son opinion 'surperformance', après la publication des comptes du deuxième trimestre de la banque verte.

Ceux-ci ont amené le broker helvète a réduire son estimation de bénéfices ajustés de 5,3% au titre de l'exercice en cours. Ce dernier estime que la majeure partie des incertitudes ayant trait à l'évolution de la gouvernance est déjà intégrée dansles cours.

Credit Suisse pense par ailleurs que le groupe est toujours en discussions avec les régulateurs européens pour sortir du blocage réglementaire qui compromet actuellement ladite évolution.

Enfin, CASA est selon l'intermédiaire le mieux positionné pour profiter du rebond de l'économie française attendu au second semestre.

(Boursier.com) — Les analystes de Credit Suisse estiment que la récente chute du titre Crédit Agricole liée à la déception sur l'avancée du chantier de réorganisation structurel de la banque verte (modernisation de l'architecture mutualiste) offre un bon point d'entrée aux investisseurs de long terme. Crédit Agricole a en effet retrouvé une décote de 13 à 15% sur les comparables européens. Credit Suisse garde sa recommandation positive à Surperformance avec un objectif de cours minoré de 15,8 à 15,1 euros.

Credit Suisse a légèrement abaissé jeudi son objectif de cours sur Crédit Agricole à 15,10 euros, au lieu de 15,80 euros précédemment, après la récente publication des résultats du deuxième trimestre 2015 de la banque verte. Le broker, qui maintient son opinion "Surperformance", estime que "l'essentiel de l'incertitude autour de la gouvernance est déjà intégré dans le cours de bourse". Credit Suisse note en effet qu'après sa lourde chute de mercredi (-11%), le titre se négocie avec une décote de 13-15% par rapport à la moyenne des banques européennes. Le courtier pense que l'action devrait maintenant se stabiliser, et que son cours devrait constituer un bon point d'entrée pour les investisseurs à long terme.

Retrouvez cet article sur Tradingsat.com

17 août (Reuters) - HSBC relève sa recommandation sur le titre Crédit agricole de conserver à acheter.

(Patrick Vignal pour le service français)

CREDIT AGRICOLE : La tendance baissière peut reprendre

TEC le 31/08/2015 à 08:02

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SYNTHESE

Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette
configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique
pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement
possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux
clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la
moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50
jours située à 13.39 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à
la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 10.79 EUR,
puis à 10.17 EUR et la résistance est à 13.89 EUR, puis à 14.51 EUR.

Dernier cours :12.21

Support :10.79 / 10.17

Resistance :13.89 / 14.51

Opinion court terme :negative

Opinion moyen terme :negative

Analyse graphique

Tendance court terme

Le niveau d'invalidation se trouve sur : 12.8.
Notre préférence : la baisse est probable sous les 12.8.
Scénario alternatif : une clôture au-delà de 12.8 pourrait entraîner un retour sur 13.5 puis 14.
Commentaire
: le RSI est inférieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD
(indicateur de tendance) est inférieur à sa ligne de signal et négatif.
La configuration est baissière à court terme. De plus, le titre est sous
ses moyennes mobiles 20 et 50 jours, situées actuellement sur 12.53 et
13.35.

Tendance moyen terme

A moyen terme, Crédit Agricole se trouve sous sa moyenne

mobile 100 jours (13.55). La distance par rapport à celle-ci est de

-10.8%. A la baisse le support à surveiller est à 9.7, la résistance clé

est vers 14.

trading central

Analyse graphique

Tendance court terme

Notre point pivot est situé sur : 11.1.
Notre préférence : le cours pourrait rebondir en direction de 13.3.
Scénario alternatif : une clôture en-dessous de 11.1 pourrait entraîner un retour sur 10.3 puis 9.9.
Commentaire
: le RSI est sous les 50. Le MACD (indicateur de tendance) est
supérieur à sa ligne de signal et négatif. Pour les jours à venir la
situation est mitigée. De plus, le titre est sous ses moyennes mobiles
20 et 50 jours, situées actuellement sur 12.29 et 13.17.

Tendance moyen terme

A moyen terme, Crédit Agricole est inférieur à sa moyenne

mobile 100 jours (13.46). La distance par rapport à celle-ci est de

-12.9%. A la baisse le support à surveiller est à 9.9, la résistance clé

est vers 14.2.

SYNTHESE

Le MACD est négatif, mais il se situe au-dessus de sa ligne de signal :
la tendance est en train de changer. Maintenant, le MACD doit franchir
zéro pour que la hausse se poursuive dans les jours à venir.
L'indicateur principal de la force du mouvement (RSI) montre que la
situation technique est assez saine car il n'y a pas de surachat. Les
indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les
jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des
volumes sur les 10 derniers jours.

MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50
jours située à 13.17 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à
la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 10.88 EUR,
puis à 10.41 EUR et la résistance est à 13.22 EUR, puis à 13.69 EUR.

Dernier cours :11.73

Support :10.88 / 10.41

Resistance :13.22 / 13.69

Opinion court terme :positive

Opinion moyen terme :negative

Analyse graphique

Tendance court terme

Notre point pivot est situé sur : 11.1.
Notre préférence : le cours pourrait rebondir en direction de 13.3.
Scénario alternatif : une clôture en-dessous de 11.1 pourrait entraîner un retour sur 10.3 puis 9.9.
Commentaire
: le RSI est sous les 50. Le MACD (indicateur de tendance) est
supérieur à sa ligne de signal et négatif. Pour les jours à venir la
situation est mitigée. De plus, le titre est sous ses moyennes mobiles
20 et 50 jours, situées actuellement sur 12.29 et 13.17.

Tendance moyen terme

A moyen terme, Crédit Agricole est inférieur à sa moyenne

mobile 100 jours (13.46). La distance par rapport à celle-ci est de

-12.9%. A la baisse le support à surveiller est à 9.9, la résistance clé

est vers 14.2.

Credit Agricole (EU:ACA)
Intraday Stock Chart

Today : Mardi 8 Septembre 2015

(CercleFinance.com) - Amundi, filiale de Crédit Agricole, annonce avoir

décidé de réunir au sein de CPR AM l'ensemble de ses expertises actions

thématiques et leur développement pour créer un pôle spécialisé et ainsi

devenir l'acteur de référence dans ce domaine.

'L'association de

ces savoir-faire s'inscrit dans une dynamique d'adaptation naturelle

pour le groupe qui, désormais, affiche clairement son ambition de

devenir leader mondial dans les actions thématiques et souhaite se doter

des moyens nécessaires pour développer de nouvelles solutions

d'investissement de long terme et accroître sa visibilité pour remporter

des parts de marché en France comme à l'international auprès de toutes

les catégories d'investisseurs', explique-t-il

A compter du 30

septembre, les capacités de gestion seront donc assurées par CPR AM. Le

nouveau pôle de gestion actions thématiques, sous la responsabilité de

Vafa Ahmadi, nommé directeur de la gestion thématique et d'Estelle

Ménard, nommée responsable adjointe, se voit confier un actif sous

gestion de plus de 3,6 milliards d'euros.

L'équipe compte 10

professionnels de l'investissement qui, avec l'appui de l'ensemble des

équipes de CPR AM, sera en charge d'assurer la pérennité et le

développement des expertises thématiques existantes et à venir pour le

groupe.

Le
titre Credit Agricole a subi de lourds dégagements au cours des
dernières séances et revient au contact de niveaux importants.



L'action vient de connaitre un mouvement baissier d'ampleur depuis ses
points hauts de l'été et revient au contact d'un niveau de soutien
pertinent (11.45 EUR). Cette zone correspond en effet à un support
d'importance en données journalières ainsi qu'à une droite oblique
ascendante. En données hebdomadaires, on retrouve également dans cette
zone de prix une droite oblique ainsi que la moyenne mobile à 100 jours.



La configuration technique du groupe Credit Agricole permettra aux plus
offensifs de se positionner à l'achat au dessus des 11.45 EUR. Le
potentiel de baisse semble limité et le timing parait opportun pour
profiter d'un rebond technique. Les objectifs seront fixés
respectivement à 12.2 puis 12.9 EUR par extension. Cependant, il ne
faudra pas insister sous les 11.40 EUR, la tendance baissière pourrait
reprendre le dessus en cas d'enfoncement de ce niveau. Un stop-loss sera
ainsi placé à 11.1 EUR.

Etienne Veber

Credit Agricole (EU:ACA)
Intraday Stock Chart

Today : Lundi 14 Septembre 2015

(CercleFinance.com) - Alors que les amendes pleuvent sur les banques

européennes opérant aux Etats Unis, Crédit Agricole est renvoyé vers ses

planchers annuels (et le récent palier de soutien des 11E).
A ce

stade, il convient de rester prudent car la lourdeur domine sans partage

depuis la mi-août: retracement du plancher annuel du 12 janvier ne

saurait être écarté.

Les valeurs à suivre à la Bourse de Paris

mardi 22 septembre 2015 08h36

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PARIS (Reuters) - Liste
des valeurs à suivre mardi à la Bourse de Paris qui devrait ouvrir en
très légère hausse, au lendemain d'un rebond de 1,09% consécutif aux
pertes subies la semaine passée après le statu quo de la Réserve
fédérale sur ses taux directeurs.

Vers 08h20, le contrat à terme sur l'indice CAC 40 avance de 0,30%.

* EDF a demandé au japonais Mitsubishi Heavy Industries
d'investir dans l'activité réacteurs nucléaires d'Areva, a rapporté le
journal Nikkei en citant des sources proches du dossier. Standard &
Poor's a par ailleurs confirmé les notes à long terme "A+" et à court
terme "A-1" de l'électricien, avec une perspective négative maintenue
pour la note à long terme.

* ALSTOM devrait être officiellement retenu mardi par la
compagnie américaine Amtrak dans le cadre d'un appel offres pour le
renouvellement de ses trains à grande vitesse dans l'Etat de New York,
un projet évalué à 2,5 milliards de dollars (2,23 milliards d'euros), a
déclaré lundi le sénateur de l'Etat de New York Charles Schumer dans un
communiqué.

* TOTAL devrait annoncer mercredi un relèvement de ses
objectifs de réduction de coûts dans un contexte de prix du pétrole bas
qui soulève des interrogations sur la capacité du groupe à maintenir son
dividende, selon des analystes interrogés par Reuters. Société Générale
a par ailleurs relevé sa recommandation de "conserver" à "acheter",
avec un objectif de cours ramené de 48 à 46 euros.

* BOUYGUES et le groupe suisse Mövenpick s'associeront à la
société ivoirienne Saprim pour un investissement de 55 millions d'euros
dans un hôtel cinq étoiles situé à Abidjan, ont annoncé les sociétés
lundi.

* DEEZER. Le service de musique en ligne a annoncé mardi
vouloir s'introduire en Bourse d'ici la fin de l'année, en fonction des
conditions de marché, afin de mieux faire face à ses principaux rivaux,
le suédois Spotify et le nouveau service d'Apple.

* SOCIÉTÉ GÉNÉRALE. JP Morgan a abaissé sa recommandation de
"surpondérer" à "neutre", avec un objectif de cours ramené de 49 euros à
46 euros.

* CRÉDIT AGRICOLE. JP Morgan a abaissé son objectif de cours de 13 euros à 11 euros, avec une recommandation à "sous-pondérer".

* NICOX a annoncé mardi que la FDA acceptait pour revue le
dossier de demande d'autorisation de mise sur le marché de Vesneo (un
médicament contre le glaucome découvert par la biotech française) déposé
par son partenaire Bausch & Lomb.

* ALTEN a annoncé lundi qu'il anticipait une amélioration
significative de sa marge opérationnelle au second semestre et comptait
poursuivre sa stratégie de croissance externe ciblée.

* MAUREL & PROM a annoncé lundi la reprise de la production
des champs du permis Ezanga, au Gabon, après la réparation de l'oléoduc
Coucal pour laquelle une situation de force majeure avait été décidée
début septembre.

* SODEXO. RBC a ramené son objectif de cours de 85 euros à 76 euros, avec une recommandation à "performance du secteur".

* EDENRED. Société Générale a réduit son objectif de 26,4 euros à 20 euros, avec une recommandation à "acheter".

* AB SCIENCE a annoncé lundi sa décision d'arrêter une étude de
phase 3 dans la polyarthrite rhumatoïde afin de rationaliser son
portefeuille d'études.

(Raoul Sachs, Benjamin Mallet et Raphaël Bloch, édité par Véronique Tison)